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Abbatage de 6 loups autorisé dans les Alpes
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le gouvernement a décidé d'autoriser l'abattage de six loups au maximum en 2006 dans neuf départements du sud-est de la France, provoquant la colère des défenseurs de la faune sauvage. Il s'agit d'une mesure dérogatoire car le loup est une espèce protégée, ont souligné les ministres de l'Ecologie et de l'Agriculture dans un arrêté publié jeudi au journal officiel. Mais "il peut être procédé à des prélèvements sur la population des loups" quand "il est nécessaire de prévenir des dommages importants aux élevages" et quand "il n'existe pas d'autre solution satisfaisante", précise l'arrêté. ...Ainsi les tirs peuvent être déclenchés plus rapidement qu'en 2005, soit après sept jours d'effarouchement effectif et deux attaques faisant au moins une victime: auparavant, il fallait attendre trois semaines d'effarouchement et quatre attaques faisant plusieurs victimes. Ces améliorations sont destinées à "satisfaire à la fois les éleveurs, à qui elles autorisent une meilleure réactivité, et la protection de l'espèce" grâce à une meilleure efficacité des mesures de protection des troupeaux et d'effarouchement des loups, selon le ministère. ...L'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) a pour sa part dénoncé le "manque de cohérence" du gouvernement. "Que penser d'un Etat qui investit une énergie considérable pour à la fois sauver des ours et tuer des loups", a-t-elle commenté. Le gouvernement autorise le tir de six loups, les défenseurs de la faune en colère - 02/06/06 http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=sci&idArticle=060601174210.m23760fz.xml Sauf qu'introduire 5 ours dans les pyrénées ce n'est pas "sauver" des ours. Quant aux loups, on peut les tuer sans problème. Ils sont venus de leur plein gré, ce n'est pas dans cette "biodiversité là " qu'on avait décidé d'investir (c'est vrai après tout, un loup c'est jamais qu'un berger allemand qu'aboie pas) alors.... -
Pyrénées : des ours sous haute surveillance
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Un nouveau lâcher d'ours slovène, le quatrième depuis le 25 avril, a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi en Haute-Garonne à Arbas, en déjouant la vigilance des opposants à l'ours, a-t-on appris auprès du ministère de l'Ecologie. L'ours, le premier mâle lâché depuis le début de la campagne de réintroduction, a 4 ans, pèse 88 kilos et est baptisé Balou, a précisé une porte-parole de la ministre Nelly Olin. Il est parrainé par les acteurs Gérard Depardieu ( chouette parrain : un amateur de corrida et même, toréro du dimanche ! ) et Fanny Ardant. ...Tous les lâchers réalisés dans le cadre du plan gouvernemental de renforcement de la population ursine ont été perturbés par les éleveurs qui voient en l'ours un prédateur de leurs troupeaux et un danger pour les populations. A chaque fois, les équipes chargées d'organiser le lâcher de l'animal ont dû changer de lieu à la dernière minute pour déjouer les manifestants. ...Dans le cadre du plan gouvernemental, une femelle doit encore être lâchée dans les Pyrénées Centrales avant l'été. Un nouveau lâcher d'ours alimente la tension entre partisans et opposants - 02/06/06 http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=sci&idArticle=060602111308.gts67ila.xml -
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Daltrey, Ferry... : The hunting, shooting, rocks dinosaurs
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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(COxyde, Belgique) Célio est en vie. Miraculeusement en vie. Malgré les nombreux coups de matraque, ce rottweiler a, certes, quelques séquelles physiques et surtout psychologiques, mais il est malgré tout encore vivant. «J'étais convaincue qu'ils l'avaient tué. Ils lui ont donné tellement de coups, que j'ai cru qu'il était mort.» Témoin de l'étrange scène, cette maman n'a rien pu faire. ...