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Dentition et Maladies Bucco-dentaires
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Les maladies du chat
Les humains et les animaux peuvent développer toutes sortes de problèmes dentaires. Ceux que l'on rencontre le plus chez l'être humain (caries sous l'influence du sucre) ne surviennent pas souvent chez l'animal, car la plupart des animaux mangent beaucoup moins de sucre que les humains. Néanmoins, comme on l'a déjà vu, votre chat peut souffrir de problèmes dentaires. Un bilan unique vous apprendra si l'animal possède un bon alignement dentaire, si toutes les dents sont présentes, etc. Des bilans réguliers sur des animaux plus âgés peuvent prévenir la formation du tartre (calcul) et de la plaque dentaire : ils peuvent être enlevés à un stade précoce avant de causer des ennuis. De plus, des affections comme la gingivite peuvent survenir à tout âge. En résumé : un bon bilan dentaire est très important pour détecter à temps d'éventuels problèmes. Lies Klösters PawPeds mai 2012 -
De l'amiante découverte sous une rame du RER B
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Environnement
Un nouveau décret concernant la protection des travailleurs contre les risques d'exposition à l'amiante vient d’être publié. Il divise par dix la concentration à laquelle ils peuvent désormais être exposés. Samedi, le ministère du Travail a publié au Journal officiel un décret qui indique que "la concentration moyenne en fibres d'amiante, (à laquelle peuvent désormais être exposés les travailleurs) sur huit heures de travail, ne dépasse pas dix fibres par litre". C’est dix fois moins que le taux précédemment autorisé qui était de 100 fibres par litre et c'est donc une bonne nouvelle alors que l'amiante reste présente dans de nombreux bâtiments. Le gouvernement laisse trois ans (jusqu’au 1er juillet 2015) aux employeurs pour se conformer à cette nouvelle norme. Par ailleurs, le décret définit "les conditions du contrôle du respect de cette valeur limite", rapporte l'AFP. L'employeur doit "s'assurer du respect de la valeur limite d'exposition professionnelle pour l'ensemble des travailleurs" et doit communiquer "les conditions et les résultats des contrôles au médecin du travail et au comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou, à défaut, aux délégués du personnel". Ce texte intervient suite au rapport remis en septembre par l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Fin avril, celui-ci a estimé que quelque 900.000 personnes étaient encore exposées à cette matière nocive. En effet, une méthode inédite (Meta, microscopie électronique à transmission analytique) avait permis de détecter des fibres d'amiante plus fines qui se sont avérées cancérigènes. Désormais, c’est donc cette méthode qui servira à effectuer le mesurage des empoussièrements. Maxisciences 07/05/2012 -
Moules / Huîtres Arcachon : suivi des autorisations de consommation
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Alertes
Le dinophysis a fait sa réapparition il y a plus de trois semaines dans le bassin d’Arcachon. Depuis, les ostréiculteurs n’ont plus le droit de vendre leurs huîtres. En effet, cette micro-algue peut se révéler toxique. Les ostréiculteurs du bassin d’Arcachon se sont vus contraints de cesser la vente d’huîtres depuis trois semaines en raison de la présence de dinophysis, une micro-algue venue du Golfe de Gascogne et potentiellement toxique. Depuis deux ans, un nouveau test chimique permet de tester le taux de "dino" et d’interdire la vente en cas de besoin. "Il faut attendre que ça passe car malheureusement c'est un phénomène naturel contre lequel on ne peut rien faire", explique Bernard Delis, un ostréiculteur à Gujan-Mestras dans le bassin d'Arcachon. Toutefois, après trois semaines d’interdiction, les nouveaux résultats d’analyse sont de meilleures augures : le taux de toxine est désormais inférieur au seuil de sécurité sanitaire défini. Si ces taux sont confirmés lors des prochains tests, la commercialisation des huîtres pourra reprendre dès le 11 mai. "Les consommateurs reviendront, ces interdictions qui nous frappent depuis quelques années sont tombées dans les mœurs et cela n'a pas terni notre image", assure Olivier Laban, le président régional de la section régionale conchyliologie cité par l'AFP. Pour prendre les devants en prévision d’interdictions futures, des prélèvements effectués au large du bassin d'Arcachon devraient permettre de "comprendre les raisons d'une efflorescence d'algue aussi brutale et inhabituelle". Pour certains professionnels comme Fabrice Routioutiou, il est nécessaire de "mettre les huîtres à l'abri dans des viviers dès que l'on sait que les taux de dinophysis commencent à augmenter, et pouvoir ainsi continuer à les vendre en dépit des interdictions". Toutefois, l’algue n’est pas la seule à menacer les huîtres. En raison des conditions climatiques, de nombreux naissains, les larves de ces mollusques, manquent à l'appel. "L'an dernier, nous n'en avons pas eu assez et si le phénomène se reproduit cette année, cela va devenir vraiment difficile", estime ainsi M. Delis. Maxisciences 07/05/2012 -
Pour lutter efficacement contre le braconnage, les ONG ont besoin d’argent. Ainsi, pour sensibiliser la population et récolter des fonds, les Sud-Africains sont invités à acheter toute sorte de produits dont les fonds sont reversés l'Endangered Wildlife Trust ou autres associations luttant pour la préservation du rhinocéros... . En Afrique du Sud, 200 rhinocéros ont été tués par des braconniers depuis le début de l’année. Il n’est ainsi pas improbable que le triste record de 448 animaux tués l’an dernier soit dépassé d’ici la fin 2012. Pour éviter cette hécatombe et protéger une espèce de plus en plus menacée, les ONG se lancent dans le marketing. Un phénomène qui ne se fait pas sans susciter quelques critiques. En effet, les campagnes en ligne sensibilisent la population en montrant des images particulièrement révoltantes d'animaux à l'agonie et de cadavres décornés. En parallèle, des produits tels que des bracelets, des foulards, des bébés rhinocéros en perles ou des CD permettent de récolter des fonds. L’ensemble de l’argent est ensuite reversé à l'Endangered Wildlife Trust, une organisation reconnue. Avec le slogan, "Ce n'est pas un bracelet, c'est notre patrimoine", l’association Rhino Force espère vendre un million de bracelets dans tout le pays. "Nous ne pouvons pas rester sans rien faire et laisser disparaître notre patrimoine. Je crois que la mobilisation de chacune et de chacun d'entre nous peut faire la différence", estime ainsi sa fondatrice, Joanne Lapin cité par l'AFP. Sa société a déjà réussi à écouler 150.000 bracelets, ce qui a rapporté 1,1 million de rands (soit 108.000 euros) à l'organisation de défense des espèces en danger. Toutefois, il convient de se méfier, souligne Pelham Jones, président de l'Association des propriétaires privés de rhinocéros, qui représente des réserves privées. "De nombreuses campagnes tous azimuts ont été lancées récemment. Les donateurs devraient être vigilants. Car sur les 272 organisations qui récoltent des fonds pour la sauvegarde des rhinocéros, seules 15% sont crédibles", selon lui. "D'autres personnes recueillent tout simplement des fonds pour leur propre profit", assure-t-il encore. Quoi qu’il en soit, la campagne de sensibilisation porte ses fruits. Le public a choisi un rhinocéros de mousse baptisé Chukuru comme mascotte officielle de l'équipe olympique nationale. Par ailleurs, une radio a organisé la mise aux enchères d'une peinture d'un membre du groupe de rock The Parlotones, ce qui a permis de récolter 570.000 rands (soit 56.000 euros). Une somme destinée à la formation de chiens policiers. Autre initiative, Nedbank, l'un des principaux établissements financiers sud-africains, a adopté le rhino pour promouvoir un compte dont l'activité alimente des dons à WWF. La banque indique avoir ainsi versé 115 millions de rands (11,3 millions d'euros) à l'organisation depuis son lancement en 1990. Néanmoins, tout ce battage médiatique a des effets pervers. En effet, certaines personnes qui n'avaient jamais envisagé de braconner commencent à réaliser qu'il y a là beaucoup d'argent à gagner. D’autant que ces actions font augmenter le prix de la corne de rhinocéros et la rendent donc encore plus attirante. Maxisciences 07/05/2012
