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kti

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Tout ce qui a été posté par kti

  1. Salut à tous ! Coucou !!! Voilà Mes deux oiseaux (Calypso et Pépita) se portent comme des charmes. Deux vrais amours qui mangent, et dansent, et multiplient leurs clowneries, et passent d'épaules en épaules. Pépita chante (mais ne siffle pas) et son grand truc : embrasser ma bouche (ce que Calypso n'a jamais fait) Elle est «bisou, bisou, bisou»... Au début, elle me griffait et m'arrachait la peau du visage, mais maintenant, elle gère mieux son enthousiasme et ce ne sont que des vrais bisous doux qu'elle me donne (oreille, joue, lèvre, cheveux, très affectueuse....) Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, au détail près que depuis quatre jours maintenant, elle a une plume de sa queue qui pend. Cette plume est brisée en son milieu. Dois-je la couper ? J'attendais que Pépita s'en débarrasse seule, mais visiblement... La plume est encore là ! Elle ne tient plus que par un fil. Alors : un coup de ciseau ou non ???
  2. OK Marie ! Coucou ! On va attendre avec toi les résultats des test de fond (adn, PBDF...) Mais je te remercie de ton histoire de plume, car les plumes !!! Ah ça angoisse !! Je m'en vais écrire un topic car ma Pépita s'en est brisée une de la queue (en jouant) Ca fait trois jours qu'elle pend au milieu de son plumage, j'attends qu'elle tombe, mais elle n'est sciée qu'à la moitié...... J'hésite à la couper (la peur du sang) Bref, les plumes !!! C'est de la cosmétologie pour nos oiseaux !! (hihi)
  3. Ou alors oui, une aspergillose (qui n'est pas due à une bactérie, ni à un virus, mais à un champignon) Lequel ne se développe (chez l'homme aussi) que sur les terrains immunodéprimés (sidéens essentiellement). Oui Dada doit avoir raison : la PBDF...... Mais pourquoi se serait-elle déclarée si tardivement ??? Faut que tu le saches absolument, malgré ta peine, Dam ! Nous sommes tous avec toi. Faut faire une autopsie de Zoé !
  4. moi..... Pardonne-moi, Dam Mais je ne suis pas étonnée.... Dès que tu as parlé des yeux qui se fermaient... Pour moi, c'était foutu. Je vais encore ramené ma science, j'hésite toujours, sur un forum, de peur qu'on se méprenne sur mes intentions. Je ne cherche pas à crâner, avec ce que je sais des maladies... Non, non. Mais ce que j'ai voulu te dire, c'est que ton animal était infecté. La surcharge en graisses..... Pfuittt ! 380 grammes, elle n'était même pas grosse ! Ce n'est pas une maladie métabolique de surcharge qui a emporté ta Zoé. Mais bel et bien une infection trainante, des voies ORL et bronchiques PBDF ? Ou autre (aspergillose, peut-être) Je n'ai pas appris ces maladies spécifiques des oiseaux, mais les symptômes..... On a beau dire... Sitôt qu'un animal commence a avoir des peaux sur les yeux, c'est du germe ! Je ne sais son terrain, peut-être la PBDF. Mais même sans la PBDF, ta Zoé a choppé un microbe qui s'est installé dans ses voies respiratoires. Le con de premier véto n'a rien vu et le germe s'est multiplié dans les voies ORL Pour atteindre les yeux Un Chlamydiae ? Pas impossible Il aurait fallu depister ce germe dès le début de la symptomatologie et je suis désolée que tu aies accordé ta confiance à un nul, au début. Je ne peux que t'encourager à réaliser une autopsie, pour en avoir le coeur net. Car, après ton chagrin, si tu rachètes un autre oiseau... Faut pas qu'il y ait de pourritures malsaines dans son environnement. Comme l'a suggéré Dada, c'est peut-être la PDBF (mais le délai me semble long, si Zoé avait déjà 5 ans et toi, si tu l'avais depuis plus de deux ans) Non, je pense davantage à un germe plus banal, microbien, pas viral. Un pneumocoque par ex.
  5. Mhhhhhhhhh la paella !!! Merci Dada Bisous à Aldo et Suzie
  6. Bien sûr Dada, cela m'intéresserait de lire tes écrits sur eux. Ils sont tout beaux, sur les photos, on ne voit absolument pas qu'ils sont malades. Si tu dis que les frères et soeurs d'Aldo n'ont pas eu la même chance que lui, c'est sans doute que tu fais ce qu'il faut pour le maintenir en forme, et que c'est donc possible. Bravo pour ton courage et merci de nous livrer ton expérience.
  7. Je les attends avec impatience, les nouvelles, Marie. Mais qu'il soit allé chez le véto est déjà une bonne initiative rassurante. On se sent tout léger après une visite chez le véto (enfin, moi ça me fait ça)
  8. Hello Dam ! Merci pour ces nouvelles. Je reprends un peu espoir. Bisous à Zoé
  9. Je le pense aussi Poulette Il manque effectivement la partie «biseautée» du bout...... Donc Marie fait bien de consulter un véto, au cas où. Mais je ne suis pas sûre que cette partie «biseautée» soit systématique... Enfin, pour s'en assurer, pour s'assurer qu'il ne reste pas un petit bout inclus possiblement responsable d'hémorragie secondaire ou d'abcès, le mieux, comme Marie l'a prévu, est de consulter un véto. Bravo Marie !!! :bravo: :bravo: Il faut parfois se déplacer en cas de doute (et banquer).....
  10. kti

