Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

hop

Membres
  • Compteur de contenus

    6 102
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par hop

  1. Rana catesbeiana n'est pas une grenouille comme les autres. Son poids, jusqu'à un kilo, en fait l'un des plus gros spécimens au monde, et son cri, puissant meuglement émis par le mâle et audible à un kilomètre à la ronde, justifie son appellation commune de grenouille-taureau. Mais c'est sa voracité doublée d'une capacité redoutable à coloniser de nouveaux territoires qui lui vaut une attention particulière. Elle est en effet la première espèce envahissante en France visée par une opération méthodique et coordonnée d'éradication, menée à titre expérimental dans le parc naturel régional Périgord-Limousin. Une attention particulière, ça veut dire que, toutes les nuits, des "spécialistes", armés de fusils à air comprimé tirant des billes d'acier traquent et tuent des grenouilles. Déjà 1 500 depuis le début de l'été : ...Pragmatique, le président du parc régional Michel Moyrand raisonne d'abord à plus petite échelle. «Nous devons au moins convaincre les voisins directs du parc, les départements de la Dordogne et de la Haute-Vienne, pour que l'opération se poursuive après 2007 et au-delà de notre zone», explique-t-il, conscient qu'un effort localisé pourrait rapidement être réduit à néant. Il ne cache pas sa fierté d'avoir réussi à réunir les 100 000 euros nécessaires à l'organisation de cette première campagne. «Les habitants ont en tout cas bien compris l'importance d'agir vite», se réjouit-il. Surtout ceux que le chant puissant de la grenouille-taureau empêche de dormir la nuit. La grenouille-taureau mise à mort - 14/08/06 http://www.liberation.fr/actualite/terre/198529.FR.php
  2. Le vote concernant le projet de loi pour l'abolition de l'expérimentation animale à Rio pourrait avoir lieu la semaine prochaine. Pour trouver les mails des conseillers municipaux à (re)contacter et la pétition à signer , voir ici : /viewtopic.forum?p=19599#19599 Merci
  3. Analysis: Researcher bows to extremists By Steve Mitchell Aug 8, 2006 WASHINGTON, DC, United States (UPI) -- The recent incident of a university researcher who ceased experiments involving monkeys due to pressure from animal-rights extremists has the pharmaceutical industry concerned activists could ultimately drive research organizations out of the United States. Animal-rights groups, however, see this as empty rhetoric and think the movement is becoming stronger than ever. 'Our overriding concern is, if this country becomes non-conducive to doing biomedical research, the research won`t stop but it will move offshore,' Frankie Trull, president of Foundation for Biomedical Research, a group supported by industry, told United Press International. 'We will lose our R&D advantage and then we lose high skilled, high-paying jobs to overseas,' Trull said. So far, no pharmaceutical companies appear to have begun shifting their research to other countries. 'If they are, they aren`t talking about it, but that doesn`t mean it`s not happening or that it`s not on the drawing board,' Trull said. In the monkey research incident, Dario Ringach, a neurobiologist at the University of California at Los Angeles, sent an e-mail message last week to the North American Animal Liberation Press Office informing them he would be stopping his research involving animals. Ringach`s e-mail, obtained by UPI, reads, 'You win. Effective immediately, I am no longer doing animal research.' Ringach requested NAALPO inform animal-rights groups and stop bothering his family. The Primate Freedom Project, an animal-rights group based in Los Angeles, had led protests at Ringach`s home, posted his home address and phone number on their Web site and distributed leaflets to his neighbors informing them of his research. The group objected to experiments Ringach was going to conduct that, according to them, would have involved paralyzing and killing 30 macaque monkeys. UCLA spokeswoman Judy Lin confirmed to UPI that Ringach sent the e-mail and released a statement from the university saying the case 'illustrates the damage to society caused by the illegal terrorist activities of some animal rights groups.' UCLA also said it was cooperating 'with the FBI and other law enforcement agencies investigating terrorist acts directed at university researchers.' Last month unidentified members of the Animal Liberation Front claimed credit for attempting to leave a 'Molotov cocktail' at the home of another UCLA researcher, Lynn Fairbanks, who also conducts experiments with monkeys. 'Research involving laboratory animals has served as a vital cornerstone in the development of lifesaving procedures and medicines, from vaccines to open-heart surgery, organ transplantation to mental health treatment,' UCLA said. 'To be so extreme as to use violent tactics aimed at halting animal research is to take away hope from millions of people with cancer, AIDS, heart disease and hundreds of other diseases.' Jerry Vlasak, a spokesman with NAALPO, told UPI the increased efforts from the FBI and industry to crack down on animal-rights groups is an indication the movement is effective. 'I think it`s stronger now than it`s ever been despite all of law enforcement`s best intentions,' Vlasak said. 'We`re increasingly effective, and we`re going to see more Dario Ringachs in the future,' he added. Vlasak said that, in addition to opposing animal research due to the pain and suffering it inflicts upon animals, he sees the research as often unnecessary and not translating well to humans. He doubted industry would move their research overseas but said that if they do, they will still encounter activists. 'Wherever they go, they will be followed,' he said. Trull said there may be other researchers like Ringach who are intimidated by the animal-rights movement. 'So many people are afraid to speak up for fear of being a target,' Trull said. 'A lot of other people have gotten out (of animal research) but didn`t want their names used.' She said her group is aware of six researchers that have opted out of research over the past five years due to concerns about animal-rights groups. 'It`s clearly a climate of intimidation and fear,' Trull said. 'It`s inexcusable.' The pharmaceutical and biotech industries are concerned the activists might focus more of their attention on them. Trull said the animal-rights groups` chat rooms and Web sites discuss making Big Pharma a primary target. 'They want to go after the biggest because that`s how they get the most attention,' she said. 'Some of the big pharma companies have already felt some of this in the U.K.,' she said. Her group is urging Congress to act on the Animal Enterprise Terrorism Act, which she says would improve law-enforcement officials` ability to thwart animal-rights extremists. The legislation has been introduced in both the House and Senate. Copyright 2006 by United Press International http://news.monstersandcritics.com/health/article_1188426.php/Analysis_Researcher_bows_to_extremists
  4. hop

    They're veggies - traduction

    Contente de te revoir Do ! Et bonjour à vous 2 ! Oui, Cécil, ton titre ferait une bonne accroche ( comme on dit dans le jargon ) et je suis d'accord aussi avec tes modifications
  5. Très bizarre, hein ? ça fait un peu réaction de caractériel ! Je comprends très bien qu'un activiste, quelque soit le type de lutte choisie, connaisse des moments de dépression ou même arrive au bout de ses limites. Mais reconsommer un produit issu d'un animal, alors là ! ?
  6. Ben oui, plus simple certainement. Pourquoi se compliquer la vie ? En France, on en tue (officiellement) de 400 à 500 000 chaque année, un de plus, un de moins...
