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31eme expositions de Neufchatel Aviculture
Jackard a répondu à un(e) sujet de Au Domaine des 3 Coqs1 dans Les manifestations a venir
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Exposition Ronquières 2011
Jackard a répondu à un(e) sujet de Mika491 dans Les manifestations a venir
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130 € pour une agnelle Hampshire de 3 mois, ce n'est certainement pas trop cher, surtout s'il s'agit d'animaux inscrits présentant certaines garanties sanitaires. Faire de l'élevage coûte et bon nombre de novices ne s'en rendent pas toujours compte. L'éleveur qui vendra sa même agnelle à 3 mois pour la boucherie, en supposant qu'elle soit née avec un poids de 5 kg et une croissance soutenue telle celle du Hampshire de 400 gr par jour lui donnera à cet âge un poids vif de 36 kg. A 3 €/kg, il en touchera donc 108 €. Demander 22 € de plus pour un animal d'élevage n'est certainement pas exagéré ! Sans juger ce qu'on veut consacrer à son hobby, voire métier, que ce soit financièrement mais également au niveau du temps, je trouve personnellement que qualifier ce prix d'exorbitant est une injure par rapport à l'éleveur qui conduit son troupeau année après année, l'améliore, le côtoie jour après jour, au fil des moments de satisfaction mais également de déception. D'expérience, la différence de quelques dizaines d'€ est vite comblée en investissant dès le départ dans une bonne souche, par rapport à acheter des animaux quelques dizaines d'€ moins cher mais dont le risque de ne rien en retirer de correct est bien réel. Tous sélectionneurs, quelque soit l'espère animal concernée, vous dira la même chose.
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Bonjour, Bleu du Maine ou Solognot ? Connaissant fort bien la race Bleu du Maine et l'Ardennaise, cousine très proche du Solognot, je peux affirmer que ces deux races ont des modes d'élevages très très différents. Néanmoins, je leur trouverai une similitude : la facilité d'agnelage ... mais ça s'arrête là ! L'Ardennais Roux est un mouton qui se contente de pas grand chose. Un terrain escarpé au sol pauvre lui suffira. L'agnelage s'effectuera en extérieur et la brebis élevera son ou ses agneaux sans trop de soucis, même si, au final, la qualité de la conformation laissera à désirer. Le Bleu du Maine est un mouton tout différent. De grand format, prolifique, la qualité du fourrage qu'il recevra devra être adaptée à ces caractéristiques. Développement et élevage de 2 et surtout 3 agneaux exigent bien évidemment une herbe de qualité, qu'il trouvera de préférence sur un espace de type extensif. Au final, le nombre d'agneaux sevrés par brebis dépassera dans les meilleurs élevages le nombre de deux, dont les poids et la conformation seront adaptés à une certaine valorisation des carcasses. Bref, outre le fait de l'attirance qu'on peut avoir ou non pour une race, il est certain que ce choix doit se faire en fonction de ce qu'on peut proposer à ses moutons (bergerie et parcours), du temps et de l'argent que l'on veut y consacrer et surtout des objectifs qu'on se fixent et de ce qu'on souhaite en retirer.
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La meilleure époque pour acheter des agneaux-agnelles de race Suffolk est +- 1 mois avant Pâques, moment précédent celui où les éleveurs de moutons dit de bergerie (Suffolk, Hampshire,... agnelage en décembre - janvier) programment l'abattage de leurs jeunes excédentaires pour la production d'agneaux ... de Pâques. Maintenant, on peut certainement trouver des Suffolk à toute époque, il faut juste tomber sur l'occasion. Cela dépend également de la qualité recherchée, des animaux inscrits étant la garantie d'une généalogie 100 % Suffolk. Quand à la localisation, cette race étant relativement répandue, vous en trouverez un peu partout. Néanmoins, choisir un élevage uniquement parce qu'il est à proximité de chez vous n'est sans doute pas l'idéal. Il ne faut pas hésiter à visiter plusieurs élevages et comparer (et pas uniquement le prix !) avant d'arrêter son choix.
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Pour la première mise à la lutte, cela dépend essentiellement de la race. On compte généralement que l'agnelle doit avoir atteint 2/3 de son poids adulte pour pouvoir recevoir le bélier (ex.: si 60 kg adulte, l'agnelle pesera 40 kg). En pratique, les Bleu du Maine et les Swifter sont mises à la lutte l'année de leur naissance (à 6 mois généralement). Pour les Hampshire, Suffolk, Texel, Vendéen, ... on attend généralement qu'elles soient antenaises (une année de +). Pour un premier agnelage, il faut tout de même être attentif au type de bélier qui couvrira l'agnelle si on ne veut pas avoir trop de problèmes de mise-bas. De plus, les portées simple sont généralement plus courantes pour les agnelles (-> risque de plus gros jeunes pour un bassin moins développé. Pour ma part, j'ai une moyenne de 1,5 jeunes pour les femelles Bleu du Maine nées en 2009 et mise à la lutte l'année de leur naissance.
