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BelleMuezza

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Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Après la vaisselle BIO, voici les vêtements BIO. Si je ne connaissais pas la vaisselle BIO, en revanche je connais les vêtements BIO... Chaque fois que je renouvelle un élément de ma garde-robes, j'essaie d'acheter des vêtements dits BIO lorsqu'ils correspondent à mes attentes en terme de couleur, pratique et besoin. J'en ai déjà plusieurs en fibres de bambou... Commençons d'abord par un "petit" laïus sur l'industrie textile... On parle beaucoup d’écologie et de « bio » dans le domaine de l’énergie, de l’alimentation ou encore des cosmétiques. Qu’en est-il de l’industrie textile ? Si on parle moins de coton bio que d’énergie renouvelable ou d’habitation à énergie positive, l’industrie textile constitue malgré tout un enjeu écologique majeur. Le coton fut importé vers l’Europe entre le 8ième et le 10ième siècle, période à laquelle fut sélectionnée une variété propice à la production de ce qui allait devenir « l’or blanc » : cette variété mûrit en un an et les fibres de coton sont blanches. Au XVIIIe siècle le coton devient la principale matière première de l’industrie textile et la culture intensive se développe, en particulier dans les états du sud des Etats-Unis d’Amérique. Aujourd’hui, près de la moitié du textile fabriqué dans le monde est en coton. Ce sont quelques 20 millions de tonnes de coton qui sont produites chaque année dans 70 pays du monde. La pression sur les prix conduit à un véritable désastre écologique : la production classique utilise force pesticides afin d’optimiser les rendements (25% de tous les pesticides sont utilisés pour la production du coton alors que celle-ci ne représente que 2% des surfaces cultivées). C’est non seulement une source de pollution, mais en plus cela rend les producteurs dépendants des lobbies de la chimie et de l’industrie. De plus, cela constitue un danger pour la santé même des gens qui portent ces vêtements : en effet, il est prouvé que certains problèmes de peau sont dus aux produits hautement toxiques utilisés comme pesticide ou colorant, et qui imprègnent le textile. (---->pour info, je fais partie de ces gens-là!) Une alternative réside dans la production de coton sans pesticide. Toutefois, le coton ne méritera l’appellation de « coton bio » que s’il est préservé de tout traitement chimique tout au long du cycle de fabrication des vêtements ou textiles. En particulier il devra être teint avec des colorants 100% naturels. Attention donc aux vêtements prétendument « bio » sans aucune garantie ou même avec des labels fantaisistes ! Bio, c’est bien, équitable, c’est mieux ! Le coton biologique représente encore moins de 10% de la production totale mais les volumes de production sont en constante augmentation. Derrière cette image encourageante se cache une réalité plus trouble : de nombreux industriels se servent du coton bio comme d’un argument de vente mais continuent de produire leurs vêtements, en Asie notamment, dans des conditions déplorables. Y a-t-il un sens à commercialiser du coton issu d’un mode de production biologique mais cultivé ou transformé dans des conditions de travail inhumaines ? On peut penser que NON !. C’est pourquoi on ne peut que conseiller de choisir des tissus conjugant certification bio et origine équitable. En 2006, les ventes de produits certifiés équitables étaient estimées à plus de 1609 milliards d’euros, une augmentation de 41 % par rapport à l’année précédente. On estime que près de 1,5 million de producteurs et travailleurs défavorisés bénéficient directement du commerce équitable. Les labels et certifications bio et équitables : Au début des années 90 un certain nombre d’organismes ont mis en place autour du G.O.T.S (Global Organic Textile Standard) des cahiers des charges et un suivi destinés à garantir les conditions réelles de production du coton. Labels Origines Garanties EKO Hollande (SKAL) Certifie la production de fibres en bio, principes transformation: interdiction d’utiliser des produits chimiques Öko tex Allemagne Interdiction de certains colorants, limite les résidus de polluants chimiques dans les produits finis Demeter Allemagne Ccertifie la production de fibre en biodynamie. Le cahier des charges transformation permet de certifier des textiles issus de fibres Demeter. BEST Allemagne (Naturtextil) Certifie la production de fibre en bio, produits chimiques polluants interdits dans les procédés de transformation Biogarantie Belgique Certifie la production de fibre en bio; Transformation: taux de matière 1ere bio minimum (entre 95 et 70%), listes positives des auxiliaires autorisés en transformation (production de fibres, tissages, coloration); Production: gestion des déchets, ISO 14 000, utilisation énergie renouvelable si disponible. EcoLabel Européen Pas d’obligation de coton issu de l’AB, mais il doit être exempt de résidus de certains pesticides, interdiction de certains auxiliaires dans les traitements des fibres (Ces critères sont en cours de révision) Ecocert France Certifie la production de fibre en bio; transformation: liste positive de tous les auxiliaires entrants dans le processus de fabrication du textile; production: gestion des déchets, ISO 14 000; étiquetage du produits fini pris en charge/réglementation Source : BIO TISSUS
