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Caro18

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Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. Publié le 25 juin 2009 à 12h16 La SPA et Info-Crime s'unissent (SHERBROOKE) La SPA de l'Estrie et Info-Crime Québec ont signé un protocole d'entente pour offrir un nouvel outil anonyme afin d'effectuer un signalement des responsables des crimes envers les animaux. Il s'agit de la première entente du genre signée entre une SPA et Info-Crime. Les signalements à Info-Crime Québec peuvent être faits par téléphone au 1 800 771-1800 ou en remplissant un formulaire électronique à www.infocrime.org Tous les signalements sont effectués de façon anonyme. http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/estrie/200906/25/01-878761-la-spa-et-info-crime-sunissent.php
  2. Deux hommes sont accusés de cruauté envers les animaux Publié à 22h15 le lundi 8 juin 2009 LA PRESSE CANADIENNE - Deux hommes qui ont laissé un chien dans une voiture et qui est mort près de la frontière entre le Nouveau-Brunswick et le Maine ont été accusés de cruauté envers les animaux. Les événements sont survenus le 31 mai alors qu'un chien a été laissé pendant une nuit entière dans un véhicule stationné à St. Stephen. Le conducteur et un de ses amis ont traversé la frontière pour aller aux Etats-Unis et à leur retour le lendemain, le chien était mort. D'autres personnes ont signalé l'incident à la GRC. Une enquête a été entreprise et a révélé que le chien est mort à cause de la chaleur excessive et qu'il n'avait pas été nourri. Les deux hommes comparaîtront en cour provinciale à St. Stephen le 4 août. http://www.jminforme.ca/atlantique/article/693294
  3. Christian VANASSE Ah, que le phoque nous fucke V'là que tout d'un coup j'ai hâte aux Jeux de Vancouver 2010. Hâte de voir la délégation canadienne arriver dans le stade, la tête couverte d'une peau de phoque pour protester contre l'embargo européen. Sans rigoler, c'est la motion déposée par le Bloc et adoptée à l'unanimité aux communes mercredi dernier. Tant qu'à faire, couvrons-nous de ridicule. Ce sera plus simple, c'est en taille unique. À Pékin il ne fallait rien dire, rien faire ou rien penser qui puisse suggérer que l'on défende les droits de l'homme (quelle drôle d'idée) mais à Vancouver, profitons-en pour protéger les droits de l'homme à péter des crânes sur la banquise. Fuck. Ici, là, tout de suite, je fais une précision vachement importante: je ne suis pas contre la chasse au phoque. Je suis pour que les Madelinots ai le droit de continuer ce type de chasse, si ça les amuse... je pense qu'il y a des façons autrement plus amusantes et faciles de gagner sa croûte, mais bon... dans ces coins-là on ne choisit pas nécessairement la croûte qu'on devra casser. Je suis donc pour la chasse, pour les chasseurs, pour les îles et tout et tout. Mais je suis aussi pour que les Européens en interdisent la vente sur leur territoire. Je sais, je sais. Je viens de lancer un pavé dans la banquise. Je m'attends à recevoir un hakapik pis un fanal derrière la tête, mais qu'importe, non, je ne serais pas au garde-à-vous avec les défenseurs-de-la-chasse-au-phoque-jusque-devant-l'OMC. Non, je ne mettrais pas de petit ruban «support our hunter's» sur mon parechoc. Non, je ne crois pas que les Européens ont été victimes d'une vaste propagande orchestrée par le tout puissant lobby de la go-gauche animaliste végétalienne mondiale. Je sais bien que la go-gauche animaliste végétalienne est partout et contrôle les médias, y compris Rupert Murdoch. Je sais bien qu'«ILS» sont plus puissants que le complexe militaro-industriel, la CIA et les Scouts du Canada réunis. Néanmoins... J'appuie la décision du parlement européen. Je ne crois pas qu'il y ait eu plus de propagande d'un côté comme de l'autre. Comme le soulignais Foglia, samedi: «Remarquez aussi le glissement sémiologique qui se produit quand on passe des Européens victimes de propagande aux chasseurs de phoque, qui, eux ont essayé de passer un message. Le documentaire plein de trous pro-abattage, l'intensive campagne de presse, la mobilisation politique, le racolage scientifique, ce n'est pas de la propagande, c'est un message.» Je crois aussi qu'un État a le droit absolu de dire merde à l'OMC et d'interdire les produits qu'il veut sur son territoire. Même si les raisons pour l'interdire sont farfelues et stupides. De la même façon, nous avons raison (et le droit absolu) d'interdire certains pesticides sur notre