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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Mississippi: ils capturent un alligator géant de plus de 300 kg Jim Reed, Michael Robbers, Tom Grant, et Kenny Winter (Photo: MDWFP) Quand l'énorme alligator a mordu à l'hameçon vendredi dernier sur un terrain de chasse privé du Mississippi, «nous nous sommes livrés à une épreuve de force chaotique d'une heure et demie avant de finalement le maîtriser», raconte le chasseur, Tom Grant. Il a fallu quatre hommes pour capturer l'animal de 316 kg, l'une des plus grosses prises jamais enregistrées. Le delta inférieur du Mississippi se compose surtout de clubs de chasse, de terres forestières, de plantations et de zones de gestion de la faune. Tom Grant explique que son groupe a hameçonné la créature aux allures préhistoriques pendant la saison de la chasse près de Fitler, dans la région d'Issaquena. «Quand on a attrapé l'alligator au bout de deux cannes et de crochets à bobine, on savait que c'était une grosse prise, mais on ne s'attendait pas à ça», s'étonne encore Tom Grant. Quelques jours plus tard, l'agence de la faune, de la pêche et des parcs du Mississippi (Mississippi Department of Wildlife, Fisheries & Parks) a confirmé le record. La plus grosse prise précédente, qui date de l'année dernière et provient des mêmes eaux du delta, pesait 313 kg sur la balance. «Ce n'est pas la première fois qu'un alligator de la région d'Issaquena bat des records et ce n'est pas sans doute pas la dernière, selon Ricky Flynt, coordonnateur du programme Alligator au MDWFP. L'habitat très riche et isolé de la région inférieure du delta abrite des alligators géants depuis des milliers d'années.» Le tout dernier record revient à Tom Grant. Le reptile de 3,98 m de long arbore une queue de 1,15 mètre et un abdomen d'une circonférence de 1,65 mètre, preuve que l'animal n'a pas manqué de nourriture. Tom Grant était accompagné de Jim Reed, Michael Robbers et Kenny Winter. Le spécimen se situe au sommet de la courbe de tailles de son espèce. Le National Geographic déclare sur son site Web: «Un alligator de 316 kg vient de quitter les eaux du delta du Mississippi pour entrer dans l'histoire. Tom Grant, un chasseur de Boyle, Mississippi, a capturé l'immense reptile sur un terrain d'un club de chasse privé près de Fitler, dans la région d'Issaquena, à l'ouest du fleuve Mississippi.» Les alligators américains peuplent désormais abondamment le sud des États-Unis et une grande partie de l'Amérique centrale, après avoir été au bord de l'extinction. Ricky Flynt conclut: «L'alligator américain était en voie de disparition dans le Mississippi. Sa population est maintenant suffisante pour que nous autorisions des quotas de chasse limités. C'est l'illustration même de l'efficacité d'un programme de préservation de la vie sauvage.» Source : actualites.yahoo.com
  2. Les employés de L'Escarène tombent... sur un python Les employés communaux de L'Escarène au-dessus de Nice ont eu la surprise de trouver vendredi un python en bordure de la route de la Pighièra. Les employés communaux de L'Escarène au-dessus de Nice ont eu la surprise de trouver vendredi un python en bordure de la route de la Pighièra. Le serpent d’un an et demi environ et de 80cm a-t-il été abandonné par son propriétaire ? Mystère. Heureusement, il n’était pas au mieux de sa forme. Pris en charge par un vétérinaire, le serpent ira rejoindre un jardin zoologique. Source : nicematin.com
  3. Ce qui est d'autant plus triste, c'est que c'est une espèce qu'on n'a pas trop l'habitude de voir. Mais bon, ce sont des choses qui arrivent malheureusement. Maintenant, il faut fonder tout les espoirs sur la saison prochaine.
  4. Oh mince, c'est vraiment dommage, tu dois être vraiment déçu !
  5. Filoue11

    Nouveau terra planté

    Dis donc, ça se développe super bien, et cette petite fleur, j'adore !