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Les flatulences des dinosaures sauropodes, des herbivores existant il y a 150 millions d'années, auraient été suffisantes par leur production de méthane pour entraîner un réchauffement climatique à l'époque préhistorique, selon une étude publiée lundi aux Etats-Unis. Ces énormes animaux comme le diplodocus, dont le poids était en moyenne de 20 tonnes, avaient à l'instar des bovins d'aujourd'hui des microbes au sein de leur flore intestinale qui produisaient du méthane dans le processus de fermentation digestive de leur nourriture constituée de végétaux. "Un simple modèle mathématique laisse penser que les micro-organismes qui vivaient dans le système digestif de ces dinosaures sauropodes pourraient avoir produit suffisamment de méthane --un puissant gaz à effet de serre-- pour avoir un impact important sur le climat de l'ère du Mésozoïque" (-250 millions à -65 millions d'années), explique Dave Wilkinson, de l'Université de Liverpool, et principal auteur de ces travaux parus dans la revue américaine Current Biology datée du 8 mai. "En fait, selon nos calculs, ces dinosaures pourraient avoir produit plus de méthane que toutes les sources modernes naturelles et provenant des activités humaines", souligne le chercheur. Ces physiologistes ont étudié le méthane produit par une variété d'animaux modernes. Ils en ont tiré des équations mathématiques permettant de prédire la production de ce gaz par les animaux en fonction de leur taille. Ainsi, en prenant comme référence un dinosaure sauropode de masse moyenne d'environ 20 tonnes, et sachant qu'il en existait à l'époque des dizaines par kilomètre carré, les chercheurs ont calculé que ces animaux produisaient durant leur passage sur Terre quelque 520 millions de tonnes de méthane par an. Après la disparition des dinosaures et avant l'ère industrielle au XIXe siècle, les émissions de méthane étaient d'environ 200 millions de tonnes par an. En comparaison, les ruminants modernes produisent de 50 à 100 millions de tonnes de méthane par an, ce qui contribue au réchauffement climatique qui reste aujourd'hui essentiellement dû aux émissions de dioxyde de carbone provenant de la combustion du charbon et des hydrocarbures. Sciences et Avenir 07/05/2012
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Présidentielles 2012 et amis des animaux et de la nature
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans ARTICLES de presse
Avec la victoire de François Hollande, la France se prépare à entamer un tournant énergétique, matérialisé par la fermeture annoncée de la centrale de Fessenheim, même si le nucléaire maintiendra sa prééminence durant le quinquennat qui s'ouvre. Le président élu a promis, dans son programme, d'engager "la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75% à 50% à l'horizon 2025". L'objectif est conforme à l'accord négocié entre le PS et EELV, mais il ne devrait commencer à se concrétiser que vers la fin de la décennie. En effet, M. Hollande a martelé qu'il ne fermerait durant son quinquennat qu'une seule centrale nucléaire, celle de Fessenheim (Haut-Rhin), doyenne du parc nucléaire hexagonal, et qu'il achèverait la construction de l'EPR de Flamanville (Manche). Ce réacteur de 3e génération est censé entrer en service en 2016. Sa puissance équivaut presque à celle de la centrale alsacienne. Si la part du nucléaire sera donc peu ou prou maintenue dans les cinq ans qui viennent, la nouvelle majorité devra préciser la trajectoire pour la suite, sachant que l'accord PS/EELV prévoyait la fermeture de 24 réacteurs sur les 58 existants d'ici à 2025. Cette transition devrait faire la part belle au développement des énergies renouvelables et aux économies d'énergies. "Sur la route du déploiement de ce programme énergétique, les modalités pratiques seront déterminantes" et "le réalisme sera, plus que jamais, de mise sur des choix qui engagent la France pour les 20 prochaines années", a souligné lundi l'Union française de l'électricité, qui représente les entreprises du secteur. Toutefois, comme l'a amplement démontré la campagne, la fermeture de Fessenheim et la réduction du poids du nucléaire ne sont pas en tête des préoccupations du nouveau président en matière d'énergie. Une mesure plus visible a été promise pendant ses 100 premiers jours à l'Elysée: le blocage des prix des carburants pendant trois mois. Bien que les prix à la pompe, après avoir enchaîné les sommets, se soient un peu assagis depuis quelques semaines, cette mesure est présentée comme un élément clef d'une politique visant à redonner du pouvoir d'achat aux Français. Durant la campagne, François Hollande avait expliqué que pendant ce gel, la fiscalité des carburants serait révisée, "à commencer par une réintroduction de la TIPP flottante", dans le but de "restituer aux consommateurs ce que l'État perçoit en recettes supplémentaires" en cas de flambée du brut. La TIPP flottante est une taxe qui varie à l'inverse des cours des produits pétroliers, permettant d'amortir les variations des prix à la pompe. Autre chantier annoncé en matière d'énergie, la mise en place d'une facturation progressive de l'électricité et du gaz, sur une base "volontaire". La consommation considérée comme "essentielle" serait moins chère, mais l'énergie supplémentaire deviendrait plus coûteuse afin d'encourager les comportement vertueux. Cela implique des garde-fous pour éviter de pénaliser les ménages précaires qui, paradoxalement, consomment souvent le plus d'énergie car ils occupent des logements vétustes et énergivores. Sciences et Avenir 07/05/2012 -
Exposition internationale en Corée du Nord 12 mai / 12 août 2012
BelleMuezza a posté un sujet dans Environnement
Exposition universelle en Corée du Sud : le Japon exposera sa reconstruction Le pavillon japonais pour l'exposition universelle de 2012, qui se tiendra en Corée du Sud, présentera les efforts de reconstruction entrepris par l'Archipel après le désastre du 11 mars 2011. 105 pays au total, ainsi que 5 organisations internationales prendront part à l'évènement. Environ 10 millions de visiteurs sont attendus au cours des trois mois que durera l'exposition, qui se refermera le 12 août. NHK 07/05/2012 -
Une tasse de thé portant la trace du rouge à lèvres de la célèbre chanteuse pop américaine Lady Gaga a rapporté dimanche plus de 75 000 dollars lors d'une vente aux enchères de charité. L'argent récolté sera versé à une organisation parrainant de jeunes Japonais partis étudiés aux Etats-Unis. NHK 07/05/2012
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Mort subite d'un chaton (ou de plusieurs)... Pourquoi ?
