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Snake House11

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Tout ce qui a été posté par Snake House11

  1. La curiosité est loin d'être un vilain défaut elodiet... c'est plutôt une qualité dans notre passion. Lorsque je dis qu'il ne faut pas de boite étanche de type "tupperware" c'est tout simplement parce-que l'oeuf va consommer trois éléments pour se développer: - De l'humidité (hygrométrie à 100%), - De la chaleur (31/32°C pour la pluspart des espèces tropicale), - Mais également de l'oxygène. Donc une boite plastique de taille adapté à la ponte (les oeufs ne doivent pas toucher les parois)... la grille peut être directement posé sur le substrat, certains fonctionnent de la sorte et ont de très bons résultat... perso je préfère surélever pour une meilleur circulation d'air. Pour surélever, tu fais ton mélange eau/vermiculite, tu places tes quatre plots plastique (perso j'utilise les cup soja car la taille est parfaite pour mes boites) et tu poses ta grille dessus. Avec 3cm de vermiculite j'ai un peu plus d'un cm d'air entre ma grille et mon substrat. Il est préférable que la grille soit de même dimension que la surface dans la boite, pour ne pas qu'elle glisse sur ses supports. Le plus difficile a trouver dans tout ça c'est la grille. J'ai commandé la mienne (1000mm/500mm) sur internet et elle m'a coûté un bras. La grille optique d'aquariophilie c'est vraiment pas donné et c'est pas facile a trouver. Mais à l'arrivé ça coûte tout de même moins cher que les boites Sim.
  2. La bio-mécanique c'est toujours plus simple avec un bon schéma Le principe de la balançoire est souvent la meilleur façon d'expliquer ce principe. A poids égal, c'est celui qui a le coté le plus long qui aura les fesses par-terre.
  3. En faite il y a un double avantage a cette méthode: 1- Elle permet une absorption d'Oxygène et d'humidité (lorsque l'hygro est proche de 100%) sur toute la surface de l'oeuf. Sauf dans le cas de grappe... et encore, même dans ce cas là, les oeufs du dessous ne seront pas asphyxié entre les oeufs du dessus et le substrat du dessous. 2- Elle pardonne une erreur de dosage dans le mélange vermiculite/eau... même avec une vermiculite saturé en eau, les oeufs n'en souffriront pas. Ce genre de boite est très facile à faire... Il faut simplement une boite plastique avec couvercle (pas de tupperware, la boite ne doit pas être parfaitement étanche... ), une grille rigide en plastique (type "grille optique aquariophile"), de la vermiculite a laquelle on ajoute son poids en eau, quatre petits pieds pour surélever la grille (perso j'utilise des petites cup plastique qui servent à la sauce sojà à emporter dans les resto Japonais). - Placez le tout dans l'incubateur à 32°C avec un hygromètre sur la grille, après quelques heures vous devriez avoir 100% d'hygro (sur certains hygromètres digitale cela se traduit par deux traits comme ceci --) - Plus qu'a attendre la ponte... certains (comme moi) aiment peser la ponte avant de la placer en incubation. Après avoir retiré la femelle de sa ponte, je fais une croix sur le dessus des oeufs afin de savoir où se trouve le haut de l'oeuf... Il est important que les oeufs ne soient pas retournés, c'est d'ailleurs pour cela que dame nature a ajouté ce phénomène de "collage" en grappe. - Placez délicatement la ponte sur la grille... - Avant de placer la ponte en incubation, je vérifie que tous les oeufs sont viable et qu'il n'y a pas de slug dans la grappe. Pour cela, je me place dans l'obscurité avec une petite lampe torche et je mire les oeufs... Un slug sera jaune sans aucune ramification vasculaire... alors qu'un oeuf viable aura cet aspect: - Il n'y a plus qu'à remettre le couvercle, replacer en incubateur la boite avec les oeufs, ouvrir le couvercle tous les deux jours durant quelques secondes pour renouveler l'air... retirer avec un sopalin la condensation qui va se former à l'interieur du couvercle durant la dernière semaine d'incubation... A se stade, il arrive que les oeufs se creusent... C'est tout à fait normal. En revanche, si les oeufs se creusent en début d'incubation, c'est qu'il a un manque d'hygrométrie. - Et au bout de deux mois c'est Noël ! - Lorsque les petites têtes commencent à sortir, je retire la grille, ajoute de la sphègne légèrement humide sur la vermiculite, et replace les oeufs tout doucement, comme ça les petits peuvent prendre leur temps pour absorber leur sac vitellin avant de sortir... et ils ne risquent pas de se coincer dans la grille. NB: Ceci est une des méthodes qui existe... elle fonctionne très bien pour nous, mais il en existe d'autres qui fonctionnent tout aussi bien.
