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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Les vraies victimes de la mode... L’industrie de la fourrure tente de faire son come-back via la fourrure de lapins, qui, en raison de son faible coût, permet de toucher un public qui n’a pas forcément conscience de la souffrance endurée par les animaux. Une enquête exclusive, menée par l’association ANIMAL, révèle au grand jour la choquante et sanglante vérité qui se cache derrière les accessoires et vêtements constitués de fourrure de lapins. Tout le monde a encore en tête les images de renards et chiens viverrins frappés contre le sol et dépecés vivants, de renards recevant une décharge électrique, ou encore de visons prisonniers de cages minuscules et entièrement grillagées. Mais peu connaissent les conditions d’élevage des lapins, dont la fourrure se retrouvera dans les rayons des magasins de prêt-à-porter. Cette enquête, réalisée par ANIMAL/EcoStorm Productions, a reçu le soutien de Fourrure Torture, Anti-Fur Society et Rabbit Wise, pour la diffusion internationale. Une version longue est disponible sur TVAnimal.org Enquête dans les élevages industriels L’enquête de l’association portugaise ANIMAL révèle les conditions de vie atroces subies par les lapins en Europe, ainsi que le lien avec l’industrie de la fourrure. Pour la première fois, des caméras cachées témoignent de la cruauté associée à toute la chaîne de production. Dans les élevages visités par l’association, les lapins vivent dans des conditions exécrables, dans de minuscules cages grillagées, entourés par leurs déjections. Les taux de maladies, difformités et mortalité sont élevés. Dans une ferme de la région de Lourinhã, au Portugal, les enquêteurs de ANIMAL ont noté qu’un nombre important de lapins mourraient pendant la nuit. Certaines races de lapins sont gardés jusqu’à 4 ou 5 mois, pour améliorer la qualité de la fourrure. Cette dernière peut atteindre un prix plus élevé sur le marché international. Les enquêteurs de ANIMAL ont assisté au chargement cadencé de plus d’un millier de lapins, en vue du transport vers l’abattoir. Les lapins sont jetés sans ménagement à l’intérieur de caisses en plastiques, pour y être entassés afin de gagner de la place pour le transporteur. Le propriétaire de l’abattoir destinataire des lapins, près de Bombarral, au Portugal, est l’un des principaux fournisseurs de fourrure de lapins portugaise. Il a déclaré aux enquêteurs qu’il produisait 100000 peaux par mois. Une fois arrivés à l’abattoir, les animaux sont suspendus à des crochets, puis égorgés. Les caméras cachées ont pu filmer des lapins qui tentaient vainement de se raccrocher à la vie, après avoir eu la gorge tranchée, et se tordaient de douleur. Dans le cycle de production qui s’ensuit, la fourrure est arrachée mécaniquement des carcasses, qui seront utilisées pour la viande. Des conditions d’élevage atroces Les lapins élevés en Europe vivent dans des conditions sordides. Chacun dispose seulement d’un espace de la taille d’une feuille A4. Les cages sont entièrement grillagées, même côté sol, provoquant des déformations aux pattes des animaux. Dans la nature, les lapins sont des animaux vivant dans des terriers et aimant creuser, courir et bondir. Or, dans les élevages industriels, les animaux sont privés de leurs besoins naturels. Le plafond est très bas, empêchant les lapins de bondir, ce qui leur cause de la frustration. Tout cela induit des problèmes physiologiques et des comportements répétitifs (stéréotypie : par exemple, ils mordent les barreaux de leur cage). Des lapines sont élevées uniquement pour la reproduction. Seulement quelques jours après qu’elles ont mis bas, les mères reproductrices sont inséminées artificiellement. Elles sont gardées un mois avec les lapereaux, puis elles sont séparées de leurs petits. Elles mettent de nouveau bas quelques jours après. Elles sont donc presque continuellement à la fois en gestation et en phase d’allaitement, ce qui les épuise. Un abattage brutal Vers l’âge de 10 semaines, les lapins sont chargés dans un camion, par milliers, entassés dans des cages, qui sont empilées les unes sur les autres. Ils parcourent ensuite souvent de longues distantes, dans la chaleur de l’été ou le froid de l’hiver, à destination d’immenses abattoirs industriels, gérant plusieurs dizaines de milliers de lapins par semaine. Les lapins sont alors attachés par la patte arrière sur des chaînes d’abattage, ou ils sont étourdis par une décharge électrique, puis égorgés, saignés et dépecés. La fourrure de lapins en France Environ 70 millions de lapins sont abattus chaque année en France (Source FAO). Les plus gros abattoirs de lapins français revendent les peaux de 90 à 95 % des lapins abattus. Après avoir été salées ou congelées, ces peaux sont envoyées en Chine, directement ou après avoir transité par d’autres pays européens, comme l’Espagne et la Belgique notamment. En Chine, où les coûts de main d’œuvre sont très faibles, les peaux, provenant de divers pays, sont tannées, puis assemblées et sont utilisées pour confectionner