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animo-aequoanimo

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  1. Des policiers perquisitionnant une maison de Phoenix, en Arizona, pour une affaire de drogue se sont finalement retrouvés à participer à une opération de sauvetage d'une durée de 10 heures visant à libérer un chiot pris au piège dans un tuyau d'égout. Selon les autorités, les agents se sont rendus à la résidence jeudi matin et ont découvert un très jeune chiot coincé dans un tuyau passant sous la demeure. Ils ont également trouvé sur les lieux une chienne adulte et deux autres chiots morts. Les animaux étaient vraisemblablement des chiens errants. Une entreprise de plomberie a réussi à localiser précisément le chiot grâce à un système de caméra et les sauveteurs ont pu retirer la bête du tuyau vers 22 h 30. Durant toute la durée l'opération, la société protectrice des animaux de l'Arizona a surveillé le petit chien, un mélange de pitbull et de terrier, et a estimé qu'il était âgé d'une ou deux semaines. Le chiot a été transporté à un hôpital vétérinaire local afin d'être soigné.
  2. À la suite de deux incidents, qui se sont déroulés dans le stationnement du Walmart de Renfrew, hier, la police provinciale de l'Ontario (PPO) rappelle au public l'importance de ne pas laisser des animaux domestiques enfermés dans un véhicule, surtout quand il fait très chaud. Les autorités ont été appelées sur place une première fois vers 16 h 40 pour venir en aide à un animal en détresse, qui avait été laissé dans une voiture. Au moment des faits, le thermomètre affichait 32 degrés Celsius, avec des températures ressenties qui avoisinaient 40 avec l'humidité. Des représentants de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) et des agents de la PPO ont effectué une intervention sur les lieux. Ils ont réussi à retrouver le maître de l'animal qui a reçu un avertissement. Approximativement une heure plus tard, vers 17 h 50, les policiers ont été appelés au même endroit pour un chien, qui était lui aussi enfermé à l'intérieur d'un véhicule. Le temps que les autorités arrivent, le conducteur de la voiture avait déjà quitté les lieux, mais des témoins ont relevé son numéro de plaque minéralogique, ce qui permettra aux agents d'effectuer un suivi. La PPO rappelle aux propriétaires d'animaux qu'il vaut mieux garder ces derniers à la maison lors des journées de forte chaleur ou magasiner dans des commerces qui disposent d'un chenil extérieur.
  3. Le maire de Montréal a ordonné lundi, à l’heure du midi, de retirer les calèches des rues de la métropole pour la journée en raison de la chaleur. Avec le facteur humidex, la température ressentie était de 38°C, rapporte le Cabinet du maire. Le règlement municipal exige de retirer les calèches lorsque le mercure atteint 30°C. La demande était en vigueur pour le reste de la journée et sera à refaire dans les prochains jours si les conditions météorologiques l’exigent.
  4. Les policiers montréalais ont reçu un appel pour le moins inusité peu avant une heure du matin, dans la nuit de mardi à mercredi, d’un citoyen de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve qui venait de rencontrer Monsieur Ali dans une ruelle. L’appel était tout à fait justifié puisque Monsieur Ali est un alligator qui se trouvait en cavale après s’être enfui de son bac de transport. Les policiers ont réussi à maîtriser le reptile jusqu’à l’arrivée de membres du refuge animalier Le Berger Blanc qui l’ont capturé et mis en cage. Ce n’est que ce matin que la propriétaire de la bête, Émilie Gaudry, s’est manifestée pour récupérer la bête. La jeune femme est propriétaire d’une entreprise d’animation qui fait des présentations éducatives de reptiles et autres animaux exotiques pour divers événements. Ali se trouvait en transit chez Mme Gaudry après avoir été présenté plus tôt dans la journée à une fête d’enfants et devait être ramené à son refuge le lendemain. Toutefois, l’employé qui avait ramené la bête chez elle avait mal fermé le bac, l’alligator en est sorti et, comme il faisait très chaud et que la porte de la résidence de sa propriétaire était ouverte, avait pris le large. Mme Gaudry, qui détient un permis de jardin zoologique, a expliqué avoir cherché en vain l’animal et prévoyait avertir les services policiers ce matin lorsqu’elle a pris connaissance de sa capture aux nouvelles. Elle a précisé que l’animal, qui est âgé de 6 ans, est socialisé et habitué à la présence humaine mais qu’il s’agit néanmoins d’un animal sauvage autour duquel la prudence est toujours de mise. Elle a ajouté qu’il s’agissait du premier incident du genre depuis la création de l’entreprise en 2008.