  6. Magnifique ! Merci de nous avoir donné des nouvelles. ^^
  7. Ben alors on n'a pas eu de nouvelle de cette ponte, comment l'incubation et l'éclosion se sont-elles passées.
  8. Filoue11

    Trafic

    Madagascar : 2 trafiquants de tortue arrêtés avec 272 jeunes tortues radiées (Xinhua) — Deux trafiquants de tortues ont été arrêtés avec 272 jeunes tortues radiées à Ampanihy, dans le sud du pays, le week-end dernier, a indiqué mardi le Fonds mondial pour la nature (WWF). La responsable de la communication du WWF-Madagascar, Mialisoa Randriamampianina, a fait savoir que ces tortues ont été réacheminées vers Tranovaho, commune urbaine dans le district de Tsihombe (sud). Selon le WWF, le trafic illégal touche chaque semaine un millier de tortues radiées du Plateau Mahafaly, zone reconnue mondialement pour sa biodiversité unique en faune et flore mais aussi pour la dégradation de son environnement et la pauvreté du lieu. "Si nous ne parvenons pas à faire cesser le braconnage et la destruction des habitats de tortues dans le sud, nous risquons de perdre ces espèces à l’état sauvage dans moins de cinquante ans", a précisé le Coordinateur du Programme Sciences de la conservation et Espèces, de WWF, Tiana Ramahaleo. Le WWF et ses partenaires vont établir un réseau d’informations dans le sud pour faire en sorte que les trafics illicites de tortues ne restent pas impunis. Source : afriscoop.net
  9. Un mécanicien trouve une veuve noire dans sa marchandise Photo Agence QMI / Archives SAGUENAY – Un employé du Groupe Alfred Boivin à Saguenay a fait une découverte étonnante et plutôt inhabituelle, jeudi dernier. Il a capturé une veuve noire qui s'était logée dans l'emballage de pièces d'équipement industriel en provenance de Californie. Elle aurait survécu plusieurs mois au Québec avant d'être découverte par le mécanicien. «On l'a trouvée entre deux mâchoires de casse-pierre sur une palette de bois, a raconté le contremaître des sablières chez Alfred Boivin, Richard Thibeault. On a levé une mâchoire et il y avait comme un nid en dessous. Elle était là, entourée de fils et d'après la facture des pièces, elle serait ici depuis la fin mars.» Elle a toutefois failli finir ses jours sous une semelle de chaussures. «On n'était pas certain que c'était une veuve noire, a précisé M. Thibeault. Mais les informations que l'on a trouvées sur internet nous l'ont confirmé. On n'a pas eu peur, mais ce n'est pas une bibitte qui est très belle et elle avait l'air bien en vie.» Le travailleur aurait réussi à la capturer, sans se blesser. «Il a pris une bouteille d'eau vide et un morceau de carton et elle est entrée d'elle-même dans la bouteille.» Le contremaître a remis le spécimen à l'entomologiste Robert Loiselle de l'Université du Québec à Chicoutimi. C'est la deuxième fois que quelqu'un lui en apporte une. «Ma première (veuve noire) avait été trouvée dans des fruits provenant de la Vallée de l'Okanagan, en Colombie-Britannique, a indiqué M. Loiselle. Mais cette espèce-là est typique de la Californie parce qu'elle a un beau sablier rouge bien dessiné sur un fond noir ébène un peu luisant. C'est la marque des espèces du sud des États-Unis.» Contrairement à la croyance populaire, le venin de la veuve noire n'est pas mortel pour les humains. «Sa réputation est un peu surfaite, selon ce spécialiste. Ce n'est pas une araignée dangereuse au point d'être mortelle pour un adulte. Ce n'est pas une araignée agressive. Je cours plus de danger en retournant chez moi le soir avec ma voiture qu'en gardant une veuve noire dans mon bureau.» Robert Loiselle souhaite conserver l'araignée vivante au moins pour deux semaines, le temps de la montrer à d'autres naturalistes. La direction de l'entreprise Alfred Boivin entend, de son côté, aviser tous ses employés et leur demander d'être vigilants lorsqu'ils auront à déballer de la marchandise provenant de l'extérieur du pays. Source :journaldemontreal.com