  2. Une nouveauté pour moi : la découverte de vaisselle "BIO" fabriquée à partir de PLA et/ou de fécule de pommes de terre... Il en existe aussi à partir de fibres de canne à sucre, bambou, bois ... Elle peut être jetable ou réutilisable. - Diminue la consommation de ressources non renouvelables (plastique) - Facilite une meilleure gestion des matières résiduelles dans les secteurs alimentaires et peuvent limiter le volume des déchets dans les lieux d’enfouissement. Réemploi : -Peut être réemployés en considérant les températures de consommation et de lavage (60°C max pour le PLA, 90°C pour la fécule de pomme de terre). Valorisation (compostage) : - Biodégradables et compostables à 100 % selon les standards OK Compost (Europe) et BPI (États-unis) dans des délais variant entre 2 semaines et 2 mois. Élimination (récupération énergétique) : - Si enfouis, les produits compostables se transforment en biogaz qui génère de l’énergie pouvant être convertie en électricité ou en chaleur. DISPOSÉE DANS UNE PLATE-FORME DE COMPOSTAGE CENTRALISÉ, LA VAISSELLE SE DÉCOMPOSERA DANS UN DÉLAI DE 2 À 8 SEMAINES. Intéressant non ?!? Les amateurs de pique-nique devraient davantage s'y intéresser et remplacer les assiettes, couverts et timbales en plastique par de la vaisselle BIO. Les prix sont intéressants... d'autant plus intéressants que l'achat de ce type de vaisselle préserve l'environnement et notre terre nourricière... Où en trouver ? Je n'en ai pas encore vu dans les grandes surfaces... ou peut-être n'y ai-je pas prêté attention (je vais regarder la prochaine fois que j'irai dans l'une d'elles). Pour ceux qui sont intéressés, voici quelques liens : - ECOLOMIQUE - BIOSYLVA - VINIFETE - FESTIFOLLY - PROMO-JET - ACHAT NATURE - Et bien d'autres que je vous laisse le plaisir de trouver...
  3. A Djakarta, le Japon s'efforce d'apaiser les inquiétudes de ses partenaires commerciaux A Djakarta, en Indonésie, les acteurs clé de l'économie nippone ont tenté d'apaiser les inquiétudes de leurs partenaires étrangers sur la conjoncture japonaise. Près de 600 responsables politiques et chefs d'entreprises de la planète se sont réunis dimanche et lundi dans le cadre du Forum économique mondial. Les représentants de la Fédération du patronat japonais ont évoqué les efforts de reconstruction des usines dévastées par la double catastrophe du 11 mars et le prompt rétablissement des réseaux de distribution. Le vice-président de la fédération Atsutoshi Nishida, qui préside par ailleurs le groupe Toshiba, a déclaré qu'au niveau de la production, du marketing et de la distribution, la situation serait rétablie d'ici l'automne prochain. Source : NHK 13/06/2011
  4. Même si, ici en France, nous ne sommes pas directement concernés par cette affaire, il m'est apparu opportun de la rapporter. L'ignominie et la cruauté n'ont pas de frontières... Je trouve absolument scandaleux le meurtre de ces phoques.
  5. 5 Photques gris échoués Les biologistes du Massachusetts ont récemment annoncé qu'au cours des six dernières semaines, cinq phoques gris adultes ont été trouvés échoués sur les plages de Cape Cod. Les biologistes de l'équipe de recherche et de sauvetage de mammifère marin International Fund for Animal Welfare ont découvert ces cas dans le cadre des assistances habituelles lors d'échouages de mammifères marins. Même s'il n'est pas rare que des phoques gris viennent s'échouer sur les plages du Massachusetts au cours de cette période de l'année, les scientifiques disent que la présence de plaies externes perceptibles rendent ces cas différents. Dans deux des cinq cas, les membres du personnel qualifié ont identifier ces plaies externes sur les phoques comme des blessures par balle. En conséquence, tous les échouages sont examinés plus attentivement pour vérifier s'ils sont la conséquence d'interactions humaines, y compris des coups de feu. Tomodensitométrie et dissection ultérieure (sur les animaux morts), fragments et tous autres éléments balistique sont actuellement analysés par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) les Agents spéciaux du Bureau du droit d'exécution (OLE). Les cinq phoques sont apparemment morts à la suite des blessures infligées par des balles. Les phoques gris sont protégés en vertu de la Loi sur la Protection des mammifères marins. Cette loi fédérale interdit le harcèlement et le meurtre de tous les mammifères marins et les violations peuvent entraîner des sanctions civiles et pénales. « Ces animaux ont énormément souffert. Nous prenons très au sérieux ces crimes et encourageons fortement toute personne disposant d'informations d'appeler, a déclaré l'agent spécial Todd Nickerson de NOAA OLE. Si vous voyez un mammifère marin vivant ou mort échoué, veuillez signaler à l'IFAW l'échouage au 508-743-9548. Si vous avez des informations concernant les cas ci-dessus, veuillez communiquer avec Nickerson d'Agent spécial à 508-990-8752. Source Care2 13/06/2011
  6. Personnellement j'ai un petit mot à ajouter : nul (animal ou humain) ne devrait être enchaîné ou soumis à l'esclavage... à la brutalité... à la cruauté. C'est indigne de l'humain qui se juge supérieur à toutes les autres espèces...
