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Le mercredi 18 juillet 2007 Le port méthanier de Cacouna pourrait nuire aux bélugas Le secteur du fleuve où seront bâties les imposantes structures devant accueillir les super-méthaniers constitue en effet une véritable pouponnière pour ces baleines blanches. Presse canadienne Montréal Prévue pour durer trois ans, la construction du port méthanier d'Énergie Cacouna, tel qu'acceptée par Québec, pourrait nuire gravement à la population de bélugas du Saint-Laurent, selon Le Devoir. L'espèce, dont le cheptel stagne à 1000 individus depuis plus de 20 ans, est menacée de disparition. Le secteur du fleuve où seront bâties les imposantes structures devant accueillir les super-méthaniers constitue en effet une véritable pouponnière pour ces baleines blanches. Chaque année, de juin à octobre, de nombreuses femelles viennent y mettre bas et y passent quelques semaines, voire quelques mois avec leurs nouveau-nés. «Il est démontré que ces femelles sont fidèles à ce secteur, y reviennent année après année pour mettre bas et prendre soin de leurs jeunes», souligne d'ailleurs Véronik de la Chenelière, biologiste au Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins. Cette zone marine est donc particulièrement primordiale. «La période de mise-bas et d'allaitement est une période très sensible, qui demande un lien très étroit entre une mère et son jeune. Ils sont particulièrement vulnérables au dérangement par le bruit, ajoute Mme de la Chenelière. Évidemment, il faut que le jeune demeure avec sa mère s'il veut survivre. S'il y a un dérangement, qui entraîne la fuite des animaux, il y a un risque que ce lien essentiel et fragile soit brisé, donc qu'on condamne le petit. Ça peut avoir un effet direct sur le recrutement dans la population. Et on sait que c'est une population menacée qui n'augmente pas. On ne peut donc pas se permettre ce genre d'impact sur la population.» Or, la mise en place des installations maritimes du port méthanier occasionnera beaucoup de bruit sous l'eau, notamment lors du martelage des pilotis. La construction de la jetée et du quai d'amarrage pourra pourtant se faire de juin à octobre, alors que la «pouponnière» est achalandée, selon le «certificat d'autorisation» délivré par Québec à TransCanada Pipelines Limited et consulté par Le Devoir. Le document sera publié mercredi dans la Gazette officielle. Il impose au promoteur des mesures d'atténuation du bruit et une évaluation suivie quant à sa propagation. On indique également qu'il sera essentiel de pouvoir détecter la présence de bélugas près de la zone des travaux. http://www.cyberpresse.ca/article/20070718/CPSOLEIL/70718059/5019/CPSOLEIL
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Le mardi 17 juillet 2007 Ferme ravagée par les flammes à Saint-Maurice Mario Toupin devant les décombres de son étable à Saint-Maurice. L’entreprise avait jusqu’alors traversé trois générations et le fils de M. Toupin souhaitait reprendre le flambeau de la ferme qui appartenait à la famille depuis plus de 75 ans. Marjolaine Arcand Le Nouvelliste Trois-Rivières Un producteur laitier de Saint-Maurice a vu son gagne-pain s'envoler en fumée dimanche, alors qu'un incendie a lourdement endommagé son étable. Mario Toupin a perdu sa bâtisse, ses équipements ainsi que 35 vaches laitières. C'est aux petites heures du matin que la fille du fermier a vu le brasier dans la cour arrière et a crié au feu. "Nous nous sommes levés à toute vitesse", raconte Mario Toupin. Mais les flammes léchaient déjà la ferme, rénovée il y a moins de cinq ans. Les pompiers ont été appelés sur les lieux et ont combattu l'incendie, qui a fait rage pendant près de 16 heures. Un des hommes a été blessé en évacuant les bêtes. "Il a été coincé et s'est cassé la cheville. Il va être dans le plâtre durant un mois", explique le chef des pompiers de Saint-Maurice, Pierre Montreuil. La ferme ainsi que la machinerie qui se trouvait à l'intérieur, sont déclarés perte totale. Des pertes qui sont évaluées à plus d'un demi-million de dollars. "C'est le travail de toute une vie qui vient de s'effondrer, du jour au lendemain", se désole le producteur laitier. Selon lui, le feu aurait pris naissance à la suite d'une défectuosité électrique. Un avis que partage Pierre Montreuil. "Mais pour l'instant, ce n'est pas confirmé", précise le chef des pompiers, qui attend le rapport des experts. La ferme, qui avait jusqu'alors traversé trois générations de Toupin, comptait, au total, 75 têtes. Les quelque 40 bêtes toujours en vie