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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Filoue11

    Pituophis vertebralis

    Ah oui en effet, elle est tout jeune. Elle n'a pas trop mauvais caractère?
  2. Filoue11

    Pituophis vertebralis

    Et ça lui fait quelle âge à cette petite femelle ?
  3. Filoue11

    Spalerosophis atriceps

    T'as bien raison de faire ta chieuse, moi aussi je veux bien voir sa tête d'un peut plus près.
  4. Filoue11

    Spalerosophis atriceps

    En effet, elle a bien éclairci en quelques moins. Le contraste avec sa tête n'est pas pour me déplaire d'ailleurs. Et niveau caractère, ça se passe comment ?
  5. Filoue11

    Pituophis vertebralis

    Bonjour K-tio C'est une bien jolie acquisition qu tu viens de faire. C'est un mâle ou une femelle ?
  6. Ah oui quand même, c'est un sacré papy et quelle longévité !! Souhaitons lui encore de bonnes et longues années devant lui.
  7. GRÈCE. Une île paradisiaque abrite des lézards cannibales L’île de Diavates en Grèce est souvent le théâtre d’attaques cannibales entre lézards. Étrange, puisque ces bêtes vivent dans des conditions presque parfaites, qui ne devraient pas les conduire à de telles extrémités. PARADIS. Un endroit ensoleillé, aucun prédateur et des tonnes d’insectes... L’île de Diavates (Grèce) a tout d’un paradis pour les lézards des murailles de Skyros (Podarcis gaigeae). Pourtant, le cannibalisme y est très répandu entre ces reptiles. Selon des chercheurs dont l’étude a été publiée dans Ethology, le phénomène est même plus répandu que sur l’île de Skyros (à ne pas confondre avec le nom du lézard) qui est située à proximité (voir carte ci-dessous) et où les prédateurs sont nombreux. En comparant des individus provenant des deux endroits, ils ont d’ailleurs noté que "seulement 1,2% des estomacs des lézards provenant de l’île de Skyros contenaient des membres de leurs congénères alors que ce chiffre atteignait 21,4% pour ceux de Diavates". Un phénomène prévisible ? Selon les auteurs de l’étude, le phénomène n’est pas surprenant. Grâce aux conditions favorables de l’île de Diavates, les lézards se reproduisent facilement et la densité de population est très élevée. Ainsi, ces reptiles, dont le poids peut atteindre trois fois celui d'individus vivant à d’autres endroits, s’attaquent généralement aux jeunes, mais peuvent aussi s’en prendre aux autres adultes. Dans tous les cas, les mâles sont plus enclins à commettre ces actes que les femelles. "Les infanticides et l’agressivité entre les mâles confèrent deux avantages importants : de la nourriture et l’élimination de futurs rivaux", expliquent les chercheurs. Ainsi, la compétition sexuelle est moindre et le reptile est rassasié. Qui plus est, les lézards s’attaquent souvent à la queue ce qui leur apporte un apport notable en lipides (le gras y est stocké pendant certaines saisons). Les individus attaqués, dépourvus de leur réserve, ont plus de difficulté à se reproduire. AFFAMÉS. Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont placé un lézard adulte affamé en présence d’un individu plus jeune dans un terrarium. Ils ont relevé que "plus des deux tiers des reptiles provenant de l’île de Diavates ont attaqué le petit comparativement à 17% pour ceux de l’île de Skyros". De plus, le délai avant l’agression était six fois plus long pour ces derniers. Les chercheurs se demandent maintenant comment cette pratique affecte les chances des mâles de transmettre leurs gênes à leur progéniture. Car ils ne savent toujours pas si les reptiles reconnaissaient leurs petits… Par Dominique Brunet-Vaudrin sciences&avenir
  8. Filoue11