  4. Le texte qui suit est extrait du dernier livre de David et Tracy Barker "Ball Pythons". Il traite d'Ophionyssus natricis, plus connut sous le nom d'acarien des serpents. Il me semble qu'il est important de bien connaître son ennemi afin de mieux pouvoir le combattre... La traduction n'est pas littérale. L'essentiel du texte à été gardé. " (Texte extrait de BALL PYTHONS, Barker) -Ophionyssus natricis est un ectoparasite aracnéen des ophidiens. Cet acarien se nourrit du sang des serpents. Il est un vecteur potentiel de transmission de maladies et peut-être difficile à éradiquer lorsqu'il s'introduit dans une collection de serpents en captivités. On ne connaît pas exactement leurs origine ni de quel espèces exactement ils sont les hôtes naturel, mais il est fort probable que Python regius fasse partie des serpents hébergeant cet acarien dans le milieu naturel. La pluspart des informations suivantes sur le mode de vie de cet acarien vient du travail de recherche de Camin( 1953). -Cet acarien a 5 stades de vie. L'oeuf/ la larve/ le Protonymph/ le Deutonymph/ et l'adulte. Il passe par trois mues pour arriver au stade adulte. Les conditions idéales pour passer d'un stade à l'autre est entre 23/29,5°C et entre 70 et 90% d'hygrométrie. La durée de vie dépend de ces conditions. A chaque stades de son évolution, il meurt si il est exposé à plus de 38°C et moins de 1°C sur une période de plusieurs jours. -Les acariens sont noyés lorsqu'ils sont mouillé( attention on ne peut pas les noyer si facilement, une bulle d'aire se formant naturellement autour d'eux au contacte de l'eau) et se dessèche lorsque l'humidité descend au dessous de 20%. Avec la température d'un terrarium, ils accomplissent leurs cycle de développement entre 13 et 19 jours. A des températures plus basses, certains individus peuvent vivre plus de 40 jours. -Les femelles pondent une ou deux douzaines d'oeufs en une fois et peuvent pondre jusqu'à 60 à 80 oeufs en une vie. Les oeufs adhèrent à la surface où ils sont pondus et sont rarement déposé sur le serpent où les adultes se nourrissent. Ils sont souvent déposés dans le terrarium, parfois en hauteur. Lorsqu'elle à la choix, la femelle préfère déposer ses oeufs dans un endroit sombre et humide. Sur certains gros serpents comme les Boas et certains Pythons, les oeufs peuvent être déposé autour des yeux et ou sous l'écaille cloacale. Les oeufs mettent 1 jour pour éclore dans de bonnes conditions, et prennent plus de 4 jours à des températures inférieures. -Certains éleveurs pensent que des oeufs pourraient rester viable durant une longue période. Ceci à été observé chez certaines espèces de Ticks mais les recherches de Camin sur Ophionyssus natricis n'ont fournis aucune preuves allant dans ce sens. -Le stade larvaire se termine en 1 ou 2 jours. Les larves sont blanc cassé, invisible à l'oeil nue, même sans avoir mangé sont capables de marcher mais se déplace de très peut par rapport au lieu de ponte. -Le stade Protonymph prend entre 3 jours et deux semaines. Les Protonymph sont mobiles et peuvent parcourir certaines distances. Ils sont capable de détecter l'odeur des serpents et sont attiré par celle-ci. Ils ont besoin de se nourrir de sang de serpent pour passer au stade suivant. Lorsqu'il ne sont pas encore nourrit, il sont de couleur ivoire au jaune et sont pratiquement invisible à l'oeil nue. Après s'être nourris ils sont rouge foncé et très actifs. C'est à ce moment qu'ils vont quitter le serpent pour muer à nouveau dans un endroit sombre et humide. Cela prendra entre 12 et 24 heures après le repas. Rem: il est courant de trouver des protonymph gorgés de sang flottant dans le bol d'eau, ce qui est souvant le premier signe visible de la présence d'acariens dans le terrarium. -Le stade Deutonymph est rouge foncé ou noir. Il ne se déplace pas avant de muer pour le prochain stade, et est rarement visible sur le serpent. à l'exception du pourtour des yeux sur les gros serpents. La mue à ce stade prend 24h pour donner un adulte. -Les mâles adultes sont plus petits que les femelles. De couleur jaunes-marron; rouge foncé; noir, cela dépend si ils sont gavé ou pas. Curieusement les mâle sur les gros serpents sont de couleur jaune-marron foncé alors que sur les petits serpents ils sont noir. Cela vient d'une modification de la bouche des mâles adultes pour l'accouplement, ce qui les empêche de pénétrer la peau en profondeur comme le font les protonymphs et les femelles adultes. Un nourrissage