  7. LA FONDATION ET LA FAE EN CAMPAGNE Photo FBB Afin de dénoncer ces exportations illicites, la FBB et la FAE ont lancé entre le 28 septembre et le 28 octobre une campagne d’affichage. Deux panneaux publicitaires de 12m x 30m, 300 tuktuks et 10 000 posters ont véhiculé le message à travers la capitale. Espérons que ce coup de gueule puisse responsabiliser le gouvernement et épargner la captivité à de nombreux éléphants. En guise de conclusion, je souhaiterais dire à tous les interlocuteurs thaïlandais que j’ai rencontrés et qui affirment que l’avenir d’un éléphant domestiqué ne peut-être qu’au bout d’une chaîne, que cela est faux. L’orphelinat de Pinnawela hébergeant 60 éléphants de tous âges et que j’ai eu la chance de visiter lors d’un voyage au Sri Lanka effectué à titre privé est l’exemple, magnifiquement démontré, que ces animaux peuvent vivre simplement encadrés par une poignée d’hommes et tout à fait libres de leurs mouvements. Les chaînes ne sont pas légion et le seul spectacle offert aux touristes est le bain auquel les pensionnaires s’adonnent avec un plaisir évident, durant deux heures deux fois par jour, dans une large rivière. C’est un ravissement indicible de les voir et de savoir qu’en dépit de ce qu’ils ont pu subir, ils peuvent enfin répondre à leurs besoins vitaux les plus indispensables : vivre en groupe, sans entrave, et communiquer. Pour les services rendus, l’homme leur doit bien cet ersatz de liberté… Source : Fondation Brigitte Bardot
  8. DES STRUCTURES DANGEREUSES L'éléphant est considéré comme un objet de divertissement. Mais cela ne choque pas les spectateurs. Ceux-ci ne cherchent pas à savoir ce que deviennent les éléphants une fois le spectacle terminé. Et pourtant, après avoir été présentés dans des postures humiliantes et contre-nature, ils sont emmenés par leur mahout en dehors du campement et resteront enchaînés à un tronc d’arbre jusqu’à la prochaine représentation. Tel est leur quotidien durant des années. Pour le moment, il est utopique de vouloir mettre un terme à ces structures qui sont les seules à offrir une alternative à l’errance des mahouts-éléphants. Photo FBB 300 tuk-tuks ont véhiculé notre message dénonçant l’exportation illégale des éléphants thaïlandais. Mais le problème qui surgit est que celles-ci se multiplient en réponse à l’essor touristique du pays. Elles ne servent plus seulement à accueillir et à intégrer les animaux rescapés de la foresterie mais ouvrent un nouveau marché qui n’est pas sans lien avec celui des captures dans le milieu naturel. C’est pourquoi la FAE reste vigilante et suit régulièrement l’état sanitaire des pensionnaires de nombreux campements. L’association porte un avis critique sur les numéros réalisés et incite les protagonistes à les modifier ou à les supprimer. Enfin il y a les éléphants qui sont exportés vers les cirques et les zoos de nos contrées. Ou encore ceux qu’offre le couple royal à d’autres pays… tout cela dans l’irrespect total de l’inscription de l’éléphant d’Asie à l’annexe I de la CITES. Source : Fondation Brigitte Bardot
  9. CLOWNS TRISTES D’autres mahouts quant à eux, soucieux de recevoir une rémunération régulière, ont intégré les campements (privés en général) assaillis par les touristes occidentaux désireux d’assister à des représentations où l’intelligence et l’agilité de ces animaux leur sont soit-disant démontrées. Certains avancent levés sur leurs pattes arrière, d’autres simulent l’amputation d’un membre et se meuvent (péniblement) sur trois pattes, les plus jeunes, eux, s’essaient à la peinture ! Les numéros s’enchaînent, les applaudissements fusent, les exclamations d’émerveillement se font écho puis tous se précipitent, une banane ou un billet à la main, pour récompenser les artistes. L'être humain est-il donc si stupide ? Ces artistes souffrent car ils travaillent sous le joug d’un pic armé d’un crochet lequel laisse parfois des séquelles sur le front ou derrière les oreilles. Photo FBB Source : Fondation Brigitte Bardot
  10. ESCLAVAGE ET MENDICITE Photo FBB L'éléphant execute son numéro sous les coups de piques infligés par le mahout. Mais la grande question qui se pose aujourd’hui est : pourquoi continuer à dresser des éléphants alors que, depuis 1989, l’exploitation forestière qui en employait 2 000 a été prohibée ? Pour quelle(s) raison(s) le gouvernement a-t-il fondé un institut de formation des mahouts (les dresseurs) ? Sans doute pour leur inculquer les 20 commandements de base à enseigner à cet animal et ce de façon plus douce… Cela ne signifie-t-il donc pas que cette soumission à l’homme ne prendra jamais fin ? Si l’existence de ce tandem mahout-éléphant pouvait se justifier pour la foresterie, aujourd’hui les raisons en sont obscures. Est-ce par tradition ? Aucune réponse sensée ne m’a été fournie. L’interdiction