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scomino11

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Tout ce qui a été posté par scomino11

  1. essaye de trouver un autre patron tu as encore le temps, les animaleries ne manquent pas dans ta région. Courage, la perseverence est toujours récompensée
  2. dans la chaine ou je bosse, aucun apprenti seulement des bacs pro en stage car pas de rémunération
  3. Oui, pour plus d'infos se referer à ma présentation
  4. en effet que de belles prises de vues . Celles que je maintiens au magasin, se régalent uniquement de grillons en se jetant littéralement dessus
  5. Qui plus est, ils vivent normalement en eau saumâtre, bien que l'on trouve maintenant des spécimens acclimatés à l'eau douce. J'en vends très régulièrement
  6. ça ne ressemblait pas plutôt à ça ?? http://fr.wikipedia.org/wiki/Periophthalmus
  7. Pas mal du tout, tu es tranquille pour quelques années, surtout si tu équipe ton bac avec les accessoires indispensables (voir les fiches de descriptions de l'espèce)
  8. bonjour, merçi cher ami , de rien cet un plaisir La DSV de mon département nous permet une petite entorse à cette procédure Pour les acheteurs d'une des espèces concernées, je dois donner le CERFA à l'acheteur en lui demandant de remplir le dossier et de le retourner à la DSV qui validera après coup (la DSV peut toujours vérifier et controler en prenant les infos sur mon livre entrées et sorties )
  9. je viens de recevoir l'attestation de dépot de dossier de demande de certificat de capacité pour l'entretien et la vente d'animaux d'espèces non domestiques. Et oui c'est comme ça que ça s'appelle
  10. merci pour toutes ces explications en images
  11. superbe magasin, le rêve on n'as pas ça dans l'ouest
  12. TESTUDO HERMANNII Nom commun : Tortue de Hermann Pays d'origine : On la trouve dans son habitat naturel au Sud de la France, Corse, Sardaigne, Baléares, Sicile, Ouest de l’Italie, Espagne. Habitat naturel : Régions à étés chauds. Dans son milieu naturel, on la retrouve dans des zones telles que garrigues, maquis, forêts claires. Elle hiberne de Octobre à Mars, se creusant des terriers à l’abri du gel et des prédateurs. Famille : Testudinidés Espèce : hermanni Taille : 20 cm Durée de vie : Elle peut vivre jusqu'à 80 ans. La mortalité est importante chez les jeunes tortues. Comportement : La Tortue d'Hermann est une espèce qui vit le jour. Elle s'expose au soleil le matin, se cache aux heures les plus chaudes et reprend son activité en soirée. Elle hiberne pendant l'hiver. Particularités : Cette tortue terrestre a une carapace fortement bombée. Les écailles du dos (carapace ou dossière) sont jaunes verdâtres, ornées de stries noires. Les écailles du ventre (plastron) sont jaunes, traversées par deux bandes noires longitudinales. La queue est terminée par une griffe cornée. Dimorphisme Sexuel : Le mâle est plus petit que la femelle, le V sur sont plastron est plus large que celui de la femelle. Le plastron du mâle est concave, celui de la femelle est plat. De plus la queue du mâle est plus longue. Alimentation : la tortue est herbivore : pissenlits, endives, salade frisée, plantain, trèfle, persil, luzerne fleurs et feuilles d’hibiscus, plus occasionnellement fraises, framboises. Os de sèche pour la croissance. Reproduction : ovipare. De une à deux pontes / an. Ce n'est qu'à partir de 8 ans que les Tortues d'Hermann peuvent se reproduire. La femelle dépose en moyenne 8 œufs au printemps dans le sol, sur des sites chauffés par le soleil. L'éclosion des œufs a lieu à la fin de l'été. En captivité : deux solutions, le parc extérieur pour les sujets adultes ou subadultes, le terrarium pour les jeunes • Le parc : Il devra faire environ 15m2 pour un couple