complet prend entre 1 et 2 jours, suite à quoi les mâles vont quitter le serpent pour chercher à s'accoupler. Puis ils reviennent se nourrir. Dans les meilleurs conditions, un adulte vit entre 10 et 32 jours. -Les femelles adultes sont grosses et noire. Facile à voir. Après la dernière mue elles pèsent .05 milligram, mais après gavage elles peuvent faire jusqu'à .75 milligram. Les femelles s'accouplent avec les mâles avant leur premier repas et donneront naissance à des femelles. Si elles ne rencontre pas de mâles mais le serpent en premier, elles mangeront et les mâles ne s'accoupleront pas avec elles. Elle donneront pourtant naissance mais à des mâles cette fois. Il faut 4 à 6 jours pour qu'une femelle soit gavé. Puis elle se retire pour chercher un endropit où pondre. Après une semaine elle aura perdue de sa taille et retournera sur le serpent pour se nourrir à nouveau. Elle se nourrira 3 à 4 fois dans une vie. -A 30°C, une femelle gravide qui cherche un endroit où pondre se déplace à 14,6m/h et peut chercher pendant plusieurs heures. Une femelle n'ayant pas mangé peut se déplacer à 16,7m/h. En dehors de leurs bref déplacements, ces acariens peuvent se déplacer loin de leur hôte d'origine en passant par les aérations et aller coloniser les serpent des terrariums voisins. -En général, Ophinyssus natricis n'infeste pas les espèces mammifère. Récemment, il a été découvert qu'occasionnellement ils peuvent parasiter les rongeurs et ou les humains, le temps de se nourrir une fois puis de partir. Les parasites extèrnes des rongeurs ne peuvent pas coloniser les serpents. En revanche, les rongeurs ayant été traité avec des produits anti-acariens sont extrêmement toxique pour les serpents. (Fin de l'extrait du texte: BALL PYTHONS, Barker)" Voilà... Les présentations sont maintenant faites. Certains de ces éléments peuvent vous apporter une meilleure compréhension de ce fléau qu'il ne faut surtout pas minimiser, vu le genre de chose que ce parasite peut transporter et répandre rapidement dans tout un élevage. Mais je vous rassure, il est parfaitement possible d'empêcher Ophionyssus natricis d'entrer chez vous. Par une quarantaine et quelques précautions supplémentaires... mais ça c'est une autre histoire, et qui dit autre histoire dit... autre post
  5. Pour du Boa constrictor ce sera effectivement bien différent. Tu imagine bien que si tu essayes d'attraper la queue d'un Boa pour qu'il se sente en sécurité, c'est l'inverse qui va se produire. Les Boa détestent qu'on leur touche la queue... J'ai reproduit du Boa constrictor imperator il y a quelques années, mais aujourd'hui je n'en maintien plus du tout. Donc difficile de faire le même type de post, en tout cas en ce qui concerne les photos... et ce genre de post n'est pas trop indigeste à lire grace aux photos. Mais si j'ai un ami qui a des petits de 2012 encore nerveux, je ferai le même type de post pour les petits Boa constrictor. Après, les serpents ont aussi leurs têtes... Le dernier Boa constrictor imperator à être partie de la maison était une sub-adulte salmon qui était une crême avec nous, mais qui a vite repris son caractère d'origine avec son nouveau proprio... bon, il semble qu'au dernières nouvelle elle soit a nouveau calme...p'tite dédicace à Fab Plus surprenant cette fois, j'ai eu le cas avec un regius né chez moi, cédé à un ami. Ce petit Piebald n'avait jamais posé le moindre problème. Un très bon mangeur, jamais mordu... Mais avec son nouveau proprio, c'était tout un sketch! C'était même drôle de voir un p'tit regius faire sa loie dans son nouveau foyer. Mais dès que je le reprenais en main, il redescendait en pression. Mais si mon pote passait a coté il essayait de l'attraper. Puis tout est rentré dans l'ordre après quelques semaines.
  6. Lorsqu'on passe au lapin en général, c'est que les rats sont devenu trop petit pour le gabarit du serpent... Hors, en nourrissant correctement cette espèce, il faudra de nombreuses années avant que le rat ne soit plus suffisant en terme de taille de proie. L'erreur a ne pas commettre avec cette espèce, c'est de chercher à donner une proie égale au diamètre du corps du serpent. La deuxième erreur, c'est de penser que le serpent est sous-alimenté parce-qu'on voit sa colone vertébrale ressortir... C'est un phénomène anatomique propre à l'espèce. Les épineuses sont très longues ce qui permet d'augmenter la puissance du mouvement. Plus le bras de levier est long et plus la puissance est importante.