des manteaux ou des accessoires (cols, manchons, écharpes, sacs, jouets, objets de décoration...). Les articles finis sont ensuite exportés, principalement vers l’Europe et les Etats-Unis. Parfois, les peaux tannées et assemblées sont directement envoyées en Europe (France, Italie, Espagne...), où les vêtements seront fabriqués. Les manteaux ou accessoires en fourrure de lapins achetés en France proviennent de fermes où les conditions d’élevages sont toutes sordides, que ce soit en Chine ou en Europe. Ce grand manège international renforce l’opacité du secteur de la fourrure et permet à cette industrie d’exploiter encore davantage les animaux, pour un commerce que les professionnels de la fourrure déclarent être de plus en plus rentable. Une prise de conscience internationale Le nombre de chaînes de prêt-à-porter et de designers qui prennent la décision de ne plus vendre aucune fourrure, y compris celle de lapins, ne cesse de croître. Plusieurs directeurs de chaînes de prêt-à-porter ont déjà annoncé à Fourrure Torture ne plus vouloir commercialiser de fourrure, y compris de fourrure de lapins, à commencer par Zara (à la suite d’une campagne menée par CAFT et une coalition internationale) fin 2004, puis Promod, Camaïeu et la Redoute en début d’année 2006, et enfin Caroll et Décathlon. Fourrure Torture espère que la mobilisation contre tout type de fourrure va continuer de s’amplifier de part le monde et permettra alors de mettre un terme à une industrie basée sur l’exploitation et la mort des animaux. Aidez-nous à continuer les enquêtes en Europe Cette enquête à été menée par l’association ANIMAL (située au Portugal), qui fonctionne avec de faibles moyens financiers , tout comme Fourrure Torture. Vous pouvez faire un don à l’association ANIMAL, en ligne via le système sécurisé Paypal, utilisé par de nombreux sites Internet. (il n’est pas nécessaire d’ouvrir un compte paypal) Si vous souhaitez aidez Fourrure Torture, vous pouvez aussi nous fournir des photocopies de tracts ou des timbres pour couvrir une partie des frais. Merci d’avance à tout ceux qui nous permettrons de continuer à dénoncer l’industrie de la fourrure. http://www.fourrure-torture.com/fourrure-lapin.html
  2. MERCI BEAUCOUP POUR LES ARCHIVES MA GENTILLE PETITE GRENOUILLE
  3. Meat eaters, chew on this An intellectual history of a food choice shows its ties to political and social radicals, Eastern religious thought and the odd health nut Reviewed by Michael O'Donnell Sunday, January 7, 2007 The Bloodless Revolution A Cultural History of Vegetarianism From 1600 to Modern Times By Tristram Stuart NORTON; 628 Pages; $29.95 -------------------------------------------------------------------------------- In "Animal Liberation," the bible of the modern animal rights movement, philosopher Peter Singer bluntly claims that "[t]he attitudes toward animals of previous generations are no longer convincing because they draw on presuppositions -- religious, moral, metaphysical -- that are now obsolete." Singer was referring to earlier rationales for eating meat, but the claim also implicitly dismisses the history of vegetarianism, which is fascinating and telling. Did you know, for instance, that many 17th century Britons abstained from meat in order to feel closer to Eden, where fruits and vegetables provided sustenance, and Adam and Eve interacted peacefully with animals? Tristram Stuart, a precocious young British writer, has no doubt read "Animal Liberation." In fact, judging from his 65-page bibliography, he appears to have read just about every word ever written about vegetarianism. His book, "The Bloodless Revolution" (a pun from an alternative name for the Glorious Revolution of 1688) is an intellectual history of vegetarianism in 17th and 18th century Europe, with nods to the years since. It is a beautifully written work of impressive scholarship, perhaps the most erudite yet to appear on the subject of vegetarian history. Previous authors have sketched major vegetarian thinkers, but Stuart goes further, interacting extensively with primary-source materials, thoughtfully challenging the conclusions of other scholars and bolstering his own credibility by outing a few closet meat eaters, such as Alexander Pope. It is worth noting that Stuart is not a vegetarian. As he has written elsewhere, he opposes the ecological impact of the factory farm, rather than meat itself, which he eats when he can be satisfied that the animals were reared and killed sensitively. (He does both himself.) But given the intensive animal farming methods ubiquitous today, he acknowledges that the best choice is probably to become a vegetarian. Regardless, Stuart wears his beliefs lightly, avoiding the moralism that has given the Western world an easy excuse to ignore the persuasive case for vegetarianism for, apparently, centuries. The rejection of meat has frequently been accompanied by political and social radicalism. Reformers such as Roger Crab in the 17th century and John Oswald in the 18th saw meat as a symbol of unjust luxury and renounced it in solidarity with the