de l’exploitation forestière a mis de nombreux « tandems » au chômage. Certains, malgré tout, persistent à travailler illégalement dans ce domaine aux abords de la frontière laotienne, [b]voire au Laos. C’est de là que proviennent les éléphants mutilés par des mines que l’hôpital de Lampang recueille [/b](Info-Journal n°45). D’autres mahouts ont opté pour une reconversion qui se fait bien souvent au détriment de l’animal mais qui permet de le nourrir… Ainsi, le soir venu, alors que tous les grands axes de Bangkok se trouvent paralysés par les embouteillages, des ombres déambulent illégalement et nonchalamment sur les bas-côtés dans le brouhaha des klaxons incessants, dissonants, et une pollution suffocante, leur présence simplement signalée par un fanal luminescent fixé au bout de la queue. Bravant les risques de collisions (dont certains sont malgré tout victimes), tendant leur trompe deçà-delà, ils mendient quelques bahts (monnaie thaïlandaise) à des touristes amusés donc généreux. Triste destinée que celle de ce pachyderme réduit à la mendicité… Cette activité étant devenue très lucrative, il semblerait que des réseaux de location « d’éléphants mendiants » se soient organisés. Source : Fondation Brigitte Bardot
  11. DRESSAGE CRUEL Mais mon inquiétude s’intensifie quant à l’avenir des éléphants domestiqués. Qui dit domestication dit bien sûr… dressage. Un terme qui m’effraie quand il s’applique à des animaux sauvages et d’autant plus lorsqu’il s’agit d’un animal aussi sensible et intelligent que l’éléphant. Ces huit lettres portent en elles le rapport dominant/dominé, la brutalité, la cruauté, voire la torture infligées d’un côté, la souffrance, la douleur et les privations subies de l’autre. Et c’est bien de cela dont ont été victimes depuis la nuit des temps ces animaux arrachés à leurs groupes pour devenir montures de guerre à l’époque où les royaumes birmans et thaïlandais s’affrontaient, ou « bêtes de somme » dans les activités forestières ou faire-valoir dans les temples. Photo FBB Numéro présenté au sein du "thaï éléphant conservation center", structure touristique appartenant à l’Etat. Lors de mon déplacement dans le nord de la Thaïlande, une vidéo sur une technique de dressage appelée « Paa-Jaan » et pratiquée par certains villageois m’a été présentée. Je n’ai aucun mot pour la qualifier. Juste un silence empli de colère, de rage, de dégoût et une immense compassion pour ce jeune éléphant sur lequel se concentre et s’abat toute la violence humaine (coups de bâton incessants durant plusieurs jours sur l’ensemble du corps, entraves douloureuses, etc.). Désormais, cet animal doit comprendre que l’homme est son unique maître et qu’il doit exécuter chacune de ses exigences. Photo FBB Dressage des éléphants qui semblent dociles, car animés par la peur du mahout (son dresseur). Il semblerait que depuis quelques années cette pratique tende à disparaître grâce au travail d’éducation et de sensibilisation effectué dans les villages par l’association « Friends of the Asian Elephants » et sa fondatrice, Soraida Salwala (Info-Journal n°45). Source : Fondation Brigitte Bardot
  12. De retour de Thaïlande, Céline Sissler-Bienvenu (Chargé de mission internationale à la Fondation Brigitte Bardot) a pu constater l'avenir bien triste qui est réservé aux éléphants de ce pays. Elle explique... Les chiffres sont là et parlent d’eux-mêmes. Ils cristallisent la situation critique voire dramatique dans laquelle se trouve l’éléphant thaïlandais. Si en 1960 le pays comptait 29 000 spécimens sauvages, aujourd’hui ils ne sont plus que 2 000 à profiter d’une liberté qui ne tient qu’à un fil… Photo FBB Braconnage pour l’ivoire ou autres produits issus de l’animal (poils, testicules, pattes…) et/ou capture des jeunes destinés à gonfler l’effectif des 3 000 individus domestiqués sont des risques qui existent toujours bel et bien en dépit des divers textes nationaux et internationaux rédigés en faveur de leur protection. Si bien sûr, la question de la survie de l’espèce est préoccupante en raison des diverses pressions anthropiques qui s’exercent sur elle (notamment la destruction de son habitat), mon optimisme me conduit à penser que la seule volonté politique de mettre en place les mesures adéquates peut changer le cours de son histoire. Mais voilà, pour cela il faudrait des politiques humanistes et là, une pointe de pessimisme ressurgit… Des nouvelles de l'hôpital de Lampang. Cliquez ici. Source : Fondation Brigitte Bardot
