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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. Mais oui, mais oui. On va croire ça ! Non mais, ils croient vraiment qu'on peut gober ça !
  2. Il a aussi donné une entrevue au Québec mais j'ai manqué le début, alors, je vais pouvoir l'écouter.
  3. animo-aequoanimo

    Fermes-méthaniseurs

    Elle est bien bonne celle-là ! alors que, sur le papier, le projet initial, doté d’un méthaniseur de 9 000 m³, annonçait une économie annuelle de 1 805 tonnes d’équivalent CO², son étude montre que ledit méthaniseur va générer chaque année des émissions additionnelles de protoxyde d’azote de 2 350 tonnes d’équivalent CO².
  4. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/05/des-chatons-laisses-a-lagonie-a-la-spca-de-valleyfield Acte dénoncé par une ex-employée de ces lieux.
  5. Une vague de chaleur qui dure depuis plusieurs jours s'avère fatale pour les chauves-souris d'Australie. Depuis le 15 novembre dernier, plus de 5000 chauves-souris sont tombées du ciel en raison des températures élevées. La chaleur est tellement accablante que ces petits animaux fragiles ne peuvent pas la supporter. Le mercure a atteint 44 °C à Casino, une ville située au nord-est de Sydney. Imaginez! Cette situation a provoqué beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux. Certains témoins rapportent avoir vu des chauves-souris gisant sur le sol ainsi que sur les arbres. Les autorités sont à la recherche de bébés survivants afin de les prendre en charge. Ce n'est pas la première fois qu'une telle vague de mortalité se produit dans ce pays. En janvier dernier, 100 000 spécimens de cette espèce étaient également morts en raison de la chaleur.
  6. La police française a déployé un hélicoptère pour tenter de retrouver un jeune tigre qui serait en liberté près de Disneyland Paris. La ville de Montevrain a lancé une alerte sur sa page Facebook jeudi, prévenant que l'animal avait été aperçu dans les broussailles près de terrains de tennis et de soccer. Ces terrains se trouvent à environ neuf kilomètres du populaire parc thématique. Les responsables municipaux ont indiqué par voie de communiqué que les policiers sur place ont érigé un périmètre de sécurité. Ils ont aussi demandé aux résidants des villes de Montevrain, Chessy et Chalifert de demeurer à l'intérieur, selon un communiqué diffusé par le département de Seine-et-Marne. Les policiers ont également demandé l'aide d'un trappeur expérimenté pour tenter de retrouver le tigre. EuroDisney, qui gère Disneyland Paris, a dit que le parc n'accueille pas de tigres, et que l'animal ne peut donc pas s'être échappé de là. On ne sait pas si le parc a pris des précautions supplémentaires. Disneyland Paris a accueilli près de 15 millions de visiteurs en 2013.
  7. Un homme de Halifax a été condamné cette semaine, en Cour provinciale de la Nouvelle-Écosse, à une peine d'emprisonnement de 30 jours et à une probation d'un an après avoir reconnu s'être brutalement attaqué au chat de son amie de coeur. Nathan Jonathan Cormier a récemment plaidé coupable à une accusation d'avoir causé volontairement des souffrances à un animal. Le 29 octobre, Cormier a d'abord asséné au félin des coups d'arbre à griffes, une petite tour que les chats utilisent pour faire leurs griffes. L'homme de 19 ans a ensuite tenté d'ébouillanter l'animal avant de s'en emparer et de le projeter au sol. Le chat a été emmené chez un vétérinaire qui lui a diagnostiqué de graves blessures, mais il aura la vie sauve. Nathan Cormier a expliqué à la police que le chat l'avait mordu mais au tribunal, il s'est excusé pour ses gestes. Lorsqu'il sortira de prison, il devra se soumettre à des formations pour vaincre sa dépendance à des substances et pour contrôler sa violence, selon un ordre de la Cour.
  8. La chaîne de restauration rapide McDonald's a annoncé lundi rappeler aux Etats-Unis et au Canada près d'un million de sifflets rouge accompagnant une figurine du personnage de dessins animés "Hello Kitty" offerte dans ses menus "Happy Meal" destinés aux enfants. Ce sifflet, baptisé "+Birthday Lollipop+ Hello Kitty", peut se détacher, ce qui présente un risque d'étouffement pour les enfants, écrit McDo dans un communiqué. Environ 2,5 millions d'exemplaires de ce sifflet rouge ont été fabriqués pour être distribués avec les menus "Happy Meal" du 31 octobre au 25 novembre, selon McDo. Quelque 900.000 sifflets sont concernés par ce rappel, le groupe affirmant avoir déjà réussi à en récupérer 1,6 million. McDo a fait fabriquer le jouet "+Birthday Lollipop+ Hello Kitty" dans le cadre du quarantième anniversaire du célèbre personnage de manga. Un sifflet rouge se trouve à l'intérieur d'une figurine "Hello Kitty". Pour produire un son, l'utilisateur doit souffler à l'intérieur de l'embout du jouet. Ce rappel est intervenu après le signalement aux États-Unis de deux incidents au cours desquels des enfants ont recraché des pièces qu'ils avaient avalées.