    Le Soleil Rose (Extrait) par Kti

    Certains soirs, nous sortions avec mes amis. Jamais Victoire ne présentait les siens. Frustrant mais elle s’en défendait : ils lui rappelaient trop l’Autre. L’époque révolue, elle ne voulait pas d’ombre sur sa nouvelle histoire. Un après-midi pourtant, alors qu’elle venait d’arrêter ses gardes, elle m’ouvrit brutalement la porte de son studio. Fin prête et impeccable, son joli visage m’a paru étrangement crispé. Les fossettes avaient disparu, à la place un drôle de rictus. Les sourcils froncés, Vic s’agitait de droite à gauche à la recherche d’un objet qu’elle ne trouvait pas. Elle se sentait moche aujourd’hui et c’est vrai qu’elle avait mauvaise mine. Elle essaya un foulard rouge et le jeta rageusement par terre, en attrapa un blanc qui subit le même sort. Ses gestes avaient perdu toute grâce tant elle était nerveuse et même sa voix, d’habitude si chantante, hâchait les mots des phrases qu’elle ne finissait pas. «Tu voulais connaître mes amis ? m’a-t-elle lancé avec des intonations de mec, alors viens, je t'emmène…..». Avec ce beau soleil, j’aurais largement préféré l’initier aux senteurs des roses de Bagatelle, mais son air décidé n’acceptait aucune discussion et j’avoue de surcroît qu’il était enfin temps que j’entre dans son univers. Lorsque je voulus lui flatter la croupe, adorablement moulée dans son jean’, elle s’esquiva et me jeta un regard noir. Sans comprendre, mais surtout sans rien dire, je la suivis dans l’ascenseur. Elle me menait place d’Italie, à l’opposé de son quartier. La demi-heure de route, Lola s’est tenue très droite, muette, les yeux rivés sur le pare-brise, les genoux serrés, le sac collé contre son ventre, telle une dame patronnesse assise en face de Dieu. Je l’observais du coin de l’oeil sans la reconnaître. Arrivés à l’adresse indiquée, une HLM minable, elle me traîna dans un dédale de couloirs pour aboutir devant une porte crasseuse. Une étrange odeur s’exhalait des murs, mélange de graillon et de cette substance que je l’avais déjà vue fumer et qu’on appelle marijuana. Bien sûr, je connaissais, vaguement. Comme tout jeune homme de ma génération, j’avais quelquefois tiré sur un joint, sans y trouver d’ailleurs le moindre intérêt et elle-même me passait son pétard quand d’aventure, devant le film du soir, Vic en allumait un. Pour ne pas la blesser, j’aspirais une taffe et lui rendais aussitôt l’engin. Malgré la magie de notre relation, le résultat sur moi restait le même, c’est-à-dire nul. Mais j’avais remarqué qu’elle s’alanguissait sous l’effet du toxique, son corps que j’aimais musclé et vif devenait paresseux et docile, elle se mettait à ronronner comme une chatte affectueuse et semblait ressentir puissance dix le moindre de mes attouchements. Le plus souvent, j’avoue, Victoire me faisait l’amour, elle prenait les initiatives, c’est pourquoi je savourais avec un infini plaisir ces rares instants privilégiés où elle me laissait la conduire. La porte s’ouvrit sur un grand black qui ne me dit même pas bonjour. Putain, la claque ! : ils étaient une quinzaine, vautrés dans moins de dix mètre-carrés, que dis-je vautrés, empilés les uns sur les autres, blancs comme noirs, sur des matelas pourris. Ca puait pas possible, le joint, la sueur, le foutre et la naphtaline ... Mon papillon dans le guetto !!! Ils planaient les uns sur les autres mais se connaissaient-ils seulement ? L’odeur perçue de l’extérieur me prenait à la gorge. Des volutes de fumée bleue assombrissaient la pièce faiblement éclairée au néon. Ma princesse se sentait déjà mieux. Elle venait d’appliquer deux gros baisers sonores sur les joues du molosse de l’entrée, le maître de céans, probablement, et pour la première fois depuis l’heure de notre rendez-vous, je la vis sourire. Sans me présenter —J’appris plus tard que ça ne se faisait pas— Vic tira sur le joint qui tournait puis m’abandonna pour foncer dans le réduit qui faisait office de cuisine. Je n’osai pas la suivre et m’assis, parmi les autres, essayant de cacher ma stupeur sous une mine de circonstance, c’est-à-dire défaite. Aussi eus-je droit au joint et faillis me trahir en toussant tant il était corsé. Quelques minutes plus tard, Vic réapparaissait. Ma Vic. Elle avait remis son regard pétillant et ses fossettes et sautillait, gracieuse . «Tu viens ?» me dit-elle en m’entraînant vers la porte, non sans avoir une fois de plus embrassé de toute sa bouche (très près des lèvres) les joues du molosse de l’entrée. A l’air libre, je respirai un grand coup. Ouf ! Quelle expédition !!! Mon cerveau éclatait sous les interrogations : Qui étaient ces types ?... Où les avait-elle rencontrés ?... Depuis quand les connaissait-elle ? Venait-elle souvent ici, avant moi, avec son fiancé ? Et depuis-moi, y était-elle revenue ? Skander faisait-il partie de la troupe ? Etait-ce ce grand black, qu’elle avait embrassé quatre fois, presque sur la bouche ?... Lola marchait devant moi sur le boulevard Vincent Auriol, dansait quasi. En filigrane, tandis que son cul se balançait sous mes yeux, défilaient de gros titres : « Assassinat en plein Paris, il n’a pas supporté l’idée de la perdre, il a choppé trente ans, dont trois avec sursis... Tout petit déjà, il crevait les tympans des libellules...» J’aurais bien tué Victoire, ce soir-là. Je l’aurais attrapée par derrière, mes bras n’auraient fait qu’un tour de sa taille, je lui aurais sucé les lèvres une dernière fois avant de la précipiter dans la Seine. Ou j’aurais subrepticement remplacé ma bite par un canon de silencieux, elle n’y aurait vu que du feu, partie comme elle était et j’aurais tranquillement déchargé dans sa bouche, sa cervelle de salope aurait éclaté sur le macadam... Je deviens vulgaire, pardon. C’est la faute à Victoire. C’est Satan cette fille-là. Elle marchait devant moi, dansait presque, et je voyais rouler ses hanches. J’avais envie de la baiser terrible mais je voulais parler avant, l’interroger. Le mètre de distance qu’elle mettait entre nous, je me devais de le respecter. Peut-être ne m’aurait-elle pas répondu. Assis à côté d’elle sur le chemin du retour, je restais silencieux, cherchant mes mots, je me creusais pour l’interrompre. Il me fallait une phrase béton, une entrée en matière démente. Obélix me revenait : «Es-tu tombée là-dedans petite ?» Mais Dolto me réprimandait : avec les jeunes enfants, il faut parler sincère : «Vic, Vic, je t’aime. Rassure-toi, je suis là. Rassure-toi ma Victoire, ce sont tous des pourris mais moi je t’aime quand même...» Vic avait retrouvé sa verve. Elle babillait, riait, à en postillonner sur mon pare-brise : «Tu aurais vu ta tête !... Tu étais si drôle !!! Bon, on est allés chez un