  13. Monsieur le Premier Ministre, Tout d’abord : bonjour ! Je ne comprends pas l’acharnement de certains à vouloir détruire la faune sauvage, sous prétexte qu’elle serait nuisible à la faune et à la flore... Chaque animal a un rôle à jouer dans la protection des éco-systèmes et de la biodiversité d’un lieu. On voit, dans certaines régions et dans certains pays, ce qu’il est advenu lorsque des espèces ont disparu. Il y a un accroissement des espèces chassées par ces animaux qui, à leur tour, deviennent invasives et donc jugées nuisibles... Et ainsi de suite. Je schématise la situation car je pense que vous la connaissez aussi bien que moi. Que ces espèces, en France, soient jugées nuisibles à l’activité humaine... je peux comprendre le point de vue des personnes qui ont à déplorer la perte de quelques animaux... Cependant, ne leur appartient-il pas de mettre en oeuvre les moyens de protection nécessaire ? Normalement oui : mais cela coûte de l’argent... Il est donc plus facile d’accuser un tiers (fusse-t-il un animal) que de prendre des précautions élémentaires... Nos ancêtres faisaient avec la nature, cohabitaient avec la faune et la flore, essayant d’en tirer le meilleur parti car ils étaient bien plus conscients de l’équilibre fragile des forces en présence... Offrir des animaux sauvages aux tirs de chasseurs en mal de gibier... En voilà la belle affaire. Confirmer par ce projet que le gouvernement français est d’accord avec les pratiques d’élevage d’animaux en principe sauvages pour les lâcher en liberté le moment de la chasse venue, encourage la maltraitance des animaux à grande échelle. Oui : élever des animaux dans le but avoué de les tuer, alors qu’ils sont habitués à la présence humaine, c’est de la cruauté... et de la lâcheté ! Ces lois qui fleurissent en France : le projet dont il est question ici, la tauromachie au patrimoine culturel immatériel de la France (ce qui est par ailleurs faux), la possibilité d’utiliser les animaux domestiques errants non réclamés par leur propriétaire à des fins de recherches, reconnaître ou classer les associations de chasseurs comme protecteurs de la faune et de l’environnement... etc, etc, etc... Me font penser qu’en vue des prochaines élections, le gouvernement cherche à conserver des voix en satisfaisant le plaisir égoïste de quelques-uns, certes plus fortunés que nombre de vos administrés. Pour vivre mieux, tous ensemble, la meilleur solution est le respect mutuel de tous : animaux compris. Ils font partie de notre vie, de notre avenir. Ils étaient là aussi avant nous et les éco-systèmes étaient mieux équilibrés qu’aujourd’hui... grâce à l’équilibre que ces soit-disant nuisibles contribuaient à entretenir... Ce ne sont certainement pas les chasseurs qui y contribuent... Ils détruisent cet équilibre précaire dans lequel notre monde actuel évolue... Les jeux de Rome (dans cette image, les animaux ont remplacé les gladiateurs) : c’est fini !!! Tout ceci pour vous demander de revoir votre projet et reconnaître que tous les animaux participent à la préservation de notre environnement, de la biodiversité et des éco-systèmes. Comptant sur votre clairvoyance et non pas sur l’audience du scrutin, je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’assurance de toute ma considération... sous réserve d’un changement opportun dans les règles de conduites impartiales qui devraient être les vôtres. (Ma signature).
  14. Il faut être nombreux à agir Le temps est compté... nous avons jusqu'au 17 juin pour faire entendre nos voix... Le 1er ministre envisage de modifier par décret la législation relative aux animaux d’espèces nuisibles. Les modifications proposées donnent davantage de possibilités aux chasseurs de détruire les animaux qu’ils considèrent comme nuisibles. La Fondation Brigitte Bardot dénonce ces nouvelles dispositions et vous demande de participer à la consultation publique ouverte jusqu’au 17 juin prochain sur le site Internet du Ministère de l’Ecologie : Ainsi vous pourrez envoyer vos commentaires à l’adresse : consultations.chasse@developpement-durable.gouv.fr Nous dénonçons tous les abus de la chasse. En ce qui concerne les espèces nuisibles, nous demandons purement et simplement le déclassement de toutes les espèces dites « nuisibles » car nous savons très bien qu’aucune espèce n’est nuisible mais que chacune joue un rôle important dans la chaîne alimentaire et dans l’équilibre des écosystèmes. De plus, ces animaux dits « nuisibles » peuvent être chassés, tirés, piégés, déterrés, assommés, empoisonnés pendant toute l’année via des méthodes plus cruelles les unes que les autres. Nous dénonçons vivement la composition de cette formation spécialisée au sein de la Commission départementale de la chasse et de la faune sauvage dans laquelle les chasseurs et assimilés (piégeurs, louvetiers) sont surreprésentés au détriment des associations de protection animale (les associations de chasse pouvant également être agréées au titre de la protection de l’environnement selon l’article L 141-1 du code de l’environnement). Ainsi le lobby de la chasse est dominant dans cette formation spécialisée : on imagine