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Tout ce qui a été posté par Ugatza
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
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qui bénéficiaient de réductions d'impôts, afin de développer l'AB. http://www.20minutes.fr/article/647272/planete-la-baisse-aides-agriculture-bio-denoncee-associations Le gouvernement ne baisse pas les impôts de tout le monde. Ah, quand est-ce que les APN vont reconnaître s'être faites rouler dans la farine avec le Grenelle de l'Environnement?
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Suite... Sur Ferus.org; http://www.ferus.fr/actualite/une-attaque-de-loup-en-haute-ariege#more-8072 Ma réponse (publiée) Est-ce que le journaliste a déformé vos propos, quand on peut lire sur le site de « La Dépêche »: « Mais en ce qui nous concerne, nous, association de protection de la nature, nous pensons qu’il y a déjà assez de difficultés dans les Pyrénées avec l’ours sans en rajouter avec les loups. » ???? Ma réponse que je viens de poster: Je ne suis absolument pas d'accord. Les explications de Gilbert Simon contournent cette question et je trouve surprenant qu'il ne démente pas catégoriquement cette phrase: « Mais en ce qui nous concerne, nous, association de protection de la nature, nous pensons qu’il y a déjà assez de difficultés dans les Pyrénées avec l’ours sans en rajouter avec les loups. » Il dit d'une part que: 1) il s'est "peut être mal exprimé". 2) "Et la deuxième, que des écolos (dont Ferus) avaient envie de voir des loups dans les Pyrénées, se réjouissaient par avance de cette reconquête au point peut être de la faciliter" C'est complètement contradictoire avec la phrase de l'article, mais c'est tout autant critiquable. En effet, comment concrètement "des écolos (dont Ferus)" pourraient-ils "faciliter cette reconquête"? Gilbert Simon, je le rappelle, a écrit cette phrase ICI et aucun journaliste ne peut être incriminé d'avoir déformé ses propos pour le moins étranges. En tout état de cause, il devrait aussi démentir catégoriquement ceux des propos que le journaliste lui prêterait dans l'article de la Dépêche du Midi. Bref, autant que ce qu'il aurait voulu dire, on aimerait savoir ce qu'il n'a pas dit.
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
Non, nous ne sommes pas en démocratie, pour des tas de raisons, mais en particulier pour celle-là. Dans une démocratie, les crimes ne restent pas impunis. Un Etat criminel ne peut être une démocratie. Le crime suppose le viol de la Loi. Si tu veux, on épluche le DDHC, la Constitution et tu verras que ce n'est pas le Peuple qui gouverne, que la liberté de la Presse est toute relative, que la Loi n'est pas la même pour tous, que le législatif obéit à l'exécutif et que le Parquet n'est pas indépendant. Bolloré, Lagardère, Bettencourt, la "bande du Fouquet's"etc. On en a beaucoup parlé ces derniers temps. Entre autres. Ce ne sont pas des fantômes. Ceux qui possèdent le Grrrrrrrrrrrrrrand Capital. Ne botte pas en touche avec les petits actionnaires (moi aussi, je te connais). L'industrie d'armement, c'est indéniable. Et elle n'a pas peu compté dans cette croissance. D'autre part, l'URSS et sa politique étrangère ont soustrait au Capital d'immenses réservoirs de main d'oeuvre à bon marché, ce qui a permis aux travailleurs d'Occident de ne pas être mis en concurrence avec eux...comme aujourd'hui. Ce qui permet aux amnésiques "politiquement corrects" d'écraser une larmichette sur la "prospérité" des 30 glorieuses. Bof...On ne l'a pas attendu pour ça. Lucie Aubrac le disait déjà avant lui. Les syndicats le disent aussi, ainsi que certains partis politiques. Faire bouger les lignes? Qu'est-ce que ça veut dire concrètement? Ca te fait une question de plus! Attention, tu prends du retard. Tu as "oublié" de répondre à ma question sur ton "état fort".... -
Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
