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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Serpent américain dans un immeuble à Mulhouse Mardi, vers 22 h, l’équipe animalière des pompiers de Mulhouse a été envoyée rue des Vergers car des riverains avaient aperçu un serpent dans les parties communes de leur immeuble. Ce reptile d’environ 70 cm, rouge, blanc et noir, a été capturé et amené à un spécialiste qui a déterminé qu’il s’agissait d’une couleuvre lampropeltis. On retrouve cet animal, communément appelé serpent-roi, en Amérique du Nord, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Cette couleuvre, inoffensive pour l’homme, semblait, en tous les cas, en mauvais état selon le spécialiste. lalsace.fr
  2. Serpents, crocodile et autres reptiles dans un duplex de la rue Hupé à Gatineau Des animaux exotiques, notamment des serpents, ont été saisis jeudi en avant-midi au 209 rue Hupé, non loin de la rue Main, dans le secteur Gatineau. Les policiers ont mené la perquisition accompagnés du contrôle animalier de la ville de Gatineau. L'intervention a été effectuée à la suite de plaintes. Des voisins nous ont affirmé jeudi matin, que l'homme qui réside dans le logement du bas au 209 Hupé laissait les reptiles circuler librement dans sa cour arrière. Le résidant soutenait également que les reptiles rampaient sur la clôture qui sépare les propriétés. Les serpents ont été acheminés vers le Little Ray reptile zoo d'Ottawa, puisque la SPCA ne s'occupe pas de tels animaux exotiques. Un crocodilien, un python Royal, cinq serpents, un dragon barbu, un iguane, une tortue serpentine et un chien de race Pitbull ont été confisqués. Le propriétaire des animaux, âgé de 24 ans, pourrait être mis à l'amende comme l'expliquait l'agent Pierre Lanthier du service de police de Gatineau, en entrevue sur nos ondes jeudi à l’Outaouais Maintenant. http://www.985fm.ca
  3. Un alligator comme trophée de chasse Photo Reuters Des chasseurs d'alligators ont récemment mis la main sur le plus long et plus lourd jamais trouvé dans l'État du Missippi, selon les autorités de l'endroit. Dustin Bockman et ses amis ont en effet capturé le 1er septembre, au lendemain de l'ouverture de la chasse, un monstre de 13 pieds (3,96 m) et 727 livres (330 kg)! Brockman, un livreur de colis âgé de 27 ans, et son groupe ont repéré l'animal, un mâle, dans le fleuve Missippi et l'ont suivi pendant deux bonnes heures avant de s'en approcher suffisamment pour l'atteindre d'une lance. Il leur a fallu deux heures de plus pour l'immobiliser. Bockman a fini par abattre l'alligator d'un coup de feu. Le groupe a ensuite eu besoin de deux autres heures pour hisser la bête à bord de son embarcation. Des alligators encore plus imposants ont déjà été attrapés en Floride, certains pesant plus de 1000 livres (454 kg) et l'un d'eux faisait 14 pieds (4,27 m)! http://fr.canoe.ca
  4. Filoue11

    Quelques images 2013

    Ces dernières photos sont vraiment très sympa, merci.
  5. Filoue11

    Python Regius...

    Merci, j'ai hâte de lui prendre un joli petit mâle.
  6. Filoue11

    Python Regius...

    Allez, quelques photos de la Damoiselle qui grandi bien.
  7. Une nouvelle espèce d’araignée découverte à Anvers Cette araignée chasse mais ne tisse pas de toile. Belga Une 250e espèce d’araignée a été découverte au mois de mai dans un jardin de la ville d’Anvers, a indiqué lundi la Société Arachnologique de Belgique (Arabel). Il s’agit d’une araignée-loup, une petite araignée qui ne tisse pas de toile mais qui chasse - comme un loup - ses proies. Entre 2004 et 2008, Arabel avait mené une grande enquête sur les populations d’araignées à Anvers. La société avait recensé 249 espèces différentes, soit plus d’un tiers de toutes les espèces d’araignée recensées en Belgique. «C’est une bonne nouvelle que nous avons trouvé autant d’araignées», se réjouit Koen Van Keer, membre de la direction d’Arabel, qui a participé à la découverte de la 250ème espèce au mois de mars. «Cela signifie qu’un biotope urbain peut cacher une riche biodiversité. Mais ces espèces sont sous pression: elles sont petites et vivent dans des espaces trop petits. Elles risquent donc l’extinction.» Source : lavenir.net
  8. Saint-Symphorien : un serpent d'1m50 découvert sur la Grand-Place Ce jeudi soir, la découverte d'un serpent sur la Grand-Place de Saint-Symphorien a mobilisé jusqu'à tard dans la soirée trois pompiers de Mons ainsi qu'une équipe de la police de Mons-Quévy. Peu avant 21h30, un promeneur était en effet tombé nez à nez avec un serpent "corail" (cfr. photo) de plus d'un mètre qui rampait tranquillement sur la Grand-Place. Il a immédiatement contacté les secours. A leur arrivée, les pompiers ont aperçu le serpent de couleurs rouge et noir. Mais la bestiole s'est très vite dérobée à leurs regards pour aller se réfugier sous les roues d'une voiture de marque Ford stationnée sur la Grand-Place. Sous les yeux hébétés des riverains, trois pompiers, rejoints ensuite par une équipe de la police de Mons, se sont donc affairés à rechercher le fuyard. Peu avant 23h, ils ont pu faire en sorte de faire redescendre le serpent qui s'était logé dans le moteur vers le bas de caisse, de sorte de pouvoir procéder à son "interpellation". Une capture qui ne s'est pas révélée si évidente, les moyens étant rudimentaires et l'animal n'ayant pas forcément envie d'être dérangé. Le serpent a ensuite été emmené par les forces de l'ordre. Source : laprovince.be