  9. Un éleveur d’animaux à fourrure de la Montérégie accusé de cruauté envers les animaux: une première au Canada Montréal, le 10 novembre 2014 – À la suite de l’enquête criminelle de la SPCA de Montréal chez Visons JNJ inc., une ferme d’élevage d’animaux à fourrure de la Montérégie, le propriétaire de la ferme, Jean-Luc Rodier, a été accusé de 6 chefs de cruauté et de négligence envers les animaux relativement à environ 90 renards, 10, 000 visons et deux chiens gardés en captivité à la ferme. L’accusé est passible d’une peine d’emprisonnement de 18 mois et d’amendes pouvant atteindre 10, 000$ par chef, ainsi que d’une interdiction à vie d’avoir la garde ou le contrôle d’un animal. À la connaissance de la SPCA, il s’agit de la première fois qu’un éleveur d’animaux à fourrure se voit accuser de cruauté animale au Canada. Rodier avait déjà été trouvé coupable de cruauté animale en 1996, cependant ces accusations étaient relatives à des chiens qu’il élevait dans un but commercial. Saisie d’une plainte déposée pour cruauté envers les animaux, la SPCA de Montréal a visité une première fois la ferme d’élevage en question accompagnée par des vétérinaires au début du mois de mai 2014. Plusieurs renards ont dû être euthanasiés, car ils souffraient et ne présentaient aucune chance de guérison. Deux chiens ont également été saisis sur la propriété. Cette première intervention a mené aux accusations criminelles qui sont annoncées aujourd’hui. Compte tenu de ses pouvoirs limités pour intervenir auprès des animaux restants en vertu du Code criminel, la SPCA de Montréal s’est par la suite vue contrainte de transférer le dossier au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec (MFFP), en espérant que le Ministère utiliserait ses pouvoirs uniques d’ application de la loi provinciale afin de retirer les animaux des lieux. Toutefois, malgré des efforts répétés pour convaincre les autorités du MFFP à cet effet, le Ministère est resté inflexible dans sa décision de ne pas saisir les animaux et de travailler « en collaboration » avec l’éleveur d’animaux à fourrure. Pour plus d’informations à propos des efforts déployés par la SPCA de Montréal pour amener le MFFP à agir, consultez les deux articles suivants : http://www.spca.com/?p=9772&lang=fr et http://www.spca.com/?p=9826&lang=fr « Bien que nous nous réjouissions du fait que la personne responsable de la souffrance des renards et des visons sur cette ferme à fourrure devront faire face à des accusations criminelles, ce cas n’est que le reflet d’un problème beaucoup plus important », a déclaré Alanna Devine, directrice de la défense des animaux à la SPCA de Montréal. « Chaque année au Canada, plus de 2.5 millions d’animaux à fourrure sont élevés dans des fermes d’élevage, soumis à des pratiques d’élevage intensif qui compromettent sérieusement leur bien-être, y compris le confinement dans des cages grillagées exiguës qui les privent de la possibilité de satisfaire leurs besoins comportementaux les plus élémentaires, le tout suivi d’une mise à mort par électrocution anale – des pratiques qui sont la norme dans l’industrie et qui sont, malheureusement, tout à fait légales. » Afin de sensibiliser le public au sort des animaux dans l’industrie de la fourrure, la SPCA de Montréal, en partenariat avec l’Association pour la protection des animaux à fourrure (APFA) et les Cosmétiques LUSH, a récemment lancé la campagne Fini la fourrure. Cette campagne est interactive et orientée vers l’action, en plus de fournir de la documentation éducative ayant pour but de sensibiliser les consommateurs. Les gens peuvent s’impliquer de plusieurs manières différentes : 1.Engagez-vous à dire NON à la fourrure sur le site www.finilafourrure.com partagez-le site auprès de votre famille et de vos amis et téléchargez des photos inspirantes sur les réseaux sociaux en utilisant le mot-clic #makefurhistory. 2.Rendez-vous au http://www.spca-mtlaction.com/mfh/detaillant pour envoyer une lettre aux détaillants afin de leur demander de ne plus tenir d’articles en fourrure pour que ce soit Fini la fourrure #makefurhistory. Envoyez aussi une lettre au ministre fédéral de l’Agriculture, Gerry Ritz, pour lui demander d’interdire les élevages d’animaux à fourrure au Canada en visitant la page http://www.spca-mtlaction.com/mfh/ministre. 3.Rendez-vous au www.finilafourrure.com afin d’en apprendre davantage sur l’industrie de la fourrure et connaître d’autres façons de vous impliquer dans la campagne.