Il ne te semble pas répondre à ma place, là, non? Ben, non, je ne le regrette pas et oui, les deux guerres mondiales ont eu comme effet de telles destructions qu'on ne pouvait que reconstruire. Mais il y a eu les massacres coloniaux de Paris en 1961, de Setif, Guelma, Madagascar en 1945 et les guerres d'Indochine et la guerre d'Algérie, la torture pour ne parler que de la France (ça continue aujourd'hui en Irak). Et tant d'atrocités commises en Amérique Latine, en Afrique, en Asie...ou à Mururoa. Certes, les paysages étaient plus naturels: je regrette les Pyrénées des années 60 et 70. C'est tout. La publicité et les gadgets n'étaient qu'au début de l'infantilisation des adultes et de "l'adultisation" de l'enfance. Les médias étaient provisoirement moins débiles et l'Histoire et la connaissance moins méprisés qu'aujourd'hui où on préfère le rapide au lent, l'immédiat au différé, le simplifié au complexe, la facilité à l'effort. L'abondance, le gaspillage et le nombre étaient moins obscènes. La Bourgeoisie faisait plus "gaffe" à cause de l'URSS. Maintenant ce n'est plus la peine de se gêner. Aujourd'hui, elle jette le masque républicain. Mais le monde n'était pas moins injuste et atroce qu'aujourd'hui. Ne me dis pas que tu regrettes l'URSS? Parce que ce qu'était le monde des 30 glorieuses devait beaucoup à la menace (au garde-fou?) qu'elle représentait. Je l'ai lu. Je partage ses valeurs et son indignation. Je ne désapprouve pas sa démarche: je la trouve insuffisante. S'indigner est facile, et il ne propose rien pour sortir de l'indignation. Ce livre est loin de me suffire... De quoi parles-tu, là? -
Là, sur ces mots, on peut accorder à Ferus le bénéfice du doute. Mais, après la passivité contre les arrêtés préfectoraux tirs de loups, ...après "avoir pris acte" que le Président réaffirmait que le Loup reste une espèce protégée (ce qui est pour le moins paradoxal, non?), après l'auto-congratulation pour avoir été"écouté" dans une commission parlementaire, après les félicitations (anticipées?) adressées à Nathalie Kosciusko-Morizet et le silence (partagé certes avec d'autres) sur le bilan du Grenelle, on peut se poser des questions sur le reste.
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Quels AUTRES "propos extrêmes" que ceux que Michel et moi avons relevés? Il y a en effet de quoi se poser des questions. Mais celle-là, je vois pas trop pourquoi. La réponse est pourtant dans la citation : Qui et qu'est-ce qui rajoute ? Les anti-loups et la situation loup-mouton-éleveurs. Rajoute quoi ? Ben, des difficultés avec les prédateurs dans les Pyrénées. Je le comprends comme ça. Quant aux propos assez extrèmes de Ferus, c'est peut-être simplement une maladresse de leur part. Le retour du Loup est aussi naturel dans les Pyrénées que dans les Alpes: l'un est d'ailleurs la conséquence de l'autre. Que les loups aient pu passer d'un massif à l'autre dément largement ton pessimisme anti-Français. Ce qu'il y a dans la citation et qui me dérange c'est qu'on porte un jugement sur un phénomène non seulement naturel, mais prévisible. Naturel, cela veut dire que l'Homme n'y est pour rien. Porte-t-on des jugements sur la météo? Cette phrase signifie une attitude négative de Ferus qui juge l'arrivée du Loup en Ariège comme "malvenue". Alors oui, on peut se demander si Ferus ne fait pas comme les Verts d'Ardèche et si c'est bien une association indépendante politiquement. On a vu dernièrement de sacrés "flottements" de la part de Ferus!
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http://www.ferus.fr/actualite/un-petit-point-sur-la-population-de-loups-en-allemagne En une dizaine d'années, une petite cinquantaine de loups. Ce n'est pas plus rapide qu'en France et les facteurs contraires sont les mêmes. Je ne suis pas d'accord du tout sur ta comparaison des milieux en France et en Allemagne. Le Sud de l'Allemagne, ce sont les Alpes. Et l'Autriche? Aucun loup. Comment cela se fait-ce, avec un environnement pareil? Et la Suisse qui te fait rêver?
