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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. La chasse à l'orignal au Nouveau-Brunswick durera encore cinq jours cette année, mais elle pourrait à nouveau diminuer à trois jours l'année prochaine, indique le ministre des Ressources naturelles, Denis Landry. La décision de permettre à nouveau la chasse durant cinq jours est basée sur des données scientifiques recueillies par des biologistes, précise le ministre Landry. « Toutefois, au cours des prochains mois, notre gouvernement consultera les intervenants afin de connaître leurs idées et leurs opinions en ce qui concerne la gestion de la saison de chasse à l'orignal de 2016, avec le but d'honorer notre engagement de revenir à une saison de trois jours », affirme Denis Landry, par voie de communiqué. La prolongation de la chasse à cinq jours, l'an dernier, avait soulevé les critiques du chef du Parti vert, David Coon. Il avait déclaré qu'il s'agissait d'une décision politique afin d'échanger des orignaux contre des votes. Les chasseurs peuvent s'inscrire dès maintenant pour le tirage au sort des permis. Le ministère des Ressources naturelles précise que 4612 permis seront offerts. Chaque année, environ 60 000 personnes participent au tirage. La chasse aura lieu du 22 au 26 septembre.
  2. L'organisation PSA avait dénoncé les conditions de détention de ces chiens et porté plainte. En mettant fin à l'utilisation de ces chiens pour poser avec des touristes, Zermatt montre «qu'elle aime les animaux», a souligné PSA jeudi dans une prise de position. L'organisation rappelle qu'elle a critiqué les conditions de détention de ces chiens «depuis des années». La PSA se dite prête à reprendre les animaux. Elle offre son aide aux détenteurs qui le souhaitent pour placer leurs chiens «dans de meilleurs foyers». Plainte pénale En mars dernier, la PSA avait déposé une plainte pénale contre les propriétaires des Saint-Bernard. Selon elle, les conditions de détention et de travail portaient atteinte à la dignité des animaux. Elle dénonçait un espace de détention insuffisant, l'absence de chauffage et de mauvaises conditions d'hygiène. Pour les pauses photos, les chiens devaient notamment demeurer plusieurs heures sans bouger et supporter parfois des enfants sur leur dos, avec le danger que cela pouvait comporter.
  3. Le lion d'un cirque s'en est pris à une fillette de 9 ans qui marchait dans la rue. Elle est à l'hôpital. Une fillette de 9 ans a été attaquée par un lion alors qu'elle marchait avec sa mère dans son village de Sibérie. Elle se trouve désormais à l'hôpital, relate le Siberian Times. «J'étais parti pêcher et quand je suis rentré le soir, j'ai vu ma fille très mal en point. Elle tremble encore», a raconté son père. L'animal faisait partie d'un cirque itinérant. Plusieurs photos circulent sur Twitter montrant le lion promené au bout d'une laisse, comme un chien, par un employé. Le cirque a quitté les lieux peu après l'accident.
  4. La cantine pour tous, en respectant les différences de chacun ! Victoire, suite à une pétition de 490 signatures, pour une cantine pour tous par le Collectif des parents du Kremlin Bicêtre Notre Maire a été attentif à notre demande, et dès le retour des vacances d'avril les parents peuvent demander à ce que l'on ne dépose pas de la viande dans les assiettes de nos petits qui n'en mangent pas. Un grand merci surtout à la maire adjointe à l'éducation, Mme Sougmi, qui a compris notre demande et à dû nous écouter. Un grand merci à tous les signataires qui ont permis de faire que cette demande soit entendue. Cependant nous espérons que la mairie puisse permettre à ces enfants d'avoir un repas alternatif tel qu'un repas "végétarien" qui serait équilibré et respecterait le choix de chacun.