  5. L’entreprise utilise des permis sans autorisation et fait l’objet de nombreuses plaintes pour maltraitance Un homme avec un dossier criminel est en train de se bâtir un monopole dans l’industrie des calèches du Vieux-Montréal, et presque toutes les plaintes sur la maltraitance des chevaux ciblent son entreprise. ◾ À LIRE AUSSI : Gestes vétérinaires illégaux dans les écuries L’écurie Lucky Luc est dans la mire de la SPCA depuis plus de deux ans en raison de nombreuses plaintes sur l’état de santé précaire de certains de ses chevaux et l’insalubrité de son écurie. Les huit chevaux malades ou blessés qui ont été retirés des rues depuis le début de l’été appartiennent tous au propriétaire de Lucky Luc, Luc Desparois. Ce dernier a un casier judiciaire pour production de cannabis et est décrit par nos nombreuses sources comme un caléchier qui ne respecte pas les règles de l’industrie. En vertu d’une demande d’accès à l’information, Le Journal a obtenu une copie du rapport de la constable spéciale du Bureau des enquêtes de la SPCA, qui a visité l’écurie le printemps dernier. Cette dernière se disait « très préoccupée » par les conditions de garde des chevaux. Luc Desparois, Propriétaire de Lucky Luc. Photo Martin Alarie Maltraitance Les nombreux témoignages colligés par Le Journal font carrément état de maltraitance. Il est question de journées de travail de 16 heures pour les chevaux et d’injections d’un puissant anti-inflammatoire (butazone) faites par les cochers eux-mêmes pour permettre aux bêtes qui boitent de travailler quand même. Même l’arrondissement Ville-Marie, qui gère les permis de calèche, souligne que huit constats d’infraction pèsent contre M. Desparois, dont certains concernent l’état de ses chevaux. Illégal, dit la Ville En dépit des nombreuses plaintes dont il fait l’objet, Luc Desparois ne cesse d’accroître son influence sur l’industrie, et ce, même si la Ville ne délivre plus de permis hippomobile afin de limiter le nombre de calèches dans le Vieux-Montréal. Actuellement, 24 permis sont en circulation. Sur le lot, Luc Desparois en possède officiellement sept, selon la Ville. Mais grâce à un stratagème de rachat, il exploite en fait douze permis. Un transfert de permis de calèche d’un propriétaire à un autre doit être autorisé par la Ville, mais depuis au moins six ans, M. Desparois se moque de ce règlement. Un jugement datant de 2010 explique que le caléchier fait des ententes avec plusieurs détenteurs de permis hippomobiles afin d’exploiter leur permis grâce à la trentaine de cochers à sa disposition. « La Ville ne reconnaît pas cette pratique, mais elle semble la tolérer », expliquait le juge David L. Cameron, dans un jugement portant justement sur une entente qui a mal tourné. Luc Desparois avait alors été condamné à payer 3500 $ (plus 4177.22 $ de frais d’avocat) à une cochère pour avoir saisi son cheval et sa calèche de façon « abusive » après lui avoir acheté l’animal et son permis de calèche. Informé de la situation, hier, l’arrondissement Ville-Marie a indiqué que M. Desparois contrevenait au règlement en exploitant 12 permis plutôt que sept. « Aucune autorisation de rachat n’a été donnée par l’arrondissement », a-t-on précisé. La SPCA lance aujourd’hui une pétition pour éliminer les calèches du Vieux-Montréal. PLUS : http://www.journaldemontreal.com/2015/08/13/le-iking/i-de-la-caleche-denonce?ref=yfp
  6. La police fracasse la vitre d’un véhicule pour sauver 3 chiens à Sault-Ste-Marie La police de Sault-Ste-Marie enquête, après que ses agents eurent dû intervenir, mardi, pour libérer 3 chiens prisonniers, en pleine chaleur, d'un véhicule verrouillé, au centre-ville. Les animaux ont été confiés à l'organisme Humane Society. Quelqu'un avait appelé les policiers vers 16 h pour leur signaler le problème. Les autorités rappellent aux propriétaires d'animaux, qu'en temps de canicule, la température peut atteindre 40 °C à 60 °C dans un véhicule, même si les fenêtres sont entrouvertes. La police de Sault-Ste-Marie dit avoir reçu sept appels depuis le début juillet au sujet d'animaux en détresse dans des véhicules. Mardi, la police régionale de York a été appelée au centre commercial Vaughan Mills relativement à un chien déshydraté à l'intérieur d'une voiture. Les policiers rappellent aux résidents qu'ils s'exposent à une amende de 930 $ dans de tels cas.
  7. L’opération de sauvetage de la colonie de chats retrouvée mardi dans une résidence insalubre de Charlesbourg est maintenant terminée. Alors que les autorités évaluaient au départ à trente le nombre de félins qui pouvaient se retrouver à l’intérieur, c’est finalement 23 chats, dont trois morts, qui ont été évacués en trois jours de la maison du carré d’Oléron, par la compagnie Contrôle d’animaux domestiques (CAD). Certaines petites bêtes, trop infestées de parasites, devront être euthanasiées, mais leur nombre n’a pas été précisé. «Aucune euthanasie n’a eu lieu pour le moment, a indiqué Jessica Poulin, porte-parole de CAD, vendredi en fin d’après-midi. Les prochaines étapes dans ce dossier vont demeurer confidentielles», a-t-elle prévenu. Rappelons que les propriétaires de la demeure, un couple de sexagénaires, ont été évacués mardi soir après que les policiers, qui répondaient à un appel d’urgence, eurent découvert ces lieux rendus insalubres par l’accumulation d’excréments de chats. La concentration d’ammoniac dans l’air frôlait le seuil où la vie des occupants était en danger, ont révélé les pompiers. Le couple, d’abord transporté à l’hôpital, a été pris en charge par l’organisme PECH.
