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Dr.House-reptizoo

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Tout ce qui a été posté par Dr.House-reptizoo

  1. Merci pour cette fiche Claude, Nous en avions déjà une mais c est pas grave.
  2. encore une fois un superbe ciché,dis donc ca reproduit bien chez toi aussi me semble t-il lol en tous cas, félicitations.
  3. ben oui sans traitement il est logique qu'il soit mort, dsl pour ton animal. en ce qui concerne ton pogona, as t-elle un lieu de ponte approprié? si oui le quel?
  4. merci beaucoup Claude je déplace ton post dans la section "fiche"
  5. merci beaucoup Claude, je transfère ce post dans la section "génétique"
  6. Comme on dit "il y a toujours mieux, mais c'est plus cher"
  7. Source : Communiqué de presse CNRS Certains dinosaures vivant au Crétacé, de -145,5 à -65,5 millions d'années, auraient été « à sang chaud » plutôt qu' « à sang froid », comme il est généralement admis. Pour le montrer, des chercheurs du laboratoire Paléoenvironnements et paléobiosphère (1) et du laboratoire de Paléomagnétisme (2) ont utilisé un « thermomètre » naturel : la composition isotopique de l'oxygène (3) contenu dans les restes de dinosaures appartenant à quatre grands groupes. Les dinosaures, qui dominaient l'essentiel des écosystèmes terrestres entre -230 et -65 millions d'années (Mésozoïque), sont traditionnellement vus comme des reptiles de taille démesurée et « à sang froid » ou ectothermes, c'est-à-dire dont la chaleur corporelle provient du milieu extérieur. Ils auraient ainsi largement bénéficié des climats supposés chauds et homogènes qui régnaient alors sur une bonne partie des continents. Mais la question du métabolisme de ces « terribles reptiles » (4) divise encore les scientifiques. Par exemple, les restes de certains dinosaures ont été découverts près des pôles de l'époque (Australie, Antarctique, Alaska et Sibérie), dans des gisements dépourvus de restes d'animaux « à sang froid » comme les crocodiles, les tortues, les lézards et les serpents. D'autres pistes suggèrent également que certains dinosaures auraient été, comme les mammifères et les oiseaux actuels, « à sang chaud » ou endothermes, c'est-à-dire dont la chaleur corporelle est produite par le métabolisme. Pour déterminer si certains dinosaures étaient « à sang chaud », des chercheurs du laboratoire Paléoenvironnements et Paléobiosphère et du Laboratoire de Paléomagnétisme ont utilisé un « thermomètre » naturel : la composition isotopique de l'oxygène, mesurée dans des restes de dinosaures. On retrouve l'oxygène ingéré par un animal sous forme d'eau ou d'air dans des tissus minéralisés comme l'os, la dent ou encore l'écaille. La proportion des différents isotopes de l'oxygène dépend de la température de l'animal lors de la fabrication de ces tissus. Ainsi un endotherme, qui maintient une température corporelle constante et généralement plus élevée qu'un ectotherme, aura une composition isotopique de l'oxygène différente, même si les deux animaux vivent au même endroit et boivent la même eau. Les chercheurs ont appliqué cette méthode à des restes de dinosaures ayant vécu au Crétacé, de -145,5 à -65,5 millions d'années, et appartenant à quatre grands groupes (théropodes, sauropodes, ornithopodes et cératopsiens). Ces restes provenaient de gisements d'Amérique du Nord, d'Europe, d'Afrique et d'Asie. La composition de l'oxygène en isotopes 16O et 18O des dents de dinosaures a été comparée à celle de restes