  9. Lutte contre la tortue de Floride dans le Lac du Bourget Tortue très à la mode dans les années 70 et 80, ce reptile importé a été relâché massivement par les propriétaires quand sa taille est devenue trop imposante. Redoutable carnassier, la tortue de Floride est désormais "persona non grata", notamment dans le lac du Bourget. Par Christian Conxicoeur Le Parc de la Tête d'Or a créé, en 2006, un centre de récupération des tortues de Floride. En effet, la plupart des gens qui avaient acheté ce petit reptile, ignoraient qu'il allait grandir, et que son entretien ne se ferait donc pas sans problème. Vendues en magasin animalier jusqu'en 1997, année où l’Union Européenne a interdit leur importation, les tortues de Floride ont été abandonnées en masse dans la nature où elles sont devenues des prédateurs pour d'autres animaux, chamboulant au passage tout l'écosystème, et provocant la quasi disparition de la tortue autochtone, la Cistude. C'est donc pour remédier à cette menace pour notre écosystème que le Jardin zoologique de la tête d'or a ouvert ce centre. Un bon millier de pensionnaires s'y trouve actuellement hébergé. Source : http://rhone-alpes.france3.fr
  10. Filoue11

    Mes premiers Pogonas

    C'est vrai que le mâle a une super bonne bouille.
  11. Les tortues marines en danger à Madagascar L’Express de Madagascar tire la sonnette d’alarme face à « la silencieuse agonie des tortues marines du sud-ouest » de la grande île. Jusqu’à 5 à 6 tortues marines sont tuées chaque jour pour leur viande. Les tortues marines font l’objet d’une capture intensive à Toliara, où la vente et la consommation de ces espèces protégées ont repris de plus belle, au nez et à la barbe des autorités locales, incapables d’appliquer la législation en vigueur. Rien que dans cette ville du sud-ouest de Madagascar, entre cinq à six tortues marines sont tuées chaque jour pour leur viande. De nombreuses gargotes proposent à leurs clients ce plat, tandis que des marchands ambulants en vendent dans les marchés en toute impunité, comme le relate L’Express de Madagascar, qui cite Gaëtan Tovondray, de l’Organisation mondiale de la protection de l’environnement (WWF) de Toliara. « Lors des manifestations politiques, des orateurs avaient incité les gens à la désobéissance civile, y compris la bravade des interdictions sur la consommation des fano (tortues marines, ndlr), une habitude alimentaire locale », raconte un habitant de Tuléar. Autrement dit, malheur aux tortues marines qui s’aventureraient dans les eaux malgaches, elles finiront dans les assiettes de la population locale. « Des scientifiques, venant d’autres pays, marquent les tortues marines, afin d’étudier leur mouvement migratoire. Mais ces tortues disparaissent après leur passage à Madagascar. Cela veut dire que ces tortues sont tuées », déplore Tiana Andriambola, chef de service des opérations et de communication auprès du Centre de surveillance des pêches (CSP). Le sud-ouest de la grande-île est devenu une zone de non-droit pour les tortues marines, contrairement au reste du pays. « Contrairement à la gestion du cas du Nord-ouest de l’Île, nous n’intervenons pas dans le Sud-ouest dans cette condition », affirme Tiana Andriambola, qui assiste impuissant aux infractions quasi-quotidiennes. « Des vendeurs de viande de tortue marine opèrent juste à côté du camp de la gendarmerie. Cela veut tout dire… », lâche-t-il. « Les tortues marine deviennent un outil politique », observe-t-il. Pourtant, au regard de la loi malgache, « la seule détention de tortues marines constitue une infraction », passible d’une peine de prison, allant de six mois à deux ans ainsi que des amendes pouvant atteindre 10 à 50 millions d’ariary (3 500 à 17 800 euros). Les tortues marines font les frais de l’appétit insatiable des habitants en raison du manque des moyens destinés à leur protection. Il « serait incongru d’affirmer que les moyens déployés sont suffisants pour lutter contre ce trafic, vu l’étendue de la zone et le mode opératoire des contrevenants qui exploitent les failles du système », explique Lovasoa Dresy, directeur de parc à Madagascar national park (MNP) à Toliara. Ce responsable environnemental évoque d’autres facteurs rendant difficile la lutte contre le trafic des tortues marines, à savoir, « le manque de volonté politique pour stopper cette commercialisation » ainsi que l’« absence de synergie entre toutes