  5. Une vétérinaire du Texas qui s'est vantée sur Facebook d'avoir tué un chat avec un arc à flèches ne peut être arrêtée et accusée avant qu'une enquête ne confirme l'authenticité de la photo du chat mort, a indiqué samedi le shérif du comté d'Austin. Jack Brandes s'est dit perturbé par l'image montrant Kristen Lindsey tenant ce qu'elle décrit comme un chat sauvage mort. Il a remis le dossier à deux shérifs adjoints et un enquêteur. Selon le shérif Brandes, des gens de partout aux États-Unis l'ont appelé pour dénoncer la publication. Il précise toutefois qu'il ne peut arrêter et accuser quelqu'un sur la base d'une photo sur Internet, car tout le monde peut modifier des images numériques. Les responsables de la clinique où Mme Lindsey travaillait l'ont congédiée après avoir pris connaissance, plus tôt cette semaine, de cette publication qu'elle a supprimée depuis, ainsi que son compte. Des centaines d'appels ont également été logés à cette clinique. Sur son site Web, la clinique vétérinaire Washington située à Brenham, à environ 160 kilomètres au nord-ouest de Houston, se dit «absolument consternée, choquée, déçue et dégoûtée» de la conduite de la femme. À l'extérieur de la clinique, sur une affiche qui énumère les noms de tous les vétérinaires qui y travaillent, le nom de Mme Lindsey a été couvert avec du ruban. Il n'a pas été possible de joindre la principale intéressée, mais le shérif a indiqué avoir été en contact avec elle. «Elle ne voulait pas nous parler à ce moment-là. Elle a dit qu'elle viendrait nous voir avec son avocat. Espérons qu'en début de semaine prochaine, elle viendra.» L'incident aurait eu lieu dans le comté d'Austin, adjacent à celui de Washington, où Mme Lindsey travaillait. Bien qu'elle ait décrit l'animal comme un chat sauvage, des gens auraient indiqué au shérif Brandes qu'il s'agissait d'un chat domestique perdu.
  6. L'ex-Beatle a encore une fois plaidé mardi pour la fin de la chasse commerciale du phoque dans l'est du Canada. Dans une déclaration relayée par l'organisation Humane Society International, McCartney demande que cesse ce qu'il appelle « cet abattage insensé ». Par le passé, les campagnes dénonçant cette chasse ont se sont avérées fort efficaces, les États-Unis, le Mexique ainsi que l'Union européenne bannissant tour à tour l'importation de plusieurs produits provenant de la chasse commerciale du phoque. La chasse aux phoques s'est mis en branle dimanche à Terre-Neuve-et-Labrador et dans le golfe du Saint-Laurent. L'industrie traverse présentement une période trouble, avec 55 000 phoques chassés l'an dernier sur un quota d'environ 400 000. En 2006, la présence de McCartney sur la banquise avait fait le tour du monde. La star avait posé pour les photographes sur les glaces du golfe du Saint-Laurent, demandant la fin de la chasse aux phoques. Plusieurs vedettes internationales de la musique et du cinéma, dont l'actrice Pamela Anderson et le chanteur Morissey, ont lancé depuis quelques années le même appel. ___Plein de commentaires négatifs de la part des internautes : http://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/paul-mccartney-demande-la-fin-de-la-chasse-aux-phoques/ar-AAb0nsn
  7. A cette adresse : http://www.reporterre.net/Paul-Watson-C-est-la-nature-qui Paul Watson : « C’est la nature qui réglera le problème »
  8. Une vache a accouché de triplés, deux femelles et un mâle, dans une ferme laitière de Sainte-Geneviève-de-Batiscan. Selon un expert en médecine vétérinaire de l'Université de la Saskatchewan, ce genre de situation a une chance sur 105 000 de se produire. Les propriétaires de la ferme Claude J. Massicotte et fils se doutaient bien que leur vache accoucherait de jumeaux puisqu'elle avait pris près de 200 kilos durant sa gestation. Mais des triplés, c'était toute une surprise. « C'était pratiquement une vague. Y avait énormément de liquide amniotique. » La vache a mis bas quatre semaines à l'avance, dimanche. L'accouchement a duré 30 minutes. La mère et les petits sont en bonne santé. Reste à voir s'ils sont fertiles. « Malheureusement, quand il y a naissances multiples et quand il y a des femelles et des mâles dans la même grossesse, ça se peut que les femelles soient non fertiles », dit Marie-Hélène Bégin, copropriétaire de la ferme Claude J. Massicotte et fils Contrairement à ce qu'on pourrait croire, cette naissance multiple n'est pas due à une insémination artificielle. À l'inverse, la maman vache ne répondait pas bien aux tentatives de fertilisation. Les propriétaires de la ferme ont donc décidé de passer par les voies naturelles et de laisser leur vache quelques heures en présence d'un taureau... qui semble avoir bien fait son travail ! http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2015/04/01/002-une-vache-accouche-triples-sainte-genevieve.shtml
  9. Les autorités mexicaines affirment qu'une touriste canadienne de 35 ans est morte après qu'une baleine grise eut percuté le bateau dans lequel la victime se trouvait. Selon un capitaine de la marine mexicaine, Vicente Arturo Martinez Morales, qui a reçu l'appel d'urgence du bateau accidenté, la femme est originaire de Calgary et se nomme Jennifer Karren. Deux autres personnes ont été blessées lors de l'accident, l'une d'entre elles est Américaine. Toujours d'après le capitaine Morales, Jennifer Karren était en vacances avec son mari et des membres de sa famille. Toutefois seul son mari l'accompagnait sur le bateau quand l'accident est survenu. La collision a eu lieu à moins de deux kilomètres de Cabo San Lucas, une station balnéaire à l'extrémité de la péninsule de la Basse-Californie du Sud, au Mexique. Selon le chef des pompiers, Juan Carvajal Figueroa, le bateau de la victime et d'un groupe de touristes rentrait au port quand une baleine grise a sauté et a atterri sur l'embarcation. La femme de 35 ans a été jetée par-dessus bord. La marine mexicaine a tout de suite répondu à l'accident et la victime a été transportée à l'hôpital One World by Saint Luke's, mais elle a succombé à ses blessures. Les autorités consulaires canadiennes prêtent assistance à la famille de la jeune femme.