adulte, se situer au maximum au soleil, avec de terre de jardin, clos pour éviter les fugues (par le bas comme par le haut). Il devra être accidenté (tumulus, colline, grosses pierres) pour leur permettre de faire de l’exercice. Il faudra y installer une cabane, cachette, remplie de foin pour leur permettre de s’abriter pour la nuit, en cas de température fraîche et de pluie. Il devra y avoir aussi un point d’eau comme une soucoupe de pot de fleur mais peu profonde pour éviter les noyades. Pour les juvéniles (jusqu’à5-6ans), cet enclos devra être grillagé (grillage en fer de petite section ex : grillage pour poulailler) pour les protéger contre les prédateurs (oiseaux (pies, geais…) donc par le dessus, des rongeurs (rats…) donc par-dessous). Il convient aussi, de bien connaître sa tortue (espèce) car même si elles se ressemblent énormément, toutes les espèces de tortues ne peuvent cohabiter ensemble (risque de transmission de maladie par portage sain). Plantations : cistes, thyms, bruyères, lavandins, pissenlits, trèfles, fraisiers, etc. ... • Terrarium : (pour les bébés) prévoir un néon UVB 5.0, un point chaud à 30/32 degrés et un point froid 20/22. Une eau propre, renouvelée chaque jour. • La taille : 100 x 100 x 50 minimum • L'aménagement : le plus naturel possible avec des cachettes, un espace de terre pour s’enfouir, un point d’eau (profondeur 2cm maxi), et des obstacles à franchir pour conserver une bonne forme physique • Eclairage : Néon UVB 5.0 • Chauffage : lampe chauffante (pour le point chaud) • Température : un point chaud à 30/32 °C et un point froid à20/22°C. La santé et recommandations : Comme tout animal, celui-ci peut être malade, une consultation chez un vétérinaire spécialisé en reptile est recommandée. Citons seulement la rhinite (nez qui coule), qui non soignée devient mortelle. Si toutes les tortues ne peuvent cohabiter ensemble, elles ne peuvent pas non plus vivre avec nos animaux domestiques (chiens, chats), qui pourraient les prendre pour des jouets vivants (nécessité d’un enclos protégé) ou leur transmettre des maladies. Hibernation : Hibernation : Celle-ci doit avoir lieu tous les ans quelque soit l’âge de la tortue. Dans le sud de la France, elle se fera en extérieur, dans une cabane protégée remplie de foin où la tortue pourra s’enterrer. Plus au nord, celle-ci pourra se faire dans un caisson d’hibernation : une caisse avec dans le fond de la terre, et du paillis (feuilles mortes, foin). Cette caisse devra être en bois et permettre une circulation de l’air. Elle sera placée dans un endroit frais (garage, cave..) de façon à ce qu’il ne gèle pas et ne dépassant pas 10°C. A Noter : L’espèce est très fortement menacée par le développement de l'urbanisation qui fragmente et détruit son habitat (de plus, les routes sont des obstacles dangereux). La fermeture des milieux, certaines pratiques agricoles (fauchage…) et surtout les feux représente des dangers réels pour l'espèce, ainsi que les prélèvements d'animaux dans la nature. Ne la ramassez pas ! STATUT REGLEMENTAIRE : Elle figure dans l'Annexe 2 de la Convention de Washington, dans l'Annexe A de la Réglementation Européenne et dans l'Annexe I des deux Arrêtés Ministériels du 10 août 2004. La détention en France est soumise à conditions aux termes de ces Arrêtés du 10 août 2004. Détention et vente interdite en France, Pour les tortues sauvages Captivité : La détention de cette espèce est autorisée jusqu'à 6 individus adultes en demandant une Autorisation d'Elevage d'Agrément (AEA) à la Direction des Services Vétérinaires de votre département. L'appartenance à une association est vivement souhaitée par le Ministère. Au-delà de ce nombre de 6 adultes il est nécessaire d'obtenir un Certificat de Capacité (CDC).