  7. hop

    They're veggies - traduction

    En fait, c'est plutôt moi qui n'ait pas fait le rapprochement. Tu avais bien dit que c'était des prises de sang en vue de l'opération. Merci. Je vais mettre ça.
  8. hop

    They're veggies - traduction

    Et ben, que de nouvelles ! Pauv'bonhomme ! J'espère que déjà, ses ennuis veineux vont disparaître avec ses piqures. ça lui pose des problèmes pour marcher ? Et j'espère que pour Sophie ce sera une intervention plutôt "légère" où on n'est pas trop longtemps dans les choux. J'avais entendu dire une fois que toutes les perruches ne faisaient pas toujours ce qu'il faut pour s'user le bec. Les gens n'y prêtaient pas nécessairement attention jusqu'à ce qu'ils finissent par remarquer le "manque d'appétit "de l'oiseau !
  9. hop

    They're veggies - traduction

    Merci beaucoup. Je suis navrée pour Fred. Fais lui une grosse caresse et bon courage à vous 2.
  10. Lancé par la League against cruel sport CAMPAIGN AGAINST BULLFIGHTING www.bullfightingfree.org/
  11. Un jeune chevreuil responsable de plusieurs agressions abattu dans la Vienne 10/08/06 POITIERS (AFP) - 10/08/2006 11h25 - Un jeune chevreuil responsable de plusieurs agressions cette semaine contre des promeneurs, dont une femme ayant dû recevoir 50 points de suture, a été tué mercredi soir, a-t-on appris jeudi auprès du maire de la commune de la Vienne où les faits se sont déroulés. "Le brocard (chevreuil mâle d'un an environ) a de nouveau été localisé mercredi soir par le joggeur agressé la veille. Il a alerté le lieutenant de louveterie (chasseur investi d'une mission de service public) qui a aussitôt abattu l'animal", a expliqué à l'AFP François de Lauzon, le maire d'Anché. "Il s'agissait probablement d'un faon domestiqué qui avait fini par être relâché ou par se sauver, mais qui continuait à rechercher la présence de l'homme. Peut-être voulait-il simplement jouer...", a estimé l'édile. Une première agression avait eu lieu dimanche matin contre une femme de 71 ans: le chevreuil l'avait poursuivie, la blessant aux jambes et au dos. Il avait récidivé quelques heures plus tard "en coursant des gamins de huit ans qui allaient se baigner dans une rivière" proche du village, puis à nouveau mercredi matin contre un joggeur, selon le maire. http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=ins&idArticle=060810112446.akuizjk7.xml
  12. Le vice-ministre chinois de la Santé a affirmé jeudi qu'il n'y avait pas d'épidémie de rage dans le pays et que les récentes exécutions massives de chiens n'étaient pas justifiées. "La rage n'est pas une maladie en recrudescence", a déclaré Jiang Zuojun au cours d'une conférence de presse., "Dans un pays aussi grand que le nôtre, il est normal que des cas se produisent", a-t-il ajouté. ...Selon la presse chinoise, les méthodes pour tuer les chiens vont de la pendaison à l'injection de drogues, en passant par l'électrocution. Interrogé jeudi sur ces abattages, le vice-ministre de la Santé a estimé que ces mesures extrêmes n'étaient " plus nécessaires" et que les vaccinations devaient être le moyen privilégié pour réduire les cas de rage. Pas d'épidémie de rage en Chine, pas besoin de tuer les chiens - 10/08/06 www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=medecine&idArticle=060810101624.eqnhnzz0.xml
  13. hop

    They're veggies - traduction

    « Je vous présente mes parents, ils sont vegés (1) vous savez » . Il y a 20 ans, ce commentaire aurait été accueilli par un silence stupéfait, probablement suivi d’un perplexe "Mais vous mangez de l’agneau, non ? " Mais de nos jours, il y a de grandes chances pour que cela ne suscite rien de plus qu’un battement de cils et qu’un assortiment de fruits exotiques, de légumes et d’alternatives à la viande surgissent from the backroom (2) , prêts pour ce type de situation. A mesure que le végétarisme est entré dans les mœurs et devenu plus à la mode, avec de nombreuses célébrités comme Stella Mc Cartney, Alicia Silverstone et Jude Law, attribuant leur teint lumineux à un régime sans viande, les supermarchés ont réagit à cette évolution dans les pratiques de consommations courantes en consacrant des rayons entiers de leurs sections "frais" à des alternatives à la viande . Avec des stir-fries (3), des hamburgers, des pies et des fillets ainsi que maints fruits exotiques et légumes dans lesquels planter sa fourchette, être un herbivore n’a jamais été plus facile, plus attrayant ni plus à la mode, ma chérie ! (4) ! Et, au Royaume-Uni, avec le marché de détail d’aliments végétariens augmentant de 8% chaque année, il ne semble pas que les grosse huiles s’en plaignent non plus. Avec plus de 4 millions de végétariens au Royaume-Uni pour soutenir sa cause, la Vegetarian Society tâchera de se faire mieux connaître en lançant la 14ème édition de la Semaine Nationale Végétarienne (22-28 mai) ce qui ne manquera pas de susciter des débats dans les médias autour de ce qui était considéré auparavant comme un style de vie hippy et déviant. Les partisans de ce mode de vie comme Paul Mc Cartney et sa fille Stella, qui sont membres bienfaiteurs de la Vegetarian Society, feront sans doute tout leur possible pour dissiper la croyance selon laquelle végétarisme signifie régime peu varié et insipide. Ce n’est pas parce qu’une personne choisit de ne plus manger de viande, de volaille, de gibier ou de poisson qu’elle doit se contenter d’un squirrel-friendly nut roast en guise de "sunday treat" (5) voyez-vous ! Cependant, bien que le terme végétarien soit devenu mondialement reconnu, peu de gens réalise jusqu’où les véritables végétariens vont pour reinvent their carnivorous life style(6) : réinventer leur style de vie carnivore - réinventer leur comportement alimentaire. Il est certain que la plupart évitent toutes formes de viande (excepté ceux qui continuent de manger du poisson) mais ils refusent également les produits issus des abattoirs tels que la présure (très communément utilisée pour la confection du fromage), la gélatine (utilisée pour la gelée, les marshmallows et comme exhausteur de goût dans les aliments allégés, ainsi que la graisse animale. Cette liste d’interdits n’est pas trop dissuasive, semble-t-il, puisque le nombre de végétariens a doublé dans les dix dernières années et continue d’augmenter de 5 000 par semaine , les femmes étant deux fois plus susceptibles de faire ce changement que les hommes. Alors, pourquoi devriez-vous bannir les hamburgers et laisser tomber le poulet pour un régime plus végétal ? Et bien, il est notoire que les végétariens sont motivés par trois facteurs clés : 1) Le respect envers les animaux - Beaucoup considère qu’infliger de la souffrances aux animaux (7) , simplement pour notre consommation, est un mal non nécessaire. 2) Une prise de conscience environnementale - Nombreux sont ceux qui voit la consommation de viande comme une des causes de la rapide détérioration de la planète, puisque la pollution, le réchauffement climatique et la déforestation sont directement liés à l’élevage. 3) Des questions de santé : Il a été prouvé qu’un régime végétarien est bénéfique pour la santé, en particulier parce qu’il lutte contre nombre de problèmes qui assaillent la population britannique actuelle. Cela comprend l’obésité, le cancer du sein, le diabète, et la maladie cardiaque laquelle, bien qu’inconnue avant ce siècle est la principale cause de mortalité du monde moderne. Je suppose que c’est le prix à payer pour ces « M » jaune de 10 pieds de haut qui nous accueillent dans chaque centre ville ainsi que la monstruosité de ce 21ème siècle qu’est le bucket « Family Feast » de KFC. Ajoutez à cela que la nourriture végétarienne est pleine d’antioxydants protecteurs dont la provitamine A (bêta-carotène) et les vitamines C et E et est riche en fibres, et il n’est pas étonnant que tant de gens abandonnent la viande. En fait, cela pourrait leur sauver la vie. Si vous envisagez de vous convertir au régime végétarien il est important de revoir entièrement vos besoins alimentaires selon certains principes de base, un régime végétarien devant inclure chaque jour ce qui suit : 3 ou 4 portions de céréales/grains entiers 2 ou 3 portions de légumineuses, de noix ou de graines (germées ?) [8] 4 ou 5 portions de fruits ou de légumes dont ceux verts foncés, rouges, oranges ou jaunes, des fruits frais et des fruits secs, 2 portions de laitage ou de produits à base de soja et une petite quantité d’huile végétale, de margarine ou de beurre. _______________________________ (1) Peut-être qu'on dit aussi Veggies aussi en français ? (2) backroom = euh...? (3) "stir-fries" : sautés ? "Pies" : pâtés ou tourtes ? "Fillets" : fillets ? (4) Chéri(e), ma chère... (5) squirrel-friendly nut roast ? - en guise de "sunday treat" (plaisir dominical ???) (6) "their carnivorous..." je trouve l'expression ambigüe, vu qu'ils abandonnent l'alimentation carnivore. Alors, je pensais à quelque chose comme : "réinventer leur comportement alimentaire". Mais c'est pas terrible ... (7) our fellow creatures : littéralement ça se traduirait par "semblables" or... Je pense qu'il faut entendre, des créatures qui, comme nous, sont sensibles mais c'est p-e juste une façon de causer ! Elle doit vouloir parler du 19ème siècle ! ça fait un bout de temps que les maladies cardio vasculaires sont connues - et re-connues depuis des décénnies comme principale cause de mortalité ! [8]"seeds" => graines germées ?[/i]