  10. On se croise les doigts en faveur du ban de l'expérimentation.
  11. Les propriétaires forcés d’accepter les animaux? La SPCA plaide dans ce sens alors que Québec pourrait légiférer sur la question au printemps Les SPCA recueillent environ 1600 animaux pendant la période des déménagements. MISE à JOUR Vendredi, 6 mars 2015 18:25 La SPCA ne veut plus que les propriétaires de logement puissent interdire les animaux domestiques et demande au gouvernement d’inclure cela dans son projet de loi contre la cruauté qui sera présenté au printemps. Le ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, refuse de confirmer ou d’infirmer qu’il défendra aux propriétaires d’interdire les animaux de compagnie, se contentant de dire qu’il s’est inspiré des meilleures pratiques des lois de l’Ontario et du Manitoba. Dans ces deux provinces, les propriétaires ne peuvent interdire les animaux domestiques, sauf s’ils causent des dommages ou dérangent d’autres locataires. «On sent un courant favorable chez les parlementaires pour que les changements soient adoptés rapidement», a indiqué le ministre Paradis. Droit du propriétaire ? Le gouvernement a déjà annoncé son intention de modifier le Code civil qui considère, à l’heure actuelle, l’animal comme un bien meuble, au même titre qu’une chaise. Si les changements sont adoptés, les animaux deviendraient des êtres vivants doués de sensibilité et capables de ressentir la douleur. L’Association des propriétaires du Québec estime que la clause dans les baux qui permet d’interdire les animaux fait partie du droit du propriétaire de choisir ses locataires. «On est confronté à un nombre croissant d’animaux laissés à eux-mêmes et qui abîment le logement. Si le gouvernement veut modifier les règles du jeu, c’est certain qu’on va se faire entendre», argumente le président Martin Messier. Champion de l’abandon Avec une moyenne de 600 abandons d’animaux de compagnie par mois et 1600 abandons durant la période des déménagements, le Québec est la province où les lois sont les plus permissives en matière de sévices envers les animaux, selon un classement établi par l’organisme Animal Legal Defense Fund (ALDF). Seul le Nunavut fait pire. «Je côtoie beaucoup de gens désespérés qui viennent faire euthanasier leur animal», s’inquiète Johanne Corbeil, propriétaire d’une clinique vétérinaire sur la Rive-Nord «J’ai créé une page sur Facebook pour favoriser l’adoption, mais le nombre d’abandons est si grand que ce n’est pas suffisant. On n’a plus le choix, il faut faire changer la loi et sensibiliser les propriétaires», ajoute-t-elle. «Il n’y a pas assez de propriétaires qui acceptent les animaux. Il n’y a aucune raison de se montrer aussi restrictif», ajoute Alanna Devine, porte-parole de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Montréal.
  12. Un bon groupe qui ne pouvait certainement pas passer inaperçu des visiteurs du salon ! Et de belles affiches. Titre bien trouvé : L'agriquitue !