aisément quel sort sera réservé aux animaux qualifiés de nuisibles par ces mêmes chasseurs-piégeurs-louvetiers ! Alors que dans le texte précédent, seuls 3 motifs permettait le classement en nuisible d’une espèce, les chasseurs ont réussi à détourner le 3ème motif clairement en leur faveur. Il s’agit d’assurer la protection de leur gibier au même titre que la flore et la faune ! Ainsi, les activités cynégétiques comme les élevages de gibier à des fins de relâchers seront strictement protégées par ce décret. Le seul point positif de cette nouvelle réglementation est l’interdiction des toxiques pour la destruction des espèces dites nuisibles mais cela n’empêchera pas les autres modes de destruction. Source : Fondation Brigitte BARDOT
  15. J'étais persuadée avoir mis cette information sur le forum... Car je cherchais à ajouter des informations complémentaires... que voici : " En l’absence du propriétaire - qui a plaidé coupable - le tribunal de proximité d'Abbeville (80) a requis à son encontre une amende de 950€ (27/5/11). Le prévenu étant poursuivi pour mauvais traitements et non pour actes de cruauté, les faits reprochés ne peuvent faire l’objet d’une demande de peine de prison. Un mécanisme juridique que la Fondation juge particulièrement inapproprié dans cette affaire. Verdict le 24 juin prochain.
  16. Après une longue agonie, Black est mort d’épuisement. Enfermé par son maître qui le jugeait trop mauvais pour la chasse, ce braque a fini par succomber aux mauvais traitements qui lui ont été infligés. La Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile au procès, attend une peine extrêmement sévère à l’encontre du propriétaire. 3 années de supplice, sans que personne n’intervienne. Malgré ses aboiements de détresse, Black, un braque allemand âgé de 4 ans environ, est mort dans une lente agonie au fond du local qui lui servait d’abri (notre photo), dans la petite commune de Ponthoile (80). C’est là qu’il sera découvert par les gendarmes (8/01/10), son corps sans vie reposant sur un tapis de déjections. A l’origine, une « punition » Photo Refuge de Buigny-Saint-Maclou Interrogé par les forces de l’ordre, le propriétaire – un chasseur sexagénaire – avoue avoir voulu punir l’animal qu'il qualifie de « mauvais chien de chasse ». Enfermé dans l’appentis attenant à la propriété, Black n’en ressortira pas vivant. Nourri de temps en temps avec des restes jetés à travers des planches clouées, un tuyau d’arrosage qui alimente une gamelle recouverte de rouille : les souffrances qui découleront de ces mauvaises conditions dureront trois ans, jusqu’à épuisement. La loi du silence avant le buzz Pour Eliane Lecuyer, fondatrice du refuge de Buigny-Saint-Maclou (80), « le drame de Black est avant tout le drame de l’indifférence. Personne ne s’est ému de son sort, alors que les voisins entendaient pourtant ses cris de détresse. Si l’un d’entre eux nous avait avertis, nous aurions pu sauver ce chien ». Ce refuge, qui fait partie des structures soutenues par la Fondation 30 Millions d’Amis, décide de porter plainte à l’encontre du propriétaire devant le tribunal de grande instance d’Abbeville (80). Dans le village de Ponthoile, c’est l’omerta. Personne ne souhaite témoigner. Mais les preuves accablantes suffisent néanmoins à ouvrir une instruction. La Fondation 30 Millions d’Amis partie civile Concomitamment, Emily Trolet découvre la triste histoire du braque. Cette jeune fille de 25 ans, très engagée dans la protection animale, crée un groupe de soutien sur le réseau social Facebook afin d’informer le plus grand nombre du drame qui s’est joué à la vue et au su de tous. Rapidement l’histoire de Black se répand sur le net et de nombreux articles lui sont consacrés dans la presse quotidienne régionale, qui le surnomme désormais le « martyr de Ponthoile ». Une pétition de près de 7 000 signatures est également remise au procureur de la République d’Abbeville (80). Fondation 30 millions d'amis 31/05/2011
  17. En août 2005, l’ouragan Katrina dévaste la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. Alors que la catastrophe a causé la mort de plus de 1 800 personnes, des centaines d’animaux se retrouvent livrés à eux-mêmes. Parmi eux, Molly, une ponette. Recueillie par Kaye Harris, une femme qui sauve les animaux en détresse, elle est placée dans un refuge. Là, elle sera gravement atteinte par les morsures d’un chien et son euthanasie sera envisagée au vu des blessures provoquées par l’incident. Photo 30 millions d'amis Mais Kaye Harris, bouleversée par le comportement de l’animal qui montre son envie de vivre, ne peut s’y résoudre. Elle conduit Molly à l’école de médecine vétérinaire de Bâton-Rouge, en Louisiane. Et après 3 heures d’opération, l’animal est amputé de sa jambe avant droite. Au fil des ans, Molly sera équipée de cinq prothèses différentes, à chaque fois mieux adaptées à son handicap. Et 6 ans après Katrina, c’est un poney plein de vie qui trottine sur 3 jambes. Molly participe même à une tournée à travers les USA afin de porter à la connaissance du public cet incroyable message d’espoir. Source 30 millions d'amis 1/06/2011