  7. Au départ, ce n'était que pour avoir un incubateur de type "laboratoire de pointe"... mais au final ce système d'éclairage s'est avéré très utile comme alarme visuelle en cas de coupure d'alimentation électrique de l'incubateur pour X raison. La méthode sèche est effectivement la plus sure d'après mon expérience. Perso je préfère utiliser de la vermiculite humide en substrat, mais certains utilisent de perlite, ou tout simplement de l'eau distillé... La seule chose, c'est qu'avec ce système de grille, dès que les petits percent, je retire la grille, place de la sphègne très légèrement humide directement sur la vermiculite, puis je replace les oeuf dans la sphègne, referme la boite et la replace dans l'incubateur pour laisser les petits sortir a leur rythme... je fais cela car je ne veux pas qu'un petit se coince dans la grille plastique, tout simplement. -Philcelow, ce même type d'incubateur à l'horizontale fonctionnera tout aussi bien... la répartition homogène de la chaleur sera même certainement plus facile a obtenir. Il faut savoir qu'il y a plus grand comme incubateur... C'est le model où l'on peut marcher dedans. C'est une pièce chauffée de façon homogène à 31/32°C, et on y place les boites sur des étagères... ainsi il est possible de vérifier les oeufs sans qu'il n'y ait aucun choc thermique. Sachez tout de même que pour qu'une variation de température ait une impacte sur un oeuf, il faut qu'elle soit prolongé... ce n'est pas quelques minutes en dehors de l'incubateur qui va endommager vos oeufs, du moment que vous ne les retournez pas.
  8. Pas de Morelia spilota spilota dave31. Pas de pièce suffisamment fraiche en hiver pour maintenir cette espèce chez moi.
  9. Merci, -iceman01, non je ne prend pas de commande... on a déjà souffert pour faire celui-ci. Sans compter que le plus dure c'est de trouver le bloque iso en bon état. -damien37700, 100% sur tout ce qui était viable. Les seules oeufs qui ne sont pas arrivés à terme n'étaient pas liés au fonctionnement de l'incubateur, mais soit a une erreur humaine, ou soit lié a un problème de développement du petit lié aux parents (mais je ferai un autre post là dessus). Pour ce qui est d'incuber différentes espèces en même temps, la réponse est oui, si il s'agit de pontes qui ont les mêmes besoins en terme de température. Nous utilisons le système d'incubation sèche. Les oeufs sont sur une grille surélevé au dessus d'un substrat humide.
  10. Post déplacé dans la bonne section (Lézards et non serpent )
  11. "Jamais deux sans trois... certains d'entre vous auront déjà lu ce post sur d'autres forums... donc pour les autres, bonne lecture " Rem: J'ai construit cet incubateur en mars 2011, il a donc incubé les pontes de 2011 et de 2012. Je dois dire que je suis plus que satisfait de ses performances. Cela faisait quelques années que je cherchais à fabriquer un incubateur qui soit pratique, efficace, et (cerise sur le gateau) si possible esthétique. Alors un grand merci à: -Cisco (Ballistik) pour ses précieux conseils en ce qui concerne le type de chauffage et sa répartition dans l'incubateur -Draco (La caverne de Draco) que je ne connais pas personnellement, mais qui est à l'origine des conseils de Cisco, et qui a testé mille et une façons de procéder pour obtenir la meilleur répartition de chaleur...(si mes sources sont bonnes) -A Léo, pour s'être occupé de toute l'installation électrique, et pour sa patience face à mon perfectionnisme maladif à la limite du toc compulsif. Place aux photos: 1. Après avoir fait démonter le moteur par un service agréé et n'avoir gardé que le bloque isotherme, nous avons posé un support pour faire serpenter un cable chauffant en haut et en bas de l'incubateur. Rem: Il s'agit d'un seul et unique cable de 100W pour le haut et le bas. Entre les deux, il est caché par une baguette. 2. Des plaques isothermes sont placées entre la source de chaleur et l'endroit où vont être les boites pour les oeufs. 3. Des petits ventilateur de 8cm ( LED bleu) sont placés en arrière de la plaque superieur et en avant de la plaque inferieur. Ils soufflent donc dans l'incubateur l'air qui a été chauffé par le cable. Voici une visu de ceux du haut: Et ceux du bas: 4. Reste plus qu'a brancher le chauffage sur un bon thermostat. J'ai pris du Habistat Puls... La sonde est placé au centre de l'incubateur entre deux boites (pas dans une boite car les oeufs dégagent de la chaleur en fin d'incubation ce qui fausserait les données). 