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Bonne année à tout le monde! J'ai essayé de poster (sur Ferus) mais figure-toi, Michel, que mes messages n'ont pas été publiés. Moi, je ne suis pas convaincu du tout par "l'explication" de Sandrine Andrieux sur la "déformation" des propos de Gilbert Simon par le journaliste de "La Dépêche du Midi". http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/25/977570-Des-loups-dans-les-Pyrenees.html J'ai demandé ce que signifiaient les passages que j'ai mis en gras ... QUI rajoute quoi? D'autant plus que mon trouble a été aggravé par les propos de Sandrine Andrieux elle-même qui répond (sur Ferus.org) au nom de Ferus: Qu'est-ce que ça veut dire? Que le Loup pourrait s'installer dans des milieux qui ne lui sont pas favorables. Alors comment définir un milieu qui est favorable au Loup? N'est-ce pas l'installation elle-même du Loup LE critère? La situation des éleveurs ariègeois est-elle un facteur écologique? Et si le Loup s'installe dans le Jura ou dans la Creuse? Que dira Ferus? J'ai été censuré: il n'y a pas d'autre mot. Mais je commence à avoir l'habitude : on ne peut pas critiquer l'orientation de Ferus sur son site. Pour Guilbeuche: 1) Et les Suisses? Les Allemands, les Suédois, les Finlandais? Ils aiment les grands prédateurs? Et les Anglais qui n'en ont plus UN seul? 2) C'est justement du "particularisme", le contraire du collectivisme. Je ne vois aucune raison de confier l'avenir des GP à des "populations locales". "Population locale" est un terme absent du Droit et de la Loi. Vivre "au contact" de grands prédateurs ne confère aucun droit particulier, en particulier celui d'entraver le développement des populations de GP. Ce développement permettrait à d'autres "populations humaines" de devenir...à leur tour des "populations locales". Parler de populations locales, c'est considérer qu'il y a plusieurs catégories de citoyens (c'est à dire que la Loi n'est pas la même pour tous) et surtout que l'on cantonne PAR AVANCE la répartition des GP sur le territoire. Et là, tu rejoins Ferus dans sa dangereuse dérive. Ton exemple de la Suisse est très mal choisi: ce que tu dis est très paradoxal. Tu veux un "état fort", toi? Explique nous donc ce que c'est...
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D'abord, ça ressemble à du Lamarckisme (la girafe qui étire son cou et transmet ce caractère à sa descendance)... Ensuite tu oublies que les chasseurs sont nombreux mais tout de même très minoritaires. Un million de chasseurs et... 60 millions de non-chasseurs. Ensuite, ce million de chasseurs a bon dos. Parce que: 1) On laisse faire son lobby : au moment de voter, le clientélisme pro-chasse du parti pour lequel on vote est "oublié" (ainsi que pas mal d'autres choses). 2) Ce qui détruit le plus la faune et les milieux naturels, c'est le capitalisme: avec du capital, on peut faire n'importe quoi: acheter, corrompre, transformer, aménager, exploiter,("mettre en valeur")....détruire. 1) On sait déjà à quoi s'en tenir. 2) Qu'est-ce que cet étrange concept de "populations locales"?
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
Tu regrettes le capitalisme "des 30 glorieuses"? Mais il préparait, il DEVENAIT déjà celui d'aujourd'hui. L'Union Européenne et l'euro sont des institutions capitalistes: c'est à dire qu'elles sont faites pour arranger les affaires de la bourgeoisie. Alors moment mal choisi, (par qui, d'ailleurs?) c'est une question très très secondaire. -
Si tu n'as jamais été dans les Pyrénées, ça ne va pas te parler beaucoup. Il y a peut-être celui-là pour l'Ile de France, mais je ne l'ai pas lu (et il est cher). http://www.unitheque.com/nature/La_nature_en_ile_de_France-9117.html? En fait, je viens de regarder dans ma bibliothèque et j'ai confondu le livre de Ramade avec celui de Roger Dajoz : "Précis d'écologie" aux éditions Dunod. Et il y aussi le Guide illustré de l'écologie de Bernard Fischesser ety Marie-France Dupuis-Tate (La Martinière).