  18. Les années ont été bien longues pour Natacha : trouvée dans la rue alors qu’elle n’a qu’un an, elle est placée au refuge de l’APASG*, à Saint-Gilles (30), en 1998. Cette croisée berger passera plus de 10 ans dans cette structure soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis. Un jour, Nadia voit une photo de l’animal sur Internet : c’est le coup de foudre. Malgré l’âge avancé du chien - près de 14 ans - et une patte très abîmée, cette mère de famille, très sensible à la cause animale, n’hésite pas : « Ce qui m'a plu chez elle, c’est son regard, se souvient Nadia. Ses yeux semblaient dire "Je suis vieille, mais je veux vivre et être aimée". » Photo 30 millions d'amis En novembre 2010, Natacha quitte donc le box qu’elle connaissait tant. Destination Saint-Léon-sur-l'Isle (24), dans une petite maison entourée d’un jardin. « C’est une chienne très affectueuse et douce, qui réclame énormément de câlins, témoigne Nadia. Elle adore se balader, prendre le grand air et ce malgré son handicap. » La paralysie d’une patte arrière droite l’empêche en effet de courir. Natacha met un certain temps à s’adapter à sa nouvelle maison : « Elle est entrée avec méfiance et s'est réfugiée dans le couloir. Il a fallu que je reste plusieurs heures auprès d'elle pour qu'elle parvienne à s'endormir » explique Nadia. Une patience et une douceur qui ont payé puisque la jolie croisée a aujourd’hui pleinement adopté sa nouvelle famille, y compris l’autre chien de la maison, Snoopy, un beagle âgé de 3 ans. *APASG : Association de Protection Animale Saint-Gilloise. Natacha a été adoptée dans le cadre de l’opération Doyens menée par la Fondation 30 Millions d’Amis. Celle-ci participe aux frais vétérinaires éventuels à hauteur de 600 euros pour toute adoption d’un chien âgé de 10 ans et plus, sur présentation des factures. L’APASG propose actuellement une quarantaine de doyens à l’adoption. Ils sont présentés sur la page Facebook du refuge, consultable à cette adresse. Consulter la fiche du refuge Pour connaître les chiens et les chats proposés à l’adoption dans votre région, utilisez notre moteur de recherche Source : 30 millions d'amis
  19. Une vidéo... vérité... triste à pleurer à cause des conséquences liées à l'abandon d'un animal : celui-ci condamne de nombreux animaux à la mort... souvent dans d'horribles souffrances... après avoir attendu, cherché, celui qu'il aimait... La fondation 30 millions d'amis, demande votre avis sur cette campagne... CLIQUEZ ICI pour aller directement sur la page concernée du site.
  20. Allez faire un tour sur le blog de l'association : ça vaut le détour... J'ai enfin compris le pourquoi de l'utilité de la tonte des moutons et brebis... Et pourquoi, cette opération devait être effectuée rapidement... De nombreuses photos des animaux sauvés de l'abattoir sont également visibles...
  21. Près de Nevers (58), une femme et son fils se battent quotidiennement pour offrir une belle fin de vie à des moutons destinés à l’abattoir. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui soutient leur association depuis plusieurs années, leur a alloué une aide de 2 400 euros en cette période particulièrement difficile. C’est dans un parc de 90 hectares que 750 moutons, deux chèvres, quatre équidés et quelques volailles s’ébattent loin du danger des abattoirs. En 2007, Dominique Mauer s’est installée au Domaine des Douages, une propriété située à Chantenay-Saint-Imbert (58). Son but : sauver les animaux de ferme destinés à finir dans les assiettes et leur assurer une fin de vie heureuse. Un travail colossal que Dominique effectue sans employés ni bénévoles, avec l’aide de son fils âgé d’une vingtaine d’années. Chaque jour, Dominique rachète des animaux à des agriculteurs et prend soin d’eux : « Ils vivent tous en semi-liberté, explique-t-elle. Ils s’ébattent ensemble autour de la maison et sont rentrés le soir dans des espaces adaptés. » A l’exception des animaux particulièrement malmenés par la vie - les vieux et les handicapés - qui vivent à l’écart des autres pour davantage de tranquillité. La maîtresse de maison refuse que les pensionnaires dont elle a la charge soient exploités de quelque façon que ce soit, y compris pour la reproduction. Au contact de ces espèces, que l’on connaît d’habitude davantage dans l’assiette que dans un pré, Dominique a découvert les richesses de ces animaux souvent mal connus : « Les moutons sont des animaux très intelligents » Et elle s’interroge : « Nous sommes outrés devant les actes