  10. Un cinéaste et aventurier américain a fait sensation jeudi en affirmant qu'il allait se faire avaler vivant, avec une combinaison spéciale, par un anaconda, un serpent géant, en Amazonie pour un programme de télévision. "Je suis Paul Rosolie et je vais bientôt être la première personne au monde à être avalée vivante par un anaconda", dit-il dans une vidéo de 30 secondes publiée sur Twitter qui fait la publicité d'une nouvelle émission, "Eaten Alive" (Mangé vivant) sur la chaîne Discovery le 7 décembre. Sur YouTube, la chaîne montre Rosolie se revêtir d'un "équipement spécialement dessiné pour résister au serpent" en se faisant avaler tête la première. "Pour le moment, c'est de la promotion", a indiqué à l'AFP un porte-parole de Discovery Channel, en ajoutant que les détails de l'émission, qui sera diffusée dans le monde entier, étaient à venir "sous peu". Sur son compte Twitter, Rosolie dit: "Si vous me connaissez, je ne fais de mal à personne. Il faut que vous voyiez #EatenAlive". Les réseaux sociaux se sont emparés de l'affaire mais le groupe de défense des animaux PETA, craignant pour le serpent, a demandé l'arrêt de l'émission. "Quoi que veuille faire le cinéaste, le serpent en paiera le prix comme toujours quand on s'amuse avec eux", dit PETA. Les anacondas, qu'on trouve an Amérique latine tropicale, sont parmi les plus gros serpents du monde. Celui qu'on voit sur la vidéo promotionnelle est tenu par sept hommes. Rosolie, qui vit à New York, en Inde et au Pérou, a sorti un livre sur ses aventures: "Mother of God: An Extraordinary Journey into the Uncharted Tributaries of the Western Amazon." (Mère de Dieu : voyage extraordinaire aux affluents inconnus d'Amazonie de l'ouest). Il a gagné en 2013 un prix des Nations unies pour un court-métrage documentaire. Pour PETA, il n'est en revanche qu'un "pseudo expert de la faune sauvage". "Avaler ce fou et peut-être le régurgiter va priver le pauvre animal de l'énergie dont il a besoin", dit une responsable Delcianna Winders.
  11. Les bienfaits du régime végétalien exposés en 12 tableaux. http://www.msn.com/fr-ca/sante/nutrition/pourquoi-le-r%c3%a9gime-v%c3%a9g%c3%a9talien-est-il-bon-pour-la-sant%c3%a9/ss-BBcL857
  12. Une enquête de Mercy for Animals a révélé des sévices commis envers de pauvres animaux dans les transports du Canada. SVP, signez cette importante pétition https://www.change.org/p/the-right-honourable-stephen-harper-update-canada-s-archaic-animal-transport-regulations A breaking Mercy For Animals Canada investigation at Western Hog Exchange — a pig assembly yard — reveals shocking animal abuse and neglect within the livestock transportation industry. MFA Canada's hidden-camera footage reveals: - "Downed" pigs unable to walk, suffering with open wounds and injuries, being painfully shocked by workers in full view of government inspectors - Pigs who had died in transport after suffering long, grueling journeys on overcrowded trucks without weather protection - Sick and injured pigs repeatedly kicked, violently beaten, dragged, and left to suffer without proper veterinary care - Workers using bolt cutters to break through the tusks of male pigs, which are filled with sensitive nerves, without any painkillers Unfortunately, these abuses are merely a glimpse into the cruel and inhumane treatment that farmed animals are all too often subjected to during transport in Canada. Canada's outdated livestock transport regulations are downright disgraceful. We lag behind the rest of the Western world and allow farmed animals to be trucked thousands of kilometres for up to 52 hours without any food, water, or rest. As a result, millions of animals suffer agonizing deaths from dehydration, starvation, suffocation, and severe injuries due to overcrowding. For eight years the Agriculture Ministry has been promising to update Canada's shameful transport regulations, but has continued to delay and drag its feet while millions of animals suffer miserably. The foot dragging must stop. The time for action is now. Please join Mercy For Animals Canada in calling on Minister Ritz to immediately modernize Canada's animal transport regulations and improve the enforcement of these regulations. Thank you.