les entités ». Pour justifier leur immobilisme face au danger qui guette ces reptiles, les forces de l’ordre mettent en en avant la « méconnaissance » de la loi. « Les gendarmes ignorent que les tortues marines sont aussi protégées comme les tortues terrestres. Les responsables devraient nous en informer car nous ne sommes pas au courant [des textes sur l’interdiction de capture, de transport et de vente des tortues marines] », confie à L’Express de Madagascar une source anonyme auprès de la Circonscription interrégionale de la gendarmerie à Toliara. Pour sa part, Victor Razaka, directeur régional du ministère de l’Environnement et des forêts dans le Sud-ouest, relève le « flou » qui entoure les textes régissant la protection des tortues marines, entrés en vigueur depuis 2009. « Ces reptiles à carapace sont inscrits dans l’Annexe I de la CITES. Or, cette convention ne régule que le commerce extérieur » et non la consommation locale, fait-il ressortir. Selon lui, la législation malgache « est vague sur la question de la consommation locale de la viande de tortue marine ». « Aucun texte ne précise clairement si elle peut être consommée ou pas, même si pour le ministère, la consommation est interdite », regrette-t-il. Outre les failles juridiques, Victor Razaka fait aussi état d’un cruel « manque de moyens » tant matériels qu’humains. D’après lui, « sa direction ne dispose que d’un seul agent pour couvrir 6 000 km2 ». Pour compenser l’inaction des autorités, « les gens comptent sur les dina [convention locale prévoyant des amendes contre les contrevenants], mais comme ils ne sont pas appliqués, les gens ne perçoivent pas la part qui doit leur revenir, d’où leur déception », souligne Manitsindraza, adjoint au maire d’Androka. Des personnes de bonne volonté pourraient dénoncer des infractions avérées, moyennant une récompense pécuniaire, mais ce dispositif de répression peine à se mettre en place, faute de financement. « Les indicateurs ne vont pas risquer leur vie alors qu’ils ne gagnent rien en effectuant ces travaux de surveillance », argumente Christophe Veloson, secrétaire général de la commune d’Itampolo. Ravalomanda Andrianarivony, maire d’Androka, montre du doigt la « loi du silence » qui règne entre les forces de l’ordre et les consommateurs de la viande de tortue. « Ceux qui sont chargés d’appliquer les sanctions et ceux qui consomment la viande de fano vivent ensemble et cohabitent ». « Nous serons mal vus si nous les dénonçons ». Interrogés par L’Express de Madagascar, les habitants des villages du Sud de Toliara, très friands de cette viande, invoquent la capture accidentelle. « Si nous en capturons une accidentellement, que voulez-vous qu’on en fasse si ce n’est pour la manger », se défend un pêcheur à Itampolo. « Pourquoi devons-nous nous soumettre à ces pressions sur l’interdiction des fano alors qu’à Toliara les gens peuvent consommer et vendre les tortues marines sans être inquiétés », renchérit un habitant d’Itampolo. linfo.re
  12. De rares tortues retournent au Vietnam Réception de 71 tortues Mauremys annamensis. (Source: Internet) Le parc national de Cuc Phuong dans la province de Ninh Binh (Nord) a accueilli lundi 71 tortues Mauremys annamensis (Emyde de l'Annam ou tortue feuille d'Annam), originaires du Centre du Vietnam, élevées dans les zoos de Rotterdam au Pays-Bas et de Münster en Allemagne. Selon Bui Dang Phong, directeur du Centre de conservation des tortues du parc national de Cuc Phuong, c'est la première fois qu'un grand nombre de tortues élevées à l'étranger retournent dans leur pays d'origine. Les zoos de Rotterdam et de Münster ont beaucoup aidé le Centre dans ce travail. Il s'agit d'une avancée importante de la conservation de cette espèce menacée d'extinction. Ces individus vivront avec 200 autres soignées au Centre de conservation des tortues du parc national. Il s'agit de tortues saisies à des trafiquants ou nées au Centre. Elles seront relâchées dans la nature de la province de Quang Ngai, selon le programme de protection des tortues d'Asie (ATP). L'émyde de l'Annam ou la tortue feuille d'Annam est une tortue de taille moyenne présente uniquement dans le Centre du Vietnam où elle vit dans les zones humides de plaines d'inondation. Les informations disponibles découlant d'études et d'entretiens sur le terrain montrent que l'espèce était assez commune jusqu'au début ou au milieu des années 1990, date à laquelle elle a commencé à faire l'objet de transactions commerciales, ce qui a apparemment mené à l'effondrement de la population en l'espace de quelques années. Du fait des caractéristiques de son cycle biologique (maturité tardive, faible taux de reproduction annuelle, forte mortalité des oeufs et des juvéniles), l'espèce est intrinsèquement vulnérable à la surexploitation, en particulier des adultes. Au Vietnam, la tortue est juridiquement protégée contre toute forme d'exploitation. -VNA fr.vietnamplus.vn