dealer, DEALER, tu as déjà entendu parler ??? ... Qu’est-ce-qu’il fait beau ! Si tu m’emmenais dans l’Ile de la Jatte, j’ai vu qu’il y avait un petit restau avec une foire à la brocante, ça te dit pas ?... Allez... Remets-toi, t’es tout blanc !... C’est toujours ici que je vais quand je n’ai plus de tush. Tush, ça veut dire sheet, ou hasch, comme tu veux... Ils ont l’air comme ça, un peu fiers, un peu distants, mais ils sont très gentils, très pacifiques, surtout Badou, tu vois qui c’est ?... Le grand black avec une couette. Et encore, là, c’est du luxe comme piaule ; des fois, ils n’ont même pas de vrais murs, pas d’électricité. Ca s’appelle des squatts... C’est ton premier squatt ou je rêve ?... Et tu connais Paris depuis quand ???» Depuis ma naissance, j’ai envie de répondre (mais j’ai peur d’aboyer)... Et je vis très bien sans squatts, merci. Victoire n’a pas besoin de réponse, elle continue toute seule et je pourrais sortir de la voiture qu’elle ne s’en rendrait pas même compte : «Les squatts, c’est le coeur de Paris... Tu sais, cette capitale est maintenant pleine de vieux, au centre surtout... Mais par bonheur, il existe encore des endroits où les jeunes se regroupent, se rencontrent, dansent et fument et s’éclatent faute de refaire le monde... Les raves, c’est bien aussi... Je t’initierai si tu veux». Merci cocotte un autre jour, je pense en dedans, tout en évitant de justesse un taxi qui braque sous mon nez. Merci, j’ai eu mon compte ! Un autre jour, peut-être, mais là vois-tu, splendide trophée de ma dernière virée au Bus, j’ai besoin de digérer... Pacifiques, pacifiques.. Des mollusques ouais !... Le regard blanc des poissons morts, le corps avachi des poupées de son, presque pas un mot échangé, juste ce joint à partager... Et la béatitude ! Tu parles d’une béatitude ! De pauvres types complètement frappés, complètement partis, des âmes anesthésiées dans des corps bons à rien... Heureusement que ma poupée ne consommait pas tant ! L’imaginer un seul instant dans ce même état de léthargie me glaçait le sang. Mais depuis que je la fréquentais, quasiment tous les jours, jamais Victoire ne s’était laissée aller ainsi devant moi, sauf peut-être tard la nuit, entre la fin du cinéma de minuit et sa douche prénuptiale. Quelque chose m’échappait : si j’arrivais à me convaincre qu’elle n’avait rien à voir avec ces toxicos —son regard pétillait trop— cette rapide expédition l’avait brutalement transformée : à cran avant, charmante après, avait-elle à ce point besoin de se ressourcer auprès de ses amis les plus intimes ? Pourtant, à part Badou et deux ou trois autres clampins, j’aurais juré qu’elle ne connaissait pas les occupants de ce taudis. Je la collais trop ? Notre amour, mon amour, lui pesait-il ?... Cet impérieux besoin de courir dans le treizième me taraudait l’esprit. La faute à son ex sans nulle doute. Elle aurait rejoint là-bas quelqu’un qui lui aurait parlé de lui ?... Et c’était pour me préserver qu’elle avait préféré s’isoler dans la cuisine avec le grand black ??? Confidences dont j’étais exclu. Le prétexte du sheet ne légitimait pas chez Vic un tel changement d’humeur. Plus j’y pensais et plus je flairais l’autre type là-dessous. A force de me suggestionner, je devenais bel et bien jaloux. Jaloux à mort. Tandis que je ruminais en traversant Paris, Victoire monologuait, commentant tout ce qu’elle voyait. Elle avait poussé la musique à fond, enlevé ses sandales et posé ses pieds nus sur le tableau de bord. J’aime les orteils de Vic qui ressemblent à des coquillages, son petit dernier surtout me tire parfois les larmes. Ainsi, les genoux pliés, les jambes un peu ouvertes, elle était provocante à souhait et le savait. S’amusait à des poses dont elle avait le secret et rigolait de la réactions des conducteurs que nous croisions. Je ne suis qu’un homme, c’était torride. Son babillage charmant et le pervers mouvement de ses cuisses parvinrent à dissiper (momentanément) mes inquiétudes. Une vague de désir m’envahit, tornade insurmontable. Je garai l’Audi sous un porche. Visiblement, Victoire n’attendait que ça. Dès mes premières caresses, s’envolait bruyamment, haletante d’emblée sous mes premiers baisers : «Prends-moi, prends-moi, prends-moi !». Malgré l’exiguité des lieux et de son jean’, je parvins non sans mal à la déshabiller. A l’humidité localisée de son slip, heureusement choisi en dentelle blanche un peu flottante, je compris qu’elle s’était démarré son ciné érotique avant moi. Bon Dieu qu’elle était bonne, le tee-shirt retroussé jusque sous les bras, le jean’ descendu à mi-cuisses, son cul rebondi à peine relié au fauteuil de cuir, en équilibre grâce aux jambes relevées qu’elle avait coincé contre le pare-brise. Equilibre instable qui ne lui permettait plus le moindre mouvement. Ainsi offerte, dégoulinante, la tête rejetée en arrière, les reins cambrés, le torse bombé duquel pointaient les fleurs brunes de ses seins, je lui aurais tout pardonné. Inutile de la tuer, elle pouvait encore largement servir. — J’ai faim ! dit-elle en se reboutonnant. Ca tombait bien, je connaissais un bon Chinois dans le quartier. Les joues en feu, les lèvres brûlées de baisers, trempés de sueur et anéantis, nous entrâmes, titubants mais vainqueurs, dans cet enclos dépaysant, soieries chatoyantes sur les murs, tables dressées au millimètre, justement espacées, diligence d’un serveur col mao, anonyme quidam qui prend notre commande avec servilité. Il se plie, j’en ai honte, comme si le sol carrelé était couvert de pièces d’or. Je pense à sa ceinture Gibaud tandis que Vic choisit l’exceptionnel, le shing-sang en entrée, le ma-jin’ pour suivre, riz cantonnais bien sûr, l’ailette de dauphin blanc parfumée aux airelles... Elle s’essaie aux baguettes et les plats s’accumulent, elle picore et se sert de sa langue pour essuyer ses doigts, boit le saké cul sec. La nuit se présente bien, je la sens amoureuse, elle me travaille les chevilles sous la table, je sens les coquillages me lustrer les chaussures. Je me rassure. J’allais enfin me détendre sur le chemin du retour lorsqu’elle me crie soudain : — Gare-toi, gare-toi, je t’en supplie ! Habitué à ses frasques, je m’exécute. Ma chérie s’éjecte de l’Audi tel Batman de sa Batmobile, se planque derrière un arbre. Alarmé, je la suis. A peine me voit-elle qu’elle hurle «V’a-t’en, retourne à la voiture, laisse moi, c’est fini...» Elle vomissait en jets brutaux, toussait et s’étouffait. Dix secondes plus tard, la voilà qui revenait, pâlotte mais tout sourire. — Ouf, je me sens mieux... On va chez toi ? Chez moi ? Tranquille et saine comme si elle me montrait la grande ourse. J’eus tout-à-coup eu peur de l’avoir encloquée.
  11. kti