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
Dans le FN et dans son électorat, il y a de tout: des royalistes, des colons défroqués (Pieds noirs et autres ex-OAS), nostalgiques des colonies, l'extrême-droite de toujours, pétainistes et j'en passe. Il y a des ressemblances troublantes entre les positionnements de Sarkozy et de Pétain sur le thème de la "décadence". Pétain aussi dénonçait les "facilités" acquises comme un triomphe de l'oisiveté qui avait entraîné la défaite de juin 1940. Il représentait une partie de la bourgeoisie qui voyait dans l'occupation allemande une bonne occasion de se débarrasser des droits acquis (notamment avec la république et les luttes ouvrières de 36), des communistes et des syndicats, en même temps. Tout ce qui gêne les profits: de ce point de vue-là, le capitalisme n'a pas changé du tout. Elle était aussi "catho" et antisémite et s'est attaquée avec la Milice aux Juifs et... aux Francs-Maçons, champions des idées républicaines et de la laïcité. A part l'antisémitisme (Nicolas Sarkozy est très proche d'Israël) que de points communs avec Pétain! Mais la ressemblance s'arrête aux "idées" (en fait, il n'a que celles de ses clients, dont Mr Guerlain est un exemple représentatif, alors que Pétain avait des convictions bien plus constantes et affirmées). Dans la pratique, il y a la question de la violence. Et là, il y a tout de même de grosses différences avec le Front National. C'est bien lui le plus dangereux, car il donne des recettes simples (la violence qu'il ne prône pas mais qui l'accompagne comme son ombre) à une situation qui apparaît sans espoir: crise et chômage, dont Sarkozy et son "opposition" de gôche paraissent tous (et c'est vrai) responsables. -
Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
Tu connais l'histoire de "Jean-Marie"? Celle de l'extrême-droite en France? QUI elle est et d'où elle vient (et donc...où elle va ou veut aller)? Moi je ne serai pas "aveuglé" en 2012 par les grands prêtres du "vote utile" qui voudraient nous faire voter SEULEMENT contre la personne de Sarkozy mais pas contre sa politique menée (avec de faibles nuances) par un(e) autre. Sarkozy sert le capitalisme et ses amis du Fouquet's: là, il est cohérent et constant. Or, il n'est pas le seul à vouloir (et à pouvoir) le faire. -
Pour moi, les premiers qui ont compté sont ceux de Claude Dendaletche: http://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Dendaletche Mais ils ne concernent que les Pyrénées. C'est un naturaliste. Ensuite, il y a des ouvrages plus théoriques, mais plus arides aussi: "Eléments d'écologie- Ecologie appliquée" de François Ramade (éditions Mac Graw-Hill). Il a été réédité: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ramade Mais je ne vois pas comment séparer l'écologie qui s'occupe de l'interdépendance des espèces de leur identification. Ca n'a rien à voir avec la satisfaction (un peu vaine) de pouvoir nommer : c'est un moyen indispensable pour découvrir QUI dépend de QUI. Bref, je pense qu'il n'y a pas d'écologie sans naturalisme. Sinon la dérive vers l'environnementalisme est inévitable: c'est ce qui arrive d'ailleurs à tous les mouvements politiques "écologistes". Mais on ne peut séparer cette dérive du "bon sens" (c'est à dire des idées reçues et des préjugés) de l'opinion qu'ils représentent. D'abord, c'est...naturel, on regarde, on compare, on observe et ENSUITE, on se pose des questions après avoir observé des points communs et des différences (d'inventaire d'espèces) d'un milieu à l'autre. Là, la théorie (le travail des autres, des anciens, de ceux qui ont plus d'expérience et de compétence) peut apporter des réponses aux questions que l'on se pose.
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
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Sommes-nous en démocratie ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Et si on parlait Politique
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Ce film est remarquable mais tout particulièrement pour son générique de fin qui n'est pas une liste de sponsors comme dans les films de YAB ou Nicolas Hulot, mais une liste des responsables de la déforestation en Indonésie : sociétés industrielles du bois, de la pâte à papier, de l'huile de palme, des agrocarburants, banques, grandes enseignes (lisez bien vous verrez que vous connaissez beaucoup de ces groupes financiers et commerciaux) et...consommateurs indifférents. On y voit aussi les produits consommés issus de la déforestation : le comment mais aussi le pourquoi. C'est le capitalisme réel qui défile sur le générique de fin. Le même qui se grime en... vert et "arrose" pour se donner des airs. C'est ça, le développement durable.