  13. APPALONE FEROX Nom commun : Tortue mole de Floride Pays d'origine : Apalone ferox vit au sud-est des USA. On la trouve dans toute la Floride, le sud de la Caroline du sud, l’est de l’Alabama et la Géorgie. Habitat naturel : Apalone ferox est avant tout une tortue vivant dans des points d’eaux fermés : étangs, lacs, marais, lagunes. Néanmoins elle fréquente également les rivières ! Famille : Trionichinés Espèce : appalone Taille : La taille varie selon les sexes. La taille maximale des femelles est de 60 cm, l’amplitude des sujets matures se situe entre 30 et 60 cm avec une moyenne de 50 cm. Les mâles eux sont bien plus petits, puisque le maximum est de 33 cm avec une moyenne de 15 à 30 cm. Durée de vie : 20 ans en moyenne Dimorphisme Sexuel : la taille entre mâle et femelle En captivité : Aucune cohabitation intra comme interspécifique n’est envisageable... Sauf avec les sucs gastriques de la bête ! Théoriquement, un couple ne devrait pas s’agresser mutuellement, or vu la taille des aquaterrariums que l’on peut offrir à ces animaux, hormis un grand bassin extérieur, un couple sera trop à l’étroit dans un bassin intérieur. Quant aux relations avec d’autres espèces de tortue, vu le coté prédateur d’Apalone ferox, elles sont à bannir. Comportement : Comme toutes ses cousines du genre Apalone, la tortue molle de Floride est foncièrement aquatique. C’est un prédateur rapide qui passe de longs moments à l’affût de proies, le corps enfouis dans le sable ou la vase, la tête enfoncée dans la carapace ou allongée verticalement jusqu’à la surface. Seul son nez en trompette sort de l’eau. Immobile, elle ressemble alors à une branche plantée dans le sol meuble et attend ses proies. Heteroclyte, elle s’active aussi bien le jour que la nuit, comportement que l‘on retrouve également en captivité. Ce sont des tortues très farouches qui, dans l’eau et à fortiori sur terre, déguerpissent à la moindre alerte. Nageuses très rapides et habiles elles optent soit pour la fuite soi pour la dissimulation. Elles se jettent alors tête la première dans le sable ou la vase, et creusent avec leurs pattes avant, puis les pattes arrières dès que la carapace est suffisamment ensevelie. Elles restent alors immobiles dans le sol pouvant rester longtemps sans remonter à la surface pour respirer. Comme la plupart des Trionychidés, A. ferox peut « respirer » sous l’eau en filtrant via son cloaque et sa gorge l’oxygène dissout dans l’eau. Aculées ou si on tente de les saisir, les Tortues molles se débattent d’abord mais très vite font tester à l’intrus l’efficacité de leur mâchoire. La morsure d’un adulte eut être très grave et aller jusqu’à l’amputation des doigts. Particularités : Les trionichydés se caractérisent par leur carapace non formée de grandes écailles rigides et soudées mais d’une espèce de « cuir » très épais, où s’enfouissent des plaques osseuses de petite taille, les ostéodermes. La carapace est souvent aplatie, les bords sont mous, mais les côtes aplaties parfois visibles chez certaines espèces assurent la solidité de la dossière. Le plastron est réduit et permet des mouvements amples de leurs grandes pattes palmées. Le museau est pointu, le nez en « trompette », les yeux petits et proéminents, le bec acéré et souvent recouvert de larges lèvres. Le corps est dépourvu d’écailles visibles Terrarium : • La taille : On maintien cette tortue aquatique dans un aquarium, un bassin en bâche ou thermoformé ou tout autre récipient étanche capable de l’héberger. Pour les juvéniles la taille du logement n’est pas un problème. Un jeune de moins de 15 cm s’épanouira pleinement dans un aquarium de 80x40x50 cm. La hauteur d’eau est donnée par l‘animal. Elle doit correspondre à la taille maximale du cou lorsque la tortue a le corps enfoui dans le substrat et le nez affleurant à la surface tendant son cou à la verticale. Après un an, les juvéniles deviennent plus débrouillards, s’agissant d’une nageuse de compétition, la hauteur d’eau n’est pas vraiment limitée, même si il faut savoir rester raisonnable ! néanmoins, la technique de calcul de hauteur d’eau citée plus haut est considérée comme la hauteur la plus confortable pour l’animal. La taille du récipient doit évidemment suivre la croissance de l’animal. De manière générale, le minimum se calcule en multipliant la taille de la dossière par 4 ce qui donne la longueur de l’aquarium, et par 2 voire 3 pour la largeur. L’utilisation d’un aquarium n’est pas obligatoire ! En effet, un aquarium colossal de 200x100 cm conseillé pour une femelle adulte est très difficile à gérer techniquement. On privilégie alors les bassins intérieurs. Fabriquer un tel bassin est assez facile et