territoire même si les compagnies américaines qui les produisent trouvent nos raisons farfelues et stupides. See what i mean? On peut bien bomber le torse, marcher en cadence au son des bottes de nos chasseurs de phoques et se mettre un drapeau canayen dans le derrière, si les Européens ne veulent rien savoir de nos peaux de phoques, ben fuck it. J'ai déjà eu cette conversation avec un copain ardent défenseur de la chasse aux phoques, qui a déjà mangé du phoque aux Îles et qui est en plus, fier porteur de bottes de phoques en hiver. Ben, vous savez quoi? C'est le seul que je connaisse. En connaissez-vous ben du monde qui s'habille en peau de phoque? À quel Loblaws je peux trouver un bon steak de phoque? C'est quand la dernière fois que Ricardo nous a fait sa délicieuse recette de sundae au phoque? Vous savez la réponse. Parce que c'est pas bon du phoque. Pas plus que du hérisson ou du blaireau. J'ai pas envie une seconde de continuer à subventionner une industrie moribonde que les Québécois n'appuient pas réellement. Soyons sérieux. On voudrait obliger les Européens à acheter ce dont on ne veut même pas ici? On veut un marché extérieur pour quelque chose qui ne trouve même pas preneur à l'intérieur? Come on. Pis si les Québécois trouvaient les Européens si cons d'interdire le phoque à cause de la maudite propagande des esties d'animalistes de Greepeace, ils auraient hué Sir Paul au 400e, ils ne l'auraient pas applaudi comme des otaries. Prouvez-moi donc que le phoque à sa raison d'être tué pis je vais être avec vous autres. En attendant, je trouve bien suspect votre unanimisme béat. VOS COMMENTAIRES: http://vanasse.branchez-vous.com/2009/05/ah_que_le_phoque_nous_fucke.html
  4. Phoques Les chasseurs des Îles déçus par Khadir Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 07/05/2009 08h54 L'abstention du député de Québec solidaire, Amir Khadir, lors du vote d'une motion dénonçant le Parlement européen au sujet du boycott des produits du phoque, «déçoit» les chasseurs des Îles-de-la-Madeleine, qui l'invitent à venir chasser le phoque avec eux. Le président de l'Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine, Denis Longuépée, espère que le député de Québec solidaire n'a pas cédé aux pressions des groupes animalistes qui répandent, selon lui, des faussetés sur la chasse aux phoques. Il a avoué ne pas trop comprendre pourquoi le député de Mercier a tenu à s'abstenir d'appuyer la motion, qui visait à condamner la décision du Parlement européen et à demander au Canada de porter plainte devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Il n'est peut-être pas le seul d'ailleurs, puisque M. Khadir a expliqué son geste par le fait que son parti était opposé à l'existence même de l'OMC. Question de principe «Si je me suis abstenu en Chambre, c'est que Québec solidaire ne reconnaît nullement l'OMC comme cadre de résolution des conflits commerciaux entre nations. C'est ce type de cadre juridique dicté par les marchés qui permet à des multinationales de poursuivre des États souverains», a indiqué Amir Khadir dans un communiqué de presse. Car, pour le reste, le député de Mercier dit ne pas partager le malaise des Européens devant la chasse aux phoques, «qui représente une source de revenus importante pour des communautés locales». Quoi qu'il en soit, M. Longuépée invite le député de Québec solidaire à venir assister à la chasse aux phoques. «Qu'il vienne voir comment nous chassons. Je l'invite à venir nous accompagner», dit-il. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/05/20090507-085400.html
  5. Phoque et rephoque Pierre Foglia pierre.foglia@lapresse.ca Sont-ils assez ridicules, ces Européens Des naïfs qui ne voient du phoque que le ballon qui tourne sur son nez. Des moumounes. Des Bambi. Et la meilleure: sont-ils assez bêtes, non mais sont-ils assez bêtes de s'être laissé berner par une campagne d'images? Qui dit cela? Vous. Vous qui - comme le reste de la planète - vivez dans et par l'image. Le système économique repose sur l'efficacité des images, sur leur capacité de vous fourrer une fois de plus pour vous faire acheter une merde de plus et faire tourner la roue du capitalisme, qui est lui-même une image avant d'être un système économique. Comment croyez-vous qu'il survit à ses échecs en ce moment même? Par l'image. Oui, bon, c'est pas un système parfait, mais c'est quand même le meilleur système: cette image-là. Je suis loin de la banquise? C'était pour vous dire comme vous êtes effrontés de voir l'image dans