ont été envoyées en pension chez d'autres cultivateurs de Saint-Maurice et Saint-Narcisse. "Il y a eu une bonne collaboration des cultivateurs environnants", souligne le chef des pompiers. "Le transport s'est fait rapidement afin d'éviter les dommages." Vacances forcées Pour l'instant, Mario Toupin et sa femme attendent les constats des assurances. "C'est des vacances forcées dont je me serais bien passé", assure l'homme, chagriné. Il ne sait pas encore ce qu'il adviendra de sa ferme et entend prendre un temps de réflexion avant de tout rebâtir. Maigre consolation, le couple pourra louer ses quotas de lait en attendant de pouvoir traire les vaches à nouveau. "Un incendie comme ça, on pense que ça n'arrive qu'aux autres. Ça désorganise un plan de vie", souligne Mario Toupin, surtout que son fils de 16 ans souhaitait reprendre le flambeau de l'entreprise, qui appartenait à la famille depuis plus de 75 ans. http://www.cyberpresse.ca/article/20070717/CPNOUVELLISTE/707170699/5409/CPNOUVELLISTE
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Oui en effet, on comprend mieux maintenant ! --------------------------------------- FOIE GRAS: Plusieurs commentaires intéressants trouvé dans le blog du Lapin Gourmand ex.: «Je me doutais que des êtres malveillants et sans coeur réussissaient à arriver à leurs fins en exploitant des pauvres bêtes dans le seul et unique but de s'enrichir, mais l'Elevage Périgord de St-Louis de Gonzage a, quant à moi, dépassé les bornes de la dégueulasserie en ce qui concerne la gratuité des gestes cruels, la méchanceté. Ces gens méritent le traitement qu'ils ont fait subir à ces pauvres animaux, mais, ils valent moins qu'eux. Si ces personnes étaient devant moi maintenant je ne pourrais me retenir, oh que non, je ne pourrais me retenir, je me suis endormie en pleurant de rage suite à ce reportage, et mon seul souhait c'est de voir ces gens dans la rue se faire lapider et GAVER d'injures. Les élevages du Périgord de St-Louis de Gonzagues et tous les autres écoeurants de votre espèce, vous méritez le même sort. Soyez maudits à jamais,» http://lapingourmand.com/quebec-et-canada/000193.html
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National | Mardi 17 jui 2007 | 07:17 Les gardes de parc de Parcs Canada ne peuvent plus faire appliquer la loi (CN)- Depuis le 9 mai dernier, les gardes de parc de Parcs Canada, qui ont pour mandat de prévenir le braconnage et d'assurer la protection des écosystèmes dans les parcs nationaux, n'ont plus le pouvoir de faire appliquer la loi. Bien qu'ils continuent à être présents sur le terrain, les gardes de parc doivent se contenter de constater les infractions. Parc Canada a pris cette décision après qu'un agent d'appel fédéral ait ordonné, en vertu du Code canadien du travail, d'armer les gardes-parc. C'est maintenant au ministère fédéral de l'Environnement de décidé s'il arme les gardes de parc ou s'il leur retire leur rôle d'agents de la paix en ce qui trait aux ressources naturelles. Aucune décision n'a été prise pour le moment concernant la suite des choses, mais le gouvernement n'entend pas porter la décision en appel. http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-gardes_parc_parcs_canada-337582-2.html
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Chronique Nos amis les animaux Richard Martineau 16/07/2007 10h27 Alors, les amis, allez-vous arrêter de manger du foie gras? Personnellement, je suis déchiré sur la question. D'un côté, j'aime manger de la viande - comme les lions et les tigres. Je suis sûr que si un lion vous croisait, il ne se demanderait pas si ça serait éthique de vous manger. Il vous mangerait, point. Il se foutrait des droits de l'Homme comme de sa première gazelle. Mais d'un autre côté, aucun lion ne regarderait un zèbre en se disant: «Hummmm, lui, je vais l'attacher, je vais le gaver de force pendant une couple de semaines, et quand il va être gros comme un loukoum, je vais lui couper la tête et étendre une partie de son foie sur une petite biscotte...» Vous me comprenez? Les animaux ne sont pas aussi sadiques que nous. Ils ne torturent pas, ils mangent pour survivre, pour assouvir leur faim. Pas pour «vivre une expérience culinaire». (Cela dit, aucun lion n'a peint le plafond de la chapelle Sixtine non plus...) FAUT-IL PROTÉGER SATURNIN? Notre rapport avec les animaux est étrange. Accepteriez-vous qu'on attache des chiens, qu'on les gave de force et qu'on les bouffe? Certainement pas. Vous trouveriez ça barbare. Alors pourquoi ça ne vous fait rien qu'on fasse la même chose