  13. Hello theking77 En effet, j'ai souvent entendu des difficultés que rencontrent les terrariophies e Guyane.
  14. Allemagne : vaste traque à la tortue-alligator En Allemagne, les autorités traquent depuis une semaine une tortue-alligator, qui a blessé un enfant la semaine dernière. | U.S. Fish and Wildlife Service L'espèce est interdite en Allemagne depuis 1999, en raison de sa dangerosité. Et pourtant, la semaine dernière, un enfant a été mordu par une tortue-alligator dans un lac près d'Irsee, comme le rapporte BFM TV. Le garçon de 8 ans a eu le tendon d'Achille sectionné à deux endroits alors qu'il se baignait. Selon le Spiegel, l'animal doit mesurer au moins 40 centimètres et peser 14 kilos. Après analyses et confirmation de la présence de cette tortue carnivore, la peur s'est abattue sur les vacanciers et les habitants, qui n'osent plus se baigner. Les autorités ont lancé une vaste traque pour retrouver ce fugitif un peu particulier. Le maire d'Irsee a même promis une récompense de 1000 euros. Les recherches n'ont rien donné. «Il faudra un peu de chance», explique un spécialiste à la chaîne d'info. D'après le Spiegel, l'eau du lac a été pompée et le reptile reste pour l'instant introuvable. VIDEO. Allemagne : la tortue-alligator passe à l'attaque. Allemagne: un garçon de huit ans attaqué par... par BFMTV La tortue-alligator, très répandue aux Etats-Unis, possède une mâchoire extrêmement puissante. Elle peut peser jusqu'à 100 kilos et mesurer 75 centimètres. Personne ne sait d'où vient ce spécimen. VIDEO. L'effrayante «tortue-alligator» Tortue alligator avec une pastèque par hapatchan En juin 2009, une tortue-alligator avait été retrouvé dans la Seine, à Paris, sans faire de victime. L'animal, aperçu par un promeneur, avait été récupéré par la brigade fluviale puis conduit dans une ferme tropicale du 13e arrondissement. LeParisien.fr
  15. Les serpents et les vipères en Mayenne ipt>kitd.html5loader("flash_kplayer_65b8932bf5cs","http://api.kewego.com/video/getHTML5Thumbnail/?playerKey=a48069b3c527&sig=65b8932bf5cs");ipt> La Mayenne compte deux espèces de vipères (l’aspic et la péliade) et quatre espèces de couleuvres (d’esculape, à collier, vipérine, coronnelle lisse). La couleuvre d’esculape est le serpent que l’on rencontre le plus souvent en Mayenne. C’est aussi le plus grand (jusqu’à 1,63 m) et c’est ce qui impressionne. On peut le voir traverser une pelouse, s’approcher des habitations ou se chauffer au soleil. Et c’est un bon grimpeur qui se réfugie facilement dans les greniers. Les vipères sont beaucoup plus rares et leur population est en déclin : elles ont été classées comme « vulnérables ». En Mayenne, la vipère aspic est surtout présente dans le sud-est du département et dans la vallée de l’Erve. ouest-france.fr
  16. VIDEO. Deux alligators déménagent au zoo de Budapest Pour transporter le plus gros de ces animaux dans son nouvel enclos, dans le parc zoologique de la capitale hongroise, il a fallu huit paires de bras et un peu de courage. En Hongrie comme ailleurs, déménager des alligators demande toute une organisation. Les pompiers sont venus donner un coup de main au personnel du zoo de Budapest, mardi 13 août 2013, pour amener les reptiles dans leur nouvel habitat. Pour descendre le plus gros des deux crocodiliens dans sa fosse, il aura fallu pas moins de huit paires de bras. Une fois l’animal dans son enclos, ses gardiens ont défait toutes les sangles qui le gardaient immobile. L'alligator n'a pas semblé particulièrement perturbé et, placide, n'a pas tenté de s’attaquer aux personnes autour de lui une fois ses mâchoires libérées. L’opération s’est ensuite avérée plus facile pour le plus petit animal. Toutes ces précautions prises par les Hongrois ne sont pas inutiles. En août 2012, des crocodiles ont dévoré un gardien imprudent dans un parc animalier de Yamoussoukro, en Côte d'Ivoire. francetvinfo.fr
  17. Biodiversité La silencieuse agonie des tortues marines du Sud-ouest Ramaria met sur le feu une grande marmite de viande de tortue marine, ainsi qu’une cocotte de sang du reptile à carapace La commercialisation et la consommation des tortues marines sont en recrudescence depuis 2009 dans le Sud-Ouest de l’île. Profitant de la défaillance des autorités, trafiquants et commerçants illicites opèrent en toute impunité. Les tortues marines dans le Sud-ouest de l’Île disparaissent, s’éteignent et meurent à petit feu. Tous les jours, Ramaria en fait cuire à peu près une pour sa gargote sise à Mahavatse II, Toliara, tout près du bureau de la brigade de la sécurité routière de la gendarmerie. Elle n’est pas la seule à proposer à ses clients ce plat dont la loi interdit la capture. D’autres gargotiers de la ville en