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Alexandra-chevalfrison

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Tout ce qui a été posté par Alexandra-chevalfrison

  1. Sabot Anatomie Le sabot est une boîte cornée qui contient les parties vives du pied sur lesquelles il se moule. Il est formé de plusieurs parties fortement unies entre elles, mais séparables et constituées de différentes natures de corne. La corne est le plus souvent pigmentée si le poil sus-jacent l'est lui-même. Elle est blanche quand elle fait suite à une balzane. Il n'existe pas de différence de qualité entre les deux couleurs de corne. La paroi ou muraille est la partie visible du sabot lorsque le pied est posé sur le sol. On lui distingue artificiellement plusieurs régions, qui sont, de l'avant vers l'arrière, la pince, les mamelles, les quartiers et les talons. Elle se réfléchit ensuite en arrière et en dessous pour former les barres. La paroi diminue d'épaisseur et de hauteur depuis la pince vers les talons. Elle est résistante, son côté extérieur est lisse, son côté interne présente un aspect en lamelles qui s'engrènent avec la chair feuilletée. Le périople est une bande de corne un peu plus molle, situé au bord supérieur de la paroi et qui se confond en arrière avec la fourchette. Il sécrète un vernis protégeant la corne du dessèchement. La partie du sabot qui repose sur le sol est nommée surface plantaire. Elle est concave et ouverte vers l'arrière. Son pourtour est formé par la partie inférieure de la paroi, qui constitue la surface réellement portante du pied. La sole est la partie concave de la voûte plantaire, formée de corne sèche et parfois friable. La zone située entre la sole et la paroi se nomme ligne blanche. La fourchette est une saillie en forme de V à pointe antérieure, composée d'une corne plus molle. Elle recouvre le coussinet plantaire. Les creux de chaque coté du V sont nommés lacunes latérales, le sillon entre les branches du V, lacune médiane. Les branches du V rejoignent en arrière le périople pour former les glomes. Renouvellement de la corne La corne du sabot est synthétisée grâce à la prolifération des cellules au niveau du bourrelet périoplique situé juste au-dessus du sabot. La corne pousse à la manière des ongles, de 1 à 2 cm par mois ; la pousse dans la saison chaude étant légèrement plus importante qu'en saison froide. Cette différence serait une adaptation en fonction du besoin saisonnier. En été les sols plus durs usent davantage aussi les équidés ont besoin d'un meilleur renouvellement de leurs sabots. Mais il n'a pas été détecté d'adaptation du taux de synthétisation de la corne en fonction de son usure. En liberté, dans le milieu naturel, l'érosion de la corne compense exactement la pousse chez l'équidé en bonne santé. En revanche, lorsque l'animal travaille sur un sol dur, parcourt des distances plus importantes que celles qu'il pratique en liberté, ou exécute des efforts spécifiques liés à un sport équestre, l'usure et la déformation du sabot s'avèrent plus rapides que la pousse. Une usure trop importante de la corne induit une douleur, qui à terme, provoque des boiteries. Dans ce cas, les équidés recherchent spontanément les sols plus tendres et minimisent leurs déplacements. La déformation du sabot entraîne un mauvais appui du pied sur le sol. Ceci amène, à moyen terme, des défauts de locomotion dus généralement à un effet de compensation. Ces défauts de locomotion peuvent devenir définitifs si la forme du sabot n'est pas rectifiée rapidement. Innervation Les nerfs digités donnent la sensibilité du pied. Les rameaux palmaires propres innervent la partie postérieure du pied et l'articulation de l'os naviculaire. L'anesthésie de ces nerfs peut permettre de préciser la zone douloureuse responsable d'une boiterie. La section chirurgicale de ces nerfs ou névrectomie peut permettre de supprimer la boiterie en cas de maladie naviculaire au risque de majorer l'atteinte en augmentant l'appui sur le membre malade. Cette pratique est interdite en compétition[5]. La corne n'est pas innervée ni vascularisée ce qui permet une application indolore de la ferrure, même à chaud. Mais c'est oublier que le pododerme fortement vascularisé va souffrir de la rétractation du fait de l'irradiation de la chaleur. Entre deux maux, il est préférable d'opter pour un ferrage à froid, tout aussi solide.
