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Big Bird

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Messages posté(e)s par Big Bird


  1. Belle petite famille. :)

    Dommage qu'elle soit séparée... (snif)

    Citation :

    mais mickey ca va faire longtemps que j'ai pas eu de ses nouvelles car nous avons du nous en separer suite a des raisons personnelles


    Mais qu'avez-vous fait de Mickey ? Où se trouve t-il maintenant ?

  2. Source :

    http://perso.wanadoo.fr/lili.martin/debourrage.htm

    Le débourrage est un grand moment, aussi bien pour le cheval que pour le cavalier. Avant d'envisager de débourrer votre cheval, ce dernier doit accepter le pansage et la longe en se montrant calme et respectueux. Dans ce qui va suivre, vous risquez, bien entendu, de rencontrer toutes sortes de difficultés, chaque cheval ne réagissant pas de la même façon. Pour palier aux éventuels problèmes, je dirai cela et rien que cela: L'énervement ne sert à rien. Il est l'ennemi du dressage et il est à différencier de la fermeté qui agit brièvement au moment voulu.

    Premiers pas: Le cheval doit faire connaissance avec son lieu de travail: Le manège. Dans un premier temps, laissez-le en liberté afin qu'il puisse se familiariser avec l'endroit. Ensuite, tenez-le en longe près de vous puis faîtes-lui faire un ou deux tours au pas et aux deux mains. Si le cheval est très anxieux ou rebelle, demandez à une aide de se tenir au niveau de l'arrière-main avec une chambrière afin de pouvoir contrôler les débordements ou les refus d'avancer. N'hésitez pas à rassurer le cheval avec la voix, des caresses et des friandises. Ce premier jour sera consacré à la tenue en longe: Cheval calme vous suivant. Faîtes des arrêts puis repartez au pas. Si le cheval vous dépasse ou vous bouscule, exercez une pression avec la longe (d'où l'utilité du caveçon!). Vous poursuivrez votre but les jours suivants (si nécessaire) jusqu'à obtention d'un cheval calme, en avant et droit. Les remises à l'écurie doivent être l'occasion d'habituer le cheval à être emboucher. Brider et débrider chaque jour, quelques minutes au box.

    Leçon de longe : Les premières leçons doivent se faire sans enrênement (caveçon ou licol+ longe). Si le cheval accepte bien le mors, vous pouvez envisager de mettre son embouchure. Les séances seront courtes mais quotidiennes. Pour TOUT ce que vous entreprendrez, il sera nécessaire de faire les choses progressivement. Plus les demandes seront répétées et progressives, plus le cheval acceptera de choses. Vous ne devez JAMAIS le forcer, le brusquer ou le brutaliser. Sur le cercle (assez large), l'aide sera précieuse car elle évitera que le cheval ne fasse demi-tour grâce à la chambrière. Commencez à demandez le pas, le trot et l'arrêt en associant le geste à la parole. Ce n'est que lorsque le cheval réalise tout cela dans le calme que vous pouvez demander le galop. Entre temps (dans la semaine), commencez à le familiariser au box avec la sangle (présentez- la lui, faîtes- la lui sentir, caressez le passage de la sangle avec la sangle puis avec votre main et récompensez). En longe, vous devez bien dissocier vos actions chambrière/caveçon. Pour les jours suivants, continuez de présenter la sangle au box (puis au manège) en ajoutant un peu plus à chaque fois: Caresses avec la sangle sur le garrot puis les fesses jusqu'à pouvoir l'ajuster sous le ventre sans serrer. Cela peut prendre du temps. Le cheval ne doit pas manifester une trop grande réticence sinon diminuez (mais ne stoppez pas!!!) l'intensité des actions. Caressez beaucoup! Ce rituel doit être fait à chaque fois que vous le pouvez. Vous devez pouvoir sangler et dessangler à volonté (des deux côtés) sans stress du cheval. Parallèlement vous poursuivrez vos séances de longe avec mors puis sangle. Faîtes de même (toujours progressivement) avec un tapis puis un surfaix puis la selle (avec les étriers descendus). Vous pouvez introduire progressivement les rênes fixes (lâches en début de séance puis ajustez les). En longe, ne réprimandez pas les sauts de joie de votre jeune cheval. Calmez-le plutôt de la voix. Mais ces bonds de gaieté doivent être interdits lorsque vous êtes à proximité. Si votre cheval est entier, veillez à ce qu'il ne vous considère pas comme un jouet. Vous devez rester maître et vous imposez!

    La technique pour longer (et pour débourrer...) est plus une affaire de sensibilité (et d'expérience...) qu'une savante logistique. C'est à vous de savoir ce qu'il faut faire, comment le faire et quand le faire. Pas évident? Non. Et bien moins facile que d'apprendre des notes et les appliquer. Mais si vous avez "ça", vous aurez tout.

    Vous devez soigner cette phase du débourrage. Si vous y avez consacré du temps, la mise en selle se fera plus souplement.