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Chats et reproduction
Tout à la "joie" de biberonner" des petits poilus... il peut survenir des difficultés inattendues, comme le refus du biberon par un ou plusieurs chatons .... ou, plus grave, la mort... alors que tout semblait aller bien... Une chose est importante à savoir : Eviter les grumeaux car ils risquent de s'agréger dans l'estomac ... lesquels peuvent être responsables de la "mort subite" ... Pour pallier toute éventualité, le mieux est de passer le lait en poudre dans un tamis ou, à défaut, dans votre boule à thé... L'estomac se trouve bloqué par ces grumeaux, donc très probablement génère de la constipation d'où, probablement, l'explication d'un ventre dur ou empêche ou diminue l'assimilation des nutriments. Les difficultés qui peuvent être rencontrées lors du biberonnage : - la tétine pas suffisamment percée et le chaton tète désespérement pour faire venir le lait, - ou, au contraire, la tétine est trop percée... et l'écoulement provoque un étouffement. C'est visible à l'oeil nu lorsque le lait ressort abondamment de la bouche... Pour être certain que le trou est au bon diamètre : remplissez le biberon d'eau, mettez la tétine et retournez le biberon tête en bas... L'eau doit s'écouler lentement goutte à goutte sans avoir à appuyer ou secouer le biberon. Si un filet d'eau en continu s'écoule c'est que le trou est trop gros... ! - Privilégier de l'eau minérale à l'eau du robinet n'est pas une obligation, mais une recommandation.... et choisir une eau contenant peu de calcium serait un plus.... - Attention à la température du lait... trop chaud vous encourrez le risque que le chaton se brûle, trop froid, il digèrera moins bien... La température idéale aux alentours de 35°. - [color=red]La position de la tétée est importante : il faut relever légèrement la tête et garder le chaton dans la position "allongée" sur le ventre afin qu'il soit dans la même position que s'il tétait sa mère... C'est impératif !!!(/color] Si vous couchez le bébé sur le dos, comme vous le feriez avec un bébé humain, le lait a toutes les chances de faire fausse route et descendre dans le mauvais conduit qui mène tout droit aux poumons... Le chaton alors finit par s'étouffer et meurt à plus ou moins brève échéance !!! Ne perdez pas de vue que, contrairement à nous, les chats n'ont pas le réflexe de tousser (ce qui bouche le conduit menant au poumon) lorsqu'ils avalent de travers... C'est la raison pour laquelle le liquide n'a pas d'obstacle quand il descend par le mauvais conduit... Et comme le chaton ne manifeste aucune gêne... on ne s'en aperçoit pas sauf, peut-être, si on remarque que le lait rejaillit en abondance sur les côtés des babines... Ce repère peut être utile et peut aussi signifier que le trou de la tétine est trop grand... Et, dans cette circonstance, même lorsque le chaton est dans la bonne position, du liquide peut tomber dans le mauvais conduit du fait de son abondance dans la bouche du bébé qui a du mal à avaler... - A la fin de chaque tétée : passez un coton humide sur la région péri-anale afin que le chaton fasse ses besoins. Si aucun excrément ne se présente au début, persévérez... et recommencez quelques minutes après ou entre deux repas. Il est impératif que le chaton évacue ses excréments sinon il y a constipation... qui peut entraîner une occlusion intestinale ! Laquelle est dans la plupart des cas mortelles... A noter que certains laits ont tendance à provoquer de la constipation... Si vous constatez ce phénomène, voyez (ou appelez) rapidement votre vétérinaire... Cela peut venir de la qualité du lait, d'une mauvaise assimilation, d'un lait pas assez dilué... et ? Suivant le cas, vous devrez peut-être devoir changer de marque.... Article inspiré par Ma Griff'Persan 07/05/2012 -
Un chat sud-africain survit à un passage à la machine à laver Un chat sud-africain a survécu sans dommage à un passage à la machine à laver de deux heures à Johannesburg, a rapporté vendredi le quotidien The Star. Ayant mis son linge dans la machine à laver, Karin Bennett, 63 ans, a cherché en vain chez elle et chez la voisine sa petite chatte noire, Tabitha. Entendant des miaulements répétés, elle a enfin vu le minet à travers le hublot de la machine, qui tournait depuis 1 heure 45. Après avoir coupé l'électricité et s'être battue avec la porte de la machine qui refusait de s'ouvrir, cette habitante de Johannesburg a amené l'animal chez le vétérinaire. Lavée et rincée --mais pas essorée--, la chatte Tabitha souffrait d'hypothermie et avait de l'eau dans les poumons. Mais elle a pu rentrer chez elle cinq heures plus tard, selon The Star. "Le vétérinaire m'a dit qu'elle avait perdu sept de ses neuf vies !", a raconté Mme Bennett au journal. Selon Karin Bennett, Tabitha a survécu parce qu'elle ne fait plus sa lessive qu'à l'eau froide pour faire des économies. Après avoir ostensiblement fait part de sa mauvaise humeur, la chatte noire semble avoir rapidement oublié sa mésaventure, et se cache à nouveau dans les endroits les plus incongrus, selon sa maîtresse. -----> C'est incroyable que cette minette ait survécu... Après un aussi long moment... Il est extrêmement rare qu'un chat survive à pareille épreuve... Et, en aussi bonne "santé". Dans les quelques cas rares où des chats ont réussi à s'en sortir, il a été rapporté des troubles locomoteurs ou des troubles neurologiques ... entraînant la mort à plus ou moins brève échéance... Donc prudence ... avant de mettre votre linge ou lancer votre machine, vérifiez toujours dans votre tambour... On ne sait jamais.... surtout si vous laissez la porte ouverte entre deux lessives... Personnellement, je vérifie plutôt deux fois qu'une... Mais c'est vrai qu'avec 6 chats... on n'est jamais assez prudent... Le Point.fr 04/05/2012
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Autriche : le premier cat-coffee (café à chat) ouvre ses portes !
