-
Compteur de contenus
1 516 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Muriel14
-
-
-
Ben, je l'utilise aussi, mais chez mes chevaux, ça rend les crins hyper poisseux dégueulasses. J'en ai plein les rênes, ça glisse et en plus, c'est c'est moche, ça fais cheveux gras. Alors pour limiter l'usage de démêlant, j'emploie une super brosse à crin (toute ronde avec des gros picots) qui démêle super bien sans produit et même lorsque Tyson revient de prairie avec sa belle queue qui fait une jolie traîne dans la boue !)
-
-
-
Les miens aussi raffolent de l'aubépine. Chez nous, il y a une longue haie mixte mais l'aubépine fait triste mine, toute rongée qu'elle est par le troupeau. Ah je croyais me souvenir que chez toi, c'était des fils électriques... ils mangent l'aubépine malgré la cloture? Ben, il y a un côté, sur le pourtour extérieur où il y a fils électriques et une haie (enfin, quand je dis une haie, c'est plutôt une rangée d'arbres, arbustes et buissons) et nos giraffes n'ont aucun problème pour aller grignoter l'aubépine. Les chevaux (et même les poneys) sont passés maîtres dans l'art de flirter avec les clôtures au mm près !
-
-
Observe-le encore pendant quelques temps, mais à mon avis, la transition pré/boxe est un peu difficile pour lui. Ca devrait rentrer dans l'ordre d'ici quelques temps et avec un travail un peu plus soutenu (du moins si le boulet n'est pas lésé). Il peut aussi très bien s'être fait un peu mal en gigotant comme tu le décris.
-
Le piétinement ou tournicotage à outrance au boxe est souvent source d'ennuis au niveau des membres (surtout, je crois, dans le cas de ton alezan qui n'est pas du genre placide !) les gonflements dont tu parles, ont-ils diminué avec le travail ou les sorties ? La transition boxe/pré est difficile pour certains chevaux tant au niveau locomoteur que métabolique (ce qui peut influencer la locomotion).
-
-
Les deux disciplines sont non seulement compatibles, mais elles sont en plus complémentaires dans le cadre de la formation et de la construction musculaire du cheval. Le dressage apporte précision, équilibre, maîtrise des allures, entre autres. Et l'obstacle permet (encore mieux que le dressage) le dévelopement des abdos, l'étirement de tout le rachis, la franchise et tant d'autres choses.
-
L'as-tu déjà laissé suffisamment déferré (genre un an ou deux complets) pour voir si sa corne s'adaptait à ce mode de vie ? Un an, c'est le minimum pour qu'un cheval ferré réapprenne à vivre pieds nus sans être gênés sur les cailloux. L'avantage du pied nu en balade c'est que le cheval ne glisse plus sur le macadam (par contre, il glisse bcp plus dans la boue car n'a plus l'accroche des fers). Dans le cas du défaut d'aplomb que tu décris, je crois que ferrer ou ne pas ferrer ne va pas y changer grand chose (sauf si tu rajoutes les mordax, qui là vont vraiment bloquer l'articulation). En tout cas, j'ai été surprise d'apprendre que mon véto (spécialisé en aplombs et boiteries) n'était pas du tout alarmiste par rapport à un cheval présentant ce défaut. De plus, le tiens a 15 ans et n'est pas boiteux, donc pas de quoi trop s'inquiéter. Quant à l'arthrose, étant donné qu'aucun cheval (ou humain) n'a un squelette parfait, beaucoup d'entre eux (et nous) seront victimes d'arthrose tôt ou tard. Mieux vaut tard que tôt, c'est sûr. Mais si ton cheval a déjà parcouru 15 ans de sa vie sans développer d'arthrose due à ce défaut, c'est que ça ne représente pas pour lui une grande faiblesse, sinon, il en aurait déjà.
-
Tout à fait : du son, des graines de lins et de la moutarde. On en fait une bouillie, le tout dans un sac plastic et on scotche le tout au pied du cheval. Ca fait mûrir l'abcès et suçe le contenu l'extérieur. Ca permet de bien vider l'abcès au moment où il perce. A faire tant que l'abcès n'a pas percé.