    En selle : Votre cheval est longé aux 3 allures dans le calme. Il accepte le mors et la selle sans crainte. Vous pouvez démarrer la mise en selle. Munissez vous de votre bombe (pour une fois...), d'un seau d'avoine et faîtes appel à votre aide (ne montez pas seul!!!). L'aide tiendra le cheval en longe et le seau. Il est possible qu'il cache l'oeil gauche (avec sa main) pendant que vous mettrez le pied à l'étrier (c'est ce que fait Mario Luraschi). Vous travaillerez dans le manège sans autre personne que vous 2. Après avoir pansé puis harnaché le cheval, amenez-le sur la piste puis longez le 5 minutes à chaque main et aux trois allures. Emmenez le cheval dans un coin du manège (s'il bouge beaucoup) sinon au centre. Caressez beaucoup et mettez un pied dans l'étrier en pesant légèrement pendant que l'aide donne l'avoine et rassure de la voix (cachez l'oeil si nécessaire). Si le cheval ne manifeste aucune animosité, refaîtes une tentative en vous élevant un peu plus sur l'étrier puis redescendez. Faîtes cela doucement et sans toucher le flanc du cheval avec votre pied. Si le cheval reste calme, refaîtes une tentative en posant votre buste sur la selle pour peser et sur l'étrier et sur la selle (vous êtes debout sur un étrier et vous vous penchez en avant sans enfourcher le cheval). Caressez l'encolure en même temps. L'aide tient toujours le cheval en longe, le seau et rassure le cheval. Si le cheval dérobe ou se cabre, l'aide gardera un contact avec le caveçon en exerçant une légère traction (j'ai bien dit légère..) et en essayant de calmer le cheval par la voix. Laissez un peu de leste à la longe pour que le cheval ne se sente pas pris au piège. En tant que cavalier, vous devez essayer de ne pas bouger, de ne pas vous agripper aux rênes (tenez la crinière) et de ne pas descendre sauf si la réaction est trop vive. Lorsque le cheval est calmé, restez quelques secondes "en l'air" puis descendez et restez là-dessus pour aujourd'hui. Caressez! Si vous avez été contraint de descendre ou que vous êtes tombé, revenez à l'essai précédent (là où le cheval ne bougeait pas encore) et reportez la tentative ultérieure au lendemain et ainsi de suite jusqu'à l'acceptation complète de la démarche. Si le cheval s'est montré particulièrement coopératif jusque là, n'en demandez pas plus et tentez la mise en selle complète le jours suivant en procédant de nouveau par palier et de la même façon (refaites ce que vous avez fait la veille, n'y allez pas directement). Une fois que vous êtes en selle (attention de ne pas touchez la croupe quand vous enjambez), restez quelques minutes sur le dos du cheval sans vous asseoir vraiment et en pesant légèrement sur les étriers puis faîtes le contraire (asseyez-vous complètement sans peser sur les étriers). Si le cheval garde son calme, mettez vous tranquillement au pas. Puis au trot (enlevé) les jours suivants et toujours en longe. Lorsque vous rencontrez une réticence de la part du cheval et à n'importe quel stade du débourrage, il est impératif de redescendre à l'étape inférieure afin de garantir un cheval sur et détendu. Alternez les récompenses (caresses, friandises, arrêt de la leçon lorsque vous avez obtenu ce que vous vouliez) avec la fermeté si nécessaire (traction sur la longe, utilisation modérée de la chambrière comme encadrement et voix ferme uniquement).

    Obtenir le pas et le trot : Au début, l'aide vous sera indispensable puisqu'il associera l'action de la chambrière avec votre jambe. C'est bien connu: Le cheval fuit votre jambe, c'est pour cette raison qu'il avance lorsqu'il sent votre jambe le chatouiller. Le mettre au pas n'est pas très difficile. Il vous suffira d'ajuster vos rênes (pas trop quand même), d'ouvrir vos doigts et de mettre vos jambes au contact. L'aide actionnera la chambrière dans le même temps. Vous pouvez aussi dire " au pas" ou "marcher" ou claquez votre langue. Lorsque le cheval a compris les aides de la propulsion au pas, vous augmenterez ces aides pour le trot. Pour arrêter votre cheval, vous devez fermer les doigts puis les ouvrir et ainsi de suite jusqu'à obtention de l'arrêt (ne tirer pas sur vos rênes!!!). Ne demandez pas une immobilité prolongée. Pour l'arrêt, vos jambes doivent rester passives et votre buste doit basculer vers l'arrière. Avec un jeune cheval, vous devez exagérer vos aides. N'oubliez pas de céder quand le cheval a cédé! Quand le cheval aura bien assimilé les aides propulsives, vous pourrez le monter sans longe mais je vous conseille de garder le caveçon et une petite longe dans une main afin de pouvoir intervenir si le cheval n'est pas aux ordres. Remplacez la chambrière par la badine en ayant pris soin de l'avoir désensibilisé de cet instrument auparavant. Idem pour les éperons si le cheval est froid à la jambe. N'hésitez pas à faire de grands cercles et des diagonales au pas et au trot. Multipliez les demandes pas/arrêt/pas/trot/pas/arrêt. Changez de main souvent. Faîtes des pauses en rendant les rênes mais gardez la longe du caveçon prête à intervenir. Avant d'envisager d'aller en extérieur, votre cheval doit répondre correctement aux aides.