servent, tandis que des marchands ambulants en vendent dans les marchés. La capture et la vente de ces espèces protégées ont repris de plus belle à Toliara, depuis 2009. Selon Gaëtan Tovondray, de l’Organisation mondiale de la protection de l’environnement (WWF) de Toliara, cinq à six tortues marines sont tuées par jour pour le commerce, actuellement. « Lors des manifestations politiques, des orateurs avaient incité les gens à la désobéissance civile, y compris la bravade des interdictions sur la consommation des fano, une habitude alimentaire locale », explique Rafrà, habitant de la Cité du Soleil. Tiana Andriambola, chef de service des opérations et de communication auprès du Centre de surveillance des pêches (CSP), autorité coordinatrice des activités et opérations de suivi, de contrôle et de surveillance des pêches, confirme que des tortues disparaissent à Madagascar. « Des scientifiques, venant d’autres pays, marquent les tortues marines, afin d’étudier leur mouvement migratoire. Mais ces tortues disparaissent après leur passage à Madagascar », déplore-t-il. « Cela veut dire que ces tortues sont tuées », conclut-il. À la suite de l’« autorisation » donnée sur la place publique, le CSP choisit de laisser les choses se faire. « Contrairement à la gestion du cas du Nord-ouest de l’Île, nous n’intervenons pas dans le Sud-ouest dans cette condition», affirme Tiana Andriambola, face aux infractions avérées. « Des vendeurs de viande de tortue marine opèrent juste à côté du camp de la gendarmerie. Cela veut tout dire… », lâche-t-il. « Les tortues marine deviennent un outil politique », observe-t-il. Aucun dossier relatif à la pêche ou à la vente de tortues marines n’a été transmis aux Parquets des tribunaux d’Ampanihy et de Toliara, ces dernières années. Un magistrat auprès de l’une de ces juridictions indique, pourtant, que « la seule détention de tortues marines constitue une infraction ». À l’en croire, les contrevenants s’exposent à une peine de prison de six mois à deux ans et/ou à des amendes allant de 10 à 50 millions d’ariary. D’autres facteurs permettent la poursuite du trafic des tortues marines dans le Sud-ouest. Pour Lovasoa Dresy, directeur de parc à Madagascar national park (MNP) à Toliara, il « serait incongru d’affirmer que les moyens déployés sont suffisants pour lutter contre ce trafic, vu l’étendue de la zone et le mode opératoire des contrevenants qui exploitent les failles du système ». Il constate « le manque de volonté politique pour stopper cette commercialisation » ainsi que l’« absence de synergie entre toutes les entités ». Les forces de l’ordre plaident la « méconnaissance des textes ». Stratégie à l’épreuve « Les gendarmes ignorent que les tortues marines sont aussi protégées comme les tortues terrestres. Les responsables devraient nous en informer car nous ne sommes pas au courant [des textes sur l’interdiction de capture, de transport et de vente des tortues marines] », prétend une source autorisée au sein de la Circonscription interrégionale de la gendarmerie à Toliara. Victor Razaka, directeur régional du ministère de l’Environnement et des forêts dans le Sud-ouest, soulève le « flou » autour des textes régissant la protection des tortues marines. « Ces reptiles à carapace sont inscrits dans l’Annexe I de la CITES. Or, cette convention ne régule que le commerce extérieur», analyse-t-il. Selon lui, la loi malgache « est vague sur la question de la consommation locale de la viande de tortue marine ». Aucun texte ne précise clairement si elle peut être consommée ou pas, même si pour le ministère, la consommation est interdite », soutient-il. Victor Razaka concède le « manque de moyens » face aux critiques dont fait l’objet l’Administration. À l’entendre, sa direction ne dispose que d’un seul agent pour couvrir 6 000 km2. Ainsi, le CSP affecte un de ses agents pour appuyer le directeur régional de la Pêche et des ressources halieutiques pour la surveillance d’une zone côtière de 450 km. La gestion de l’environnement est transférée à d’autres entités, et des groupements locaux collaborent avec les organisations de conservation. Des structures d’alerte sont mises en place dans les régions d’origine ou de passage des trafics de tortues. Mais la stratégie adoptée tarde à porter ses fruits. Hagay, indicateur à Antsikoroke, un des lieux « fournisseurs» de tortues marines, se plaint d’un « manque de moyens et de motivation ». « Les gens comptent sur les dina [convention locale prévoyant des amendes contre les contrevenants], mais comme ils ne sont pas appliqués, les gens ne perçoivent pas la part qui doit leur revenir, d’où leur déception », confirme Manitsindraza, adjoint au maire d’Androka. « Les indicateurs ne