  14. texte original ___________ Meat The Parents - They're Veggies, Y'Know By Wendy Davies "Meat my parents - they're veggies, y'know." Twenty years ago this comment would have been met with a stunned silence, and probably followed by the ignorantly incredulous "But you eat lamb, right?" Nowadays, however, chances are that it would evoke less than the batting of an eyelid and an assortment of exotic fruits and vegetables and meat-free alternatives would be whipped out from the backroom, in preparation for such a situation. As vegetarianism has become more fashionable as well as socially acceptable, with many starlets including Stella McCartney, Alicia Silverstone and Jude Law attributing their glowing complexions to a meat-free diet, supermarkets have recognised this transition into the mainstream by dedicating whole freezer sections to meat alternatives. With stir-fries, burgers, pies and fillets, as well as numerous exotic fruits and vegetables to sink your fork into, being a herbivore has never been easier, tastier or so in fashion, darling. And with the UK retail market for vegetarian food increasing by 8% every year, it doesn't seem that the corporate fat cats are complaining either. With over 4 million vegetarians in the UK to back their cause, The Vegetarian Society will this week aim to raise its public profile by launching the 14th National Vegetarian Week (22 - 28 May) no doubt provoking media discussion on this once deviant and hippy lifestyle. Advocators of this lifestyle including Paul McCartney and daughter Stella who are patrons of the Vegetarian Society, will no doubt be doing all they can to dispel the myth that meat-free equals a limited and bland diet. Just because a person chooses not to eat meat, poultry, game or fish, does not mean they are confined to a squirrel-friendly nut roast as a Sunday 'treat' you know. However, despite the term 'vegetarian' now becoming globally recognised many still don't realise the full extent to which true vegetarians go to reinvent their carnivorous lifestyle. It is certainly true that most avoid all forms of meat (apart from those who still choose to eat fish) but many don't realise that they also cut out all slaughterhouse by-products, such as rennet (most commonly used in cheese-making), gelatine (used in jelly, marshmallows and fat-reduced foods to simulate the mouth feel of fat) and animal fats. This list of taboos hasn't intimidated many, it would seem, as the number of vegetarians has doubled in the past ten years and is increasing at a rate of 5000 per week, with women twice as likely to make the transition than men. So why should you banish the burgers and chuck in the chicken in favour of a greener diet? Well, it's widely agreed that vegetarians are motivated by three key factors: 1. A respect for animals - Many believe that inflicting pain upon our fellow creatures, purely for our consumption, is an unnecessary evil. 2. Environmental awareness - Many see meat consumption as one reason for our rapidly deteriorating planet, as pollution, global warming and deforestation are directly linked to livestock farming. 3. Health issues - It has been proven that a meat-free diet has significant health benefits, particularly in combatting many of the problems plaguing Britain's population today. These include obesity, breast cancer, diabetes and heart disease, the latter being the sole biggest killer in the modern world, despite it being unheard of before this century. I suppose that's the price we pay for 10ft high yellow 'M's greeting us in every town centre, along with the 21st century monstrosity that is the 'Family Feast' KFC bucket. Add to this that vegetarian food is packed with important protective antioxidants, including the beta-carotene form of vitamins A, C and E, along with a high-fibre content, it's no wonder that so many of us are moving away from meat. It could, in fact, save your life. If you are thinking about converting to a vegetarian diet it is important to fully consider the change to your dietary requirements. As a basic guide, a vegetarian diet should include the following each day: 3 or 4 servings of cereals/grains 2 or 3 servings of pulses, nuts or seeds 4 or 5 servings of fruit or vegetables, including dark green leafy vegetables, red, orange and yellow vegetables, fresh fruit, dried fruit 2 servings of dairy or soya products, and a small amount of plant oils, margarine or butter _________________________ Pour la traduction, y'a plein de trucs que je sais pas ou que suis pas sûre. Votre aide serait la bienvenue
  15. Those who remained became known for their refusal to bend to the laws of the U.S.or Mexico, crossing and re-crossing the border to escape persecution, often becoming bandits or soldiers who fought on the U.S. or Mexican side, depending on the politics of the moment. In the mid-20th century, many came to the U.S. to work in the agricultural fields. Through all of this, the Yaquis maintained many of their old beliefs. These included the collective memory of an earlier way of life, a time with no war, when they communed with animals, particularly deer, and with flowers. These were the traditions Coronado learned from the late Anselmo Valencia, a tribal elder in Tucson who took him in when he was living underground in the mid-1990s. Coronado says that his grandfather was an apostolic minister, and his parents were, in his words, "dirt-poor farm workers," who instilled in him the ideals of social service, traveling to Mexico in the summer to bring clothes to poor people. Coronado started working with Yaqui kids and, in his own words, "felt whole." But it was not his Boy Scout demeanor that made him famous; it was his tactical skills. During lunch, I ask Coronado to tell me about his time with the Animal Liberation Front. "I was a leader of my own ALF cell," Coronado says. "I started one cell in California, and I moved to the Pacific Northwest to create another. There are two to eight people in a cell at any one time. They're very independent. And anyone could propose and carry out an action. The person who had the idea would do the recon, the intelligence gathering, and sell the idea to the rest of us," he says. "I was generally that person." Before bombing the mink labs, Coronado had traveled around for 11 months as an investigator for Friends of Animals, pretending to be a businessman interested in getting into the mink industry. He was an undercover agent, only for the animal-rights movement instead of the government. Coronado was, by his own account, "very good at what I did." Buthe quickly grew disenchanted with the mainstream group's bureaucracy. "I gave them the information," he says. "They pretty much used it for fund-raising. I felt like I owed those animals I watched die a lot more than that." Borrowing from his Sea Shepherd experience, Coronado decided to target laboratories researching the domestication of minks, which he had learned about during his Friends of Animals undercover stint. Coronado andhis ALF colleagues rescued 60 mink - legally - buying them from a small farm in Montana. The animals had been bred in captivity, but once the ALFers fed them live animals, they refused to go back to dry food. "Once they tasted blood, their instincts came back," he says. "We would always release them near water. They'd be swimming like mad, using their bodies like they never had before. It was a part of us too, that experience of living that way. We saw that it was a