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  1. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Le dimanche 15 juillet 2007 Le sénateur qui veut sauver nos ours blancs Jack Reed, avec le sénateur démocrate Carl Levin. Photo Reuters Richard Hétu La Presse Collaboration spéciale New York Les phoques du Canada ont Brigitte Bardot et Paul McCartney. Les ours polaires, eux, ont Jack Reed, un sénateur américain peu connu et encore moins sexy. Mais nos grands mammifères blancs ne perdent peut-être rien au change. Le sénateur démocrate du Rhode Island est l'auteur d'un amendement qui interdira aux chasseurs de trophées américains de tuer des ours polaires au Canada et d'importer leur tête et leur peau aux États-Unis. La mesure, qui suscite une vive opposition chez les associations de chasseurs et de propriétaires d'armes à feu, doit être adoptée dans les prochaines semaines par le Congrès américain. C'est un combat un peu bizarre que celui de Jack Reed, dont les adversaires, y compris le puissant lobby américain des armes à feu, la National Rifle Association (NRA), défendent leur position en citant les écolos d'Environnement Canada. Mais d'abord, une précision importante : la chasse sportive aux ours blancs est interdite aux États-Unis, où le U.S. Fish et Wildlife Service envisage de classer les plus grands prédateurs de l'Arctique parmi les espèces menacées. Un quart des quelque 30 000 ours polaires se trouvent en Alaska, le reste vivant au Canada, au Groenland, en Norvège et en Russie. «Les ours polaires sont rapidement en train de devenir une espèce menacée», a déclaré le sénateur Reed dans un communiqué diffusé après le passage de son amendement, le 21 juin. «La chasse sportive à l'ours polaire est illégale aux États-Unis. Les chasseurs de trophées ne devraient pas pouvoir contourner l'esprit de la loi américaine en tuant des ours polaires à l'étranger et en ramenant leur tête à l'intérieur de nos frontières.» «Nous ne pouvons pas réguler la chasse dans les autres pays, a-t-il ajouté, mais nous ne pouvons mettre fin au massacre de ces animaux en ne permettant pas que leurs parties soient importées aux États-Unis. Avec la menace grandissante du réchauffement climatique, il est essentiel d'agir pour protéger ces animaux.» La mesure du sénateur Reed pourrait entrer en vigueur dès le 1er octobre, compromettant nombre de voyages organisés par des chasseurs de trophées américains au Canada. Ceux-ci paient jusqu'à 35 000 $ pour tuer des ours polaires dans les Territoires du Nord-Ouest, au Nunavut ou au Québec. Au cours des 10 dernières années, ils ont importé aux États-Unis plus de 800 têtes et peaux d'ours polaires tués au Canada. Le Safari Club International fait partie des associations qui luttent contre l'amendement Reed. Chaque année, l'organisme remet un trophée appelé «Bears of the World» aux chasseurs qui ont tué quatre des huit espèces d'ours dans le monde. Ce trophée contribue à la popularité de la chasse à l'ours polaire. Avec sa subtilité habituelle, la NRA a réagi à l'amendement Reed en le qualifiant de «pas vers l'interdiction de toute chasse» aux États-Unis. Le lobby des armes à feu s'est joint à une coalition qui combat le sénateur Reed en citant la position d'Environnement Canada. Cette position se résume ainsi : bien régulées, les chasses traditionnelle et sportive ne constituent pas une menace pour la population canadienne d'ours polaires. Dans le cadre du système actuel, des quotas sont accordés à chaque village inuit pour la chasse à l'ours polaire. Les chasseurs ou pourvoyeurs autochtones ont ensuite le droit d'attribuer un certain nombre de permis à des chasseurs sportifs non-résidents, à qui ils servent de guide. Pour les petits villages du Nord, les chasseurs de trophées américains et leurs dizaines de milliers de billets verts constituent une source de revenus importante. «Le U.S. Fish and Wildlife Service a offert un ferme appui à la position canadienne», déclare Michele Brenning, directrice générale du