  8. Le Centre de la petite enfance Les P'tits Soleils de Sainte-Dorothée à Laval prend les grands moyens pour boucler son budget de plus en plus réduit. Depuis trois mois, les enfants ne mangent plus de viande, c'est trop cher. Les repas sont confectionnés avec des légumineuses ou du tofu. La directrice du CPE a expliqué au Journal de Montréal qui rapporte la nouvelle dans son édition d'aujourd'hui qu'elle n'a pas eu le choix de couper dans l'alimentation des enfants. Touché par les coupes du gouvernement Les P'tits Soleils a vu son budget amputé de 80 000 dollars en deux ans. Un poste de cadre a donc été aboli puis des collectes de fonds ont été organisées, mais il fallait couper ailleurs. Grandir en santé Graduellement, les enfants ont eu de moins en moins de viande dans leurs repas. Des lentilles et du tofu ont remplacé le bœuf et le poulet. Ce choix forcé est-il bon pour les petits? «C'est tout à fait acceptable pour les enfants de manger moins de viande et de se tourner vers les options végétariennes tels le tofu, les lentilles et les autres légumineuses. Tant que le menu est équilibré et varié et que l'on remplace la viande, les enfants peuvent grandir en santé et avoir tout ce dont ils ont besoin», juge la nutritionniste Stéphanie Côté. Et les parents, craignent-ils que leur progéniture en souffre? «Le gouvernement coupe, mais les enfants ne sentent rien. Ils sont nourris comme il le faut. C'est le meilleur CPE que l'on ne peut pas avoir. C'est mon deuxième qui vient ici», a dit une mère interviewée par TVA Nouvelles. Repas servis au CPE Les P'tits soleils Avant l'implantation de la diète végétarienne: • Pâté au poulet et salade de chou • Boulettes suédoises et pommes de terre aux champignons crus • Dindon à la thaïe avec vermicelles de riz • Ragoût automnal Depuis l'implantation de la diète végétarienne: • Bâtonnets de tofu grillés aux fines herbes avec orge pilaf • Ragoût de légumes et de pois chiches servi avec de la semoule de blé • Tofu Teriyaki et légumes avec nouilles aux œufs • Macaroni au tofu Tous les repas sont servis avec un dessert (yogourt ou fruit) et du lait rapporte le Journal de Montréal. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2015/06/20150623-102918.html
  9. Les pompiers sont intervenus hier dans une maison insalubre de l'arrondissement Charlesbourg. L'urine et les excréments d'une trentaine de chats sur place ont rendu la maison nuisible à la santé. Ce sont les policiers qui se sont d'abord rendus au 1361 carré d'Oléron. Devant l'odeur nauséabonde qui se dégageait des lieux, ils ont décidé de faire appel aux pompiers. « Pour la sécurité des intervenants, nos pompiers sont intervenus avec des équipements de protection », raconte le porte-parole du Service des incendies Jean-François Daigle. Les équipes spécialisées en matières dangereuses ont dû évaluer les concentrations de gaz à l'intérieur avant de procéder à la décontamination. Une forte concentration d'ammoniac a été retracée dans la maison du couple dans la cinquantaine. L'homme et la femme ont été transportés dans un centre hospitalier pour une évaluation de leur état de santé. La Société protectrice des animaux de Québec a également été appelée sur les lieux. Les pompiers ont complété leur opération vers 21 h 15 hier. La sécurité civile doit se rendre sur place ce matin.
  10. Quasiment nus, couverts de faux sang, une centaine de membres des associations de défense des animaux Peta et AnimaNaturalis ont protesté samedi à Pampelune (nord) contre les traditionnels lâchers de taureaux de combat lors des fêtes de la San Fermin. La majorité d'entre eux se sont entièrement couverts de faux sang, tandis que d'autres portant des fausses cornes de bovins affichaient des pancartes proclamant en plusieurs langues «les rues de Pampelune sont souillées du sang des taureaux». Les associations de protection des animaux veulent attirer l'attention sur le fait que «des douzaines de taureaux souffrent de lésions pendant que les participants les poursuivent, les frappent et les terrorisent sur le chemin de leur mort éventuelle sur la place des taureaux de la ville», selon un communiqué. Lors des fêtes de San Fermin, qui se tiendront cette année du 6 au 14 juillet et attirent chaque année des centaines de milliers de personnes venues du monde entier, des taureaux de plusieurs centaines de kilos sont lâchés derrière les coureurs vêtus du traditionnel habit blanc et foulard rouge. Tous dévalent dans les rues étroites de la ville, qui mènent jusqu'aux arènes où il est prévu que les animaux soient mis à mort au cours des corridas de la journée. Selon l'organisation Peta, les taureaux sont victimes de «décharges électriques et de baguettes effilées» avant le lâcher, ils risquent ensuite de se blesser dans les rues et leur mise à mort dure encore 15 minutes une fois arrivés dans l'arène. Elle demande à l'Espagne de mettre fin à cette tradition. Le pays compte d'autres traditions taurines controversées comme celle consistant à fixer un produit inflammable sur les cornes d'un taureau qui finit souvent brûlé en essayant de se débarrasser des boules de feu.
  11. Un couple de Rouyn-Noranda, qui revendique un changement de réglementation de la Ville pour garder son microcochon comme animal de compagnie, a lancé en ligne aujourd'hui une pétition pour prouver l'appui de la population à leur cause. Mélissa Morin et Daniel Lévesque ont recueilli un peu plus de 200 signatures samedi après-midi. « Tout simplement pour essayer de faire comprendre à la Ville que vraiment, on veut se mobiliser. On a la population de Rouyn-Noranda et plus derrière nous. On a des gens de Val-d'Or, Amos, La Sarre, beaucoup de personnes de l'extérieur, Montréal, Gatineau [...] On veut démontrer à Rouyn-Noranda qu'on a l'appui de la population », explique Daniel Lévesque. Le couple n'a pas encore déterminé combien de temps ils laisseront la pétition en ligne et combien de signatures ils espèrent. Ils préfèrent avant tout discuter dans un premier temps avec la Ville de Rouyn-Noranda. D'ailleurs, Mélissa Morin et Daniel Lévesque iront à la Ville de Rouyn-Noranda lundi, déposer une lettre répondant aux inquiétudes de la ville à permettre les microcochons comme animaux de compagnie. « Vous avez peur que votre ville soit envahie par les cochons, qu'on en retrouve dans les SPCA? Je ne crois pas que n'importe qui soit prêt à payer le prix que coûte un microcochon, de plus, les éleveurs prennent de soin de s'assurer qu'il n'y ait aucune reproduction possible », lit-on, entre autres, dans la lettre signée par Mélissa Morin.