BelleMuezza a posté un sujet dans Insolite, divers
On connaît le Japon pour ses mangas, peut-être un peu moins pour ses cats-coffee.. sauf pour ceux qui s'intéressent à la culture nippone... A l'instar du Japon, un premier "café à chats", où les clients peuvent jouer avec les félins tout en sirotant leur boisson, a ouvert ses portes vendredi à Vienne, rapportaient les médias locaux. Les initiateurs de ce projet, Alexander Thür et sa femme Takako Ishimitsu, originaire du Japon, se sont inspirés d'une tendance déjà établie au Japon pour créer le Café Neko - "neko" signifie "chat" en japonais -, dans le centre-ville de Vienne. Cinq chats provenant d'un refuge de la capitale autrichienne ont trouvé un nouveau domicile dans cet établissement qui peut accueillir jusqu'à 50 personnes. Et s'ils ne sont pas d'humeur à jouer ou à se faire caresser, ils disposent d'une salle de repos hors d'atteinte des clients et de perchoirs en hauteur sur 20 mètres le long des murs. Pour des raisons d'hygiène, les chats n'ont pas accès à la cuisine et à la réserve. Les plats servis - gâteaux maison ou boulettes de riz japonaises - le sont sous cloche, même si "il y a avant tout des plats que les chats n'aiment pas", assure le couple. Le café est naturellement interdit aux chiens. Le Point.fr 05/05/2012 -
Dans la boue d’un lac norvégien, des biologistes ont débusqué un organisme minuscule, unicellulaire, qui, après analyse génétique, ne semble pouvoir être rangé dans aucun grand groupe connu. Il nous renseignerait donc sur des ancêtres très lointains des animaux, des végétaux et des protistes. Une question de nombre de flagelles, expliquent ses découvreurs, enthousiastes. Un collodictyon se promène, tiré par ses quatre flagelles, une exception dans le monde vivant. Les autres eucaryotes, depuis un milliard d'années, en ont soit un soit deux. Les animaux, qui sont sont des monocontes, ont conservé ce vieux souvenir : le spermatozoïde nage à l'aide d'un unique flagelle, poussant la cellule. UiO/MERG Ce petit être, de 30 à 50 microns de diamètre, qui s’ébat dans la boue d’un lac norvégien, à une trentaine de kilomètres au sud d’Oslo, nous ferait plonger un milliard d’années en arrière, à l’époque où nos ancêtres n’étaient pas plus gros que lui. L’équipe du Microbial Evolution Research Group (Merg) qui en étudie ses gènes affirme que ce collodictyon nous montre à quoi pouvaient ressembler les organismes qui venaient de se doter d’un noyau – on les appelle les eucaryotes –, se différenciant ainsi des bactéries et des archées (les procaryotes), et qui commençaient alors à se séparer en grandes lignées. Trois d’entre elles ont connu un joli succès, conduisant aux champignons, aux plantes vertes et aux animaux. Pourtant, les collodictyons sont connus depuis longtemps. La première description d’une espèce de ce modeste groupe remonte en effet à 1865. Mais l’espèce (nouvelle) extraite du lac proche de la ville d’Ås nous montre aujourd’hui ses gènes et cela grâce à Dag Klaveness. Voilà quarante ans que ce biologiste du Merg s’adonne à une passion : élever des protistes. Ces organismes unicellulaires, comme les paramécies et les amibes, pullulent partout où il y a de l’eau. Les aquariophiles les connaissent sous le nom « d’infusoirs », un terme ancien datant de l’époque où l’on croyait qu’ils naissaient par génération spontanée. Ce bestiaire, qui comprend aussi des organismes photosynthétiques apparentés aux végétaux, est très varié et les liens de parenté entre les espèces sont bien difficiles à démêler. En réussissant leur élevage, Dag Klaveness en multiplie la quantité disponible, ce qui facilite l’étude de leur ADN, les informations génétiques étant précieuses pour déterminer qui est le plus proche parent de qui. Son collègue Kamran Shalchian-Tabrizi lui a donc confié ce collodictyon, qui vit au milieu d’une soupe d’algues vertes unicellulaires. Cet organisme serait un cousin vraiment lointain, expliquent les taxonomistes, car il possède quatre flagelles. Ces filaments servent aux cellules mobiles à se déplacer dans l’eau en nageant et les biologistes ont compris que leur nombre et leur disposition ont été fixés il y a très longtemps, devenant caractéristiques de grandes lignées. Chez les premiers eucaryotes, semble-t-il, on avait soit un soit deux flagelles. Les « unicontes » sont devenus plus tard des champignons, des choanoflagellés (petits organismes) ou des animaux. Les « bicontes » sont devenus, pour les plus connus, des plantes vertes. Nous sommes donc plus proches d’une girolle que d’une orchidée (d’autres caractéristiques le confirment, d’ailleurs). Mais alors, avec quatre flagelles, où sont donc les collodictyons ? L’équipe norvégienne a mis l’organisme en culture en prenant soin de le nourrir avec des bactéries plutôt qu’avec des algues. Ces végétaux étant eux aussi eucaryotes, le risque était grand, lors de l’analyse de l’ADN, de ne pas parvenir à bien séparer les gènes des uns et des autres. En revanche, les généticiens savent repérer les gènes de ces procaryotes que sont les bactéries et donc les distinguer de ceux du collodictyon. Comme ils l’expliquent avec un certain humour dans le communiqué publié par l’université d’Oslo, «ce n’est pas leur nourriture favorite, mais ils ont seulement le choix entre manger cela ou mourir». En séquençant tout le matériel génétique récolté après centrifugation, les chercheurs ont comparé les gènes trouvés avec ceux d’autres organismes. «Nous avons trouvé une nouvelle branche de l’arbre de la vie, s’enthousiasme Kamran Shalchian-Tabrizi. C’est unique ! Jusqu’ici, nous ne connaissons aucun autre groupe qui se rapproche autant des racines de l’arbre de la vie.» Les plus proches cousins actuels de ce collodictyon seraient les Excavata (des unicellulaires «creux», d’où leur nom, restés très discrets au fil de l’évolution), le plus ancien groupe à deux flagelles, et les amibes, les plus anciens organismes à un seul flagelle. L’équipe en est encore à décrypter les séquences génétiques trouvées et n’a pas encore publié ses résultats dans une revue scientifique. Les biologistes norvégiens espèrent dénicher des gènes particuliers, reconnaissables, qui renseigneraient sur des fonctions anciennes. Par exemple, expliquent-ils, s’ils retrouvent des bribes génétiques apparentés à certaines bactéries photosynthétiques, il y aura une trace des premières symbioses entre elles et les cellules eucaryotes, puisque c’est là l’origine des chloroplastes, siège de la photosynthèse chez les végétaux. «Cet organisme est comme un télescope pour observer le microcosme originel» s’emporte Kamran Shalchian-Tabrizi. Futura Sciences 04/05/2012
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Une nouvelle espèce fossile de cœlacanthe découverte
BelleMuezza a posté un sujet dans Le Monde Aquatique