part of us." The ideal of absolute freedom at any cost was a young man's fantasy, and a profoundly American one, familiar to readers of Edward Abbey and the Western writers who preceded him. But the members of Coronado's ALF cell were pragmatic enough to realize they could never afford to buy all the mink being raised on farms, or all the lynx and bobcats. Coronado was eventually convicted of torching a researcher's office at Michigan State University and destroying years of research data at an off-campus mink laboratory. He was sent to prison in 1995, where he served 48 months of a 57-month sentence, with time off for good behavior and time served. But he had started a movement. Before Coronado, nobody had raided a mink facility. "There were 70 raids on fur farms from the time I went to prison to when Igot out," Coronado says. This may help to explain why, when animal-rights activist David Agronoff was questioned by a grand jury last year, ostensibly about the arson of a condominium complex in San Diego, all the investigators wanted to talk about was Coronado. In March 2004, Rod Coronado, accompanied by a writer from Esquire magazine, was arrested by authorities in Sabino Canyon. The canyon,a scenic thoroughfare of rock and water in the highest of the five mountain ranges surrounding Tucson, Arizona, had been closed so state Game and Fish Department officials could trap and kill five mountain lions. Uncontrolled sprawl had brought condos and trophy houses up to the lions' doorstep, as it were, and the lions had been sniffing around. When state officials were about to shoot the mountain lions, Coronado found himself in a position familiar to anyone who's volunteered: He was the only one willing to show up every single day and keep interfering with the hunt by springing the traps set for the lions, and, if necessary, placing himself between gun and animal. Then he was busted, and his life threatened to fall apart. "We saw all those other guys get rounded up," he says, referring to the Vail saboteurs. "They were targeted for serious criminal offenses. There were informers giving solid evidence." He leans forward, putting down his coffee cup. "Hunt sabotage is usually a ticket, maybe a $500 fine." Coronado and the reporter were arrested and charged, but only with misdemeanors. A few months later, the feds added a felony conspiracy "to interfere with or injure a government official" to Coronado's charges. The state of Arizona added two misdemeanor charges of its own. But the worst was yet to come. On February 15, 2006, a grand jury indicted Coronado under a little-used law prohibiting the distribution of information related to the assembly of explosives and weapons of mass destruction. His crime? He'd spoken at a gathering called "Revolution Summer" in San Diego in 2003. After his standard inspirational speech, someone asked how he'd blown up the mink labs. He grabbed a plastic juice bottle from a table and explained that he'd filled a similar bottle with gasoline, set a timer, and that was pretty much that. Or it was until a photo of Coronado brandishing the juice bottle made an appearance before Congress. "I was pretty naive," Coronado says. "I got out of prison and said, okay, it's the Age of Bush. I told myself, okay, I can lecture, I can do aboveground organizing, but that's all I can do." It didn't help that hours before Coronado's arrival, arsonists had set fire to a San Diego condominium complex, causing $50 million in damage, and leaving behind an ELF banner. Although Coronado apparently had nothing to do with the arson, the political climate was becoming distinctly dangerous for anyone who could be labeled a terrorist - even an ecoterrorist. And the definition of terrorism seemed to shift depending on the government's priorities - and the Bush administration's need to keep the Christian Right on its side. The U.S. Department of State defines terrorism as violence against noncombatants, while other agencies, notably the FBI, put crimes against property in the same category. Yet the FBI does not consider abortion-clinic bombings terrorism, despite the fact that they have resulted in six deaths. Although radical environmentalists are, by the FBI's own account, the agency's top counterterrorism priority, no one has been injured, much less killed, by radical environmentalists. By contrast, individuals with ties to white-supremacist and other anti-government groups have killed six people and injured more than 135 since 1996, according to the Southern Poverty Law Center. The FBI's decision to investigate radical environmentalists through its counterterrorism office has been questioned by its own Office of Inspector General, which in a 2003 report recommended that eco-sabotage should be handled by its criminal division. If there was any doubt that the feds are targeting Coronado, it was dispelled just a few weeks ago, when he faced yet more charges, this time for possessing eagle feathers, prohibited under the Migratory Bird Treaty and the Bald Eagle and Golden Eagle Protection Act. Eagle feathers are used in Native American religious ceremonies. Coronado had refused to register as a tribal member for political reasons, which increases his liability to prosecution. In December, Coronado was found guilty in federal court on all the charges stemming from the hunt sabotage outside Tucson, and this week, U.S. District Judge David Bury said he wanted to send a message that if you use "force and violence in civil disobedience, you are going to be punished for it; it's anarchy." In addition to eight months of prison time, Coronado must pay restitution and is prohibited from associating with activists involved with Earth First!, the ALF and the ELF. At the end of August, his lawyers will be making a motion to dismiss the charges related to the San Diego incident on the basis of freedom of speech. If they don't succeed, Coronado could face 20 years in prison. As he faces years of separation from his son and his partner, Coronado seems to be in an argument with himself about whether it was all worth it. His son "wants me around to go to the museum," he says. "He remembers when I was going to the mountains to protect the kitties. But he wants me to find another way. "Prison changed me," he says. "But not as much as it should have, in retrospect. Every time I go to court, there is very little said about Sabino Canyon. It's all about my criminal history." These days, Coronado talks about acting with compassion and love, says that a violent political action will merely beget more violence. "We should never be against rescuing innocent victims," he says. "But any aggressive action on our part is too easily characterized as terrorism." When Coronado talks about the mountain lions of Sabino Canyon, he gets feisty for the first time, as if breaking out of depression. "I don't wish I hadn't done it," he says, referring to the hunt sabotage. "Too much of my spirit and the spirit of the wild would have died. The fact that they could go into this protected area, a place where the natural world is supposed to be whole, and kill the largest predator in the desert . . . Good old boys can kill lions everywhere else but not here, not in Sabino Canyon. It was one of those times when you had to take a stand. You're gonna have to make some personal sacrifices. That's part of American history." Perhaps it's merely a painful irony and not a statement about America. But it must mean something when an informer's son gets to grow up with his dad, while the son of a man who tried to stop violence against animals will be sending letters and drawings to prison. "I've felt like Don Quixote," he says. "I've been banned from going to meetings. The same effect I had burning down a building I had by walking into a Game and Fish meeting, being who I am, having done what I did. "I've given 20 years of my life," he says. "I'm intimidated. I'm scared. I'll quit. I'm probably going to move to the Midwest and just focus on raising a family. They've won." Last Updated ( Tuesday, 08 August 2006 ) ____________________ http://supportrod.org/
