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chris42210111

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Tout ce qui a été posté par chris42210111

  1. D’après: Antaresia stimsoni ( smith 1985) Python de stimson Texte original: neil sonnemann C’est une des espèces connues dans la littérature obsolètte sous le nom de python de children elle était parfois référencer sous le nom de grand python tacheté. Elle est maintenant largement reconnu en tant que python de stimson. Deux sous-èspeces ont été décrites Antaresia stimsoni stimsoni qui fréquente la moitié ouest de l’australie occidentale et antaresia stimsoni occidentalis qui se rencontre du centre de l’australie occidentale dans les deux-tiers sud du territoire du nord au nord-est de la region d’australie du sud, au nord est de la nouvelle galles du sud et dans l’intérieur du queensland. Ils ont été nommés en l’honneur de Mr Andrew stimson du département zoologique du muséum d’histoire naturel britanique. Ces serpents sont parmis les plus petits d’australie avec une taille moyenne d’environ 1 mètre. C’est une espèce robuste avec la tête légerement plus large que le coup. La coloration dorsale est brun-jaunatre, brun pale à gris ou blanchatre. Il a un modèle persistant de taches lissées marron foncé à rougeatre-marron qui sont circulaires ou allongées. Une bande sombre est présente des narines jusqu’au coté du cou en passant par l’oeil. La fance ventrale est blanche avec des reflets. Chaque sexe à de petits éperons cloacaux et la queue est préhensible. Habituellement rencontré dans la végétation éparse, dans les affleurement rocheux des bois, les prairies et les for^ts séches. Le plus généralement dans des abris au dessus des rochers se désagrégeant, il cherchent aussi refuge dans des crevasses des rondins creux, des termitières des terrier abandonnés et des cavernes. Comme la plupart des especes du genre antaresia cette espece est connue pour entré régulièrement dans les cavernes pour se nourrir de chauve-souris. Ils se nourrissent aussi de petits oiseaux, de grenouille, lézards et d’autres petits mammifères. Le python de stimson est essentiellement nocturne, cependant parfois ils chassent ou se réchauffent durant la journée. Lorsqu’ils sont déranger il se mettent souvent en boules avec la tête cachée au centre. Les accouplements ont lieu d’avril à juillet avec environ 6 oeufs pondu d’aout à novembre. Management captif: Les données présentées sont issues de 12 pontes d’A.stimsoni produitent en captivité dans le nord de victoria en australie , de 1994 à 2000. Les pythons de cet élevage provenant de deux localités. Le groupe 1 provient de MacDonnell près de’Alice Springs dans le territoire du nord, le groupe 2 de la region de tennant creek toujours dans le territoire du nord.Le groupe 1 était constitué de 4 males et 4 femelles. Ce groupe fut maintenu en captivité pendant 5 ans de 1988 à 1993. Aucune naissance n’eut lieu de ce groupe. Le groupe 2 était constitué de 1 male et 2 femelles acheté en 1993. Le male et des jeunes étaient toujours captif en 2001. Le python de stymson est robuste en captivité et tolère beaucoup de fluctuations dans les paramètres de maintenance. Les terrariums sont constitués de racks en bois mélaminés dans une pièce chauffée et isolée. Il y à une vitre frontale coulissante et ils mesurent 60 cm de long, 40 cm de large et 30 cm de haut. Le substrat est du gravier pour aquarium de 3 mm sur une épaisseur de 3 cm. Chaque rack est composé de 9 terrariums. Trois en longueur et trois en hauteur. Chauffé individuellement par une ampoule blanche de 40 W connecté à un thermostat d’ambiance. Les thermostats sont connectés en tandem sur deux enclos et connectés aux deux lampes. De cette manière il n’y a pas de surchauffe si l’une des deux ampoules grille. Les températures varie pendant l’année sur la base des saisons. Les températures varie d’un strict minimum à 17° en hiver jusqu’a 36° en été. La durée de chauffage pendant la journée varie également de 8-9 heures en hiver jusqu’à 14 heures en été. Il n’y a pas de chauffage durant la nuit et la température des terrariums rejoint la température ambiante de la pièce. Les fenêtres de la pièce fournissent une photopériode naturelle pour le nord de victoria. Les températures sont cyclées pendant l’année pour provoquer les accouplements des pythons. Durant le printemps et l’été les températures sont maintenues dans une gamme étroite. Quand la saison des amours commence en automne, les températures journalières sont changées graduellement, avec les plus basses enregistrées en hiver, en juin et juillet. Les hautes températures pendant la journée sont accru pour compenser les plus basses températures nocturnes et la diminution du temps d’éclairage. Le matériel pour chaque terrarium est constitué d’un substrat de gravier d’aquarium, d’un bol d’eau et d’une cachette, c’est une écorce courbe d’eucalyptus qui permet d’offrir un endroit ou le serpent se sent en sécurité. L’eau est changé chaque semaine en utilisant un bol désinfecté. Chaque spécimen est logé individuellement la plupart du temps. Ce qui facilite les nourrissages et la maintenance des racks. Avec cette méthode, il n’est pas nécessaire de séparer les serpents pour les nourrir, les interactions sociales résultant de la mise en place d’une hiérarchie et le stress ainsi engendré est éliminé. Les couples sont seulement rassemblés en hiver et le male toujours introduit dans le terrarium de la femelle. Les cas de morsures surviennent généralement lors de la distribution des repas où lorsque les mains de l’éleveur, les ustensiles sentent le rongeur. Certains sujets ont une réponse alimentaire exacerbée et mordent à plusieurs reprise s’ils sont manipulés. Cette espèce est généralement sédentaire dans son habitat, c’est un prédateur embusqué, mais aussi un chasseur actif. Ils peuvent être observés attendant le passage d’une proie devant leur cachette. Cette posture peut être tenu pendant des heures, de jour et de nuit. Lorsqu’ils ont faim les pythons de stimson deviennent très actifs et cherchent partout dans leur terrarium un éventuel repas. Les repas sont constitués de souris adultes fraichement tuées ou décongelées. Aucune proie vivante n’est distribuée pour éviter les cas de morsures durant la constriction. Les proies sont souvent attaquées et étouffées comme si elles étaient encore en vie, puis avalées. Certain spécimen mange directement la proie déposée au sol sans constriction, d’autre préfére que la proie soit légérement secouée à la pince pour simuler qu’elles sont encore en vie. Aucun autre régime spécifique n’est utilisé. Les femelles refusent généralement de se nourrir à partir d’avril et jusqu’à la ponte au printemps. Les males recommencent à se nourrir après la saison des amours, durant l’hiver. Dés qu’ils ont recommencé à manger les serpents sont nourris à volonté durant l’été et l’automne. Ce qui a pour effet de leur faire prendre du poids rapidement. Les femelles ont besoins de refaire les réserves perdues durant la production des oeufs. Les males sont nourris selon un régime de maintenance avec une fréquence de repas augmentée durant l’été. Environ deux à trois souris adultes sont distribuées à chaque repas. A la fin de l’été les femelles sont bien grasses, l’on peut dire que leurs réserves ont été reconstituées depuis la ponte. Les femelles sont reproduites chaque année sans interruption. De l’huile de mutton-bird est utilisé en supplémentation à raison d’une ou deux gouttes tous les 2 ou 3 repas. Sexage: La détermination des sexex s’effectue par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à 9-11 écailles sub-caudales chez les males contre 3 à 5 chez les femelles. Les juvéniles peuvent être sexé aux environ de 2 où 3 mois. Accouplement: Les couples sont présentés en mai, juin, juillet et aout. La plupart des accouplements ont lieu à la fin du mois d’aout. Le male toujours introduit chez la femelles arpente le terrarium. La parade et les accouplements ont généralement lieu 1 où 2 jours après l’introduction du male. Le male pourchasse la femelle et les accouplements peuvent durer plusieurs heures. Un male qui se désinteresserais de la femelle peut être stimuler par l’introduction d’un concurrent. Les males doivent être observer attentivement car d’intense combat peuvent avoir lieu et l’un ou l’autre pourrait être serieusement blessé. Les males effectue souvent une mue de pré-saison en mai et juin, et une autre après la saison en septemebre. Les femelles aussi peuvent effectue une mue de pré-saison bien que celà ne soit pas aussi fréquent. Les accouplements qui ont été observés ont durer plusieurs heures ( plus de 12) et ont été observés durant les heures sombres du début de matinée pendant les heures les plus fraiches de la journée. Plusieurs stratégie ont été utilisées pour le groupe 1, avec des groupes de 2 à 8 individus, le male dans le terrarium de la femelle et inversement, rotation des couples ou maintient permanent d’un couple. Cependant aucune ponte n’a été produite. Le groupe 2 à été reproduit avec un seul couple engendrant de nombreuses couvés. Le male était généralement introduit chez la femelle pendant une semaine, puis retirer pendant une semaine et enfin réintroduit pour le même labs de temps. Ce scéma était reproduit en mai, juin, juillet et aout le male étant définitivement retiré à la fin de juillet et début aout. Ponte: Après la saison des accouplements la femelle devient recluse et se cache sous l’écorce d’eucalyptus. Durant la fin juillet et la fin aout la femelle à été observée se chauffant en position inversée avec les écailles ventrales en l’air. L’ovulation n’est pas visible chez A.stimsoni et déterminer si une femelle est gravide n’est pas aisé. Cette espèce à généralement un bon tonus musculaire et sentir les oeufs avec les doigts peut où pas être possible. Si la femelle refuse de se nourrir et se tient en position inversée c’est un bon signe de gravidité. Les oeufs sont pondus au printemps dans la boite de ponte ou sous l’écorce d’eucalyptus. La femelle creuse une dépression dans le gravier quelques jours avant la ponte. Lorsque la femelle à té diagnostiquée gravide une boite de glace remplie de sable humide et de mousse de sphaigne ou de vermiculite, avec un trou sur le couvercle est placée dans le terrarium, après la mue de pré-ponte. Après la ponte la femelle rassemble les oeufs en grappe pour les couvés si on le lui permet. Incubation: Toutes les pontes ont été incubées artificiellement, car les terrariums sont considéré trop sec pour permettre à la femelle de les incuber. Le bois utilisé pour les terrariums n’est pas adapté pour maintenir un taux d’humidité élevée nécessaire à l’incubation. Ces mêmes terrariums peuvent tout de même être utilisés en plaçant les oeufs dans