«C'était un rottweiler. Il avait un collet autour du cou. Plusieurs policiers le maintenaient pendant que les autres le frappaient avec leurs matraques. Cette pauvre bête hurlait.» Ne sachant pas la raison de cet acharnement, elle s'est adressée aux inspecteurs. «Ils m'ont regardée comme si j'étais folle. J'ai interrogé les gens qui étaient là et qui voyaient la même chose que moi. Personne ne savait pourquoi ils frappaient le chien.» ...Ce chien, c'est Célio. Il est âgé d'un an et demi. Son propriétaire, Jérémy, 22 ans, ne comprend toujours pas pourquoi les policiers l'ont massacré. «J'ai eu ce chien à l'âge de 5 mois, il est adorable. Jamais il n'a été agressif. Il n'a d'ailleurs pas été dressé pour l'être», nous explique Jérémy. «Jeudi, j'avais déposé mon chien chez un ami, le temps que j'aille me présenter pour un travail. Mais il a sauté au-dessus du mur qui faisait 1 m 50.» Un voisin a vu Célio dans la rue et l'a pris pour le mettre dans son garage. «Mon chien n'a pas du tout été agressif.» Mais une fois dans le garage, pris de panique sans doute, le chien s'est montré fort agité. «Le voisin ne savait pas quoi faire et c'est pour cela qu'il a appelé la police.» Et ils sont arrivés. Convaincus d'avoir affaire à un chien dangereux, ils l'ont maîtrisé... à leur façon. «Je l'ai récupéré. Honnêtement, j'ai bien cru que j'allais devoir le faire piquer. Il boite, il a une cicatrice sur le museau, mais ça va.» Enfin presque... «Maintenant, il est vraiment agressif. Pour la première fois, il a grogné et a voulu mordre mon papa quand il s'est approché de lui!» Convaincus qu'il s'agissait d'un chien dangereux, ils l'ont tabassé à coups de matraque - 31/05/06 http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=150543
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Daltrey, Ferry... : The hunting, shooting, rocks dinosaurs
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Les pompiers des Pyrénées-Orientales ont réussi dans la nuit de mercredi à jeudi à maîtriser le feu qui, poussé par une forte tramontane, a ravagé quelque 500 hectares de garrigue au dessus de Collioure, a indiqué le colonel Jean-Pierre Salles-Mazou, commandant du Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (CODIS). IL n'y a pas eu de victimes. ( ça m'étonnerait ) Aucune habitation n'a été endommagée. ...Selon les premiers éléments relevés par les gendarmes, le feu de Collioure aurait eu pour origine un écobuage mal maîtrisé par un septuagénaire. Intoxiqué par la fumée en tentant d'éteindre le feu qu'il avait allumé, il a été hospitalisé à Perpignan. L'écobuage est une pratique ancestrale * consistant à faire brûler les mauvaises herbes afin de préparer le terrain à la culture où à y régénérer la flore pour y faire paître les animaux. Pyrénées-Orientales: plus de 500 hectares de garrigue détruits par le feu - 01/06/06 http://fr.news.yahoo.com/01062006/202/pyrenees-orientales-plus-de-500-hectares-de-garrigue-detruits-par.html * Malgré tout le respect du aux "pratiques ancestrales" , il serait temps d'interdire celle-ci, entre autres ! Il y a déjà les incendies criminels, difficile de les prévenir ceux-là...Pourquoi ne pas au moins empêcher ces incendies d'origine "traditionnelle". Je me doute bien que ceux qui légifèrent se fichent des petits mammifères ou des insectes qui y laissent leurs vies...Mais alors au moins pour empêcher qu'il faille monopoliser " 450 hommes sur le terrain au matin pour éviter une reprise" pour de stupides habitudes agricoles !
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La police de Denver, Colorado, a découvert dans une maison, 36 pitbulls enfermés dans des cages. Les chiens étaient dans un piètre état, en très mauvaise santé, et certains blessés - probablement lors de combats de chiens . Le propriétaire des animaux, un homme de 38 ans arrivé récemment du Texas (sud) avec ses bêtes, a affirmé à la police les garder pour un spectacle et avoir obtenu l'autorisation d'un ami de les héberger pendant quelques jours dans son jardin. Les animaux, "énormes et très agités", ont été confisqués par la fourrière, tandis que leur propriétaire a reçu 108 contraventions: 36 pour cruauté envers animaux, autant pour négligence, et 36 autres pour infraction à l'arrêté municipal prohibant les pitbulls. Comble d'infortune à l'arrivée de la police, il venait d'être mordu par un de ses chiens, qui lui a sectionné le bout d'un doigt. "Comble d'infortune" ? J'espère qu'il faut y voir de l'ironie ! 30/05/06 http://www.linternaute.com/actualite/depeche/27/174637/appelee_pour_des_aboiements_la_police_de_denver_decouvre_36_pitbulls.shtml
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A vrai dire, je pensais qu'il y avait du lait de soja (ou autre) exprès pour les bébés et en fait, je lis ici et là que c'est un lait 2ème age. Si une femme ne peut pas allaiter, il n'y a pas d'alternative pendant les premiers mois ? Ceci dit, ce type d'article est très tendencieux... Si on part du principe que le lait de la mère est la nourriture adequate pour le bébé, toute femme qui n'allaite pas pour des raisons de convenance personnelle serait une mère maltraitante, quant aux parents qui fabriquent des enfants obèses à coups de graisse et de sucre... J'ai lu il n'y a pas longtemps plusieurs articles sur l'obésité infantile (1 enfant sur 5 en Europe, mais c'est en constante augmentation) et il n'y était pas question de maltraitance.