  2. Anatomie Vu de l'extérieur, le pied est composé de trois parties principales : la couronne, zone intermédiaire entre le paturon et le sabot; le sabot, qui contient et protège les parties sensibles qui terminent les membres et la surface solaire en contact avec le sol. Si la structure des pieds antérieurs et postérieurs est identique, en revanche les sabots des antérieurs sont plus bas et évasés que les sabots postérieurs. Leur paroi est moins verticale, leur ligne de pince est plus inclinée sur l'horizontale. Le contour de la face solaire, presque circulaire sur les membres thoraciques, est ogival sur les membres pelviens. La sole présente une concavité plus marquée sur le postérieur. Structures ostéo-articulaires Les structures osseuses sont la troisième phalange, ou os du pied, articulé avec la seconde phalange ou os de la couronne et l'os naviculaire ainsi nommé en raison de sa forme rappelant une nacelle[4]. Les deux cartilages latéraux prolongent vers l'arrière la troisième phalange. Le tendon de l'extenseur du doigt est inséré sur la face antérieure de l'os du pied au niveau du processus extensorius, il participe à l'extension du pied. Le ligament suspenseur du boulet englobe les os sésamoïdes proximaux et s'unit avec le tendon de l'extenseur. Ce ligament correspond au résidu évolutif du muscle interosseux III, mais est, chez le cheval, entièrement tendineux et ne comporte plus de fibre musculaire. Il participe à la stabilité du pied lors de l'extension forcée. L'appareil fléchisseur est principalement composé de deux muscles, dont seule la partie tendineuse apparaît au niveau du pied. Le tendon du fléchisseur superficiel (ou tendon perforé) s'insère sur la partie inférieure de l'os du paturon et sur le bourrelet de l'os de la couronne. Le tendon du fléchisseur profond (ou tendon perforant) est inséré sur les deuxième et troisième phalanges en passant par-dessus l'os naviculaire. Le tendon perforant traverse le perforé au niveau de la manica flexoria ou anneau du perforé. Considérant la masse et la motricité des chevaux, les articulations sont parfaitement adaptées à des sollicitations importantes. Ainsi, les articulations sont stabilisées par une puissante capsule articulaire tapissée par une membrane appelée synoviale qui secrète le liquide synovial, un lubrifiant. Autres structures internes Le coussinet plantaire est un tissu élastique, situé entre les cartilages latéraux. Il joue un rôle d'amortisseur. Le tissu kéraphylleux est fortement uni à la corne. En raison de son aspect, il est nommé chair feuilletée dans la partie ne reposant pas sur le sol, chair veloutée, dans la partie correspondant à la sole.