  16. 9 août 2006 Rod has been sentenced to 8 months in Federal Prison. He was taken into custody immediately after the hearing. We are waiting to find out for certain where he has been taken, but we believe strongly that he is in the CCA Florence. This is a private corporation where the Federal Government detains immigrants. Matt Crozier was given probation. _________________________ Last Interview with Rod Coronado before prison Tuesday, August 08 2006 Rod Coronado's hair is cropped so close to his skull it takes a while to notice it's more gray than black. His face is gaunt, his cheekbones surfacing from the planes of his face like the masts of those whaling ships he sunk as a young man. While Johnny Depp entered his 40s playing a pirate onscreen, Rod Coronado is hanging up his cutlass, metaphorically speaking. You could say the onetime boy wonder of the radical environmental movement is having a midlife crisis. At the very least, he is growing up. Going back to jail can do that to a guy, even a guy who's known as the poster boy for radical environmentalism or, depending on your point of view, ecoterrorism. Coronado was sentenced Monday to eight months in federal prison on what many decry as trumped-up conspiracy charges, and he's facing theprospect of serving as much as 20 years if a federal judge in California doesn't look kindly on a motion to dismiss charges here. He weathered prison pretty well the first time, but now he's got a 4-year-old son. This time, prison wasn't part of the plan. Coronado seems shell-shocked when I meet him at a café in Tucson, where he has made a home and a life after spending much of the '90s either living underground or behind bars. It is so hot this time of yearth at even an environmentalist who walks Coronado's walk has agreed that the most important criterion in choosing a place to talk is air conditioning. He orders a tamale pie made of sweet potatoes, cheese and mushrooms, and he's drinking coffee - "I'm not a vegan anymore," he announces. We meet a couple of weeks before Coronado is to be sentenced. I'm one of the last journalists he will speak with before doing time. During the interview, Coronado calls himself "naive" and says he was surprised by the vehemence of the government's reaction to his more recent political activities, innocuous compared to the daredevil stunts of his youth. But times have changed, and the word terrorist now functions as carte blanche. Rod Coronado is the last of a generation, and his story is a bell curve of the radical environmental movement's rise and fall in America. Coronado, lithe, handsome and articulate, with the dark skin of his Yaqui Indian forebears, spent four years in prison for damaging laboratories in the Midwest that were experimenting with ways to make minks more amenable to becoming coats. After his release, he'd become theequivalent of a retired athlete selling insurance or modeling underwear. Hehovered at the edges of the radical environmental movement, but, as far asanyone knew, his days as a hardcore monkey-wrencher were over. You could say that his midlife crisis started with an appearance on 60 Minutes in November of 2005. Less than six months before that John Lewis, FBI deputy assistant director for counterterrorism, had testified toCongress that radical environmentalists were the country's number-onedomestic-terrorism threat. The statement practically begged Ed Bradley toask why, if these guys were so dangerous, there had been no arrests. The implicit question being, of course: If the feds can't catch a bunch of skinny vegans, how could they stop terrorism? Real terrorism, that is. "It made them look like they were still chasing the ghost," Coronado says. In December 2005, the FBI made the ghost flesh when it arrested more than a half dozen people believed to be members of the Earth LiberationFront (ELF) and the Animal Liberation Front (ALF). The FBI made the arrestsin the usual way it cracks down on radicals, by using informers. In this case, agents persuaded Jake Ferguson, a former heroin addict and heavy metalguitarist who had gravitated to ELF circles, to wear a wire, a repeatperformance of the way they'd infiltrated the radical environmental groupEarth First! in 1990. The arrests were the culmination of a 10-year investigation. There is always a sad tale in these FBI cases, the crack in someone's personality that allows a radical cell to be infiltrated. According to the Seattle Times, Ferguson told a former bandmate about hisdifficult upbringing without his father, who spent time in prison. Ferguson reportedly said he hoped his cooperation with the Justice Department wouldspare his own son the same. The FBI reported that animal-rights advocates have been responsible for $110 million in damage since the 1970s, including the $12 million arson that destroyed the massive Two Elk Lodge at a Vail, Colorado, ski resort, which some environmentalists claimed was encroaching into lynx habitat. Up until then, this was the single biggest act of arson eco-sabotage in the history of the radical environmental movement, and itfocused national media attention on the arsonists. But for several years, neither media attention nor the ministrations of the FBI stopped the symbol-laden campaign of destruction. The eco-saboteurs burned down a slaughterhouse to protest the roundup of wild horses. They torched a Hummer dealership. And they escaped, until 2005. One of those caught in the sweep, a 40-year-old named William C. Rodgers, described as a balding, soft-spoken man who liked to hike and read, committed suicide rather than face life in prison. Another ELF saboteur, a woman named Chelsea Gerlach, pleaded guilty last July to eight counts of arson related to the Vail fires, plus involvement in various arson fires around Oregon, including fires at a meatpacking plant, a police substation and a Boise Cascade office. By comparison, Coronado hadn't done much more than talk in recent years. Apparently, that was enough. At an age when other kids were heading off to college, Rod Coronado was hanging around the San Francisco Bay Area, listening to thehistoric figures of the radical environmental movement. Dave Foreman was preaching the gospel of Earth First! The New Mexico native, who had worked as the Wilderness Society's top Washington, D.C., lobbyist, invoked the Boston Tea Party in his rhetoric. The situation was direr than we had realized, Foreman told audiences. Three-fifths of the world's mammal species were likely to go extinct in the next generation, and there was no time towaste on niceties like lawsuits or lobbying. Quoting far-right presidentialcandidate Barry Goldwater, another nature-loving son of the Southwest, Foreman was fond of saying: "Extremism in defense of liberty is no vice." Also on the scene was a florid Canadian named Paul Watson, who had been expelled from Greenpeace in 1977 for his less-than-strict adherenceto the tenets of nonviolence. He bought an English trawler and christened it the Sea Shepherd, and named his anti-whaling group the Sea Shepherd Conservation Society. Watson left the parleys at International Whaling Commission meetings to others. His job was to put whaling ships out of commission. "I had been reading this material," Coronado tells me, picking at his tamale. "I approached Paul and said, 'I want to go to Iceland and sink some ships.' He didn't say, 'You're crazy.' He said, 'What do you need?' " Coronado became the eco-equivalent of a Dickensian boy thief, a seemingly fearless young man who wriggled in and out of impossible situations, always managing to triumph. By the account of one member of theSea Shepherd crew, Paul Watson steered the boat, raised funds and talked to reporters. The daring (and thinner) Coronado climbed aboard Japanese and Norwegian whaling vessels in the dark of night and opened the shuttlecocks, clambering back aboard the Sea Shepherd as the whaling ships slowly took on water. Coronado's activism, as with a majority of 1960s radicals, was not so much a rebellion against his parents as an extension of their ideals and their heritage. Coronado grew up in a family of Yaqui Indians from the borderlands of Sonora, Mexico, and Arizona. The Yaquis have the distinction of never having been conquered. The Toltecs, Aztecs and, later, the Spanish failed to bring them to heel, although the Yaquis were converted by Jesuits and engaged in thriving commercial pursuits in tandem with the priests. Once the Mexican government expelled the Jesuits, the Yaquis became outlaws. In the 1870s, one of the Yaqui leaders actually declared Yaqui territory a country independent from Mexico. In 1903, the Porfirio Diaz government expelled the Yaquis, sending them to southern Mexico to work as slaves on the haciendas. (...)