Service canadien de la faune, lors d'une entrevue téléphonique. «Ils comprennent que nous avons des quotas qui assurent le renouvellement de la population d'ours polaires.» Mais la position canadienne pourrait changer. En 2008, le gouvernement fédéral doit recevoir un nouveau rapport de situation sur la population canadienne d'ours blancs. L'examen en cours est réalisé par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC). Le rapport fournira notamment des données importantes sur l'impact du réchauffement climatique sur nos ours polaires. Ces données pourraient conduire le gouvernement à classer ces animaux parmi la liste des espèces menacées. C'est alors que la position canadienne pourrait rejoindre celle de Jack Reed. En attendant, le sénateur américain est seul, ou presque, à faire face à la NRA et à ses alliés. http://www.cyberpresse.ca/article/20070715/CPMONDE/707150400/6730/CPACTUALITES
  2. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Je suis tombée par hasard sur cette nouvelle. Elle n'était pas assez importante pour la publier dans les journaux: il ne s'agissait que de cochons ! 11 juillet 2007- Près de 200 cochons ont péri dans l'incendie d'une porcherie à St-Honoré de Shenley (Québec). La foudre pourrait être en cause http://www.zone911.com/
  3. Non à la violence gratuite envers les animaux Montérégie Ricardo Codina LA VIE RURALE – SAINT-LOUIS-DE-GONZAGUE – 11 Juillet 2007 Élevages Périgord. Source image. Beaucoup de défenseurs des droits des animaux pensent que je n’ai aucun respect pour la vie animale parce que je défends la chasse aux phoques (lire entre autres cet article sur le film Phoques! Le film). Ils seront déstabilisé d’apprendre que tel n’est pas le cas. Dans le cadre du scandale qui éclabousse Élevages Périgord actuellement après qu’un activiste/employé ait filmé des gestes de violence gratuite, je m’élève contre ce genre de cruauté envers les animaux. N’allez pas croire que je suis pour l’abolition de la production de foie gras de canards et d’oies, je suis contre la violence gratuite. D’ailleurs une enquête policière est en cours pour évaluer si les gestes posés contreviennent à la loi. Ce qui pourrait bien être le cas. Élevages Périgord a tenté aujourd’hui de réparer les pots cassés en émettant un communiqué qui dénonce les gestes filmés (voir communiqué ci-dessous). Mais voilà, le mal est fait. L’entreprise aura du mal à regagner sa crédibilité. Manque-t-on à ce point de supervision auprès des employés pour que ce genre de chose arrive? Il n’y a toujours bien que 50 employés dans l’entreprise et certainement moins qui sont attitrés au travail auprès des volatiles. L’entreprise fait amende honorable en dénonçant et en mettant à pied l’employé fautif. Quant à l’activiste qui a filmé la faute, c’est du travail bien fait et sérieux. L’affaire suit son cours. ------------------------- POUR ÉMETTRE DES COMMENTAIRES: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/13498 EN VOICI UN D'UNE PERSONNE BIEN RENSEIGNÉE Un employé fautif? Joannie Vendredi 13 Juillet 2007 11:42:48 am Les réponses évasives de la part du directeur général Emmanuel Nassans qui maintient qu'il n'a qu'un employé fautif dans son élevage et son abattoir. Pourtant dans la vidéo on voit très clairement deux hommes dans le bâtiment donner des coups de pied à des canards, en plus de l'abatteur qui a saigné des canards conscients! ????????? Un employé fautif? NON, moi j'en compte 3 plus le vétérinaire de l'Agence canadienne = 4 L'abatteur dans l'abattoir de Périgord a enfreint les règlements en saignant des canards toujours conscients. Cet employé aussi devrait être congédié. Et que dire du vétérinaire présent pendant la saignée des canards qui discute et rigole pendant que l'abatteur viole les codes de pratiques devant ses yeux. Ce vétérinaire de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (1) devrait aussi être congédié sur le champ. Je vais passer sur l'insalubrité des lieux. Le mauvais traitement des canads pour leur foie gras n'est que la pointe de l'iceberg. Il faut se souvenir de l'enquête du journal le Devoir, en 2005, concernant les mauvaises notes pour plusieurs abattoirs québécois qui sont insalubres et cruels envers les animaux (2). Il est bien connu que notre province a un dossier très noir en ce qui concerne la condition de vie des animaux. En 2002, les associations internationales Animals' Angels et Protection mondiale des animaux de ferme, ont rendu public un film choquant démontrant les nombreux mauvais traitements dont sont victimes les animaux lors des encans québécois.