poor. Foes of the Catholic Church courted heresy by abjuring food from animals and extending their moral concern beyond the one anointed species. In the years after the French Revolution, students (many of them vegetarians) made their way across the English Channel in search of other barricades to storm; in response, the Crown resisted animal welfare laws as a form of "patriotic opposition to the onion-eating French and their radical allies in Britain." Religious belief also provided impetus for vegetarianism. Sir Francis Bacon, while not a vegetarian himself, scandalously interpreted Genesis' prescription for man's dominion over animals as a call for compassionate stewardship rather than callous exploitation. (This argument was resuscitated in 2002 in a remarkable and moving book, "Dominion," by Matthew Scully, a former speechwriter to President Bush.) As Europeans traveled East, many became infatuated with Indian religion and culture; vegetarianism, they saw, was widely accepted and yielded an ethical and healthy lifestyle. One Portuguese visitor was "astounded by the 'marvelous' extreme to which the Indians took 'this law of not killing anything.' " The most enduring basis for vegetarianism -- animal welfare -- did not begin to take hold until philosophers Jean-Jacques Rousseau and Jeremy Bentham, both meat eaters, separately challenged the prevailing rationale for eating animals. "[T]he question is not, Can they reason? nor, Can they talk?" wrote Bentham in 1789, "but, Can they suffer?" This was a response to the argument a century before by René Descartes, a vegetarian for health reasons, that animals are inanimate objects -- "machines" -- that feel no pain because they do not have souls. Cruel experiments proliferated on the back of this preposterous theory for decades. (Singer calls this moment the "absolute nadir" of modern thought toward animals.) Human health has also influenced vegetarians, and Stuart points out that if worries about meat's noxious humors and insalubrious fibers sound quaint today, they nevertheless prefigured modern discoveries about the relationship between meat and the scourge of heart disease. Vegetarian thought certainly has had its share of characters, and in less able hands this history might come off as a series of maladjusted kooks whose radical ideas needn't be taken seriously. But the picture that emerges from "The Bloodless Revolution" is a group of individuals troubled enough to take action against a practice -- the killing and eating of animals -- that unquestionably has profound moral implications. In an age in which a staggering 50 billion farm animals each year are reared in appalling conditions, slaughtered for our food and thoughtlessly consumed, any book that sets out an alternative is welcome. An excellent book that does so is indispensable. Michael O'Donnell is a writer and lawyer in Chicago. http://sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?f=/c/a/2007/01/07/RVG2RN9FQ81.DTL&type=books
  4. parce que les cirques de Roumanie ne rencontrent pas les normes de l'Union Européenne et parce que les propriétaires n'ont pas les moyens de les améliorer ... Je crois que la Roumanie est entrée dans l'UE tout récemment.... ----------------------------------------------- Campaign: Zoo animals facing slaughter...thanks to the EU 06.01.07 In cages measuring 5ft by 14ft, bears lumber aimlessly in seemingly endless circles around putrid pools of their own excrement. Pacing the perimeter of his small enclosure for hours on end, the bedraggled tiger barely notices the taunts of zoo visitors trying to make him snarl. Nearby a lion peers out of a dark, dank hut in his pen to catch a brief glimpse of the winter sun that reaches his enclosure for a few short hours every day. And, in cages measuring 5ft by 14ft, three bears lumber aimlessly in seemingly endless circles around putrid pools of their own excrement. These are the wretched conditions endured by residents of the Zoological Gardens of Bucharest in Romania. And the only escape for these animals from their miserable existence - and for hundreds of others in the 35 other zoos scattered across Romania - will be in death. For, as the people of Romania look forward to a brighter future as the newest citizens of the EU, many of the country's decrepit zoos - which do not come up to EU animal welfare standards - face closure. This will leave those animals who cannot be moved - and that could be hundreds - facing slaughter. Indeed, it has already started. When the Timisoara zoo in western Romania closed, the local newspaper reported how birds were cooked and fed to the poor, a lion was poisoned and a bear was shot. And a rundown zoo in the northern district of Buhusi has just shut, leaving welfare groups desperately seeking a rescue plan for its big cats, bears and dingoes. Some of them are crippled by malnourishment and abuse. A further five zoos will close in the next few months because of the miserable state of their facilities. Many others are urgently seeking funds to clean up their act and stay in business. Animal