avec des canards, qu'on les lance vivants sur un mur de béton, qu'on leur arrache la tête et qu'on jette leurs rejetons dans une déchiqueteuse? Pourquoi on protège les chats et les chiens, mais pas les poules? À ce que je sache, une poule, ça souffre... D'un autre côté, si on décide de «respecter» les poules, pourquoi ne ferait-on pas la même chose avec les poissons? Vous me direz que ce n'est pas la même chose, que les poissons n'ont pas de conscience. Qu'est-ce que vous en savez? Avez-vous déjà été poisson dans une vie antérieure? Où est la limite, concernant le respect des animaux? On trace la ligne où? Si on décide de protéger les droits des oies et des canards, pourquoi pas ceux des fourmis, des rats et des maringouins? LIBERTÉ, ÉGALITÉ, ANIMALITÉ Connaissez-vous la Deep Ecology? Les tenants de cette philosophie croient que les êtres humains ne sont pas plus importants que les animaux. Selon eux, chaque espèce vivante est sacrée, et aucune espèce ne pèse davantage sur la balance que l'autre. Je m'excuse, mais j'ai un chien et deux filles. Si un feu éclate dans ma maison demain matin, qui vais-je sauver en premier? Mon chien? Bien sûr que non. Je vais sauver mes filles. Je l'aime, mon chien, je l'adore, je trouve que c'est le chien le plus cool et le plus tripant du monde. Mais si je dois choisir entre lui et mes filles (ou n'importe quelle personne), je n'hésiterai pas un millième de seconde... Pourquoi ? Parce que pour moi, un chien n'équivaut pas à un être humain. C'est cruel, mais c'est ça. Les espèces vivantes, pour moi, n'ont pas toutes la même valeur. Certaines valent plus que d'autres. Cela dit, est-ce que cela me donne le droit de torturer des animaux? Non. C'est ce qui me dérange dans l'histoire du foie gras. Tuer des animaux est une chose. Les torturer en est une autre... http://www.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/archives/2007/07/20070716-102700.html
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Mardi 10 Juillet 2007 La cruauté animale pour bien manger. Je suis tanné d'en entendre parler. Ce matin, on rapporte deux nouvelles: 2 organismes du complexe écolo-environemental du Mexique portent plainte à une Commission de l'ALÉNA pour la façon dont le Canada fixe les quotas de chasse aux phoques. Après Brigitte Bardot, les gros seins à Pamela Anderson, Heather Mills, Paul McCartney, l'Italie et la Belgique, voilà que le Mexique s'en mêle. Imaginez la blague... le Mexique va nous faire la leçon en matière de développement agro-alimentaire alors que l'on détruit l'environnement là-bas sur une base quotidienne ! Le débat sur cette question est démagogique et ridicule. C'était de voir McCartney approcher un blanchon pour dénoncer la chasse aux phoques sur une banquise canadienne alors que cette même chasse aux blanchons est interdite depuis longtemps ! Quelle désinformation. On ne dit surtout pas d'ailleurs que les phoques sont rendus à Québec tellement il y a surpopulation ! Si ça continue comme cela, les phoques vont se ramasser sur la rivière Châteauguay en plein centre-ville de Huntingdon au printemps prochain. Mais là où l'inflation continue, c'est dans l'affaire de la lutte au foie gras. À l'époque, la Californie avait emboîté le pas. Gros débat sur la prohibition. Puis des municipalités américaines ont suivi en passant des règlements interdisant la transformation ou la vente du précieux mets. Vive les frites McDo au détriment de la gastronomie ! Ce matin, La Presse rapporte l'infiltration des Élevages du Périgord (tout juste à côté de chez nous), à St-Louis-de-Gonzague. Une entreprise florissante et très bien cotée qui fait vivre des centaines de familles. J'aimerais souligner qu'il s'agit de transformation agro-alimentaire et de chaîne alimentaire. Il est donc normal de tuer les canards en question. Avant de condamner de quelque façon que ce soit, il faut faire les constats suivants: L'employé espion a manqué à son devoir de loyauté envers l'entreprise; L'employé espion doit être congédié sur le champ; L'employé espion a causé un tort irréparable à l'entreprise et devrait être poursuivi; Une fois le "déchet" expulsé de l'entreprise, il y a lieu de s'interroger sur une seule question: Les procédures de mise à mort sont elles conformes aux standards fédéraux et provinciaux ? Au lieu de dénoncer dans La Presse, le petit "déchet" aurait pu utiliser la voie de la plainte et interpeller les organismes de contrôle. Là, on vient de jeter le discrédit sur toute une entreprise. Ridicule. Démagogie encore du complexe écolo-environnemental. Je