    Quelques photos en vrac

    Tu as toujours d'aussi belles bêtes, un régal pour les yeux !
  9. Oh mince, je suis désolée, mais comme tu le dis, ce sont des choses qui peuvent hélas arriver. On n'y pense plus quand on vit avec des chats (et même des chiens d'ailleurs ) que bien qu'apprivoisés et très imprégnés par l'homme, ils gardent un très fort instinct de chasseur.
  10. Ah oui ça m'a l’aire très ingénieux comme procédé.
  11. et bien moi, j'aime beaucoup, le classique !
  12. Hello Pyromel Pour triller, il va te falloir beaucoup de patience. Quand à les mettre dans une boite, à part les mettre un part un (ou par deux) en faisant attention aux fuites, je n'ai hélas pas d'idée.
  13. Coucou flaac ! Qu'est ce que ça donne la construction de ton terra depuis le temps ? Tu as piqué ma curiosité !
  14. Le voleur a peur des reptiles et prend la fuite Alors qu'il venait de s'introduire dans un pavillon, un voleur transi de peur a pris la fuite après avoir vu un panneau "attention reptiles". Un homme a été interpellé jeudi à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) transi de peur après avoir pris la fuite d'un pavillon qu'il venait de fracturer où était signalée la présence de reptiles, a-t-on appris vendredi de source policière. Selon les premiers éléments de l'enquête, le présumé voleur a fracturé peu avant 17 h la fenêtre d'un pavillon. Il s'apprêtait à y commettre ses méfaits lors qu'il a vu un panneau indiquant en substance : "attention présence de reptiles ici". Pris de peur, il s'est enfui un tournevis à la main et a été aperçu par une patrouille de police qui l'a interpellé jugeant son comportement suspect. L'homme a été placé en garde à vue, selon la source policière. ouest-france.fr
  15. Ah ben j'avoue que cette petite visite dans mes toilettes n'aurait pas été pour me déplaire !
  16. Un serpent dans les toilettes du collège Le serpent, qui mesure entre 50 et 70 centimètres, a été retrouvé ce matin dans les toilettes du collège. Photo DL/P. C. Drôle de découverte pour le personnel du collège Marie-Curie de Tournon-sur-Rhône qui s'est trouvé nez à nez avec un serpent, ce jeudi vers 8 heures, dans les toilettes de l'établissement. Le reptile, qui mesure entre 50 et 70 centimètres, serait un bébé boa constrictor imperator. Une espèce qui n'est pas venimeuse, mais qui peut atteindre jusqu'à 3 mètres à l'âge adulte. Les pompiers sont passés récupérer l'animal vers 10 h 45. L'hypothèse d'un élève qui aurait déposé le serpent semble privilégiée pour le moment, mais il n'est pas exclu que le serpent soit arrivé de lui-même par les toilettes. L'animal devrait être confié dans la journée aux services vétérinaires, chargés de lui trouver un refuge. ledauphine.com
  17. Le venin du serpent est actif pendant des dizaines d’années L’examen d’échantillons de venin conservés durant 80 ans révèle qu’ils restent biologiquement actifs. Le Taïpan du désert, qui vit en Australie, est le serpent le plus venimeux du monde. XLerate CONSERVATION. Des collections de venin ont été retrouvées en Australie et analysées : les résultats indiquent que les venins sont toujours dangereux et peuvent constituer une source de molécules utiles pour la recherche pharmaceutique. Une collecte mortelle C’est Bryan Fry, de l’université du Queensland, qui a dirigé cette étude dont les résultats sont publiés dans le Journal of Proteomics. "Les venins que nous avons étudié proviennent d’une collection inestimable appartenant à Struan Sutherland. C’est un témoignage de son impact continu sur la recherche sur les venins en Australie, longtemps après sa mort" explique le scientifique. Le Dr Sutherland a durant des dizaines d’années collecté et stocké des échantillons de venin de serpents d’Australie et du monde entier. RARES. Parmi les venins analysés certains sont extrêmement rares comme celui du Taïpan du désert, le serpent le plus venimeux du monde, recueilli en 1950 par Kevin Budden. "C'était un honneur de travailler avec de tels échantillons en raison de leur immense signification historique" reprend Bryan Fry. "Le jeune homme qui a recueilli le venin de Taïpan a été mordu dans le processus mais, héroïquement, il a fait en sorte que le serpent puisse être expédié à l’université avant d'aller à l'hôpital, où il est décédé peu de temps après" - Bryan Fry, université du Queensland D’autres venins appartiennent à des espèces disparues ou menacées et représentent parfois le seul exemplaire disponible. POTENTIEL. À l’origine, ces venins ont été rassemblés pour la production de sérum antivenimeux mais ils "restent scientifiquement utiles pour des décennies. Ils sont une source de composés inexplorée qui pourraient être utilisés dans la découverte et le développement de médicaments" renchérit le chercheur. Plusieurs venins ont déjà servi à développer de nouveaux traitements. C’est le cas d’un hypertenseur, le Captopril, dérivé du venin de jararaca (qui vit sur une île proche du Brésil) et du Byetta, un traitement du diabète de type 2, dont le principe actif est présent dans de nombreux venins. "Les venins sont très variables de sorte que chaque échantillon est une ressource précieuse qui pourrait contenir le a prochain médicament miracle" conclut Bryan Fry. sciencesetavenir.fr