  13. De Y. Bonarel ____________ Article du 22 Février 2015 En décembre dernier, nous avons voulu encourager les voyageurs de la RATP à réfléchir à la réalité du foie gras, par une campagne d'affichage dans le métro. L'une après l'autre, nos 3 propositions ont été repoussées par la société Media Transports. # Première proposition Parce que seuls les mâles sont utilisés dans la production de foie gras, une grande partie des canetons femelles sont tués à la naissance, dans les couvoirs. Le broyage des animaux vivants est l'une des méthodes les plus courantes pour sacrifier les poussins sortis de l'oeuf. Peu de consommateurs de foie gras connaissent cette réalité glauque, et même les personnes se montrant peu sensibles au problème du gavage trouvent en général cet acte inacceptable. En réponse à notre demande, Media Transports nous transfère l'avis de l'ARPP (Autorité de régulation professionnelle de la publicité). La société d'affichage se base sur cette position pour ne pas "donner une suite favorable au projet de communication", et nous demander de "renvoyer un visuel plus conforme". Sur son site internet, l'ARPP précise qu'elle poursuit la mission "de mener une action en faveur d’une publicité loyale, véridique et saine dans l’intérêt des consommateurs, du public et des professionnels de la publicité." Nous copions un extrait de l'avis de l'ARPP sur notre affiche : « Nous avons bien noté que cette publicité émanait d’une organisation de défense des animaux utilisés dans la consommation alimentaire, objet sur lequel il ne nous appartient pas de nous prononcer. Sur le contenu proprement dit de la publicité transmise, en l’absence d’informations concernant les éléments justificatifs dont disposerait l’annonceur lui permettant d’affirmer que « Dans la production de foie gras, les canetons femelles sont broyés vivants » une telle allégation peut être perçue comme excessive. (...) Par ailleurs, l’emploi des termes « broyés vivants » nous paraît, dans ce contexte, de nature à choquer la sensibilité d’une partie du public. » L'envoi de notre part d'un courrier argumenté à Media Transports ne changera rien à sa décision initiale. # Seconde proposition Nous décidons de recentrer notre message sur la pratique du gavage : au moins, il est impossible de contester que cela existe. Puisque le gavage est un procédé protégé au titre du patrimoine gastronomique et culturel de la France, on doit bien pouvoir librement le représenter ? Afin de mettre toutes les chances de notre côté, nous choisissons de montrer ce qui se fait de plus traditionnel et artisanal : le gavage d'une oie en parc - plutôt que ce qui se fait de plus courant (le gavage à la pompe d'oiseaux en batterie). Treize jours s'écoulent. Nos relances téléphoniques restent sans réponse. # Troisième proposition 16 décembre. Puisque les jours filent et que la simple vérité se révèle immontrable, nous décidons de proposer une nouvelle affiche qui serait un simple appel à l'empathie, sentiment toujours encouragé pendant les fêtes : sur les murs du métro parisien, de nombreuses ONG affichent en effet des campagnes d'appel à la générosité à cette période de l'année. S'en suit... un nouveau silence radio de la part de Media Transports. Deux semaines s'écoulent sans réponse à notre association. Ce n'est que la saison des fêtes terminée, le 31 décembre, que Media Transports daignera nous transférer un message qui en dit long : "Je vous confirme que l’affichage de ce visuel dans le métro n’est pas souhaité en cette période de fêtes." "En cette période de fêtes", les publicités pour le foie gras ont pourtant largement occupé les murs du métro de Paris. Donner une information "loyale" et "véridique" est évidemment un objectif bien louable mais il semblerait que l'affichage sur les murs du métro parisien réponde à d'autres critères moins glorieux. Voilà... Vous pouvez par ailleurs signer jusqu'au 28 février la pétition de L214 demandant à la Commission européenne d'intervenir contre les infractions commises dans la production de foie gras : http://www.change.org/FoieGras
  14. L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a confirmé avoir trouvé un cas de maladie de la vache folle dans une bête de boucherie qui venait de l'Alberta. Il s'agit du premier cas répertorié au Canada depuis 2011. L'Agence assure toutefois qu'aucune partie de la carcasse de l'animal infecté ne s'est retrouvée dans la filière d'alimentation des humains et des animaux. Une enquête a été lancée pour déterminer l'âge de l'animal, ses antécédents et le mode de transmission, a indiqué l'ACIA dans un communiqué. Elle retracera également les aliments utilisés pour nourrir l'animal durant sa première année de vie et toutes les bêtes posant un risque équivalent seront abattues et soumises à des tests de dépistage de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB). L'ACIA ne croit pas que ce simple cas aura des conséquences sur les exportations de bœuf canadien même s'il devra être signalé à l'Organisation mondiale de la santé animale. Les frontières s'étaient fermées aux exportations de bœuf du pays après la découverte du premier cas de maladie de la vache folle en 2003 au Canada. L'ACIA avait dû resserrer ses règles de surveillance et un long travail diplomatique avait été mis en place pour conquérir les marchés internationaux perdus. Le dernier cas identifié d'ESB provenait également d'une ferme laitière l'Alberta et avait été répertorié en février 2011.