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Cette technique vise essentiellement deux type d'élevage : - l'éleveur sélectionneur de race pure qui vise l'amélioration génétique de son troupeau - l'éleveur professionnel qui veut produire des lots d'agneaux viandeux (bélier de race bouchère) et homogènes (date de naissance regroupée). Voici ce qu'on peut lire au sujet de l'insémination artificielle en Belgique : L'insémination ovine se fait uniquement sur chaleur induite, les inséminations sont réalisées par dépôt exocervical de semence fraiche. La semence est prélevée le matin et il est possible en général d’obtenir une quinzaine de paillettes par bélier par jour. Après analyse, la semence est diluée et conservée à 16° jusqu’au moment de l’insémination. Celle-ci est réalisée dans le courant de l’après-midi. Les inséminations peuvent se faire partout en Belgique. Les paillettes peuvent également être vendues au départ du centre. Il est nécessaire de prendre rendez-vous à l’avance. Synchronisation des cycles Les inséminations ont toujours lieu après synchronisation des cycles. Le regroupement des chaleurs est obtenu grâce à l’utilisation d’éponges vaginales imbibées d’un dérivé de la progestérone. La diffusion de celle-ci dans le sang retarde le moment de l’ovulation et des chaleurs jusqu'à 48 heures après la fin du traitement. L’éponge est introduite dans le vagin de la brebis à l’aide d’un applicateur qui doit être désinfecté entre chaque brebis. Il est conseillé d’enduire l’extrémité de l’applicateur de crème antiseptique dans le double but de désinfecter et de lubrifier. L’éponge reste en place 12 à 14 jours, elle est retirée par simple traction sur la ficelle prévue à cet effet. L’insémination a lieu 54 heures après le retrait de l’éponge pour les brebis et 52 heures pour les agnelles. Un bélier est introduit après deux semaines pour saillir les brebis non fécondées à l’insémination. Une injection intramusculaire de PMSG (Pregnant Mare’s Serum Gonadotropin), commercialisé en Belgique par Intervet sous le nom de Folligon, complète le traitement. Elle est réalisée au retrait de l'éponge. Cette hormone favorise l’ovulation et a un effet positif sur la prolificité. La dose optimale est délicate à fixer car elle dépend de la race, de la saison, de la prolificité naturelle et de l’état physiologique. Elle est de 500 et 650 unités pour les brebis Texel et Suffolk inséminées en saison naturelle de reproduction. Une dose trop élevée risque d’avoir un effet négatif sur la fertilité. L'éleveur prendra contact avec son vétérinaire pour la fourniture des éponges et du PMSG. Choix et préparation des brebis Les brebis doivent : être en prise de poids présenter un état corporel et sanitaire correct avoir agnelé depuis 90 jours minimum avoir été tondues, vermifugées et éventuellement vaccinées minimum un mois avant la pose des éponges être maintenues au calme 15 jours avant et 1 mois après l’insémination sans stress, changements alimentaires ou manipulations brutales ne pas être transportées loin après l’insémination (celle-ci peut éventuellement avoir lieu en prairie si un parc permet une bonne contention) les agnelles doivent être âgées de minimum 10 mois et avoir atteint 2/3 de leur poids adulte de meilleurs résultats sont obtenus avec des brebis de moins de six ans Pour espérer de bons résultats il est nécessaire de : organiser le chantier pour éviter de faire courir ou de stresser les brebis rentrer calmement les brebis avant l’arrivée de l’inséminateur bien respecter le planning prévu éloigner les béliers entre le moment du retrait de l’éponge et l’insémination, leur présence peut influencer le moment de l’ovulation. A noter que si l'insémination est dépendante de la synchronisation des chaleurs, le contraire n'est pas vrai. Bon nombre d'éleveurs induisent les chaleurs des brebis puis laissent travailler leur(s) bélier(s) de manière naturelle. Dès lors, dans le cas de Tessa, le plus simple ne serait-il pas de synchroniser les chaleurs et de se procurer un bélier pour une période allant de 48 h après l'injection de PMSG à 34 jours (2 x 17 jours (cycle d'ovulation des brebis) afin qu'il fasse les éventuelles repasses.
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Pour remplacer le biberon, on peut peut-être penser au seau à tétine(s) qui est moins contraignant. En effet, dès 15 jours le lait peut y être versé "froid" et se conserve aisément 48h à une saison comme celle-ci. Pour les brebis qui perdent leur(s) agneau(x) en début de lactation, il y a lieu de freiner l'alimentation par rapport aux brebis qui allaitent et dont les besoins sont à leurs paroxismes. Retirer l'eau 48h et une semaine à la paille est une technique de târissement assez répandue. On peut combiner cela à une traite manuelle complète suivie d'une injection de pâte spécialement prévue à cet effet dans le trayon (se fournir chez son véto) pour les fortes laitières. De toute manière, le mot d'ordre est de toucher le moins possible au pis (afin de ne pas stimuler la montée de lait). En cas de légère mammite ("quartier" (ou plutôt "demi") dur, pis gonflé, assymétrie du pis), frotter le pis au savon vert est une solution facile. Si mammite sévère, demander conseil à son véto peut s'avérer utile (ne pas oublier que la guérison d'une telle pathologie conditionne le futur de la vie de reproductrice d'une brebis).
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Généralement, il y a lieu de "coincer" la brebis dans un cornadis. Ce dernier peut être réaliser très facilement de manière traditionnelle en bois. On s'arrange pour que la brebis ne sache ressortir la tête d'entre deux planches verticales assez larges (ou deux montants verticaux + un panneau de chaque côté). De cette manière, la brebis sait encore se coucher et on réduit son champs de vision à 180 ° devant elle. Le but de cette technique est donc que la brebis ne puisse pas se retourner afin de voir mais aussi sentir l'agneau qui tête à son pis. Après une semaine, l'adoption devrait être réalisée. Personnellement, je n'ai jamais expérimenté ce genre de technique car mes brebis Bleu du Maine sont assez maternelles. Effectivement, à 4 jours, si l'agneau est en vie, c'est qu'il a déjà bu. Il est également vrai qu'un agneau qui a consommé du colostrum dans l'heure suivant sa naissance est un agneau qui démarre bien dans la vie.
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Battice 2009 Concours interprovinciaux.
Jackard a répondu à un(e) sujet de Ricardo111 dans Vos reportages photos
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