des boites en plastiques du type tupperware. Ce fut la méthode utilisée avant qu’incubateur soit fabriqué. Une position ou la température était maintenue entre 27° et 32° était sélectionnée et la boite placé à cet endroit jusqu’à l’éclosion. Le jour de la ponte les oeufs étaient retirés à la femelle, chaque oeuf séparé pesé et mesuré avant d’être placé sur la vermiculite dans la boite de ponte. La mixture était composé du poids de vermiculite pour le même poids en eau. Parfois les oeufs ne pouvaient être séparés de la grappe après qu’ils aient durcis à l’air libre, si ils ne pouvaient être détachés sans risquer d’abimer la coquille ils étaient incuber tel quel dans la boite de ponte à moitié enterrés dans la vermiculite. Un sopalin humide était parfois placé sur le dessus de la ponte pour prévenir le déssechement des oeufs du dessus. Les oeufs n’étant pas en contact direct avec la vermiculite peuvent parfois se déssèchés. Les oeufs du dessus peuvent obtenir suffisament d’humidité grace au sopalin humide, cependant certains deviennent gonflés mais vont quand même jusqu’à éclore. Il apparait que les oeufs atteignent l’équilibre de leur environnement. Les changements soudain de températures et d’humidité doivent être évités durant l’incubation. Les oeufs en dessous qui sont enterrés dans la vermiculite peuvent absorber trop d’eau et devenir bouffis. Il est plus facile d’incuber les oeufs si ils sont séparés et placé individuellement. Si un oeuf meurt, il est plus aisé de l’enlevé si ils sont séparés. Si un oeuf meurt et est attaché à la ponte il peut-être nécessaire de l’enlevé ou de le laisser en place. Parfois un oeuf moisi et se décompose sans affecté le reste de la ponte. D’autre fois les moisissures s’étendent et affectent la ponte entière avec un tout petit pourcentage d’oeufs qui éclosent. Cela dépend des agents pathogènes responsablent de l’infection. Les bactéries progressent tant que les oeufs infectés ne sont pas enlevés. D’autre ponte ont un oeuf qui moisis sans que cela n’est de conséquences sur les autres. Les oeufs sont incuber à 30°-32°. Les oeufs ne doivent pas être retournés durant l’incubation, si ils sont déplacés il doivent être laissé dans la même position. Les oeufs peuvent alors être déplacés pour être inspectés sans que cela n’empêche le développement des embryons. Les chocs et les secousses doivent être évités. Les boites de pontes ne sont pas sceller et ouvert régulièrement, une à deux fois par semaine. Cela permet de verifier et le cas échéant d’enlever d’eventuel oeufs morts. Ouvrir le couvercle et remuer la vermiculite permet de renouvellé l’air dans la boite de ponte. L’eau migre sur les cotés du contenaire en raison des différence de température. Remué périodiquement la vermiculite permet d’éviter qu’elle ne devienne trop sèche autour des oeufs mais aussi d’échanger le dioxyde de carbone par de l’oxygène. Durant les 2-3 dernière semaine d’incubation il est normal que les oeufs se ratatinent et apparaissent déshydratés. Il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’eau à ce stade. La boite de ponte peut être ventiler juste avant l’éclosion pour offrir de l’air frais aux serpentaux. Dès que le premier à percer sa coquille grace à la dent de l’oeuf, les autres sont ouverts à l’aide d’un ciseau à ongle. Une petit incision est effectuée d’environ 10-15mm de long sur le haut de l’oeuf. Les jeunes peuvent mettre un ou deux jours pour émerger de l’oeuf après avoir sortit la tête. L’ensemble des petits peuvent mettre une semaine pour éclore. Nouveaux nés: Dès la naissance les juvéniles sont placés dans des boites de 23 cm de long, 16 cm de large et 8 cm de haut. Des trous sont percés dans le plastiques pour la ventilation. Le substrat est du sable d’aquarium et est changé dès que nécessaire. Un petit bol en plastique pour l’eau ainsi qu’une petite écorce d’eucalyptus est ajouté pour la cachette. Durant les mois les plus frais, lorsque la température de la pièce est aux environs de 25°, un tapis chauffant est placé sous un tiers des boites et controllé par un thermostat pour atteindre 32° à 35°. Le premier repas n’est pas distribué tant que la première mue n’a pas eu lieu environ deux semaines après l’éclosion. Quelques petits prennent un rosé de souris comme premier repas, la majorité nécessitant que l’on frotte le souriceau sur un scinque ou un gecko avan qu’il ne l’accepte. D’autre requière que l’on place un morceau de queue de scinque d’environ 2 mm de long dans la bouche de la souris avant de l’accepter. Les sujets refusant toute nourriture sont gaver avec une queue de souris jusqu’à ce qu’ils acceptent le premier repas seul. Conserver un contenant avec des queues de souris dans le freezer permet de nourrir un grand nombre de jeunes en peu de temps. Les queues de ouris sont coupées suivant un angle de 45° à la base de manière à faciliter l’introduction dans la gueule du serpenteau. Celui-ci ouvre généralement la bouche facilement et la queue enfoncé jusqu’à la moitié de la gorge. Après cela la plupart termine seul leur repas, de plus le fait que les poils de la queue soient en sens inverse ne facilite pas la régurgitation. L’assist-feeding peut être nécessaire deux fois par semaine pendant environ 10 à 12 repas avant que les jeunes A.stimsoni ne se nourrissent seul. Les juvéniles sont nourris d’un rosé ou d’un blanchon deux fois par semaine. L’eau est changé une fois par semaine comme pour les adultes. Les données de croissances n’ont pas été notées régulièrement. Les jeunes grandissent rapidement en se nourrissant de souris de laboratoire et atteignent la maturité à 1,5 ans. A cet age ce sont de jeunes adultes et aucune tentative de reproduction n’est tenté avant qu’ils n’atteignent 2,5 ans. A cet age ils sont plus gros et peuvent produirent des pontes plus consistantes. Conclusion: Le goupe 1 obtenu adulte et maintenu 5 ans fut vendu avec regret. Dans le groupe 2 la male est toujours en vie, obtenu adulte en 1993, il est captif depuis 8 ans. Ce spécimen vit donc en captivité depuis plus de 20 ans ( Simon Kortlang, pers. comm.) La taille moyenne des pontes est de 7 à 13 oeufs. Le nombre moyen d’oeuf fertile à chaque ponte est de 9, avec une moyenne de 7 oeufs éclos soient 77% de réussite. Shine ( 1991) à rapporté une moyenne de 6 oeufs par ponte lors d’études sur le terrain et de dissection au muséum. Bedford & Comber (2000) ont enregistré une ponte issue d’une femelle d’Alice springs, mais n’ont pas mentionné le nombre d’oeufs. Kortland (1989) à enregistré une ponte de 15 oeufs ( tous fertiles), 19 oeufs ( 18 fertiles) et 15 oeufs ( 14 fertiles) résultant du croisement d’une femelle A. stimsoni orientalis et d’un male A.childreni. La provenance exact de ce couple n’est pas mentionné. Barker & Barker ( 1994) ont eu une moyenne de 8,5 oeufs sur deux pontes de 8 et 9 oeufs ( tous fertiles). Il semble que les spécimens sauvages ont des pontes plus petites, de l’ordre de 6 oeufs ( Shine 1991) comparé aux spécimens captifs qui pondent 8 à 9 oeufs en moyenne. Le nombre record d’oeufs par ponte à été obtenu par Kortland ( 1989) avec une moyenne de 16 oeufs fertiles issue de 3 pontes c’est au moins deux fois plus élevé que les autres études. Ces pontes issues de croisement et ne sont donc pas une indications fiables pour cette espèce. Le temps moyen d’incubation est de 50 jours. La plus petite période d’incubation fut de 46 jours et la plus longue de 56 jours. Barker & Barker (1994) donne une période d’incubation de 51 et 52 jours sur ses deux pontes et la période entre l’oviposition et la mue de pré-ponte de 37 jours. Dans cet étude le temps entre la mue de pré-ponte et la ponte est en moyenne de 26 jours, soit entre 9 et 37 jours. Il y a eu deux période très courte entre la mue de pré-ponte et la ponte numéro 1 et 7. La ponte 7 n’avait que des oeufs non-fertile et le délai entre la mue et la dépose des oeufs fut de 9 jours. Cependant lors de la ponte n°1 la ponte eu lieu 12 jours après la mue et tous les oeufs étaient fertiles et ont éclos. La raison de cette période très courte n’est pas connue. Les pontes suivantes de cette femelle se passèrent normalement et la durée entre la mue et la ponte redevinrent normales, excepté donc pour la ponte n°7 où les oeufs n’etait pas fertiles. Avant cela il étaithabituel que la période entre la mue et la ponte était relativement constante et d’environ un mois mais ces deux cas suggère que cela puisse être variable. Ce qui eu aussi pour conséquences de faire chuter la moyenne de 30 jours à 26 jours. La moyenne entre le premier accouplement observé et la ponte est de 129 jours. La moyenne entre le dernier accouplement observé et la ponte est de 86 jours. La période de gestation n’as pu être notée car l’ovulation a rarement put être observée. La plupart des accouplement ont eu lieu en juin et juillet durant les mois les plus fraid de l’année. La plupart des pontes ont été effectuées en octobre. Deux pontes furent déposées début novembre. La période de ponte est assez courte entre début octobre et début novembre soit environ un mois. Cependant Barker & Barker (1994) ont enregistré dans la nature deux pontes, l’une en aout l’utre en décembre. Kortland (1989) nota que sans période plus fraiche, les pontes avaient lieu deux mois plus tot qu’habituellement. La plupart des ponte éclorent fin novembre début décembre. Il n’y a que peu d’information sur la taille des oeufs pour cette espèce. Le poids moyen d’un oeuf est de 11 gr. La longueur moyenne est de 33 mm pour une largeur de 23 mm ( 114 oeufs) L’effort de reproduction calculer en pesant la ponte et la femelle après celle-ci, donne une résultat en pourcentage du poids de la femell. L’effort de reproduction moyen est de 0,43, ce qui signifie que la ponte représente 43% du poids de la femelle. L’effort de reproduction varie de 0,34 à 0,49 soit 34%à 49% du poids de la femelle. Les spécimens du groupe 1 originaire des alentours d’alice springs n’ont pas été reproduit malgré de nombreux essais en variant les techniques et ce durant 5 ans. Ce n’est que lorsque d’autre sujets furent obtenue et provenant d’une autre localité que les accouplements eurent du succès, en utilisant les mêmes parametres. Le groupe 2 originaire de tennant creek fut maintenu dans les mêmes conditions et reproduit régulièrement, malgré le fait qu’il soient moins nombreux, seulement 3 individus, comparé au 8 de groupe 1. Les données précisant les difficultés de reproduction en captivité, peuvent être du à la provenance des serpents, ce qui tend à démontré que certain se reproduisent plus facilement que d’autre dans les conditions artificielles de la captivité. Avec les génération succéssive nées en captivité ces effets devraient s’estomper, ce qui permettra de fournir suffisement de sujets pour le marché terrariophile.