  12. La Société protectrice des animaux d'Ottawa recherche des témoins qui pourraient aider à retrouver l'individu qui s'est débarrassé de son chaton, en le jetant aux ordures, vivant. Un marcheur a découvert l'animal vendredi matin près d'un parc, dans le quartier Barrhaven, après l'avoir entendu miauler. Le chat de quatre mois se trouvait dans un sac à ordures, parmi d'autres déchets. Il a été pris en charge par la SPCA d'Ottawa. Le chaton souffre d'une plaie à l'oeil droit et d'éraflures sur le museau. On lui a donné un nom, « HOPE », ce qui veut dire « ESPOIR ». Par ailleurs, la SPCA de l'Outaouais a ouvert ses portes à de nouveaux locataires. Il s'agit de neuf chiens âgés de 4 à 7 ans. Ils ont été mis en adoption depuis 10 h, vendredi matin. Ces chiens proviennent d'une saisie effectuée par la SPA de l'Estrie, au mois de mai dernier. Plus de 200 chiens avaient été saisis dans une installation d'élevage à grande échelle dans la région de Bonsecours.
  13. MONTRÉAL — Alors que, comme chaque 1er juillet, les refuges du Québec font face à l'arrivée massive d'animaux de compagnie, des groupes de défense des droits des animaux espèrent que le gouvernement annulera le droit des propriétaires d'interdire aux locataires d'emménager avec leur compagnon poilu. Chaque 1er juillet, des milliers de Québécois déménagent alors que leur bail arrive à échéance. Les nouveaux propriétaires ayant le droit d'inclure aux baux une clause d'interdiction des animaux, chats et chiens se retrouvent souvent à la rue ou dans les refuges. La porte-parole de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA), Anita Kapuscinska, se désole de voir des familles ainsi brisées. Selon elle, la majorité des gens contraints d'abandonner leur animal domestique sont ceux ayant un revenu moindre, car ils ont accès à un choix de résidences plus limité. Plus tôt cette année, Québec a présenté un projet de loi qui définirait les animaux comme des «êtres doués de sensibilité» et qui «ont des impératifs biologiques». Mme Kapuscinska rapporte que les défenseurs des animaux recommanderont un amendement à ce projet de loi, pendant les consultations publiques qui auront lieu plus tard dans l'année, pour faire invalider la clause permettant aux propriétaires d'interdire les animaux dans les baux résidentiels, une mesure discriminatoire selon la SPCA. Une pétition de 22 000 noms en ce sens a d'ailleurs été déposée à l'Assemblée en juin. «Nous allons travailler sans relâche pour faire amender notre Code civil pour inclure l'interdiction de l'usage catégorique de clauses contre les animaux», a assuré Mme Kapuscinska. Un porte-parole pour une association québécoise représentant les propriétaires, Hans Brouillette, soutient que ses membres ont eu de mauvaises expériences avec les animaux et qu'ils veulent le statu quo. Les propriétaires ont été sondés il y a quelques années: environ trois pour cent d'entre eux acceptaient les chiens, tandis que 23 pour cent y étaient ouverts, sous conditions. Ils étaient plus flexibles avec les chats. Ce sont souvent les autres locataires qui se plaignent des animaux, du bruit ou des odeurs qu'ils engendrent, explique M. Brouillette. La clause d'interdiction d'animaux est par ailleurs souvent ignorée et les propriétaires se retrouvent avec toutes sortes de locataires inattendus, des chats aux chiens en passant par les cochons et les serpents. La SPCA aimerait que le gouvernement Québec s'inspire de l'Ontario, la Belgique ou la France, qui ont invalidé les clauses interdisant les animaux, tout en assurant un suivi adéquat lorsque des dommages sont infligés au logement. Au refuge de la SPCA de Montréal, l'affluence triple à ce temps-ci de l'année, passant de 600 nouveaux arrivants durant un mois normal à 1600 par mois entre juin et la fin août. «Nous sommes certains que si les clauses sur les animaux dans les baux résidentiels étaient annulées ou invalidées, notre taux d'abandon baisserait significativement durant cette période», assure Anita Kapuscinska.
  14. Le Service de police de Laval demande l'aide du public afin de repérer le lieu qui serait le théâtre de combats de chiens et d'identifier les organisateurs de ces événements illégaux. La police a ouvert une enquête le 21 janvier dernier lorsqu'un citoyen a découvert cinq chiens dans un stationnement d'un commerce du quartier industriel de Chomedey. Les animaux, qui étaient entassés les uns sur les autres, ont été retrouvés un peu avant 2 h, lors de cette nuit hivernale. Les chiens ont été examinés par des vétérinaires qui ont établi qu'il s'agissait de chiens de race pitbull. Très maigres, les chiens souffraient de malnutrition et présentaient des signes de sous-développement. Les animaux présentaient également des caractéristiques permettant d'avancer qu'ils avaient été utilisés dans des combats. Couverts de cicatrices, dont des trous de canines, des blessures au cou et à la tête - ils se trouvaient dans un tel état physique qu'ils ont dû être euthanasiés. Le service de police de Laval demande aux citoyens qui auraient des informations à ce sujet de communiquer avec lui de façon confidentielle via la ligne info au 450-662-4636 ou tout simplement en signalant le 911.