  13. L'avocat d'un éleveur de mouton, dont la ferme est située à l'ouest d'Ottawa, affirme que son client « défend les droits de millions de musulmans », bien qu'il ne soit pas lui-même de confession musulmane, en invoquant la Charte canadienne des droits et libertés pour sa défense. Kurtis Andrews représente les intérêts d'Anthony Scissons, un fermier de Dunrobin, à l'ouest de Kanata. Ce dernier fait face à six chefs d'accusation pour des infractions à la loi provinciale après qu'il eut vendu des moutons à trois hommes musulmans en octobre 2012. Les hommes en question ont admis qu'ils avaient abattu les animaux à la ferme de M. Scissons au cours d'un rituel appelé Dhabihah. Aucun d'eux n'a été accusé pour ces actes. « Je trouve cela curieux qu'en gros, un éleveur de mouton de Dunrobin se batte pour les droits de millions de musulmans. Mais c'est bel et bien ce qui se passe, sachant qu'il a été accusé, mais pas les hommes musulmans », explique l'avocat d'Anthony Scissons, Kurtis Andrews. L'affaire a été entendue au tribunal en juin 2014. Le juge de paix, Brian Mackey, a déjà fait savoir que M. Scissons allait être reconnu coupable de certaines accusations, mais, jeudi, il a accepté d'entendre les arguments concernant la liberté de culte avant de rendre sa décision. M. Scissons a été accusé d'avoir exploité un établissement de transformation des viandes sans détenir un permis et d'avoir vendu et distribué de la viande non inspectée. Il risque une amende de plus de 25 000 $ et une peine de deux ans de prison pour chacune des accusations qui pèsent contre lui. Selon M. Andrews, les lois ontariennes en vertu desquelles son client a été accusé violent la liberté de religion et le fermier devrait être protégé par la Charte, même s'il n'est pas musulman. « Nous avons le droit de mettre en doute la constitutionnalité de ce qu'ont fait les hommes. Si cela s'avère anticonstitutionnel, mon client ne peut pas en être reconnu coupable », soutient l'avocat. La province, pour sa part, estime que les droits des hommes qui ont acheté les moutons n'ont pas été violés, puisque l'abattage rituel est permis en Ontario. Cette pratique doit cependant se dérouler dans un établissement reconnu. La date à laquelle la décision sera rendue sera connue en novembre.
  14. OTTAWA - Le Canada et l'Union européenne (UE) ont clarifié les conditions de l'exemption autochtone pour l'importation de produits de la chasse aux phoques. En 2010, les 28 pays membres de l'UE avaient décrété un embargo sur l'importation et la vente de viande, de fourrures et d'autres produits du phoque. Le Canada avait contesté, en vain, cet embargo devant les instances de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). En mai dernier, un comité d'appel de l'OMC a maintenu que cet embargo se justifie par des considérations d'ordre éthique sur le bien-être des animaux, tout en convenant que des exemptions à l'embargo n'ont pas été appliquées équitablement. Vendredi, le gouvernement canadien a annoncé une déclaration conjointe du Canada et de l’UE. On s'est entendu pour que les communautés autochtones canadiennes reçoivent le même traitement que les autres communautés autochtones quand vient le temps d'introduire des produits du phoque sur les marchés européens. La déclaration prévoit que des non-autochtones pourront participer au traitement, à la fabrication et à la mise en marché des produits du phoque destinés au marché de l'UE à condition que ces produits proviennent de communautés autochtones canadiennes. On met également sur pied un groupe d’experts qui sera en charge d'établir des arrangements administratifs nécessaires pour permettre aux produits du phoque provenant des communautés autochtones canadiennes d’accéder au marché de l’UE.
  15. En Pennsylvanie, les habitants ont assisté, impuissants, à la déambulation d’un ours depuis plusieurs semaines. L’ours s’est emprisonné la gueule, d’une manière inouïe, dans un airbag de semi-remorque. Désolés d’un tel spectacle, les riverains ont même créé une page Facebook de soutien, à la recherche d’un courageux pour aider l’ours. Ils se sont même chargés de prévenir les autorités, qui s’en sont bien vite lavé les mains “Elles sont au courant mais disent qu'elles ne peuvent rien faire tant que l'ours continue de se déplacer et n'est pas blessé". Quatre courageux ont récemment pris la situation en main pour tenter de porter secours au “bucket bear”, deux se sont chargés de maintenir l’animal, tandis que deux autres attaquaient l’airbag à l’aide de scies à métaux. Une fois libéré, l’ours s’est vite échappé vers une clairière. Pour voir la vidéo du sauvetage. Il leur faut près de 12 minutes: http://www.buzger.com/fr/ils-sauvent-un-ours-la-tete-coincee-dans-un-airbag.html
  16. Alors qu’il vogue sur la mer de Cortez, le cofondateur de la Great Whale Conservancy découvre un spectacle qui le désole. Empêtrée dans un filet de pêcheur se meurt une baleine à bosse. Sans attendre, Michael Fishbach plonge pour évaluer la situation. La baleine est immobile, probablement morte selon son appréciation. Il se hâte cependant de couper le filet pour libérer le cétacé, priant pour un miracle Doucement la baleine commence à sortir de son inconscience et prise de panique, gigote dans tous les sens. il remonte vite à bord pour se rapprocher et tenter de la délivrer du reste du filet Le mammifère agité et effrayé rend l’opération encore plus délicate. Avec son équipage, ils vont passer plus d’une heure à tenter de remonter ce filet avec les moyens du bord. Leurs efforts payent enfin quand la baleine parvient à s’extirper du filet. Libre, elle saute plusieurs fois au-dessus de l’eau, comme un signe de reconnaissance envers ses sauveurs. L’histoire se termine bien grâce à la solidarité de l’Homme, sans qui, rappelons-le, cet incident n’aurait cependant jamais pu se produire.