dirais même plus, c'est carrément du terrorisme à l'endroit des entreprises. Bien évidemment, le gavage soulève bien des passions. Voir ce vidéo capté sur YouTube en cliquant ici. Et puis après ? Avez-vous déjà vu une mort qui n'était pas - en soi - cruelle ? Bien sûr, on pourrait retourner à une vision bucolique de l'agriculture, et attendre que le canard meurt de sa belle mort. Le problème, c'est que le jenne canard est meilleur au goût que le vieux duck. Même chose pour la vache de réforme ! Rien de mieux qu'un bon veau tendre à se mettre sous la dent. Pour cela, il faut les assassiner dans la jeunesse afin que le sang et la viande soient meilleurs. C'est le carnivore qui parle. Voilà, c'est fait. Je fonde illico l'Association pour la défense des carnivores de l'Amérique. Personnellement, je considère que la mise à mort forcée sera toujours cruelle en soi, mais c'est le prix à payer pour déguster un foie gras qui saura toujours nous apporter un plus grand bonheur que la vie même d'un simple canard. Bon appétit ! Stéphane Gendron J'ai faim ! Et Vous ? http://www.bloghuntingdon.com/article-6915850-6.html
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Des employeurs qui manquent de "foie", "gras"ce à un de leurs employés. Je sais, le jeu de mots n'est pas formidable. Je veux tout de même vous écrire quelques mots sur le sujet. Cette histoire de cruauté envers ces pauvres canards me donne la chair de "poule"...Ha ha, celui-là est meilleur. Je sais qu'il arrive pire à certains enfants et ailleurs dans le monde, mais avouez que c'est assez abominable. Ce qui me choque aussi dans cette histoire, c'est le fait que les propriétaires de l'entreprise semblent vouloir nous faire comprendre qu'ils n'étaient pas au courant et qu'ils tentent au maximum de se dissocier de ces gestes. Excusez-moi, mais lorsque vous êtes en affaires, vous devez savoir ce qui se passe dans votre cour. Il est vrai qu'on ne peut pas être derrière tous les employés, mais un employeur ne peut se dissocier de gestes semblables. Il y a des gens en qui nous avons confiance et qui sont là pour veiller au "grain" (Wow, je ne fais même pas exprès!) et voir à ce que tout se déroule adéquatement. Où étaient les personnes en charge de cet employé? N'y avait-il pas d'autres employés qui l'accompagnaient pour les mêmes tâches? Pour ma part, il me semble qu'il n'y a pas que l'employé qui devrait perdre des "plumes" dans cette histoire... Pour l'employé, croyez-vous qu'il est "cuit"? Dites-moi ce que vous en pensez, mais surtout ne me dites pas d'aller me faire cuire un "oeuf". http://www.blogue.canoe.com/quotidien/2007/07/13/des_employeurs_qui_manquent_de_foie_gras 13 commentaires Commentaires:
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et voila, c'est r'parti !!!!!!! Ontario urged to restore spring bear hunt Canadian Press July 13, 2007 at 1:33 PM EDT TORONTO — Hunting and tourism groups say the province cancelled the spring bear hunt in 1999 based on touchy-feely reasoning, and it's time for a new policy based on facts. Doug Reynolds of the Northern Ontario Tourist Outfitters Association says the hunt was cancelled by former Progressive Conservative premier Mike Harris because some argued it was leaving bear cubs orphaned. Mr. Reynolds said that claim has never been proved, and that with bear sightings on the rise, it is time to bring back the hunt. He said it would be a huge boost for northern Ontario's tourism industry while cutting down on instances of nuisance bears. A spokeswoman for Ontario's Ministry of Natural Resources said bear occurrences are up compared with last year, but she noted that the numbers are down from two years ago in some regions. The ministry also said there is no reason to bring back the spring hunt since plenty of hunting is done in the fall. But Mr. Reynolds said the spring is a key period for tourism operators in northern Ontario. Bringing back the hunt the, he said, could have a huge impact on businesses by extending their seasons a month or more. “To have four to six weeks of very high-value activity at the very beginning of the season is that little cash flow start that most businesses need,” he said. “You've just been through literally half a year of no income and very high expenses, because that's the time of the year you're doing your marketing. And to have a sudden infusion of cash into your business just as you're opening up for the season is tremendously important.” Mr. Reynolds said there is little risk to the government in bringing back the hunt, which would be applauded in northern Ontario and virtually ignored in the southern urban regions. “Northerners are very engaged in this story because they see the economic impact on their communities and they see the adverse impacts that nuisance bears are having in their communities,” he said. “I don't think any government would be running a huge risk to reinstate it. It would be very positively seen in the north, and frankly, it would be greeted largely with indifference in the south.” http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20070713.wbearhunt0713/BNStor\ y/National/home