    Le Soleil Rose (Extrait) par Kti

    Finalement, nous changeâmes nos plans. Plutôt que de passer, comme prévu, le 14 juillet à Fontainebleau chez ses parents, j’eus l’opportunité de lui proposer cinq jours de rêve dans un château du Périgord. J’appréhendais un peu, les parents de mon ami Marc nous ayant conviés, en plus de leurs relations, sous l’implicite condition de ne pas nous entendre. Je ne fréquentais Victoire que depuis trois semaines, je craignais le pire. Elle était vive et spontanée et sa perpétuelle bonne humeur, ses talents d’amoureuse et de conteuse, ses études de médecine et ses gardes d’infirmière, tout cela semblait trop beau. Comme une bombe à retardement attend le moment propice. Et son ex-mec, le-dit «fiancé», elle n’en parlait jamais. Pas plus que de ses «relations» qu’elle ne m’avaient pas encore présentées. Cette fille restait l’énigme, vachement offerte, vachement gentille, mais elle m’échappait par moment, distante et étrangère, son regard devenait cruel tout-à-coup, le phénomène était imprévisible. J’ajouterai que l’appel matinal du mal élevé me restait en travers de la gorge, Vic m’ayant rabroué d’un «T’occupe-pas» définitif quand j’avais osé m’informer. Pourtant, dès le premier jour, Victoire fut dans son élément : elle séduisit le châtelain sitôt les présentations faites et c’est là où tient l’art, sans offusquer ni la châtelaine ni moi. Au bord de la piscine, elle osa le string topless, malgré mes mises en garde, et aucune des autres femmes ni aucun des autres hommes ne parurent y attacher d’importance. Victoire était si naturelle, le moindre de ses gestes respirait tellement la jeunesse, la joie de vivre et l’innocence qu’elle fut admise d’emblée, dans ce cercle pourtant très fermé des «enfants de la pub». Reconnaissant, je la baisais jusqu’à l’aube, multipliais les effets de style sur le plongeoir, palabrais de plus en plus tranquille, à mixer des cocktails-maison pour tous et lui badigeonner la crème sur la cambrure des reins. Un détail cependant me perturbait durant le séjour, sans que pourtant je n’ose lui en parler : ses multiples prétextes pour sortir de table. Une tâche à laver d’urgence sur sa manche, un pipi —peut-être— mais combien de pipis faisait-elle par jour ? Et pourquoi justement pendant les repas ?... J’avais déjà remarqué, entre Neuilly et Courbevoie, cette bizarre manie qu’elle avait de me laisser en plan, la fin de ma phrase en suspens, pour s’enfermer dans les toilettes ou la salle de bains. Toujours elle faisait couler l’eau, et revenait, fraîche et pimpante, aussi vite qu’elle était partie, pour me rassurer d’un baiser. Je n’osais pas la questionner. J’imaginais un problème de vessie capricieuse, étonnant chez une fille de cet âge, mais bon, elle ne s’expliquait pas et je n’aurais pour rien au monde voulu l’embarrasser. Nous nous fréquentions depuis 27 jours lorsque j’appris qu’Alexandra s’appelait en fait Skander, celui-là même du téléphone. Elle dût m’avouer que oui, c’était un mec et pas une fille, qu’elle couchait avec lui avant de me rencontrer mais qu’elle avait rompu. J’aurais pas dû, je l’ai bousculée. L’appel du 18 juin me restait en travers de la gorge et je suis souvent revenu dessus. Suffisamment pour qu’elle me crache ce que je ne voulais pas entendre. C’était fini, d’accord, mais son aveu m’a laminé. Imaginer que le soir de notre rencontre s’était terminé entre ses bras à lui me laissait un sale arrière-goût à l’âme. Comme un benêt, je l’avais conduite jusqu’à son lit, j’avais préparé leur festin, et j’étais reparti guilleret, si fier de mon baiser volé !... Cette nuit-là, je ne lui fis pas l’amour. Puis la vie continua et notre histoire aussi. Dès 17 h 30, je sonnais à sa porte, piaffant d’impatience, écartelé sur le gril, comme un frais nominé un soir de César. Moqueuse, elle me faisait régulièrement remarquer que j’avais une demi-heure d’avance et tandis qu’elle se préparait, moi je la mattais. J’adorais la surprendre au réveil, ses longs cheveux en broussaille, le visage chiffonné de ces fausses nuits qu’elle passait à contre-temps. Sans maquillage, dans son tee-shirt Petit Bateau et culotte assortie, elle m’inspirait les pires fantasmes. Tout en savourant mes avances, Victoire se récriait : «Arrête ! je suis crado... Laisse-moi au moins me brosser les dents !» Mais moi, précisément, j’adorais ça, le parfum de sa peau si douce qu’une nuit de travail, suivie d’une sieste sous les toits, avait rendu plus lourd. Son animalité me montait aux narines et m’énivrait au point que je n’avais qu’une envie : la prendre. Hélas, elle m’arrêtait, elle avait faim, légère, elle sautait d’un bond dans la salle de bain. En dix minutes, elle était prête. Le plus souvent, elle tressait ses cheveux ou les roulait en un souple chignon qui tombait sur sa nuque. Qu’elle avait l’air sage quand ses crayons et tubes de couleurs ne l’avaient pas encore métamorphosée en femme fatale aux yeux de chat ! Elle trottinait sur ses talons aiguilles, passait et repassait devant moi, pour ajouter un petit quelque chose, un ruban, un collier, puis, lorsque le reflet de son miroir lui donnait entière satisfaction, elle me lançait : «On y va» ? et nous partions. Toute la journée, je me creusais la cervelle pour lui trouver un bistrot original, encore plus gai que celui de la veille. Victoire était toujours contente. J’avais l’impression d’être le premier, que jamais, au grand jamais, elle n’avait profité de tant de sollicitude, et quand nous franchissions le seuil du Banana Café ou du Bar des Artistes, elle était tellement belle, une véritable star sur ses talons aiguilles, moi qui suivait derrière en toute humilité, j’avais le sentiment de vivre, enfin. Me revenaient certains détails de notre dernière étreinte. La gaule me tombait dessus comme ça, j’étais trop fier, trop beau, j’avais trop de chance. L’amour est un poison qui tue doucement. L’amour est un alcool dont il ne faut pas abuser. Je me demandais pourquoi son ex ne l’avait pas gardée. Je me demandais ce que foutait son ex dans mes pensées.
  12. Faut le faire (la dilution et les gouttes per os), environ quatre fois par jour. Donc ce soir 22 h Puis de nouveau, à la seringue vers une heure du mat Déjà, ça va la nettoyer, ta Zoé, la déboucher. Ensuite, recommencer demain dès six heures : quelques gouttes à la seringue, diluées Puis à 12 h 17 h 20h Et là on verra bien traitement de huit jours (Augmentin bébé dilué à la seringue, toutes les quatres à cinq heures)
  13. Ou alors, tu tentes le tout pour le tout : Tu descends à la pharmacie et là, t'achètes de l'Augmentin bébé (en poudre) Tu le dilues (tu dis que j'envoie l'ordonnance demain : Dr Catherine Jean, Paris) et tu le donnes à ta Zoé immédiatement, genre quelques gouttes diluées selon le protocole du papier dans la boite. Allez Fonce !
  14. Oh mon Dieu, je chiale !!!!!!!! Prends là bien dans tes mains et soit la plus gentille, la plus présente possible. Je pense qu'elle est en train de clamser. Pour un pb de respiration, pas de foie Bordel de crote !!! Ils ne l'ont pas soignée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le foie, j'y crois pas un seul instant Elle est victime d'une infection des voies respiratoires que ton véto n'a pas considéré à temps. Là je lâche, j'arrive trop tard. De tout coeur avec toi
  15. Hello à toi, hello Zoé Je suis inquiète, j'avoue...... Les yeux fermés....... Ben c'est pas bon. Que faire ??? Je ne sais plus que te dire. Je ne sais Je crois que c'est foutu mais j'ose pas te le dire il faut penser à l'avenir, éviter ce gachis la prochaine fois. Les graisses, j'y crois pas trop. Tous les gris bouffent des cacahuettes ! Non, y'avait autre chose chez ta Zoé,
  16. kti