bien moins onéreux qu’un aquarium de très grande taille. On peut fabriquer un coffrage en bois solide à l’intérieur duquel on fixe une bâche, et voilà un bassin ! D’autres récipients sont utilisables : bassins thermoformés ou de grands bacs en plastique ou en toile types piscines. • L'aménagement : La décoration doit rester sobre : le plus important c’est le sable. On utilise un sable bien rincé et un sable de rivière (aux grains arrondis pour éviter des abrasifs de la carapace quand la tortue s’enterre. L’épaisseur de sable doit être supérieure à l’épaisseur de la carapace, au mieux, deux fois supérieure. On peut placer des souches et des plantes aquatiques artificielles ou vivantes, mais on évitera les roches et autres matériels lourds qui risquent d’une part de blesser la tortue et d’autre part d’occasionner des dégâts sur le matériel immergé (combiné chauffant, parois en verre...). Bien évidemment, les heureux détenteurs de jardin auront tout avantage à loger leurs animaux durant la belle saison dans un bassin extérieur. Ce bassin sera exclusivement consacré aux tortues, car la décoration comme les poissons risquent de souffrir de la brutalité de notre chélonien ! Une zone exposée au soleil sera accessible. Il faudra aussi une bonne filtration et une bonne clôture car malgré les apparences elles grimpent bien ! • Eclairage : Néon ou ampoule UVB 5.0 à 8.0 • Chauffage : il est nécessaire de placer une zone émergée et chauffée par un spot classique de 60 à 100W. la superficie de cette zone est équivalente à au moins la taille de la tortue, elle doit être facile d’accès et si possible un palier immergé seulement à quelques centimètres de profondeur (pour les jeunes, une dizaine de centimètres pour les adultes) permettra aux animaux de rendre appui et de se hisser sur la « berge ». Sinon, un plan incliné et en partie immergé fera aussi l’affaire. Ces tortues ont du mal à se glisser sur une zone terrestre trop en hauteur qui n’est pas en partie immergée. Il est peu courant qu’Apalone ferox se mette à bronzer sur la zone sèche. C’est d’une part dépendant de la température de l’eau mais aussi de la zone sèche qui doit être supérieure (32-35°C). • Température : la température de la partie terrestre se situe autour de 32°C, celle de l’eau est à 25°C. Alimentation : Essentiellement carnivore et prédatrice. Les juvéniles sont nourris de vers de vase, de lombrics, de petits morceaux de poissons (voir liste ci-dessous), des moules, de crustacés (crevettes) et d’escargots. On peut également leur donner de la viande blanche hachée voire de la viande de bœuf haché. Au fur et mesure on donne des proies plus grandes comme des poisson entiers, des souriceaux, des criquets ou grillons qu’on aura tué en les passant au congélateur. Les jeunes de moins d’un an sont nourris tous les jours, puis tous les deux jours. Les adultes seront nourris de poissons entiers ou de morceaux : Saumon, truite, perche du Nil, Tilapia, gardons, goujons, gros cichlidés tropicaux (nigro…) ainsi que d’autres aliments : moules, crevettes entières, souris, ratons, viande de poulet ou de bœuf, cœur de bœuf. On peut mettre dans le bac des planes aquatiques comme l’Elodée (Elodea sp.) ou du Cornifle ( Ceratophyllum sp.) ou encore des plantes flottantes comme les Jacinthes d’eau (Echinornia crassipes) qui à l’occasion serviront de repas (même si c’est rare). Evitez les poissons gras (sardine, Thon…), les éperlans, la carpe et les poissons rouges. Reproduction : très difficile en aquaterrarium voir impossible, compliquée en bassin a moins d’être un spécialiste Besoins spécifiques : Une période de repos, avec une eau à 15-16°C et sans chauffage d’appoint durant un mois est suffisante. Bien entendu la baisse se fera lentement : 10 à 15 jours, de même elle sera mise au jeun une dizaine de jours avant le début de la baisse des paramètres. A noter : • Mise en garde : Cette tortue est non seulement classée comme animal dangereux (et elle l’est v sa taille adulte !) mais c’est également une espèce potentiellement invasive. En comparant son climat d’origine et les climats européens, elle peut sans problème survivre au sud de l’Europe. En France, elle pourrait passer l’hiver dans les régions du sud-ouest (Aquitaine, Midi-Pyrénées), le contour méditerranéen (Languedoc-Roussillon, PACA) et la Corse évidemment. Néanmoins, même si aucune information officielle ne peut confirmer cette hypothèse, les capacités de survie hivernale de cette tortue pourrait surprendre et elle pourrait survivre dans les régions au sud de Lyon et au sud de la Loire (Limousin, Poitou-Charentes…). Elle et également survire à la belle saison dans toute la France, même si les hivers rigoureux du nord et de l’est devraient avoir raison d’elle… En théorie ! Voilà pourquoi il ne faut absolument pas relâcher ces animaux et s’assurer qu’elles ne peuvent pas s’échapper de leur enclos extérieur! STATUT REGLEMENTAIRE : Les APPALONES FEROX comme toutes les Trionichinés sont classées en catégorie B. L’acheteur doit donc être capacitaire