(3) Le bien-être des animaux n'est pas une priorité au sein des abattoirs québécois. On a établi des codes de pratiques pour les producteurs, mais ces codes pour le bien-être animal des animaux de ferme (4) sont des lignes directrices et non pas des normes obligatoires. Les exploitants ne sont même pas obligés de suivre les codes, le tout se fait sur une base volontaire. Aux yeux de la loi, il n'y a pour ainsi dire aucune limite légale à ce qui peut être fait aux animaux destinés à notre table. 1- Abattage sans cruauté Les établissements inspectés par le gouvernement fédéral sont assujettis à des politiques opérationnelles et à une réglementation connexes à la Loi sur l’inspection des viandes, régie par l’Agence canadienne d’inspection des aliments, qui précisent comment manipuler et abattre sans cruauté les animaux utilisés pour la production d’aliments. Les dispositions du Règlement sur l’inspection des viandes traitent du débarquement, de la détention et des déplacements des animaux dans les abattoirs de même que de l’isolement et de la manipulation d’animaux malades ou blessés et ce, sans oublier les exigences relatives à l’abattage sans cruauté des animaux. http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/welfprof.shtml 2- Mauvaises notes pour plusieurs abattoirs québécois http://www.ledevoir.com/2005/08/31/89423.html Des abattoirs insalubres et cruels http://www.lapresseaffaires.com/partenaires/nouvelles/reference/index.php?id=8,2004,0,082005,1149879.html&ref=reference 3- Un film choquant révèle les mauvais traitements dont sont victimes les animaux lors des encans québécois. Les associations internationales, Animals' Angels et Protection mondiale des animaux de ferme, ont rendu public un film choquant qui révèle les nombreux mauvais traitements dont sont victimes les animaux lors des encans québécois. Ce film montre que de nombreux animaux sont maltraités dans les encans : · Des animaux sont cruellement battus à coups de bâton ; · Des animaux gravement blessés sont présentés sur l'encan et sont laissés pendant des heures sans soins vétérinaires ; · Des cochons qui sont dans l'incapacité de marcher reçoivent des coups de pied et sont tirés par les oreilles ; · De nombreux animaux morts ou mourants sont filmés à Saint Hyacinthe. Les animaux sont laissés sans eau de nombreuses heures et ont de grandes difficultés à respirer dans des bâtiments mal aérés ; · Des animaux reçoivent des coups de pied pour les forcer à se déplacer ; · Des coups d'aiguillon électrique sont donnés systématiquement et sans nécessité dans des parties sensibles de l'animal telle que la tête sur de très jeunes animaux ; · Des porcelets sont suspendus par leurs pattes et jetés violemment à terre ; · De façon régulière des moutons sont soulevés de tout leur poids en saisissant leur laine ; · Des animaux sont présentés dans des enclos surchargés, par une chaleur étouffante (40°c) ; · Des vaches sont laissées de nombreuses heures sur le marché sans être traites ce qui peut être très douloureux. Ces brutalités dont sont victimes les animaux ont toutes été filmées pendant des encans tenus à Saint-Romuald, Saint-Hyacinthe, Danville et Saint-Chrysostome. Ces mauvais traitements montrent la nécessité urgente d'adopter une législation spécifique destinée à protéger les animaux présentés sur les encans et la nécessité pour les personnes qui travaillent sur les encans de suivre une formation sur la