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La pollution du plus long fleuve de Chine et du troisième au monde, le Yangtse, devient si préoccupante qu'elle menace l'approvisionnement en eau potable de la plus grande ville du pays, Shanghai, a rapporté mardi l'agence officielle Chine Nouvelle, citant des experts. "De nombreux responsables pensent que la pollution du Yangtse n'est pas très grave, car elle a un flux important et une certaine capacité à se nettoyer naturellement, mais en fait la pollution est très grave", a déclaré à l'agence Yuan Aiguo, professeur à l'université chinoise de géosciences. Un autre scientifique, Liu Guangzhao, a indiqué que le Yangtse courait le risque de devenir un "fleuve mort", le nombre d'espèces animales étant passé de 126 au milieu des années 1980 à 52 en 2002. Selon les experts, le tiers de la pollution provient des engrais chimiques, des pesticides et autres rejets agricoles, le reste venant des villes, du secteur industriel et des bateaux. Lu Jianjian, professeur d'une université de l'Est de la Chine, estime à 25 milliards de tonnes les déchets déversés dans le fleuve chaque année, plus de 40% du total du pays. (...) Chine: cri d'alarme des experts face à la pollution du Yangtse - 30/05/06 http://www.edicom.ch/fr/news/environnement/index.php?idIndex=962&idContent=1417564
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mardi 30 mai 2006, 11h00 Quand le lait de soja devient outil de maltraitance ! Les laits de soja ou d'amande ne sont pas bons pour Bébé. Le Pr Patrick Tounian, de l'hôpital Armand Trousseau à Paris, va même plus loin en déclarant que leur prescription chez un nourrisson peut être assimilée à de la "maltraitance nutritionnelle". Ni plus ni moins. Dans 60 Millions de Consommateurs, il rappelle que ces laits dits végétaux "exposent à de sérieux risques d'allergies et de carences nutritionnelles". En calcium, en fer, vitamines mais aussi sur le plan calorique. En comparaison aux laits maternels ou de vache, ces produits contiennent également de grandes quantités d'isoflavones, c'est-à-dire de phytoestrogènes. Et compte tenu de l'incertitude quant aux effets à long terme de ces substances sur un nourrisson, l'AFSSA recommande de ne pas en donner avant l'âge de 3 ans. Et l'OMS rappelle inlassablement que la priorité doit être donnée à l'allaitement maternel. Et cela, au moins jusqu'à 6 mois. Sources: 60 millions de Consommateurs, Hors-Série n°27 - AFSSA http://fr.news.yahoo.com/30052006/185/quand-le-lait-de-soja-devient-outil-de-maltraitance.html
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A l’appel de la FLAC en collaboration avec le CLAM (Collectif Libération Animal de Montpellier) Dimanche 11 juin 2006 RdV au "Carrefour" de Lattes à 16 h Manif anticorrida le 11 juin à Mauguio Haie de déshonneur silencieuse à partir de 17 h devant les arènes ( Corrida de la Romeria à 18 h ) Contact FLAC Dominique Joron : 06 88 57 42 06 federation@flac-anticorrida.org Contact CLAM Dominique Siccardi : 06 82 75 20 67 clam.34@gmail.com A l’intention des habitants de Montpellier et des environs : Le matin, une table d’information sera mis en place au marché de Mauguio de 10 h 13 h devant la Poste
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Soit ! Après avoir rencontré Heather Mills, qui lui a fait regarder des vidéos sur le traitement des animaux destinés à la fourrure, elle a décidé de ne plus en porter : "It is just disgusting. I am an animal lover." a-t-elle déclaré au magazine Prestige. N'est-ce pas cette amie des animaux qui avait un singe comme animal de compagnie ? (Elle a du s'en défaire je suppose vu qu'il l'avait attaqué !) Et qui avait "changé de chien" ? le sien étant un peu lourd à porter, elle l'avait remplacé par un accessoire chien d'un format plus pratique. Je suis peut-être mauvaise langue... Enfin, si elle s'y tient, tant mieux ! Mills inspires Hilton to quit wearing fur - 30/05/06 http://www.gulf-daily-news.com/Story.asp?Article=144910&Sn=WORL&IssueID=29071
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Selon un rapport publié le 25 mai, par les experts de l'Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT) ...la planète compte aujourd'hui 814 millions d'hectares de forêt naturelle sous les tropiques. Elle se répartit en 110 millions d'hectares en Afrique, 168 en Asie et dans le Pacifique, et 536 en Amérique latine. Mais seuls 25 millions d'hectares sont exploités de manière durable * , et seulement 11 sont conservés avec une politique effective de protection. Ces 36 millions d'hectares réellement bien gérés représentent 4,4 % du total de la forêt tropicale. ...En fait, on constate un "manque presque universel de ressources pour gérer correctement la forêt tropicale" : les personnels de surveillance ne sont pas assez nombreux, pas assez payés et