l'oeil du voisin. Question de Jacques Beauchamp (qui remplace Maisonneuve) au vice-président de chez Cossette: Ici, le message a passé, les Canadiens, les Québécois appuient les chasseurs de phoque. Pourquoi en Europe...? Exactement ce que je viens de vous dire. Cossette, c'est une maison de pub et de relations publiques qui fabrique des images pour fourrer le monde. Et c'est son vice-président qui vient nous dire oh! la la, comme elle est laide, démagogique et honteuse, la campagne d'images qui a amené le Parlement européen à interdire l'importation des produits de la chasse au phoque. C'est ce que ce monsieur fait dans la vie: des campagnes d'images. On aurait compris qu'il salue ses pairs, mais non. Il leur fait la morale. Remarquez aussi le glissement sémiologique qui se produit quand on passe des Européens victimes de propagande aux chasseurs de phoque, qui, eux ont essayé de passer un message. Le documentaire plein de trous pro-abattage, l'intensive campagne de presse, la mobilisation politique, le racolage scientifique, ce n'est pas de la propagande, c'est un message. Extrait d'une entrevue donnée par la sénatrice libérale Céline Hervieux-Payette au même Jacques Beauchamp - ici, un aparté pour m'étonner de ce que les journalistes les plus pertinents, les plus nuancés, les plus allumés, et Jacques Beauchamp en est un assurément, se mettent soudain à marcher à côté de leurs souliers dès qu'il est question du phoque, fin de l'aparté - cet extrait, donc... La sénatrice: L'abattage ne sera jamais une opération qui va être agréable, pas plus que le chasseur qui va tuer un chevreuil... Mais il faut reconnaître notre nature humaine, et on est des carnivores. Plus loin, après avoir reproché aux lobbies américains qu'elle prétend végétariens de torpiller le marché des produits de la chasse aux phoques, ceci: Les végétariens des lobbies américains mettent sur un pied d'égalité les animaux et les hommes. N'empêche que les animaux mangent d'autres animaux, alors les végétariens devraient accepter que nous aussi, on mange des animaux... Je serai charitable, je ne dirai rien de la formulation. Même, je félicite Mme la sénatrice de parler d'abattage. Je la félicite moins de comparer aussitôt cet abattage à la chasse. Si vous voulez comparer, madame la sénatrice, ne pensez pas à des chevreuils en liberté, pensez à un élevage de chevreuils à ce moment-ci de l'année alors que les femelles allaitent leurs faons. Une bande de morons entrent dans l'enclos avec des bâtons de baseball et abattent les faons à grand coups de batte sur la tête. Je refélicite Mme la sénatrice de pointer les lobbies américains. Ce sont eux, effectivement, et pas les Européens, qui ont phoqué la chasse au phoque, Dieu les bénisse. Je suis déjà allé sur la banquise avec un de ces lobbys et il n'a jamais été question de végétarisme. Ces gens-là ne disaient pas non plus que les phoques étaient menacés de disparition. Ils s'élevaient seulement contre la sauvagerie de cet abattage. Tout est là. La sauvagerie. Pour ce qui est «des animaux qui mangent des animaux ce qui nous autorise à manger nous-mêmes des animaux parce que c'est dans notre nature humaine d'être des carnivores», ouf! Suggérez-vous, madame la sénatrice, que manger du phoque c'est comme manger du veau, du lapin ou du poulet? Avez-vous servi récemment un rôti de phoque à vos invités? Je ne referai pas cette discussion: c'est juste pas bon, du phoque, madame. C'est quelqu'un qui en a mangé et qui a goûté à bien d'autres bibites pas très bonnes non plus, comme de l'ours, du raton, du castor, qui vous le dit: c'est pas bon, vraiment. On n'en trouvera jamais au comptoir des viandes de chez Metro. Jamais. Oubliez ça. On abat les poulets, les boeufs et les cochons dans les abattoirs - pas toujours proprement, je le déplore, croyez-moi - pour les manger. Tout est bon dans le cochon. Tout est dégueulasse et huileux dans le phoque. Alors, l'abattre pourquoi? Pour la peau, qui ne vaut plus rien? Pour le pénis, qui, séché et réduit en poudre, excitera des Chinois qui obtiendraient de bien meilleurs résultats avec du Viagra? Pour un marché d'une dizaine de millions subventionné par le fédéral à hauteur de 60 millions par année? Frais de la garde côtière, brise-glaces, hélicoptères, avions de reconnaissance mobilisés expressément durant les semaines que dure la chasse. L'Amundsen, qui ouvre la route aux chasseurs vers la banquise, coûte 50 000$ par jour en frais d'exploitation. Et ça, c'est quand personne ne se noie comme l'an