manipulation des animaux. De même, il est urgent que les inspecteurs de l'agence canadienne d'inspection des aliments (CFIA) et du ministère québécois de l'Agriculture renforcent leur vigilance par rapport au bien-être des animaux sur les encans. Lesley Moffat, une montréalaise à l'origine de cette enquête, précise : " J'ai inspecté de nombreux encans en Europe où je vis depuis 2 ans. Sur aucun d'entre eux, je n'ai vu autant d'animaux gravement blessés, boiteux ou morts. Je ne serais pas surprise que notre film crée un véritable scandale au Canada! ".Animals´ Angels et la PMAF ont remis leur vidéo accompagnée d'une plainte officielle au ministre québécois de l'Agriculture. 4- CODES DE PRATIQUES POUR LE SOIN ET LA MANIPULATION DES ANIMAUX DE FERME http://www.carc-crac.ca/french/codes_de_pratique/index.htm
  4. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Infiltration des Élevages Périgord par le Réseau action globale Montréal (Québec), 9 juillet 2007 - Il y a quelques mois, le Réseau action globale a entrepris une enquête approfondie par infiltration sur la plus grande ferme de foie gras du Canada, Élevages Périgord. L'enquêteur a travaillé chez Élevages Périgord tous les jours pendant plus de douze semaines et a pu documenter toutes les facettes de cette exploitation intégrée verticalement et qui compte un couvoir, des salles d'engraissement, des salles d'alimentation forcée, un abattoir et des installations pour la reproduction. À l'aide de caméras cachées, l'enquêteur a recueilli près de 100 heures d'images vidéo et de très nombreuses photographies. Les preuves sur vidéo révèlent un nombre important d'infractions aux clauses portant sur le bien-être des animaux dans le Code criminel du Canada et à la Loi sur l'inspection des viandes de 1990. L'enquêteur a filmé alors que du personnel de l'abattoir arrachait la tête de canards vivants, écrasait des canards sur les murs et les planchers ou coupait la gorge de canards tout à fait conscients. Des cannetons ont été écrasés ou étouffés à mort dans des sacs à ordures. D'autre cannetons ont été abandonnés pour geler à mort dans des poubelles métalliques par des froids de moins 20 degrés. http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070713_151550_5700
  5. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    13 juillet 2007- Traduit par hop... Environ 400 000 phoques à fourrure du Cap meurent chaque année. La faim, due à la surpêche, est la cause principale de leur mortalité, la chasse qui dure de juillet à novembre (quota pour 2007 : 86 000, dont 80 000 petits - agés de 7 à 11 mois) et la noyade : des milliers périssent capturés "accidentellement" (façon de parler) dans des filets de pêche et d'autres encore abattus pas "accidentellement" cette fois, par les pêcheurs qui leur mènent une guerre acharnée. Ces phoques ont été bannis par les hommes des îles plus grandes (en fait, il sont été bannis de 99 % de leur territoire initial), réservées aux oiseaux nicheurs et surtout...à la récolte du guano ! Les îles sur lesquelles ils sont condamnés a vivre sont petites, et donc surpeuplées, et offrent peu ou pas de hauteur pour que les petits, qui ne savent pas encore nagés, puissent être protégés quand ces îles retrouvent inondées, ce qui est fréquent. Seal Alert a été fondée en Afrique du Sud par Francois Hugo. Cette organisation, avec l'aide de la Sea Shepherd Society, mène des campagnes en faveur des phoques et s'occupe aussi de sauvetage et de réhabilitation. Learn about the serious challenges they face www.seashepherd.org/seal-alert/cape_fur_seals.html About Seal Alert www.seashepherd.org/seal-alert/about.html
  6. Animal

    Hello, je l'ai

    HAHAHHAHHA
  7. oui, mais ça prouve aussi qu'ils manquent de preuves, malheureusement !
  8. Oui Cé ! Et elle se demande comment ça doit se passer chez les sous-traitants, si des choses aussi horribles se sont passées chez le producteur Élevages Périgord lui-même ! Elle dénonce le laxisme concernant la cruauté envers les animaux ...