vont pas risquer leur vie alors qu’ils ne gagnent rien en effectuant ces travaux de surveillance », renchérit Christophe Veloson, secrétaire général de la commune d’Itampolo. La préservation de l’harmonie sociale met à l’épreuve le système de surveillance. Ravalomanda Andrianarivony, maire d’Androka, évoque la « loi du silence ». « Ceux qui sont chargés d’appliquer les sanctions et ceux qui consomment la viande de fano vivent ensemble et cohabitent », décrit Victor Razaka. « Nous serons mal vus si nous les dénonçons », reconnaît d’ailleurs Hagay. Afin de justifier que les tortues marines finissent « quelquefois » dans leur marmite, les habitants des villages du Sud de Toliara invoquent la capture accidentelle. « Si nous en capturons une accidentellement, que voulez-vous qu’on en fasse si ce n’est pour la manger », plaide Léandre, pêcheur à Itampolo. Hagay avoue ne pas s’interdire de consommer de la viande de tortue marine à l’occasion. « Pourquoi devons-nous nous soumettre à ces pressions sur l’interdiction des fano alors qu’à Toliara les gens peuvent consommer et vendre les tortues marines sans être inquiétés », s’insurge Kamara, habitant d’Itampolo. Un équilibre à trouver Les relations des pêcheurs Vezo avec les tortues marines ont un aspect cultuel et culturel. « Pour eux, elles ont les mêmes valeurs culturelles que les zébus », indique Tiana Andriambola, d’où leur appellation « aomben-driake ». Benjamin Pascal, auteur d’une thèse sur « Les enjeux locaux de la gouvernance sur le littoral sud-ouest de Madagascar » rappelle que la capture et la consommation des tortues de mer doivent alors obéir à des rituels précis. Avec l’apparition d’un réseau de commercialisation des tortues marines, les pratiques rituelles sont peu à peu abandonnées. Les spécialistes conviennent, cependant, que ce n’est pas pour autant que la consommation de subsistance liée à la culture doive être interdite. « Il faut trouver l’équilibre entre l’aspect cultuel et culturel autour des tortues marines et l’engagement international du gouvernement », suggère Tiana Andriambola. Berthin Rakotonirina, océanologue, spécialiste des tortues marines à l’Institut halieutique et des sciences marines (IHSM), estime que « le but n’est pas de priver les populations côtières malgaches de leurs habitudes alimentaires, socio-économiques et culturelles se rapportant aux tortues marines mais plutôt d’essayer de pérenniser autant que possible ces habitudes ». Il prône une protection qui permettra la reconstitution de stock de tortues marines. Celui-ci pourra alors « faire l’objet de prélèvements documentés qui pourront constituer un apport non négligeable tant en nourriture qu’en huile ou peaux aux générations locales actuelles et futures », conclut l’enseignant-chercheur. Impliquer les communautés Dans le but de protéger plus efficacement l’environnement, l’État a opté pour la politique de transfert de gestion des ressources vers les communautés locales. Celles-ci sont généralement encadrées et appuyées par des organisations nationales ou internationales de conservation. Les tortues marines n’échappent pas à cette politique, et les organisations de protection s’appuient sur les habitants des localités riveraines de leurs habitats pour en assurer la préservation. Dans les aires protégées marines, par exemple, Madagascar national park (MNP) s’appuie sur le comité local du parc (CLP). Ses membres, issus des communautés riveraines du parc, sont répartis le long de celui-ci. Ils organisent des patrouilles et sensibilisent les membres de leur communauté. « Ce sont nos ambassadeurs auprès de chaque fokontany où ils vivent respectivement », explique Lovasoa Dresy, directeur de parc auprès de MNP. « Lorsqu’ils recensent des cas de braconnage, ils avertissent leurs chefs de secteur qui rapportent directement au niveau de la direction du parc », précise-t-il. Mais le rôle des communautés ne se limite pas à la surveillance. Elles sont aussi encouragées à protéger leur environnement en limitant l’exploitation des ressources. En plus de recruter des agents locaux pour assurer la surveillance du littoral pour le compte de WWF, par exemple, l’Association intercommunale pour le plateau mahafaly (AICPM) sert de structure de concertation et d’accompagnement dans la mise en place de transferts de gestion des forêts aux communautés locales. Toujours avec l’appui des organisations de conservation, comme le WWF, Tany Meva ou le PGME, l’AICPM propose aux communautés riveraines aux habitats des tortues marines des activités alternatives à l’exploitation des ressources marines. Iloniaina Alain lexpressmada.com