  3. Évolution Les premiers des Hippomorphes connus, tel l'Eohippus (hyracotherium) pendant l’Éocène, il y a environ 54 millions d’années, possédaient quatre doigts à l’extrémité de leurs membres thoraciques et trois aux membres pelviens. Les membres se terminaient par un coussinet plantaire souple aux lieu et place du sabot. Au cours de l’Oligocène, il y a environ 30 millions d’années, la régression des forêts a contraint l’ensemble des équidés à gagner les prairies et les steppes. Devant s’adapter à un sol plus dur et à un milieu plus ouvert, fréquenté par de nombreux prédateurs, et devant donc développer leurs aptitudes à la course, les équidés tels ceux des genres Merychippus et Hipparion ont vu leur nombre de doigts reposant sur le sol se réduire à trois. À la fin du Pliocène, il y a moins de deux millions d’années, apparaît enfin le doigt unique du Pliohippus, précurseur des Equidae moderne. Il possède par contre un sabot fendu, que perdra enfin les animaux du genre Equus, regroupant ânes, zèbres, chevaux domestiques et chevaux sauvages tel que le cheval de Przewalski. Ces animaux étaient classés dans l'ordre des solipèdes, c'est-à-dire qu'il « n'a pour tout vestige des doigts latéraux que deux stilets placés aux deux côtés de l'os du canon.[3] » Cette dénomination est aujourd'hui obsolète. Évolution du pied des équidés De gauche à droite: Mesohippus, Merichippus, Pliohippus
  4. Le pied constitue l'extrémité des membres du cheval. Les autres membres du genre Equus âne et zèbre, possèdent la même morphologie de pied qui les distinguent de leurs ancêtres équidés. Il est un élément essentiel de la locomotion ce qui justifie pleinement l'expression « Pas de pied, pas de cheval »[1]. Le cheval est un périssodactyle, à nombre impair de doigts — en l'occurrence un seul — dont le poids du corps est supporté par le doigt médian. En anatomie comparée, le pied du cheval correspond donc aux deux dernières phalanges du doigt médian de l'espèce humaine. Généralités sur l'aspect extérieur En fonction de son utilisation, un cheval peut avoir des formes de pied différentes bien que ceci ne soit pas déterminant sur ses performances. Ainsi un cheval travaillant sur le plat (course de galop ou de trot, dressage) peut être pourvu de sabots étroits alors qu'un cheval devant sauter (saut d'obstacles, concours complet) aura besoin d'un pied plus large afin que sa surface de réception soit suffisante pour amortir le saut. D'autre part, un cheval aux pieds étroits évoluera mieux sur terrain sec et pierreux, alors que celui aux pieds larges sera mieux porté sur un sol fouillant[2]. La ferrure et le parage des pieds ont également une incidence sur le développement du sabot et peuvent favoriser certaines allures. Ainsi chez les trotteurs de course, on recherchera une surcharge en poids de la pince, afin d'augmenter l'amplitude des battues de trot. La comparaison de la forme des sabots chez un même cheval peut donner des indications précieuses. Par exemple, si un sabot antérieur est plus large que l'autre, cela signifie que le cheval s'appuie plus souvent dessus. Cet appui plus marqué peut être le résultat d'une compensation, le cheval soulageant un membre controlatéral douloureux, ou d'une anomalie de locomotion provenant elle-même d'un défaut, d'une lésion ou d'une douleur dans une autre partie du corps. Un examen d'ensemble attentif est indispensable afin de déterminer et localiser la cause de cette déformation pour prévenir toute boiterie future. A noter que pour les cavaliers, lorsqu'ils sont à cheval, la forme seule des sabots, tant qu'elle n'impacte pas la locomotion de l'équidé, n'a pas d'influence sur leur confort propre. La souplesse des articulations et la longueur du paturon jouent par contre un rôle déterminant sur les sensations du cavalier.
  5. déjà, ne fais pas trop de différence entre un frison élevé chez un particulier ou un éleveur, il y a peu de différence et pas de règle (en gros tu peux tomber sur une arnaque chez un particulier comme chez un éleveur, ou commerçant) pour l'age de ton cheval, c'est très variable, selon les gens ! en général on conseille de ne pas prendre un poulain comme premier cheval, mais s'il s'agit de qqu'un qui a déjà pratiqué pas mal avec les chevaux, s'en occuper de a à z, avoir un bon niveau en selle etc... pourquoi pas ! comme dit cockpitinferno, il faut savoir qu'avec un poulain, on s'expose à quelques petits soucis, qui arriveront un jour ou l'autre, car un poulain, c'est comme un enfant, ça s'éduque... et si on a pas un minimum de connaissances sur la psychologie équine, c'est dur... dur de comprendre donc dur d'appliquer... et ça peut vite devenir un chouya dangereux avec un cheval pas éduqué.... après, si tu te sens prête à t'investir avec un poulain, pourquoi pas ! comme tu le mentionnes, la relation que l'on créé avec un cheval que l'on a eu poulain est tout de même différente et puis on connait leur jeunesse (ou du moins une partie)
  6. une ration mouillée (avec eau, en plus de la vinaigrette) facilite la digestion ; espérons que ça aille mieux
  7. mon avis : ne rien mettre ; de plus, je pense que ce que nous appelons gale de boue chez nos frisons, ce sont plus des parasites, car une gale de boue se caractérise par des croutes assez épaisses et dans le pli du paturon, pas dans les fanons... voici de la gale de boue :
  8. je déplace ta question dans la rubrique "questions", car ici c'est la rubrique pour poster les annonces d'achats
  9. s'il mange trop vite, as tu essayé les pierres dans la ration ? ça ralentit bien le cheval qui passe autant de temps à trier sa nourriture qu'à manger et, mouilles tu la ration ? ou tu la donnes sèche ?