  15. Un mystère pour les scientifiques. Près de deux cents baleines-pilotes se sont échouées ce vendredi sur une plage de Nouvelle-Zélande Au moins 24 de ces 198 animaux sont morts sur la plage de la presqu'île de Farewell, au nord de l'Ile du sud de la Nouvelle-Zélande, tandis que les secouristes tentaient de remettre à l'eau les rescapés. "Remettre à l'eau des baleines est une tâche difficile et potentiellement dangereuse", a déclaré Andrew lamason, porte-parole du service de la protection de l'environnement, précisant que le travail s'effectuait aux côtés de 140 volontaires, formés à ce genre d'opération.Il a également indiqué que si vendredi soir, les animaux n'avaient pas été rendus à la mer, il faudrait attendre la prochaine grande marée 24 heures plus tard, pour une nouvelle tentative. Des baleines au secours de leurs congénères? La plage de Farewell est régulièrement le théâtre d'échouages de globicéphales. Huit au moins se sont produits au cours des dix dernières années, dont deux en seulement une semaine en janvier dernier, mais celui de vendredi est l'un des plus importants. Les baleines-pilotes, qui peuvent mesurer jusqu'à six mètres de long, sont l'espèce de baleines la plus répandue dans les eaux néo-zélandaises. Il n'existe pas d'explication scientifique certaine de ce comportement, mais des spécialistes suggèrent que des baleines en bonne santé s'échouent en venant au secours de membres de leur groupe qui sont malades et désorientés.
  16. Une famille a rendez-vous devant la cour pour éclaircir le testament de leur proche qui a léguée près de 190 000 $ à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) et à la Fondation Mira. Pierrette (prénom fictif) est morte en mars dernier à l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec. Célibataire et sans enfant, la retraitée de la fonction publique de 69 ans avait cumulé des actifs de près de 360 000 $. Dans un testament d'une page écrit à la main deux ans et demi avant de mourir, Pierrette accorde 10 000 $ à une de ses soeurs qu'elle désigne comme liquidatrice de succession. Elle demande de partager près de 190 000 $ entre la SPCA et la Fondation Mira. L'organisme communautaire Le Phare de Québec et l'Hôpital Ste-Justine, à Montréal, héritent aussi d'une part de sa fortune. Il reste un montant de près de 100 000 $ sur lequel la Cour supérieure devra trancher. Dans ses dernières volontés, Pierrette a précisé qu'elle ne voulait rien léguer à sa famille. « J'exige qu'aucun de mes biens pécuniaires ou meubles ne soit remis aux membres de ma famille », peut-on lire au dernier paragraphe du testament versé au dossier de la cour. Selon le Code civil, les montants résiduels doivent être versés à la famille immédiate. Dans le cas de Pierrette, cinq frères et soeurs et quelque huit neveux et nièces pourraient en bénéficier. Dans la requête déposée au palais de justice de Québec, sa soeur, à titre de liquidatrice, demande à la Cour supérieure d'intervenir pour que les dernières volontés de Pierrette soient respectées. « Compte tenu des circonstances entourant la rédaction et la signature du testament, la demanderesse prétend que par le dernier paragraphe, sa soeur a voulu exclure de sa succession toute sa parenté », peut-on lire dans le document qui ne précise pas la nature du litige familial. Si la Cour donne raison à l'exécutrice testamentaire, la SPCA et Mira pourraient se partager plus de 50 000 $ supplémentaires. Le reste serait versé au Phare, à l'Hôpital Sainte-Justine et à la liquidatrice.