Avec sa nageoire caudale fourchue comme celle du thon ou du requin, Rebellatrix divaricerca était probablement un prédateur rapide et non un poisson lent et placide, comme toutes les autres espèces de cœlacanthes, vivantes ou fossiles, à la queue trilobée, connues jusqu’à présent. Il fait pourtant bien partie de ce groupe, même si les spécialistes ont dû créer pour lui une nouvelle famille. Les fossiles de cette nouvelle espèce de cœlacanthe d’environ 1 mètre de longueur, vieille de 240 millions d'années et aujourd’hui disparue, ont été découverts sur les pentes rocheuses du Wapiti Lake Provincial Park, en Colombie-Britannique (Canada), et décrits par le Dr Mark Wilson et Andrew Wendruff, de l'Université de l'Alberta. Selon eux, la morphologie particulière de cette espèce pourrait être une réponse aux changements ayant entraîné la plus grande extinction de masse sur Terre, à la fin du Permien (-250 Ma), afin d’occuper des niches écologiques devenues vacantes. "C'est une découverte étonnante qui renverse l'image vieillotte des cœlacanthes comme poissons lents, et montre la résilience du groupe, revenant sous une forme combative après avoir survécu à la plus dévastatrice extinction de masse du monde", conclut le Dr John Long, du Musée d'Histoire Naturelle du comté de Los Angeles, un autre expert en poissons fossiles cité par Science Daily. Le Rebellatrix, la nouvelle espèce de coalacanthe chasse des proies de l'ère triassique (Crédits : Michael Skrepnick) Découvrir d'autres photos Maxisciences 05/05/2012 -
JAPON : Les problèmes d'alimentation en électricité
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Fukushima / Japon : Impact environnemental et humain
L'opérateur du dernier réacteur nucléaire en service au Japon a commencé les procédures d'arrêt, pour inspection de routine, de ce réacteur. Pour la première fois en 42 ans, le Japon va fonctionner sans nucléaire car la totalité de ses 50 réacteurs commerciaux devaient être déconnectés ce samedi soir. Les procédures ont débuté samedi au réacteur numéro 3 de la centrale de Tomari, gérée par la Compagnie d'électricité de Hokkaido. Depuis la salle de commande, les techniciens ont inséré les barres de contrôle vers 17h00. Les compagnies d'électricité ont soumis les résultats des tests de résistance de 19 des réacteurs à l'arrêt à l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle, une première étape vers le redémarrage. Mais, pour l'instant, il n'y a aucune perspective de relance de ces installations. Le gouvernement a par ailleurs mis en place une commission indépendante pour vérifier les allégations de trois compagnies d'électricité, selon lesquelles il pourrait y avoir des pénuries de courant cet été dans leurs zones d'activité si les températures atteignent les niveaux étouffants de l'été 2010. NHK 05/05/2012 -
chatons refusant le sevrage
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Hollywood11 dans Chats : actualités, informations, divers
Bonsoir, Je suis désolé de ne pas être venue plus tôt, mais souffrante j'ai dû rester aliter, le temps que "ça passe" un peu. Tout d'abord, comment se comporte la maman à l'égard des deux petits ? Cette minette que vous avez certainement nourrie avec des aliments pour chatons ou spéciaux pour femelle gestante, est-elle une jeune (moins d'un an) ou une chatte plus âgée. Parce que je suis interpelée par le fait que 3 semaines après la naissance, elle n'ait plus de lait... Ce qui laisserait supposer qu'elle n'ait pas suffisamment trouvé de nourriture ou que celle-ci n'était pas suffisamment riche... ou alors qu'elle était très jeune et encore en cours de croissance... S'agissant des petits, vous avez complété la ration de la têtée en donnant du lait maternisé et en dépit de vos efforts 4 des 6 petits sont, hélas, morts, sans que l'on sache pourquoi. Dites-moi comment vous vous y preniez pour les faire têter ? En effet, il est important de savloir comment vous les teniez pour les faire boire... Pour les deux restants, il semble qu'ils acceptent difficilement de boire le lait maternisé et même se nourrir suffisamment... Ces chatons ont maintenant, en gros 5 semaines... C'est, dans l'ordre naturel des choses, le début du sevrage quand tout se passe bien... C'est-à-dire qu'ils commencent à manger des aliments "solides" en imitant leur maman... Vous ne parlez pas de maman chat, est-elle restée près de vous ? Ou est-elle repartie ? Parce que si vous voulez vous en sortir... Vos petits poilus ont surtout besoin d'elle pour la copier... C'est elle qui montre l'exemple... C'est elle aussi qui en jouant avec eux leur apprend comment utiliser à bon escient griffes et dents... Lorsque j'ai dû élever une portée de 5 chatons, 3 acceptaient le biberon, un une pipette (genre compte-gouttes) et l'autre une seringue au bout de laquelle j'avais mis une mini tétine qui s'adapte dessus (on s'en sert chez les très jeunes chatons orphelins -voir véto ou pharmacie ou au pire un éleveur, rarement dans les animaleries...). L'acceptation n'a pas été immédiate, il leur a fallu 24/48heures pour s'y adapter... Comme ils étaient âgés déjà de 3 semaines, j'ai peut-être rencontré moins de difficultés... Pour l'instant ce qui est important c'est de veiller à ce que ces petits bouts ne se déshydratent pas et ne prennent pas froid (attention aux courants d'air). Si vous avez une pipette ou une seringue (sans l'aiguille -bien sûr), mettez une petite dose de lait et envoyez deux trois gouttes sur le bord des babines... Les chatons sont obligés ensuite, par réflexe, de se lêcher... Ce n'est pas beaucoup à la fois, mais c'est mieux que rien... et, si vous parvenez à le faire plusieurs fois... c'est même bien... Ah, oui, j'ai lu aussi que certaines personnes ayant du mal à faire boire de jeunes chattons mettaient des gouttes de lait sur une des pattes que les chatons léchaient par réflexe de "propreté"... C'est peut-être long... mais autant vous faire part de l'expérience de tout le monde... Surtout, et c'est important, ne pas coucher le chaton pour lui donner à boire à l'aide d'un biberon ou autre ustensile, le chaton doit être dans la même position que lorsqu'il tête sa mère... Sinon le liquide ne va pas dans la bonne direction et le petit va s'étouffer... Ou plus tard, occasionner un problème pulmonaire... Pourquoi : parce que contrairement aux humains ou aux chiens, les chats n'ont pas le réflexe de "tousser" quand ils avalent le liquide de travers qui se trompe alors de route... Une fois le repas terminé, je prenais un coton humide et le passait sur le petit bidou et la région peri-anale pour les aider à faire leurs besoins... Chose importante aussi que le vétérinaire a dû vous indiquer... Car si les petits n'arrivent pas à faire leurs besoins... cela peut leur être fatal... De côté-là, il semble que vous n'ayez pas de problème, les chatons allant, si j'ai bien lu dans une litière... Il y a environ 3 ans, jai dû m'occuper d'une chatonne (5mois environ d'après sa dentition) qui venait d'avoir un accident qui l'empêchait de manger seule (fracture du palais et du nez)... Le vétérinaire m'avait à l'époque conseillée de la nourrir à l'aide d'une seringue (assez grosse qu'il m'avait donnée -toujours sans l'aiguille). Un mélange de pâtée et de lait maternisé assez