  2. D’après: Python pygnmé Antresia perthensis (stull 19322) Texte original Glen Gaikhorst Le python pygmé Antaresia perthensis est aussi connu sous le nom de python nain, de python de children occidental ou python des antilles. C’est le plus petit python du monde, atteignant une longueur maximum de 62 cm. Le python pygmé est endémic de l’australie occidentale et se rencontre de goldsworthy au nord ( région de pilbara), jusqu’au nord de de west cape au sud de mullewa dans le mid west ( région de murchinson et de gascoyne), et à l’est de willuna. Leur coloration varie apparement en fonction de leur habitat et peut-être brun-rougeâtre (rouge-brique) à jaune/orange sable ou de couleur «terracotta». La plupart des spécimens ont un patron composé de taches sombres où de barres. La coloration est très prononcée chez les juvéniles, mais tend à s’estomper ou à disparaitre au fur et à mesure que l’animal vieillit ( Barker & Barker 1994). Cette espèces ressemble beaucoup à A.childreni mais diffère de par le nombre d’écailles. Avec un nombre de 31-35 rangé au millieu du corps (coger 2000), 212 à 250 écailles ventrales et 34-35 écailles subcaudales ( Barker & Barker 1994). Le nom de perthensis vient d’une erreur de localité quand stull décrivit l’espèce en 1932. On pensait que le spécimen type était originaire de perth, en australie occidentale alors que l’espèce n’est pas présente dans cette région. Le pyhon pygmé est une espèce commune dans toutes son aire de répartition bien que plus rares de les régions les plus au sud. Il est possible que ce soit due à un manque d’habitats appropriés. Le departement de l’environnement et de sa conservation (DEC) à placé l’espèce dans la catégorie «moindre préoccupation». Les python pygmés peuvent être rencontré dans beaucoup d’endroit de leur zone de répartition qui sont des parcs nationaux où des reserves naturelles. Ce petit python est terrestre et solitaire et occupe différents types d’habitat soit les plaine de sable cotière du district de pilbara dominé par les plantes de type spinifex comme trioda sp. et les forêt d’accacia sp dans les rochers de grès, de granite, d’ironstone ou près des affleurement rocheux. ironstone: triodia sp: L’espèce peut également se rencontrer dans les gorges et les cavernes de la région de pilbara. Ils peuvent aussi utilisé les termitière des termites Eutermes triodiae comme abri, pour trouver de la nourriture ou éventuellement comme site de ponte. ( Kend 1997, cogger 2000). Leur aire de réparttion s’arrête aux zones d’environnement arides qui ont une saison des pluies limitées. Durant les bonnes saison, la saison des pluies arrive en novembre et jusqu’à mars dont une partie avec des pluies tropicale à l’extrème nord de la région de Kimberley. Occasionnellement des cyclones arrivent du sud ouest ( juin à aout) atteignant généralement les region de pilbara de gascoyne et de murchinson. Le comprotement du python pygmé est similaire aux autres especes du groupe de python de children. Il est considéré comme nocturne, souvent observé traversant les route et généralement actif la nuit lors des mois les plus chaud de l’année. Cependant j’ai pu observer,3 spécimens actif et se chauffant au soleil durant la journée. Le premier fut observé étant actif sous le soleil de fin d’après-midi à l’ouest d’une surface rocheuse. Le second fut observer dans une caverne peu profonde consommant une chauve-souris en milieu d’après-midi. Le dernier était un sub-adulte se réchauffant au soleil dans une crevasse à l’est d’une face rocheuse. Dans la nature c’est une espèce placide qui tente rarement de mordre lorsqu’elle est manipulée. Occasionnellement, effrayés ils adopte une position défensive et ouvre la bouche pour se protéger, où se mettent en boules, cachant leur tête au centre de celle-ci. Lors de mes observations personnal, j’ai observé les pythons pygmés se déplacé de quelques centaines de mètre pour trouver un habitat qui leur convenait; souvent un affleurement rocheux ou un lieu densément recouvert par des plantes du genre spinifex. Les jeunes furent vus dans des zones dense de spinifex ou des endroits rocheux. ils étaient blottis à la base de la plante en position d’embuscade. Surement est-ce une stratégie pour capturé les geckos ou les scinques imprudent s’approchant trop près. Ce comportement est souvent observé en captivité quand les juvéniles ou les adultes se tiennent devant leur cachette. Gestion captive: En captivité A. perthensis à des comportements varier. Les males ont tendances à être plus actif que les femelles, qui semble passer plus de temps dissimuler ou se réchauffant. Les couples peuvent être maintenu ensemble, bien que lors des nourrissage il soit nécessaire de controller qu’un sujet n’est pas une réponse alimentaire excessive en s’en prenant à l’autre. Les males ont été observés ayant un comportement agressif entre eux, particulièrement lors des mois frais et au début du printemps. Ces affrontements commence quand les males dominant sentent, mordent et s’enroulent dans des mouvement rapides sur le male dominé. Ceux-ci sont alors séparés. Les pythons pygmés ont été maintenu séparément dans des boites de types tupperware de la même taille qu’une boite à chaussure ( Hoser 1999). Il y à très peu de donné sur la taille des terrariums nécessaire pour le maintien en captivité d’A.perthensis. J’ai observé que les premier spécimens furent élevé dans des terrariums de 60 cm à 90 cm de long et 30 cm de large. Ceux-ci était fabriqué spécialement ou c’était des aquariums modifiés. Barnard (1996) recommande une taille équivalente à : longueur 75% de la longueur de l’animal, largeur et hauteur de 50% de la longueur de l’animal pour un serpent terrestre. En se basant sur ces informations et sur la taille de 60 cm pour le serpent ( Taille maximum chez A.perthensis), la taille minimale de l’enclos pourra être de 45 cm de long, 20 cm de large, et 20 cm de haut. Je considère que ces tailles sont pour des terrariums temporaires, et non pour le long terme ou pour plus d’un spécimen. Pour plus d’information sur la tailles des installations les données de l’EAPA pour le maintien des reptiles peuvent être consultés en nouvelle galles du sud. Les pythons pygmés peuvent être maintenu sur divers substrats incluant des graviers ( Klaas Gaikorst pers. comm.), sopalin ( Brad Maryan pers.comm.), de la terre compacte (Hoser 1999), papier journal,gravier d’ironstone ou terre cuite. Les décors peuvent être constitués de roche, spinifex ou vieilles branches. Il est important de bien fixer les cailloux et autre rocher pour éviter que les serpents ne les déplacent et ainsi éviter tous risques de blessures. On peut enrichir l’environement de ces pythons en ajoutant une branche, sur lesquelles ils pourront grimper ou se lover. Un bol d’eau pourra être mis à disposition en permanence. Cette espèce est nocturne quoiqu’il arrive de les observer actif dans la journée notamment en train de se réchauffer. C’est pourquoi un tube néon émettant des UVB peut être installé dans le terrarium. Une lampe chauffante où une lampe céramique peut-être utilisée, 100W suffisent, bien que cela dépendent de la taille des installations. Chaques ampoules devra être protégée pour prévenir d’éventuelles brulures. Le point chaud devra être à environ 32° avec un gradient thermique dans le reste du terrarium de 24° à 30°. Il peut-être nécessaire d’utilisé un thermostat pour maintenir ces températures. (Barnard 1996 à recommandé une température corporelle de 24° à 29,5° doit être atteinte pour les serpents terrestres). Pour atteindre ces températures un tapis chauffant peut aussi être utilisé ( Maryan & George 1998) en le conjuguant avec un tube UV une ampoule chauffante où une lampe ceramique. Pour controller les température minimales et maximales un thermomêtre peut-être utilisé. Ces pythons vivent dans un environnement arides à l’ouest de l’australie donc ils doivent être maintenu avec une atmosphère sèche ( Hoser 1999). Cependant durant la saison de reproduction on peut fournir au femelle gravide un peut de sphaigne humide dans le terrarium ou dans la cachettes. Ce qui permet de lui fournir un lieu adéquat pour la ponte. Les pythons muent régulièrement, suivant leur age et la quantité des repas, chaque spécimen mue plus de 6 fois par an. La mue doit être vérifié et enlevé. Le bout de la queue et l’écaille occulaire pouvant rester. Dans ce cas il faut la où les enlever. Les restant de mue sur la queue ou l’oeil doivent être enlevé pour éviter d’éventuel complications. Les bains d’eau tiède où les pommades occulaires fonctionnent bien. Auparavant les plus vieux A.perthensis en captivité étaient agés de 16 ans ( Barker & Barker) et de 18 ans ( Hoser 1995). A ma connaissance le plus vieil animal captif maintenant reconnu est un animal maintenue dans l’ouest de l’australie par un employé de la faune sauvage. Le serpent fut trouvé sur une route victime d’un conducteur de camion en 1978, il avait perdu son oeil droit et avait des blessures au palais. Celui-ci fut ammené au zoo et transféré à un centre de conservation de la nature (C.A.L.M) pour le soigné jusqu’en 1982 puis fut transféré au centre de soins et de conservation des reptiles. Il mourru en novembre 2002 après avoir essayer en vain de pondre ( accouplement qui ne furent pas intentionnellement provoqué par l’éleveur). Lorsqu’il fut recuillis ce python était adulte et son age estimé entre 5 et 10 ans. A sa mort il avait vécu 24 ans en captivité son age était alors estimé à 29-34 ans. Dans la nature A.perthensis est connu pour se nourrir à 67% de reptile, approximativement 33% de mammifère ( Kend 1997). Les types de proies sont des geckos, des scinques principalement ctenotus sp. ( Barker & Barker 1994), de petits varan (Brown-cooper 1998) de petite chauve-souris(pers.obs) d’antechinus sp. ( Hoser 1989) et de petits rongeurs ( pers.obs) Ctenotus sp: antechinus sp: En captivité le python pygmé se nourrit aisément de souris d’animalerie ou de raton ( pers.obs) et sont de très bon mangeur dès qu’ils sont démarrés. Malheuresement cet espèce est très petites lorsque les jeunes viennent de sortir de l’oeuf et ont des difficulté, voir ne peuvent pas manger de souriceau ( Barker & Barker 1994 et obs.pers). Ce n’est pas l’idéal mais tout doit être tenté pour les nourrir de souris pltot que de lézards. La méthode la plus adapté consiste à placer un morceau de queue de gecko ou de scinque dans la gueule du rosé. On peut également essayé la méthode du «scenting». Une autre méthode consiste à inciser la boite crainène de la souris et de répandre le contenu sur sa tête. Il y a beaucoup de technique pour démarrer les jeunes et il est interessant d’en prendre note. Une fois démarrés les juvéniles grandissent rapidement. Elevage: La détermination des sexes se fait par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’a la 2 ou 3ème écaille sub-caudale chez les males contre 7 à 9 pour les femelles. Les deux sexes ont de tout petits éperons cloacaux. (Barker & Barker) Il n’y a pas de distinctions caractéristique entre les éperons des males et ceux des femelles. La têtes de males est parfois plus large que celle des femelles. La queue des femelles est également légérement plus courte et plus large à sa base, mais l’étude de ces caractéristique n’est pas suffisament fiable pour determiner le sexe avec certitude. Cela permet simplement d’avoir une idée avant que les serpenteaux soient suffisament agé pour être sondés. Les pythons pygmés sont très petits lorsqu’ils naissent ( environ 200mm), il est donc préférable d’attendre qu’ils aient atteint l’age de 12 mois au moins avant de les sonder. A cet age ils sont légérement plus robustes et mesure environ 250mm. Toutes tentatives de sondage avant cet age peut mener à la perforation des poches hémipéniennes. Accouplement: La reproduction en captivité d’A.perthensis n’est pas difficile et est provoquée par la modification des conditions environnementale pendant l’année. La fraicheur pendant l’hiver stimule la spermatogénèse des males et le dévellopement des follicules ovariens chez les femelles. La période froide s’étend de mai à aout. ( Hoser 1992), Hoser (1999) et Maryan et al. ( 1998) ont constaté que les tentatives d’accouplements étaient infructueuses quand les températures étaient constantes, et fonctionnait lorsque l’on programmait une période hivernale. Vers la fin de la saison froide quand les températures journalières ont été augmentées. On en profite pour introduire les males dans le terrarium des femelles. Maryan & George (1998) introduise les males après que chacun des sexes aient muer. Les accouplements peuvent être observés début juillet et jusqu’en octobre ( pers.obs. et Hoser 1991). Ce qui correspond à la fin de l’hiver et au début du printemps. Les couples sont séparés si au bout de 2 à 3 jours si aucune activité sexuelle n’à pu être observée. Les males peuvent être élevés séparément pour le reste de la saison. Des couples ont été maintenu ensemble pendant toute l’année avec succès pour la reproduction ( pers.obs. et Hoser 1999). Cependant maintenir les serpent seuls leur permet d’adopter un comportement plus naturel. Les copulations sont rarement observés car se passent la plupart du temps dans la boite de ponte ou la cachette. Les copulations lorsqu’elles ont été observés était accompagné par le frottement des éperons le long des flancs de la femelle, en même temps qu’il la reniflait bouche fermée. Hoser à aussi remarqué que le male griffait la femelle avec ses éperons similairement à d’autres espèces de pythons. Le male continuait cela en même temps qu’il faisait passé sa queue sous le ventre de la femelle exposant son cloaque. Lors d’une copulation le male entoura sa queue autout de celle de la femelle en se plaçant parraléllement à elle. Les accouplements peuvent durer plusieurs heures. Si il y a suspicion d’accouplement il est judicieux d’inspecter visuellement le cloaque de la femelle. Parfois celui-ci est gonflé, du sang ou du liquide séminal peut être observé. L’inspection du terrarium peut aussi indiquer qu’un accouplement a eu lieu du fait qu’il y ait des traces de sang ou de liquide séminale. La mue de pré-ponte intervient 26 à 30 jours après et les femelles peuvent régulièrement être observer avec le ventre en l’air dans leur boite de ponte. Des controles réguliers ont montré que la femelle se tourne des deux cotés avant de pondre. Ponte: Le python pygmé est une espèce très discrète, rendant les observations des femelles pondant difficile. Celles-ci préfèrent une boite de ponte compacte avec une petite ouverture dissimulé leur permettant de se cacher. Une petite boite en carton bien rempli de morceau de sopalin, avec un fond de vermiculite très peu humidifiée ou de mousse de sphaigne. Un petit morceau d’ardoise est placé sous la vermiculite pour plus de solidité. Dans certain cas les femelles ont pondus sous les blocs de roches ou elles se sentaient en sécurité. Les pontes ont eu lieu en octobre et novembre, Hoser (1991) et Barker & Barker (1994) ont enregistré les pontes en novembre. Les femelles ont été vues fermement enroulé autour des oeufs pendant l’incubation avec des oeufs en grappes. ( Barker & Barker 1994). Une fois une femelle fut laisser avec sa ponte quelques semaines, elle fut observée en train de trembler en se frottant aux oeufs, surement pour thermoréguler la ponte. Malheuresement les oeufs se déshydratèrent en raison du manque d’humidité dans la boite de ponte. Les données historiques montre que les pontes sont relativement petites de 2 à 4 oeufs. ( Hoser 1991, Barker & Barker 1994). Maryan et George ( 1998) ont obtenus des pontes de 5 et 6 oeufs. Entre 1998 et 2005 huit pontes eurent lieus avec maximum 11 ouefs et minimum 4, la nombre moyen étant de 5-6 oeufs. Sur la ponte de 11 oeufs, huit ont éclots et 3 n’était pas fécondés. Incubation: A ma connaissance aucune incubation paternel n’as réussi en captivité. Après l’oviposition les oeufs sont enlevés et incuber artificiellement. La perlite ou la vermiculite peuvent être utilisé pour l’incubation des oeufs de cette espèce. L’eau et la vermiculite son mélangées à raison d’un ration en poids de 1/1, puis le tout est pressé à la main pour éliminée l’excédant d’eau. La raison principale est que sans four pour la secher il est impossible de dire si la vermiculite à été empaqueté avec de l’eau. Le pressage permet de tester la consistance. ( Note: avec un four pour secher, le ratio en eau doit être de 2 à 2,5 fois plus haut qu’habituellement, la taille des grains de vermiculite peut aussi affecter ses propriétées). De la perlite à été utilisé avec un ratio de 1/1 La hauteur de vermiculite nécessaire est d’environ 5 cm avec les oeufs à moitié enterrés. Les boites d’incubations sont des boites pour le transport des grillons ou des boites en plastiques de tailles similaires avec un couvercle qui ferme. Elles sont aérement chaque semaine. Les données limitées à cette date, ont été de 86 jours d’incubation à 28,9°, 58-62 jours à 29,5° et 60-62 jours à 30,0° ( pers.obs.) D’autre durée d’incubation ont été enregistrées à 60 jour pour 29°-30° et 45 jours à 31° ( Hoser 1981, Barker & Barker 1994). Nouveaux-nés: Les jeunes python pygmé sont très timide à la naissance et rentre souvent dans leur coquille d’un mouvement rapide. ( Aryan & George 1998). Ce qui est probablement due à leur très petite taille ( 200mm et 5,7 gr). Les juvéniles aussi sont extremement timide, souvent décourager pendant la prise de nourriture par un mouvement brusque de l’éleveur ou le plus petit heurt du terrarium. Les serpenteaux peuvent être maintenus dans de petits tupperware pourvu qu’ils soient bien ventilés. Le matériel incluant un substrat de sopalin, une petite roche, une cachette et un bol d’eau. Voila tout ce qui est nécessaire pour que l’animal grandisse. La meilleur solution pour nourrir les petits est de les laisser tranquille, c’est la meilleur solution pour les demarrer. Plus l’on essaye de les forcer moins ils acceptent. Les plus timide par exemple mange lorsque l’on laisse le repas devant leur cachette. Conclusion: A.perthensis est un fantastique python à élever. Ils sont calmes dès mors qu’ils sont habituer, une fois adultes ils se nourrissent sans problème et n’ont pas de problèmes de santé particulier. Certaine personne trouveront l’élevage de cette especes dépourvu de challenge, mais je trouve que c’est ce qui fait le charme de ce python.