  9. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Chasse à la marmotte en Saskatchewan 13 juillet 2007 Canoe.ca By JENNIFER GRAHAM REGINA (CP) - On the one hand, it's a beloved mascot for Saskatchewan's football team, but on the other, farmers decry the gopher as a pesky rodent that is eating them out of house and home. That's why producers in the province's southwest have come up with a way to rid their land of the populous burrowers and boost tourism at the same time - through gopher hunting. "We can put (hunters) out on a piece of grass, or somewhere where the grass is short, and away they go at her," said Les Jordet, who farms in Hazenmore, Sask., just southeast of Swift Current. "You don't have to hunt very far," noted Jordet, who said the gopher population is so large the tiny animals frequently run over his feet. Gophers, which are properly called Richardson's ground squirrels, are among the most common pests destroying crops in Saskatchewan. Thousands of their holes have also wrecked harvesting equipment and injured cattle. "They're eating us out of our livelihood down here is what they're doing," said Jordet. "On my farm alone here in the last week, I surveyed it out - we got over 400 acres of cropland that is wrote off and just completely gone. My hay land is destroyed; my pastures are ate out." Researchers looking for ways to control the gopher population have estimated there are about 7,000 holes on one 32-hectare section of Jordet's farm. That's about the size of a small city subdivision. Strychnine, a harsh poison, is no longer allowed and farmers have complained that other bait doesn't work. For a couple of years in the early 2000s, the Saskatoon Wildlife Federation held a gopher derby in an attempt to control the pests. Prize money was handed out for those collecting the most gopher tails, but the derby attracted tremendous criticism from animal rights groups in Canada and the United States. Some farmers turned to technology for a while in the form of the Gophinator, a machine designed and built in Saskatchewan that pumped clouds of toxic ammonia gas into burrows. But shooting the gophers is "the only effective solution" right now, said Jordet. Word of the problem has spread. People from Manitoba and as far away as British Columbia have asked Jordet if they can gopher hunt on his property. Some even set up campers in his yard and stay for days. "We had a fella come in and he spent a week with us, him and his wife, and he shot 12, 14 hours a day," said Jordet. "He slowed 'em down but, you know, that was a month ago or a month and a half ago, and they're back." Jordet's phone isn't the only one ringing off the hook. The Saskatchewan Wildlife Federation, a Moose-Jaw-based group with more than 25,000 members across the province, says a lot of people have called to ask where they can gopher hunt. Darrell Crabbe, the federation's executive director, said gopher hunting is "somewhat of a Saskatchewan tradition." "Gopher hunting has been entrenched in many dad-and-son or -daughter (relationships) for decades," said Crabbe. "I have two teenaged sons and we've been going gopher hunting since they were eight years old." He agrees hunting the varmints could develop into a tourist attraction. "It can be a very fruitful little economic generator for small-town Saskatchewan," said Crabbe, who noted that hunting more traditional game already generates about $176 million revenue in Saskatchewan each year. Crabbe knows of some Quebec men who recently travelled to Saskatchewan for a meeting, but arrived three days early just to go gopher hunting. Saskatchewan Agriculture says hunters have long gone to the southwest to find gophers, but the tourism idea is relatively new. "It came to light just a couple of days ago, this gopher tourism kind of initiative," said Cam Wilk of Saskatchewan Agriculture. "If it works for them down in that country to help manage that problem, it's a good thing." Hunters have to respect the landowner's rights, get permission to hunt and be properly licensed for firearms. If all those things are followed, Wilk doesn't see any concerns. However, there is one gopher who won't be in the line of fire. In an ironic twist, Gainer the Gopher, the beloved Saskatchewan Roughriders mascot, draws wild cheers from fans at football games even as he represents perhaps the most hated animal in the province. But Rider fans can rest easy. "Gainer's pretty safe within the walls of Taylor Field," said Crabbe with a laugh. "He's the chosen one."