manquent d'équipements tels que des véhicules pour se déplacer. C'est ainsi que l'exploitation illégale du bois est largement répandue et représenterait un tiers du volume de bois tropical échangé chaque année. Le problème est qu'utiliser la forêt en préservant son avenir n'est pas assez rentable : "La culture du soja, dit Jürgen Blaser, un des principaux auteurs du rapport, rapporte dix fois plus de revenu qu'une forêt exploitée, la culture de palmiers à huile quatre fois plus." (...) * l'aménagement forestier durable selon l'OIBT : gérer les forêts "sans excessivement porter atteinte à leurs valeurs intrinsèques et à leur productivité future et sans entraîner trop d'effets préjudiciables à l'environnement physique et social". Moins de 5 % des forêts tropicales sont gérés de manière à assurer leur pérennité - 25/05/06 http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-776403@51-773583,0.html
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Deux des trois mules clonées aux Etats-Unis à partir d'un même modèle par les universités d'Idaho et d'Utah vont s'affronter les 3 et 4 juin prochains lors de la 20e course de mules de Winnemucca dans le Nevada. Ces animaux de compétition se produiront en présence de la troisième mule issue du même donneur, mais qui n'est pas entraînée pour la course. Les deux compétiteurs sont Idaho Gem, première mule clonée, née le 4 mai 2003, et Idaho Star, née le 27 juillet 2003. Ces mules qui se produiront ensuite sur le circuit californien durant tout l'été appartiennent à Don Jacklin, un homme d'affaires de l'Idaho qui est aussi président de l'Association américaine des courses de mules. Les deux animaux ont été réalisés par Gordon Woods et Dirk Vanderwall de l'université d'Idaho dans l'Indiana, et la troisième par le Pr Ken White de l'université de l'Utah. (...) Première course mondiale de mules clonées - 29/05/06 http://www.lefigaro.fr/sciences/20060529.FIG000000396_premiere_course_mondiale_de_mules_clonees.html
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Public turns on animal terrorists By Philip Johnston Home Affairs Editor (Filed: 29/05/2006) Extremist behaviour by animal rights protesters has had the effect of increasing public support for testing new medical treatments on animals, a poll for The Daily Telegraph has found. The proportion of people who approve of animal testing is now at an all-time high and more than three quarters believe that the more fanatical activists can justifiably be defined as "terrorists". High-profile campaigns, such as intimidating scientists and threatening shareholders in pharmaceutical companies, appear to have backfired badly. The YouGov survey suggests that fewer than one person in five considers animal testing to be unacceptable in any circumstance. More that 70 per cent said they accepted that experimentation on animals was sometimes essential because alternative methods were unavailable. There was also widespread concern that a ban on medical research on animals would merely encourage pharmaceutical multi-nationals to set up abroad, where the safeguards that exist in Britain against causing unnecessary suffering may be absent. The findings appear to contradict the claims often made by opponents of animal testing that there is "overwhelming" public support for their cause. While people might prefer not to see animals suffer, just 19 per cent took the view that alternative methods of testing were always available. Brian Cass, the managing director of Huntingdon Life Sciences, an animal-testing research company which has been the target of activists for several years, said: "The issue has had so much publicity that organisations like ourselves have gone out of our way to provide an almost open laboratory to the media. "This has brought a much more open presentation of both how animal testing is done and the legal requirements that control it. Once people understand what is going on they are in a much better position to form objective judgments. When they do so they tend to support the work." Previous polls have shown opinion more or less evenly divided on animal testing. YouGov's findings indicate that by stepping up their campaign, extremists have damaged their cause. While most people have no objection to campaigners staging peaceful demonstrations, they draw the line at some of the activities seen in recent years. There was strong support for the 12-year jail terms given this month to three extremists who had been involved in a campaign of intimidation, including the disinterment of the body of a woman whose family bred animals for experimentation. Opposition to threats, hate campaigns and vandalism is almost universal and 88 per cent believe it is wrong to post the names and addresses of people connected with animal testing on the internet. Alistair