  10. Australie: un crocodile en liberté dans la soute à bagages d'un avion Non ce n'était pas une valise en croco mais bien un crocodile vivant qui zigzaguait parmi les bagages, en soute. AFP/ROMEO GACAD Un employé australien a sursauté en ouvrant la porte de la soute d'un avion Qantas, lorsqu'il a découvert un crocodile circulant librement parmi les bagages, a indiqué la compagnie aérienne lundi. Le reptile, de taille plutôt petite selon un porte-parole de Qantas, était parvenu à s'échapper de sa cage, lors d'un vol reliant Melbourne (sud) à Brisbane (est) la semaine dernière. «L'animal a été rapidement attrapé», a ajouté le porte-parole. Le crocodile était acheminé par la compagnie de transport de fret Australian Air Express. Qantas enquête pour savoir si les consignes de sécurité habituelles pour ce type particulier de fret ont été respectées. Les crocodiles sont partout.... Il y a six mois, un australien de 65 ans a failli y passer.Terry Donovan effectuait l'entretien d'une cabine sur pilotis louée aux pêcheurs, dans le Queensland (nord), lorsque l'eau a commencé à monter, isolant la maisonnette, sans moyen pour lui de repartir. L'homme a aussi et surtout dû composer avec la présence de crocodiles, auxquels il a échappé en s'installant sur une table de billard. En janvier dernier, une famille de Darwin, dans le nord de l'Australie, a eu la stupeur de découvrir au réveil qu'un crocodile rôdait dans son salon. Erin Laung Worth se souviendra aussi de son Nouvel An. Australienne de 22 ans, elle avait décidé de s'offrir un saut à l'élastique au-dessus du fleuve Zambèze. Mais l'élastique a lâché 25 mètres avant la surface de l'eau. La jeune femme a plongé la tête première dans le cours d'eau... qui, pour ne rien arranger, est infesté de crocodiles. Source : leparisien.fr
  11. La mue d’une mygale géante filmée en accéléré Fasciné par la mue de son araignée Goliath, un internaute a installé sur le vivarium de l’animal une caméra afin de filmer en accéléré le processus. La mue est un impressionnant phénomène, d’autant plus quand l’organisme qui l'accompli est une des plus grosses mygales du monde. Un internaute, propriétaire d’une araignée Goliath (Theraphosa blondi) a voulu immortaliser la "métamorphose" de son arachnide en plaçant sur le vivarium une caméra. Une idée ingénieuse qui lui a permis de filmer tout le processus plutôt long avant de le monter en time-lapse pour en faire un clip de moins de 2 minutes. Sur la vidéo, on observe ainsi la mygale se débattre d'abord doucement puis de plus en plus vivement pour sortir de son ancien exosquelette. Theraphosa blondi, à l’âge adulte, possède un corps d’environ 10 centimètres de long. L’organisme entier avec les pattes peut quant à lui atteindre aisément une envergure de 30 centimètres et pèse entre 120 et 130 grammes. 

L’araignée Goliath vit au cœur des forêts tropicales humides, en Guyane, au Brésil, au Surinam ainsi qu'au Venezuela. Il s’agit d’un spécimen particulièrement agressif, muni de soies urticantes et de notables crochets délivrant un venin neurotoxique. Si le poison est capable de neutraliser n’importe quelle proie, il est toutefois aussi inoffensif pour l’être humain qu’une piqure de guêpe. Du fait de sa grande taille, la mygale se nourrit de tout types de proies infortunées passant à proximité de son terrier : insectes, grenouilles, rongeurs… Des observations de l’arachnide en train de tuer des oiseaux lui a également valu son nom vernaculaire anglophone : 'Goliath Bird-Eating Tarantula" (ou la "Mygale Goliath mangeuse d’oiseaux" ) Source : maxisciences.com
  12. Les ancêtres de nombreux serpents étaient des créatures souterraines Un saurien Anguis fragilis également connu sous le nom d'orvet et souvent confondu avec un serpent (Crédit : F Lamiot - Wikipédia) Publiée le 19 septembre sur le site Biology Letters, une étude génétique américaine à grande échelle montre que la plupart des serpents actuels dérivent d’un groupe de serpents fouisseurs, dont ils ont gardé la forme allongée. "Résoudre la phylogénie des lézards et des serpents (Squamates) avec un échantillonnage exhaustif de gènes et d’espèces" : cette recherche, menée par John J. Wiens, du Département d'écologie et d’évolution à l'Université Stony Brook (état de New York), porte bien son titre. Elle est en effet basée sur l’étude de 44 gènes différents chez pas moins de 161 espèces de lézards et de serpents. Ceci représente l'un des plus grands ensembles de données génétiques jamais réunis concernant des reptiles. Or, grâce à ces travaux, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que presque toutes les espèces actuelles de serpents dériveraient d'un groupe (toujours existant) de serpents fouisseurs aveugles appelés les scolécophidiens. Selon les auteurs, il subsisterait même des traces de cette origine souterraine dans l'anatomie des serpents non-fouisseurs d’aujourd’hui. "Par exemple, où qu’ils vivent, les serpents ont un corps allongé et une queue relativement courte, et en dehors des serpents, cette forme de corps ne se retrouve que chez les lézards qui vivent sous terre. Les serpents ont gardé cette même forme de base du corps, tout en évoluant pour occuper presque tous les habitats de la planète – de la canopée tropicale aux déserts et même aux océans", a déclaré le Pr Wiens cité par Science Daily. Source : maxisciences.com