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http://www.thestar.com/News/Ontario/article/234632 (en ONTARIO) Bear serves up scare for Muskoka chef BILL SANDFORD FOR THE TORONTO STAR Jeff Herrington, a cook at a luxury resort in the heart of Muskoka, had a close encounter with a bear at the back door of his kitchen. Recent Ontario encounters: Bears have been seen wandering in downtown Bracebridge and Peterborough. In recent weeks, Bracebridge OPP have shot two bears. Bracebridge Public School cancelled recess the last two days of class due to sightings. At the Wigamog Inn Resort in Haliburton last week, kids had to be locked in the tennis courts while a bear was scared off. Resorts from Clevelands House in Minett, Ont., to Cranberry Marsh Cove Resort in Bala, to the Delta Sherwood Inn in Port Carling have had brushes. At Parry Sound's Delta Rocky Crest Resort, general manager Alan Boivin says most sightings are on the golf course.Police shoot angry bruin as reports of encounters with humans explode Jul 11, 2007 04:30 AM Curtis Rush Staff Reporter Jeff Herrington, a cook at a luxury resort in the heart of Muskoka, was preparing a late-night meal at about 10 p.m. last Wednesday when a guest told him that a bear was at the back door of the kitchen trying to get in. Herrington walked outside to find out for himself. That almost proved fatal. Black bear encounters with humans in southern Ontario have exploded this summer, according to resort owners and Ministry of Natural Resources statistics. The black bear staring at Herrington at Clevelands House in Minett, Ont. was about 250 pounds. Cornered by a fence and wall, it charged him. The 37-year-old screamed, turned and ran. The bear was less than a metre behind, trying to swipe at his legs when Herrington dove over a railing and crawled on all fours to the edge of Lake Rosseau. He went deeper in the water to escape. Three people sipping drinks on the veranda couldn't believe what they were seeing. "It was the most terrifying experience I've had in my life," Herrington said. "I would have been a goner. It took me four hours to stop shaking." The bear gave up the chase, but it then raced up a path to the gift shop and almost attacked a 12-year-old girl. However, her screams apparently scared the animal off. Two days later, a bear was back, hissing at guests. Believing it to be the same one QUELLES PREUVES AVAIENT-ILS ? – and the same one that had been trapped and relocated 11 days earlier – resort owners called police. When officers arrived, the bear twice took a run them. Five bullets were needed to kill the animal. It was all over when guests were awakened at 10:30 p.m. by the gunshots. But many didn't know exactly what had happened until breakfast the next day. Explanations vary on why there are more bears farther south this year. The numbers in the Parry Sound area have exploded, according to numbers by the Ministry of Natural Resources. To date, there have been 694 occurrences this year as of July 8, compared to 251 at the same time last year. Resort owners fear the cancellation of the spring bear hunt in 1999 has led to the increase in the bear population, although the ministry disputes this. Other explanations include that mosquitoes have been particularly bad this summer, pushing the bears out into well-populated areas. Development is also being blamed for forcing the bears out of their natural habitat. Jolanta Kowalski, a spokesperson for the Ministry of Natural Resources, says some berry crops have not ripened yet and dry conditions have contributed to a depleted food source. However, she says the bear population has remained consistent in Ontario with anywhere from 75,000 to 100,000 bears.Sandy Cornell, assistant manager at Clevelands House, says notices advise guests that bears have been on the property. Esa Paltanen, who until recently was general manager of the Delta Sherwood Inn on the shores of Lake Joseph in Port Carling, said the bear situation has become "alarming." "Somebody's going to have to die for them to do something." Others try to maintain a sense of humour. Cornell joked that Clevelands House offers "tennis, golf and bear programs." http://www.thestar.com/News/Ontario/article/234632