  17. Les animaux de compagnie et d'élevage seront désormais considérés en France comme des "êtres vivants doués de sensibilité" et non plus comme des "biens meubles". L'Assemblée nationale, qui a constitutionnellement le dernier mot, a définitivement adopté mercredi un projet de loi sur la modernisation et la simplification du droit qui inclut un amendement en ce sens du député socialiste Jean Glavany. LES ANIMAUX SONT DÉSORMAIS CONSIDÉRÉS EN FRANCE COMME DES ÊTRES "DOUÉS DE SENSIBILITÉ": Les animaux de compagnie et d'élevage seront désormais considérés en France comme des "êtres vivants doués de sensibilité" et non plus comme des "biens meubles". L'Assemblée nationale a définitivement adopté mercredi un projet de loi sur la modernisation et la simplification du droit qui inclut un amendement en ce sens. Tous les groupes ont voté pour, à l'exception de l'UMP qui a voté contre et du Front de gauche qui s'est abstenu. Cette mesure "fait planer des menaces graves et sérieuses sur les filières agricoles de l'élevage", a vainement plaidé le député UMP Marc Le Fur. Cet amendement satisfait une demande de la Fondation "30 millions d'amis" qui avait lancé il y a deux ans une pétition pour obtenir une modification du Code civil qui considérait jusqu'ici les animaux comme des "biens meubles".
  18. La poissonnerie Fortier de Sept-Îles a fermé ses portes pour l'hiver le 31 décembre dernier. Au fil des ans, le chiffre d'affaires a fondu et la saison froide n'est plus rentable. La poissonnerie Fortier était d'ailleurs la seule ayant pignon sur rue, qui demeurait ouverte durant l'hiver à Sept-Îles. La décision de fermer jusqu'à la mi-mars suscite des réactions partagées au sein de la population. « Chaque fois que j'avais besoin de poisson, c'est là que j'allais. J'achetais mes paquets de morue là », mentionne un client. « C'est une institution à Sept-Îles Fortier et frère c'est depuis petit que j'y vais là. De faire affaire avec des grosses chaînes c'est moins intéressant pour moi. », explique un autre. Le chiffre d'affaires de la poissonnerie a chuté de 40 % au cours des dernières années. Le directeur général de la poissonnerie, Jean-Yves Ouellet, affirme que la poissonnerie était aussi en compétition avec des fournisseurs de l'extérieur qui offrent leurs produits à meilleur prix . Selon lui, la poissonnerie a déjà connu d'autres hivers difficiles. Mais, cette fois-ci, les nouveaux propriétaires, la Société de gestion Ekuanitshinnuat, bras économique de la communauté innue de Mingan, ont décidé de faire comme les autres commerces du genre et de fermer les portes durant cette période difficile. La poissonnerie Fortier rouvrira pour le début de la saison de la pêche.
  19. Ces animaux menacés de disparition ont été saisis par les douanes, alors qu'ils étaient cachés dans des caisses de concombres de mer en transit. 170 bébés tortues étoilées de Madagascar, une espèce menacée de disparition et prisée par les collectionneurs pour ses motifs de carapace uniques, ont été saisis à l'aéroport de Roissy, cachés dans des caisses de concombres de mer en transit, a annoncé la douane lundi. Ces 170 tortues Astrochelys radiata, une espèce en danger critique d'extinction selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), venaient de Madagascar et étaient destinées au Laos. Comment les tortues étaient-elles dissimulées? Enveloppées de scotch, elles étaient dissimulées dans les doubles fonds de caisses qui contenaient des concombres de mer, un moyen de dissimulation rappelant le trafic d'autres biens et produits très coûteux, comme les stupéfiants. Le transport de spécimens de cette espèce très menacée et protégée par l'annexe 1 de la Convention de Washington est totalement interdit, sauf permis spécial. Une telle saisie à Roissy est rare, les douaniers tombant plus souvent, en matière d'animaux vivants, sur des tortues du Maghreb, moins menacées, ou des oiseaux tropicaux. Les tortues doivent être réhydratées S'agissant d'une saisie "sèche", sans interpellation, il est peu probable que l'affaire ait des suites judiciaires. Sur les 170 bébés reptiles saisis le 14 décembre, 15 avaient succombé du fait de "conditions de transport particulièrement inadaptées", a précisé la douane. Les survivants ont été remis à une association spécialisée, le Village des tortues à Gonfaron (Var). Là, "on les a mis au chaud et on les a baignés dans un produit désinfectant", a relaté le directeur de ce centre, Bernard Devaux. "Elles ont manqué d'eau, mais il faut les réhydrater doucement pour éviter un nouveau choc", a-t-il ajouté. 