liquide... Elle a mis presque 48heures avant d'accepter... car, en plus, cela faisait seulement 48heures que je venais de la récupérer de dehors... et qu'elle n'était pas habituée suffisamment aux humains... Du coup, de sauvageonne elle est devenue très familière... car, comme elle mangeait peu à la fois, je dormais dans la même pièce qu'elle afin de mieux la surveiller... et m'occuper d'elle correctement. Ce qu'il faut aussi se méfier dans la situation dans laquelle sont ces chatons, c'est le risque de constipation qui s'ensuit puisque s'ils ne mangent pas, ils n'ont rien dans les intestins... Ce qui est arrivé à Dallia, la petite chatonne en question... Toujours sur les conseils du vétérinaire, je lui ai donné une cuillère à café d'huile d'olive matin et soir... durant deux jours avant que tout rentre dans l'ordre... Si au bout de 48heures cela n'avait pas fait effet, il était prévu que je lui donne de la parafine... Pour le moment, je ne peux mieux faire que vous expliquer comment j'ai pu aider les chatons que le hasard a placé sur ma route... Dernière petite chose, votre vétérinaire vous a-t-il conseillé de vermifuger les petits... S'ils sont encombrés de vers... cela peut aussi jouer quant à l'acceptation de la nourriture... bien que souvent, la présence de vers les poussent à manger goulûment... Mais il faut aussi se méfier de l'anémie que ces parasites intestinaux peuvent occasionner chez de si jeunes chatons... qui peut, elle aussi s'avérer fatale. Cette situation est fréquente chez les chats errants (comme c'était le cas pour leur maman) car ils mangent ce qu'ils trouvent... quand la faim les tenaille !!! J'espère que ces quelques informations vous seront utiles et vous remercie de nous tenir au courant... Comme j'espère aussi que d'autres personnes, amies des chats, viendront se joindre à cette conversation... surtout si elles ont rencontré une situation analogue... et comment elles s'en sont sorties. Bonne soirée... en souhaitant très fort que vous arriverez à sortir ces petits bouts d'affaire... et auxquels je fais plein de câlinous... -
JAPON : Les problèmes d'alimentation en électricité
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Fukushima / Japon : Impact environnemental et humain
Le dernier réacteur nucléaire commercial encore en fonction au Japon sera fermé aujourd'hui samedi, pour inspection régulière. Ce sera alors la première fois en 42 ans que l'électricité sera d'origine non nucléaire au pays. Selon les dirigeants de la compagnie d'électricité de Hokkaido, la production du réacteur numéro 3 de la centrale nucléaire Tomari commencera à baisser dès 17 heures, puis cessera à 23 heures ce soir. Le réacteur sera complètement mis hors service demain dimanche à 2 heures du matin. Les entreprises productrices d'électricité ont soumis à l'Agence gouvernementale de sûreté nucléaire et industrielle les résultats des tests de résistance de 19 réacteurs maintenant hors service. Cette étape est essentielle avant que les réacteurs puissent être remis en fonction. Le gouvernement japonais indique que deux réacteurs présentement fermés à la centrale nucléaire d'Ohi dans la préfecture de Fukui respectent les nouvelles normes de sécurité. Les autorités à Tokyo tentent de convaincre la population vivant près de la centrale d'accepter le redémarrage des réacteurs. Mais aucune remise en service n'est prévue pour les cinquante réacteurs nucléaires commerciaux du Japon. NHK 05/05/2012 -
chatons refusant le sevrage
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Hollywood11 dans Chats : actualités, informations, divers
Bonjour et bienvenue, Je vais tenter de vous répondre dans la journée, du moins essayer avec vous de comprendre ce qui s'est passé. Parce qu'en effet, la situation que vous décrivez n'est pas des plus courantes... Là je dois partir faire des courses... J'espère que vous serez disponible à mon retour. En attendant, je vous souhaite une bonne journée. -
Groenland : quand la calotte glaciaire se met en mouvement
BelleMuezza a posté un sujet dans GROENLAND
Les mouvements de la calotte glaciaire groenlandaise ont pris de l’ampleur en 10 ans. Des chercheurs de l’Université américaine de Washington ont récemment démontré en images comment l’une des plus grosses masses de glace du globe bouge sous l’effet du réchauffement climatique et à quelle vitesse évolue cette dynamique. De manière générale, les hausses de températures entrainent la fonte progressive des glaciers dont l’eau libérée les déplace à travers l’océan. La dérive est accentuée par la hausse du niveau de la mer. Pour mesurer la vitesse de déplacement de la calotte glaciaire, les chercheurs ont ainsi analysé des images satellites de plus de 200 glaciers de la région entre 2000 et 2010. Les résultats, parus aujourd’hui dans la revue Science, révèlent une accélération générale de la dynamique de la calotte groenlandaise d’environ 30% au cours de la dernière décennie. L’évolution de chaque glacier varie toutefois de manière spécifique en fonction de critères spatiaux et structurels. "Il y a un contraste entre l'écoulement rapide des glaciers qui s'effondrent dans la mer, et l'avancée régulière de ceux qui achèvent leur course dans des plateformes de glace, et le peu de changement des glaciers qui se terminent sur la terre ferme", explique à LiveScience, Twila Moon une des membres de l’équipe de recherche. Par ailleurs cet écoulement dépend également de l’emplacement des glaciers et donc du climat local. Les chercheurs ont observé une notable accentuation de la vitesse d’évolution des masses glaciaires du nord-ouest et du sud-est du Groenland. "Il y a d'importants facteurs locaux qui contribuent à définir quand et à quelle ampleur s’effectue les changements de vitesse des glaciers" précise la scientifique. Selon les conclusions amenées par les chercheurs, l’augmentation du niveau de la mer résultant de la fonte des glaciers du Groenland est aujourd’hui inférieure aux pires scénarios. Quant à l’élévation à laquelle il faut s’attendre, les chercheurs s’attèlent encore à trouver une réponse. "La calotte glaciaire du Groenland et de l’Antarctique recèle d’énormes quantités de glace et par conséquent un potentiel très élevé à faire augmenter le niveau de la mer. Nous avons besoin d’en savoir plus sur ce qui se passe pour définir le scénario qui sera réalisé" conclut Twila Moon. Maxisciences 04/05/2012 - Découvrez sur Maxisciences les images de la calotte glaciaire en mouvement... -
Actus Infos : Volcans et éruptions volcaniques
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les volcans, actualités volcaniques
Au cours des dernières 24 heures, on a observé une intensification de l'activité volcanique ainsi que de la sismicité. En conséquence, les panaches émis par le Popo sont devenus plus denses et davantage chargés en cendre. Cette dernière est retombée dans les secteurs de Amecameca, Atlautla, Ozumba, Ecatzingo et Chalco. Des projections incandescentes ont également été observées dans la matinée, comme on peut le voir sur l'image de la webcam ci-contre. (Avec l'aimable autorisation du CENAPRED) Maxisciences 04/05/2012 - Volcans_de_voya, webmaster de Volcans. -