campaigners working in Romania, including the Born Free organisation, are desperate to rescue the animals on death row - and they are asking for help from readers of The Mail on Sunday. "For many of the zoos, euthanasia is the only option,' said Victor Watkins of the World Society for the Protection of Animals. "The Romanians have not got to grips with the problem that their zoos are not up to standard and that they will have to be closed. "In some cases it means the management will have to find places in other facilities, maybe outside Romania. In other cases, the animals will be killed." It is a prospect that horrifies Monica Minciu, president of the Alliance of Protection of Animals in Romania, who has been monitoring the country's zoos in the run-up to EU membership. She said: "I heard about the killings at the zoo in western Romania and these things do happen. I have to hope that the public outcry at such killings would stop these things happening again but we just don't know." She revealed: "Animals are killed like this or they are sold on to be hunted when zoos don't want them. "I believe many zoos will close, but because they will not know what to do with the animals we have to hope that they will stay open in some way to look after them. We need help." At the crumbling Zoological Gardens of Bucharest, built in 1959, managers fear the worst and are desperate to save their animals. But there is no money to build the new bigger enclosures that will be required by EU law later this year. Of particular concern have been the bears, a 17-year-old mother, Florentina, her nine-year-old girl cub, Jonni, and 15-year-old male, Vassilica. The zoo's vet said: "I do not know what the future holds. We wouldn't kill our animals if we closed. That would be murder. "But, yes, we have had recommendations about the bears. They should obviously be in more space, that is why they are disturbed. "But to build bigger enclosures for them would be very expensive and even if we had the money we have not got the space." The director of the zoo, Ancuta Oprea, admitted that she was powerless to alleviate the suffering of the bears in her care. She said: "We can't do anything for the bears. We just try to distract them from the lack of space by giving them things to play with or by changing their food so that they will not think about it." Plans have been drawn up for closing the Bucharest zoo and replacing it with a 42-hectare 'funpark' where the animals will have the space they need. But it is a huge challenge. European law requires that the zoos participate in research, promote public education and 'keep animals in a manner that satisfies their biological needs'. It also requires that local authorities monitor the institutions, license them and design 'preserves in a manner suited to the needs of the species' and have fully trained vets. These targets are unrealistic for zoos in the poorest areas of the country. They cannot afford to build educational facilities or train up teams of experts to monitor the zoos. Many can barely buy food for the animals and several local authorities are deciding that the extra costs are too high and will close their zoos. There is at least hope for the bears, following the intervention of The Mail on Sunday - they are to be resettled in a sanctuary run by the WSPA in the Carpathian mountains. Elsewhere in the Bucharest zoo there is a deepening sense of foreboding. The eerie silence is broken only by prehistoric groans from the 13 tigers in captivity. Packs of stray dogs scavenge for bones among the enclosures. And in the aviary, a starling has been added, simply to give the lone eagle some company. But that does not stop the great bird regularly flinging itself into the rusty fence that keeps it captive. • Click here to donate to our crisis appeal • Video: Click here to see the stricken zoo animals in captivity http://www.thisislondon.co.uk/news/article-23380697-details/Campaign%3A+Zoo+animals+facing+slaughter...thanks+to+the+EU/article.do
  5. 11 February 2007 French turn noses up at the circus By John Lichfield in Paris Published: 03 January 2007 The "traditional" French touring circus is under threat, owners fear. More than 100 small circuses have ceased operations because they are no longer welcome in town centres and because people object to the noise and the smell of the animals, said Gilbert Edelstein, president of the national circus federation. Circus-going is a feature of the new year period in France and so are complaints from circus owners. The suggestion that "traditional" circuses are going out of business is a hardy perennial. Officially, only 72 circuses are registered with the French government, but many other small, traditional circuses operate without official permission. There are estimated to be 200 small traditional circuses touring France at any one time. Since these often close and reform under different names, the authorities treat claims of circus "closures" with scepticism. There are also a dozen large traditional circuses touring in France and about 350 "new" circuses, small groups of entertainers, performing without animals. The small, traditional circuses say they are being pushed out of town centres by a trend towards converting open fairgrounds into formal parks. An alternative site on the edge of even a small town can reduce circus attendance by 60 per cent or more. There are also growing complaints from non-circus lovers about the noise from the shows and the smell of the animals, Mr Edelstein said. There is also growing tension between the traditional circuses, mostly run by old circus families, and "new" circuses, operated by graduates from "circus schools". The new circuses, most without animals, seem to be thriving. http://news.independent.co.uk/europe/article2121664.ece