  3. D’après: Python tacheté antaresia maculosa (Peters 1873) Référencé dans la littérature ancienne sous le nom de python de children, mais dorénavant plus connu sous le nom de python tacheté. Cette espèce est parmis les plus petite d’Australie avec une taille moyenne d’un mètre. C’est un serpent robuste avec la tête légérement plus large que le coup. La coloration est crème à marron jaunatre, occasionellement teinté de rouge avec un patron dorsale brun chocolat à marron pourpre constitué de tache aux bords irréguliers. Le nom nombre et la taille des taches peut varier selon les populations. Les pythons tachetés ont des reflets irisés fluctuant sur le corps. La face ventrale est blanche avec des reflets translucides. Habituellement trouvé dans les affleurement rocheux des praires, des zones boisés aux abords des forêts tropicale humide, et dans les zones à la végétation sclerophyll ( végétation aux feuilles dures ressemblant à ce que l’on trouve dans le sud de la france): Ils se rencontrent dans l’est du queensland et quelques iles au large de Cap York , au sud de la zone de Tamworth en nouvelle galle du sud. Les males s’engagent dans des combats rituels et les accouplements ont lieu d’avril à aout avec environ 12 oeufs pondus en octobre ou novembre. Le python tacheté est essentiellement terrestre, on le trouve la plupart du temps dans des blocs rocheux mais aussi dans les terriers inhabités, les termitière et les caves. Ils sont nocturne et traverse régulièrement les routes lors des soirées chaudes. Leur nourriture est composé de petits oiseaux, grenouilles, lézard et de petits mammifères. Cette espèce est très connu pour attendre à la tombé de la nuit à l’entrée des caverne pour s’alimenter de chauve-souris. Maintiens en captivité: Les pythons tachetés ont été capturés en Australie et dans d’autre pays. Beaucoup d’amateur de serpent ont commencé leur collection avec cette petite espèce facile à maintenir et à reproduire. C’est une espèce populaire auprès des débutants du fait de leur docilité lors des manipulations. Mis à part quelques individus récalcitrant, cette espèce ne mord que rarement. En captivité A.Maculosa atteind une taille et un poids supérieur par rapports aux individus sauvages et peuvent ainsi atteindre 1m50. Les males peuvent se battre et s’infliger des morsures s’ils sont maintenus ensembles. Reproduction: La détermination des sexes se fait par sondage: chez les femelles la sonde s’enfonce jusqu’a 2 à 4 écailles sub-caudales contre 7 à 10 chez les males ( Barker & Barker 1994). Les serpents adultes présent au sein de l’élevage sont maintenus à raison d’un male et deux femelles dans des terrarium en bois avec une surface au sol de 55 cm * 46 cm pour une hauteur de 45 cm. Chaque terrarium à une vitre encadré d’aluminium sur le devant sur toute la hauteur et de même longueur que l’enclos. Chacune de ces unités contient un rack de 6 terrariums pour une dimension totale de 3 m de long et 2 m de haut. Sur chaque étage un système de chauffage au sol est placé. Un conduit en plastique de 12 cm * 7cm est fixer contre le fond de chaque terrarium. Du sable d’aquarium préalablement lavé est utilisé comme substrat et régulièrement changé dès que celui-ci est souillé ou trop ancien. Chaque unité contient une cachette en forme de petit terrier. Un bol d’eau suffisament grand pour la baignade et servant d’abreuvoir est mis à disposition. L’eau est changé régulièrement. Il n’y a pas de lumière naturelle dans la pièce, mais des tubes fluorescent à large spectre de 1m20 sont fixer dans les terrariums. Ce qui est suffisant pour éclairer durant la journée. Chaque terrarium est chauffé par deux lampes à incandescence bleus de 25 W. Les ampoules bleus sont utilisées pour que la nuit les terrariums restent dans une relative obscurité. Ces ampoules sont thermostatées pour atteindre 27°-29° dans chaque unité. Ces températures sont maintenus jours et nuits d’aout à début mai. De mai à fin juillet elles sont réduites de manière à obtenir 21°-23°. En moyenne les serpents adultes sont nourris 3 fois par mois d’aout à début mai. Le repas moyen pour un serpent est de 2 souris d’un poids total de 55-60 gr. Accouplement: La saison d’accouplement commence fin avril et continue jusqu’à mi-aout. Les serpents sont en hivernage durant la majeur partie de cette période, du début en mai, jusqu’à fin juillet. Si cette période s’allonge les accouplements sont plus nombreux selon nos observation. Avant les accouplements un male a été observé en train de mordre doucement la femelle sur le dos, et celà chaque année. Ponte: Plusieurs semaines avant la mue de pré-ponte les femelles refusent de se nourrir. J’ai noter que la mue de pré-ponte avait lieu de 21 à 25 jours avant la ponte. A ce stade la femelle se love en exposant son ventre. Juste avant la ponte la femelle creuse une dépression dans le gravier ou elle pondra ses oeufs. Sur 20 pontes, 5% furent pondu en septembre, 70% en octobre et 25% début novembre. Taille de la ponte: 10 oeufs (4 à 16) Taux de fertilité: 84,6% ( 33% à 100%) Longueur des oeufs : 38,7 mm (36 mm à 44,6mm) Diamètre des oeufs: 24,5 mm ( 22,3 mm à 26,7 mm) Poids des oeufs: 13,1 gr (11,1 gr à 15,4 gr) Incubation: Les oeufs sont incubés dans des boites en plastique, de la vermiculite de granulométrie moyenne est utilisée ( la vermiculite à granulométrie trop fine n’est pas recommandé pour l’incubation des oeufs de reptile). L’eau ( 140 gr) est mélangé à la vermiculite ( 150 gr). Ce qui equivaut à une épaisseur de 3 cm dans la boite. Si nécessaire les oeufs sont vaporiser plus tard. L’humidité relative doit resté élevée. Les moyenne de température durant l’incubation sont de 29,5°-32°. En 1979, en raison d’une humidité excessive dans la boite, un oeuf à gonfler au point de rompre. L’oeuf n’en était qu’au 31ème jour d’incubation, il à été décidé d’essayer d’expérimenté et une sorte de couveuse fut fabriqué. Cet effort fut récompensé après une nouvelle attente de 23 jours, le jeune émergea de son oeuf entièrement ouvert en même temps que les autres petits de la ponte sortaient. Des mesures de poids ont été prise environ une semaine avant que la coquille des oeufs soit fendue. Bien que cela n’ai été fait que sur 15 pontes toutes sauf 4 on perdu du poids. Ces 4 pontes ont eu un gain moyen de 0,40 gr/oeuf ( 0,21 gr - 0,72 gr). Le poids perdu par les 11 autres pontes fut de 1,08 gr/oeuf ( 0,02 gr à 3,37 gr) La longueur des oeufs varie pour un gain moyen de 0,72 mm/oeuf ( 0,10 mm à 1,20 mm) sur 13 pontes, 2 pontes ont perdus en moyenne 0,45mm/oeuf (0,10 mm à 0,80 mm). Le diamètre moyen des oeufs a augmenté de 0,57 mm/oeuf ( 0,10 mm à 1,30mm) sur 15 pontes. Le temps d’incubation a osciller entre 46 et 61 jours, avec une moyenne sur 20 pontes de 53 jours. Le pourcentage d’éclosion des oeufs ayant été incubés à varie de 57% à 100%, moyenne de 87% sur 20 pontes. Nouveaux-nés: En raison du grand nombre de petits élevés les techniques de maintiens et de nourrissage ont été affiner au fur et à mesure des années. Plus de 80 pythons tachetés ont vu le jour en une année, et sans des notes appropriées et une routine organisé, cela aurait pris un temps trop important par rapport au reste de l’élevage. Il n’est pas rare de perdre un nouveau-né. Bien que j’ai rencontré quelques jeunes plus difficile, le recours au force-feeding n’as jamais été nécessaire. A la naissance chaque petits se voit attaché un numéro d’identification qui est collé sur son terrarium et une fiche de suivie est crée. SP861/4 signifie simplement que le python tacheté est né en janvier 1986 et que son numéro individuel est le 4. Si la première ponte contient 15 ouefs , le nouveau-né de la deuxième ponte aura comme numéro de référence le 16. Chaque serpenteau est logé individuellement dans une boite en plastique de type tupperware mesurant 24 cm* 16cm* 9cm de haut. Celles-ci sont placées dans un rack à 6 étages mesurant 2m20 de long, 1 m de haut et 24 cm de large. Ce qui permet de maintenir beaucoup de jeune en n’occupant qu’un minimum de surface. Du sable fin d’aquarium préalablement lavé est placé dans chaque contenant ainsi qu’un petit bol d’eau. Des trous pour l’aération sont percé sur le dessus du couvercle et juste au dessus du bol d’eau. Aucun système de chauffage additionnel n’est utilisé étant donné que la température ambiante de la pièce d’élevage est suffisante, excepté en hiver lorsque le nourrissage des petits peu durer encore à ce moment. Durant cette période la température peut descendre jusque 20° mais le reste du temps les température sont au dessus d’une vingtaine de degrés. Dans la nature les jeunes A.Maculosa se nourissent principalement de jeunes lézards. Pour une grande variété de raisons tout est fait pour éviter de donner au juvéniles des scinques comme proies. Le but est de leur faire accepter le plus rapidement possible les foetus de souris. L’alternative, avant que ceux-ci n’accepte les souriceaux, et plutot que leur proposé des scinques est de donné des poissons, technique également adapté pour A.Childreni. Le premier repas distribué est une souris nouveau-née. Un petit pourcentage accept tout de suite ce premier repas. Pour ceux qui ont refusé ont leur offre un rosé frotté sur un lézard ou une mue de lézard. Les proies sont proposées à la pince car à cette age les jeunes sont quelques peu taquins et montre des signes certain d’agressivité. La technique du scenting consiste à frotter une souris sur un scinque ou un poisson, sur la région du nez et ensuite de la proposer. Des scinques ou poisson vivant peuvent être utilisés pour cette technique, mais lorsqu’il s’agit de scinque, j’essuie généralement des excréments sur le nez de la souris pour augmenter les odeurs. Plus de 50% acceptent l’une de ces deux techniques. Pour les nouveaux-nés restant on leur offre une souris tout juste né avec un morceau de 5 mm environ de queue de scinques que l’on enfonce dans la bouche de la souris. La souris est toujours tuer avant d’insérer le morceau de queue de lézards, de la même façon on la présente à la pince pour ne pas trop ennuyer le serpent. Cela permet de nourrir la majorité des jeunes, seulement un petit nombre n’ont alors pas mangés. Pour les dernier récalcitrant, on propose un rosé de souris avec un scinque ou un poisson. En essayant de poursuivre le lézard ou le poisson la souris peut être accidentelment saisi par le serpent. Dans ce cas on enlève immédiatement le lézard ou le poisson pour permettre au serpenteau de se concentré sur la souris. enfin pour ceux qui n’auraient toujours pas mangé de souris ont leur propose un scinque ou un poisson pour que lors du prochain repas ils acceptent un souriceau frotté sur la proie de sa préférence. Pour certains spécimen il faudra répété ce procédé quelques fois avant qu’il n’accepte les rosé. L’étape suivante consiste à faire accepté aux juvéniles une souris sans que l’on ai besoin d’utilisé la technique du scenting. Pour cela pour les repas suivant on leur propose en premier une souris normal , certain la mangeront pour les autres ont réutilise la technique du scenting. La plupart acceptant sans avoir besoin d’utilisé d’artifice. Les jeunes sont nourris une à deux fois par semaine en fonction de leur appétit. Les fiches d’élevages sont systématiquement remplis jusqu’a ce que le serpent en question quitte l’élevage. Conclusion: Les serpents étaient mis à la diète quelques jours avant d’être pesé pour s’assurer d’avoir des donner de poids fiable. Le nombre de mues et leurs fréquences furent notées. Dès que le serpent se nourris correctement de souris , A.maculosa grandit rapidement et atteint la maturité avant 2 ans. La première mue intervient 7 à 8 jours après la naissance. A partir de là les mues sont tout à fait régulière, de 13 à 18 mues en 24 mois pour chaque serpent. Apparement cela est dicté par le nombre de repas et non par la quantité leur de ceux-ci. Il a été noté pour un spécimen que celui-ci a consomme deux foids son poids en nourriture, pris 87 repas, il a mué 17 fois pendant cette période.