dernier. Il y a pourtant une bonne raison d'abattre les phoques. Je vous la laisse deviner. Mais non, pas les stocks de morue. Ça non plus, ce n'est pas vrai. Une bonne raison, je vous dis. Vous ne voyez pas? C'est pourtant criant: l'unité canadienne. Le phoque unit les Canadiens plus que la feuille d'érable, plus que les Rocheuses, plus qu'une série mondiale contre les Russes au hockey. Nommez-moi le sujet, le seul, sur lequel M. Harper, les libéraux et M. Gilles Duceppe disent exactement les mêmes conneries avec exactement les mêmes trémolos patriotiques dans la voix: le phoque. Une fois par année au moins, le phoque sonne la charge pour 30 millions de Canadiens: tara-tata. Mieux: tara-TATA. J'apprends à l'instant que le Bloc, qui a déjà eu la géniale idée de proposer d'habiller les athlètes olympiques canadiens en phoque, va maintenant proposer de remplacer la feuille d'érable sur le drapeau canadien par un gourdin. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/pierre-foglia/200905/08/01-854869-phoque-et-rephoque.php
  6. Au fil de la semaine Denise Bombardier Édition du samedi 09 et du dimanche 10 mai 2009 L'actualité n'est pas toujours brûlante, mais chaque jour apporte son lot de nouvelles pour alimenter notre réflexion, cette gymnastique intellectuelle sans laquelle rien n'est compréhensible et tout perd son sens. Cette semaine, donc, nous apprenions sans surprise que le Parlement européen dans sa quasi-majorité a voté le boycottage des produits de la chasse au phoque, dont les conséquences seront catastrophiques pour les chasseurs canadiens, ceux des îles de la Madeleine au premier chef. Or, les députés européens ont mis deux bémols à leur vote. La Suède, la Finlande et l'Écosse pourront continuer leur chasse afin de protéger les bancs de poissons, mais elles ne pourront en vendre le produit. Ainsi donc, la «barbarie» dénoncée par les députés ne s'applique pas lorsqu'il s'agit de permettre à tous les Européens de manger le poisson dont ils sont friands et qui constitue une industrie créatrice d'emplois. L'Union européenne, en protégeant ses membres, oublie la souffrance des phoques européens et n'a d'attendrissement que pour ceux de nos contrées. Quant aux emplois perdus aux îles de la Madeleine, elle n'en a cure. Mais l'hypocrisie des députés de Strasbourg atteint son apogée dans le second bémol de leur vote. En effet, leur rejet de cette «horrible chasse» ne s'étend pas aux Inuits, qu'ils excluent de leur vindicte. Ces derniers pourront donc continuer leur pratique ancestrale pour des fins de survie. Les Inuits pourront donc faire commerce de leur chasse. Mieux encore, les députés ont fait un effort de sémantique et rejeté le mot «autochtone» pour les désigner afin d'éviter que les habitants des îles de la Madeleine, pour qui la chasse est un élément de leur culture insulaire et leur source de revenus, ne le revendiquent pour eux. Brigitte Bardot, la passionaria du mouvement de défense des animaux, prête à battre un être humain pour sauver la moindre espèce animale, se déclare «sur un petit nuage» et les abolitionnistes de toute forme de chasse et de pêche sablent le champagne ou la bouteille de Guinness (ils sont si nombreux dans le monde anglo-saxon) et affûtent leurs armes en vue de la prochaine étape, celle de l'abolition de l'abattage de tous les animaux consommés par l'homme carnivore. On est en droit d'être particulièrement dérangé par cette concession en faveur des Inuits. Et si cette apparente ouverture d'esprit aux moeurs de ces derniers recouvrait plutôt un sentiment de supériorité de Blancs culpabilisés? Cette chasse, sanglante il faut en convenir, serait normale -- lâchons le mot -- pour des «Sauvages» et inacceptable lorsqu'elle est le fait des Blancs? C'est une hypothèse, rien qu'une hypothèse... denbombardier@videotron.ca Vos réactions http://www.ledevoir.com/2009/05/09/249614.html