    Le Soleil Rose (Extrait) par Kti

    A l'hôpital, Victoire ne travaillait que cinq nuit sur sept. Elle eût bientôt de nouveau ses deux jours de repos. Week-end en mi-semaine, il n’était évidemment pas question qu’elle le passe sans moi. D’autant que j’avais minutieusement organisé le périple de notre première vraie journée ensemble : grasse matinée chez elle, brunch dans un p’tit bistrot des bords de Seine, Delaunay à l’Orangerie, goûter chez Angelina rue de Rivoli, (je la voyais déjà saliver devant leur spécialité, le Mont-Blanc, mélange doux râpeux de crème fraîche et de crème de marron), peut-être les bouquinistes, puisque nous y étions et que je cherchais depuis plusieurs semaines l’édition originale de la «Princesse de Clèves». Je collectionne les livres anciens, c’est une marotte comme une autre, même si mon copain Marc n’arrête pas de me charrier : «Les filles aussi, tu les préfères d’époque ? l’odeur de moisi t’inspirerait-elle ???». Je ne réponds pas —Marc est taxidermiste et ce serait trop facile.... et pour finir (avant de conclure), dîner en amoureux : fallait absolument que je lui fasse connaître le Passific Palissade, un bar américain des Halles... Nous en sommes resté au petit un : grasse matinée pendant deux jours, week-end au lit. Vic oh ma Vic !... J’ai gardé une culotte de toi mais elle ne sent plus rien. Pourquoi existe-t-il des filles comme toi, amoureuses, bonnes et talentueuses ? Pourquoi ces talents-là semblent incompatibles avec la vie ? Ce premier week-end de liberté, nous n’avons pas quitté le studio et j’ai voyagé au-delà des mers, tu racontais de belles histoires, tu sortais d’un marasme que tu appelais la guerre, tu décrivais le souk, la famine et la boue, les mouches qui boivent jusqu’à l’eau des larmes des enfants... Un petit s’était éteint entre tes bras, malgré les soins dont tu l’entourais jour et nuit et tu disais, jamais, jamais plus ça. Médecin du monde t’avait rapatriée dare dare. Il s’appelait Jud, deux ans. Je croyais en moi. J’ai misé dur de dur sur l’innocence d’un vrai premier amour. Ormis Popaul, je disposais de peu d’armes, en tous cas pas de Kalaschnikoff, mais à mesure que le temps passait, que ma relation avec Victoire devenait plus évidente, je la sentais revivre. Ses yeux ne s’embuaient plus pour un oui, pour un non. Ce regard qui m’avait tant séduit, mais effrayé aussi, la nuit de notre première rencontre, elle s’en servait de moins en moins. Nous faisions l’amour comme des bêtes. Sur le trajet vers l’hôpital, dans mon Audi, j’étais parfois obligé de m’arrêter. Sa cuisse grimpait le long de la mienne, celle du changement de vitesse, sa chatte bavait sur mon Lévi’s. Je trouvais un bateau, m’y posais, et la conscience tranquille, Vic repartait dans ses délires. Léchait, salivait et buvait, comme si elle avait manqué jusqu’alors. Elle voulait tout immédiatement, ma queue au fin fond de sa gorge, ma queue entre ses seins, le sperme sur son visage, elle s’en badigeonnait, chaque explosion prenait allure de feux d’artifice. Encore, encore, bravo !... Applaudissait-elle avec l’enthousiasme d’une gamine sous un jet d’eau. Elle disait : «C’est la vie, c’est la VIE... TU M’ENTENDS....» Elle disait préférer coller de foutre plutôt que coller de sang. Béat que j’étais, pour moi, la partie était toute gagnée. Pour preuve, j’ai très vite présenté Victoire à ma mère, un dimanche convenable, et comme je m’y attendais, ma mère l’a acceptée d’emblée. Ma mère est une femme d’exception. D’abord, elle est restée très belle, malgré ses 50 ans, surtout, elle m’aime sans condition, enfin, elle sent les gens de très loin. Ma mère n’a pas souffert pourtant. Mariée, maman, divorcée puis remariée, on dirait que la vie lui glisse sur les épaules comme la pluie sur les plumes d’un canard. Elle ne trimballe pas de rancœur, c’est une espèce de philosophe qui ne cesse de m’épater. En très bons termes avec papa, je ne l’ai jamais vue se fâcher avec Charles, mon beau-père. Elle sourit du matin au soir, de janvier à décembre, et sait même franchement rigoler aux endroits où d’autres pleureraient. Comme quand mon frère Arthur s’est entiché d’un travelo séropo, s’est fait avoir l’idiot... Ma mère a ri, d’un premier jet, puis s’est définitivement lâchée lorsque les examens sont revenus négatifs. Le dérapage !!! Mais ma mère a trouvé ça drôle, piquant, bien de notre temps. L’histoire est restée entre nous (mon père en aurait fait un infarctus). C’est vrai qu’elle s’est choisi des mecs à fric, qu’en passant de l’un à l’autre, elle n’a jamais manqué de rien. N’empêche, ma mère, elle est balaise. Je lui ai présenté Victoire le jour de la sainte Simone (le prénom de ma mère), bien attifée, en blanc chicos, sensible, timide, pas arrogante, y’a pire dans le genre belle-fille. Et ma mère s’est trouvé l’instinct, immédiatement, de ne pas creuser plus loin. Elle n’a pas posé de questions, n’a pas demandé à Victoire ce qu’elle faisait dans la vie, l’a étourdie d’une foultitude d’inepties : les plats préférés de son fiston, ses p’tites manies («il se curait le nez entre quatre et six ans, le fait-il encore ?»)... J’avais les jetons j’avoue, à en pisser dans le froc. Victoire n’est pas un travesti mais je craignais que le débat ne se soulève, sur la guerre ou l’amour, le mariage, les enfants, trop de sujets tabous... Une ombre dans ses yeux et je quittais la salle. Je bossais comme un fou, depuis bientôt deux semaines, pour la ressusciter, cette fille qui pleurait de tout son corps, mais sans verser une larme, qui n’était pas encore à moi, qui faisait comme si, mais. Quel bonheur que cette journée-là, la sainte-Simone chez ma mère ! Longtemps que je n’en avais pas croqué, du boudoir au champagne, de la pièce montée rutilante de crème... L’air de rien, Vic m’avait bien pincé, au point de me faire oublier ce royal train de vie qui était le mien, avant que nous nous rencontrions. Elle, c’était plutôt dans les rues de Barbès qu’elle se sentait le mieux, ou de la Goutte d’or. Les effluves de Safran, d’encens, de thé à la menthe, c’était une petite conne qui reniait ses origines... Un père haut fonctionnaire, une mère peintre, un frère inspecteur des impôts, l’autre ingénieur... N’empêche, c’est parmi la racaille qu’elle s’éclatait. Une nuit qu’elle ne travaillait pas, j’ai cru devenir fou. Quand je suis rentré d’une réunion d’anciens (d’anciens première année de droit), Victoire n’était pas sous mes draps. Ses fringues dans la penderie, j’aurais pu me coucher peinard, mais non, j’avais besoin d’elle et pas de ses petites culottes. Il était deux heures du matin, j’ai ratissé la ville. J’ai commencé par notre pote, l’Arabe d’en bas, (Victoire, malgré mes recommandations, parle à tout le monde) : «Oui, la petite jeune femme m’a acheté six canettes... Et un litre de Whisky...» — Pour aller où ? — Je ne sais pas Missié, pour aller... — POUR ALLER OU ? je crie — Pardon Missié, je ne sais pas, je ne sais pas... J’ai cent ans tout à coup. Mal au coeur, le tournis, mes potes avaient raison, trouve-toi une fille comme toi, «une fille comme moi » ?... j’suis quoi ?... — Une fille de ton milieu, avec de bons parents — Victoire, son père ambassadeur, sa mère épouse d’ambassadeur, on peut faire mieux les gars ?... Quand Vic a fini par rentrer, j’en étais déjà à ma huitième vodka. J’aurais pu lui faire la morale, cocu que j’étais sûrement, avec un de ses porte-jarretelles sur la tête. Mais j’ai pas eu le courage. Elle est tombée, raide net, sa robe tachée, son haleine parfumée aux fruits, m’a dit tout simplement «Dodo». Je l’ai conduite jusqu’au lit. Le lendemain midi, un appel m’a tiré de ma couche, Victoire ronflait encore. — Passe-moi la fille, j’ai entendu — La fille, elle dort et c’est pourquoi ? — T’occupe, connard, m’a répondu le mal élevé... et il a raccroché. Bon, j’étais bien maintenant. Au jus de rien, que faisait donc ma poupée quand j’avais le dos tourné ?... Fallait que j’appelle ma mère, sans aucun doute, mais ma mère m’aurait conseillé la prudence, elle est géniale mais tout de même… Je faisais quoi maintenant, nanti de ce petit lot si beau blotti au creux de notre lit... On a baisé. J’ai quand même attendu midi trente avant de la réveiller. Baiser, baiser, baiser... Elle me la prend c’est pas possible, comme si son truc et le mien, une fois emboîtés, devaient tout dévaster. J’ai jamais rien vu de pareil. Quand je me branche sur l’électricité de ses reins, je deviens Goldeneye dans toutes ses dimensions. Cette fille est une salope, une vraie de vraie avec les flingues, cette fille est une ordure, le cul, le con, les seins, la bouche, je passe d’une combinaison à l’autre, je dépasse le Stallone, le Schwartezeneger, le Gibson et le Willis... Je deviens tellement plus, quand elle me donne le droit de la chevaucher, bon Dieu, comme c’est puéril, je joue à quoi, je me demande pas, elle suce son pouce, elle suce ma queue, elle crie, elle aime, je lui rappelle son père, il chantait les chansons qu’elle me chante, elle pleure, sur la Clairefontaine, le Bon roi Dagobert et j’ai jamais vu ça, ces chansons-là sont celles d’un petit bébé. D’un petit bébé qui supplie pour la sodomie. Qui veut, qui attend de moi. Je n’ai rien demandé. Je m’execute. Elle m’offre son cul, elle a branché la vidéo. Je la filme à quatre pattes. Elle veut la voir grossir, grossir. Le voisin sonne à cause du bruit. Elle veut celle du voisin aussi. Il n’y a pas de solution. Je filme d’une main, de l’autre, je malaxe ses seins, j’encule dans la foulée... Ma chérie pleure et je crains de la meurtrir. Elle attrape la poupée de Jud. Pas de bras, pas de jambes, la poupée de Jud a juste un ventre, une tête et des yeux expressifs.
  17. kti