  15. Un homme de Québec qui veut garder une corneille comme animal domestique écope d'une amende de 500 $. Simon Pérusse devra plaider sa cause devant les tribunaux s'il veut conserver chez lui son oiseau baptisé Moko. Il a trouvé Moko il y a six ans alors qu'il était un oisillon avec une aile cassée. Il en a fait « plus qu'un animal de compagnie », ayant pris l'habitude de l'emmener au travail, où il œuvre comme guide au site historique traditionnel huron à Wendake. « Je fais de l'enseignement avec Moko, je travaille auprès des enfants et des touristes et je suis dans le domaine de la culture amérindienne depuis 15 ans. Ça fait six ans que je travaille avec Moko », a-t-il affirmé. Selon M. Pérusse, l'oiseau ne pourrait pas survivre dans la nature parce qu'une de ses ailes est trop abimée. « Il a commencé à voler juste un peu l'an dernier à l'âge de cinq ans. Il vole très, très peu. Il peut faire peut-être cinq pieds. Alors il est impossible pour lui d'être autonome. » Les problèmes de Simon Pérusse ont commencé après le dépôt d'une plainte au sujet de l'animal. « Ma maison est à vendre, j'ai pris un appartement et je m'étais entendu avec le propriétaire comme quoi j'avais un chien, un chat, une corneille et une semaine avant d'entrer dans le loyer. Le propriétaire m'a dit qu'il n'était pas question que je rentre avec la corneille », a-t-il raconté. Après s'être renseigné auprès de la Régie du logement, le propriétaire de l'immeuble a décidé de faire une plainte auprès du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune, car il est illégal d'être en possession d'une corneille. Celle-ci ne figure pas dans la liste des espèces admises à la garde en captivité sans permis. C'est après avoir été mis au courant du dépôt de cette plainte que Simon Pérusse a entamé des démarches auprès du ministère afin d'obtenir un permis, ce qui lui a été refusé. Une pétition a été lancée sur Internet pour que Simon Pérusse puisse garder Moko. Lundi, à 16 h 30, 946 personnes l'avaient signée.
  16. Pour une troisième année consécutive, le Québec est sacré en 2014 meilleure province pour maltraiter un animal par l’Animal Legal Defense Fund (ALDF). Les manchettes traitant d’usines à chiots et de cas de cruauté envers les bêtes sont monnaie courante. Actuellement, les animaux sont considérés comme l’équivalent de simples meubles aux yeux des tribunaux québécois. Le projet de loi 54, déposé début juin par le ministre Pierre Paradis, modifie le Code civil du Québec afin que les bêtes domestiques et certains animaux sauvages soient reconnus comme des êtres vivants doués de sensibilité et capables de ressentir la douleur. Les propriétaires d’animaux devront s’assurer que le bien-être et la sécurité de leurs compagnons de vie ne sont pas compromis. Pour le ministre de l’Agriculture, cette pièce législative était nécessaire pour améliorer la mauvaise réputation du Québec à ce chapitre. «Vous me permettrez de citer Gandhi: On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux», a d’ailleurs lancé M. Paradis lors du dépôt de son texte de loi. Combats d’animaux Le Code criminel pénalise déjà ceux qui encouragent les combats d’animaux. Le gouvernement Couillard va plus loin et serre la vis aux organisateurs de ces attractions. Dorénavant, il sera formellement interdit de dresser un animal pour le combat. La possession d’équipements ou des structures utilisés pour des combats de bêtes sera également proscrite. Usines à chiots On a tous en tête les images d’usines à chiots démantelées par les autorités, où les animaux sous-alimentés sont enfermés dans des cages insalubres trop petites pour eux. Le ministre Paradis veut encadrer davantage l’élevage et le gardiennage des animaux, de même que l’exploitation d’animaleries. Dorénavant, ces exploitants devront obtenir un permis délivré par le ministre de l’Agriculture. Immunité Québec met le paquet également pour encourager les dénonciations. L’an dernier, la ligne 1 800 ANIMAUX a été créée. Les médecins vétérinaires qui ont des motifs raisonnables de croire qu’une bête est victime d’abus auront l’obligation de tirer la sonnette d’alarme et de communiquer avec le gouvernement. L’immunité leur est accordée, comme à tout citoyen qui dénoncera des cas de maltraitance. Sanctions prévues au projet de loi 54 ◾ Les individus ou organisations coupables de cruauté envers les animaux sont passibles d’amendes oscillant entre 250 $ et 250 000 $ pour une première infraction. ◾ En cas de récidives, les amendes peuvent tripler pour atteindre un montant maximal de 750 000 $ ◾ Les récidivistes de la maltraitance envers les animaux s'exposent même à des peines d'emprisonnement pouvant aller jusqu’à 18 mois ◾ Les personnes reconnues coupables de négligence à l’égard des animaux peuvent aussi faire l'objet d'une ordonnance du tribunal leur interdisant d'être propriétaires ou d'avoir la garde d'animaux. Cette interdiction peut s’appliquer «à perpétuité». DES EXEMPLES AILLEURS DANS LE MONDE QUI ONT INSPIRÉ LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC France L’automne dernier, la France a changé le statut juridique des animaux. Considérés comme des «biens meubles» par le passé, les bêtes vivant sur le territoire français sont désormais des «êtres vivants doués de sensibilité». Dans l’Hexagone, l’abandon ou la maltraitance des animaux est passible d’amendes maximales de 30 000 euros et de peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans. Ontario En Ontario, les vétérinaires sont tenus de rapporter aux autorités les cas suspects d’abus et de négligence. Une escouade spéciale a été formée pour lutter spécifiquement contre les usines à chiots. Manitoba Le Manitoba a introduit en 2009 des amendements législatifs stricts pour punir les citoyens coupables de cruauté envers les animaux, incluant une peine de prison de deux ans et des amendes pouvant aller jusqu’à 60 000 $.