  17. Oui. Même en période de rut, les chevreuils ont tendance à s'éloigner quand il nous voient.
  18. L'Agence nationale du médicament vétérinaire met en garde contre l'utilisation des antiparasitaires à base de perméthrine destinés aux chiens. Car certains maîtres les appliquent sur leur chat, avec à la clef des effets indésirables graves. En 2005, près de 600 chats ont été affectés dont plus d'une cinquantaine sont morts. (...) Les antiparasitaires pour chien, c'est pas pour les chats ! - 09/08/06 http://fr.news.yahoo.com/09082006/185/les-antiparaistaires-pour-chien-c-est-pas-pour-les-chats.html
  19. Un chevreuil agresse une joggeuse de 71 ans: cinquante points de suture - Un chevreuil a récemment poursuivi et agressé deux joggeurs, dont une dame âgée qui a dû recevoir "50 points de suture", a-t-on appris mardi auprès du maire du village de la Vienne où les faits se sont déroulés. "La première agression a eu lieu dimanche matin. Une habitante de 71 ans qui faisait de la marche rapide sur un chemin s'est retrouvée nez à nez avec un chevreuil qui l'a blessée aux jambes et au dos, avant qu'elle ne trouve refuge dans une grange et ne s'arme d'une pelle à grain pour le faire fuir", a indiqué à l'AFP François de Lauzon, maire d'Anché. Mardi matin, l'animal a récidivé, à quelques centaines de mètres du lieu de la première agression, en poursuivant un joggeur de 36 ans. Pour se défendre, le sportif a fini par lui donner un coup de pied dans la tête. Devant l'acharnement de la bête, le joggeur a indiqué avoir finalement dû s'armer d'une pierre. "Un arrêté préfectoral pris lundi a donné mission à un lieutenant de louveterie (un chasseur du département, NDLR) de prélever l'animal pour le mettre hors d'état de nuire", a précisé le maire. Le chevreuil, qui boîte, pourrait avoir été rendu agressif après avoir été blessé par des chasseurs ou bien parce qu'il est en période de rut, selon les différentes hypothèses émises par le maire et la Fédération départementale de chasse qui rappelle que ce genre de comportement est rare chez cet animal. http://fr.news.yahoo.com/08082006/202/un-chevreuil-agresse-une-joggeuse-de-71-ans-cinquante-points.html
  20. Des militants écologistes ont appelé les habitants de Hong Kong à couper leurs lumières pendant 3 mn, pour sensibiliser les autorités à la pollution de l'air. ...Le nouveau Conseil législatif (LegCo), le mini-Parlement local, et plusieurs grandes entreprises dont AIA (filiale asiatique de l'assureur américain AIG) ont promis d'éteindre les lumières de leurs bâtiments. "Le concept est très simple - les gens peuvent faire quelque chose pour améliorer l'environnement", a affirmé Edwin Lau, le directeur de l'Association Les amis de la terre, qui soutient la campagne. La qualité de l'air dans la ville s'est dégradée à tel point que le nuage de pollution a réduit la visibilité à moins d'un kilomètre durant plus de 50 jours l'an dernier. Selon le gouvernement, la pollution provient essentiellement des usines de Chine continentale et de la province limitrophe du Guangdong. Des militants écologistes ont plongé Hong Kong dans le noir - 08/08/06 http://fr.news.yahoo.com/08082006/202/des-militants-ecologistes-ont-plonge-hong-kong-dans-le-noir.html
  21. Quelque 80 gendarmes et un hélicoptère ont été mobilisés mercredi pour retrouver une "grosse bête noire" ( peut-être un sac-à-dos ? ) aperçue dans la matinée sur la plage de Wissant (Pas-de-Calais), entre Boulogne-sur-Mer et Calais, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. "Nous recherchons une grosse bête noire d'environ 1,20 m de longueur qui a été signalée sur la plage. Des témoins, peut-être paniqués, ont parlé d'une panthère", a déclaré à l'AFP un officier de gendarmerie. La plage a été fermée à la baignade et il a été conseillé aux gens de rester dans les zones habitées et de ne pas s'aventurer dans les dunes. Un cirque installé à Wissant a affirmé n'avoir perdu aucun animal. Des gendarmes à la recherche d'une "grosse bête noire" près de Calais - 09/08/06 http://fr.news.yahoo.com/09082006/202/des-gendarmes-la-recherche-d-une-grosse-bete-noire-pres.html
  22. Plus troublant encore : en Guinée et en Côte d'Ivoire, nos proches cousins utilisent marteau et enclume pour casser des noix. La méthode, qui comporte des variantes d'un groupe à un autre, ne s'éloigne guère de celle que l'on prête aux hommes du paléolithique ancien (1,8 million d'années) et relève d'un véritable apprentissage : les jeunes mettront trois ans pour l'acquérir, et trois de plus pour que leur compétence approche celle de leurs aînés. En 1999, la très sérieuse revue scientifique Nature prend acte de ces observations éparses, et publie un article qui fera date. Signé par neuf grands noms de la primatologie mondiale, il recense 65 types de comportements dont la pratique, transmise de parents à enfants, peut être totalement ignorée par la communauté voisine. Son titre : "Cultures chez les chimpanzés". Mais c'est de l'orang-outan que viendra la plus grande surprise de ces dernières années. Un singe solitaire et tranquille qui ne subsiste en liberté que dans les îles asiatiques de Sumatra et de Bornéo, et qu'on avait injustement jugé en limitant ses prouesses technologiques au fait de se gratter les fesses avec des branchages ou de se couvrir la tête de feuilles pour se protéger de la pluie. L'aventure a eu lieu dans le marais de Singkil, dans la région de Suaq, dans l'ouest de l'île indonésienne de Sumatra. Un paradis terrestre pour les orangs-outans, qui trouvent dans cet habitat humide une nourriture abondante tout au long de l'année. Alors que l'espèce, dans les forêts des zones sèches de l'île, est plutôt solitaire, plusieurs dizaines d'individus ont ici pris leurs habitudes collectivement. Ainsi que l'a découvert l'équipe de Carel van Schaik (université de Zurich, Suisse), ils utilisent deux sortes d'instruments. Des brindilles, qu'ils dénudent comme le font les chimpanzés, pour récolter fourmis, termites et miel, et de petites branches droites, qu'ils effeuillent puis placent solidement dans leur bouche, afin d'y faire choir sans se blesser les très nutritives graines du neesia, que