5. Juste parce-que je suis un "Monk" de l'esthétisme, j'ai masqué les deux coffrages (haut et bas) sur la vitre avec du papier auto-collant que l'on utilise pour les tableaux. On peut donc écrire dessus au marqueur (double emploi: esthétique et pratique). Avant: Après: 6. Il n'y a plus qu'a placer les boites plastiques et tester ces dernières en plaçant des thermomètres dans chacune d'elles. Les testes on donné les mêmes températures dans chaque boites. Voici le bébé pratiquement fini: Pour anticiper les éventuelles questions: -Les LED bleu ne gênent pas les bébés à la sortie de l'oeuf. L'avantage de ces LED, c'est qu'en cas de panne, soit d'un ventilo, soit coupure de courant, c'est immédiatement visible. Les photos donnent l'impression que la lumière est forte, mais en réalité c'est très tamisé en journée. -Les boites sont fermés par un couvercle, six petits trous (trois de chaque cotés de la boite) suffisent à ventiler un minimum l'air dans les boites sans pour autant avoir une perte de l'hygrométrie. Le mélange vermiculite sèche + eau à un rapport (en poids) de 1g d'eau pour 1g de vermiculite. J'arrive à 100% d'hygrométrie durant toute la période d'incubation. La condensation ne se forme que sur l'avant de la boite car la face avant de l'incubateur est un peu moins isolante, malgré le double vitrage. Si vous avez des questions ou remarques n'hésitez pas Et voici une dernière photo de cet incubateur lorsqu'il chauffait la cuvée 2012:
  12. Merci Guillaume Si cette fiche (encore que ça ne soit pas vraiment une fiche) peut permettre une meilleur compréhension de ces deux espèces, qu'on entendent plus dire qu'il s'agit de serpents agressifs et gras comme des loukoum... le parie est gagné
  13. Certain d'entre vous auront déjà lu ce post sur d'autres forums, pour les autres, bonne lecture... Je reste ouvert à toutes questions ou toutes critiques constructives ... J'ouvre ce post afin d'apporter une aide aux personnes qui débutent avec cette espèce (toutes sous-espèces de Morelia spilota confondues) et qui se heurtent au caractère parfois bien affirmé de leur spécimens. En effet, les nouveaux propriétaires d'un Morelia spilota témoignent souvent du comportement "mordeur" de leur nouveau protéger, et ils semblent avoir des inquiétudes à ce sujet. Connaissant bien cette espèce pour la maintenir depuis longtemps et après avoir reproduit différentes de ses sous-espèces, je me permet de partager mon experience sur l'approche des petits afin d'aider au mieux les personnes ayant acquis un spécimen au caractère bien affirmé. Le conseil que l'on retrouve souvent dans les posts qui traitent de spécimens "agressifs" est "de lui foutre la paix et de le manipuler le moins possible". C'est un point de vu... je le respecte, mais je ne le partage pas. Si le but est de garder le plus longtemps possible un caractère sauvage, alors oui, c'est la meilleur chose à faire... et je connais certains terrariophiles qui recherches ce trait de caractère. Je comprend parfaitement cette démarche. Mais pour les personnes qui veulent pouvoir s'occuper de leur Morelia spilota sans risquer de se faire harponner la mains à chaque manipulations, ce n'est pas (à mon sens) la conduite à tenir. Les Morelia spilota ont cette réputation de se calmer avec l'âge... C'est vrai dans la majorité des cas, mais pas dans la totalité. Certains spécimens ne se laissent toujours pas manipuler une fois adulte lorsqu'ils n'y ont pas été habitué dès le plus jeune âge. Hors, sortir un spécimen adulte d'un terra où il s'accroche partout, lorsque ce dernier cherche à mordre la main du soigneur n'est pas de tout repos. Cela représente une source de stresse pour le serpent comme pour le soigneur. Une séance de manipulation pour habituer un serpent à ne plus mordre et/ou fuir la main du soigneur est une source de stresse pour le serpent. C'est un fait incontestable. Surtout durant les premières séances... Mais une fois le serpent "conditionné", il stressera beaucoup moins face à toutes les autres manipulations qu'il subira tout au long de sa vie, tout simplement parce-qu'il ne considèrera plus la main de l'homme comme un prédateur, et qu'il n'en aura plus peur. Ainsi, une contention ne sera pas systématiquement indispensable en cas de soins vétérinaire, ou autres soins nécessitant un contacte directe avec le serpent. Je précise tout de même que les manipulations ne doivent pas devenir une habitude, et que le bien être de l'animal passe avant le plaisir personnel de manipuler son serpent. Ce post vise à vous donner quelques conseils pour que vos Morelia spilota TOLÈRENT les manipulations lors des soins apporté à l'animal (hygiène du terra, etc...). Je n'encourage en aucun cas les manipulations inutiles qui visent à se faire plaisir en se baladant chez soit, devant ses amis, avec un serpent autour du bras. Voici donc comment, ma compagne et moi pratiquons le "conditionnement" sur nos Morelia spilota: -Dès la sortie de l'oeuf, les petits sont mis en contacte avec notre odeur et la chaleur de notre peau. Jusqu'à leur première mue, les petits sont logés en groupe dans un milieu humide, changé et nettoyé tous les jours. Ils sont donc manipulés un court instant une fois par jour. (Ils ne seront logés individuellement qu'après la première mue, puis un premier repas leurs sera proposé) -Lorsque les petits commencent à bien s'alimenter, ils mordent tout ce qui est chaud et qui bouge... votre main en fait partie. Cette phase est la plus délicate car durant cette période, les petits cherchent à fuir comme des anguilles, n'hésitant pas à se jeter dans le vide, et si vous retenez