-
J'ai monté pendant longtemps la jument emphysémateuse d'une amie. Elle lui faisait des cures de Mucolyt régulièrement, mouillait le foin et la jument vit au grand air. Mais ce que le véto avait conseillé avant tout, c'est un travail régulier nécessaire pour maintenir la capacité respiratoire de la jument (c'est d'ailleurs pour cela que l'amie en question m'avait demandé de monter sa jument lorsqu'elle n'en avait pas le temps). Evidemment, le travail est à adapter en fonction de l'état actuel du cheval !
-
-
Vu sa maladie, dont on a déjà parlé dans un autre poste, il me semble normal qu'il ait des difficultés à se remettre au travail. En s'y prenant progressivement comme tu le fais, ça devrait aller. Seule la patience pourra t'aider à mon avis. Bien sûr, si tu en avais la possibilité, rien de tel que des balades au pas pour se remettre en route. Dans son cas, plus encore que pour d'autres, les efforts longs et lents sont à conseiller. Pour le galop, j'attendrais un peu. Si ça n'évolue pas, il faudra peut-être envisager de refaire un bilan de santé (dont bilan sanguin) pour, peut-être adapter une médication propre à son cas.
-
Effectivement, il ne faut surtout pas graisser un pied un pied pour l'hydrater. L'eau suffit amplement. Et si on veut vraiment mettre qqch de la crème de trayon (hydratante et désinfectante) est tout à fait bien. Pour Valabi : des petites seimes chez les pieds nus sont tout à fait acceptables. Tyson, qui vit pieds nus, en a souvent. Elles se situent la plupart du temps sur les côtés du pieds et apparaissent lorsque la corne a trop poussé et que je n'ai pas promener suffisamment sur du dur pour le parer naturellement. La seule manière de les éviter est de parer le pied en faisant des petits ponts sur les côtés (c'est ce que fait mon maréchal). Ce genre de "petits ponts" rappelle d'ailleurs le parage naturel des mustangs sauvages. Mais dans ce cas, il s'agit toujours de seimes superficielles. Rien avoir avec celle que l'on voit sur la photo et qui va être difficile et longue à soigner.
-
L'Aloé Véra est un produit d'excellence universelle qui a fait ses preuves dans des domaines très divers de santé vétérinaire tout comme en médecine humaine. Dès lors, je ne vois pas l'intérêt de faire tant de mystère à propos des produits que vous vendez et je ne comprends pas non plus le ton agressif qui émanent de vos messages. Cela ne va pas aider à la vente à mon avis.
-
C'est donc plus un problème de comportement et d'éducation que d'équitation elle-même. Le cheval à l'instinct grégaire et bon nombres de nos activités avec nos chevaux vont à l'encontre de cet instinct. A tort ou à raison, j'ai souvent tendance à avoir de l'indulgence pour ce genre de comportement chez le jeune cheval. Ce que j'essaie alors de faire, c'est de m'arranger pour que les autres chevaux qui sont présents au moment de la séance de travail adoptent d'abord une attitude de travail concentrée. Le jeune cheval a alors plus de chance de se concentrer lui aussi sur le travail. Une fois qu'il a l'habitude de travailler en compagnie d'autres chevaux qui travaillent également, on peut commencer à le désolidariser tout doucement de ses congénères en demandant des petits exercices individuels, mais uniquement, si le mouvement en avant avec d'autres est bien acquis.
-
-
La copro donnera sûrement des infos complémentaires. Attention, pour que les analyses copro soient réussies, il faut du crottin hyper frais et, si possible, qui n'a pas touché le sol et qui n'a pas été longtemps en contact avec l'oxygène. Perso, j'ai déjà attendu longtemps avec un sac plastic à proximité d'un cheval dont on attendait la production d'un échantillon afin de l'attrapper au vol ! (et c'est pas une blague).
-
Avec un jeune cheval j'évite de donner des jambes avec la bas de la jambe. Je l'incite au mouvement grâce aux hanches et aux hauts des cuisses, allant parfois jusqu'aux mollet mais pas plus bas. Le désir de se porter en avant doit d'abord émaner d'une communication de l'assiette assistée si nécessaire par une petite touche de badine indicative et non corrective. Mais, le plus important est de garder ses mains les plus discrètes possible pour ne pas que le jeune cheval soit confus entre la demande d'avancer et celle de freiner. Au tout début d'ailleurs, il ne faut pas hésiter à ne pas avoir de contact en main afin de laisser jaillir le mouvement en avant. Même si celui-ci est un peu brusque au début, il finira par se stabiliser à mesure que le jeune cheval trouvera son équilibre avec le cavalier sur son dos.
-
-
-