protège une coque tapissée de petites aiguilles acérées. Outils rudimentaires ? Peut-être. Mais la découverte essentielle est ailleurs. Elle réside dans la comparaison entre ce marais et celui de Batu-Batu, situé à un jet de pierre de là. Une zone tout aussi riche en fourmis, en miel, en neesias et en orangs-outans que le marais de Singkil, dans laquelle, pourtant, les singes roux n'utilisent aucun outil. La raison ? Le fleuve Alas, passant juste entre les deux zones, et infranchissable pour un orang-outan. L'usage des outils a-t-il un jour émergé à Batu-Batu, pour disparaître ensuite faute d'un apprentissage social suffisant ? Aucun migrant venant de l'autre côté du fleuve n'a pu en tout cas y importer son savoir. C'est ainsi que les brindilles manufacturées de main de singe continuent de joncher le sol du marais de Singkil, quand celui qui lui fait face reste obstinément vierge de toute innovation technique. Habitat identique, histoires distinctes... "Comme pour les chimpanzés, le fait d'observer des variations géographiques dans certains comportements des orangs-outans permet de conclure que la culture existe chez cette espèce", affirme Carel van Schaik, qui étudie la population de Suaq depuis plus de dix ans. Plus important encore au plan évolutif : les avantages acquis sur le site de Singkil ont manifestement encouragé les orangs-outans, habituellement solitaires, à rester groupés. L'ingéniosité de quelques-uns s'est transmise par l'apprentissage chez les petits (l'éducation des jeunes dure huit ans, et les bébés sont très assidus à apprendre ce que leur mère leur enseigne), par imitation chez les grands (les moins habiles observant les "maîtres"), l'ensemble ayant sans doute augmenté la capacité d'adaptation et les chances de survie du plus grand nombre. La culture, à Suaq, a stimulé l'intelligence. Chimpanzés, bonobos ou orangs-outans, qu'importe : dans les sociétés de grands singes, la transmission des acquis permet à chacun de s'appuyer sur les générations antérieures. Lorsque les conditions sont propices, ces animaux peuvent ainsi devenir plus inventifs, plus innovants, et donc plus performants intellectuellement. Ainsi s'expliquent au passage les étonnantes prouesses obtenues chez les chimpanzés, qui, dans les années 1960, furent élevés dès leur plus jeune âge comme des petits d'homme : considérés à l'égal des humains, ces singes, très vite, apprirent à apprendre. En fut-il de même pour notre propre espèce ? L'histoire culturelle de nos ancêtres a-t-elle interagi avec leurs capacités cérébrales innées à conceptualiser le monde ? La culture et l'innovation ont-elles progressivement développé notre intelligence, pour construire, comme le pense Carel van Schaik, "un nouveau cerveau à partir d'un ancien" ? Ce cerveau-là, en tout cas, n'a pas d'équivalent dans le règne animal. Trois fois plus gros que celui des singes anthropoïdes, il est la boîte noire dans laquelle continue de se cacher le propre de l'homme. Ou ce qu'il en reste, notamment le langage. "Ils ne parlent point, de peur de travailler", supposait Jobson, un voyageur anglais qui, visitant l'Afrique dans les années 1620, avait pris les grands singes pour une race inconnue d'humains. Qui n'a jamais entendu parler du chimpanzé Washoe ? Du gorille Koko, de l'orang-outan Chantek, du bonobo Kanzi ? Tous ont appris à communiquer par signes, ou à désigner du doigt des icônes pour demander de la nourriture. Washoe, singe surdoué, enseigna même les rudiments du dialogue gestuel à Loulis, son rejeton adoptif. Mais ces performances remarquables s'arrêtèrent là. Même s'ils sont capables d'apprendre plusieurs centaines de mots en langage des signes (la position de leur larynx leur interdit d'articuler les sons), nos cousins primates n'utilisent le langage que sur un mode impératif ou déclaratif. Ils ne racontent pas d'histoires, ils n'ont pas de formulation du futur, du passé ou du conditionnel, ils ne décrivent pas leur langage. Ils peuvent penser, mais ils ne peuvent pas dire, et sans doute ont-ils peu d'interrogations sur leur condition simienne. A l'homme seul, l'espèce au gros cortex, revient le douloureux privilège d'avoir une conscience du monde. Une conscience de soi par rapport à ce monde. Et une conscience de cette conscience. Catherine Vincent 07/08/06 http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3230,36-801601@51-791458@45-1,0.html
  23. Que reste-t-il du propre de l'homme ? Vous préparez votre sac de plage pour la journée ? Vous n'allez sûrement pas oublier d'y glisser votre crème solaire ni le roman que vous comptez lire quand la grosse chaleur sera tombée. Mais si vous pensez être les seuls animaux capables de faire un tel "voyage mental" dans le temps pour imaginer vos besoins futurs, vous vous illusionnez sur la spécificité humaine. Des anthropologues du Max-Planck Institute de Leipzig, en Allemagne, viennent de découvrir que les orangs-outans et les bonobos sont, eux aussi, capables de s'organiser à l'avance, et de choisir l'outil qui leur permettra, quelques heures plus tard, d'obtenir une récompense. Une pierre de plus - il y en aura d'autres - dans le jardin de ceux qui s'obstinent à croire qu'une frontière radicale sépare l'espèce humaine des grands singes anthropoïdes. Nos cousins. Nos frères. "Anthropoïdes" : qui ressemblent à l'homme. Grande taille, absence de queue, membres terminés par cinq doigts, dont un pouce opposable, encéphale volumineux, crâne haut surmontant une face ramassée et expressive : extérieurement, la proximité entre chimpanzé, bonobo, gorille, orang-outan, gibbon et homme (soit six espèces composant le groupe des hominoïdes) est indéniable. Et voilà qu'il en va de même en ce qui concerne le comportement, l'organisation familiale et sociale, le développement de l'intelligence ! Depuis que l'homme s'est décidé à observer les grands singes dans leur habitat, c'est-à-dire depuis à peine un demi-siècle, les découvertes ne cessent de bouleverser ce qu'il croyait être l'apanage de son espèce. De quoi donner un sacré coup à notre orgueil, qui nous avait peut-être un peu trop vite placés au sommet de l'arbre généalogique des espèces... Le