le petit par l'arrière du corps, il va se balancer violemment de gauche à droite pour tenter de se dégager (ce que j'appel "l'Essuie Glace"). Lorsque nos petit font cela, nous les maintenons avec une main au niveau du premier tiers du corps. Il ne s'agit pas de serrer le serpent mais il faut tout de même l'empêcher de fuir... Le reflex du serpent est de mordre en restant parfois accroché. Cette morsure est parfaitement indolore. Une fois que le serpent comprendra que la morsure n'a aucun effet, il finira par ne plus le faire. Une à deux séances par semaine de quelques minutes suffit. Petit à petit il ne fuira plus mais se calera sur vos doigts ou se baladera de main en main en toute confiance. -Si vous êtes face à un spécimen un peu plus grand, ou tout simplement vous redoutez la morsure même indolore : Vous pouvez vous munir du materiel suivant: crochets, sang-froid... Certains conseillent les gants de cuire, mais je le déconseille avec des juvéniles car l'absence de sensation peut blesser le petit. La sécurité du serpent doit toujours passer avant votre peur! Vous réveillez le spécimen en lui caressant les flancs doucement, puis vous glisser le crochet sous le premier quart du corps du serpent... - puis avec votre main libre vous saisissez doucement l'arrière du corps et le laissez s'enrouler sur vos doigts. Il se sentira stable si l'arrière de son corps est enroulé sur un support de bon diamètre. -Une fois bien accroché par l'arrière, il vous sera possible de poser le crochet et de le remplacer par votre autre main. -Laissez le serpent analyser l'odeur de votre peau afin qu'il vous identifie... Si la morsure d'un juvénile est indolore, celle d'un adulte comme cette femelle Morelia spilota cheynei peut être particulièrement douloureuse. Il est donc préférable de faire comprendre dès le plus jeune âge que la main du soigneur n'est ni un prédateur, ni un casse-croute... Cette espèce est relativement facile à maintenir. Ce sont de bons mangeurs une fois qu'ils sont démarrés correctement... ils sont curieux,relativement actifs la nuit, et ont bon caractère une fois qu'ils tolèrent les manipulations. Ce sont de très bons grimpeurs... Considérés comme semi-arboricoles, j'aurai tendance à décrire certaines sous-espèce comme exclusivement arboricole (ex: morelia spilota cheynei)... Relativement faciles à reproduire... il existe différentes sous-espèces offrant un large choix de couleurs et de paternes. Faites attention au choix de la sous-espèce pour ce qui est de la taille adulte. Si certains spécimens dépassent à peine les 170cm d'autres approchent les 300cm. Méfiance avec les intergrades également... certains sont vendu sous le nom de la sous-espèce dont le phénotype est le plus proche, alors que le génotype lui est hybride. Pour ceux qui souhaitent reproduire cette espèce un jour, pensez également au moment délicat où il faut retirer la femelle des oeufs sans que sa réaction de défense provoque le retournement d'un des oeufs si ces derniers ne sont pas tous collés en grappe. Vous serez content d'avoir une femelle qui se laisse manipuler lors de cette opération...
  14. "Certains d'entre vous auront déjà lu ce post sur d'autres forums, donc à tous les autres, bonne lecture " Il y a plusieurs années de cela, ma compagne et moi sommes tombés sous le charme de ces deux espèces, Python brongersmai et Python breitensteini. Il semble que ces trois espèces (Python brongersmai/ breitensteini et curtus) tendent à devenir de plus en plus populaire. Et pour cause! Voici un Python d'une taille intermédiaire entre le Boa constrictor et le Python regius; avec du caractère; un polymorphisme donnant des spécimens de toute beauté, même sous sa forme classique, et l'apparition de superbes mutations au sein du marché terrariophile. Je fais ce post afin de partager quelques observations que nous avons pu faire, ma compagne Sonia et moi, afin de donner une idée de ce qu'est réellement la maintenance au quotidien de ce type d'espèces... Afin que toute personne voulant maintenir ce serpent sache où il met les pieds. C'est dans l'intérêt du serpent, mais aussi du futur propriétaire. Bien entendu, ce post n'est que le témoignage de notre façon d'aborder et de maintenir ce Python. La terrariophilie n'est pas un art figé, et il n'y a pas une seule bonne façon de procéder. A chacun sa façon de faire, pourvu que les animaux se portent à merveille... Pour commencer, le charme à opéré grâce à Nicolas Hussard qui nous a transmis sa passion pour ces Pythons. Il est à l'origine de pratiquement tout ce que nous savons aujourd'hui sur ces deux espèces, et par son intermédiaire, c'est également l'expérience des Barker (David et Tracy) qui nous est parvenu afin de maintenir ce Python dans les meilleurs conditions. Quelque part, c'est grâce à ces trois personnes que nous avons eu la joie d'avoir nos reproductions de brongersmai et breitensteini... LE CARACTÈRE: La première chose qui vient dans la conversation lorsque l'on parle de ce type de Python, c'est le caractère. Et à cela, je