  13. Tarbes. Le serpent s'invite dans la voiture des retraités L'aventure qui suit est peu banale et peut, par certains moments, provoquer quelques frissons. Éloignez donc les enfants et les personnes fragiles, on ne sait jamais… Les faits se sont déroulés samedi dernier. Un couple de retraités tarbais, M. et Mme R., sont sur la route, dans leur voiture, et descendent d'Argelès, où ils étaient allés se promener. «C'est mon épouse qui conduisait», raconte Marcel, «et alors que nous traversions Adé, elle a vu, enroulé sur le rétroviseur gauche, un serpent qui regardait fixement les passagers !» Malgré la surprise, Mme R. garde son sang-froid et arrête sa voiture à la sortie du village. D'autres auraient sans doute paniqué… «Moi, je ne le voyais pas très bien», poursuit Marcel, «mais mon épouse m'a dit par la suite qu'il la regardait sans animosité, c'est en tout cas l'impression qu'elle a eue. Dans tous les cas, elle n'a pas paniqué, et c'est à saluer.» Le couple s'extrait de la voiture, du côté droit pour ne pas déranger le reptile. «Une voiture s'est alors arrêtée, une dame en est descendue et nous lui avons prêté une canne. Elle a touché le serpent, qui s'est enfui en un éclair. Nous avons quand même alerté les pompiers, une équipe est venue de Lourdes, ils ont fouillé la voiture pour voir si, par hasard, le serpent n'y était pas entré. ils n'ont rien trouvé. Ils ont ensuite sommairement fouillé les alentours, il y avait des herbes hautes, et tout le monde a pensé que le serpent s'était enfui.» C'est donc soulagés, et s'amusant presque de la mésaventure, que M. et Mme R. reprennent la route, le sourire aux lèvres. Pas pour longtemps car à l'entrée de Tarbes, le serpent réapparaît, dans un scénario digne d'un film d'horreur ! «Cette fois, il ondulait sur le pare-brise», s'exclame Marcel, qui n'en revient toujours pas. «Nous avons une fois encore appelé les secours et deux pompiers de Tarbes sont venus. En fouillant, ils ont fini par trouver le serpent, qui mesurait près d'un mètre de long. On s'en rappellera longtemps de cette journée riche en émotions ! De même que de nombreux promeneurs qui ont assisté à la scène !» C.V. Source : ladepeche.fr
  14. Elle est superbe ta Zézette.
  15. Seltz : un python découvert par un touriste Le serpent a été découvert dans le parc du restaurant "Au bord de l'étang". Un touriste parisien est tombé nez à nez avec un serpent de plus de 10 kg dans la propriété de son hôte restaurateur. Un touriste parisien en visite dans la propriété de son hôte, restaurateur à Seltz est tombé nez à nez avec un python de 3,25 mètres de long mercredi. "Des amis de Paris étaient chez nous, l'un d'eux a voulu chercher des escargots et en partant, il a vu un énorme serpent dans les thuyas" qui bordent la propriété, a expliqué à Alain Mappus, patron du restaurant "Au bord de l'étang". M. Mappus a expliqué n'avoir aucune idée de la provenance du python molure, qui peut mesurer jusqu'à 6,15 mètres et dont l'importation est interdite en France sans autorisation, selon les pompiers du Bas-Rhin. Acte de malveillance? Le restaurateur s'est dit très choqué car il a la phobie des serpents et la gendarmerie a ouvert une enquête. Le serpent a été récupéré par les pompiers et mis dans une boîte hermétique, en attendant d'être pris en charge par des fonctionnaires de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Source : alsace.france3.fr
  16. Salut Eric Le point chaud est pris à l'endroit le plus proche de la source de chaleur accessible par la bête. Donc si tu chauffes avec un tapis, tu prends la température au sol, si c'est une lampe au dessus d'une branche par exemple, tu prends la température au niveau de la branche.