  4. D'après: Traduction par mes soins Python de children Le python de children antaresia childreni , se rencontre au nord de l’Australie depuis le nord de l’australie occidentale et dans le territoire du nord jusqu’au nord-ouest du queensland. Cette espèce à été nommé en l’honneur du naturaliste anglais J.G Children, et non pas comme on pourrait le croire en raison de sa taille. Ceux-sont de petits serpents relativement minces avec une tête qui est très légèrement plus large que le cou. Ils sont parmis les plus petit python d’australie avec une taille moyenne d’environ un mêtre. Le python de children à un patron constitué de petites taches discrètes et contrastant à peine avec la couleur de la terre. Quelques individus ont des motifs dorsaux à la naissance et le perdent en grandissant, devenant d’une couleur brune uniforme. Les gammes de couleurs du corps vont de brun jaunâtre pâle, à brun violacé foncé nuancées de diverses teintes de rouges. Le dessous est blanchâtre avec un doux éclat transparent. Une bande sombre est généralement présent de la narine jusqu’à la base de la machoire en passant par l'oeil. Les deux sexes possèdent des éperons de cloacaux. Habituellement rencontrés dans les affleurements rocheux des prairies, les régions boisées et les forêts de mousson. Ils s'abritent au-dessous de la roche, sous les écorces, se dissimulant sous des détritus, dans des cavernes, des termitières et des rondins creux. Leur régime est varié et ils sont connus pour s’alimenter de petits oiseaux, de grenouilles, lézards, serpents et de petits mammifères. Les pythons de children sont terrestres et nocturnes et se rencontrent régulièrement sur les routes lors des soirées chaudes. Les mâles s'engagent dans des combats rituels et les accouplements ont lieu en juin-juillet les pontes de 7 à 20 oeufs ont-elles lieu en septembre-octobre. Maintien en captivité: Ce python est robuste en captivité et tolère une large palette de conditions environnementales. Mes installations sont constituées de racks de terrarium en bois melaminé blancs dans une pièce isolée et chauffée. Les terrariums ont des portes en verre sont de petite taille et mesure 60cm de long, 40cm de large, et 30cm de haut. Le substrat est constitué de gravier blanc pour aquarium de 3mm de granulométrie sur une hauteur de 3 cm. Chaque rack contient 9 terrarium ( 3 en longueur et 3 en hauteur), chauffés individuellement par une ampoule de 40W connecté à un thermostat . Les thermostats sont connectés pour réguler deux terrariums séparément. Cela permet de s’assurer qu’il n’y est pas de surchauffent si une ampoule grille dans le terrarium contenant le thermostat. Les températures varie tout au long de l’année et selon les saisons. Les températures à l’interieur des terrariums varie d’un minimum de 17° en hiver jusqu’à 36° en été. La durée journalière de l’éclairage varie également selon la saison, de 8-9 heures en hiver pour 14 heures maximum en été. Aucun système de chauffage n’est utilisé la nuit, la température descend alors pour atteindre celle de la pièce d’élevage. Le gravier servant de substrat permet d’emmagasinner la chaleur, pour la restituée lentement durant la nuit. Les fenêtres de la pièce fournissent une photopériode naturelle pour le nord de Victoria , Australie. Les températures sont réglées pendant l'année pour amorcer les accouplements des pythons. Pendant le printemps et l'été les températures sont maintenus dans une gamme relativement étroite. Quand la saison de reproduction commence en automne, les températures sont abaissées progressivement, avec les températures les plus basses enregistrées en hiver en juin et juillet. Les hautes températures de jour sont augmentées pour compenser les diminution des températures de nuits et les heures de lumière du jour diminuées. Les fournitures des terrariums sont constituées de gravier pour le substrat, d’un bol d’eau, une cachette constitué d’une écorce courbe d’eucalyptus permet d’offrir au serpent un endroit où il se sent en sécurité. L’eau est changé chaque semaine en utilisant un bol désinfecter. Chaque spécimen est logé individuellement durant la majeure partie de l’année, ce qui permet de les nourrir plus aisément et de faciliter les opérations de maintenances. Cependant la séparation pour l'alimentation n'est pas essentielle en raison d’une interaction sociale aboutissant à la formation d’une hiérarchie n’influant pas sur un eventuel stress des pythons. Il sont seulement appareillés pour les accouplements pendant l’hiver et le male est toujours introduit chez la femelle. Les pythons sont solitaires dans la nature excepté durant la saison de reproduction où des rassemblements ont été observé. Cette espèce est reconnue pour sa nature docile, ce pourquoi il est très connu des commerçants spécialisé. Les cas de morsures sont généralement observer durant le nourrissages où si les mains du soigneurs n’ont pas été lavées et sentent encore le rongeur. Certains spécimens peuvent devenir agressif lors des nourrissages au point de mordre à plusieurs reprises quand ils sont manipulés. Cette espèce est généralement d’habitude sédentaire, attendant en position d’embuscade mais peu aussi bien chasser activement. Les spécimens peuvent être observés attendant passer la nourriture depuis leur cachettes. Cette position peut être tenue pendant des heures voir des jours et des nuits. Quand ils sont affamés, les pythons de children deviendront souvent très actifs se déplacants dans leur terrarium à la recherche d’une proie. Ils sont nourris de souris fraichement tuées ou décongelées. Aucune proie vivante n’est proposé en raison du risque de morsure du rongeur sur le serpent durant la constriction. Les proies mortes sont attaquer et étouffer comme si elles étaient vivantes. Certains spécimens, toutefois, mangent leur proie directement sur le sol sans qu’il n’y est de constriction. Mais la plupart preferent que la proie soient présentée à la pince et légérement secouée comme pour simuler quelle est encore en vie. Les spécimens plus vieux ( 15 ans et plus) peuvent avoir des difficultés à se nourrir en raison de l’incapacité à coordonner leur attaque. Ces individus apprendront souvent à ouvrir la bouche pour permettre l'introduction d'une souris, qu'ils avaleront alors avec difficulté. Les femelles refusent généralement les repas à partir d’avril et jusqu’a la ponte au printemps. Les males seront de nouveaux nourris après la saison des accouplements durant l’hiver. Puis ils sont nourris durant tout l’été et l’automne. Les femelles ayant besoin de refaire leur reserve après avoir pondu sont donc nourris autant qu’elles peuvent manger. Ce qui a pour effet de leur faire prendre rapidement du poids. Les males sont alimentés selon un régime de maintenance, la fréquence des repas étant augmenté durant l’été. Deux à trois souris adultes sont distribués à chaque repas. A la fin de l’été les femelles ont largement refait leur réserves. Les femelles sont accouplées chaque années, sans que celles-ci ne sautent une saison de reproduction. Les proies sont supplémentés avec du mutton bird oil tous les deux ou trois repas. C’est une huile obtenu à partir d’oiseaux et riche en vitamine et oméga 3. Mutton bird: reproduction: La détermination des sexes ce fait par sondage, chez les femelles la sondes s’enfonce jusqu’a 3-5 écailles subcaudales contre 9 à 12 chez les males. Les données présentées proviennent de l’élevage de 46 A.childreni élevés en dans le nord de Victoria en australie entre 1985 et 2000. Les pythons étant originaires de kimberley (ouest de l’australie), darwin ( territoire du nord) et du mont isa et burketown ( queensland). Accouplement: effectué une mue de pré-saison Les couples sont présenté durant les mois de mai, juin ,juillet et aout. La plupart des accouplement surviennent à la fin du moi d’aout. Le male est toujours introduit dans le terrarium de la femelle, où il cherche et sent tout le terrarium. Les parades nuptiales et les accouplement ont généralement lieu 1 ou 2 jours après l’introduction du male. Le male pouchasse la femelle pendant des heures dans le terrarium et les accouplements peuvent aussi durer plusieurs heures. Les combats entre male peuvent être utilisés bien que cela ne soit pas forcement nécessaire pour provoquer les accouplements. Cela dit si un male se désinteresse de la femelle l’introduction d’un concurrent peut le stimuler. Dans ce cas les males devront être étroitement surveillé car les combats pourraient engendrés de graves belssures pour l’un ou l’autre des belligérants. Le mâle effectue souvent une mue de pré saison des amours en mai ou juin puis une autre precedant la saison de reproduction. Les femelles peuvent aussi effectué une mue de pré-saison sans que cela soit une donnée fiable. Les copulations ont été observées à la tombée du jour et le plus souvent, tot le matin au moment de la journée le plus froid et peuvent durer pendant plusieurs heures jusque vers midi. Les males sont généralement introduit chez la femelle durant une semaine, laissant le week-end à la femelle puis sont réintroduit dans le terrarium de la femelle pour une semaine. Les males sont enlevés fin juillet début aout. Ponte: Après la saison des accouplements, les femelles les femelles deviennent craintive et se cachent. A partir de la fin juillet et durant le mois d’aout, les femelles peuvent être observées se rechauffant en exposant leurs ecailles ventrales. L’ovulation n’est pas visible chez antaresia childreni et determiné si une femelle est gravide n’est pas facile. Cependant malgré le tonus musculaire de cette espèce en manipulant les femelles il est possibles de sentir les oeufs. Si une femelle refuse ses repas et se positionne les ecailles ventrales en l’air, cela signifie qu’il a des chances que celle-ci soit gravide. Les oeufs sont pondus au printemps dans la boite de ponte ou sous la cachette en écorce d’eucalyptus. La femelle forme une dépression peu profonde dans le substrat quelques jours avant la ponte. Des boites de glaces emplie de sable humide et de sphaigne ou de vermiculite, avec un trou sur le couvercle sont placés dans le terrarium après la mue de pré-ponte. A condition que la femelle ait bien été diagnostiquée gravide. Après avoir pondu la femelle réunis les oeufs en grappe pour les incuber si on lui permet. Incubation: Chaque ponte a été incuber artificiellement, car les terrariums ne sont pas assez humides pour permettre à la femelle de les couvés. Le bois utilisé pour la conception des terrariums n’est pas adapté pour maintenir une humidité suffisament élevé pour une incubation maternelle. Cependant on peut placer les oeufs dans une boite en plastic et la placer dans le terrarium, cette méthode fut utilisée avant la construction d’un incubateur. Les températures étant réglées sur des valeurs de 27° à 32° et la boite placé