  17. Une femme qui a découvert sur son terrain une moufette morte enfouie dans un sac de plastique a tout fait pour qu'une enquête policière soit ouverte et qu'une autopsie soit pratiquée sur l'animal, le week-end dernier, en Outaouais. L'histoire a débuté jeudi, lorsque la femme a trouvé la bête morte dans un sac laissé à proximité de sa résidence, située dans la municipalité de Luskville, à une trentaine de kilomètres de Gatineau. «La dame nous a téléphoné pour nous informer de la situation, a dit l'agent Martin Fournel, porte-parole de la Sécurité publique de la MRC des Collines-de-l’Outaouais. Elle voulait qu'on se rende sur place et qu'on ouvre une enquête.» Compréhensifs, mais impuissants devant la situation, les policiers ont plutôt conseillé à la femme de contacter les agents de protection de la faune. La résidente de Luskville n'avait toutefois pas dit son dernier mot: deux jours plus tard, elle a parcouru près de 50 km en voiture – avec le sac renfermant la moufette – jusqu'au poste de police pour plaider sa cause devant les policiers. «Elle a répété son histoire et voulait qu'on enquête sur la mort suspecte de la moufette, a raconté l'agent Fournel. Mais elle voulait qu'une autopsie soit pratiquée et qu'on prélève les empreintes digitales sur le sac de plastique afin de retracer la personne qui avait mis l'animal à l'intérieur.» La femme souhaitait également que les policiers retrouvent la provenance du sac de plastique et que tous les efforts soient déployés pour résoudre ce qu'elle jugeait être un crime. Malheureusement pour elle, le sergent qui s'est entretenu avec elle l'a une fois de plus dirigée vers responsables de la protection de la faune. La dame n'a eu d'autre choix que de rebrousser chemin et retourner chez elle... avec la moufette morte depuis déjà plusieurs jours.
  18. Les agents de la faune ont la consigne de limiter leurs déplacements sur le terrain, malgré l'ouverture de la chasse Les agents de la faune du Québec ont reçu, en début de semaine, la consigne de limiter leurs déplacements sur le terrain, malgré l'ouverture de la chasse. Le syndicat craint une hausse du braconnage puisque les agents ne pourront plus effectuer de patrouilles. Selon Paul Legault, président provincial des agents de protection de la faune du Québec, les directions régionales de la Faune rencontrent ces jours-ci les agents de la faune pour leur expliquer qu'en raison des compressions budgétaires à venir d'ici le 31 mars, les seules sorties autorisées devront avoir été planifiées ou être faites en réponse à des plaintes. « C'est inacceptable, lance Paul Legault, ce qu'on comprend et ce que les agents comprennent, c'est que la lutte au braconnage pendant la durée de la chasse risque d'être compromise gravement. » Une note envoyée aux agents en poste à New Richmond, et dont Radio-Canada a obtenu copie, confirme les affirmations de M. Legault. Une consigne similaire a été envoyée aux agents en poste à Gaspé par leur chef de service. On peut y lire : « Nos déplacements doivent être planifiés et autorisés. [...] En d'autres termes, nous ne sommes pas privés de sortie, mais avons le devoir de le faire avec efficience. » D'après le porte-parole syndical, avec de telles consignes, les agents ne seront pas sur le terrain pour s'assurer que les gens détiennent un permis de chasse et respectent les règlements, qu'ils ne se promènent pas avec des armes chargées dans leur véhicule, qu'ils ne tirent pas à partir de leur véhicule, et qu'ils ne chassent pas de nuit. « Sur le plan de dissuasion et de la surveillance du territoire, il n'y en a plus », lance M. Legault. Mesures transitoires Jacques Nadeau, porte-parole du ministère de la Faune, rappelle que le secteur doit aussi contribuer à l'exercice de redressement des finances du Québec. « C'est transitoire. Notre mission n'est pas compromise », soutient M. Nadeau. Ce dernier explique que le Ministère veut réduire les dépenses de fonctionnement afin d'épargner la masse salariale. « Les agents de la faune, affirme-t-il, vont quand même pouvoir patrouiller durant la saison de chasse qui vient de commencer. Il est faux d'affirmer que les agents vont être confinés à leur bureau. Ils vont continuer à faire leur travail en fonction des priorités. » D'après le porte-parole du Ministère, la note de New Richmond est une directive temporaire envoyée en attendant une politique plus globale. Jacques Nadeau s'en remet par ailleurs aux signalements de la population pour aider les agents à traquer les braconniers. Incompréhension Louis Pelletier, l'un des 300 membres de l'Association des chasseurs et pêcheurs de la région de Matane, ne comprend pas cette décision. « Je ne pensais pas, dit-il, qu'un jour on en arriverait à ça, ils ne sont déjà pas nombreux. » Il estime que ce type de décision menace la