  6. Victory: Raley's Stops Selling Live Lobsters! January 9, 2007 After receiving thousands of e-mails and phone calls over the past two days, grocery chain Raley's has stopped selling live lobsters in all 135 of its stores across California, New Mexico, and Nevada. Raley's had previously been selling live lobsters in small plastic containers in its stores, but today, after hearing from an overwhelming number of concerned consumers, Raley's spokesperson contacted PETA to say ... "Raley's Family of Fine Stores offered live Maine lobsters to our customers for three days during the holiday season. Raley's will not repeat this promotion or offer live lobsters in any of its stores." With this decision, Raley's joins the ranks of other compassionate grocery chains including Whole Foods and Safeway who have stopped selling live lobsters altogether. Like all animals, lobsters feel pain and can suffer. In nature, they form relationships with other animals and can live to be 100 years old. Thank you to all of you wonderful people who e-mailed and called Raley's to voice your concerns. Because of you, countless lobsters will be saved from being confined and sold, not to mention being boiled alive. http://blog.peta2.com/2007/01/victory_for_lobsters.html ------------------------------ Anglers fear ban on 'cruel' live bait will spread By Jasper Copping, Sunday Telegraph Last Updated: 1:30am GMT 08/01/2007 Anglers are to be banned from using live fish as bait after politicians decided it was cruel. The ban, which will apply in Scotland, has angered fishermen south of the border who believe it has handed a major victory to animal rights campaigners calling for similar legislation in the rest of Britain. Steve Greenway, a leading angler from Staffordshire who has been on 105 fishing trips to Scotland, said: "If I thought live bait was cruel, I wouldn't use it. Where will it all end? Do you stop using maggots and worms as well?" advertisementMark Barrett, the general secretary of the Pike Anglers' Club of Great Britain, said: "To have the law change like this on your doorstep is going to be a concern for people in the rest of the UK." The blanket ban was a last-minute amendment to the Aquaculture and Fisheries Bill, which has just passed through the Scottish Parliament without any objections. It has already been strongly endorsed by Scotland's deputy environment minister Rhona Brankin and will pass through the legislature for a final time in the next three months before becoming law. Green Party MSP Eleanor Scott, who is deputy convenor of the environment and rural affairs development committee and an architect of the Bill, said: "Anglers won't like me saying it, but fish do feel pain and we felt there was a cruelty issue here." The politicians also believe live bait threatens fish stocks by introducing alien species into their habitats which may bring diseases and parasites. Putting live small fish such as roach on a hook is a common tactic for catching larger, predatory fish like trout, perch and pike, which are drawn to the movement. The coarse fishing industry contributes up to £7 million a year to the Scottish economy. Ron Woods, a policy officer from the Scottish Federation for Coarse Angling, said: "This will hurt fishing tourism." But Yvonne Taylor, from People for the Ethical Treatment of Animals, said the ban was a "massive first step" in the group's fight for one in the rest of Britain. Angling is the nation's most popular participation sport, with an estimated four million devotees. In recent years their hobby has been increasingly targeted by animal rights activists. Last summer saw a spate of attacks on fishermen. Scientists are divided on the issue of whether fish can feel pain. http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2007/01/07/nangle07.xml ----------------------------------------------- Japanese Supermarket Bans Dolphin Meat FOR IMMEDIATE RELEASE January 10, 2007 On December 26, 2006, the director of food products for the Okuwa Supermarket Corporation, Mr. Yasunari Kanki, banned the sale of all dolphin meat in all of their stores. The ban is now permanent, according to a statement from Okuwa: "We have decided, as a matter of company policy, that we will discontinue permanently the sale of dolphin meat regardless of test results currently being conducted by the company at an