    LA NUIT DE LA HONTE par Kti

    Ne vous inquiétez pas, ma Victoire n'est pas morte !!! (Victoire est increvable). On la retrouve toute jeune dans le Soleil Rose (écrit avant) Puis, on suit sa vengeance (elle bute le père), dans «Le Loft» Elle devient mère une troisième fois, dans «l'Affaire MCJ» Puis elle part en vacances (Caroline en vacances) Et travaille en bureau (Harcellement, sexe, mobbing et licenciement) Puis elle rencontre l'amour de nouveau (Souris-moi) Ah ma Victoire ne chôme pas !!! lol! D'ailleurs, moi, elle me tue...... hihi Faut la suivre, cette bestiole ! Merci de me lire, merci à vous !!!
  18. kti

    Le Soleil Rose (Extrait) par Kti

    «Victoire dessine des meubles le jour, travaille la nuit au chevet d’enfants malades, vient de quitter son fiancé, vit dans le studio prêté par sa mère en attendant le sien, danse pour la première fois devant moi au Bus Palladium et rentre dormir chez sa copine Alexandra...» C’était bien assez pour que je lui roule une pelle dans la voiture, stationnée devant le 3 de la rue de Prony. Tout en réajustant sa robe et son minuscule string noir, Victoire m’a lancé du trottoir : «Appelle-moi demain !» Ce matin-là, je peine à trouver le sommeil. Je vaque de ma couette au frigidaire. J’ai faim, je me tranche du saucisson, j’ai soif, je sors la vodka du congélo et finis le fond de bitter, je me relève pour aller pisser. J’allume au retour les informations que je ne parviens pas à suivre. J’ai mal au ventre. Je bande dur. Je n’aurai jamais la patience d’attendre jusqu’à demain. Cette petite femelle me travaille trop. Ne t’inquiète pas Martin, elle a dit qu’elle te trouvait beau, et t’as vu comme elle frétillait sur le siège avant ?... Et puis demain, avec un peu de mauvaise foi, c’est déjà maintenant non ?... — Ah oui, c’est toi ? Comment tu vas ? — Très bien, je lui mens. Elle a la voix toute engourdie des réveils contrariés. Elle tousse gras et pourtant je ne l’ai pas vue fumer au Bus. Je me sens con comme un escargot qui voit venir de loin un car sur l’autoroute. J’aurais pas dû appeler si vite. Mais elle est libre ce soir et accepte que je l’invite à dîner. Le temps de rentrer chez elle, de régler deux ou trois trucs, de se préparer, et elle m’attend pour 21 heures 30, en bas de l’immeuble 24-26 rue Sainte-Foy, à Neuilly. Je ne suis donc pas invité à monter, mais tous les espoirs me restent permis. Victoire n’est pas une allumeuse. Quand je repense à ce soir-là et à ceux qui suivirent, je ne regrette rien. Je n’échangerais contre rien au monde la place que j’occupais alors, tranquille au volant de mon Audi, sur le bateau du parking, rasé de près, confiant, parfumé Equipage, heureux et fier comme David après le coup du lance-pierre. Je me dis qu’elle a tout délabré mon cœur, qu’en partant, elle a laissé un orphelin inconsolable, Popaul, qui fait triste figure, maintenant, recroquevillé au fond de mon caleçon. Mais si c’était à revivre, et même si on m’avait livré clef en main le mode d’emploi pour la séduire, l’aimer à la folie pour mieux la perdre, même si quelqu’un s’était donné la peine de me prévenir que j’allais souffrir autant, j’aurais attendu qu’elle débarque, tout sourire malgré ses vingt minutes de retard, sur le parking de la rue Sainte-Foy. Nous avons vite pris l’habitude du 18-23, puisqu’elle n’émergeait pas avant 18 heures et qu’elle devait pointer à l’hôpital à 23 heures. Je disposais donc de cinq heures montre en main pour lui prouver quotidiennement que j’étais bien celui qu’elle attendait. Je l’entraînais partout, dans tous les coins de Paris qui selon moi valaient le détour. Elle était toujours très enjouée, mignonne et pétillante, en blanc, en bleu, en jupe, en jean’. Elle avait l’art d’assortir le sac Vuitton à la ceinture Prisu, la mini-jupe putain à la grande chemise bobo, les créoles rouge fluo au tailleur chic. Elle m’épatait. Elle dévorait tout ce qui tombait dans son assiette, elle mangeait vite, très vite, comme si elle avait manqué jusqu’alors. Elle dévorait et je craquais devant son appétit d’ogresse. Elle restait fine pourtant, à la limite de la cachexie. J’exagère, Victoire était une belle petite femme, dodue là où il fallait avec des mollets ronds et des épaules ouatées et des fesses rebondies, mais son décolleté n’aurait pas mérité un gros plan dans Voici, et je pouvais compter ses côtes quand elle s’abandonnait, ses bras qui m’entouraient. Elle appréciait le vin, qu’elle dégustait avec modération. En général, nous ne finissions pas la bouteille mais j’étais déjà complètement ivre lorsque sur le trajet de l’hôpital, elle posait sa tête sur mon épaule ou me glissait un bisou dans le cou. Parfois, elle caressait Popaul tandis que je conduisais et c’était presque trop quand elle l’enfournait dans sa bouche. Une fois le portail de l’hôpital franchi, Victoire sautait de ma voiture et se réajustait sommairement : il fallait de toutes façons qu’elle se change, qu’elle enfile sa blouse blanche et se désinfecte les mains, avant de prendre en charge «ses p’tits enfants » gravement atteints. Victoire aussi était gravement atteinte. Aie aie aie, j’ai l’air con, j’ai rien vu... Rien vu, rien entendu, j’ai laissé venir la vermine lui bouffer ses petites fesses dodues. Quand je me suis pointé à la morgue, j’ai bandé comme un âne sur son corps blanc. Je me suis à peine opposé à la tragédie qui se nouait. Je l’ai aimée, c’est tout. Je me reproche aujourd’hui mon aveuglement de connard vaniteux et jaloux. Je me suis acharné à lui prouver que je l’aimais, j’ai sorti Popaul de mon caleçon d’un coup de baguette magique, j’ai fait ça bien, avec la poésie d’un David C. devant Claudia S. et dans ma tête ça suffisait.
  19. Salut à tous ! Je ne peux me permettre de vous poster tous mes livres... A mon grand regrêt, mais je ne peux scier la branche sur laquelle je suis assise. Alors juste ce petit bout de texte : l'introduction du «Soleil Rose» Je pense peu. Je ne cherche pas à me compliquer l’existence. Je suis un homme placide, naturellement paresseux et qui prend la vie comme elle vient. Je n’ai rien d’un séducteur. Le principe de la gonflette en salle dépasse mon entendement. La mode encourage les boys bands mais j’assume sans complexe le physique que je tiens de mon père : une charpente frisant les deux mètres, des épaules larges, pas le moindre soupçon de bide malgré le temps qui passe. Mon torse n’est ni triangulaire ni velu, je chausse du 43, transpire sous les aisselles, bégaie dans l’adversité et ronfle à l’occasion (il suffit de siffler, ça marche). Mais je porte bien le costume, mes amis m’invitent à leurs fêtes (je ne squatte pas le buffet et laisse les radiateurs aux copines court vêtues), Mathilde devient dithyrambique quand son troisième Bloody Marie l’autorise à délirer sur ma queue, et pour ma mère, avec ou sans Bloody Marie, je reste le plus fort et le plus beau. Je ne sais pourquoi je cite Mathilde, elle m’a largué tout récemment pour Serge, un flambeur mal rasé qui descend acheter ses clops en Kawa 1000. Peu exubérant par principe, je n’aurais pas osé rejoindre Marc et Jojo sur la piste de danse, mais vautré sur un pouf à deux pas du bar, je cuvais ce soir-là avec satisfaction : l’année universitaire achevée, je fêtais royalement mes 24 ans au Bus Palladium. J’étais jeune, fin pété, heureux et libre. «Tu m’offres un verre ?» Une petite femme m’apostrophait. Charmante, avec des fossettes autour du sourire, de grands yeux malicieux et un nez à piquer des gaufrettes. Jolie silhouette, la mini robe ne cachant rien du corps gracile et menu, petits seins ronds qui se tenaient tous seuls, longues jambes fines gainées de noir et montées sur talons aiguilles. En six secondes et malgré la pénombre, j’avais déjà tout enregistré : le chaloupé de sa démarche, la grâce de sa main droite qui revenait, souvent, balayer sa frange brune, la finesse des traits de son visage, à l’instant si joyeux, soudain si grave... L’ensemble méritait qu’on s’y attarde. J’avais hérité de l’œil sûr de mon ancêtre Nicéphore, l’inventeur de la photographie. De son prénom aussi, après Martin, bien entendu. Je