dirai que oui, ce serpent a du caractère, mais il n'est absolument pas agressif. En réalité il est très craintif. Il suffit de voir son regard en situation de stress pour comprendre qu'en réalité il est terrorisé. Si le Python regius se met en boule lorsqu'il a peur, le Python brongersmai , lui, adopte une autre attitude face au danger. Soit il fuit, et en cela sa morphologie et son poids peuvent être trompeurs car il peut être rapide lorsqu'il voit une ouverture... soit il fait face au danger et peut mordre. Si il se sent bloqué, il n'hésitera pas à uriner sur son agresseur tout en se débattant comme un diable. Ce trait de caractère n'est pas vrai pour tous les spécimens... Certains sont relativement dociles et plutôt curieux. Nous n'avons jamais rencontré de spécimens qui ne puissent être mis en confiance une fois correctement conditionnés. Bien entendu, certains spécimens n'apprécient que partiellement le fait d'être manipulés, et ils soufflent lorsqu'on les aborde... mais aucun de nos spécimens sub-adulte ou adulte ne nous a mordu... Pour les jeunes c'est une autre histoire puisqu'ils doivent d'abord comprendre que la main du soigneur n'est pas un prédateur, et encore moins une proie. J'ai souvent entendu dire que ce type de Python est très agressif. Le terme de "mine antipersonnel" est même parfois utilisé. En réalité, ce type de légende urbaine est véhiculée par des personnes qui n'ont jamais maintenu l'espèce, ou qui se sont pris un mur avec l'espèce simplement parce-qu'ils ne savaient ni comment la maintenir correctement, ni comment l'aborder. Il est toujours plus facile de conclure que l'animal est débile et agressif , plutôt que de se remettre en question et chercher les vraies réponses. MORPHOLOGIE: Cette espèce est souvent qualifié de "boudin"... Ce qui est vrai pour toutes les espèces dès qu'on en fait des obèses. Ces trois espèces ont un système digestif extrêmement lent. Les selles sont très espacées, ce qui suggère une faible consommation calorique. Le meilleur moyen pour se retrouver avec un spécimen obèse (parfois stérile et a l'espérance de vie limité) est donc de nourrir ce serpent au lapin toutes les semaines. Les jeunes ont besoin de calories pour leur croissance... mais les adultes ne doivent pas être nourris avec des proies aussi larges qu'eux. Bien entendu, l'aspect de ce serpent est trapu et puissant, mais attention de ne pas en faire un loukoum. Femelle Python brongersmai en préparation de reproduction (dans le bac de change pendant nettoyage du terra): Male Python breitensteini de morphologie normale: Femelle Python brongermsai (mutation Ivory) durant sa croissance: Autre particularité anatomique de cette espèce, la colone vertébrale saillante. ce n'est pas un symptôme de fonte musculaire, c'est simplement le squelette qui est ainsi fait. Les épines dorsales sont relativement longues, ce qui permet un bras de levier beaucoup plus conséquent lors d'un mouvement de la colonne vertébrale... C'est ce qui explique la force de frappe de ce serpent a courte et moyenne distance. Inutile de gaver votre Python brongersmai ou P. breiteinsteini (ou P. curtus) pour faire disparaitre cette colonne visible. Et enfin dernière observation qui m'avait marqué avec notre mâle brongersmai... Les yeux qui font penser à des bulles chez certains spécimens. Je n'ai pas de certitude sur le sujet, mais je pense qu'il doit y avoir un lien avec le fait que cette espèce semble avoir "des yeux dans le dos". Je pense que cette spécificité augmente largement l'angle de vue. Pour ce qui est des yeux qui peuvent pivoter et donc augmenter l'angle de vu de ce Python... oui c'est vrai, mais ce n'est pas le seul serpent à le faire contrairement à ce qu'on peut lire un peu partout. Bien d'autre Python peuvent le faire. Simplement c'est plus flagrant lorsque les yeux sont claires. Il arrive parfois que les yeux aient une apparence de "ball de ping pong enfoncé"... C'est en général un signe de déshydratation. Ce phénomène est visible si vous observez attentivement la photo du dessus. Ce phénomène est sans danger pour les yeux du serpent, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'il ne faille pas régler le problème et ré-hydrater ce dernier . Il ne s'agit pas d'un reste de mue (a vérifier tout de même, avec délicatesse). Ce qui m'amène au chapitre suivant: LES CONDITIONS DE MAINTENANCE: Si la déshydratation n'est pas forcément une bonne chose pour ce type de Pythons, la saturation de l'hygrométrie peut vite devenir fatale en provoquant des maladies respiratoires (pneumopathie) qui semblent très difficiles à soigner chez ces espèces. Il est donc préférable de maintenir ce Python dans des conditions trop sèches que trop humides. L'idéal étant le juste milieu, bien entendu! Nous avons opté pour le même type de maintenance que Nicolas.H, avec quelques retouches personnelles. Il utilise du papier craft... nous utilisons des alèses avec du papier journal au dessus. Les Pythons se cachent dessous... Ils se sentent en sécurité, et en même temps, ce type de