dans le terrarium de la mère jusqu’à l’éclosion. Le jour de la ponte, les oeufs étaient enlevés à la femelle, chaque oeufs étaient séparé de la grappe, pesé et mesuré avant d’être placé dans la boite d’incubation remplie de vermiculite. L’eau et la vermiculite était dosé de façon à ce que le poids en eau soit égales au poids de la vermiculite ( Barnett 1981). Parfois, les oeufs ne pouvaient pas être séparer lorsque ceux-ci étaient pondu en grappe. Lorsqu’il était impossible de les séparer sans risquer d’abimer leur coquille. Les oeufs étaient alors incuber en grappe et à moitié enterrer dans la vermiculite. Un morceau de sopalin humide était parfois posé sur le dessus de la ponte pour éviter que les oeufs de dessus ne se déssechent, car n’étant pas en contact avec la vermiculite, il arrivait que ceux-ci ne soit pas suffisament hydrater. Les oeufs du dessus étaient ainsi suffisament humidifié par le sopalin humide Cependant même si certains sont enterrés entièrement ils éclosent normalement. Il apparait que les oeufs atteindront l’équilibre avec leur environnement. Des changements soudains de température et des taux d'humidité devraient être évités pendant l'incubation.Les oeufs du dessous de la ponte qui sont enterrés dans la vermiculite peuvent aussi devenir gonflés. Il est plus aisé d’incuber les oeufs si ils sont séparer à la ponte et placer dans des container d’incubation individuels. Si un oeufs meurt il est ainsi plus facile de l’enlevé. Si un oeuf attaché à la grappe meurt, alors il peut être enlevé ou laissé en place. Parfois un oeuf peut devenir moisis et se décompose sans que cela n’affecte les autres. D’autre fois ces moisissure se répandent et affecte toute la ponte, avec un petit pourcentage seulement qui arrivent jusqu’a l’eclosion. Les oeufs sont incuber à 30°/32° ( +/-1°). Dès la ponte les oeufs sont marqués sur le dessus avec un crayon à papier, plutot qu’un stylo à bille ou un feutre qui pourrait être toxique pour les embryons. Le graphite du crayon à papier est inoffensif pour les oeufs qui peuvent être marquer avec des numéros, sans préoccupation. Les oeufs ne doivent pas être retournés pendant l’incubation. Si ils sont déplacés, ils doivent être replacés dans la même position avec le marquage sur le dessus. Les oeufs peuvent ainsi être manipulés pour inspection sans crainte pour le développement des embryons. En revanche les chocs soudains ou de petites secousses sont en revanche à éviter. Les boites de pontes ne sont pas laisser à l’abandon et sont ouvertes régulièrement, une à deux fois par semaine pour inspecter les oeufs et oter ceux qui ne serait pas fécond. L’air à l’intérieur de la boite de ponte est par la même occasion renouvelé. L'eau, en raison des différences de température, migrera souvent sur les cotés de la boite de ponte. Remuer périodiquement la vermiculite évitera que le substrat de ponte ne devienne trop sec autour du substrat de ponte. Lors des 2-3 dernière semaine il est normal que les oeufs s’assèchent et apparaissent déshydratés. A ce stade, il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’eau. La boite de ponte peut être ventilée avant que les eclosions ne commencent pour que les nouveaux-nés puissent profiter pleinement d’ai frais. Lorsque le premier oeuf est percé par la dent de l’oeuf du premier serpenteaux, alors tous les oeufs sont ouvert en utilisant des ciseaux à ongle. Une petite incision de 10-15mm de long sont fait sur le haut de l’oeuf. Les jeunes peuvent mettre un où deux jours pour émerger de l’oeuf après qu’ils aient sortis la tête. Les petits peuvent mettre jusqu’une semaine pour que tous éclosent. Eclosion: Dès l’éclosion chaque nouveau-né est placé dans un container en plastic mesurant 23cm de long, 16cm de large et 8cm de haut. Des trous pour la ventilation sont percés sur le dessus de la boite. Du sable pour aquarium est utilisé comme substrat et changé dès que nécessaire. Un petit bol en plastic est utilisé pour l’eau et une écorce d’eucalyptus est utilisé comme cachette. Durant les mois les plus frais de l’année quand les température de la pièce sont fraiches, une plaque chauffante est placé sous 1/3 des container et thermostaté de manière à obtenir 32°35°. Aucune tentative de nourrissage n’est tentée avant la première mue intervenant environ 2 semaines après la ponte. Quelques spécimens acceptent comme premier repas un foetus de souris, la plupart nécessitant que la proie soit frottée sur une mue de gecko ou de petit scinque. Cette espèce apparait plus difficile à faire accepter les rosés de souris qu’ A. Maculosa. Les jeunes A. childreni sont généralement plus petit et plus agité que le premier repas qu’ils acceptent. Les pontes varient aussi en fonction de facteurs maternelles. Certaines femelles produisant des pontes où beaucoup de jeunes sont bons mangeur. Des méthodes variées ont été utilisées pour passer les jeunes aux foetus de souris. Dès qu’un specimen accepte les souris, on ne lui porpose pas autre chose pour éviter que celui-ci ne développe une preference pour la nourriture qu’il trouve habituellement dans la nature comme les scinques. Quelques specimens lors de leur premier repas exigent que l’on frotte la souris sur un gecko où un scinque avant qu’il ne l’acceptent. D’autre encore, acceptent le repas si l’on met un petit morceau de queue de lézard ( environ 2mm)) dans la gueule du rosé décongelé. Les sujets refusants toutes nourritures sont gavés à l’aide d’une queue de souris, avant que ceux-ci n’acceptent leur premier repas. Conserver un tupperware remplis de queues de rongeurs et les décongelées au dernier moment permet de nourrir un grand nombre de nouveaux-nés en peu de temps. Les queues des rongeurs sont coupées suivant un angle de 45° à la base pour faciliter l’entré de celle-ci dans la gueule du serpenteau. ceux-ci ouvre la bouche prestement et la queue de souris est insérer jusqu’a environ la moitié de la gorge. Après cela la plupart termine leur repas seul. D’autre le recrachant, l’opération est alors répétée. Les poils de la queue étant dans le sens inverse de l’ingurgitation, rend cependant difficile la régurgitation. Les bébés anguilles étaient utilisées il y a quelques années avant qu’ils ne deviennent introuvables. C’etait une bonne source de nourriture pour les jeunes serpents, particulièrement les serpentaux venimeux d’ailleurs. L’assist-feeding, peut-être nécessaire 2 fois par semaine et jusqu’a 10-12 repas avant que les jeunes pythons de children ne se nourrissent volontairement. Quelques récalcitrants devront être encouragés pendant 6 à 8 semaines après quoi, tous les jeunes acceptent avec empressement les foetus de souris. Les jeunes un peu plus agés sont généralement nourris d’un rosé ou d’un jeune blanchon 2 fois par semaine. Comme pour les adultes l’eau est changée deux par semaine. Les données de croissances n’ont pas été notées régulièrement. Les jeunes grandissent rapidement avec un régime à base de souris de laboratoire et atteignent leur maturité vers l’age d’un an et demi. A ce stade ce sont de petits adultes et les accouplements ne sont pas provoqués avant qu’ils n’est 2,5 ans, quand ils sont plus gros et capable, pour les femelles, de pondre en plus grande quantité. Conclusion: Les deux reproducteurs originels furent obtenus en 1984 et étaient toujours en vie en juillet 2001. La femelle ( ref:SC) provenant de Darwin, le male ( ref:CPG) de Burketown dans le queensland . Ces deux animaux sont toujours en vie et en bonne santé. Leur descendance issus de la première ponte devinrent reproducteurs quelques années plus tard. Maintenu pendant 16 ans en captivité, et étant adulte au moment de leur capture, leur age est estimé à 20 ans. Le nombre moyen d’oeufs par ponte étaient de 10 avec un écart de 2 à 20 . Greer ( 1992) nota un nombre moyen d’oeufs de 12,8 sur 30 pontes. Shine ( 1991) rapporta une moyenne de 7 oeufs par ponte à la suite d’étude sur le terrain et de dissections faites au museum. La taille des pontes décrit ci-après sont basés sur les observations d’autres éleveurs. Un pourcentage d’éclosion de 83% est consistant selon Barnett’s (1987) contre 87% chez A. maculosa. Le temps moyen d’incubation est de 53 jours avec un minimum de 45 jours et un maximum de 73 jours. Greer (1997) observa une moyenne de 52,7 jours en se basant sur diverses sources. Les femelles muent environ 1 mois avant la ponte, ce qui peut servir de référence pour déterminer la date de ponte. Barker&barker ( 1994) donne comme période entre la mue de pré-ponte et la ponte un nombre de 20 à 30 jours pour une moyenne de 24,6 jours, sur 10 ponte étudiées. Au sein de l’élevage la durée d’incubation varie de 28 à 36 jours ( moyenne 32) pour un total de 17 pontes. La période entre la dernière copulation observée et la ponte est en moyenne de 103 jours. La plupart des accouplements ont lieu en hiver, 51% en juin, 35% en juillet. Sur 46 pontes; 15% eurent lieu en septembre, 59% en octobre, 26% en novembre, beaucoup de ponte éclosent en novembre et décembre. Le poids moyen des oeufs fut de 11 grs, moins que ce qu’on indiqué barker & barker (1987) pour A.maculosa ( 13 grs). Les oeufs d’A.childreni sont donc plus petit qu’A.maculosa. Les grosses femelles effectuent des pontes plus consistantes (shine,1991). Ce qui est illustré par la femelle (ref: AN), sa première ponte de 11 oeufs fut déposée en 1993. Au fur et à mesure que la femelle grandissait le nombre d’oeufs aussi: 15,18,19, et finalment 20 oeufs en novembre 2000. L’effort de reproduction au sein de lélevage est de 0,46. Ce qui signifie que le poids des oeufs représente 46% du poids de la femelle. Avec un minimum de 0,28 et jusqu’à 0,62 soit 28% et 62% du poids de la génitrice. Sur trois ponte barker&barker (1994) ont noté un effort de reproduction de 0,44 ce qui est à peu près équivalent au résultat au sein de l’élevage. La femelle (ref: AN), lors de ses 3 dernières pontes à obtenu 58,60, et 62% de son poids, ce qui apparait exceptionnel. La femelle (ref: SC) à pondu 40,42 et 46% de son poids, la femelle ( ref: JA) elle à obtenu 53,59,28 et 37%, le taux bas de 28% est du à une ponte d’oeufs non fertile ou très léger. Plusieurs personne ont étudié la reproduction de cette espece dont: Dunn (1979), sheargold (1979), van der heijden ( 1988), récapituler par Greer ( 1997). Une étude complète du python tacheté ( A.maculosa) sur 20 pontes donnant lieu à des naissances ont été publiées ( Barnett 1987). Barker&Barker (1994) ont résumé des résultats non-publiés de Cantle ( georgen and V.P.I. inc.) De nombreuses publication anciennes sont peu claires et l’on ne sait donc pas à quelle especes elles font references. Beaucoup d’etudes à propos d’ A.childreni, sont en fait imputable à A.maculosa. Car beaucoud de données ont été perdu ou confondues lore de la division du groupe d’ A.childreni il y a une vingtaine d’année.