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http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20070715/stampede_crash_0707\ 15/20070715?hub=TopStories Stampede horse deaths anger animal activists Updated Sun. Jul. 15 2007 8:35 PM ET CTV.ca News Staff A chuckwagon racing crash that led to the deaths of three horses at the Calgary Stampede has animal rights activists calling for an end to the event. "Anybody who sees this as sport or entertainment is living on another planet," Ken Erickson of the Calgary Animal Rights Coalition on Sunday. "I mean, animals are killed and injured almost every year at the Stampede and the only way to stoop it is to ban the chuckwagons and rodeo." His group had about 12 protesters outside the annual event's grounds. However, the Calgary Stampede's management said that's not even up for discussion. The activists have little support amongst cowboys and Stampede visitors. "Well, that pretty much puts and end to the Stampede doesn't it?" said spectator Joan Kirwan about the group's demands. "I mean, that's the whole purpose of coming down here." David Ryan, another Stampede-goer, said: "I think it's part of our heritage and part of being out in the west. It's what we do." Racer Wayne Knight said: "We work 12 months to race three months and everyday we feed those horses and look after them just like kids. If they get a cut we get a doctor." The Calgary Stampede -- which is synonymous with Alberta's largest, richest city -- dates back to 1912, with chuckwagon racing starting in 1923. The Rangeland Derby event, which has four horses pulling a chuckwagon around a track, currently has prize money of $1 million. The chuckwagon races -- often called the half-mile of hell -- are the final event of the night for the rodeo portion of the Stampede. There had been nine days of racing and 79 races without incident in the 2007 Stampede before the disaster happened. Saturday night's accident occurred as the racers were heading into the first curve. Two wagons bumped, setting off a chain reaction. One horse died instantly, another had to be euthanized on the track and a third was put down overnight. One driver was injured, suffering a broken arm. One outrider possibly saved even more injuries and chaos when he jumped into a wagon where the driver had been ejected. Veteran drivers admit this doesn't make their sport look good. "It's the worst aspect of the sport that any driver wants to see. You have guys that get hurt, you have horses that get euthanized," said racer Kelly Sutherland. Since 2000, 11 chuckwagon racing horses have died at the Stampede. Just before the 2005 Stampede, a group of rodeo bucking horses to be used in the rodeo got spooked as they were being herded across a bridge over Calgary's Bow River. Nine of them plunged to their deaths. With a report from CTV's Kevin Green
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Santé Graines de sésame contaminées Mise à jour le dimanche 15 juillet 2007, 17 h 14 . L'Agence canadienne d'inspection des aliments invite la population de la Nouvelle-Écosse à la prudence. Des graines de sésame vendues en vrac dans la province depuis le 1er juin pourraient être contaminées par la bactérie Salmonella. ... Des graines de sésame vendues au Québec et en Ontario pourraient être aussi contaminées. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2007/07/15/001-salmonelle-graine-sesame.shtml
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Michel Vastel Et les enfants maltraités? 14/07/2007 08h50 Le rapport annuel du Directeur de la protection de la jeunesse méritera-t-il autant d'attention que les vidéos amateurs sur le gavage des palmipèdes? Le Réseau d'action global a réussi un beau coup en diffusant, en plein milieu de l'été, des images tournées clandestinement en hiver, c'est-à-dire qu'il a fait parler de lui. Fera-t-il interdire le gavage des oies et des canards? Il s'en fout. Ce n'est pas le sort des canards qui l'intéresse mais le commerce du foie gras. Il veut le faire interdire et il lui fera sûrement grand tort, en particulier aux Etats-Unis. Ces gens-là se vantent d'être végétariens - comme si cela devait les rendre plus crédibles ! Mais c'est un fait que la bonne chère fait mauvais ménage avec les coeurs sensibles. Avez-vous déjà