    Obtenir le galop : A partir du trot, placez vos aides (jambe extérieure nettement en arrière de la sangle, poids vers l'extérieur). Profitez du passage d'un coin du manège pour demander le galop par déséquilibre au moment où l'aide au sol activera la chambrière. Ne demandez que quelques foulées. Si le cheval part sur le mauvais pied ou s'énerve, revenez au trot ou au pas puis redemandez un peu plus loin. Renouvelez autant de fois (toujours dans le calme) qu'il faut. Pour les autres séances, demandez le galop au même endroit que la fois précédente. Vous pourrez changer d'endroit quand le cheval sera capable de partir sur le bon pied calmement.

    A retenir : En aucun cas, il ne peut s'agir d'une course contre la montre. Vous devez vous montrer patient et garder votre sang froid en toutes circonstances. Ce que votre cheval aura appris et acquis dans le calme fera de lui un cheval équilibré qui associera travail avec plaisir. S'il panique et que vous restez calme, il aura toujours en mémoire que vous êtes là pour le rassurer. Il vous fera confiance. Le débourrage d'un cheval est une affaire de patience et de bon sens. Rechercher son bien-être moral pour obtenir son bien-être physique. Ayez toujours à l'esprit cette notion de confort et d'inconfort sur lesquels s'appuie votre cheval: S'il vous dérange, dérangez-le!




  3. Je connais beaucoup de personnes aveugles qui ont un chien pour les aider. Une vraie relation se crée entre le chien et le maître. Une relalation encore plus forte qu'avec un maître voyant bien entendu. Le maître doit avoir une confiance absolue en son compagnon et inverse, le chien remplace presque le sens que le maître a perdu.

    Bref, tous les deux, il créent un équilibre parfait. :)

  4. Source : Animal Services

    Les chiens sauveteurs


    Les chiens sauveteurs sont très importants dans notre société, indispensables durant la recherche de personnes disparues, comme en ce moment à Toulouse après l'explosion de l'usine chimique et comme ils ont été aussi à New York..
    Les Chiens sauveteurs peuvent être utilisés à tous moments de la journée, quelque soit le climat.
    Lors d'une catastrophe de la sorte, le chien arrive sur les lieux accompagné de son maître qui le guide à la recherche des victimes ensevelies sous les décombres. Le chien assure aussi la sécurité en dépistant les explosifs.
    Les chiens sauveteurs interviennent dans bien d'autres cas comme les sauvetages en mer, les avalanches, les guides d'aveugles, le dépistage de drogue...

    Les types de chiens:

    # Le terre neuve:: Le Terre-Neuve est "le chien de mer et de sauvetage". En 1919, une médaille d'or fut remise à l'un d'entre eux qui avait réussi à sauver vingt personnes de la noyade. Ce « Saint- bernard de l'eau », comme on l'appelle parfois, a vu ses actvités professionnelles décroître avec les progrès réalisés en rilatière de sauvetage, mais sa popularité va toujours croissant. On ne peut guère, en effet, trouver de compagnon plus séduisant, agréable et caressant.

    # Le Labrador: Le Labrador a toutes les qualités du chien d'eau et du retriever. Il est très intelligent, et comprend le moindre des gestes de son maître. Il est un excellent coéquipier pour les veneurs habitués à la chasse au marais. Ce chien robuste et plein de santé n'hésite jamais à s'élancer dans l'eau, même au besoin pour aider un pêcheur à tirer son filet.

    # Le Berger Allemand: A l'origine, chien de troupeau, en raison de son intelligence et de ses hautes qualités morales, il a été utilisé comme chien de guerre, de sauvetage, comme policier, comme guide d'aveugles. Mais le Berger Allemand est surtout incomparable comme chien de garde et de défense, spécialités dans lesquelles il met en évidence la qualité de ses réflexes et la fulgurance de ses attaques. Dans chaque situation, il fait preuve d'une grande volonté et de beaucoup d'enthousiasme.

    les écoles de maître chien:

    # L'Armée - Certificat technique "cynotechnie" et Brevet supérieur de technicien de l'armée de terre "cynotechnie":

    L'Armée de terre: 132ème groupement cynophile - Ferme de Piémont - 51601 SUIPPES Cedex - Tél: 03.26.70.01.76

    # Les centres de formations au brevets de maître - chien sauveteur aquatique:

    Centres Regionaux de la Fédération nationale:

    Alsace Lorraine: 27, rue de Gumbrechtshoffen 67100 OBERBRONN tél./fax 03.88.80.35.00
    Région Aquitaine: 280 Avenue de l'Aouadie 40600 BISCARROSSE tél. 05.58.78.07.33
    Provence - Alpes - Côte d'Azur Affaires Maritimes Capitainerie du Port 83150 BANDOL tél. 04.94.29.47.13

    Le metier:

    # Maître chien ou Agent cynophile: La formation au métier de Maître Chien est assurée par des professionels, afin de travailler sous différentes conditions et situations. Ainsi se forme une équipe d'opération, c'est à dire 1 maître chien + son chien. Il existe un chef d'opération qui donne les ordres à ces derniers..
    Le maître chien doit non seulement former une équipe avec son chien, mais aussi avoir de bonnes connaissances sur les méthodes de recherches, les procédures d'entrainements, la lecture de cartes, l'utilisation de boussoles, le maniement des moyens de communication modernes ainsi que savoir comment éxécuter des opérations de secours etc…

    # Le dressage:

    Il est essentiel , avant de commencer le dressage, que le chien sache obéir aux ordres de son maître, et avoir des notions de pistage et de rapport. La partie la plus importante du programme de dressage est celle où l'on apprend au chien à gratter à l'endroit précis où il a décelé une odeur.