30 000 à 50 000 tortues ramassées dans la nature Les tortues juvéniles, "magnifiques mais très fragiles, avec chacune un motif de carapace différent", sont dans un premier temps nourries "de fanes de radis et d'herbes sauvages. On pourra ensuite leur donner des fruits de leur pays, comme de la mangue", a-t-il poursuivi. Au printemps, elles seront assez solides pour êtres présentées, en extérieur, aux visiteurs du Village. Trop jeunes, avec leur poids de 20 g et leur 3 à 4 cm de diamètre, pour supporter immédiatement un deuxième vol transcontinental, ces tortues pourraient cependant, après quelques années de convalescence, retourner à Madagascar, a-t-il ajouté. Chaque année, 30 000 à 50 000 tortues sont ramassées dans la nature, une partie gagnant les pays asiatiques par l'Afrique du Sud. En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/insolite/animaux/170-bebes-tortues-retrouvees-a-roissy_1636220.html#RV3h67rakWZZu5m2.99
  20. Au cours des dernières années, plusieurs chenils ont été dans la mire du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ). N'empêche qu'aujourd'hui, les actes de maltraitance à l'endroit des animaux continuent de se multiplier. En Estrie, des citoyens ont d'ailleurs dénoncé deux cas qui s'apparentent à de la cruauté animale. D'abord, à Saint-Denis-de-Brompton, un homme dit être éleveur depuis 33 ans et prendre un soin jaloux de ses bêtes. Toutefois, plusieurs ont dénoncé récemment la vente de dix de ses chiots. Dans l'annonce mise en ligne sur un site connu, on voit les chiens dans une cage au sol grillagée, sans eau, ni nourriture. Lorsque TVA Nouvelles lui a demandé de voir l'un des chiots à vendre, il a indiqué qu'il souhaitait le garder. Le septuagénaire a précisé que les neuf autres avaient trouvé preneur pour 400$ chacun. Aussi, dans les dernières heures à Bolton Est, des citoyens ont fait une découverte qu'ils n'ont vraiment pas appréciée: quatre bêtes dépouillées de leur fourrure ont été abandonnées sur leur chemin privé. Irrités, les propriétaires ont appris aujourd'hui qu'ils devaient eux-mêmes se départir des carcasses des animaux. «Ce matin, les larmes ont monté. Ces chiens ou ces coyotes sont des êtres vivants, ils peuvent réfléchir, ils ont un cœur», a indiqué Denis Paquette. Devant l'ampleur du phénomène, Carole, qui préfère ne pas être identifiée par crainte de représailles, a initié une page Internet pour que les cas de cruauté animale soient dénoncés. Dans les médias sociaux, sur la page «Blacklist pour les animaux de compagnie», la liste des cas de cruauté est longue. Dans les deux cas, des plaintes ont été portées à la Sûreté du Québec et les SPA concernées ont été avisées. Du nouveau en 2015? Sur plusieurs tribunes, le ministre de l'Agriculture Pierre Paradis a dit vouloir modifier le Code civil pour protéger les animaux. Une mesure espérée pour 2015, même si plusieurs demeurent à ce jour pessimistes.
  21. En Russie, tous les moyens sont bons pour faire plier les contribuables retors. Les percepteurs de Novosibirsk en Sibérie sont ainsi récemment parvenus à faire payer un résident, en utilisant des moyens peu orthodoxes! Des huissiers se sont rendus dans un appartement d'étudiants pour récupérer 12.000 roubles soit l'équivalent de 198 euros. Dans un premier temps, ils n'ont trouvé aucun objet de valeur. En poursuivant leurs recherches, ils ont découvert un chat de race , un british shorthair, de grande valeur, et 3 chatons, indique la BBC qui cite l'agence de presse russe Interfax. «Parce que l'animal est pure race et a beaucoup de valeur, les représentants de la loi ont décidé de saisir le chat», indique à l'agence Interfax un agent de l'équivalent du Fisc en Russie. Un autre cas a été signalé, toujours en Sibérie. Cette fois l'affaire concerne une femme d'affaires qui devait de l'argent à un fonds de pension. Quatre chatons Scottish Fold, ont été mis en «état d'arrestation». La propriétaire des félins a finalement été autorisée à garder son chat, à condition de régler ses dettes. Le chat est un animal de compagnie extrêmement populaire En Russie, le chat est un animal de compagnie extrêmement populaire et certains côtoient même les hautes sphères du pouvoir, comme Dorofeï, le chat du premier ministre Dmitri Medvedev, devenu une célébrité sur Internet. Une banque a même récemment défrayé la chronique en proposant de prêter un chat pour tout emprunt immobilier. Pour féliciter ses clients qui ont contracté un prêt immobilier, la banque a décidé de leur prêter un chat pour le jour de leur pendaison de crémaillère. Selon la tradition russe, un chat est synonyme d'avenir radieux pour son propriétaire s'il est le premier à passer la porte d'une nouvelle maison. Le départ du chat serait un mauvais présage, ce qui peut aussi expliquer l'efficacité de la nouvelle stratégie des percepteurs russes!