  17. Quelle est l'intérêt de faire ça ?!
  18. De mieux en mieux, un Python Regius nourrit avec des grillons ! http://www.leboncoin.fr/animaux/367547102.htm?ca=22_s
  19. L'élevage d'alligators rapporte gros en Géorgie Les peaux d'alligators, qui seront transformées en produits de luxe La ferme de Mark Glass recense environ 100 000 alligators, dont les peaux sont vendues à des tanneries en Europe et en Asie. Les élevages de volailles, rien de plus banal. Mais des fermes où l’on élève à la fois des poulets et des crocodiles, c’est moins fréquent. A Camilla, une localité située au sud-ouest d’Atlanta, la capitale de l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, un éleveur de poulets s’est branché sur les alligators. Aux environs de Camilla, au fin fond d’une rue surnommée « Alligator Alley », la voie des alligators, une dizaine de bâtiments blancs sont parsemés dans une clairière. Un homme s’avance. Il s’agit de Mark Glass, éleveur de volailles et de crocodiles, sont l’exploitation compte une vingtaine de poulaillers et 100 000 alligators. Des prédateurs superbes, originaires d’ailleurs des marécages et rivières du sud des Etats-Unis. Les reptiles peuvent atteindre jusqu’à 4.5 mètres et peser 400 kilos. Chaque année, Mark Glass doit récolter dans la nature des oeufs d'alligators, qui ne se reproduisent pas en captivité M. Glass reconnait volontiers qu’à ses débuts, il n’avait aucune idée qu’il exercerait un jour un tel métier. En fait, il a commencé sa carrière comme paisible éleveur de poulets et s’il a un jour songé aux alligators, c’était tout simplement pour se débarrasser des restes de volailles à moindre coût. Normalement, fait-il valoir, 5 pour cent des volailles meurent avant d’être achetées. La majorité des éleveurs brûlent les carcasses ou les enterrent. C’est d’ailleurs ce que Glass faisait au début mais voilà, le propane, ce n’est pas donné. « Nous avons commencé à expérimenter avec les alligators, à donner les volailles mortes à la ferme où l’on élevait des alligators. A l’époque, aucun éleveur de poulets ne s’était lancé dans l’élevage d’alligators » explique M. Glass. En fin de compte, il a acheté 750 bébés alligators et les a relâché dans une mare. Mais si au début, les reptiles se sont contentés de carcasses de poulet, très vite, ils ont eu d’autres besoins. Glass s’est adapté, en se lançant dans l’élevage d’alligators, pour vendre à la fois leur peau et leur viande. Comme les alligators ne se reproduisent pas en captivité, chaque été, Glass disparait dans la nature pour ramasser des œufs d’alligators et les ramener à sa ferme. Ce qui est légal, vu que les alligators ne sont plus une espèce menacée aux Etats-Unis. Certains diraient même qu’il y en a trop. Même si la ferme recense 100 000 alligators, il y règne un calme surprenant. Car ce n’est pas bon de laisser les reptiles se disputer, au risque d’abimer leurs peaux. Les grands de la maroquinerie ne veulent pas de peaux irrégulières ou couvertes de cicatrices et d’égratignures. Donc, les alligators de Glass sont choyés, installés dans des mares protégées contre les éléments, dans de l’eau chauffée à 30 degrés pour qu’ils n’hivernent pas. « On les laisse grandir jusqu’à 1 ou 2 mètres de long, selon les exigences de l’acheteur. Les petites peaux servent à fabriquer des bracelets de montres de luxe. Les plus grandes, des sacs pour femmes » explique M. Glass. Il faut un an pour que l’alligator soit suffisamment grand pour que sa peau serve à fabriquer des bracelets. Trois ans pour les sacs. Le temps venu, les peaux sont enlevées puis séchées et expédiées vers les tanneries européennes et asiatiques, où elles deviendront des produits de luxe. M. Glass est le premier à reconnaitre qu’il n’aurait jamais imaginé finir ainsi. Mais il ajoute qu’il aurait dû se douter de son sort le jour où il a demandé son épouse en mariage. Il avait choisi un site inhabituel pour présenter sa demande : un site de villégiature en Floride surnommé : la Pointe de l’alligator. Source : lavoixdelamerique.com