independent lab." The supermarket adds: "Those test results will be concluded next week, but the results will not be revealed." The Save Japan Dolphins coalition (Earth Island Institute, Elsa Nature Conservancy of Japan, Animal Welfare Institute, and In Defense of Animals) applauds this major development in efforts to stop the Japanese dolphin slaughter. Our coalition members formally thank the Okuwa Supermarket chain for their landmark decision to protect the Japanese people from contaminated food products. Mercury Contamination in Dolphin Meat During our recent investigations in the Japanese fishing village Taiji, where each year hundreds of dolphins are brutally slaughtered, we visited several nearby supermarkets owned by the Okuwa Supermarket Corporation. The supermarkets are located in Taiji, Katsuura, and Shingu. Our team was very visible with our cameras in hand, and we asked whether the supermarkets would sell imported American or Australian beef if you knew mercury levels were the same dangerous levels as dolphin meat caught in Taiji? We also asked them to conduct independent tests on your products to see if the mercury levels are safe. We also asked, in light of The Japan Times report (11/01/06) of unsafe mercury levels in dolphin meat, why do you continue to sell the tainted dolphin meat and are you concerned about lawsuits by consumers? We also informed the supermarkets that Dr. Tetsuya Endo, of the Hokkaido Health Science University, the Dai Ichi Health Science University and New Zealand Health Science University conducted a three-year joint study of mercury levels in dolphin meat from dolphins caught off the coast of Japan -- including Taiji. They found very high levels of mercury in every sample of dolphin meat that they tested. Their conclusion: nobody should consume dolphin meat. Dr. Endo is a highly respected Japanese scientist. His report on mercury tainted dolphin meat was published in 2005. Meanwhile, the Japanese Minister of Health and Welfare has known about the danger yet has chosen not to warn the public about it. As we reported in our Taiji blog on December 12th, we bought a package of striped dolphin meat from the Shingu Okuwa Supermarket and delivered it to The Japan Times in Tokyo to be independently tested. Here are the results: The second random sample of dolphin meat (iruka niku) sold at the Shingu Central Okuwa Supermarket was tested for total mercury with a readout of 5.40 ppm -- 14 times above the Koseisho's advisory level of 0.4 ppm. The first sample tested in February was over 4 times the advisory level at 1.77 ppm. Dolphin Meat Now Banned On December 26, 2006, the Director of Food Products for the Okuwa Supermarket Corporation, Mr. Yasunari Kanki, banned the sale of all dolphin meat in all of their stores. The ban on dolphin meat is official and permanent. The supermarket chain and conglomerate is comprised of drug stores, movie theatres, home store centers, sports clubs, hotels and amusement facilities. Richard O'Barry, Marine Mammal Specialist for Earth Island Institute, on behalf of the coalition called the announcement: "a bold decision that should immediately be followed by other sources of this toxic meat." He continued: "We also salute the only newspaper in Japan reporting this most urgent and controversial issue. Journalist and photographer Boyd Harnell wrote the story for The Japan Times." Approximately 23,000 dolphins, porpoises and other small whales are slaughtered in Japan every year. David Phillips, Director of Earth Island Institute's Int'l Marine Mammal Project stated: "It is crucial that we track where all this poisoned dolphin meat is going and stop its sale." He continued: "The Japanese public deserve better than to have this toxic product on their store shelves, and the dolphins deserve better than this cruel slaughter." O'Barry continued: "We must also get the dolphin trainers and dolphin dealers out of Taiji. Leading aquariums and swim-with-dolphin dealers are subsidizing the Japan dolphin slaughter by paying $50,000 or more for a few 'show' dolphins from the catch -- the rest of the pod is slaughtered for dolphin meat on the Japanese market for much less money." -------------------------- Les civettes, de retour sur les tables chinoises... Spectre of SARS looms again as banned civets return to Chinese menu January 08, 2007 GUANGZHOU, China - The scorpion ladies are still at their stalls, guarding plastic barrels seething with hundreds of black and grey scorpions, all waiting to be plucked out with tweezers and dipped into a hotpot or roasted before being eaten. So are the carp sellers, the butchers, with hunks of unidentified meat hanging from hooks in the open air, and the usual pet shop stalls, selling a menagerie of puppies, goldfish and kittens to the residents of this southern Chinese city. Four years after it became infamous as the possible source of the outbreak of severe acute respiratory syndrome SARS that killed 774 people worldwide, including 44 in Ontario, China's Qingping market remains open for business http://www.canada.com/
  7. Animal