  17. "Un chasseur expérimenté a eu toute une frousse, mercredi soir, alors qu'il a été attaqué par un ours noir dans la Zec Chapeau-de-Paille, en Mauricie. L'homme d'une soixantaine d'années a été grièvement blessé à un bras, mais on ne craint pas pour sa vie. «Il était dans sa cache dans un arbre, l'ours est monté. Il a été agressé. [...] C'est quelqu'un qui avait une très grande expérience de chasse», a souligné la préposée à l'accueil de la zec, Ghislaine Flageole. L'événement a eu lieu à plusieurs kilomètres du chalet d'accueil. L'ours serait monté à trois reprises dans l'arbre pour s'en prendre à l'homme. «Les chasseurs mettent souvent leurs choses au pied de l'arbre et ils les montent avec une corde. Il a réussi à profiter d'une seconde d'inattention de la bête et il a monté son sac à dos. Il avait du poivre de Cayenne à l'intérieur et il a réussi à lui en envoyer pour l'incommoder», raconte Mme Flageole. La victime en aurait alors profité pour descendre et courir jusqu'à sa voiture. C'est par la suite qu'il est allé rejoindre ses compagnons de chasse. Ils se sont déplacés dans un chalet pour appeler les secours. «Les ambulanciers l'attendaient ici au poste d'accueil», a expliqué la dame. Cette dernière a également eu des nouvelles de l'homme quelques heures après l'événement. Jeudi, il était encore à l'hôpital de Shawinigan en attente d'une opération. «Il a un bras assez magané», lance-t-elle. C'est d'ailleurs le constat qu'a fait le premier répondant qui s'est rendu sur les lieux. «Il était conscient quand il est arrivé, mais il avait des blessures assez graves au bras droit. On a stabilisé la victime et elle a pris la direction du centre hospitalier de Shawinigan en ambulance», a fait savoir Fabrice Brière du Service incendie de la Vallée du Saint-Maurice. Il s'agissait d'ailleurs de sa première intervention pour une attaque d'ours. Pour le président de la zec Chapeau-de-Paille, il est encore trop tôt pour faire des commentaires, les dirigeants veulent prendre le temps d'avoir toutes les réponses à leurs questions. «Au moment où l'on se parle, on n'en sait vraiment pas beaucoup. [...] Oui, on est surpris parce que c'est très rare qu'il y a des incidents de cette nature avec les animaux. Est-ce qu'ils étaient sur un site d'appâtage, est-ce qu'il y avait des petits proches de là, ont-ils été imprudents? Je ne le sais pas. On ne peut rien avancer pour le moment», a souligné Jacques Guillemette. La chasse à l'ours est ouverte au printemps sur la zec Chapeau-de-Paille, mais des démarches pour l'ouvrir à l'automne ont déjà été entamées en raison de la croissance de la population d'ours. «Il y a un peu plus d'ours que d'habitude. Ce sont des prédateurs pour les animaux comme l'orignal. À la dernière assemblée, il y a eu une demande pour remettre la chasse à l'ours à l'automne. On veut maintenant garder le cheptel d'orignaux», a conclu M. Guillemette".
  18. Un groupe de citoyens a libéré, hier, sans l'autorisation du propriétaire, des chiens qui étaient confinés dans un temple bouddhiste insalubre, à Val-des-Monts. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de l'Outaouais, qui a accueilli les chiens, ne cautionne pas ce genre d'actions. Les autorités indiquent même que la générosité des bons samaritains pourrait se retourner contre eux. L'un des membres du groupe, Audrey Lapointe, rapporte que c'est son frère qui a fait la découverte samedi, alors qu'il effectuait une balade à proximité du temple bouddhiste Pho Da Son, situé au 11, chemin Katimavik, à Val-des-Monts. Une personne, qui s'occupait des chiens, lui a alors demandé s'il en voulait un, parce qu'il y en avait trop à l'intérieur de l'édifice. En voyant l'état des lieux où la vingtaine de chiens étaient gardés, il a prévenu sa soeur, ainsi que d'autres amoureux des animaux. Une dizaine de personnes, qui sont abonnées à la page Facebook La meute de l'Outaouais, sont revenues le lendemain, vers midi, pour voir si des animaux étaient en danger. « Quand on est arrivés sur les lieux, l'odeur, c'était... Si vous aimez les animaux, vous seriez sortis de là en pleurant. Ça faisait pitié. Les animaux étaient dans leurs excréments et leur urine », décrit Audrey Lapointe. Elle soutient qu'il y avait des serviettes absorbantes au sol et que ces dernières étaient pleines de déjections canines. Elle affirme aussi que l'aspect de certains animaux était repoussant. Jugeant que la sécurité des chiens pouvait être menacée dans ce refuge improvisé, les membres du groupe ont décidé d'intervenir, en les amenant à la SPCA. Audrey Lapointe soutient qu'une employée de l'organisme avait donné l'autorisation au groupe de venir avec les animaux. La directrice adjointe de la SPCA, Karine Dunnigan, conteste cette version des faits et parle d'un malentendu. Selon elle, aucun accord n'a été donné, d'autant que des démarches avaient été entamées au préalable par l'organisme. Une visite des lieux au cours des jours précédents avait permis de constater des problèmes de luminosité, de ventilation et d'insalubrité, mais rien qui ne justifiait une évacuation d'urgence. En outre, les chiens sont en bonne santé. Selon Mme Dunnigan, il faut que la santé des animaux soit menacée pour intervenir de la sorte et il y a des procédures à suivre. « On parle d'un animal excessivement malade, d'une respiration très lente, d'une mort imminente. Ou, on serait arrivés et la moitié des chiens aurait été des cadavres, des trucs comme cela. À ce moment-là, on a la permission de saisir, mais on doit quand même avoir un mandat de perquisition [de la part d'un] juge », précise-t-elle. « Si la SPCA jugeait qu'il n'y avait pas lieu [d'intervenir], il va falloir qu'elle revoie sa politique. [...] Ça ne tient pas la route », rétorque Audrey Lapointe, qui maintient qu'elle agirait exactement de la même façon si cela était à refaire. La SPCA a précisé à Radio-Canada qu'elle souhaitait travailler avec le propriétaire des chiens pour corriger la situation, plutôt que de lui prendre les animaux. Celui-ci serait actuellement à l'extérieur du pays. Ce sont des bénévoles qui s'occupaient des animaux, en attendant son retour. Selon la police de la MRC des Collines, le propriétaire aurait le droit de porter plainte, notamment pour vol, s'il le décidait. La SPCA rappelle pour sa part l'importance d'entrer en contact les autorités compétentes et de leur faire confiance, au lieu d'intervenir de son propre chef. Pour le moment, les chiens sont gardés dans les locaux de l'organisme, à Gatineau. Les animaux ne sont pas disponibles pour l'adoption tant que le propriétaire n'aura pas été rencontré. Rien n'empêche que les chiens lui soient rendus.