d'animaux ectothermes, comme les crocodiles et les tortues, trouvés dans les mêmes gisements. Les différences constatées sont identiques à celles que l'on peut observer aujourd'hui entre des mammifères et les mêmes ectothermes. Le métabolisme des animaux des quatre groupes étudiés devait donc être similaire à celui des mammifères actuels. Autrement dit, ces dinosaures auraient été « à sang chaud ». Comme les dinosaures étudiés appartiennent à des groupes très divers, et que les restes analysés proviennent de différents continents, les scientifiques suggèrent que l'endothermie était même assez répandue chez les dinosaures au Crétacé. En conséquence, ils estiment que la structuration des communautés animales et les relations trophiques au Mésozoïque devaient être beaucoup plus complexes que ce qui était envisagé jusque là. Enfin, au vu de ces résultats, les chercheurs pensent qu'il est peu probable qu'un refroidissement climatique ait pu être une des causes principales de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années, comme on l'a souvent proposé. En effet leur endothermie devait les rendre moins sensibles aux fluctuations du climat que les reptiles ectothermes, qui eux ont survécu. Notes : 1) Laboratoire Paléoenvironnements et paléobiosphère(CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1) 2) Laboratoire de Paléomagnétisme (CNRS, Institut de Physique du Globe de Paris) 3) Il existe trois isotopes naturels stables de l'oxygène (16O, 17O, 18O), dont le noyau comporte 8 protons et 8, 9 ou 10 neutrons. 4) Dinosaure : du grec deinos (terrible) et sauros (lézard) Références : Amiot R., Lécuyer C., Buffetaut E., Escarguel G., Fluteau F. and Martineau F. 2006. Oxygen isotopes from biogenic apatites suggest widespread endothermy in Cretaceous dinosaurs. Earth Planet. Sci. Lett., 246 : 41-54. Contacts : Chercheurs : Christophe Lécuyer, laboratoire Paléoenvironnements et paléobiosphère, Professeur de l'IUF; T 04 72 44 83 76 christophe.lecuyer@univ-lyon1.fr Eric Buffetaut, laboratoire Paléoenvironnements et paléobiosphère T 06 26 36 69 97 et 01 45 84 81 45 eric.buffetaut@wanadoo.fr Gilles Escarguel, laboratoire Paléoenvironnements et paléobiosphère T 04 72 44 84 24 gilles.escarguel@univ-lyon1.fr insu: Guillaume Duveau T 01 44 96 43 13 guillaume.duveau@cnrs-dir.fr Presse : Muriel Ilous T 01 44 96 43 09 muriel.ilous@cnrs-dir.fr
  8. Super article Claude, merci
  9. Bonjour, Il existe plusieurs facteurs déterminants dans le canibalisme pratiqué par les femelles rongeurs sur leurs bébés, voici les plus fréquents: Stresse Sur population Femelle trop jeune La faim Handicap du nouveau né Tu peux déplacer tes bébés vers la femelle de ta voisine, il ne devrait pas y avoir de soucis.
  10. Eh ben franchement, je te félicite, si toutes les animaleries étaient aussi professionnelles que la tienne, nous vivrions je pense dans un monde bien meilleur pour ces superbes animaux, mais souvent incompris, qui nous fascinent tant .
  11. le principal est que tu adores ce que tu fais
  12. Ce n'est pas légal d'en capturer pour les donner en pature aux tortues certe car les batraciens sont à ma connaissance protégés en France, en revanche si c'est eux qui viennent d'eux même se jetter dans la geule du loup, tu ne peux rien y faire.
  13. merci beaucoup Claude je transfère ce post dans la section législation
  14. c'est une excellente initiative , merci Claude.
  15. en tous cas cette espèce était présente naturellement en France au Néolithique .