  10. Ducks suffer so that gourmets can dine Quebec legislators are notoriously lax about the mistreatment of animals JOSEE LEGAULT The Gazette Friday, July 13, 2007 The film broadcast on many local news programs this week was gruesome, maybe even gruesome enough to make a foie-gras fan think twice about his favourite delicacy. It showed ducks being force-fed grain until they threw up, heads being yanked off live birds while others were thrown against concrete walls or bled to death. And from the sound track, at least, you got the impression the workers enjoyed this sadistic mess. And at least some of the film was indeed shot at ...levages PErigord, Canada's leading producer of the delicacy and a major exporter. The film was produced by the Global Action Network, an animal-rights group that says a PErigord employee shot the images with a hidden camera over a 12-week period. When the SretE du QuEbec completes its investigation, whoever is responsible should be prosecuted. But cruelty against animals is something about which our legislators and justice system are notoriously lax. It's unlikely that there will be any boycott of foie gras any time soon. The popularity of force-fattened duck and goose liver is up on this continent. And with the government's own SociEtE gEnErale de financement providing 43 per cent of PErigord's financing, no one can expect the government to pass a law banning the stuff. So it was surprising to hear PErigord's director-general, Emmanuel Nassans, position himself as a victim of the Global Action Network, which he said was out to destroy his company. With the powerful SGF behind it and now, with the high-profile, high- powered National Public Relations firm handling its PR campaign, it looks like a fairly uneven battle between PErigord and the GAN. It also doesn't help GAN that community-based lobbies are getting a lot of bad press these days in Quebec, often caricatured as lunatics and party poopers. Nassans's statement at his press conference was a classic in today's PR practices: Be appalled but deny it has anything to do with the company. Nassans said what was done was cruel, unacceptable and contrary to the company's standards. He sacked the one employee he recognized and ordered an inquiry. But if it's contrary to company standards - and it surely is in theory - why did it happen and why are there possibly other employees involved? This leaves unanswered questions pertaining to the hiring, training and supervision of employees. ...levages PErigord is based in St. Louis de Gonzague. It does some of the production itself, but in 2004, Radio-Canada's La semaine verte reported that PErigord had 19 subcontractors to whom it supplied with ducklings and feed. Some of those subcontractors are farmers who also do other forms of production. In those cases, Rad-Can reported, it's the subcontractors who rear the ducks, force feed them and slaughter them. If this footage was shot on PErigord's own grounds, one wonders what happens at its subcontractors' facilities. Does the mother company train and supervise the subcontractors adequately? This story is appalling and it should be a time to look at how the foie-gras "business" is run here. But chances are it won't happen. In the case of PErigord, foie gras is a lucrative, government backed business. Chances are slim that Agriculture Canada and Quebec's Ministry of Agriculture will ever step up their own rules and supervision. And what are the chances we'll look at force feeding itself? If that method of production is banned in many European countries and some American cities, it's because it can be considered cruel treatment. When foie gras went from a delicacy for the rich produced in small quantities to a product for the middle and the upper middle classes, production was increased, with more risks of mistreatment of animals for profit and expediency. Companies like PErigord are not small family farms using traditional, small-scale methods. But people can ask themselves if having animals force fed, or even worse in some cases, is something they really want. And you needn't be an "enraged vegetarian" - to quote a foie gras producer angered by the possible impact of the footage - to ask yourself that question. The Gazette (Montreal) 2007