  19. "Coup de tonnerre dans le ciel de la tauromachie Victoire du CRAC Europe et de Droits des Animaux ! La Cour d'Appel de Paris donne raison aux associations de défense des animaux en considérant que : le classement de la corrida au Patrimoine Culturel Immatériel de la France a été abrogé ! En ce 4 juin 2015, nous apprenons par nos avocats, Me Eric Verrièle et Me Christophe Courage que la Cour Administrative d’Appel de Paris (CAA), saisie par les associations CRAC Europe et Droits des Animaux, a considéré dans un arrêt du 1er juin que la « décision d’inscription de la corrida à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France doit être considérée comme ayant été abrogée» par le ministère de la Culture. De ce fait, les associations attaquaient une décision de classement qui n’existe plus d’où le non-lieu à statuer dans la décision de la CAA (voir ci-dessous). « Article 1er : Il n'y a pas lieu de statuer sur les conclusions à fin d'annulation des associations " Comité radicalement anti-corrida Europe " et " Droit des animaux ". (…) » Les aficionados ne pourront donc plus se prévaloir de ce classement pour promouvoir cette activité occasionnant de graves souffrances pour les animaux. Classement opéré dans des conditions occultes, dénoncé par Frédéric Mitterrand lui-même alors ministre de la Culture : "La tauromachie n’est pas une tradition innocente et j’imagine le forcing auquel ont dû se livrer en catimini toutes sortes d’élus pour entraîner une poignée de fonctionnaires à consigner cette inscription (La récréation, 2013)". A l'heure où la France reconnait le caractère sensible de l'animal, et la commission européenne rappelle que "L’Union européenne attache une grande importance au bien-être animal", il est plus que temps d'abolir la corrida, ce à quoi, forts de cette victoire, nous allons plus que jamais continuer à nous employer." Pour le CRAC Europe Jean-Pierre Garrigues Pour DDA David Chauvet
  20. Un pêcheur sportif est décédé à Hawaii, vendredi, après s’être fait cribler le corps par un espadon, rapporte CNN. Le capitaine du bateau, Randy Llanes, se trouvait dans le port de Honokohau lorsqu’il a sauté – arbalète à la main – dans l’eau pour surprendre le Xiphiidés long de six pieds, selon Hawaii News Now. Même si le poisson a été atteint, ce dernier a néanmoins réussi à frapper l’homme de 47 ans à la poitrine à l’aide de son bec pointu. Des spectateurs présents sur place sont rapidement venus à sa rescousse de Llanes. Une fois son coprs retiré hors de l’eau, il ne répondait plus. Les premiers répondants ont ensuite tenté de le réanimer, sans succès. Son décès a été constaté à l’hôpital communautaire de Kona quelques instants plus tard. «Ceci est très inhabituel», a souligné Andrew Rossiter, directeur de l’aquarium Waikiki. Il y a eu quelques cas documentés dans le passé, mais ce sont habituellement de malheureux accidents ou un incident impliquant un poisson blessé.»
  21. Un présentateur de radio danois a tué en direct un lapereau à coups de pompe à vélo en affirmant vouloir dénoncer "l'hypocrisie" à l'égard du bien-être animal, provoquant un tollé ce mardi 26 mai. «Sans âme, cruel et sans scrupules», a notamment dénoncé une internaute sur Facebook. «Nous ne l'avons pas fait pour le plaisir du divertissement», s'est défendu la radio Radio24syv sur les réseaux sociaux. «Des milliers d'animaux meurent chaque jour pour que les gens puissent les manger. Nous achetons et mangeons des animaux qui ont eu une vie abominable. Et des animaux qui ont été tués dans les mêmes conditions (...) que le lapin dans le studio», écrit Radio24syv dans un communiqué. «J'avais reçu des instructions» Une militante de la défense des droits des animaux et star de la télé-réalité qui se trouvait dans le studio, Linse Kessler, a tenté en vain de sauver l'animal, avant d'être sommée de partir. «Je l'ai frappé fort sur le cou à deux reprises pour que les vertèbres cervicales soient fracturées», a expliqué le présentateur, Asger Juhl, à la chaîne de télévision TV2. «J'avais reçu des instructions d'un gardien du zoo de Aalborg qui tue plusieurs bébés lapins chaque semaine (pour nourrir) les serpents». Il a raconté avoir rapporté le lapereau mort chez lui, où il l'a écorché et dépecé avec ses enfants de six et huit ans. Il compte le servir en ragoût pour un dîner. Le zoo de Copenhague avait suscité une indignation mondiale l'an dernier en euthanasiant Marius, un girafon en parfaite santé, pour des raisons génétiques. L'animal avait ensuite été autopsié devant des visiteurs et dépecé pour nourrir les fauves. Si les Danois avaient pris fait et cause pour le zoo à l'époque, le tabassage d'Allan a provoqué des sentiments plus mitigés, certains dénonçant un coup de pub pour la station de radio.