    Émoi pour une bête martyrisée

    Le jeudi 11 janvier 2007 Le chien qui avait été battu sauvagement dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier, se porte beaucoup mieux, grâce notamment aux bons soins de Marie-Eve Thivierge, technicienne à la SPAM. Photo: Stéphane Lessard CHIEN BATTU SAUVAGEMENT DANS UNE COUR D'ÉCOLE Cruauté animale : un homme accusé Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste Trois-Rivières Les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont possiblement mis la main sur celui qui avait battu sauvagement un chien dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier. Armand Grenier, 54 ans, de Trois-Rivières, a été formellement accusé d'avoir blessé et fait souffrir inutilement un animal. C'est lundi qu'un mandat d'arrestation a été émis contre Grenier. La même journée, il s'est présenté au palais de justice de Trois-Rivières où il a comparu. Il a été remis en liberté et devra revenir devant la cour le 13 février. Ensanglanté et à peine conscient, le bull mastiff avait été retrouvé attaché avec une corde à linge à la clôture de l'école Saint-Paul. Il avait été laissé pour mort après avoir été brutalement frappé à la tête et au scrotum à l'aide d'un objet contondant, possiblement un bâton ou un marteau. Il se trouve toujours à la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où il continue à prendre du mieux. Le directeur général de l'organisme, Serge Marquis, espère lui trouver une famille d'ici la fin du mois de janvier. Il a fait l'objet d'examens comportementaux au cours des dernières semaines. Il ne semble pas agressif, mais la SPAM veut quand même choisir sa prochaine famille avec attention. Tous les détails dans l'édition papier du Nouvelliste du 11 janvier 2007. http://www.cyberpresse.ca/article/20070111/CPNOUVELLISTE/701110735/5409/CPNOUVELLISTE
  8. Si seulement ça changeait quelque chose pour les animaux ! En Chine, tous les animaux sont torturés ! On devrait faire des timbres avec des chiens, chats, ratons-laveurs, ect. etc., écorchés vifs, des cochons sortis de camions à coups de pieds et enterrés vivants, des poules brûlées vives, des singes vivants dont on mange la cervelle, des ours enfermés dans de minuscules cages, le ventre ouvert pour laisser couler leur bile, etc. etc. etc. ---------------------------------------------------------------- Le jeudi 11 janvier 2007 L'année du Cochon La Voix de l'Est Comme à chaque année, Postes Canada célèbre la Nouvelle Année Lunaire chinoise par l'émission d'un timbre commémoratif. Cette année est l'année du Cochon. Selon la fameuse légende chinoise, l'Empereur de Jade se tenait près de la rivière pour attendre le passage des animaux. Dès qu'ils apprirent que l'Empereur associerait chaque année lunaire à un animal, selon l'ordre dans lequel chacun finirait la course, les animaux répondirent fébrilement au défi de traverser la rivière à la nage. Le dernier des animaux à traverser la rivière fut le Cochon. http://www.cyberpresse.ca/article/20070111/CPACTUALITES/701110860/5282/CPOPINIONS
  9. Animal

    Émoi pour une bête martyrisée

    Cruauté envers les animaux Un Trifluvien se livre à la police Mise à jour le jeudi 11 janvier 2007, 13 h 43 . Un Trifluvien de 54 ans, Armand Grenier, s'est livré à la police après avoir appris qu'il était recherché pour une sordide histoire de cruauté envers un animal. Grenier a été formellement accusé d'avoir blessé un bull mastif de trois ans et de l'avoir fait souffrir inutilement le 29 novembre dernier. Il aurait sauvagement battu l'animal avant de l'attacher à une clotûre de l'école Saint-Paul où il a été laissé pour mort. L'animal est toujours soigné par la Société de protection des animaux. http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2007/01/11/003-cruaute_grenier.shtml
  10. Animal

    WC-aquarium

    pourquoi pas des poissons en plastique au lieu de vrais poissons ? Encore une autre connerie !
  11. Industrie porcine Vers le précipice, croit Lucien Bouchard Mise à jour le jeudi 11 janvier 2007, 11 h 46 . L'ex-premier ministre (du Québec) Lucien Bouchard, mandaté par Olymel pour trouver des solutions à ses problèmes financiers, estime que l'industrie porcine se dirige vers un précipice si les conditions actuelles sont maintenues. M. Bouchard a fait part de sa vision du problème dans une entrevue accordée au Coopérateur agricole, l'organe de presse de la Coop fédérée, propriétaire majoritaire d'Olymel. Les autres actionnaires de la firme de Saint-Hyacinthe sont le Groupe Brochu et la SGF. Selon Le Devoir, la Coop fédérée s'apprêterait à déclarer une perte nette à ses actionnaires, en raison de la performance lamentable de la division porcine d'Olymel, qui aurait perdu quelque 150 millions de dollars au cours des trois dernières années. M. Bouchard estime que l'industrie porcine au Québec n'est plus viable en raison d'une multitude de facteurs, dont le taux de change, la petitesse des abattoirs québécois et les mécanismes de mise en marché. Selon lui, l'industrie n'a que deux choix: tout arrêter ou travailler fort pour sauver les 4000 emplois restants. M. Bouchard rappelle que les usines de Saint-Simon et de Saint-Valérien seront fermées et qu'Olymel tente présentement de réduire la masse salariale de 30 % à son usine de Vallée-Jonction. L'ex-premier ministre croit que la situation pourrait débloquer dès ce mois-ci. Olymel, dit-il, discute aussi des coûts, des modes d'approvisionnement et de la mise en marché avec la Fédération des producteurs de porcs et l'Union des producteurs agricoles. Chose certaine, prévient M. Bouchard, Olymel ne peut continuer à perdre de 55 millions de dollars par année, comme c'est le cas actuellement.
  12. Animal