richesse faunique et le patrimoine des Québécois. Les braconniers auront le champ libre. « Allez-y, tuez-en, il en reste allez-y. C'est un peu ça qu'on lance », lance M. Pelletier. Le chasseur rappelle que pour prévenir le braconnage, il faut intervenir avant. « L'avant, c'est quand les agents sont là », ajoute-t-il. D'après le président du syndicat, les agents sont complètement démoralisés : « Les agents de protection de la faune sont des gens passionnés et aujourd'hui ils ne comprennent pas que le gouvernement leur rentre dedans comme ça et leur enlève leur outil pour travailler. » Il s'insurge contre la décision prise par le gouvernement de couper dans les services de protection de la faune avant même d'avoir terminé le processus de révision des programmes. À cet effet, et parallèlement aux directives données aux employés, la sous-ministre associée à la Faune et aux Parcs, Nathalie Camden, invite les gestionnaires à une réflexion afin de déterminer comment « l'organisation de travail, les mandats et les activités du secteur pourraient être resserrés autour des missions faune et parc ». La note a été envoyée à tous les employés. Pour protester, les agents de la faune ont décidé de porter du noir. Ils ont aussi apposé des autocollants sur leurs véhicules
  19. Pourvu que ces dénonciations fassent réfléchir quelques personnes sensées que la consommation des œufs, ce n'est pas si anodin.
  20. Mercredi, le 1er Octobre à 11:30 A l’intersection de l’avenue du Séminaire et la rue de l’Université, Québec, QC Pour vous joindre aux supporters du Comité des médecins le mercredi 1er octobre à Québec afin de les aider à mettre fin à l’utilisation d’animaux vivants dans le cadre de la formation des pédiatres à l’Université Laval. Le personnel du Comité des médecins et leurs supporters ont demandé plusieurs fois à l’Université Laval de cesser d’utiliser des animaux. Cependant, les décideurs de l’institution ne semblent pas comprendre le message selon lequel le programme de résidence de cette université est le seul qui utilise encore les animaux à cette fin. Joignez-vous à la manifestation menée par des médecins, à l’Université Laval le 1er octobre. ***Des affiches et des brochures seront fournies*** Des porcelets vivants sont utilisés pour enseigner les procédures chirurgicales aux résidents en pédiatrie de l’Université Laval. On leur enseigne à faire une incision entre les côtes, insérer les tubes dans la cavité thoracique, insérer une aiguille dans la cavité abdominale, ouvrir et insérer une aiguille dans les veines d’un animal. Ils sont aussi appelés à insérer une aiguille sous l’os de la poitrine et dans le sac entourant le cœur. Le porcelet est ensuite tué et les résidents doivent faire des incisions dans la gorge de l’animal où un tube est inséré.
  21. Selon un militant écologiste, les bateaux de TransCanada ont traversé sans s'arrêter ni ralentir un groupe de petits rorquals communs qui plongeaient juste à l'entrée du port de Cacouna. Cet incident est survenu mercredi, au moment où TransCanada installait ses équipements pour procéder aux forages prévus pour les prochains jours. Mandaté par Greenpeace pour prendre des photos des travaux, le militant écologiste Mikael Rioux raconte qu'à la fin de la journée, un groupe de trois ou quatre petits rorquals ont fait surface à la sortie du port. « J'ai pu les voir entrer et sortir de l'eau à plusieurs reprises, raconte M. Rioux. Cela coïncidait avec le temps où les deux remorqueurs avaient fini leur journée également et ils étaient en train de revenir au port de Cacouna. J'ose croire que les capitaines n'ont pas vu les petits rorquals, mais ils sont passés exactement à l'endroit où les petits rorquals entraient et sortaient de l'eau. Ils n'ont jamais réduit leur vitesse ou quoi que ce soit malgré le fait que je faisais des grands signes qu'il y avait quelque chose à cet endroit. » Mikael Rioux, qui travaille aussi comme guide de kayak, se dit encore étonné de ce qu'il a vu : « J'ai été témoin de ça, la première journée des travaux. Imaginez 95 jours, moi, j'ai été là pendant trois heures. » Interrogé sur cet incident, TransCanada rappelle que des mesures ont été imposées tant par Pêches et Océans Canada que par le gouvernement du Québec pour atténuer l'impact des travaux sur les baleines qui fréquentent le secteur. Des observateurs Pêches et Océans Canada a notamment exigé que des observateurs soient en poste chaque jour pour signaler la présence de baleines. Les observateurs doivent notamment s'assurer de l'arrêt des travaux lorsqu'un béluga ou un autre mammifère marin traverse la zone de 540 m où sont effectués les travaux. L'observateur autorise la reprise des travaux 30 minutes après que l'animal a quitté la zone. La directrice du Réseau d'observation des mammifères marins, Esther