  14. EUBLEPHARIS MACULARIUS Nom commun : GECKO LEOPARD Pays d'origine : Asie centrale : Pakistan / Afghanistan / Inde (nord-ouest) / Iran (est) Habitat naturel : biotope sub-désertique. Mode de vie : territorial, terrestre/semi arboricole, crépusculaire/nocturne, mais s'expose au soleil en début ou fin de journée Famille : eublepharidés Espèce : eublepharis Taille : 22cm maximum Durée de vie : de 15 à 20 ans Dimorphisme Sexuel : Les mâles ont des pores fémoraux et des protubérances qui montrent les hémipénis. En captivité : Le Gecko Léopard est très résistant et facile à maintenir en captivité. Comportement : Facile à domestiquer, seul les mâles se battent à l'âge adulte et doivent être séparés. Particularités : La queue du Gecko léopard lui permet de stocker la graisse. Elle peut se "couper" lors d'une bagarre ou, dans la nature, pour échapper à un prédateur. Durant la période de régénération de la queue l'animal ne peut pas faire de réserves. Terrarium : • La taille : Au minimum, un terrarium de 60 L x 40 l x 35 h cm peut accueillir un couple adulte. • L'aménagement : Utiliser un substrat de sable et une caverne artificielle par zone (chaude et froide) pour qu'il puisse se cacher, on peut ajouter des plantes désertiques (artificielles ou vraies). • Eclairage : Tube UVB 2.0 • Chauffage : Tapis chauffant, rocher chauffant et une lampe céramique pour maintenir un point chaud. Une zone fraîche et une zone chaude doivent être disponibles. L’animal ne doit pas être en contact direct avec la source de chauffage • Température : T° jour : 25°C (zone fraîche), 30- 32°C (zone chaude) T° nuit : 20- 22°C • Hygrométrie : faible de 30% pour l'aider au cours de la mue. le sol doit rester sec. Prévoir un abri fermé contenant du sable humide pulvérisé tous les jours (mues/pontes). Alimentation : • proies vivantes : grillons, criquets, vers de farine, teignes, blattes... on peut proposer des souriceaux aux geckos adultes (saupoudrer de poudre d'os de seiche). • fréquence des repas : -Juvéniles, femelles gravides : 1 à 2 fois par jour -Adultes : 1 fois tous les 2-3 jours • Quantités : à satiété (se régulent eux-mêmes) • Vitamines /minéraux : -Juvéniles et femelles gravides : 1 fois tous les 2 jours -Adultes : 1 fois par semaine os de seiche en poudre à laisser en permanence dans le terrarium • Remarques : - ne pas laisser les insectes car la présence continue de proies dans le terrarium semble inhiber le réflexe de chasse chez les geckonidés - enlever les pattes arrières des grillons /criquets pour éviter les stomatites. Reproduction : • maturité sexuelle : mâles 1 an / femelles 10 mois (reproduction déconseillée avant 18 mois). • saison de reproduction : de février mars à octobre novembre • ovipare : plusieurs pontes par an. • nombre d'oeufs : 2 • incubation : 35-60 jours suivant la température. remarque : la température d'incubation influe sur le sexe des embryons : ~27°C = femelles / ~31°C = mâles. Maladies : • ostéodystrophie nutritionnelle : symptômes : déformation des os (pattes, mâchoire, colonne vertébrale), retard de croissance, fractures, troubles de la reproduction causes principales : carence en minéraux / vit.D3 (voir UV) • problèmes de mue : symptômes : restes de mue sur les doigts, à l'extrémité de la queue... (peut provoquer des nécroses) cause : humidité trop faible • occlusion intestinale : causes : ingestion de substrat, souvent due à une carences en calcium (l'occlusion peut entraîner la mort). • troubles gastro-intestinaux : symptômes : régurgitation, selles anormales, diarrhées, amaigrissement, anorexie causes principales : parasites internes, bactéries (Salmonella, Aeromonas) • infection des gencives (stomatite) : symptômes : apathie, refus de s'alimenter, bouche ouverte, pus, salivation excessive causes : blessure, stress, carence en vitamine C, ingestion de substrat Besoins spécifiques : Pour les plus jeunes donner des compléments alimentaires en poudre (calcium et vitamines) et de l'eau fraîche pour boire dans un petit bac. A noter : Le gecko léopard est celui qui a le plus de succès en captivité. Très belle coloration léopard à laquelle il doit son nom. STATUT REGLEMENTAIRE : Les GECKO LEOPARD ne sont pas soumis à la réglementation de la CITES, mais en vertu de leur statut d’animaux non domestiques, ils doivent provenir d’élevage.