m’appelle Martin Nicéphore Niepce, et j’allais bien merci, jusqu’à ce matin fumeux où la vie m’a offert Victoire. Elle a dit : «Je m’appelle Victoire et je vous trouve très beau» — Vous n’êtes pas mal non plus, j’ai répondu futé comme un ciseau. — Et votre nom c’est quoi ? — Martin et vous ? — Je vous l’ai déjà dit : Victoire. Voilà, la glace était brisée, «Champagne !» j’ai jeté au barman, je me suis redressé, le regard de Victoire, je l’ai compris tout de suite, n’en attendait pas moins. Ses yeux lançaient de drôles de signaux, brûlants comme des warning, j’en ai même flippé l’espace d’une demi seconde. Mais il y avait son cul, son adorable cul qu’on devinait magique sous la jupette. Il y avait sa bouche, dodue et enfantine, les fossettes de ses joues, et ses seins qui pointaient avec désinvolture. A Pigalle, au petit matin, une Lolita aux accents tristes me proposait avec un grand sourire : «Accepteriez-vous de jouer au chevalier servant pour le 14 juillet ? Je dois passer les fêtes à la campagne et j’ai perdu mon fiancé.» Et j’aurais dû m’en foutre, de cette midinette-là, j’aurais dû l’envoyer valser. Faire genre je suis pauvre et malade, leucémique en vague rémission... Prétexter un virus mortel et m’enfuir au galop, ou une chiasse impromptue et m’enfermer aux chiottes. Ses yeux disaient «JE VOUS AI ENFIN TROUVÉ», non, je n’ai pas rêvé, ses yeux en amande douce me criaient ça et j’ai craqué. Pourquoi ? Allez savoir… Il est vrai qu’en partant, Mathilde avait laissé sa marque dans mon quotidien d’étudiant en droit, ô combien surchargé : un trou qui ressemblait de l’extérieur à un grand cratère auvergnat. Mais si j’étais tombé dedans, c’était davantage par facilité, pour pouvoir glander tranquillement, sécher mes cours dans l’approbation générale, bref, j’en profitais grassement, de ce trou, même si la rupture, entre nous soit dit, ne m’avait pas plus affecté que ça. Plutôt débarrassé, je n’attendais rien : ni le retour de Mathilde, ni qu’on me console d’elle, ni rien. Je serais volontiers monté boire un dernier whisky dans le studio de Victoire. Elle m’avait allumé, la garce, avec ses mimiques et ses bas nylon. Elle était belle, sexy, bien balancée, elle fleurait bon le musc et le benjoin. Typiquement le genre de fille qu’on se fait dans l’insouciance, sans courir le risque de l’amour toujours, de la bague au doigt ou du frangin nerveux qui surgit de derrière les fagots quand le vent tourne. Typiquement le genre de fille mortelle qu’il ne faut suivre sous aucun prétexte. J’étais prêt à monter boire un dernier canon and co mais Elle avait d’autres projets. La bouche en cœur et la mini-robe à mi-fesses, Victoire m’a demandé, une fois cosy installée dans l’Audi 300 de mon père, de la déposer chez sa copine Alexandra, qui l’attendait rue de Prony pour y dormir. Depuis qu’elle vivait sans son fiancé (quinze jours exactement), elle partageait son temps entre l’hôpital Debré, son studio à Neuilly et le Dupleix d’Alex, rue de Prony. A l’hôpital, elle effectuait des gardes de pédiatrie cinq nuits sur sept. Son statut d’étudiante en quatrième année de médecine l’y autorisait et elle profitait des vacances universitaires pour amasser des sous. Sa mère l’avait provisoirement hébergée à Neuilly (un studio qui ne servait à personne) mais Victoire préférait squatter sa copine. Elle avait tout laissé chez l’ex, un deux pièces à Montmartre plein de ses meubles, de ses bouquins de médecine, de ses 300 disques vinyls, de ses fringues, c’était la débandade, le mec l’avait trahie, partir, trouver des tunes, bosser, pointer, et s’installer ailleurs, si possible seule. A l’entendre, l’affaire suivait son cours, elle attendait un HLM de la ville de Paris. Les deux copains qui l’avaient entraînée ce soir-là au Bus s’attristaient de la voir dépérir, l’avait sortie de ses tranchées : «oui tu souffres sans nul doute, mais la vie continue, oui tu l’aimes encore sans doute mais la vie est ainsi, on construit et on casse, on reconstruit, on recasse, y’a pas de malaise parce que c’est ainsi. Un jour tu construiras plus rien, tu pourras plus rien faire, t’auras même plus de larmes pour pleurer. Faut profiter tant que tu peux pleurer.» Ils se l’étaient sans doute passée de rocks en jerks, de raps en slows (et cette idée m’exaspérait), mais ils étaient rentrés bien avant elle, me la laissant, chaude comme le croissant de l’aube. Je ne pouvais pas leur en vouloir. J’avoue que j’avais du mal à imaginer Victoire en infirmière (à la rigueur, nue sous sa blouse). Mais puisqu’elle le disait, qu’elle travaillait la nuit dans le but de s’offrir la «maison idéale» : «Une bien à moi cette fois, avec de la moquette épaisse partout et la quadriphonie jusque dans les chiottes. Avec une chambre en pin et un lit en osier, pourtant j’aime l’idée des barreaux de cuivre à la tête du lit, c’est érotique, on peut s’y menotter, j’adorerais museler mon amant, me l’attacher au lit, le fouetter, le dominer, m’asseoir dessus… Ouais, mon futur mec, j’aimerais le prendre par tous les trous mais faut d’abord que je m’installe. Dessus les draps, je voudrais une peau de panthère, vachement doux la panthère, ouais c’est vrai qu’il faut bousiller des animaux, c’est pas éthique, mais le synthétique colle aux cheveux, tu vois, tu vois, je n’obtiendrai jamais ce que je voudrais… Mais déjà un dixième de mes rêves pourrait me contenter. Les menottes par exemple. Tu trouves pas ça géant, de baiser avec des menottes ?» Nous avons surtout parlé de mobilier, dans mon Audi 300, tandis que je conduisais Victoire chez Alexandra. J’aurais pu trouver sa conversation futile. Mais j’aime aussi les meubles (et j’avoue que ses digressions érotiques m’amusaient). Je consulte depuis peu, mais avec frénésie, les catalogues de VPC. Je cherche, certains week-ends, sur la Carte Michelin Grande Banlieue, l’embranchement de l’autoroute A4 qui me conduira chez IKEA. Je viens de m’installer avec mon frère dans un grand trois pièces de 100 mètres carrés qui surplombe le pont de Courbevoie. Les voitures passent sous nous en permanence. Ca vrombit, ça klaxonne, ça embouchonne. Ca pue l’essence mais je me sens bien dans cet appart. Le loyer n’est pas excessif. Dans le centre de Paris, pour le même prix, je tournais en rond dans une chambre de bonne. Ouais, j’ai bien joué. Au second étage de la rue Adolphe La-Lyre, on supporte le vrombissement et les pétarades des pots d’échappement. On bénéficie de la vue, suffit de s’imaginer qu’il ne s’agit pas de voitures mais d’un long filet de guimauve aux couleurs de notre enfance. Je suis resté très gentleman. J’ai déposé Victoire, sans insister, devant le 3 de la rue de Prony. Mais quand elle m’a tendue sa joue, son parfum de femelle en rut m’a bouleversé. Là, j’ai tenté un rapprochement buccal et Victoire y a répondu. Une pelle d’enfer comme on m’avait jamais roulé. Y’avait la bave, sa salive de salope parfumée à la fraise, y’avait son souffle, un souffle court et gémissant, y’avait son corps qui suivait le mouvement de sa bouche. Elle se frottait le cul sur le cuir du siège avant de l’Audi. Elle se frottait au point que quand je l’ai laissée, une trace de son foutre perdurait. L’humidité, son humidité désireuse restait gravée sur le cuir. Cette femme, cette minette, cette chienne, cette folle, ben j’allais l’adorer.
  20. Tiens c'est curieux Christelle !!! Tes epp peuvent être plus chères que tes eam ???
  21. Alors, pour te rassurer, en attendant : L'oiseau qui mue perd des plumes à l'embout sec (y'a plus de sang dedans). C'est pourquoi elles tombent et qu'on ne peut effectuer de prélèvement dessus. En cas de blessure accidentelle, une plume peut s'arracher alors qu'elle est encore «vivante». L'important est que l'oiseau ne saigne plus, lui. Que l'intégralité de la plume soit tombée, ce qu'il semble être le cas sur tes photos. Si Simba ne saigne pas, tu as raison de le montrer à un véto pour qu'il vérifie qu'il n'y ait pas un bout de plume encore coincé. Mais s'il ne saigne pas... Il tiendra bien jusqu'à demain, ton p'tit chéri. (A-t-il mal quand tu le touches à cet endroit ???)
  22. kti