Currie, the campaigns director of the British Union for the Abolition of Vivisection, said extremists had not helped the animal rights cause. "It has produced an image problem for the animal rights movement as a whole," he said. "But that doesn't necessarily mean people are more committed to animal rights experiments that they were previously." The findings suggest that Tony Blair was very much in tune with public opinion when he took the unusual step of agreeing to sign a petition affirming support for the right of scientists to conduct legitimate animal experiments. He also said that the Government would consider a new law to protect the identities of those involved in testing. His move came amid continuing protests in Oxford against plans for a new medical research laboratory at the university and complaints that despite a few high-profile prosecutions, the police are not doing enough to disrupt the activities of known extremists. Part of the reason for changing public attitudes could be an appreciation that animals are no longer used to test cosmetics in Britain, though the number of tests for medical purposes is rising. In 2004, there were around 2.85 million "procedures", a rise of just over two per cent on the previous year. http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2006/05/29/nanim29.xml
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People are fed up with protesters' thuggery By Prof Colin Blakemore (Filed: 29/05/2006) Sonny, an animal rights activist, opposes the building of a new laboratory at the local university. His sister, a research student, will be working there. Their father died from cancer. After an emergency hospital admission, Sonny decides to use an inhaler to manage his asthma, even though he knows that its development involved the use of animals. He argues that it is OK because it helps him to continue his fight against animal research. This is the tangled plot of Every Breath, a morality play by Judith Johnson, aimed at schoolchildren of 14-plus, which I saw a few days ago at the Wellcome Trust. The actors of the Y-Touring Theatre company described how they stay in character for a debate after each school performance. I was astounded to hear them say that sometimes no pupils will take the animal rights side in these debates. I first gave talks in schools in 1987, as part of my response to a campaign of criticism, harassment, and eventually bombs, bricks and paint-stripper, directed against me and my family. I walked down school corridors completely wall-papered with ghastly animal rights posters. I remember the overwhelming hostility of the audiences - teachers as well as pupils. What a change in 20 years. Today's YouGov/Daily Telegraph poll is the latest evidence of a radical shift of national opinion. In a poll for New Scientist in 1999, only 23 per cent agreed in response to the question "Do you agree or disagree that scientists should be allowed to conduct any experiments on live animals?" But polls for the Coalition for Medical Progress in 2002 and 2005 found that about three quarters of the public agreed, and 90 per cent accepted, as long as suffering is minimised and there are no alternatives (exactly as required by law). Correlated with this growing acceptance is increasing trust in the regulations. In 1999, 65 per cent said they did not trust the regulatory system; in 2002, 50 per cent; in 2005, 36 per cent. What is remarkable about today's poll is that the questions are about the routine safety-testing of drugs on animals, before they are first tried out on people - the kind of testing done by Huntingdon Life Sciences, which has been a target of activists for years. Roughly three quarters of the public accept such testing, and they realise that there are no alternatives. They have not been fooled by the assertions that testing is unnecessary or positively dangerous for humans. The fact is that more than 60 per cent of potential drugs fail at the animal testing stage, and without these safeguards the terrible events of the recent clinical trial at Northwick Park Hospital could be a weekly event. The poll reveals a balanced attitude to freedom of expression. Holding placards at peaceful demonstrations is acceptable. Death threats, vandalism, posting names on the internet, even shouting abuse, are not. The fiercest disapproval - virtually unanimous - is for the desecration of graves. The disinterment of Gladys Hammond, a relative of the Hall family, who ran the besieged guinea pig breeding farm in Staffordshire, was a turning point in the animal rights debate - a signal of the depths to which a handful of thugs are prepared to stoop to force their views on society. I have hesitated in the past to use the word "terrorists" to describe such people but today's poll shows that