vu tuer un petit agneau, ou un veau de lait, ou un poulet? Avez-vous déjà vu une truite se débattre au bout d'un hameçon, ou une morue tenter de se défaire du filet du pêcheur? «Mais maudit que c'est bon !», finissent toujours par dire les âmes sensibles après s'être apitoyées sur le sort de l'animal. Le RAG, qui a pignon sur la rue Sainte-Catherine à Montréal, ne manque pas d'argent, d'autant qu'il maintient des liens avec les grandes associations américaines, responsables des campagnes contre la chasse aux phoques. Je souhaite que le Directeur de la Protection de la Jeunesse recrute les agents secrets du RAG. Au lieu de faire clandestinement la chasse à ceux qui maltraitent (?) les animaux, ces valeureux chevaliers de la vertu traqueraient tous ceux qui maltraitent les enfants. Ils pourraient même tourner clandestinement des vidéos qui aideraient la police à établir la preuve du mauvais traitement des enfants... http://www.canoe.com/infos/chroniques/michelvastel/archives/2007/07/20070714-085002.html
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Depuis le 23 juin 1994, la vente de viande chevaline est permise chez tous les détaillants en alimentation. Toutefois, la seule viande retrouvée sur les comptoirs réfrigérés est celle des chevaux de réforme. Ainsi, les consommateurs ignorent l’origine de leur viande de même que les traitements subis par l’animal au cours de sa croissance. Élever des poulains exclusivement pour la boucherie règlerait ce problème puisque cette production serait régie de manière uniforme pour tous les élevages. suite: http://www.agrireseau.qc.ca/cheval/documents/Seminaireandreanne[1].pdf
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Fort de 831 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2005, Euralis est implanté dans le sud-ouest de la France, dont il est l’un des premiers groupes coopératifs agroalimentaires. Il a depuis toujours fondé son développement sur une agriculture et des produits de qualité. Depuis quelques années, Euralis Gastronomie est devenu un leader mondial de l’exportation du foie gras, notamment avec la marque Rougié. C’est pour renforcer cette expertise internationale que le groupe a acquis, en juin 2005, la société Palmex, installée à Carignan, près de Montréal. Cette société a été créée en 1998 et est toujours dirigée par un couple de Français installé au Canada depuis 1983. L’image de marque de Palmex est très bonne, comme en témoigne la présence de ses produits sur les tables de restaurants aussi prestigieux que Toqué à Montréal, Alain Ducasse à ..... Impossible de recopier le texte complet,- Pour lire la suite http://www.uccife.org/bdd/media/revue_Gastonomie_nov06.pdf L’avenir du foie gras passe par le Québec Benoît Cruchet Directeur du développement zone amérique, Euralis gastronomie De la France au Canada, un Sylvie Maillard Responsable de la zone En acquérant la société canadienne Palmex en juillet 2005, le groupe coopératif français Euralis a pour la première fois mis le pied sur le continent nord-américain. Cette implantation lui permettra d’aborder plus facilement ce marché en proposant des foies gras produits au Québec. témoigne la présence de ses produits sur les tables de restaurants aussi prestigieux que Toqué à Montréal, Alain Ducasse à New York ou The French Laundry de Thomas Keller à Yountville, en Californie. Palmex a par ailleurs acquis une expertise commerciale internationale puisqu’elle exporte ses produits aux États-Unis depuis plusieurs années et, plus récemment, au Mexique. Cette implantation dans la région de la Montérégie au Québec a pour objectif de se rapprocher des marchés nord-américains, où la demande pour ce produit de haute gastronomie française ne cesse de croître. En produisant sur place, le groupe assure un service permanent répondant aux exigences de ses clients nord-américains. Il s’agit là, pour Euralis, d’un véritable gage de réussite. Se développer à partir du Québec Euralis Gastronomie souhaite d’ailleurs favoriser la croissance de ses activités au Québec. Les canetons, jusqu’à présent importés, pourraient bientôt y voir le jour, puisqu’un projet de reproduction sur place est à l’étude. Ce projet permettrait de développer la production en amont. Des investissements sont également prévus dans l’usine de transformation. Enfin, du côté commercial, c’est à partir du Québec qu’Euralis Gastronomie entend rayonner dans toute la zone nord-américaine, notamment aux États-Unis. Impossible de recopier le texte complet,- Pour lire la suite http://www.uccife.org/bdd/media/revue_Gastonomie_nov06.pdf