  18. Elle a une super bouille, elle a quel âge ?
  19. LE SERPENT Serpent des Pyrénées dans SERPENT viperaaspis Une légende gasconne affirme qu’il y avait autrefois, dans la Montagne (les Pyrénées), un Serpent long de cent toises, plus gros que les troncs des vieux chênes, avec des yeux rouges, et une langue en forme de grande épée. Ce Serpent comprenait et parlait les langues de tous les pays ; et il raisonnait mieux que nul chrétien n’était en état de le faire. Mais il était plus méchant que tous les diables de l’enfer, et si goulu que rien ne pouvait le rassasier. Nuit et jour, le Serpent vivait au haut d’un rocher, la bouche grande ouverte comme une porte d’église. Par la force de ses yeux et de son haleine, les troupeaux, les chiens et les pâtres, étaient enlevés de terre comme des plumes, et venaient plonger dans sa gueule. Cela fut au point que nul n’osait aller garder son bétail à moins de trois lieues de la demeure du Serpent. Alors, les gens du pays s’assemblèrent, et firent tambouriner dans tous les villages : « Ran tan plan, ran tan plan, ran tan plan. Celui qui tuera le Serpent, sera libre de toucher, pour rien, sur la Montagne, cent vaches avec leurs veaux, cent juments avec leurs poulains, cinq cents brebis et cinq cents chèvres. » En ce temps-là vivait un jeune forgeron, fort et hardi comme Samson, avisé comme pas un. « C’est moi, dit-il, qui me charge de tuer le Serpent, et de gagner la récompense promise. » Sans être vu du Serpent, il installa sa forge dans une grotte, juste au-dessous du rocher où demeurait la male bête. Cela fait, il se lia, par la ceinture, avec une longue chaîne de fer, et plomba solidement l’autre bout dans la pierre de la grotte. « Maintenant, dit-il, nous allons rire. » Alors, le forgeron plongea dans le feu sept barres de fer grosses comme la cuisse, et souffla ferme. Quand elles furent rouges, il les jeta dehors. Par la force des yeux et de l’haleine du Serpent, les sept barres de fer rouges s’enlevèrent de terre comme des plumes et vinrent plonger dans sa gueule. Mais le forgeron fut retenu par sa chaîne, et il rentra dans la grotte. Une heure après, sept autres barres de fer rouge, grosses comme la cuisse, s’enlevèrent de terre comme des plumes et vinrent plonger dans la gueule du Serpent. Mais le forgeron fut retenu par sa chaîne, et il rentra dans la grotte. Ce travail dura sept ans. Les barres de fer rouge avaient mis le feu dans les tripes du Serpent. Pour éteindre sa soif, il avalait la neige par charretées ; il mettait à sec les fontaines et les gaves. Mais le feu reprenait dans ses tripes, chaque fois qu’il avalait sept nouvelles barres de fer rouge. Enfin, la male bête creva. De l’eau qu’elle vomit en mourant, il se forma un grand lac. Alors, les gens du pays s’assemblèrent, et dirent au forgeron : « Ce qui est promis sera fait. Tu es libre de toucher, pour rien, sur la Montagne, cent vaches avec leurs veaux, cent juments avec leurs poulains, cinq cents brebis et cinq cents chèvres. » Un an plus tard, il ne restait plus que les os du Serpent sur le rocher dont il avait fait sa demeure. Avec ces os, les gens du pays firent bâtir une église. Mais l’église n’était pas encore couverte, que la contrée fut éprouvée, bien souvent, par des tempêtes et des grêles comme on n’en avait jamais vu. Alors, les gens comprirent que le Bon Dieu n’était pas content de ce qu’ils avaient fait, et ils mirent le feu à l’église. (D’après « Les Légendes des Hautes-Pyrénées » paru en 1855 et « Revue de l’Agenais » paru en 1882)
  20. Tortues : le braconnage continue Tortue victime de braconnage en Polynésie © DR Alors que la gendarmerie faisait état en début de semaine de la découverte de plus de 50 kilos de viande de tortue, l’association Te Mana O Te Moana, qui protège l’environnement marin notamment grâce à sa clinique des tortues, dresse un bilan plutôt inquiétant de son année 2013. Elle continue de mener ses actions de sensibilisations concernant la préservation des mammifères marins et des tortues auprès de milliers d’enfants chaque année. Pourtant, en 2013, ce sont quarante-sept tortues marines blessées qui ont été accueillies à la clinique. Seulement cinq ont pu être soignées et relâchées. La plupart d’entre elles étaient victimes de braconnage, comme nous l’explique Matthieu Petit, biologiste marin au sein de l’association. Ariti continue sa migration Ariti, c’est cette tortue caouanne sauvée par un pêcheur, soignée et relâchée le 24 mai dernier à Teahupoo, sur la presqu’île de Tahiti. Équipée de capteur, Ariti ne cesse de surprendre les scientifiques qui suivent sa migration. Le dernier relevé réalisé le 31 décembre indique que la tortue vient d’entrer dans le Pacifique Nord. Un parcours assez surprenant; 221 jours après avoir été relâchée, Ariti a parcouru 7386 km et semble se diriger vers les États Fédérés de Micronésie. radio1.pf
  21. Ah ça c'est une espèce que je trouve particulièrement belle ! Comment sont-ils niveau caractère ?
  22. Très beaux spécimens, j'aime beaucoup !
  23. En voilà de belles grosses bêtes !
  24. Filoue11

    Ptyas korros

    Y a pas à dire tes korros sont bien jolis !
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