cachette augmente l'hygrométrie autour du serpent par sa simple respiration. Nous avons remarquez que les spécimens qui se cachent sous les alèses n'ont pas ce léger froissement de la surface de l'oeil, et muent en une seule chaussette... Alors que les spécimens qui se cachent sous une cachette de type "bac de plastique de maçon" ont les symptômes d'une légère déshydratation. Nous avons également remarqué qu'ils compensent cela en buvant plus régulièrement. Concernant l'eau, nous utilisons un simple bol d'eau de taille adapté (gamelle pour chien pour les adultes). L'important est de changer régulièrement l'eau. En général, dès que l'eau vient d'être changé, ils viennent boire. Pour augmenter l'hygrométrie sans danger, on peut créer des pics d'humidité, en pulvérisant à l'eau tiède dans le terrarium. J'ai souvent observé ce type de Python aspirer les gouttelettes d'eaux sur les parois ou sur le sol. Il est important que le terrarium ne reste pas humide de manière constante... Le renouvellement d'air limité rendrait dangereux ce type de maintenance. Par contre il est tout à fait possible de fournir aux serpent un bac de substrat humide dans le terrarium (un peu comme une cachette supplémentaire) dans lequel il pourra s'enfouir. Ce système fonctionne relativement bien et permet d'avoir les avantages d'un point d'humidité, sans les inconvénients. Encore faut-il maintenir ce substrat humide et pas détrempé, et ne surtout pas le laisser totalement sécher sans quoi il aura l'effet inverse et absorbera l'humidité de l'air. Pour le chauffage, un tapis qui chauffe 1/3 de la surface du terrarium. le thermostat est réglé à 28°C. Au tout début nous avions réglé le chauffage à 31°C, mais rapidement nous avons réalisé que les Pythons évitaient la zone chaude. Plus encore, il se formait des urolithes de la taille d'un oeuf difficiles a évacuer: A 28°C au point chaud nous n'avons plus eu ce type de problème. La digestion se passe sans problème. Nous n'avons jamais aucun problème de santé. Par contre, la pièce est à 25/26°C... Pour le choix du terrarium, nous avons encore une fois pris exemple sur Nicolas.H. Les herptek en 120/70/35 ou 120/70/50 sont tout a fait adaptés pour ces espèces. Pour les spécimens plus âgés et de grande taille nous conseillons 150/70/50. Le système de rack peut tout à fait convenir à ce type de Pythons, mais les dimensions ne doivent pas être revues à la baisse. Les bacs V150 de chez Vision (utilisé par LP Racks) sont parfaitement adaptés pour de jeunes adultes ou des sub-adultes. LES JUVÉNILES: Les petits peuvent être nerveux, ou au contraire très calmes... Pour qu'ils se sentent en sécurité, et qu'ils ne souffrent pas de déshydratation nous avons opté pour un substrat épais de sphaigne légèrement humide durant les premières semaines. Puis nous passons au sopalin, puis au sopalin+papier journal. Sauf durant la première mue (délicate), nous repassons à la sphaigne dès que l'animal présente les premiers signes de mue. Rem: Une particularité concernant le démarrage des petits, ils s'alimentent relativement rapidement, mais la première mue est longue, très longue à venir. Il peut s'écouler jusqu'à 3 voir 4 mois avant qu'un jeune fasse sa première mue. Et cette opération est très importante. Tracy Barker parle de risque de décès sur des rétentions de mue sur du juvénile. Pour les manipulations: Je ne suis pas pour l'utilisation des gants de cuire, plus encore avec des juvéniles. Il est important de faire passer la sécurité des petits avant tout lors des manipulations. Il n'y a donc pas 36000 solutions, il faut y mettre les mains et les habituer au contacte avec douceur...qu'ils comprennent que la main n'est pas un prédateur, et que même si ils s'acharnent dessus, la main ne fuit pas. La morsure des juvéniles n'est pas douloureuse... c'est donc le bon moment pour conditionner le serpent et lui apprendre à ne pas avoir peur de la main de l'homme. CONCLUSION: Vous l'aurez compris, Python brongersmai /breitensteini et curtus ne sont pas des espèces très compliquées à maintenir lorsqu'on a le bon "mode d'emploi". Un serpent maintenu trop chaud (en hyperthermie) ne se sentira pas bien et sera dans un état de nervosité constant... Un animal terrestre à la morphologie trapue ne peut tolérer les manipulation que si il se sent stable et en sécurité. La prise en main est différente suivant les moeurs de l'espèce, et c'est encore plus vrai lorsqu'il s'agit d'un Python qui n'est pas équipé pour se retrouver loin du sol. Un animal dont la programmation de défense se résume à attaquer doit être mis en confiance afin qu'il n'ait plus aucune raison de se défendre. Il ne faut pas avoir d'appréhension avec ce type de Pythons et avoir rester calme en toutes circonstances. Si vous avez ces qualités et que vous êtes tombés également sous le charme de ce Python, alors vous ne serez pas déçus. Si vous avez peur de la morsure, il est toujours possible de trouver un gros gentil... Comment ne pas être sous le charme!
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