  11. Vancouver Sun Man strangles Rottweiler to death CanWest News Service Published: Thursday, July 12, 2007 OTTAWA -- An Ottawa-area man strangled his Rottweiler to death after it attacked his friend Wednesday night, according to Ottawa Police. The seven-year-old dog attacked a 40-year-old man in his home at about 8:30 p.m. The man had been drinking and taunting the animal. The owner of the Rottweiler, a 25-year-old man, strangled it to death to prevent further injury. The 40-year-old's injuries are non-life threatening, but he did sustain deep wounds to his arm and shoulder, police said. No charges have been laid. This is the second Rottweiler attack in the Ottawa area in less than a month. On July 1, a 17-month old girl from Montague Township near Smiths Falls was mauled to death by the family dog, a Rottweiler-German Shepherd cross. Ottawa Citizen CanWest News Service 2007
  12. Bird Flu: Even houseflies can transmit the virus 11.jul.07 http://www.punchng.com/Articl.aspx?theartic=Art200707111764517 Ordinarily, according to this story, the relationship between houseflies and poultry farms needs no introduction. The common housefly otherwise known as Musca domestica feeds and breeds on all kinds of organic matters that include food and animal feed, garbage, faeces, sewage and animal carcasses. In an average farm, houseflies constantly shuttle between dirty areas with pathogens and clean areas such as feed storage and animal housing. But this is where the problem lies. Due to this nature of movement, houseflies have over the years been implicated in the transmission of over 30 different types of diseases caused by bacteria, protozoan and viral parasites. And the dreaded Avian Influenza is not an exception. A recent research at the North Carolina State University, United States of America has revealed that the common houseflies can indeed transmit the AI virus within a farm. In arriving at this conclusion, the researchers said they got the first hint that houseflies could act as a carrier of the highly pathogenic H5NI strain of avian influenza, when "more than one-third of the adult Musca domestica sampled contained AI virus particles." The researchers were also cited as saying that houseflies could also transmit the Newcastle Disease whose virus has since been known as a dedicated disease of the poultry. To buttress their point, they noted that houseflies were well established vectors of food poisoning bacteria like Salmonella. Nigerian veterinary doctor and Deputy Chairman, Poultry Association of Lagos State, Dr. Babatunde Bello was cited as saying "Houseflies can contaminate foods, hands and farm implements and can create a lot more problems in the farms if not properly handled." ----------------------------------------------------- Debra Probert Executive Director Vancouver Humane Society 303-8623 Granville Street Vancouver, B.C. V6P 5A2 604-266-9744
  13. 13/07/07 Animal rights activist offers $5,000 for footage of seal cruelty The Journal Pioneer Got some film footage or photos of seal pups being harvested during the spring seal hunt? Then Cathy Kangas wants to hear from you. The CEO and Founder of PRAI Beauty, based in Connecticut, is also offering cold, hard cash - $5,000. According to a news release, the money is offered to “anyone with film footage or photographs depicting the cruelty of the 2007 Canadian seal hunt.” Kangas offered the Canadian government $16 million to end the hunt last year. That offer was rejected. Her news release stated, in part, “This year, for the first time, the Canadian government banned journalists and observers from viewing the hunt. “In addition, veterinarians who traveled to Newfoundland in April on behalf of the European Commission, were also denied access.” Kangas accused Ottawa of hiding the truth from Canadians about the hunt. “What is the government hiding from the Canadian people as well as the rest of the world? Why were legitimate news organizations banned from observing the hunt?” She went on to state, “we hope that this bounty will produce footage that will graphically depict the brutality of the hunt.” http://www.journalpioneer.com/index.cfm?sid=44355&sc=118 p.s.: Sinikka a posté un message dans les commentaires....
  14. http://www.ledevoir.com/2007/07/11/150046.html Le RAG s'attaque à l'industrie du foie gras
  15. Animal

    Hello, je l'ai

    Bonne Fête chère hop !
  16. Animal

    Oiseaux

    y'a pas à dire, les producteurs «dorlotent» leurs oiseaux !