  10. il est précoce dis donc Arend elle est bien parmi ces congénères et l'herbe y est bien verte
  11. datant de cet après midi, voici la belle quand j'arrive dans la pâture pour la voir
  12. et oui ! ça pousse tout ça ! elle aura trois ans fin octobre... moi aussi je la trouve de plus en plus belle j'aime bien cette photo aussi, je me suis dépêchée de la photographier avec mon portable car je savais qu'elle allait se lever
  13. c'est vrai que Garuda est très douce avec Lucas, avec tout le monde d'ailleurs reste que c'est encore un bébé et parfois elle est maladroite mais je lui ai fait toute confiance pour faire la photo avec mon fils Lize est également très doux avec Lucas, il baisse sa tête pour le sentir, par contre, Walter, c'est autre chose le brutal né mais bon, il est pas vicieux
  14. la dernière fois que je l'ai toisée elle était à 1m55... en fait elle parait plus grande car elle est encore fine mais ça fait peu de temps qu'elle est retournée en pâture, et je la vois déjà changer !!! merci emeraude
  15. après midi en pâture là, elle ne m'a pas encore vu pourtant j'ai évité les cailloux, j'ai marché dans l'herbe mais bon, là je suis démasquée (le cheval palomino dont on voit l'œil est un cheval que j'ai au travail, pour dire qu'il est pot de colle )
  16. ah oui ! je vois tout à fait, Lize m'en fait depuis longtemps, mais c'est aux antérieurs (en fait c'est juste derrière le genou), et maintenant c'est à Walter d'en avoir (rien pour Garuda) ; je ne sais pas trop ce que c'est et par moment quand il a bcp de croutes, que je retire, ça saigne un peu aussi (et sensible) ; mais Lize m'en a déjà fait à l'arrière aussi tu nous tiendras au courant pour les résultats
  17. FSJ 11.05.2009 à 17:38 Pour ma part, j'ai fait le choix de le faire castrer à l'âge de 2 ans. Ses proches colocataires étaient des...voisines et l'envie devenait très grande de les rejoindre dans leur pré. Même si il était relativement calme et docile, avec nos 3 frisonnes, cela devenait compliqué. La castration s'est déroulée dans son pré ; j'étais seule avec le véto et tout s'est très bien passé. Notre cheval a été endormi, s'est couché gentiment et l'opération a duré une vingtaine de minutes. A son réveil, il était bien un peu penaud (!), mais il s'est très vite rétabli. Il a fallu néanmoins attendre une quinzaine de jours avant de voir les effets de la castration. Et contrairement à certaines idées reçues, il a continué à se développer tout en devenant très beau et beaucoup plus ...abordable !
  18. pour les premières fois du poulain, les raisons qui pourrait le faire tirer au renard sont des raisons de mode de vie : le cheval est une proie, pour lui, pas question d'être enfermé, pas question d'être attaché, il devient sinon vulnérable et une proie très facile... ce n'est pas naturel pour lui ; le mieux est alors d'obtenir la confiance du poulain, par de très courtes séances, toujours positives, mais régulières.
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