  5. D'apres : Traduction par mes soins ( alors patience et indulgence!) Nom scientifique: morelia spilota mcdowelli Nom commun : python-tapis cotier (wells & wellington,1984) Texte original: brad walker Le python tapis cotier ( morelia spilota mc dowelli) frequente les cotes orientales de la Cordillère australienne (en anglais: the Great dividing range) qui est la seule chaîne de montagne importante d'Australie et tout le long des cotes du queensland, de la péninsule du cap york jusqu'au sud de coffs harbor dans le nord de la nouvelle galles du sud. De frequentes observations font état de python d'une longueur de 2,5m cependant de plus gros spécimens ont été enregistrés à plus de 4m. Généralement trouvé dans le bushland boisé, souvent proche des ruisseaux et des voies naviguable arborées. C'est une espece familiere de beaucoup d'australien car etant bien connu pour s'aventurer des buissons bordant les zones urbaines jusqu'a celles-ci où ils entrent dans les granges ou autres abris, s'exposant parfois sur les chevrons des toits; attendant patiemment une proie. Occasionellement ils peuvent s'aventurer jusqu'a l'interieur des logements ou peuvent etre rencontrés pres ou dejà a l'interieur des poulailler cherchant un repas facile. Cette espece a des couleur varier. La coloration dorsale peut etre creme pale avec des petites quantités de marques sombre devenant plus visibles vers la queue.La gorge et le ventre sont blanc ou creme. Le pattern le plus frequent est composé de motifs diagonales noir ou marron foncé bordé de jaune ou creme. La couleur de la tete n'est pas uniforme ce qui permet un bon camouflage. Les spécimens plus vieux developpent une tetes massive et bien distincte et un corps massif. La pupille de l'oeil est verticale. Cinq fossetes thermosensibles sont nettement distinctes sur la machoires inférieur, d'autres sont egalement visible entre les narines et la lèvre supérieur. Considéré comme une espece nocturne durant les mois les plus chauds, cependant durant les mois plus frais des individus peuvent etre observé sur les toits ou dans les arbres profitant des rayons du soleil matinal. Les proies incluent une variété de mammiferes, des oiseaux et a moindre mesure des reptiles ou des grenouilles. tandis que les juveniles se nourissent de lézards, covacevich & couper (1992) ont decrit que les juveniles se nourissent de grenouilles blanches des arbres (litoria caerulea). Cette espece est l'un des plus populaires parmis les pythons australien dans les collections captive depuis de nombreuses années. Maintenance Les informations de maintenances proviennent des données délevage et de gestion de morelia spiolata mcdowelli entre 1986 et 2006, à l'ouest et au nord ouest de sydney (1) en nouvelle galle du sud , australie. Tous les specimens étant originaires de Byron Bay (9) en nouvelle galles du sud ainsi que ses district environnant. Le mcdowelli est considéré comme la plus grosse sous espece de morelia, puisqu'il peut atteindre une longueur de 4m. Cette espece est particulièrement adapté à l'escalade, avec ceci à l'esprit on doit prendre de serieuses considerations au moment des choix concernant le terrarium, que ce soit pour les adultes ou les juvéniles. Chaque specimen sera loger individuellement pour facilité les operations de maintenances Les specimens adultes de l'elevage ont une taille comprise entre 2m et 3,2m. Ils sont loger dans deux types de terrariums, intérieur mais aussi extérieur. Les terrariums intérieurs sont construits en bois aggloméré stratifié et resistant a l'eau de 16mm d'épaisseur. D'une dimension de 1m de long, 1m30 de haut et 60cm de profondeur. Le terrarium a une planche de 20cm en haut pour garder au maximum la chaleur et permettre de dissimuler lappareillage electrique. En bas une autre planche de 20cm permet d'éviter que du substrat ce coince dans les rails des vitres. Trois morceau de tringle a rideau de 5cm de diametre sont fixés a 70cm du sol sur toute la longueur du terrarium. Une etagere de 50cm*40cm est incluse et positionnée à une distance de 40cm des lampes chauffantes permettant d'obtenir une zone d'insolation. Deux vitres coulissantes de 5mm sont utilisées pour l'ouverture frontale. Les vitres sont désormais en verre "securit", car par le passé du fait de la puissance des individus il est arrivé qu'ils cassent les vitres en verre standard et s'echappent. Le chauffage est forni par le biais de deux dispositifs, un pour le cycle jour l'autre pour le cycle de nuit. Le cycle de jour comprend deux lampes ceramiques de 50w ( type: full spectrum blue day). Une protection sera mise en place si la puissance des lampes depasse 60w de manière a éviter toutes brulures au serpent. Le cycle de nuit est assuré par une lampe ceramique de 50w (type red night) Toutes les lampes sont fixer du meme coté du terrarium de manière a obtenir un gradient thermique de 10°-15°c à l'interieur. Les lampes de jours sont couplés à un detecteur de lumiere fixer sur une fenetre qui se declenche des que la luminosité est suffisante au lever du jour et s'eteint au coucher du soleil. La lampe de nuit est elle thermostater. L'hygrometrie sera de 80% environ Tableau des temperatures: Comportement Le mcdowelli est une espece au comportement alerte. Les individus peuvent etre agressif ou au contraire tout a fait placide. Pour la manipulation des juveniles, un crochet d'herpetologie est utilisé plutot que la main. Cette technique de manipulation permet de conditionné le serpent et permettra à celui-ci de s'habituer au manipulation. L'augmentation de la quantité ou de la taille des proies (souris au rat) permet parfois de calmer certains individus. Les sujets agressifs le sont généralement pendant leurs deux premieres années de vie, ce que j'ai moi meme pu constater. Une fois cet age atteint, ce temperament disparait generalement. Les morsures surviennent généralement lors des repas en raison d'une reponse alimentaire exacerbé. C'est pourquoi, apres avoir manipuler des rongeurs il faut se laver les mains et eviter les mouvements trob brusque lors de la distribution pour eviter tout accident. Les propriétaire doivent aussi avoir conscience de la puissance et de la force des plus gros specimens. Je me suis fait mordre par une femelle de 2m80 qui venait de pondre deux jours auparavant. Pendant que j'attendais avec une proie tenu a l'aide d'une pince j'ai été mordu au dessus de la main et elle ne relachais pas son étreinte. Normalement en la plaçant sous un robinet d'eau froide elle aurait du relacher la prise cependant ce ne fut pas le cas. Une vieille carte de credit peut alors etre utilisée comme outil, on la placera entre le site de la morsure et la machoire superieur du serpent puis delicatement on la fait glisser pour faire lacher le serpent.( Finalement elle m'a relacher apres 10 minutes, j'ai ensuite effectué les premiers soins) Les serpents adultes sont nourris avec des rats de laboratoire comme nourriture principale. Les gros adultes sont nourris avec de grots rats ou de petits lapins, tandis que les nouveau-nés ou les jeunes sont nourris avec des rats de taille adaptés. Cette espece attaque tres rapidement il est donc preferable d'utiliser des pinces d'au moins 30cm lors des nourissage de plus c'est une espece qui est tres bonne mangeuse et qui prend habituellement ses repas avec empressement et accept sans probleme les proies deposer sur le sol du terrarium. Cependant quelques nouveau-nés peuvent poser probleme lorsqu'ils refusent les rongeurs. En frottant une mue de lezards ou des plumes de pinçons sur de petits rongeurs et en augmentant de 4°c la temperature du terrarium les recalcitrant sont generalement encourager et accepte alors leur repas. Après les accouplements les males adultes sont transferer a l'exterieur dans de grand terrarium en metal ou ils restent de septembre-octobre jusqu'au mois de mars l'année suivante. La taille de cet enclos exterieur est de 1m80 de long 2m10 de haut et 1m20 de profondeur. Celui-ci est positionné plein sud pour maximiser l'exposition au soleil et proteger les serpents du mauvais temps du sud-ouest. Une boite est dissimuler par du contre plaqué et disposer sur une etagere. Une alimentation electrique est presente pour rechauffer le plancher de la boite et y maintenir une temperature minimal de 22°c. Cet enclos est largement pourvu de branche permettant aux locataires de grimper a leur guisent, la decoration est faites à l'aide de souche de bois, de pierres et de plantes. Un bac plastique de 26cm*16cm*10cm est a disposition pour permettre au serpent de boire. incubation L'incubation artificiel est utilisée pour toutes les pontes de mcdowelli. La température d'incubation est de 31,5°c + ou - 0,5°c dans un incubateur de 46cm de long*112 cm de haut* 66cm, un large conteneur de 15l est utilisé pour contenir les oeufs durant toute la periode d'incubation. Le substrat d'incubation est constitué d'un mélange 50% vermiculite 50% eau. Une couche de perlite protégeant les oeufs des projections d'eau et d'un trop plein d'humidité. Un thermostat digital avec 0,1% de tolérance est placé dans chaque conteneur pour un parfait controle de la température. Si possible les oeufs sont séparé apres la ponte et avant qi'ils n'adhere entre eux et forment une grappe. On s'assure que les oeufs restent dans la même position lorsqu'on les places dans l'incubateur. Séparer les oeufs 6 heures après la ponte est réalisé en utilisant des gants en latex et en frottant très délicatement les coquilles entre elles pour les serparer. Ceci n'étant plus envisageable plus de 6 heures après la ponte car cela endommagerais la coquille des oeufs. Une ponte saine est de couleur blanche la taille moyenne des oeufs est de 50mm*35mm. Occasionellement des petits oeufs jaunes sont pondu ( en australie ils sont surnommés oeufs limaces) Les oeufs sont placés dans de petites dépression dans la perlite, de grande précautions sont prises pour eviter que des gouttes d'eau n'atteignent les oeufs. Les oeufs non fécondés se distinguent aisément du fait qu'ils deviennent jaunatres et se decompose de tel sorte qu'ils ressemble alors à une moule. Si possible, ses oeufs sont retirés. Si la ponte est agglutinée et forme une grappe, les oeufs non fertile vont s'assecher et ne devrait pas affecter le reste de la ponte. Celle-ci est régulièrement inspectée et cela d'autant plus souvent que l'éclosion approche. ( Peut etre demain me reste encore 3 feuilles, elles sont traduites mais c'est long je suis pas secretaire alors je tape doucement lol) Le 29/12/06 la ponte n°8 ( 24 oeufs en grappe dans le conteneur 1 plus 10 oeufs dans le conteneur 2) furent inspectés à 8 heure. Suite à cette inspection, un oeuf présentait une incision en forme de croissant de lune. Une nouvelle vérification de la ponte à 18h30, le nouveau-né avait la tête hors de l'oeuf. Le matin suivant le serpentau était sortit et mesurait 44cm pour 26,4 gr. Deux jours plus passèrent avant que les oeufs des conteneurs 1 et 2 soient fendu à leur tour, le dernier sortant de sa coquille à 17h00 le 01/01/07. Sur une ponte contenant 34 oeufs, 29 serpentaux virent le jour, 1 oeuf se déteriora après une semaine d'incubation et 4 pythons d'apparence saine étaient mort dans l'oeuf. Un problème fréquent avec les pontes ayant eu lieu en grappe est que les oeufs du dessous semble asphyxiés par le manque d'oxygène. Le temps écoulé entre l'incision de le coquille et la sortie définitive de l'oeuf est généralement de 2 ou 3 jours. Les nouveaux-nés mesure entre 40 et 50cm et pèse de 20 à 30gr. A la suite des éclosions les petits sont placés dans de larges enclos en plastique de 18cm * 8 cm de haut * 12cm. Les jeunes mcdowelli sont placés sur un substrat constitué de sopalin et une gamelle en pvc de 5cm sert de bol d'eau. La première mue intervient entre 7 et 20 jours suivant la naissance, ceux-ci sont alors transférés dans un boite en plastique de 30cm*18cm*21cm. (avec sealable lid). Dans ce bac on placera une coupelle d'eau et du sopalin comme substrat. On fixe trois petites tringle en bois de 25mm de diamètre latéralement et en les fixant au coté de la boite à l'aide de vis. Celles-ci sont positionnés à 11cm du sol et espacées les unes des autres de 25mm. Une boite noire de 16cm*5?5cm*10cm comportant une ouverture de 4cm de diamètre est positionné au sol. La couleur noire apportant de l'obscurité et donc un sentiment de sécurité aux locataires . Chaque conteneur est nettoyé 2 fois par semaines avec du désinfectant. Les juvéniles peuvent resté dans ces boites jusqu'à 6-9 mois suivant leur courbe de croissance nourris avec des rosés de souris agés de 1 à4 jours une à deux fois par semaine. Dès qu'ils sont suffisemment grand un raton d'un jour leur est proposé et accepté avec empressement dans la plupart des cas . Comparé aux souis les rats sont plus nourissant et assure une meilleur croissanc aux bébé serpents. Dès l'age d'un an ils atteignent entre 60cm et 1m suivant la fréquence de nourissage et la croissance de chaque individu. A cet age ils placés dans des terrariums de 60cm*60cm*60cm en bois stratifié et imperméable. En haut une planche de 13cm permet d'insérer une aération haute et de dissimuler l'appareillage électrique, une autre planche de 10 cm est fixé au sol pour éviter que du substrat ne se coince dans le rail des vitres. Une boite en plastique noire ( 26cm*10cm*16cm) avec une ouverture de 7cm de diametre est mise en place pour permettre au serpent de se cacher. Un lourd bol d'eau de 16cm de diametre et de 5cm profondeur est disposé au sol et rempli seulement à moitié pour éviter que celui-ci ne déborde lors des baignades une étagère de 10cm*5cm est fixée à 25cm du sol horizontalement. Fournir une surface d'escalade au mcdowelli est un point important qui ne doit pas etre négligé car cela contribue au développement de la musculature de l'animal, de plus les observations n'en sont que plus plaisantes. Conclusion Le groupe d'éspèce morelia spilota est très populaire auprès des passionnés et l'une des plus souvent maintenue en captivité. De gros progrès ont été fait ces dernieres années notemment pour trouver des informations concernant la maintenance et les conditions nécessaires pour une vie de qualité en captivité. La responsabilité des possesseurs de pythons et autres reptiles ne peut être que bénéfique pour leur sauvegarde.
