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mes 2 nouveaux geckos leopard ( femelle diablo blanco et male ms raptor het db)
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de seb57420 dans Vos P'tits Virus
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Soigner par le venin ...
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
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Soigner par le venin ...
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
Le venin du serpent mamba noir: un remède miracle contre la douleur ? Un serpent mamba noir en pleine attaque Archive EPA/VASSIL DONEV Le venin du mamba noir, un redoutable serpent africain, contient des substances anti-douleur capables de rivaliser avec la morphine mais avec beaucoup moins d'effets secondaires, indiquent mercredi des chercheurs français. Depuis la fin des années 1990, les scientifiques ont mis en évidence l'existence d'une famille de protéines, les ASICs, impliquées dans la sensation de la douleur, essentiellement présentes dans la membrane des neurones. Le rôle des ASICs et surtout les substances capables de bloquer leur action constituent donc des pistes privilégiées pour trouver de nouveaux traitements anti-douleur. Dans leur quête d'antalgiques de nouvelle génération, Sylvie Diochot et Anne Baron, de l'Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire (CNRS/Université de Nice-Sophia Antipolis), ont étudié le venin du mamba noir (Dendroaspis polylepis polylepis). Le venin de ce serpent, l'un des plus grands d'Afrique, n'est pas fulgurant chez l'homme mais presque toujours mortel si la morsure n'est pas traitée. Peptides Les chercheurs français ont analysé les composants de ce venin et ont isolé deux peptides, des protéines courtes, qui sont capables de supprimer la sensation de douleur en inhibant certains ASICs. "Ces peptides, que nous baptisons 'mambalgines', ne sont pas toxiques chez les souris mais démontrent un puissant effet analgésique", à la fois au niveau local et sur le système nerveux central, "qui peut être aussi fort que celui de la morphine", expliquent-ils dans leur étude publiée mercredi dans la revue britannique Nature. Selon l'étude, ces mambalgines présentent beaucoup moins d'effets indésirables que les opiacés: aucun signe de dépression respiratoire n'a été constaté chez les souris testées, avec un phénomène d'accoutumance bien inférieur à celui de la morphine. Source : rtbf.be -
Faits divers concernant les chéloniens
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
2 tortues luth sans vie en baie de Somme Les corps de deux tortues luth ont été retrouvés en l'espace de cinq jours en baie de Somme et sur une plage du Pas-de-Calais, ce qui est rarissime dans cette zone ,selon le Centre national de la mer Nausicaa de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). La dernière tortue -mesurant 1,20 mètre et pesant 100 kilos- a été trouvée mardi sur la plage d'Equihen, à Ecault (Pas-de-Calais), et remise à Nausicaa pour autopsie. Vendredi, c'était une tortue de la même espèce -classée en danger critique d'extinction- de 200 kg et 1,80 mètre qui avait été découverte sur une plage près d'Ault (Somme), en baie de Somme. Elle était porteuse d'un transpondeur (puce d'identification) qui devrait permettre de connaître son périple. Dans les deux cas, la dégradation des corps ferait remonter la mort à plusieurs semaines. Source : lefigaro.fr -
Béziers : Le dragon de Cabannes, un lézard à deux queues Un reptile à deux queues qui aime lézarder au soleil. "C’est devenu un peu l’enfant de la maison", conclut Marie-Laure, après avoir fait les présentations d’usage. Après être sorti tout l’été, l’hôte de la maison Beltran aux hameaux des Cabannes, sur la commune de Moulin-Mage dans le Tarn, apparaît encore lorsque le soleil d’automne est assez vigoureux. Il pointe le bout de son nez et émerge lentement d’une... lézarde de la terrasse. Son univers semble du reste se limiter à ce terre-plein, situé à 950 mètres d’altitude. Particularité de ce lézard gris : après les pattes arrière, avant que le corps ne s’effile, une excroissance a poussé. Une sorte de deuxième queue qui, elle, se dirige en biais vers le haut. "C’est Fukushima !" s’exclame le gendre cuisinier. Remarque un tantinet désagréable pour ce petit reptile qui, c’est vrai, se serait bien passé de cet appendice. Source : midilibre.fr
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Un escargot japonais capable de s'automutiler en cas de danger Une espèce d'escargot a été découverte par un scientifique japonais. Le gastéropode est capable de se séparer de la partie arrière de son corps pour échapper aux prédateurs. Un scientifique japonais a découvert une espèce d'escargot du sud tropical du Japon capable de séparer la partie arrière de son corps pour échapper aux prédateurs. Image: AFP Un scientifique japonais a découvert une espèce d'escargot du sud tropical du Japon capable de séparer la partie arrière de son corps pour échapper aux prédateurs. Cette capacité d'autotomie, connue chez les lézards, les crabes ou les vers de terre, n'avait jamais été observée chez les escargots. Masaki Hoso, membre de la Société du Japon pour la promotion de la science, a pu constater cette particularité des «isshikimaimai» (Satsuma caliginosa caliginosa), qui vivent dans les îles Ishigaki et Iriomote (archipel d'Okinawa), à force de nourrir des serpents avec ces petits gastéropodes. Ses travaux ont été publiés mercredi dans la revue britannique «Proceedings of the Royal Society». «On a observé que les isshikimaimai échappaient souvent à leur prédateur en détachant la partie arrière de leur corps», pouvant ainsi rentrer totalement à l'intérieur de leur coquille, le temps que la partie amputée repousse «au bout de quelques semaines», indique le scientifique sur son site internet. Pour confirmer ses observations, Masaki Hoso a mis la même variété de serpents mangeurs d'escargots avec une autre espèce d'escargot provenant d'une autre île de l'archipel à 120 km à l'ouest de l'île d'Ishigaki, où justement il n'y a pas de reptile mangeur d'escargots. «Ces escargots ne pratiquent pas l'autotomie et ils ont tous été mangés», conclut-il. Adaptation de part et d'autre Chercheur associé dans un centre de recherche sur la biodiversité à Leiden, aux Pays Bas, Masaki Hoso attribue cette faculté d'autotomie à une lente adaptation pour se défendre de son prédateur naturel. Le scientifique n'a en revanche pas réussi à déterminer la façon dont l'escargot se sépare de la partie arrière de son corps, alors que la structure de la queue du lézard s'y prête facilement. «Il faut encore résoudre le mécanisme d'autotomie» chez cet escargot, a- t-il indiqué. Plus étrange encore, d'autres scientifiques avaient déjà remarqué que le serpent ennemi de cet escargot avait au fil de son évolution développé des mâchoires asymétriques, l'une plus puissante que l'autre, pour pouvoir venir à bout plus facilement de la coquille en spirale. (ats/Newsnet) Source : 24heures.ch
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pituophis melanoleucus mugitus
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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