  22. Un homme de 59 ans est mort jeudi après avoir chaviré dans le lac Gommard, au nord des monts Valin. La victime pêchait avec son fils lorsque l'accident s'est produit. Ce dernier a réussi à sortir de l'eau pour appeler les services d'urgence. « L'homme dans la cinquantaine se serait accroché à un bloc de glace et le fils, lui, a été en mesure de regagner la rive pour aller chercher du secours, explique la porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), Mélanie Dumaresq. Par la suite, les policiers se sont rendus sur les lieux pour tenter de déterminer ce qui s'est passé, pour porter assistance à la victime. » La SQ a confirmé ce matin le décès de l'homme de 59 ans. Selon les policiers, tout porte à croire qu'il se serait noyé. La victime et son fils portaient tous les deux leur gilet de sauvetage.
  23. Des graffitis sont apparus au cours des derniers jours sur l'une des cheminées de l'incinérateur des Carrières, dans l'arrondissement de Rosemont - La Petite-Patrie, à Montréal, en haut duquel un couple de faucons pèlerins est en train de nidifier. Même si les lieux sont abandonnés, cela pourrait faire fuir les rapaces. «J'aime bien l'art urbain mais quand il apparaît à un endroit que les faucons pèlerins utilisent comme endroit pour une nidification à venir, là j'ai un peu de misère avec cela», a commenté sur sa page Facebook l'ornithologue Richard Dupuis, qui travaille depuis plusieurs années sur un projet autour de ces rapaces à l'Université de Montréal. M. Dupuis a mené son enquête et affirme que les graffitis ont été réalisés par une ou plusieurs personnes qui ont grimpé jusqu'en haut de la cheminée entre le 2 et le 5 mai. «J'ai vu des photos de l'incinérateur prises le 2 mai et ils n'étaient pas là», a-t-il indiqué à l'Agence QMI. L'an passé, des faucons avaient déjà installé leur nid sur l'avant-dernière plateforme de cette cheminée de l'ancien incinérateur. Ils avaient fui avant la naissance des oisillons parce qu'ils avaient, déjà, été dérangés. Les graffitis représentent de haut en bas un «Y», un «U» et un «8», pour «Why You Hate». Le «Y» a été réalisé juste à l'endroit où se trouvent les faucons. «On ne part pas en guerre contre ces personnes, on veut juste les sensibiliser [et leur expliquer que ça a des conséquences de monter sur la cheminée]», a dit Richard Dupuis, soulignant que le taux de mortalité des faucons juvéniles est déjà très élevé. Sur sa page Facebook, l'ornithologue passionné lance un appel, entre autres, aux graffeurs et aux photographes de friches industrielles: «Évitez de fréquenter les secteurs des passerelles de la cheminée d'ici la fin de la période de nidification des faucons, qui pourrait être d'ici la fin juillet étant donné le début tardif à cet endroit». L'arrondissement a été averti, de même que les responsables de la faune à la Ville de Montréal. Il n'a pas été possible de savoir jeudi si des mesures seraient prises pour que les faucons puissent nidifier en paix.
  24. Un étudiant turc de 21 ans vient d’être condamné à une peine de trois ans de prison ferme pour avoir torturé son chat. Une peine sans précédent, dans la lignée du durcissement de la législation turque contre la cruauté envers les animaux. A Marseille, début 2014, l’opinion s’était émue après la publication d’images montrant un jeune homme projeter violemment un chaton contre une façade d’immeuble. Le coupable, surnommé le «lanceur de chat» dans la presse, avait été condamné à un an de prison ferme. Un cas similaire vient de se produire en Turquie, et la justice turque s’est montrée encore plus sévère: elle a ainsi condamné à trois ans de prison ferme un étudiant en littérature de 21 ans qui avait torturé à mort un chat qu’il avait adopté. Comme le «lanceur de chat» français, cet étudiant avait posté la vidéo de ses actes sur internet, suscitant l’émoi des défenseurs des animaux. Une peine sans précédent Les juges de la cour criminelle d’Eskisehir (centre ouest de la Turquie) ont estimé que le suspect ne pouvait bénéficier de sursis en raison de la «gravité de ses actes sur un animal» et ont refusé une réduction de peine, ou une possibilité de la convertir en amende, comme c’est généralement le cas, selon l’édition en ligne du journal Hürriyet. Le suspect a reconnu les faits et affirmé ne pas avoir de «problèmes psychologiques», précise le quotidien. La Turquie a adopté ces dernières années une législation plus stricte contre la cruauté envers les animaux mais les métropoles turques comme Istanbul, Ankara ou Izmir (ouest) comptent encore de nombreux animaux errants, faute de parcs spécialisés et de cliniques de stérilisation suffisants.
  25. Les pêcheurs de homard de la Gaspésie sont partis ce samedi matin pour mettre à l'eau leurs premiers casiers de la saison. Les pêcheurs effectueront les premières levées de casiers demain. Même si le début de la saison a été retardé à quatre reprises en raison des conditions météo défavorables et des glaces, le Regroupement des pêcheurs professionnels du sud de la Gaspésie s'attend à ce que l'impact soit minime pour les pêcheurs. Le directeur scientifique du Regroupement des pêcheurs professionnels du sud de la Gaspésie, Jean Côté, soutient que le homard Gaspésien est toujours le premier arrivé sur les marchés. Le crustacé gaspésien profite alors du fait qu'il y a peu de homard sur les marchés, les prix sont donc meilleurs. La saison de pêche doit durer 68 jours, peu importe la date de mise à l'eau des premiers casiers. Le Regroupement s'attend à ce que la ressource soit abondante, résultat des mesures de conservation mises en place au cours des dernières années. Les pêcheurs de homard des Îles-de-la-Madeleine doivent quant à eux mettre leur casiers à l'eau le 9 mai.
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