only 15 per cent of the public think that it is unfair to use that word. For too long the extremists have dictated the agenda. But the Government, charities, universities, drug companies and research funders are now far more open in their support for animal use and their engagement in debate. More and more researchers are opening their doors to the press and public. The new legislation is starting to bite. The police and the courts are finding and convicting extremists, and today's poll shows public support for exemplary prison sentences. People are fed up with thuggery and are prepared to say so. Almost 20,000, including Tony Blair, have signed the People's Petition in support of medical research using animals. The Pro-Test movement, inspired by 16-year-old Laurie Pycroft, which campaigns for the new Oxford medical research lab, symbolises the views of ordinary people, who recognise that medical researchers deserve gratitude, not denigration. The courage of the public must be matched by a greater openness by researchers, who must continue to explain what they do and the benefits that result. And we must work to replace animals wherever possible. Terrorist movements cannot survive without a foundation of public sympathy. Today's poll tells us that there is no such foundation. • Prof Colin Blakemore is the chief executive of the Medical Research Council. Public turns on animal terrorists http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml;jsessionid=HJTLQRWO031XNQFIQMFSFGGAVCBQ0IV0?xml=/news/2006/05/29/nanim229.xml
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Extreme tactics by animal rights activists appear to have fatally damaged their cause By Anthony King (Filed: 29/05/2006) Public revulsion at the activities of animal rights extremists appears to be damaging their cause and producing the opposite effect to that intended. According to YouGov's survey for The Daily Telegraph, the proportion of people approving of animal testing in medical research is now at an all-time high and more than three-quarters believe that the more extreme elements among animal rights activists deserve to be called "terrorists". The overwhelming majority of Britons have no objection to animal rights campaigners staging peaceful demonstrations or holding aloft placards portraying the pain they say is inflicted on laboratory animals. They may even approve of campaigns along these lines. However, huge majorities clearly abhor almost every activity the extremists engage in. Most people think the Judge Michael Pert was right recently to sentence three extremists to 12-year prison terms. A lot of people think 12 years was not nearly enough. Most earlier surveys on animal testing have shown opinion more or less evenly divided. A Gallup poll a decade ago found 40 per cent in favour of using live animals for purposes of medical research but with 50 per cent opposed. An ICM survey last year found that the balance of opinion had shifted the other way with 50 per cent in favour but 47 per cent opposed. YouGov's findings suggest that opinion has now shifted further. YouGov asked: "In your view, is it acceptable or not to test new medical treatments on animals before they are tested on human beings?" The findings, set out in the chart, are emphatic. More than two thirds of people, 70 per cent, believe that using animals for these purposes is acceptable. Only 18 per cent believe that it is not acceptable under any circumstances. The phrase included in the question, "before they are tested on human beings", may well have triggered memories of the men at Northwick Park Hospital who suffered when successful tests on animals proved unsuccessful on human subjects. A striking feature of the data is that, with one exception, opinion on the issue differs scarcely at all from one social group to another. People in all age groups and all parts of the country, and supporters of all political parties, are united in believing that testing new medical treatments on live animals is morally acceptable. The one exception is the large gap that exists between women and men. Among women, a substantial majority, 59 per cent, favour animal testing, but among men the corresponding proportion is far higher: 82 per cent. Conversely, whereas 25 per cent of women are opposed to animal testing under any circumstances, the corresponding figure among men is a modest 10 per cent. Nearly three quarters of YouGov's respondents, 72 per cent, believe that testing on animals is "sometimes essential". Only 19 per cent maintain that "alternative methods are always available". Moreover, a large majority, 72 per cent, are also persuaded that the big pharmaceutical companies mean what they say when they threaten to transfer their medical research facilities to other countries if the research