  15. HEMITHECONYX CAUDICINCTUS Nom commun : GECKO A GROSSE QUEUE Pays d'origine : Afrique occidentale Taille : La taille maximum est de 18 à 20 cm. Sexe : Les mâles ont des pores fémoraux et des protubérances qui révèlent l'existence des hémipénis. En captivité : Le Gecko est très résistant et facile à maintenir. Comportement : Les mâles sont incompatibles entre-eux et doivent être séparés. Habitat : Terrarium de 50 cm pour un couple avec un substrat composé de sable et de graviers. En décor des branches, des rochers et des morceaux d'écorces. On conseille d'ajouter des plantes robustes (artificielles ou vraies). Température : de 26 à 32°C le jour et de 18 à 22°C la nuit. Eclairage : Lampes à incandescence avec un réflecteur. Chauffage : Tapis chauffant et rocher chauffant. Alimentation : Insectes (grillons), vers de farine et souriceaux. Besoins spécifiques : Gecko essentiellement terrestre qui vit dans des terriers. A noter : Il doit son nom au renflement de sa queue qui est une réserve de gras. Il s'en sert comme moyen de protection en présentant sa queue aux prédateurs.
  16. IGUANA IGUANA Nom commun : IGUANE VERT Pays d'origine : Amérique centrale et Amérique du sud Taille : en milieu naturel : maximum 180cm, en captivité entre 120 et 150cm Sexe : Les mâles ont généralement une grande crête dorsale et sont plus grands. Une sonde permet de les sexer quand ils sont plus jeunes. En captivité : L'iguane supporte bien la captivité. Il peut vivre longtemps Comportement : presque tous les iguanes s'apprivoisent facilement. Habitat : Terrarium de 50cm minimum au départ qui évoluera suivant la croissance de l'animal. Substrat en écorces de bois. Branche pour grimper Température : de 28 à 30°C le jour et de 24°C la nuit. Hygrométrie de 80% Eclairage : Tube UV 5.0 Chauffage : Tapis ou câble chauffant et une lampe céramique pour maintenir un point chaud en hauteur Alimentation : 70% de légumes et fruits frais (mache, pissenlis, kiwi, bananes, tomates, melon) et le reste en granulés Besoins spécifiques : Pour les plus jeunes donner des compléments alimentaires en poudre (calcium et vitamines) A noter : L'iguane et le lézard le plus connu et le plus élevé en captivité
  17. ANOLIS CAROLINENSIS Nom commun : ANOLIS VERT Pays d'origine : Sud-est des Etats-Unis, du Texas à la Virginie Habitat naturel : Forêts clairsemées, arbustes, haies, zones agricoles. Famille : Iguanidae Espèce : Anolis Taille : 12 cm pour les mâles et 10 cm pour les femelles. Durée de vie : de 2 à 4 ans Dimorphisme Sexuel : Les mâles sont plus grands avec une tête plus massive et leurs pores fémoraux sont dilatés. En captivité : L’anolis est très résistant si on respecte son biotope. Comportement : Les mâles sont territoriaux, ils peuvent être difficile en groupe. Il faut bien les nourrir et leurs fournir des cachettes. Les anolis verts sont curieux de nature. L’anolis est principalement diurne. Anolis déployant sa gorge quand il est en colère Particularités : 1) L’anolis peut changer de couleur. Il peut passer du vert au brun pour différentes raisons : le camouflage, la température et les émotions sont les principaux facteurs du changement de couleur. • Le camouflage : La coloration verte lui permet de se camoufler dans la végétation feuillue tandis que le marron lui permet de ne pas être vu dans un milieu sombre tel que le tronc des arbres. • La température : Lorsqu'il veut se réchauffer, un anolis tourne au marron foncé, afin de capter d'avantage de rayons solaires. • L'émotion et