  22. BUENOS AIRES, Argentine — Une femelle orang-outan qui vit au zoo de Buenos Aires depuis 20 ans peut bénéficier de certains droits jusqu'ici réservés aux humains, a décrété un tribunal argentin. Le jugement survient un mois après qu'un groupe de défense des animaux eut réclamé une ordonnance d'habeas corpus, c'est-à-dire le droit de ne pas être emprisonné sans jugement, au nom du primate prénommé Sandra. Les avocats qui représentent l'orang-outan de 29 ans ont indiqué que l'animal serait bientôt transféré dans un sanctuaire où il bénéficiera d'une plus grande liberté. Le jugement du 18 décembre a été rendu public lundi par l'agence de nouvelles judiciaires en Argentine. Le jugement affirme que «les grands singes ont des droits, notamment le droit d'être libres et de ne pas subir de souffrances liées à un état de captivité». Le texte affirme aussi que Sandra devrait bénéficier d'un habitat plus approprié. L'orang-outan était représenté par l'avocat Andres Gil Dominguez, qui a affirmé que le jugement était «sans précédent». Plus tôt en décembre, une cour d'appel de l'État de New York avait statué qu'un chimpanzé ne pouvait bénéficier des mêmes droits qu'un humain et ne devait pas être libéré par ses propriétaires. Les trois juges ont unanimement refusé d'accorder une «personnalité juridique» à Tommy, un chimpanzé qui vit seul dans une cage dans le comté de Fulton.
  23. Alors qu'il consolait un jeune garçon dont le chien est mort récemment, le pape a en effet assuré qu'un jour, nous reverrons nos animaux dans l'éternité du Christ. Le paradis est ouvert à toutes les créatures de Dieu, rapporte le New York Times et des journaux italiens. Une position bien éloignée de celle de Pie IX, installé au Vatican de 1846 à 1878, qui estimait que les animaux n'avaient tout simplement pas d'âme. Discours repris par Benoit XVI quand il déclarait en 2008 que la mort d'un animal signifiait "la fin de son existence sur Terre". Des propos salués par les associations de défense des animaux Avant le pape François, seul Jean-Paul II s'était aventuré à déclarer que les animaux avaient bel et bien une âme et qu'ils étaient "aussi proche de Dieu que les hommes peuvent l'être" mais le Vatican ne s'était pas empressé de relayer son point de vue comme le rappelle le New York Times. Et il est d'ailleurs peu probable que le Vatican se prononce officiellement sur la question après cette remarque de François, bien loin d'être une déclaration solennelle, soulignent des théologiens. Reconnaître aux animaux une âme identique à celle des hommes engendrerait effectivement de nombreuses questions sur les traitements qui leur sont actuellement réservés ou le fait de les manger. Cela n'a pas pour autant empêché plusieurs associations de défense des animaux comme la Humane Society de saluer ces paroles qu'elles interprètent comme un rejet de la pensée conservatrice catholique selon laquelle les animaux ne peuvent accéder au paradis car ils ne possèdent pas d'âme.
  24. Le gouvernement fédéral a décrété que trois espèces de chauves-souris qu'on retrouve dans l'est du pays sont en voie de disparition. Le syndrome du museau blanc est en train de décimer les populations de chauves-souris nordiques, de petites chauves-souris brunes et de pipistrelles de l'est. C'est pourquoi le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada les a désignées espèces en voie de disparition. Le syndrome du museau blanc est lié à la mort de centaines de milliers de chauves-souris. Un champignon cause la maladie, mais les scientifiques ne savent pas exactement pour quelles raisons les chauves-souris en meurent. Le pathologiste, Scott McBurney, du Collège vétérinaire de l'Atlantique, croit que l'Île-du-Prince-Édouard doit suivre l'exemple du fédéral et protéger les chauves-souris sur les terres provinciales, comme c'est le cas au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse. Mais le directeur de la protection de la faune de l'Île, Brad Potter, explique que les chauves-souris se réfugient dans des vieilles granges et d'autres bâtiments, donc dans des propriétés privées. Il faudrait donc réglementer ce que les gens peuvent faire dans leur propriété. Le gouvernement insulaire veut étudier le dossier en profondeur avant de prendre une décision.
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