    Dès les premiers jours de stage, le chien est mis en situation. Le moniteur enseveli son propre maître sous 1m de neige environ. Le maître doit inciter son chien à le retrouver. Ses opérations se répettent plusieurs fois dans des conditions d'enfouissement de plus en plus difficiles.

    Il est important de prendre son temps. Le chien doit d'abord planter son museau dans la neige pour localiser le foyer d'odeur, ensuite il doit aboyer et gratter le sol avec frénésie. Le maître encourrage son chien pendant ce temps. Afin que les sauveteurs débloquent la neige, le maître écarte son chien en le félicitant. Le chien profite des caresses pour se reposer. Puis le trou agrandi, le chien replonge pour indiquer la direction dans laquelle est ensevelie la personne.

    Il est très important de faire faire au chien un baptême de l'air en hélicoptère, afin de juger ses réactions.

  5. Citation :
    Et nous on a pas du tout imaginé une seconde que les bêtes aussi pouvaient être malades.


    Les animaux peuvent avoir tous les problèmes qu nous pouvons avoir. Il ont les même organes que nous. Les humains sont des animaux évolués, ne l'oublie pas.

    La pauvre elle a dû souffrir... Mais je suis sûr qu'elle est heureuse là où elle est, au paradis des chiens. ;)

    (ange)

  6. Source :

    Voici les records les plus insolites mais aussi les plus naturels de la part de nos rongeurs...



    Meilleur sens de l'orientation :

    Le Hamster sauvage.
    Ce rongeur aménage des sentiers rectilignes de 20 cm de largeur, dans lesquels il dévore toutes les plantes, et même leurs germes. Le hamster parcourt plusieurs fois par jour l'état de ces pistes et en cas de péril, devant une hermine ou un putois, il sait s'enfuir la nuit tout en s'orientant exactement !




    Lait le plus coûteux :

    Celui de la souris.
    Ce lait est en effet utilisé dans un but de recherche thérapeutique. Il est prélevé sur l'animal à l'aide d'une pipette. La traite d'une souris dure 30 minutes et elle livre 1/4 de centimères cube de lait ! Autrement dit, pour obtenir un litre de lait de souris, il faut recommencer 4000 fois cette opération ou l'accomplir une fois seulement sur 4000 souris ! Un litre de lait de souris revient à 100 000 Francs !



    L'assemblage le plus étrange :

    Le "roi des rats".
    Très curieux phénomène rarissime. Il s'agit d'un groupe de jeunes rats dont les queues sont nouées ensemble. Leurs queues ne se sont pas développées normalement, et se sont entrelacées étroitement. Dès les premières tentatives de dispersion de ces rongeurs, ces noeuds se reserrent encore plus fermement. Les animaux passeraient toute leur vie ensemble ! Le plus grand "roi des rats" connu se composait de 27 rats !



    Le plus prolifique :

    Le mulot.
    En une année il peut avoir 4 portées de 5 à 6 petits. Ceux-ci deviennent aptes à la reproduction au bout de quelques mois. Un seul couple de mulots pourrait donc, théoriquement, avoir des centaines de descendants au bout d'un an !



    La vie la plus courte :

    Le mulot.
    Son âge ne dépasse pas 10 mois, en moyenne...

    La gestation la plus courte

    Le hamster doré de Syrie.
    Seize jours après la fécondation il met bat 4 à 6 petits. Le hamster doré domestique provient d'un couple unique qui fut découvert dans des fouilles par un savant naturaliste Ahorni, en 1930 à Alep, avec ses 12 petits. Les descendants de cette famille furent envoyés en Angleterre en 1931, aux Etats-Unis en 1938, et de là en 1946, en Allemagne.



    Le plus grand au monde :

    Le capibara.
    Ce rongeur est également connu sous le nom de "cochon d'eau". Il vit en Guyane, au Brésil, au Paraguay et au Venezuela, sur les bords des forêts tropicales. Le capibara peut peser 50 kilos... Il mesure de 1 m à 1,30 m de long ! C'est un excellent nageur. Malheureusement les indigènes le chassent pour sa chair...



    Le seul qui vole :

    L'écureuil volant.
    Les plus petits de ces écureuils mesurent 10 cm de longeur. Ces animaux vivent dans les arbres. Il possèdent sur les côtés du corps une peau recouverte de poils permettent le vol plané. En cas de danger, ils peuvent sauter à 50 mètres de l'arbre, et leur "patagium" se déploie sur-le-champ. L'écureuil peut ainsi effectuer un "vol" sur une distance de 150 mètres ! Au cours de ce vol, il peut faire varier sa direction jusqu'à 180° en modifiant la tension de sa surface alaire et en faisant usage de sa queue comme gouvernail !