Blier, précise que le mandat est limité à la surveillance des travaux. Il y a deux zones d'observation. La première s'étend autour de la barge, à environ 1 km de la côte, où s'effectuent les travaux. La seconde zone, de 3000 m, permet de signaler toute activité de mammifères marins autour du chantier marin. « Ça permet de voir si une baleine approche », précise Mme Blier. Le site a été validé, a été marché et c'est le meilleur point de vue sur la zone, affirme Mme Blier. Pour assurer une vigilance optimale, les personnes sont remplacées toutes les deux heures. Risques de collision Mikael Rioux s'inquiète du fait que rien ne semble avoir été prévu pour diminuer le risque de collision avec les baleines. « Ils n'étaient plus là. Je trouve ça bizarre qu'ils ne restent pas en poste tant que les bateaux-remorqueurs sont encore en action parce que c'est là qu'il peut y avoir des risques de collision. Sinon, le reste de la journée la barge est immobile. » « Les allées et venues des bateaux ont une incidence sur les mammifères marins, peu importe les bateaux qui circulent sur le Saint-Laurent », souligne Mme Blier, qui ajoute que c'est vrai partout et pas seulement au port de Cacouna. « On n'a qu'un mandat d'observation et d'application, ajoute-t-elle, quand on observe quelque chose, l'information est transmise aux instances réglementaires, dans ce cas-ci à Pêches et Océans Canada, qui eux prennent les mesures s'il y a non-respect de la réglementation. Mais on ne peut pas agir sur une observation qu'on ne peut pas faire. » La Loi sur les pêches stipule de manière générale qu'il est interdit de déranger, d'importuner les mammifères marins. Toutefois, il n'existe aucune réglementation sur les vitesses d'approche des mammifères marins, sauf dans le territoire du parc marin du Saguenay/Saint-Laurent. Les travaux au quai de Cacouna sont prêts à démarrer. Jeudi, les conditions météorologiques n'étaient toutefois pas propices à ces travaux. La barge qui doit être utilisée pour les opérations de forage de TransCanada au large de Cacouna a été remorquée au quai. TransCanada se refuse à tout commentaire sur les travaux. Ceux-ci visent à étudier la composition du sol marin et doivent permettre de déterminer l'emplacement d'un possible port pétrolier à Cacouna.
  22. Des lacs et des cours d’eau pollués, des produits toxiques massivement déversés dans la nature, des communautés indiennes affectées : l’accident qui s’est produit cet été dans une mine d’or et de cuivre de Colombie-Britannique a été qualifié de « plus grande catastrophe minière jamais survenue au Canada ». De nombreuses alertes avaient pourtant été émises sans que l’entreprise minière ne renforce la sécurité de ses installations. Et le Canada n’a cessé d’affaiblir ses réglementations écologiques pour faciliter son « boom » minier. L’accident s’est produit le 4 août. La digue d’un bassin de décantation d’une importante mine d’or et de cuivre de Mount Polley, dans la province de Colombie-Britannique au Canada s’est rompue. Des milliards de litres d’eaux usées et de boues toxiques se sont déversées dans les lacs et les cours d’eau environnant. L’état d’urgence a été décrété localement, assorti d’une interdiction de consommer l’eau du réseau. La rupture de la digue est survenue malgré un rapport officiel de 2011 alertant le propriétaire de la mine, Imperial Metals, sur la nécessité de trouver une solution durable pour évacuer les eaux usées s’accumulant dans le bassin. Le rapport, commandé par deux tribus des « Premières nations » et payé par Imperial Metals, notait également que la mine n’avait « ni plan de surveillance ni plan d’urgence détaillés » ! Dans le même temps, le ministère de l’Environnement de la province a déclaré avoir averti Imperial Metals en mai dernier - pour la cinquième fois ! -, après que des inspections aient révélé que les niveaux des eaux usées dans le bassin de décantation dépassaient la limite autorisée. Des eaux usées qui présentaient aussi une concentration anormalement élevée de plusieurs substances, dont le sélénium, très toxique. La « plus grande catastrophe minière jamais survenue au Canada » L’accident, qualifié de « plus grande catastrophe minière jamais survenue au Canada », a détruit les écosystèmes de la rivière voisine de Hazeltine Creek, qui abritaient de nombreuses espèces animales. Les boues ont également atteint les lacs Polley et Quesnel, dont la population locale dépend pour son eau potable ainsi que pour la pêche. L’interdiction de consommation de l’eau a été partiellement levée une semaine après l’accident, les autorités sanitaires ayant estimé qu’elle ne présentait plus de risques. Mais de nombreux résidents restent méfiants, d’autant plus que d’autres problèmes environnementaux ont été signalés. En particulier de « mystérieuses » substances