  17. Allo Linda, peux-tu s.t.p. afficher ici l'adresse courriel de la Semaine Verte ?
  18. Campagne contre le foie gras laterre.ca 12 juillet 2007 redaction@laterre.ca Le dévoilement de la vidéo du Réseau Action Globale mène au congédiement d’un employé d’Élevages Périgord. L’éleveur et fabricant de foie gras, Élevages Périgord, s’assurera que ses canards seront traités respectueusement par les employés. Réagissant au dévoilement d’une vidéo réalisée clandestinement par un membre du groupe militant de défense des droits des animaux, Réseau Action Globale, le président d’Élevages Périgord, Christian Lanuque, a dénoncé les gestes de violence gratuite d’un employé à l’égard des canards. Il s’est dit attristé par toute cette histoire. Sur la vidéo, dévoilée hier à la presse montréalaise, l’employé en question poussait les oiseaux avec ses pieds et aurait même frappé un canard sur un mur. Admettant sa part de responsabilité dans cette affaire, Élevages Périgord a congédié l’employé fautif. Les actions du groupe militant ont reçu un excellent écho de la presse généraliste montréalaise. La Sûreté du Québec mènera même une enquête pour cruauté sur les animaux. Cependant, les restaurateurs et commerçants se disent toujours confiants de la qualité des produits d’Élevages Périgord, et le déclenchement d’un boycott demeure peu probable.
  19. On voit pourtant clairement sur la vidéo filmée chez Périgord, un vétérinaire en train de rigoler pendant qu'un abatteur saigne des canards vivants et pleinement conscients !!!! (UNE PRATIQUE SOIT-DISANT ILLÉGALE) Donc à quoi ça sert d'avoir des vétérinaires et des inspecteurs sur place à ce moment-là, s'ils sont de connivence avec les employés et employeurs ??????????
  20. Animal

    Animaux d’élevage

    Y'a pas grand chose pour les animaux de la «nation québécoise» dans tout ce blablabla
  21. Animal

    Réactions - foie gras

    Bande de "Losers"
  22. National | Mercredi 11 jui 2007 | 14:43 Produits québécois : Laurent Lessard demande l'aide des chaînes d'alimentation QUÉBEC (PC) - Le ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, exhorte les grands marchés d'alimentation à faire plus de place aux produits québécois. ... ... http://www.info690.com/nouvelle-produits_quebecois_laurent-328302-2.html
  23. Je présume que les autres individus qu'on voit dans la vidéo en train de torturer des animaux sont des hommes invisibles ! ------------------------------------------------------------------------ Le mercredi 11 juillet 2007 Périgord a congédié l'individu suspecté de cruauté Photo La Presse Presse Canadienne Montréal Les Élevages Périgord, un éleveur de canards spécialisé dans la production de foie gras, affirme avoir identifié l'individu qui a maltraité des canards sur la ferme d'élevage de l'entreprise et l'avoir congédié. Taille du texte Imprimer Envoyer Réagissant mercredi soir à la vidéo diffusée mardi par le Réseau action globale, le directeur général des Élevages Périgord, Emmanuel Nassans, a qualifié les gestes que l'on y voit d'inacceptables et de cruelles. Il a déclaré que la santé et le bien-être des animaux sont la priorité de l'entreprise, dénonçant au passage les gestes posés. L'entreprise de Saint-Louis-de-Gonzague, en Montérégie, affirme collaborer à l'enquête de la Sûreté du Québec et ajoute que tout autre employé suspecté de commettre les gestes montrés dans les images prises par le groupe de pression sera suspendu ou congédié. Il a précisé que l'entreprise pratiquait une politique de tolérance zéro. Plus tôt dans la journée, le ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, a réagi avec prudence à la dénonciation de possibles mauvais traitements envers les animaux, qui seraient survenus aux Élevages Périgord. Questionné à ce sujet, le ministre Lessard a indiqué que le processus d'enquête suivait son cours. Il a simplement expliqué qu'en vertu de ses fonctions de ministres de l'Agricultute et de l'Alimentation, il lui incombe, lorsqu'il y a dénonciation de réclamer une enquête qui déterminera si des sanctions doivent ou non s'appliquer. La Sûreté du Québec avait confirmé en matinée avoir ouvert une enquête sur les présumés cas de cruauté envers les animaux aux Élevages Périgord. http://www.cyberpresse.ca/article/20070711/CPACTUALITES/70711207/6730/CPACTUALITES
  24. Animal

    Poursuite judiciaire

    Faut vraiment être désespérée pour en arriver à intenter une poursuite contre le gouvernement ! Bravo à cette femme courageuse !
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