    Le plus nuisible :

    Le campagnol terreste.
    La taille peut atteindre 25 cm, queue comprise. C'est le plus grand campagnol de l'Ancien Monde vivant en Europe et dans de vastes parties de l'Asie. Le campagnol terrestre est un grand mangeur de plantes, avec une préférence marquée pour les racines des plantes sauvages et cultivées, les bulbes, les pommes de terre et les écorces. Certaines années il devient très abondant...



    Le mieux adapté à la forte chaleur :

    La gerboise.
    Ce rongeur vit dans les régions désertiques de l'Afrique du Nord et du Proche-Orient. Longueur du corps 12 cm, à laquelle il faut ajouter celle de la queue, 17 à 23 cm. La longueur de ses pattes postérieures atteint 8 cm. Cette constitution permet à l'animal d'avancer par sauts. Pour se protéger contre les rigueurs du froid nocturne et de la chaleur diurne, la gerboise creuse le sol de profonds terriers en forme de chaudron; elle échappe à la grande chaleur diurne (la température peut s'élever, à midi, jusqu'à 50° !) en restant dans son terrier dont elle ferme l'entrée avec du sable. La gerboise ne fait rien aux heures chaudes de la journées. Elles vivent dans les mêmes régions que les gangas (oiseaux).



    Le plus petit en Europe :

    Le rat des moissons.
    Il mesure 6 cm et pèse 5 à 10 grammes...



    Celui qui doit manger le plus fréquemment :

    Le rat des moissons.
    Il ne peut rester que 3h00 sans manger, sinon, il meurt de faim... C'est ainsi qu'il consacre 22h00 par jour à se nourrir.

    Celui qui vit le plus haut :

    Le campagnol des neiges.
    Cet animal dont la longueur dépasse à peine 13 cm vit dans les Alpes jusqu'à l'altitude de 4 700 mètres. Il vit dans les pyrénées, et le massif central.

    Le plus grand rat :

    Le rat-bandicoot.
    Il vit dans le Sud-Est asiatique et inde . Longueur du corps 40 cm, avec une queue de même dimension. Adultes ils pèsent 2 kilos !

    Rapport le plus élevé poids total des petits / mère :

    Le mulot.
    La femelle met bas 6 à 8 petits qui pèsent 50.50 % de son poids. Un mulot pèse 20 à 32 grammes et les petits réunis plus de 16 grammes.

    Meilleures nourrices au monde :

    Les furets dressés pour la chasse.
    Les furets sont introduits dans les terriers des lapins dont l'issue est ensuite close. Ils les pourchassent ou s'attachent à eux en les suçant. Lorsqu'un furet entre dans un terrier où se trouve de jeunes animaux, on dit qu'il les traite avec un soin maternel !



    Le plus étrange :

    Le pacarna.
    L'origine de son nom latin remonte à celui du comte polonais Branicki qui en 1873 fit une exploration en Amérique du Sud pour le comte du Museum des Sciences Naturelles de Varsovie. Branicki vécut un certain temps dans l'hacienda Amablo Maria à proximité de la ville péruvienne de Vitoc. Il fit un jour face à un animal étrange, peu sauvage, qu'il emmena à Varsovie. On reconnut qu'il s'agissait d'une espèce encore inconnue. Trente ans plus tard, on établit qu'il s'agissait du pacarna, le troisième de la classe des rongeurs par ses dimensions ( 85 cm de longueur, poids 15 kg ). Cette espèce était considérée comme disparue en l'année 1946. Mais par la suite, on trouva quelques sujets en Amazonie. L'effectif actuel des pacarnas est estimé à moins de 1000 têtes...

    Le plus résistant aux plantes vénéneuses :

    Le lapin de garenne.
    Il peut manger sans inconvénient l'amanite phalloïde (champignon) qui est mortel pour l'homme et d'autre mammifères...





    Sources des photos :

    www.corbis.com
    www.aufuret.ch
    http://www.montoutou.com/Campagnol.html
    http://www.fedechasseurslandes.com/Faune/garenne.html
    http://www.fr.ch/mhn/expositions/rat_des_moissons.htm
    http://www.museum.nantes.fr/pages/03-apercu/apercuroiderat.htm

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    Edit : il y avait des problèmes au niveau des balises bbcode, mais maintenant c'est bon. (jap)

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    Ce que je trouve le plus bizarre (ben en même temps c'est normal, c'est le record de la bizarrerie (fou) ) : c'est le "roi des rats"...

  7. Relevé sur : http://www.animauxexotiques.com/

    La contention de base

    Le terme contention signifie « tenir un animal pour qu'il ne puisse bouger lors d'une intervention ». Il est très important de bien contentionner un oiseau lorsqu'on veut lui faire des traitements. La contention varie selon la grosseur de l'oiseau. Il faut toujours faire très attention au bec, qui est le premier pouvant nous blesser. L'oiseau n'apprécie pas le fait de se faire tenir et peut mordre, même son maître. Donc, allez-y avec prudence. Les griffes sont aussi à surveiller de très près. L'important dans la contention, c'est de tenir l'oiseau de façon sécuritaire pour nous, mais aussi pour lui. Il ne doit pas pouvoir se blesser, on ne doit pas serrer trop fort pour la raison qu'on connaît et en tout temps le sternum doit être libre de mouvements pour permettre à l'oiseau de respirer aisément.