  7. Avez-vous vu ça? Bande de salop**** http://video.hsus.org/?fr_chl=b14f29e830c81ae4030d6ce92e6d2b271882e4d0&rf=bm Humane Society International fait état d'animaux souffrants et d'infractions présumées au Règlement sur les mammifères marins lors de la chasse aux phoques de 2009 OTTAWA, le 21 avr. /CNW/ - Ce mardi, l'organisation Humane Society International/Canada a présenté un nouveau reportage ( http://tinyurl.com/hsusseals ) concernant la chasse commerciale aux phoques au Canada en 2009 à l'occasion d'une conférence de presse du sénateur Mac Harb, le premier parlementaire canadien à déposer un projet de loi visant à abolir la chasse aux phoques. Des observateurs ont fait état de nombreux cas d'atroce cruauté, y compris des infractions présumées au Règlement sur les mammifères marins du Canada. "Les actes de cruauté que nous avons filmés cette année montrent bien que le massacre est aussi cruel et inhumain qu'il a toujours été", a déclaré Rebecca Aldworth, directrice d'HSI Canada. "Nous avons filmé des phoques atteints de plusieurs coups de feu dans l'eau libre, des phoques éventrés alors qu'ils réagissent encore à la douleur, des phoques blessés laissés dans d'atroces souffrances sur la banquise et des phoques blessés que l'on laisse s'échapper sous la surface de l'eau, où ils sont condamnés à une mort lente et douloureuse. Il est temps que le gouvernement canadien mette fin à toute cette cruauté en rachetant les permis de chasse aux phoques." A maintes reprises, des spécialistes en médecine vétérinaire sont venus à la conclusion que la chasse commerciale aux phoques au Canada est inhumaine en soi, en raison des conditions dans lesquelles elle se déroule et de la vitesse à laquelle l'abattage doit être exécuté. "En dépit de tous ses efforts, le gouvernement canadien ne peut tout simplement pas réglementer une activité commerciale menée dans des conditions aussi dangereuses et dans un délai aussi court", a déclaré le sénateur Harb. "La chasse aux phoques ne sera jamais dépourvue de cruauté étant donné le rythme auquel elle se déroule, et vu les réalités économiques du coût de la chasse et le manque de marchés pour la fourrure luxueuse du phoque, cette pratique ne sera en outre jamais rentable. J'ai été témoin, de mes propres yeux, des conditions dangereuses et de la brutalité révoltante de la chasse. La majorité des Canadiens souhaitent que la chasse commerciale aux phoques cesse pour de bon." La vive opposition au massacre commercial des phoques a poussé de nombreux pays des quatre coins du monde à mettre un terme au commerce des produits dérivés du phoque. Le prix des peaux a chuté à 15 $CAN cette année au Canada en raison de la diminution de la demande, une baisse de 86 pour cent depuis 2006. Malgré les importantes subventions du gouvernement, la chasse aux phoques contribue à moins d'un demi pour cent du produit intérieur brut de Terre-Neuve-et-Labrador et à moins de 2 pour cent de la valeur au débarquement de la pêche à Terre-Neuve. Les chasseurs sont des pêcheurs commerciaux qui gagnent en moyenne beaucoup moins de 5 pour cent de leur salaire annuel lors de la chasse aux phoques. Les médias peuvent télécharger une vidéo (http://tinyurl.com/hsusseals). Humane Society International/Canada joue un rôle de premier plan dans la protection des animaux et représente des milliers de membres et de mandants à travers le pays. HSI/Canada dispose de programmes actifs portant sur les animaux de compagnie, la protection de la faune et des habitats, la préservation des mammifères marins et le bien-être des animaux d'élevage. HSI/Canada est fière de faire partie de la société Humane Society International, l'une des plus importantes organisations de protection des animaux au monde, qui compte plus de dix millions de membres et de mandants à l'échelle internationale (sur le Web au hsicanada.ca). http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/April2009/21/c3976.html
  8. Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque http://www.phoque.org/chasse-phoque-declaration.php
  9. VISITEZ LE SITE DE &*()%&*(&*)_?*( Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque http://www.phoque.org/chasse-phoque-declaration.php À Maisonneuve en direct: Une Déclaration universelle pour les phoques La sénatrice libérale Céline Hervieux-Payette propose une Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque, à l'heure où le Parlement européen s'apprête à voter l'interdiction des importations des produits dérivés du phoque dans l'Union. Jacques Beauchamp en discute avec Mme Hervieux-Payette, Christophe Marie, directeur du bureau de la protection animale à la Fondation Brigitte Bardot et Joël Arseneau, maire des Îles-de-la-Madeleine. Les propos de Céline Hervieux-Payette, Christophe Marie et Joël Arseneau http://www.radio-canada.ca/radio/maisonneuve/index.shtml?regiongh=1&dt=2009-4-24&pk=391&numero=391&date=2009-4-24