paradoxe est cruel : au moment même où ces primates sont menacés comme jamais de disparaître de leur milieu naturel, nous prenons conscience, dans toute son intensité, de la troublante continuité mentale qui existe entre eux et nous. Une histoire commune qui se loge aux balbutiements de l'humanité, et qu'il est urgent de protéger au mieux. Ne serait-ce que pour cerner, avant qu'il ne soit trop tard, ce qu'est véritablement le "propre de l'homme". Où se cache-t-elle donc, cette nature humaine que nous ne partagerions avec personne ? Certainement pas dans notre bipédie, dont on sait désormais qu'elle n'est pas si différente (bien que plus affirmée) de celle des primates non humains. Dans nos capacités d'attachement, notre sens de la morale, nos facultés émotives ? Les grands singes ont des règles sociales et affectives bien établies, perçoivent la notion du bien et du mal, savent avoir de la joie ou du chagrin. Alors où ? Dans notre culture ? Longtemps, ce rempart-là a tenu bon, y compris chez les primatologues. Mais le mur, une fois de plus, s'est fissuré, puis écroulé. On l'admet aujourd'hui : le cerveau des grands singes, comme celui des hommes, produit des images mentales qui les rendent capables d'anticiper, d'innover, d'adapter les expériences passées aux situations nouvelles de leur environnement... et de transmettre la leçon à leur descendance. Non par les gènes, mais par l'apprentissage. En 1953, dans la minuscule île japonaise de Koshima, au large de Kyushu, le primatologue Kinji Imanishi fut le témoin d'une petite révolution technologique. En l'espace de quelques mois, les macaques vivant en liberté sur ce bout de terre vierge se mirent spontanément à laver les patates douces qu'on leur distribuait. Jusqu'alors, ils les mangeaient telles quelles, et s'abîmaient les dents sur la terre incrustée dans leur peau. Jusqu'au jour où Imo, jeune femelle de 18 mois, décida de nettoyer la sienne dans l'eau de la rivière. La tenant d'une main, la frottant de l'autre, elle répéta et perfectionna son geste pendant plusieurs jours. Trois mois plus tard, les membres les plus proches de sa famille faisaient de même. Cinq ans encore, et les trois quarts des juvéniles et des jeunes adultes lavaient régulièrement leurs patates douces. Non plus dans la rivière, mais dans l'océan, s'octroyant par la même occasion un apport de sel. Seuls les vieux, en marge de la société active, n'adoptèrent jamais cette habitude. Dans la culture orientale, on ne place pas à part l'espèce humaine sous prétexte qu'elle serait la seule à posséder une âme. Les primatologues japonais n'ont jamais hésité à donner des noms aux animaux qu'ils observaient ni à penser que chacun avait une identité et une personnalité différente. Aussi leur fut-il facile d'accepter la notion de culture animale. En Occident, ce fut une autre affaire. Mais l'étude des grands singes d'Afrique et d'Asie ne permet désormais plus le doute. Si l'on admet que la culture est un mode de vie partagé par les membres d'un groupe mais pas forcément par d'autres groupes de la même espèce, qu'elle recouvre les savoirs, les habitudes et les compétences partagées par la fréquentation de ses congénères et par l'apprentissage auprès d'eux, il faut se rendre à l'évidence : nous ne sommes pas, sur la terre, une exception culturelle. Car les grands singes, apparus il y au moins 14 millions d'années, ne se contentent pas d'avoir, avant nous, utilisé divers outils de pierre, d'os ou de bois. Ils les ont aussi créés. Ou du moins détournés de leur fonction première pour leur attribuer d'autres usages. Et ces "inventions", comme celles des peuples humains, diffèrent considérablement d'une communauté à l'autre. En Tanzanie, sur le site de Gombe, où Jane Goodall, la première, a observé dans la nature des groupes de chimpanzés, ceux-ci excellent dans la pêche aux fourmis : pour atteindre ce mets de choix, ils effeuillent une brindille de taille adéquate, puis l'introduisent dans la fourmilière pour y prendre ses occupants au piège. En Sierra Leone, ils ne se déplacent pas sans leurs tongs : fabriquées à partir de brindilles coincées sous la plante des pieds, elles leur permettent d'escalader sans douleur le tronc épineux des kapokiers, pour y cueillir les fruits dont ils sont friands. Ailleurs, ils se confectionnent de douillets petits coussins pour s'asseoir au sec dans le sous-bois détrempé. Se gratter le dos fait partie des rituels d'épouillage dans la réserve tanzanienne de Mahale, mais nulle part ailleurs. Pour la "danse de la pluie", à laquelle se livrent, tous poils hérissés, les mâles dominants à l'arrivée d'une averse tropicale, c'est le contraire : on l'a observée dans tous les groupes de chimpanzés étudiés jusqu'alors... sauf - allez savoir pourquoi - chez ceux de Bossou. (...) www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3230,36-801601@51-791458,0.html
  24. Tigre de Sibérie: une espèce menacée en voie de réapparition en Chine 2006-08-07 PÉKIN (Source vérifiée) Les tigres de Sibérie sont désormais plus de 700 dans un centre de reproduction du nord-est de la Chine, une bonne nouvelle pour cette espèce menacée d'extinction, selon la presse chinoise. Depuis le début des opérations de repeuplement de cette espèce, la population est passée, dans ce parc à proximité de Harbin, de 8 tigres en 1986 à 620 pour l'année 2005, indiquait dimanche l'agence Chine Nouvelle. Ces résultats sont dus à la politique du centre consistant à enlever les bébé tigres de leurs mères dès leurs naissances afin que celles-ci se consacrent à leurs activités de reproduction. L'équipe du parc est ainsi parvenue à augmenter le taux de reproduction, passant d'un bébé tigre tous les deux ans à deux par an, a précise l'agence. Le tigre de Sibérie, aussi connu sous le nom de tigre de l'Amour (du nom du fleuve qui sépare la Chine de la Russie) est le plus grand de toutes les sous-espèces de tigre. Il fut longtemps chassé jusqu'à sa quasi-extinction au milieu du 20ème siècle. Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, le tigre de Sibérie reste toutefois sous la menace d'une disparition. http://terresacree.org
×
×
  • Créer...