  20. Brignoles › Sept tortues terrestres ont pris l'avion pour Dakar Le rapatriement vers le Sénégal des sept tortues a été permis par la Station d'observation et de protection des tortues et de leur milieu, dite Village des tortues de Gonfaron.Laurent Martinat et Virginie Rabisse Les centrochelys sulcata ont quitté Nice en fin de semaine pour un vol à destination de leur pays, le Sénégal. Un retour aux sources mis en place par l’équipe du Village des tortues de Gonfaron. Un voyage de quatre mille kilomètres. Au rythme d'une tortue, cela aurait pu prendre du temps. Heureusement, les sept centrochelys sulcata, ou tortues sillonnées, ont emprunté les voies aériennes pour retrouver leur terre d'origine, le Sénégal. Et sont arrivées aujourd'hui à Dakar par un vol de fret de la Lufthansa. Ce sont Bernard Devaux, le directeur du village des tortues de Gonfaron, et Nicolas Jardé, le responsable animalier, qui les avaient accompagnées, vendredi à l'aéroport de Nice. « Ces bêtes-là n'ont rien à faire en Europe », s'insurge le fondateur du parc, qui les reconduit à la frontière. Pour leur bien : « C'est une espèce qui a beaucoup souffert du commerce (légal pour cette race, ndlr) et du ramassage. Les gens aiment bien les tortues, mais ils les mettent en captivité. Lorsqu'ils ne peuvent plus s'en occuper, ils les amènent chez nous, car nous sommes le seul centre agréé du sud de la France. » Deux ans de procédure Au parc de Gonfaron, les tortues sont soignées, réacclimatées à ce qui s'approche le plus de la vie sauvage. Dans le but de les réintroduire dans leurs pays d'origine. Et, grâce au Village des tortues, créé par l'association à Noflaye, au Sénégal, plus de trente-cinq sulcata ont déjà été relâchées en une dizaine d'années. « C'est plus facile pour les trafiquants de les faire rentrer que pour nous de les ramener chez elles ! », assure Nicolas Jardé. Il a, en effet, fallu plus de deux ans à Bernard Devaux et à ses équipes pour obtenir les autorisations sanitaires nécessaires au rapatriement de ces reptiles. Et le directeur raconte : « La première fois, le douanier africain a même indiqué "export" sur les papiers. Il était surpris lorsque je lui ai expliqué qu'il s'agissait, au contraire, d'import. » Réintroduction parfois impossible Des « sillonnées » du Sénégal, il en reste donc encore une quarantaine au village de Gonfaron. Sans compter les plus de mille bêtes représentant quarante espèces, résidentes temporaires du village. « Notre objectif est de les réintroduire dans leur région d'origine,explique Nicolas Jardé. Soit par nos parcs au Sénégal et à Madagascar ; soit en partenariat avec d'autres structures. » Le message du responsable animalier est clair : « Ce n'est parce qu'elles sont en vente qu'il faut en acheter. » Autrement dit ces animaux sauvages n'ont rien à faire en captivité. À tel point que certains ne pourront jamais être réintroduits, car éloignés depuis trop longtemps de la nature. Pour les sept voyageuses, l'avenir semble meilleur. Elles passeront, certes, un an avec leurs congénères de Noflaye, en quarantaine puis en réacclimatation. Mais, d'ici à un an, elles devraient pouvoir rejoindre leur habitat privilégié. Source : varmatin.com
  21. Voici le congrès des araignées qui a lieu chaque année dans la baie de Ray Pier à Melbourne (Australie). Ces araignées de mer se déplacent par dizaines de milliers, pour muer et se reproduire. Faute de pouvoir observer ce phénomène, les scientifiques ont longtemps cru à une légende...
  22. Le cri de l'aigle au moment ou il reçoit la prothèse est trop émouvant, on dirait qu'il a tout compris.
  23. En 2005, ce pygargue à tête blanche a été blessé au visage par un braconnier, ce qui lui a endommagé le bec et l'a empêché de se nourrir tout seul. Des sauveteurs d'animaux l'ont trouvée avant que l'oiseau ne meure de faim. Les bénévoles au sein du groupe à but non lucratif Birds of Prey North West l'ont alors soigné et alimenté à l'aide d'une sonde. Comme son bec n'allait jamais guérir, ce rapace ne serait plus jamais autonome et ne pourrait plus être relâché dans la nature, il y serait mort de faim au bout de quelques jours. La spécialiste des rapaces Jane Fink Cantwell a refusé l'euthanasié et s'est alors associée à l'ingénieur Nate Calvin, puis d'autres scientifiques, ingénieurs, et même un dentiste, pour fabriquer un bec polymère de nylon qui remplace parfaitement le bec naturel de l'oiseau. À l'aide d'un programme de modélisation 3-D, puis d'une imprimante 3-D, la prothèse a pu être fabriquée. Le rapace est à présent capable de manger, boire et se lisser les plumes tout seul. Il n'est pas encore retourné à l'état sauvage, mais est déjà bien plus autonome et dans un futur proche il pourra retrouver sa liberté. Aigle avec une prothèse de bec imprimée en 3D par Spi0n
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