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Two horses killed after chucks wreck 2 chevaux tués lors d'une course de chariots au Stampede de Calgary Driver taken to hospital after being thrown John Down and Kim Guttormson, Calgary Herald Published: Sunday, July 15, 2007 A violent chuckwagon crash Saturday at the Calgary Stampede's GMC Rangeland Derby led to the deaths of two horses and the hospitalization of one driver. Tyler Helmig, a 45-year-old driver from Leduc, was ejected from his chuckwagon after it ran into the downed lead team of horses of Gary Gorst as they rounded the first turn of the seventh heat. EMS spokesman Mike Plato said Helmig was taken to Foothills Hospital with a possible broken arm and hip injuries. His injuries were considered non life-threatening. Gorst was not injured. Font: ****Calgary Humane Society peace officer Joan Treich said one horse died at the scene when its broken pelvis severed an artery and "death would have been fairly rapid" she said. The horse died before the vet arrived. The second horse suffered a leg fracture and was euthanized in the barn, Treich said. The Humane Society has determined the horses received the care required. They will submit a report after Stampede and will review the particulars of the accident. "We'll see what we're dealing with, whether it was interference, or what led up to it. If it was an accident or some kind of error" Treich said. Helmig's wife Cindy, his son and brother went to the hospital with him where he was undergoing X-rays. Friend John Lee said all Helmig's horses had been vet checked and were fine. Lee said everyone was concerned. "We new it was Tyler because of the yellow jacket," he said. "All the horses came back and are fine. "It's Tyler first and horses second. We'll deal with the rest in the morning." Head barn girl Laura Malcher said many have offered to help in today's race. "We'll wait until morning and see what Tyler says," she said. A distraught Gorst didn't want to comment. The crash was triggered when Gorst and Ray Mitsuing's outfits bumped together just moments before. Outrider Chanse Vigen was able to jump from his horse onto the pole of Helmig's wagon and, with assistance from other outriders, bring it to a stop without incident. Helmig is a former finalist making his 12th appearance in the sport's richest show. His rig finished the race. These are the first horse deaths of 2007 Stampede. http://www.canada.com/calgaryherald/index.html voir http://archives.cbc.ca/IDC-0-10-742-4536/vie_societe/stampede/clip4
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Le jeudi 12 juillet 2007 Un orignal en cavale L’orignal a complètement détruit la balançoire de Jean-Paul Gingras. Photo: Sylvain Mayer Éric Lallier Le Nouvelliste Trois-Rivières Les résidents du secteur Cap-de-la-Madeleine ont eu toute une surprise à leur réveil, hier. Ils ont reçu la visite plutôt inhabituelle d'un orignal, qui, paniqué et haletant, a entrepris une vive course à l'intérieur d'un très grand périmètre, près de l'autoroute 40. "J'étais stupéfaite et sous le choc", a raconté Amélie Milette, qui s'est retrouvée face à face avec la bête. Une cavale remarquée, qui n'avait rien d'une balade de courtoisie. Le cervidé, une femelle d'un an et demi, a parcouru toute une distance, sortant d'un boisé tout près du chemin de fer vis-à-vis le boulevard des Estacades, pour se rendre par la suite dans le secteur de la rue Rochefort, près du boulevard Thibeau, avant d'être finalement intercepté et capturé sur la rue Vachon. Une course folle qui aura duré plus d'une heure. Accompagnés par les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières, les agents de la faune ont réussi à endormir l'animal vers 7 h 50, à l'aide d'un fusil avec seringues hypodermiques. La bête était à ce point nerveuse et agitée que le travail était loin d'être simple. "Quarante-cinq minutes ont été nécessaires pour endormir l'animal. C'était très inquiétant pour nous puisque habituellement, ça va assez vite, peut-être cinq ou dix minutes", a expliqué le coordonnateur et agent de la faune, Benoît Fortin. Malheureusement, au moment d'être remise en liberté dans son milieu naturel, celle-ci ne s'est pas réveillée et les agents en présence ont constaté sa mort, probablement dû à ce choc nerveux. "Sa chaleur corporelle était très élevée et ses battements étaient très rapides. Elle était vraiment stressée", ajoute M. Fortin. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070712/CPNOUVELLISTE/707120715/5409/CPNOUVELLISTE