flottantes, bleues et brillantes... [1]. Pour l’ONG Mining Watch Canada, il est difficile d’évaluer les répercussions à plus long terme, en particulier pour les poissons, particulièrement sensibles à la pollution : « Une grande partie des contaminants issus des eaux usées se retrouvera dans les sédiments, qui se déposeront en dehors de la colonne d’eau et ne seront pas pris en compte dans les échantillons d’eau testés », expliquent-ils. « Des saumons morts le long des berges » Les « Premières nations » de la région sont extrêmement préoccupées par les impacts à long terme de la catastrophe sur leurs moyens de subsistance. « Notre peuple trouve des saumons morts le long des berges de la rivière comme nous n’en avions jamais vus de notre vie. Nous ne sommes pas satisfaits des conclusions du ministère de l’Environnement et nous allons faire le nécessaire pour assurer la santé et la sécurité de nos membres en participant à des études indépendantes », a déclaré dans un communiqué le chef Joe Alphonse, président tribal pour le gouvernement national Tsilhqot’in. Bien que la Colombie-Britannique applique le principe pollueur-payeur, le coût du nettoyage, qui s’élèvera probablement à des centaines de millions de dollars, suscite aussi de nombreuses inquiétudes. Imperial Metals a promis de payer pour les dégâts, mais il est difficile à ce stade de savoir si leurs actifs et leur assurance seront suffisants pour couvrir la totalité des coûts. Un gouvernement aux petits soins pour l’industrie minière Au cours de la dernière décennie, le Canada a connu une forte expansion de ses industries extractives. L’objectif avoué du Premier ministre conservateur Stephen Harper est que le Canada devienne l’un des plus grands exportateurs de ressources naturelles au monde. Harper a été accusé d’affaiblir délibérément les protections environnementales en vigueur pour le plus grand bénéfice de l’industrie, notamment minière. Dans un article du Huffington Post Canada, l’écologiste canadien David Suzuki a déclaré que la catastrophe était « prévisible » et a critiqué l’usage de bassins de décantation ouverts pour les déchets miniers. « Certaines mines souterraines plus petites trouvent des moyens plus sûrs pour traiter les déchets, par le remblayage des résidus. Il existe également l’option de faire sécher les résidus, ou de les transformer en pâte avant confinement », a-t-il précisé. « Les solutions plus sûres coûtent plus cher, ce qui les rend moins attractives pour des entreprises qui ne pensent qu’aux profits. Mais l’industrie minière [de la Colombie-Britannique], qui pèse 8 milliards de dollars, a les moyens de dépenser un peu plus pour la sécurité publique et pour l’environnement. » Des élus financés par l’industrie minière Les autorités gouvernementales ont également été accusées de délibérément minimiser les conséquences du déversement d’eaux usées toxiques. Au Canada, les gouvernements provinciaux entretiennent souvent des liens étroits avec l’industrie, et les registres de campagne indiquent qu’Imperial Metals, ses filiales et leurs investisseurs ont versé depuis 2005 plus de 200 000 dollars canadiens (140 000 euros) au Parti libéral de Colombie-Britannique, au pouvoir dans la province. Le principal actionnaire d’Imperial Metals a également organisé l’année dernière une soirée privée de collecte de fonds en appui à la campagne de réélection de la Première ministre de Colombie-Britannique, Christy Clark. Une commission d’enquête mise en place par les autorités de Colombie-Britannique suite à l’accident semble ne s’être penchée que sur les éléments techniques, sans s’interroger sur d’éventuelles lacunes dans la législation ou dans la supervision gouvernementale. Le parti écologiste de Colombie-Britannique a lancé une pétition en ligne réclamant une enquête réellement indépendante sur les causes de la catastrophe. « Cette crise, qui n’aurait jamais dû avoir lieu, met en lumière une défaillance systémique dans la législation et les normes environnementales de la Colombie-Britannique, dans les protocoles de surveillance et d’application, ainsi qu’une absence totale de préparation à une crise de ce type », a déclaré Jens Wieting, de l’organisation environnementaliste Sierra Club. « Si les risques sont trop élevés et si les solutions à long terme n’existent pas ou sont trop coûteuses, la seule manière de s’assurer que les résidus toxiques sont tenus à l’écart de nos cours d’eau et de nos paysages préservés devrait être d’interdire purement et simplement toute exploitation minière dans certains zones », estime David Suzuki. L’histoire dira si après la catastrophe de Mount Polley, le gouvernement et les habitants de Colombie-Britannique sont désormais prêt à envisager une telle éventualité. Jocelyn Timperley
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