    La Pépita de Kti

    Oui Poulette... Je suis de plus en plus convaincue d'avoir deux mâles, en fait Car outre le fait de chanter (Pépita copie calypso et Calypso copie Pépita), Pépita tape du bec aussi ! Ce serait donc un Pépito, ce qui ne me dérange absolument pas, du moment qu'ils s'entendent, ce qui est le cas. Leur seule différence : Calypso est plus gras que Pépita, beaucoup plus fine, mais ils n'ont pas le même âge non plus. Pour le masque, je ne sais s'il a de la valeur, car ce sont plutôt des «tâches de rousseur» jaunes. Et Pépita est issue d'un père gris et d'une mère cinnamon, elle n'est donc pas purement grise... On verra bien, s'ils se montent dessus ou pas, quand elle en aura l'âge.
  23. kti

    LA NUIT DE LA HONTE par Kti

    Et si Carlla, pour celui-ci, c'est fini. J'ai remis le prologue en épilogue (deux fois à cause du beug lol)... Parce que le bouquin commence par la fin et qu'ensuite, ce sont des flash-backs (quand l'héroïne est éclatée par terre, le cou cassé, et qu'elle voit sa vie défiler). Sur ce sujet (la violence conjugale, le mariage mixte, le racisme), je n'avais rien d'autre à dire. Je suis désolée de te décevoir si tu en voulais davantage (c'est un beau compliment)... Mais j'ai écrit plein d'autres titres !!!! Bisous
  24. kti

    LA NUIT DE LA HONTE par Kti

    FIN (3000 messages !!!, c'est le trois millième !!!!)
  25. kti

    LA NUIT DE LA HONTE par Kti

    Pardon, y'a eu un beug !!!! hihi C'est pas drôle Ca loupe mon effet de fin, mais bon........ Y'a-t-il un Vini sur le forum pour retirer le trop plein ???? VINI !!!!! Ce texte devient incompréhensible !!!!!!! VIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNIIIIIIIIIIIIII
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