    chansonnette

    Je n'ai pas encore entendu cette chanson de Charles Aznavour - Ça doit être une de ses dernières (?) C'est un homme que j'adore
  13. Bizarre ! Au Québec, on n'a même pas entendu parler de cette Fête cette année ! Et pourtant, comme partout ailleurs, elle a bel et bien eu lieu chez nous aussi- Ça doit être un sujet qui est devenu tabou ! -------------------------------------- Plus de 500 moutons ont été abattus rituellement de façon illégale à Bruxelles pendant la récente Fête du Sacrifice GAIA constate avec indignation que lors de la dernière Fête du Sacrifice, à la fin du mois de décembre, des centaines de Musulmans dans la Région de Bruxelles-Capitale ont violé l'interdiction de pratiquer l'abattage rituel à domicile. Au moins 534 moutons ont été abattus illégalement à domicile. En plus, ce matin des collaborateurs de GAIA sont encore tombés sur un dépôt clandestin de peaux de moutons, abandonné au pied d'un arbre sur la Stuivenbergplein à Anvers. GAIA en a informé la police. -----------------
  14. Malheureusement, faut s'attendre à en voir de plus en plus chez-nous ... C'est incroyable toute la publicité qui se fait sur le foie gras depuis quelque temps ! -si tu regardes dans Animaux Amérique du Nord, tu verras qu'il y a eu quelques articles sur le sujet
  15. Animal

    smith

    Ok Cé- Moi non plus je n'aime pas du tout son genre ! je vais regarder la liste de nos membres Cé, et ceux qui me semblent suspects, je vais les débarquer après avoir regardé leur profil... Il y en a qui sont inscrits depuis 2005 et qui n'ont jamais participé ni même donné aucune information sur eux... (je les mettrai aux poubelles...) Si tu es d'accord bien entendu
  16. Animal

    smith

    allo ma belle Cé, je viens de rentrer et de voir qu'il m'a répondu - Je ne le «trust» pas pantoute !! -------------------------------------------------- From: "F Smyth" <f1729@hotmail.com> Save Address | Headers To: vice-presidente@mail.aequoanimo.com CC: Date: Wed, 10 Jan 2007 13:30:51 -0500 Subject: Re: 2nd Request -------------------------------------------------------------------------------- Hotmail accounts do not send out spam. Plus, I was referred to your website, by a user on Aquino who uses a hotmial account. Please advise.
  17. Animal

    La guerre du foie gras

    un peu de compassion non plus !
  18. Animal

    smith

    parfait Cé ! Je dois me préparer et aller faire des courses- Je ne serai peut-être pas de retour avant la fin de l'après-midi... A+ tard ma belle Cé, XXXXXXXXXXXXXXXX
  19. C'est parfait ma belle Cé ! Je l'ajouterai sur le site très bientôt
  20. Animal

    smith

    moi aussi Cé... d'autant plus qu'il écrit exclusivement en anglais. S'il me répond, je lui poserai quelques questions et on décidera par la suite si on l'accepte ou non...
  21. Animal

    smith

    Comme j'avais encore un message de lui dans mon courrier aequoanimo, voici ce que je viens de lui répondre: Hello F Smyth, To prevent spamming, we do not accept hotmail addresses anymore. Thank you On verra si ça règle son problème ------------------------------------------------------------------- p.s.: Il est sûrement enregistré sous plusieurs noms et avec des adresses hotmail différentes... Il faudrait également le banir sous sa dernière inscription. S'il est sérieux, il refera une demande en utilisant une adresse e-mail valide.
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