L’Inde a instauré un programme national en faveur de l’énergie solaire, il y a deux ans. Aujourd’hui, selon La Tribune, ce programme porterait ses fruits et l’énergie solaire y serait compétitive. Il est donc intéressant de s’attarder une minute sur ce pays qui semble modèle en la matière : « l’électricité solaire ne revient pas plus cher que celle issue du charbon ou du gaz ». Le marché de l’électricité solaire est tellement compétitif, depuis le lancement du programme « National Solar Mission » que « tous les grands groupes spécialisés dans le solaire se pressent pour profiter de ce nouveau marché ». L’attrait pour l’Inde est d’autant plus fort que les marchés européen et américain sont actuellement ralentis, en raison d’une forte baisse des tarifs de rachat de l’électricité d’origine solaire. On a en tête les polémiques françaises liées à la baisse du rachat de l’électricité photovoltaïque. En Inde, en seulement deux ans, « les capacités installées ont bondi de 17,8 à plus de 500 mégawatts (MW) ». Mais c’est surtout la baisse les prix qui promet un développement rapide du secteur : « à 0,15 cents par kilowattheure, un plancher atteint plus rapidement que ne l’avaient anticipé la majorité des experts, l’électricité solaire est compétitive avec celle issue du charbon (qui compose aujourd’hui 69 % du mix énergétique) ou du gaz naturel ». Toutefois, affirme La Tribune, « les conditions de financement » dans le pays resteraient « délicates ». Par ailleurs, si le volume des installations solaires a fortement augmenté, « on est encore loin de l’objectif de 22 gigawatts fixé pour 2022 ». L’enjeu est tout de même de produire 20GW raccordés au réseau ainsi que 2 GW hors réseau afin d’alimenter les zones rurales qui ne sont pas desservies par le réseau électrique. Parallèlement au programme national, des Etat ont pris des initiatives louables. Le Gujarat par exemple. Situé dans l’Ouest de l’Inde, cet Etat a instauré des « incitations », ce qui l’a conduit à attribuer « 600MW de projets » en un an. Parmi ces projets figure un parc situé dans la région de Patan, qui représente à lui seul 214 MW d’énergie solaire. Au total, indique La Tribune, « pas moins de cinquante entreprises sont impliquées dans des projets solaires situés dans le seul état du Gujarat ». Sachez aussi qu’en plus de l’énergie verte, le Gujarat se démarque aussi en matière d’énergie éolienne, avec une production de « 2580 MW » fin janvier. La Tribune.fr / Ressources et Environnement 04/05/2012
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Actus Infos : Volcans et éruptions volcaniques
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les volcans, actualités volcaniques
On peut lire dans la presse asiatique - le Jakarta Post par exemple - plusieurs articles qui font état d'une phase de gonflement du Merapi. C'est la conclusion de recherches menées par des chercheurs japonais et indonésiens au cours des deux dernières années sur le Merapi, le Sinabung et le Guntur. Les mesures GPS révèlent que le volcan aurait commencé à entrer dans une nouvelle phase d'inflation tout de suite après l'éruption dévastatrice de 2010. Il est dommage qu'on ne trouve aucun chiffre donnant une idée de ce gonflement du volcan qui tend à traduire une montée de magma sous l'édifice. De plus, il est fait état d'« importants changements dans les dépôts chimiques du Merapi entre octobre et novembre 2011 ». La situation devra, bien sûr, être contrôlée étroitement car on sait que les éruptions du Merapi peuvent se déclencher rapidement. La morphologie du volcan favorise les effondrements du dôme et le déclenchement de coulées pyroclastiques. Maxisciences 04/05/2012 - Volcans_de_voya, webmaster de Volcans -
Dans le cadre le l’APV-Flegt, l’Accord de Partenariat Volontaire pour l’Application des réglementations forestières, Gouvernance et Echanges commerciaux, l’Union Européenne vient d’attribuer au Cameroun la somme de 78 millions de francs CFA. Cette somme sert à financer un « projet d’observation externe et communautaire des forêts », dans le but de combattre la déforestation et le commerce illégal de bois. Un travail de longue haleine Le Cameroun s’est engagé, dès avril 2005, à intégrer le processus d’application des réglementations forestières dans ses politiques commerciales et environnementales. Suite à de nombreuses négociations et restructuration des objectifs du pays, l’accord d’un partenariat avec l’Union Européenne a été conclu, en 2010 à Yaoundé. Cet accord marque la volonté des deux parties de combattre l’exploitation illégale des forêts, le commerce illicite de produits en bois et la forte corruption existant dans le secteur forestier. C’est lors de journées de travail, tenues les 19 et 20 avril derniers que le Foder (l’ONG Forêts et développement rural) a appris la décision de l’UE de financer le projet d’observation des forêts au Cameroun à hauteur de 80%. Les 20% restant étant assurés par l’organisation néerlandaise FERN et par l’agence britannique Well Grounded. Le projet d’observation doit s’étendre sur 14 mois et couvrira différentes zones du pays comme Yoko et Mbalmayo, les régions du Centre, Abong Mbang et Lomié, les régions de l’Est, ainsi que Akom2, Elogbatindi et Ma’an, les régions du Sud. Une des conditions de la bonne marche du projet est l’intégration et l’intensification du rôle « des communautés locales et autochtones » dans le processus d’observation des forêts. Le projet revêt une dimension fortement sociale et environnementale à travers « l’observation indépendante externe et participative des activités d’exploitation forestière dans les régions visées ». Contre les comportements véreux Rappelons que le secteur du bois représente 6% du PIB au Cameroun et que le « pays produit 2,3 millions de mètres cubes de bois par an, dont 80% est destiné au marché européen », en ce qui concerne le marché légal. Le Cameroun s’est engagé à n’exporter vers l’Europe que « du bois dont la coupe a été effectuée de manière licite ». Selon les observations déjà effectuées dans le pays et par l’Union Européenne, des résultats sont déjà visibles. L’engagement du Cameroun a permis le retrait de licences de plusieurs exploitations forestières allant à l’encontre des termes de l’accord. Dans le processus de l’Apv-Flegt, les populations sont également sensibilisées au problème de la contrebande de bois et de la déforestation, raison pour laquelle elles participent au projet mené par l’ONG Foder. Les populations sont donc plus actives et plus réactives face aux abus, elles dénoncent le comportement véreux des exploitations forestières et militent pour sauvegarder leur environnement naturel. Par le biais de ces communautés et leur attitude positive face au projet, l’ONG Foder espère faire évoluer les mentalités au niveau de toute l’administration publique au Cameroun. Maxisciences 04/05/2012 - Ressources, webmaster de Ressources et environnement.