l'état d'esprit de l'anolis : On a notamment pu remarquer que la couleur verte est associée à un état d'esprit positif. Par exemple lors d'une dispute entre 2 anolis, le vainqueur arbore une vive couleur verte tandis que le vaincu devient marron terne. Comment l'Anolis change-t-il donc de couleur ? Une hormone est sécrétée par une glande située dans la région du cerveau qui contrôle les émotions. Cette hormone une fois libérée voyage dans le sang jusqu'aux cellules spécialisées dans la pigmentation de la peau. Une fois la cible atteinte, l'hormone change la concentration en pigments 2) Comme beaucoup de lézards, l'anolis a la capacité de perdre sa queue afin de détourner l'attention d'un attaquant. En effet, le bout de queue détachée continue à bouger et à se contracter. La queue repoussera mais sera moins maniable que l'originale. • Par ailleurs, les yeux de l'anolis bougent indépendamment l'un de l'autre à la manière d'un caméléon. Leurs longs doigts griffus permettent à l'anolis de grimper facilement dans les arbres. • De plus de petites ventouses sous les pattes permettent à l'anolis vert d'adhérer plus aisément aux surfaces lisses. Terrarium : • La taille : Terrarium de 50 cm minimum • L'aménagement : avec un substrat composé de sable et de graviers. En décor on utilise des branches, des rochers et des morceaux d'écorces. On conseille d'ajouter des plantes robustes (artificielles ou vraies). • Eclairage : Lampes U.V.5.0 • Chauffage : Lampe céramique pour maintenir une température diurne optimale. • Température : de 23 à 30°C le jour et de 19 à 22°C la nuit. Hygrométrie de 60 à 70%. • Hygrométrie : 80% Alimentation : Insectes (grillons) et un ajout de calcium et vitamines. Nourrir quatre fois par semaine. Reproduction : • Ovipare, 6 à 9 pontes, 1 ou 2 oeufs. • La saison des amours des anolis verts débute en avril et se termine en août. Durant cette période, les mâles se parent de brillantes couleurs. Ils courtisent les femelles en déployant leurs gorges rouge vif et en exécutant des petits mouvements qui évoquent une sorte de danse. Si la femelle apprécie la parade nuptiale, elle le fait savoir au mâle en acceptant tout simplement de se laisser attraper par son partenaire ou en baissant la tête afin que le mâle puisse lui attraper la nuque avec sa bouche. Durant l'accouplement le mâle maintient la femelle par la nuque avec sa bouche, la blessant parfois légèrement. Quatre semaines après la fécondation, la femelle pond ses premiers œufs. Elle en pondra jusqu'à une dizaine, puis ne pourra plus en produire avant la saison des amours suivante. La femelle enterre ses œufs dans le sol meuble ou le compost puis ne s'en occupe plus. L'incubation se fera grâce aux rayons du soleil et l'éclosion aura lieu 40 jours plus tard environ. • Comme pour la plupart des reptiles, les nouveau-nés n'ont aucune aide des parents et doivent apprendre à survivre par eux-mêmes. La majorité ne parviendra pas à l'âge adulte, tombant proie à plusieurs sortes de prédateurs (y compris d'autres anolis verts). Besoins spécifiques : Fournir un système de goutte à goutte pour que l'anolis boive sur les feuilles et vaporiser régulièrement pour éviter la déshydratation. A noter : L'anolis sagrei qui provient des Bahamas, elle a besoin de plus de chaleur. STATUT REGLEMENTAIRE : Les ANOLIS ne sont pas soumis à la réglementation de la CITES, mais en vertu de leur statut d’animaux non domestiques, ils doivent provenir d’élevage.
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