    Pour les petits oiseaux, comme les perruches et cockatiels, on peut les coucher sur le dos dans le creux de notre main en tenant la tête comme il se doit. On peut également les enrouler dans une serviette afin de mieux contrôler leurs mouvements. Pour les cockatiels, il est préférable de se faire aider par une autre personne, à moins d'être à l'aise pour bien le tenir et intervenir en même temps. Ne manipulez pas les oiseaux des espèces encore plus petites, ils sont fragiles et peuvent mourir facilement à la suite d'un stress. Si ses griffes sont rendues trop longues et que vous devez les couper, demandez à une personne expérimentée de venir le faire chez vous, elle saura vérifier les réactions de l'oiseau et travailler vite et bien afin d'éviter le plus de stress possible à l'oiseau.

    Pour les plus grosses espèces, comme les perroquets, il faut absolument intervenir à deux. Une personne tient l'oiseau et l'autre exécute les manœuvres. Pour contentionner un perroquet comme il se doit, il nous faut 2 choses: un élément de surprise et une bonne couverture. Fermer les lumières est souvent un élément de surprise suffisant pour pouvoir saisir rapidement l'animal sans qu'il ne vous voit venir. On prend soin de bien tenir la tête. On enroule ensuite le reste du perroquet dans une serviette. Pour toutes ces techniques de contention, je vous conseille 100 fois de vous les faire expliquer et démontrer comme il faut avant de les pratiquer vous-même pour ne pas blesser votre oiseau ou pour ne pas vous faire blesser accidentellement. Donc, encore une fois, usez de prudence!

    La coupe des ailes

    Pour bien couper une aile, il faut avoir premièrement un bon contentionneur. On doit toujours couper les plumes en regardant la face dorsale de l'aile en couchant l'oiseau sur le ventre. Attention cependant de ne pas nuire à la respiration. Il est souvent beaucoup plus facile de couper les plumes en regardant la face ventrale, mais ce n'est pas conseillé, le résultat est beaucoup moins beau. Si votre oiseau est dans une couverture, il s'agit tout simplement de retirer une à la fois les ailes de la couverture. Secondement, il faut de bons outils, c'est-à-dire un bon ciseau qui coupe très bien et non pas un vieux ciseau usé qui écrase plutôt que couper.

    Pour les espèces petites (inséparables, perruches, cockatiels etc.) il suffit de couper les 10 rémiges primaires en regardant la face dorsale de l'aile. Vous coupez là ou les tectrices arrêtent (les petites plumes en haut des rémiges primaires). Pour les espèces encore plus petites, tels les pinsons et serins, on ne pratique pas la coupe des ailes, puisque se ne sont pas des oiseaux sociables et que le stress de la coupe peut être suffisant pour les tuer. On peut laisser intact les 2 premières plumes au bord pour l'esthétisme, mais cela n'est pas nécessaire pour les petits oiseaux, leur look n'en écope pas trop. Le problème dans le fait de laisser les 2 première plumes là est que l'oiseau a plus de risque de se les casser, et ce, surtout en en période de mue.

    Pour les grandes espèces tels les perroquets, on procède comme pour les petites espèces, sauf qu'on leur laisse toujours les 2 premières plumes du bord pour l'esthétisme. Donc, lorsqu'il aura les ailes fermés, on ne verra même pas qu'elles sont taillées. Les Amazones ont les bouts des plumes bleus, on peut tailler seulement les bouts bleus et souvent ce sera assez pour l'empêcher de voler. Mais puisque cette technique ne s'applique qu'à quelques sortes de perroquets, elle n'est pas bien bien pratique.

    Pour vous assurer que votre oiseau a les ailes correctement taillées, essayez de le faire voler en le laissant tomber de pas très haut. S'il tombe comme une roche, vous en avez trop coupé. L'idéal est que l'oiseau puisse voler, pour atterrir. S'il est encore capable de monter dans les airs après avoir coupé les 10 rémiges primaires (ce qui est fort improbable) vous pouvez couper quelques rémiges secondaires.

    Quel est le risque de couper une plume trop courte? Elle saignera, puisque vous avez coupé dans la portion encore en vie de la plume, la portion non inerte. À ce moment là vous devrez arracher la plume en cause pour en arrêter le sang, car un oiseau ne peut pas se permettre de perdre beaucoup de sang. Si le saignement continue, exercez une pression au point de saignement. Règle général si vous coupez juste en dessous des tectrices, il ne devrait pas y avoir de problème.
    (Haut de la page)

    La coupe des griffes

    La coupe des griffes est nécessaire pour les oiseaux, puisque dans la majorité des cas, ils ne les usent pas assez d'eux-mêmes. Ne mettez surtout pas de papier sablé sur les barreaux, il n'usent que très peu les griffes et causent d'horribles douleurs aux pattes. Donc, pour couper les griffes, on a besoin d'un bon contentionneur et de quelqu'un qui est habitué de couper les griffes, car dans la griffe, il y a une veine qui peut saigner si on la coupe. Je vous conseille de vous armer de nitrate d'argent ou d'un bon Quik clot qui saura arrêter le sang si jamais vous coupez la veine, car les oiseaux ont très peu de plaquettes et ça peut saigner très longtemps avant de coaguler. Ces produits se vendent dans les boutiques d'animaux.