  16. Et pour répondre à ta question il existe des fiches exliquatives dans la section "alimentation"
  17. On les pensait apparus il y a 312 millions d’années, mais d’après une découverte fortuite du paléontologue Howard Falcon-Lang, la date d’apparition sur Terre des reptiles doit être repoussée d’au moins trois millions d’années, si l’on en croit des empreintes de pas fossilisées. Pour tous les paléontologues, depuis la découverte de William Dawson en 1859 en Nouvelle-Écosse, le Hylonomus lyelli est le plus ancien reptile connu au monde. Les premiers os fossilisés de cet animal ont été trouvés dans les célèbres falaises fossiles de Joggins de cette région du Canada. Apparemment, Hylonomus lyelli ressemblait beaucoup aux lézards de notre époque. Son corps était très mince et pouvait atteindre 20 centimètres de long. On pense qu’il était insectivore, utilisant ses petites dents pointues pour se nourrir de mille-pattes et d'insectes. Son nom de genre, Hylonomus, est une combinaison d’un mot grec utilisé pour désigner le bois et du mot latin mus pour « souris ». Enfin, le terme lyelli a été choisi en l'honneur du mentor de Dawson, Sir Charles Lyell, l'un des plus importants géologues du XIX ième siècle. Des traces de pas au bord d'une rivière ancienne - trop ancienne... Or, c’est en se promenant dans cette même région de la Nouvelle-Écosse, au cours d’une longue sortie géologique, que le Dr Howard Falcon-Lang, de l'université de Bristol, a remarqué des centaines d’empreintes sur une paroi rocheuse. Par chance, la journée se terminait et le Soleil éclairait en lumière rasante, ce qui a considérablement facilité la découverte. Les empreintes découvertes. Crédit : Howard Falcon-Lang Incontestablement, il s’agissait d’empreintes dans du grès, laissées sur les bords boueux d’une rivière en train de s’assécher. L’excitation du paléontologue a dû grandir quand il s’est aperçu que cette strate se situait à un kilomètre sous la strate où avait été découvert le premier squelette d’un H. lyelli, visiblement piégé dans le tronc creux d’une souche d’arbre mort, elle aussi fossilisée. Selon l’interprétation de Falcon-Lang, fortement critiquée il y a quelques jours par un géologue du ministère des Ressources naturelles de Nouvelle-Ecosse, John Calder, il s’agirait bien d’empreintes de reptiles et pas d’amphibiens. Qui plus est, la strate serait plus vieille d'au moins trois millions d’années que celle où ont été trouvés les restes les plus anciens de Hylonomus. Les empreintes découvertes, gros plan. Crédit : Howard Falcon-Lang Par Laurent Sacco, Futura-Sciences
  18. La découverte dans les années quatre-vingt d'une population de vipère péliade dans une tourbière vosgienne avait, à l’époque, défrayé la chronique. Issue d'un lâché illégal par une personne anonyme, cette population s'est acclimatée et est toujours présente aujourd'hui. Mais cet acte isolé a eu des conséquences regrettables pour l'herpétofaune locale : nombre de coronelles lisses, couleuvres à collier, voire d'orvets ont fait l'objet d'actes de destructions volontaires commis par des promeneurs affolés. Des vipères aspics ont également été introduites en deux sites du piémont vosgien, où de petites populations se maintiennent encore aujourd'hui. Pourtant, la seule donnée documentée de présence de vipère aspic en Alsace, qui date du début du XXe siècle, concerne le Jura alsacien, considéré comme la limite nord de son aire naturelle de répartition. Et son absence au nord d'une ligne Belfort-Bâle a certainement des raisons naturelles, même si des milieux apparemment favorables s'y trouvent. D'un point de vue écologique et éthique, en dehors de l'aspect purement réglementaire, ces introductions sont donc tout à fait critiquables car elles peuvent avoir des conséquences extrêmement néfastes sur les écosystèmes, qu'elles soient volontaires ou non. Les exemples de la renouée du Japon, du ragondin ou de la tortue de Floride sont connus de tous.
  19. oui en effet comme Nicolas vient de dire, en captivité la taille importe plus que l'âge
  20. oh que oui, dans leur biotope la plus pars des tortues aquatiques omnivores et carnivores se délectent de batraciens et autres amphibiens, tu as beaucoup de chance que les tiennent agissent de la sorte lol les miennes les attrapent aux vol avant même qu' elles aient eu le temps de toucher l'eau ou le sol.
  21. les Pelusios cohabitent parfaitement dans la nature avec les pelomedusa subrufa sp
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