  10. Le bien-être des animaux oublié dans le nouveau cadre stratégique pour l’agriculture du gouvernement Wednesday, April 08, 2009 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Le 2 avril 2009 Personne-ressource : Shelagh MacDonald, directrice des programmes, FSCAA 613-224-8072, poste 21 (bureau) 613-262-0588 (cellulaire) POUR PUBLICATION IMMÉDIATE OTTAWA – Agriculture et Agroalimentaire Canada a dévoilé l’entente stratégique Cultivons l’avenir qui établit le cadre des politiques agricoles du Canada pendant les cinq prochaines années. Cependant, le plan comporte une lacune majeure – il ne fait rien pour redresser le passé honteux du Canada au chapitre du bien-être des animaux. Un rapport publié aujourd’hui par la Fédération des sociétés canadiennes d’assistance aux animaux (FSCAA) illustre à quel point le Canada accuse du retard par rapport à d’autres pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et l’Union Européenne. Au cours des dernières années, toutes ces compétences ont investi des millions de dollars pour améliorer le bien-être des animaux. Par contraste, Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) lance un plan quinquennal qui relègue pratiquement aux oubliettes le bien-être des animaux d’élevage. « Le ministre de l’Agriculture n’a manifesté aucun intérêt en vue d’assumer un rôle de leadership en matière de bien-être des animaux au Canada », déclare Shelagh MacDonald, directrice des programmes de la FSCAA. « Il est plutôt incroyable que le gouvernement canadien tire tant de l’arrière sur cette question par rapport au reste du monde. Dans le cadre du processus de consultation de Cultivons l’avenir, le bien-être des animaux a été oublié, ce qui a produit un cadre stratégique qui n’inclut aucune disposition, stratégie ou plan pour financer le bien-être des animaux. » D’autres pays disposent de stratégies globales de bien-être des animaux qui visent à assurer des normes élevées pour le bien-être animal. Ils possèdent aussi des comités consultatifs permanents sur le bien-être des animaux qui sont financés par l’État pour conseiller le gouvernement. Le gouvernement du Canada a financé la création et les deux premières années du fonctionnement du Conseil national pour le soin des animaux d’élevage (CNSAE), qui fournit une approche nationale coordonnée pour la promotion du bien-être des animaux d’élevage au Canada. Mais il a refusé de fournir même 100 000 $ par année pour appuyer cette initiative plutôt modeste pour le soin des animaux. Récemment, l’Association canadienne des médecins vétérinaires (ACMV) a exhorté le ministre de l’Agriculture Gerry Ritz et son gouvernement à agir en ce qui a trait au financement du CNSAE. « À tout le moins, le gouvernement canadien doit fournir un financement durable pour le CNSAE dans le cadre de l’initiative Cultivons l’avenir », explique le Dr Terry Whiting, président du Comité sur le bien-être des animaux de l’ACMV. « Cela faciliterait l’élaboration continue des Codes de pratiques d’élevage et améliorerait le bien-être du bétail canadien. » Le bien-être des animaux est aussi assorti de répercussions grandissantes sur le marché et le commerce partout dans le monde et le Canada accusera du retard si notre gouvernement n’agit pas maintenant. « Les Canadiens ont montré à maintes reprises qu’ils se préoccupent du bien-être des animaux », a affirmé Mme MacDonald. « Ils devraient être consternés d’apprendre que le Canada accuse tant de retard par rapport à de nombreux autres pays et que notre ministre de l’Agriculture ne prévoit aucune mesure pour remédier à cette situation. » À propos de la FSCAA La Fédération des sociétés canadiennes d’assistance aux animaux est le seul organisme national représentant les sociétés de protection des animaux et les sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux au Canada. La FSCAA est un organisme de bienfaisance voué à la promotion du respect et du traitement sans cruauté de tous les animaux. Nous siégeons au Conseil national pour le soin des animaux d’élevage, l’organisme responsable de l’examen et de l’élaboration des Codes de pratiques pour le soin et la manipulation du bétail. Pour en savoir davantage, visiter le www.cfhs.ca. À propos de l’ACMV L’Association canadienne des médecins vétérinaires (ACMV) est l’organisme national qui représente et dessert les intérêts de plus de 11 000 vétérinaires au Canada. La défense du bien-être des animaux est l’une des grandes priorités de l’ACMV. Pour en savoir davantage, visiter le http://veterinairesaucanada.net/animal.aspx —30— http://cfhs.ca/news/le_bien_tre_des_animaux_oubli_dans_le_nouveau_cadre_strat_gique_pour_l_agriculture_du_gouvernement/
  11. Caro18

    Agneaux/Les temps sont durs

    Pauvres petits agneaux!