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Evolution des punaises d'eau : Evolution de leurs antennes
BelleMuezza a posté un sujet dans Le Monde Aquatique
Une nouvelle étude retrace l'évolution des antennes chez les punaises d'eau qui utilisent ces appendices en forme de crochet pour tenir les femelles lors de l'accouplement. Un mâle Rheumatobate. Science/AAAS Improprement appelées « araignées d’eau », les insectes du genre Geris sont en fait apparentés aux punaises. Leur faible poids et leurs longues pattes hydrophobes les autorisent à se déplacer à la surface des lacs ou des mares, piquant puis aspirant l'intérieur des organismes qu'ils attrapent. Chez Rheumatobates riley, une espèce de punaise d’eau, les mâles possèdent aussi de grosses antennes munies de crochets, de segments allongés et de pointes parfaitement adaptées à la préhension de la femelle durant l’accouplement. Des chercheurs des universités de Toronto et de Montréal (Canada) ont étudié l’évolution de ces appendices au cours du temps. Ils ont d’abord identifié le gène responsable du développement des antennes, il s’agit du gène distal-less qui existe aussi chez d’autres insectes. Puis l'équipe a utilisé une technique de génétique appelée interférence à ARN pour réduire progressivement l'expression du gène distal-less dans les larves de mâles. Ils ont créé des mâles avec diverses formes d'antennes allant de celles, simples, comparables à celles des femelles jusqu'à des formes de plus en plus en crochet. Leurs résultats sont publiés dans la revue Science Les chercheurs ont noté que les mâles sans ces structures devaient batailler pour se maintenir au-dessus de la tête des femelles, ce qui rendait les préliminaires encore plus difficiles. Ces mâles s'accouplaient moins et avaient moins de descendance. « Cela signifie que la lutte pour l'accouple-ment pourrait expliquer l’apparition d’antennes de plus en plus élaborées », explique Locke Rowe, biologiste et principal auteur de l’étude. De façon plus générale, les auteurs confirmant avec ce travail que dans la nature, la sexualité et les conflits sexuels constituent une force particulièrement puissante dans l’apparition et l’évolution des différences morphologiques entre mâles et femelles. Sciences et Avenir 04/05/2012 -
Présidentielles 2012 et amis des animaux et de la nature
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans ARTICLES de presse
Agir pour l'environnement adresse "un carton rouge" à Nicolas Sarkozy pour son bilan "catastrophique" sur les questions écologiques, et "un carton jaune" à François Hollande "pour le manque d'ambition de ses propositions". L'association avait lancé le 23 avril une "campagne d'interpellation" avec des cartes-pétition à envoyer aux deux candidats du second tour, les interrogeant sur le nucléaire, les rejets de CO2, les pesticides, etc. Plus de 7.000 personnes ont envoyé des cartes aux candidats, selon Agir pour l'environnement, et les deux candidats ont répondu. Agir pour l'environnement regrette que "le candidat-sortant se soit contenté de rappeler les objectifs inscrits dans la loi Grenelle 2 (qui par ailleurs sont tous à des degrés divers des échecs patents)". M. Sarkozy reçoit un carton rouge pour ses "attaques répétées contre les corps intermédiaires, son soutien indéfectible à l'industrie nucléaire, ses clins d'oeil appuyés à l'agriculture productiviste, sa volonté de poursuivre, sous couvert de recherche scientifique, les explorations des gaz de schiste, son entêtement à vouloir construire plus de 1.000 kilomètres d'autoroutes, ainsi que l'aéroport de Notre-Dame des Landes"... Il s'est d'ailleurs "mis hors-jeu à l'instant même où il a considéré que +l'environnement, ça commence à bien faire+", estime l'association. Le candidat socialiste reçoit pour sa part un carton jaune pour "l'extrême prudence de son projet". L'association "ne peut se satisfaire d'un manque d'ambition à l'heure où les crises écologiques réclament a contrario cohérence et clarté". Elle reproche notamment à M. Hollande son soutien au futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), sa volonté de ne fermer que la centrale nucléaire de Fessenheim et de construire l'EPR, son flou quant aux projets autoroutiers... "Le candidat socialiste reste sur la réserve sur un grand nombre de sujets en tentant de ménager la chèvre radioactive et le chou renouvelable", considère l'association. A son actif, cependant: il est favorable à l'interdiction "claire et nette" de l'exploitation des gaz de schiste, il veut soutenir le développement des énergies renouvelables avec un fonds vert de capital investissement, souhaite proposer la rénovation thermique de 600.000 logements par an et la construction de 400.000 logements à basse consommation. "Quelle que soit l'issue de cette élection présidentielle, force est de constater que la mobilisation citoyenne devra être au rendez-vous dès le 7 mai pour obtenir du président élu de véritables mesures de rupture", conclut l'association. Sciences et Avenir 04/05/2012 -
La sécheresse dans une grande partie de l'Angola met à mal la production agricole, un revers pour un pays qui ne couvre pas ses besoins alimentaires et a du mal à relancer une agriculture autrefois florissante. Dans ce pays, qui était un important exportateur agricole (café, bananes, sisal) et en autosuffisance alimentaire du temps de la colonisation portugaise, la saison sèche ne dure en principe que deux à trois semaines en décembre. Mais cette année, elle s'est prolongée bien au-delà de Noël et a duré jusqu'à trois mois dans certaines localités. "La production s'est effondrée dans l'ensemble du centre et du sud pays", constate Belarmino Jelembi, le directeur général de l'Action pour le développement rural et environnement (Adra), la plus importante association du monde agricole. Cela signifie bien sûr "une perte de revenus" mais aussi "une menace de famine pour les familles", dit-il. En mars, le gouvernement a annoncé une série de mesures d'aide mais qui restent à se concrétiser: distribution de nouvelles semences pour tenter de récupérer la production perdue, lancement de projets d'irrigation pour diminuer la dépendance aux pluies et ouverture de renégociation des prêts agricoles. "Pour réparer les préjudices subis, le Conseil des ministres a approuvé un plan d'aide et d'assistance aux populations concernées qui prévoit des distributions de biens alimentaires et agricoles ainsi que des approvision-nements en eau par citernes", a également promis le gouvernement. Cette crise est un coup dur dans un pays instable en terme d'approvisionnement alimentaire car extrêmement dépendant de ses importations agricoles, qui rendent le coût de la vie à Luanda, la capitale, plus élevé qu'à Tokyo. Des décennies de guerre jusqu'en 2002 ont ruiné l'agriculture angolaise, de nombreuses plantations ayant été abandonnées ou transformées en champ de mines. Pour le principal parti d'opposition, l'Unita, le gouvernement n'investit pas assez dans le secteur alors que le pays en serait capable au regard des importantes ressources tirées du pétrole, dont il est deuxième producteur en Afrique. La communauté de développement d'Afrique australe (SADC) recommande "de consacrer 10% du budget annuel au secteur agricole quand l'Angola n'y investit qu'1,21%", note Vitorino Nhany, secrétaire général de l'Unita. Selon les chiffres du gouvernement angolais, la dotation du secteur agricole se monte à 5% environ du budget national et est en constante hausse pour répondre à l'objectif fixé par la SADC. En attendant, la sécheresse rend la vie encore plus difficile pour les familles pauvres vivant des cultures de céréales, haricots et patates-douces, à la base de l'alimentation locale. L'Angola compte quelque 2 millions de paysans pour 18 millions d'habitants. Les provinces de Benguela, Huambo, Bié et Huíla, autour de la deuxième ville du pays Huambo sont les plus touchées. Le nord du pays, dans les provinces du Zaïre et de Uíge, sont concernées mais dans une moindre mesure. Le sud du pays produit quasi-exclusivement des cultures de cycle long, comme le maïs, qui ont besoin de précipitations abondantes. "La dépendance aux pluies est le principal problème de notre agriculture", souligne M. Jelembi, qui anticipe des pénuries alimentaires et une flambée des prix dans les mois à venir. A terme, les autorités estiment qu'il faudrait remplacer la culture des tubercules, gourmandes en eau, par des plantes moins dépendantes des pluies. L'Adra, qui défend également ces mesures, s'inquiète cependant. Cela "passe systématiquement par le lancement de grands projets qui ne sont pas adaptés aux besoins de la population locale, ni à son niveau de formation", explique le président de l'association. "Concernant le développement de l'irrigation par exemple, le gouvernement souhaite construire une série de grands barrages quand nous demandons simplement un appui pour créer un réseau de micro-barrages que les agriculteurs pourraient gérer eux-mêmes", ajoute M. Jelembi. Sciences et Avenir 04/05/2012