  6. Aie, quel sport Hier je me suis mis en tete de peser la miss histoire de voir si tout allait bien, sauf qu'elle etait pas d'humeur, et vas y que je tape, même avec le crochet une vrai galère Mine de rien 1kg572
  7. - Nom complet de l'espece: panterophis guttatus 50% possible het anery - Age du specimen: né le 29 juillet - Sexe: 3 males 6 femelles - Provenance: né chez moi - Taille / poids: juvéniles - Localisation: loire - Prix: voir ici:20€ - Infos supplémentaires: vendu uniquement demarré et avec bon de cession, plus d'info sur mon site - Animal soumis ou non à CDC: non - Animal soumis ou non à règlementation CITES/ non numero 1, femelle: up numero 2, male: numero 3, femelle vendu: numero 4 male: numero 5 male: Numero 6, femelle: vendu numero 7 male: Numéro 9 femelle: numéro 11 femelle: D'autre photo ici: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/accueil.html
  8. Merci, mais il faut quand même que je vende les petits...
  9. Bonnie, femelle pogona vitticeps: Laurie femelle panterophis guttata: Pegase femelle panterophis guttata: Gyzmo male panterophis guttata: Gertrude petit male hermann ( je sais gertrude est un prénom de fille lol): Ginette male hermann ( à gauche): L'ancien male ibera: Rocco male ibera: Louis XVI male python regius: Marie-antoinette femelle regius: L'agrapheuse femelle morelia spilota mcdowelli: Male campbelli: Femelle campbelli: Femelle pseudemys conccina floridana: Femelle trachemys scripta scripta: Roland Eublepharis macularius male: Muriel femelle eublepharis macularius: Plus la progéniture améla 50% het anery: numero 1, femelle: numero 2, male: numero 3, femelle reservée: numero 4 male: numero 5 male: Numero 6, femelle: numero 7 male: Numéro 9 femelle: numéro 11 femelle: D'autre photo ici: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/accueil.html
  10. 1 Alors tout d'abord expliquons un peu la situation, voici lorsqu'elle était petite ma femelle améla en compagnie de son petit frère anery: Et sur celle-ci un troisième serpent issue de la même ponte: D'après l'éleveur ces trois serpents sont issues d'un couple ou la femelle était snow et le male anéry.... J'aimerais determiner quel pourrait être le génotype exact de ma femelle ( donc l'améla), en tout cas au moins s'en rapprocher Pour cela, rentrons dans les détails: Snow= (aa;nn) anery= (AA;nn) Pour esperer obtenir de l'améla il faut donc que le male soit anéry het améla donc: (aA;nn) En utilisant la méthode du carré de punnett on obtiens: Donc: 50% de snow: (aa;nn) 50% d'anery het améla: (aA;nn) Partant de ce constat il est impossible que le male soit responsable de cette progéniture Je cherche donc la solution pour obtenir de la même ponte des spécimens améla, snow et anery. J'en suis donc venu à cette conclusion la femelle étant snow (aa;nn), je peut considérer que le male est en fait naturelle het améla et het anery (Aa;Nn) Ce qui donnerais: Dans ce tableau il n'y a qu'une ligne horizontale vu que la femelle transmettras toujours les mêmes gènes... Cela dit nous obtenons: -25% de naturelle het anéry et améla (aA;nN) -25% de snow (aa;nn) -25% d'améla het anéry (aa;nN) ce qui serait alors le cas de ma femelle -25% d'anéry het améla ( aA;nn) Dans ce cas j'obtiens le résultat qui m'interesse et ce qui correspond à ce que j'ai vu de cette portée, mais y a t il d'autre possibilitées? Et surtout mon raisonnement est-il juste jusque là? 2 Si tel est bien le cas: Ayant reproduie cette même femelle que nous appelerons ( Laurie, de son doux prénom) avec gyzmo ( vous l'aurez compris le male) on a: -laurie: (aa;nN) -gyzmo (aa;NN) génotype supposé Je dit supposée car sur les 11 petits qui ont éclos de cette union, 100% sont améla comme ci dessous: Il est donc acquis que gyzmo n'est pas het anéry, car dans ce cas les probabiltés de n'obtenir que de l'améla sont faibles Donc utilisons encore ce fameux carré de punnett: Ce qui voudrait dire que mes petits sont: - 50% améla - 50% améla het anéry Le raisonnement est-il toujours bon? Est-ce suffisant pour préciser aux futurs acquereurs que les petits ont 50% de chance d'être porteur de ce fameux gènes? Voila, en esperant que les pros ont compris mon raisonnement , que les novices apprendront quelquechose et que moi-même j'ai réponse à mes question... Au plaisir de vous lire
  11. Oui, c'est vrai que le premier coup, il a pas fait exprès cela dit, il y a du boulot après.... Honnetement qui aurait vendu les het sclaleless avant les scaleless, d'autant que au départ fallait il encore prouvé que ce gène était récessif.... Et puis comme tu le dit, il ne cache rien bien au contraire!
  12. imaginons 3 serpents de couleurs différentes, ils ont donc un phenotype différent: 1 noir, l'autre transaparent et le dernier vert....( représenté par 3 carré) Imaginons ensuite une grande boite renfermant toutes les caracteristiques génétique de l'especes: c'est le génotype Ouvrons cette boite: à l'interieur se trouve d'autres boites, plus petites, ce sont les chromosomes: Choisissons l'un de ces chromosomes et regardons ce qu'il y a l'intérieur: Il y a deux étagères, l'une provenant du père, l'autre de la mère.....ce sont les allèles A chaque rangée de l'allèle appelé locus sont placées différentes informations,(comme des livres dans une bibliothèque) les gènes..... Maintenant que nous savons ou sont les gènes interessons nous à leurs caractéristiques.... Reprenons l'exemple de nos 3 serpents et commençons par le noir: Sur l'allèle du père le gène est noir ( imaginez une feuille de papier de cette couleur) Sur l'allèle de la mère ce gène est transparent ( imaginez un film plastique) Les deux gènes sont donc différents, ils sont dit hétérozygote. Maintenant plaçons la feuille plastique et la feuille de papier noir l'une sur l'autre....ça ne change rien le résultat sera toujours noir.... Donc le gène noir est dominant. Pour le serpent transparent on procède de la meme façon mais cette fois les deux gènes sont identiques, c'est à dire homozygote Si nous prenons deux feuilles transparentes et que nous les plaçons l'une sur l'autre, nous aurons toujours un film transparent.... Il faut donc pour que le serpent soit transparent que les deux gènes soient identiques, on en conclu que le gène transparent est récessif. Enfin pour le serpent vert on procède toujours de la même facon... Sauf que l'on prend un film plastique jaune et un bleu...le resultat donnera un film plastique vert....On a donc affaire à des gènes co-dominants
  13. Il faut aussi reflechir 5 minutes... Il n'y a pas si longtemps que ça finalement une simple gutt améla vallait le même type de fortune. La, c'est encore un cas différent, pour en avoir longuement discuter avec richard ( c'est aussi spécifié sur son blog), il s'agit d'un travail de sélection, il n'as pas obtenu tous ses resultats par chance mais à force de selection, d'observation de reproduction ect.... Je pense que cela doit être recomprensé à sa juste valeur Dans le même ordre d'idée je suis enervé parce que à chaque fois qu'on parle de scaleless je lit: n'importe quoi , hors de prix ect... Hors il existe aussi des bitis gabonica scaleless, et bien d'autres especes! De plus quand je regarde les prix de certaines phases de regius, c'est bien plus élevé mais personne n'ose faire un tel patacaisse..
  14. Tout simplement parce que la porte du frigo est très légérement voilé et à cet age un tout petit trou et ça ne pardonne pas Alors vu les problèmes rencontrés à cause d'une boite de ponte inadéquate, fallait absolument rectifié cela pour ne pas que sa ce reproduise je pense que j'ai trouver exactement ce qu'il me fallait. Lorsque j'aurais une autre ponte il me suffira de sortir la femelle de la boite, et de sans avoir à toucher les oeufs à placer la ponte dans l'incub, et là, aucune possibilité de fuite, une bonne visibilité sur les oeufs, bref je pense que là ce devrait pas être mauvais!
  15. Faut que j'essaie ça avec mes regius. Mais du coup une question le rat tu fait quelquechose pour qu'il sente moins ou tu frotte direct la souris dessus et ça suffit?
  16. shivshankar, c'est sur que ça m'enerve, j'ai chercher jusqu'a 6h du matin, la je viens de refaire la pièce de fond en comble, sans résultat, et vu leur taille à la naissance je ne me fait pas vraiment d'illusion, d'autant que si c'est le chat qui tombe dessus avant moi... Et si c'est ma femme AIE! Mais malgré tout, je sais que ça me servira de leçon, soit en changeant d'incubateur soit plus simplement en utilisant une boite de ponte empêchant ce genre de mésavanture... J'ai aussi pu me rendre compte qu'il faut que j'ajoute un dispositif sur le bas de la porte d'entrée, il y en à déjà un, une subadulte ne peut pas passer, en revanche ce n'est pas le cas des nouveaux nés...
  17. Je reste un débutant et j'assume: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/guttatus/guttatus.html
  18. Une petite mise à jour plus tard voici mon site, encore et toujours en chantier: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/accueil.html ( dsl pour l'adresse bien compliquée...) N'hesiter pas à commenter et bonne balade!
  19. Ca pour l'aimer.... C'est comme une femme.... Des fois tu comprend pas elle est de mauvaise humeur, lol
  20. Merci a tous, Tres honnetement je ne post pas souvent sur ce forum... simplement quand j'ai eu besoin, j'ai eu de super conseil.... Avec le recul, je me rend compte que ce fut un achat coup de coeur, je ne savais même pas comment maintenir un tel serpent, quelle taille allait-elle faire? ect.... Toujours très honnêtement, je fait encore quelques erreurs avec elle, si c'etait une gutt, pas grave, là c'est plus embêtant... Mais je progresse de jour en jour, je suis tomber amoureux de mon agrapheuse, j'apprend tous les jours à la connaître, à appréhender ses réactions... En bref au final ce n'est que tu bonheur.... Malgré tout depuis le temps deux bémols: -Le premier: Sur les forums généralistes une majorité de gens, en tout cas c'est mon impression, ont à la même époque que moi cédé à un effet de mode depuis ils cherchent ou ont deja vendus leurs animals... -Le deuxième bémol est que, étant donné l'espace vital et le temps que je peut offrir à mes pensionnaire , je ne peut, en tout cas d'ici au minimum cinq ans tenter de reproduire ma chérie...sans compter qu'il faudrait pour cela avoir un male a disposition...
  21. Re coucou, allez encore des news...: Nouvelle du jour.... La voici dans un terra qui pour le moment me sert lors des nettoyage il mesure 30*30 au sol, ça donne une idée La je me dit qu'il faut peser la mémère... Sauf que...la miss aime pas trop quand on essaye de l'enfermer dans une boite trop petite...et la sanction est inévitable... Cela dit elle se porte très bien.... Magnifique? Nan pas aujourd'hui.. La miss est en mue, je le savais, mais la c'est flagrant et cela explique sa mauvaise humeur: Mais quelques jours plus tard:
  22. Pour poursuivre le post, le plus simple est d'aller ici: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/accueil.html Mais en exclusivité pour vous la voici, on peut dire qu'elle a bien grandit
  23. Bon, ben cette fois c'est terminer ( sauf la couverture en tuile de la cabane, premiere visite: Rocco viviste sa cabane (si si cherchez bien) Une vue générale:
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