    Pour tailler les griffes, vous pouvez y aller par petites tranches, mais c'est long et traumatisant pour l'oiseau. Si votre volatile a les griffes blanches, c'est très simple: arrêtez de couper avant le rouge (c'est la veine). Si votre volatile a les griffes noires, c'est plus complexe. Demandez à quelqu'un d'expérimenté de la faire pour les premières fois, ainsi vous éviterez une perte de sang considérable. Souvenez-vous que l'oiseau n'a pas beaucoup de plaquettes et qu'une pression constante n'est pas suffisante pour arrêter le sang, prévenez le coup avec du nitrate ou du Quik stop. Si vous croyez que votre oiseau a perdu beaucoup de sang, consultez vite un vétérinaire.

    Les bains et douches

    Le bain ou la douche est essentielle à l'oiseau. Il devrait pouvoir se mouiller une fois par jour idéalement. On peut placer un petit bain dans la cage des plus petites espèces, tandis que les plus grosses (perroquet, grande perruche) peuvent être aspergées par un vaporisateur à l'extérieur de sa cage, car on pourrait mouiller les grains qui ensuite moisissent. Les oiseaux adorent généralement cela.
    La coupe ou le limage du bec

    Le bec, comme les griffes, possède une veine en plein milieu et, si on la coupe, ça peut saigner abondamment. Donc, il va de soi qu'il est préférable que l'oiseau use son bec lui-même. Les os de seiche usent le bec et fournissent un apport en calcium. Ensuite, l'oiseau peut se limer le bec sur ses perchoirs ou autres objets durs. Un oiseau actif se limera habituellement le bec seul. Si jamais vous trouvez que votre oiseau a le bec trop long, c'est peut-être car il ne fait pas assez d'exercice, qu'il na pas d'os ou de bons barreaux pour le faire, ou tout simplement parce qu'il est malade. Donc, surveillez cela de près. Un oiseau avec le bec trop long ne sera plus capable de manger et dans le cas des perroquets et perruches, le bec peut même transpercer le cou. Le bec pousse tout au long de la vie de l'oiseau. Sa croissance est d'environ 3 cm par an, dépendant de l'espèce. L'idéal est de le limer avec un instrument fait pour ça. En général, vous devriez faire appel à un vétérinaire pour cela, car le sang qui jaillit du bec est assez abondant.

    La pose de bague (baguage)

    La pose de bague est obligatoire pour tout éleveur désirant faire de la compétition avec ses oiseaux. La bague fermée prouve en effet que l'oiseau est né en captivité chez l'éleveur. Il y a deux types de bagues : les fermées et les ouvertes. Dans les 2 cas, elles doivent contenir les informations suivantes : le numéro d'identification de l'éleveur, l'année de la bague, le numéro d'identification de l'oiseau, le nom du club qui vous a remit les bagues et parfois le diamètre de la bague (en mm). La bague fermée prouve vraiment que l'oiseau est né en captivité, car on lui passe lorsqu'il est bébé et comme elle est fermée, il n'y a aucun autre moyen de la poser que lorsque l'animal est tout petit. Les coûts sont les mêmes que pour une bague ouverte.

    Dans le cas d'une bague ouverte, elle ne prouve pas que l'oiseau est né en captivité puisqu'on peut la poser sur un oiseau adulte. Bine entendu, elle est très pratique si on désire identifier notre nouvel oiseau qui ne serait pas bagué. Une autre méthode d'identification existe, comme pour les chiens et les chats, il s'agit de la pose d'une micro-puce. Elle coûte beaucoup plus cher que les bagues, mais elle ne peut être enlevée de l'oiseau, ce qui constitue un gros avantage en cas de vol. Le seul inconvénient est que pour lire cette micro-puce, ça prend un lecteur spécial que seuls les vétérinaires possèdent. Voici une petite liste (bien générale) de grandeur de bague pour certaines espèces d'oiseaux (pour plus de détails, consultez un éleveur).

  8. Ceci est la description de l'hydrocéphalie chez l'enfant, mais chez le chat elle se déroule exactement de la même façon.

    Relevé sur : http://www.doctissimo.fr/

    Définition

    C'est l'augmentation de la quantité de liquide céphalorachidien, provoquant la dilatation des cavités de l'encéphale (ventricules, etc.).

    Mécanismes

    Le cerveau et la moelle épinière sont enveloppés dans une membrane à 3 feuillets : les méninges. La pie-mère est le feuillet qui adhère intimement à la substance nerveuse. L'arachnoïde est le feuillet du milieu et la dure-mère est le feuillet le plus superficiel.

    Ces feuillets délimitent une cavité virtuelle, stérile, dans laquelle circule le liquide céphalo-rachidien ou L.C.R.