de cruauté dont sont victimes les chiens et les chats, mais que dit-on sur ces animaux qui souffrent de leur naissance jusqu’à leur mort ? » Dominique s’est donc donnée comme autre mission de sensibiliser le grand public à la cause des animaux de ferme, qui sont « des êtres sensibles et non pas des animaux stupides ! » Elle ouvre ainsi le Domaine des Douages aux visiteurs. En ces temps de crise, Dominique avoue que les dons se font attendre. Alors qu’un système de parrainage a été mis en place - un particulier parraine un animal pour une somme annuelle de 35 euros et couvre ainsi l’ensemble de ses besoins - les recettes ne cessent de diminuer depuis le début de l’année 2011. Sans compter le prix du fourrage et du blé, qui a augmenté de moitié en l’espace de quelques mois : « C’est la crise, et on sent que les gens sont moins prêts à donner, confirme-t-elle. Surtout pour les moutons, qui ne sont pas forcément des animaux très attendrissants. » La Fondation 30 Millions d’Amis, qui vient en aide à Dominique depuis de nombreuses années, a souhaité allouer à son association une somme de 2 400 euros. Cette aide a été utilisée pour l’achat de nourriture. En savoir plus sur le site du Domaine des Douages Source : 30 millions d'amis 10/06/2011
  22. Je souhaite à Princesse de trouver rapidement un foyer apte à l'accueillir dans les meilleures conditions possible... afin qu'elle finisse sa vie dans un climat serein et entourée d'affection comme il se doit lorsqu'on adopte un animal.... Bonne route ma belle...
  23. Maltraitée par un propriétaire particulièrement brutal envers les animaux, une chienne de 10 ans a été confiée par la justice, à titre définitif, à la Fondation 30 Millions d’Amis. Aujourd’hui Princesse patiente dans un refuge en attendant d’être adoptée, après des années de souffrances.[/b] C’est l’histoire d’un animal particulièrement abîmé par la vie. Enfermée dans un petit enclos, attachée en permanence au milieu de ferrailles, Princesse a vécu dans un état de quasi-abandon durant de longues années. Son maître - sous le coup d’une procédure judiciaire pour avoir littéralement torturé à mort un autre chien - s’est résolu à confier Princesse à la Fondation 30 Millions d’Amis. Après des années de maltraitances, Princesse a été récupérée dans un triste état par un refuge soutenu par la Fondation, situé à Uriage (38). A son arrivée, Princesse était très amaigrie : « Durant les premiers jours, elle a refusé de se nourrir, témoigne Claudine Aguettaz, responsable de la SPA du Dauphiné qui l’a recueillie. Elle restait tapie au fond de son box. » Soignée, stérilisée et identifiée, la jolie croisée des Pyrénées reprend peu à peu du poil de la bête, et ce malgré son âge, estimé entre 10 et 12 ans. Photo 30 millions d'amis « Après ces années difficiles et en dépit de soupçons de coups infligés par son ancien propriétaire, Princesse ne semble pas tenir rancune à l’homme, constate Claudine. C’est un animal très gentil, très câlin. Un vrai pot-de-colle ! » Aujourd’hui complètement remise, elle se montre très sociable avec les humains comme avec ses congénères. Désormais proposée à l’adoption, elle attend une famille aimante qui « dispose d’un terrain » car c’est un chien de taille assez imposante. Condamné pour des faits d’une extrême gravité L’ancien maître de Princesse a par ailleurs été reconnu coupable d’actes de cruauté commis envers un animal. Il possédait en effet un autre chien, un jeune rottweiler qu’il a frappé et blessé à l’arme à feu, puis abandonné sur la voie publique. L’animal a succombé à ses blessures dans de très grandes souffrances (10/4/11). Condamné en composition pénale - une procédure judiciaire accélérée - par le Délégué du procureur de Bourgoin-Jallieu (38), il devra s’acquitter du versement d’une simple amende (6/5/11). Une peine extrêmement légère au regard des faits, dénoncée la Fondation 30 Millions d’Amis. 30millionsdamis.fr lance un appel à la générosité pour que Princesse connaisse, après ces longues années de détresse, la douceur d’un foyer. Plus de renseignements au 04 76 89 12 66 ou sur le site de la SPA du Dauphiné Source : 30 millions d'amis 10/06/2011
  24. La peine est peut-être plus sévère que dans des affaires semblables ou même pire... Mais ce n'est toujours pas assez pour frapper les esprits de tous ces êtres malveillants.
  25. Le TGI de Cambrai (59) a condamné l’ancien maître de Chanel à 6 mois de prison, dont 2 mois ferme et une mise de l’épreuve de deux ans avec suivi psychologique. Une sévérité rarement appliquée dans les affaires de maltraitance, saluée par la Fondation. La confiscation définitive de ses deux chiens à également été prononcée, ainsi que l’interdiction de détenir des animaux. Source : Fondation 30 millions d'amis 10/06/2011
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