  18. Il y a des serpents mais pas de vipères à Toulouse Pierre-Olivier Cochard bénévole à «SOS serpents» montre la couleuvre à collier qu'il vient de capturer dans un jardin. photo DDM. Nature Midi Pyrénées Depuis 2009, «SOS Serpents» récupère les serpents qui s’égarent dans les jardins et réconforte les particuliers qui ne parviennent pas à admettre que les vipères ont disparu de Toulouse. «Il y a un serpent dans mon jardin !» Régulièrement sollicités par cette phrase criée dans le combiné, les herpétologues de l’association Nature Midi Pyrénées ont fini par transformer l’appel au secours en nom de baptême de leur groupe de bénévoles. Créé en 2009, «Il y a un serpent dans mon jardin» répond aux appels des habitants confrontés à la présence imprévue d’un serpent sur la terrasse, dans le salon ou sur les plates-bandes. Depuis 2011, le groupe également appelé «SOS Serpents» intervient à la demande des pompiers. Les bénévoles sont dans toute la région. Mais c’est autour de Toulouse que les appels sont les plus nombreux... «Les gens sont paniqués» «En zone rurale, les gens ne nous sollicitent pas, car ils ont tendance à tuer les serpents comme ils l’ont toujours fait. Pourtant, que ce soit des vipères ou des couleuvres, toutes les espèces sont totalement protégées depuis 2007», constate Pascaline Silande, bénévole à SOS Serpents. Depuis début 2013, le groupe a été sollicité à une cinquantaine de reprises dans des circonstances qui se répètent. «En général, les gens sont paniqués. Nous leur demandons de nous décrire l’animal. Très souvent, c’est une couleuvre. Nous leur expliquons que ce n’est pas dangereux mais cela ne suffit pas pour les apaiser. Lors de notre intervention, nous capturons le serpent et nous le remettons en liberté dans le jardin ou dans un rayon de 50 mètres car la loi interdit également de les déplacer.» La couleuvre se faufile jusque dans les salons Autour de Toulouse, les risques de faire une mauvaise rencontre sont d’ailleurs quasi inexistants. Sensibles aux pesticides et a l’altération de leur milieu de vie par l’intensification de l’agriculture et l’urbanisation, les vipères ont disparu.«En Haute-Garonne, il en reste encore quelques-unes dans le piémont Pyrénéen et éventuellement en forêt. Mais très rarement.» Pour 2012, les herpétologue n’ont été contactés qu’une ou deux fois pour de vraies vipères. «Ces appels venaient des Pyrénées. Nous n’en avions aucun pour la Haute-Garonne et nous n’en avons pas eu pour cette année». Parmi les serpents qui paniquent les Toulousains, la couleuvre jaune et verte de parfois 1,50 mètre n’hésite pas à rechercher la fraîcheur jusque dans les salons. Espèce la plus commune du département, elle y supplante la couleuvre vipérine qui, bien qu’inoffensive, ressemble un peu trop à sa cousine la vipère. La douce couleuvre à collier est troisième. Alors, comme c’est souvent le cas, votre chat ramène un serpent à la maison, pas de panique, c’est sûrement une couleuvre qu’il aura de toute façon beaucoup de mal à avaler. B.dv. ladepeche.fr
  19. Avignon : un serpent de deux mètres retrouvé dans un jardin Le serpent a été récupéré par les pompiers. Photo DL Le reptile a été identifié comme étant un python molure bivittatus. Il fait plus de deux mètres et a été récupéré par les pompiers cette nuit vers 3h, dans le jardin d’une maison avignonnaise dont les occupants ont sans doute été bien surpris. Pour l’instant aucun propriétaire ne s’est manifesté. Le serpent, très jeune et pas bien méchant, patiente à la caserne avant qu’une décision soit prise pour sa destination… Il a finalement été décidé de l'acheminer au zoo de la Barben, à Salon-de-Provence. ledauphine.com
  20. Il trouve un énorme serpent dans son abri de jardin © Capture d'écran. Un habitant de Floride aux Etats-Unis a eu une grosse frayeur en découvrant un serpent long de 4 mètres dans son abri de jardin. Un python bivittatus, soit l'un des plus grands serpents au monde, voilà ce qu'a découvert Luis Eduardo Avendano en se rendant dans l'abri de jardin de sa propriété située dans le comté de Miami-Dade dans le Sud de la Floride aux Etats-Unis. "Je suis allé dans l'abri de jardin chercher quelque chose et j'ai trouvé le serpent", confie Luis Eduardo. "J'ai débord pensé qu'il s'agissait d'un vêtement, j'ai voulu le bouger et j'ai senti que ce n'était pas du tissu. Et là il a tourné sa tête vers moi". Long de plus de quatre mètres et pesant 45 kilos, ce python était plutôt impressionnant. Luis Eduardo a donc immédiatement prévenu les secours qui sont parvenus à déloger le reptile. "Le voisin m'a dit qu'il avait trouvé des squelettes de différents animaux. Nous ne savons pas si c'est le serpent qui les a mangés", poursuit-il. "Mais maintenant je crois bien que c'est lui". 7sur7.be
  21. Filoue11

    Ma toute 1ère repro..........