    Le L.C.R. est sécrété au niveau des plexus choroïdes dans les ventricules cérébraux latéraux, cavités creusées dans le parenchyme cérébral. Le liquide transite dans le 3° ventricule, traverse le canal de Sylvius pour se trouver dans le 4° ventricule. De là, deux voies s'ouvrent à lui. Il peut descendre dans le canal de l'épendyme au centre de la moelle épinière ou bien sortir par les trous de Magendie et de Luschka dans l'espace sous arachnoïdien formant à ce niveau les "citernes de la base".

    Au niveau de la concavité de la boîte crânienne, le L.C.R. est résorbé par les granulations de Pacchioni .

    Causes

    L'hydrocéphalie résulte d'une hyperpression dans le circuit du L.C.R. provoquée par un obstacle sur son trajet.

    Il peut s'agir de malformations secondaires à une maladie foetale (toxoplasmose, rubéole, maladie des inclusions cytomégaliques etc...) une sténose de l'aqueduc de Sylvius, une imperforation des trous de Luschka ou de Magendie. Ces obstacles vont empêcher la libre circulation du L.C.R.. La gêne au passage entraîne une hyperpression en amont et une hydrocéphalie.

    Les hémorragies méningées (traumatisme obstétrical etc...), les méningites peuvent laisser comme séquelle une sorte de "feutrage" des citernes de la base ou de la convexité qui constitue un obstacle à la résorption du L.C.R. entraînant par conséquent une hyperpression en amont et une hydrocéphalie.

    D'autres causes sont parfois retrouvées : hydrocéphalie liée au chromosome X (syndrome de Bickers et Adams) avec malposition des pouces, porencéphalie (anoxie néonatale), tumeur intracrânienne. Parfois, aucune cause n'est retrouvée et on parle d'hydrocéphalie idiopathique.

    Symptômes

    Le signe principal est l'augmentation de volume de la tête.

    Le diagnostic peut être porté à la naissance où la dimension de la tête a pu représenter une complication obstétricale. Parfois, l'échographie in-utéro avait permis à l'obstétricien de faire le diagnostic anténatal. Une dilatation des ventricules à deux examens successifs doit faire poursuivre les investigations à la recherche d'une malformation. Le caryotype foetal et l'imagerie par résonance magnétique foetale sont les examens les plus utiles pour dépister un spina bifida de petite taille, une agénésie du corps calleux ou une anomalie du cervelet.

    Le diagnostic peut être porté au cours du premier mois de vie devant l'augmentation rapide du périmètre crânien.

    Le front est bombant, la fontanelle est largement ouverte et tendue. Les sutures sont disjointes. Les yeux en "coucher de soleil" ( rétraction des paupières supérieures vers le haut et abaissement des globes oculaires découvrant un croissant de sclérotique blanche au dessus des iris) sont un signe classique de grande valeur. Les veines épicrâniennes sont dilatées, très visibles. Des troubles neurologiques sont souvent associés.

    La transillumination du crâne ne montre pas de diffusion du halo lumineux contrairement à l'hématome sous-dural ; cet examen est rarement pratiqué. L'échographie trans-fontanellaire (ETF) est un examen moderne de grand intérêt. C'est néanmoins le scanner cérébral (tomodensitométrie) et surtout l'imagerie par résonance magnétique qui confirment l'hydrocéphalie et précisent son type.

    Le risque majeur est l'atrophie corticale après compression prolongée du parenchyme cérébral.

    L'évolution est imprévisible. Parfois l'hydrocéphalie se stabilise spontanément en laissant néanmoins des séquelles neuro-psychiques.

    Certaines malformations sont fréquemment associées : spina bifida, méningocoele occipital, anomalie de la charnière cervico-occipitale etc...

    Diagnostic différentiel

    Il faut différencier l'hydrocéphalie

    * de la macrocéphalie du prématuré (croissance de rattrapage);
    * de la macrocéphalie familiale (tout le monde dans la famille a une grosse tête...!);
    * des hématomes sous-duraux ;
    * de la macrocéphalie des maladies de surcharge (Tay-sachs etc...);
    * de la craniosténose sagittale.

    Traitement

    Le traitement des hydrocéphalies évolutives consiste en une dérivation du L.C.R. dans une cavité naturelle où il peut se résorber : oreillette droite par l'intermédiaire d'une valve ventriculo-atriale ou plus souvent cavité péritonéale grâce à une valve ventriculo-péritonéale.

    Ce traitement chez le chat, ou tout autre animal, est impossible à pratiquer aujourd'hui, En raison de la trop grande précision que cet acte chirurgical demande.

    Des complications mécaniques (blocage de la valve) et surtout infectieuses (septicémie, péritonite) sont possibles et des réinterventions sont nécessaires car le matériel devient inadapté avec la croissance de l'enfant.

    Le pronostic est fonction de la cause, de l'âge, de la précocité et de la qualité du traitement neurochirurgical ainsi que des malformations associées.

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    C'est de cette terrible maladie qu'a été victime Dormeur, mon chaton. Il est parti pour un monde meilleur un mois après sa naissance, le 25 Juin 2004.

    Paix à son âme.





    :snif:

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