environment in Britain becomes, from their point of view, unduly repressive. A mere 14 per cent think that the companies are bluffing and simply want to conduct research on animals free of effective restrictions. Although some people would be happy to see such work taken abroad, they amount, as the figures in the chart show, to only about one in eight, 13 per cent. Far more, 46 per cent, say they "would be sorry if this work were no longer being done in Britain". The animal rights activists are clearly losing that particular propaganda war. The methods used by some of the more extreme activists are evidently deeply repugnant to the vast majority of people. Almost no one supports damaging and vandalising property, let alone issuing death threats and digging up and absconding with human remains. The proportion of people opposed to such actions approaches 100 per cent - a most unusual occurrence in opinion surveys. Fully 88 per cent also believe it is morally wrong to post on the internet the names in addresses of people, including small shareholders, who are in any way connected with animal testing. But perhaps the clearest single measure of people's abhorrence of the activities of animal rights extremists emerges from the responses to YouGov's question about the sentences handed down by Judge Pert. The proportion reckoning the judge's sentences were about right or not tough enough totals 85 per cent. Fewer than one in 10, only eight per cent, think that the judge should have been more lenient. Unsurprisingly, some people want to attach the label "terrorist" to the more extreme pro-animal activists. Given recent events, a large majority of YouGov's respondents, 77 per cent, are happy to agree. It cannot be proved, but there is every reason to believe that the extremists are creating an atmosphere in which people view medical research using live animals more sympathetically than they would otherwise. A cause with such unattractive supporters can come - however illogically - to appear unattractive in itself. YouGov also reminded respondents that the Prime Minister recently promised additional "efforts to support and protect individuals and companies engaged in life-saving medical research" and asked whether they believed that the Government should make such efforts. As the figures in the chart make plain, most people think that it should. Medical testing with animals seems to be one of the few issues at the moment on which Tony Blair's Government can count on solid majority support. YouGov elicited the opinions of 2,102 adults across Britain online between May 23 and 25. The data have been weighted to conform to the demographical profile of British adults as a whole. YouGov abides by the rules of the British Polling Council. •Anthony King is professor of government at Essex University http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml;jsessionid=HJTLQRWO031XNQFIQMFSFGGAVCBQ0IV0?xml=/news/2006/05/29/nanim129.xml
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Un couple de loups, venus d'Italie, observé en Lozère
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Un couple de loups a été vu ces dernières semaines, au nord de la Lozère (France). Des analyses ADN effectuées, il ressort que ces loups, un mâle et une femelle, viennent d'Italie. Evidemment, les éleveurs commencent à s'inquiéter. Un couple de loups repéré au nord de la Lozère - 23/05/06 http://www.loup.org/spip/article614.html -
Au coeur du parc naturel régional de Brière, un passionné a redonné une âme nouvelle à un vieux moulin à vent, transformé en aérogénérateur entièrement autonome qui produit de l'électricité tout en gardant son charme d'antan. ... Michel Mortier a donc mis à profit ses connaissances mécaniques et hydrauliques et développé son propre programme informatique pour rendre le moulin entièrement autonome. (....) "Avec le procédé actuel, je peux alimenter en électricité sept ou huit maisons hors chauffage, et avec les modifications que je vais encore apporter je pourrais alimenter 13 à 15 maisons", avec une production qui passera de 50.000 KW par an à 70.000 KW, explique l'inventeur. ...La production n'a certes rien de comparable avec les éoliennes modernes de 2 MW, mais il est difficile de comparer ces géantes de 100 m de haut avec le petit moulin qui s'intègre parfaitement au paysage. Michel Mortier est actuellement en recherche de partenaires pour le projet qu'il a de faire revivre ainsi 120 des quelque 1.500 à 2.000 moulins qui existent encore en France, soit un par région et département. Mais son aventure risque de tourner court faute de financement (...) Alliant patrimoine et écologie, le moulin à vent se fait aérogénérateur - 26/05/06 http://fr.news.yahoo.com/26052006/202/alliant-patrimoine-et-ecologie-le-moulin-vent-se-fait-aerogenerateur.html