    C'est super ça, maintenant y a plus qu'à être patient le temps de l’incubation:cheers: .
  22. Fournès : une tortue de Floride secourue par les pompiers La tortue, accidentée à Fournès, est soignée à Vergèze. (Photo DR.) Etrange sauvetage, mercredi soir, pour les pompiers de Fournès. Pendant toute une nuit, les soldats du feu ont pouponné une petite tortue. La malheureuse agonisait sur le bord d’une route de Fournès lorsqu’un habitant est venu lui porter secours. Direction la caserne des pompiers, où les secours l’ont prise en charge. "Le vétérinaire nous a dit de la garder au chaud jusqu’à demain (jeudi matin, Ndlr). On s’en est occupé toute la nuit", explique l’un d’eux. Chouchouté, rafraîchi avec de l’eau, nourri avec des fruits et des légumes, l’animal d’une trentaine de centimètres a rejoint, hier matin, le centre d’hébergement de Vergèze, géré par l’association Tortue passion. C’est là, à l’infirmerie, qu’il se refait une santé. "Certaines années, 1 900 000 tortues de Floride étaient importées en France", Suzette Bessede Car la tortue est sérieusement amochée. "Elle a dû se faire écraser par une voiture, note Suzette Bessede, la secrétaire de l’association, passionnée par ces animaux. Elle a le plastron blessé et l’oeil qui sort de l’orbite. On lui a appliqué un antiseptique, mais j’ai peur qu’elle soit mal barrée...", note-t-elle, peu optimiste pour la bête d’une dizaine d’années et d’environ deux kilos. Tous fous des tortues de Floride Comme elle, près de 900 tortues coulent actuellement des jours paisibles entre les lacs et les étangs du centre, dont 800 tortues de Floride. Un reptile originaire de l’Est des États-Unis et qui, a priori n’avait pas grand chose à faire en France. C’était sans compter sur l’arrivée massive de ces bêtes à partir de 1998. "Une grande folie. Les tortues se gagnaient pour un franc dans les fêtes foraines. Des fermes d’élevage se sont même créées en France pour faire de l’incubation intensive. Sans compter les importations. On était le deuxième importateur mondial après la Chine. Certaines années, 1 900 000 tortues sont arrivées chez nous." Parmi elles, beaucoup de tortues à tempes rouges - comme celle recueillie -, l’une des 27 espèces de la tortue de Floride. Des espèces pouvant atteindre une trentaine de centimètres "Les gens en ont acheté, en pensant que c’était une espèce naine, alors qu’en fait, elle peuvent atteindre trente centimètres et ne peuvent pas continuer à vivre en aquarium." Résultat : beaucoup s’en débarrassent dans la nature, contribuant à densifier la population de la Camargue. Un animal carnivore et aquatique, qui a une espérance de vie d’une trentaine d’années et qui dévore grenouilles, poissons et canetons. Pour l’heure, l’accidentée de Fournès reprend des forces grâce aux croquettes pour chiots des bénévoles. midilibre.fr
  23. Mouscron: "Le boa a avalé le canari sous les yeux de son propriétaire" Un habitant d’Herseaux a eu une grosse frayeur ce vendredi matin après être tombé nez à nez avec un boa de près d’un mètre de long. Ce dernier s’était introduit dans une volière et était occupé de gober un malheureux canari. L’homme a tenté de récupérer son oiseau… en vain. Quelques heures plus tard, c’est un autre serpent, un Élaphe ou serpent des blés, qui a été découvert, rue de Roubaix cette fois. Étrange et surprenant découverte faite par un habitant du village d’Herseaux. Alors qu’il allait voir si tout se passait bien dans sa volière, l’homme a eu une grosse frayeur. « Il est tombé nez à nez avec un boa. Ce dernier s’est infiltré dans la volière et est parvenu à attraper un canari qu’il était en train d’avaler sous les yeux de son propriétaire », explique Christophe Deneve de la cellule environnement. Devant la scène, l’homme s’est saisi d’une pelle pour tenter de sauver son oiseau. Trop tard ! Ne voulant pas se mesurer au reptile, il a fait appel aux pompiers qui ont réussi à capturer l’animal qui faisait près d’un mètre de long. « C’est un jeune, mais il peut être dangereux. Il est très puissant et quand il serre… il serre ! Il peut également mordre et là aussi, il peut être redoutable. Il est quasi impossible de s’extraire de sa mâchoire sans se blesser », précise-t-il. Visiblement la chaleur a eu le don d’exciter les serpents qui étaient de sortie lors de cette journée caniculaire. Peu de temps après, une autre espèce de serpent, un Élaphe qui vit habituellement en Amérique du Sud, a été trouvée dans une habitation de la rue de Roubaix. Le reptile s’est, selon la cellule environnement, soit échappé de son vivarium, soit il s’agit d’un « cadeau » laissé par l’ancien propriétaire de la maison. sudinfo.be
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