  12. From: SPCA - Famille d'acceuil <pfa_fp@spcamontreal.com> Subject: CSPCA: URGENT - TROP D'ANIMAUX À PLACER / TOO MANY ANIMALS TO PLACE (English below) Avec la situation économique actuelle, plusieurs personnes en sont venues à perdre leur emploi et cela entraîne de nombreuses répercussions, notamment au niveau des abandons d'animaux. La CSPCA fait présentement face à un nombre impressionnant d'abandons et, en contrepartie, ne réalise que très peu d'adoptions. À nouveau, nous faisons appel à votre soutien inconditionnel! Avec le peu d'adoptions, plusieurs animaux tombent malades. Nous avons en ce moment 12 chiens aimables avec la toux de chenil, 6 adorables chats avec rhino (grippe du chat) et quelques chattes gestantes. Avec tous les animaux qui deviennent malades de façon quotidienne, nos chenils se remplissent très vite et cela nous laisse peu de place pour les nouveaux arrivants. Vous pouvez visiter notre blog pour voir les animaux qui ont besoin d'un foyer temporaire pour une période généralement d'un mois: www.foyerdaccueil.blogspot.com < http://www.foyerdaccueil.blogspot.com > . C'EST TRISTE, PAUVRES ANIMAUX Nous vous invitons à venir nous visiter durant cette longue fin de semaine. Nos heures d'ouverture ne sont pas changées durant cette fin de semaine de Pâques (du lundi au vendredi entre midi et 19h, et les fins de semaine entre 11h et 17h). Merci de passer le mot à vos amis et votre famille au sujet de nos animaux et nous espérons vous voir dès que possible! Nous vous remercions à nouveau pour votre soutien continuel! Nos animaux poilus vous attendent! Équipe des foyers d’accueil / Foster Team CSPCA 5215 Jean-Talon O, Mtl (QC), H4P 1X4 Métro Namur Tél: 514.735.2711, x2237 Fax: 514.735.7448 pfa_fp@spcamontreal.com www.foyerdaccueil.blogspot.com ----------------------- Dear Foster Families, With the poor economy, many people have become unemployed... and unfortunately tight financial situations lead to more surrenders. The CSPCA is currently faced with a large amount of incoming animals... and so few adoptions. Once again, we are reaching out to our foster families for your unconditional support! With a low adoption rate, many animals are falling sick. We currently have 12 loving dogs with kennel cough (dog flu), 6 sweet cats with rhino (cat flu) and a couple gestating cats. With many animals falling sick daily, the kennels are filling up quickly, leaving little room for newcomers. Please visit our blog to see the faces of our animals requiring a month’s worth of fostering: www.foyerdaccueil.blogspot.com <http://www.foyerdaccueil.blogspot.com> . Please consider coming by over the long weekend. Our hours are not affected by the Holiday (we are open Monday through Friday from noon to 7:00PM, and weekends from 11:00AM to 5:00PM). Please talk to your friends and family about our animals and we hope to see you at the shelter as soon as possible! Thank you so much for your continuous support!! Our furry friends are waiting for you! Équipe des foyers d’accueil / Foster Team CSPCA 5215 Jean-Talon O, Mtl (QC), H4P 1X4 Métro Namur Tél: 514.735.2711, x2237 Fax: 514.735.7448 pfa_fp@spcamontreal.com www.foyerdaccueil.blogspot.com
  13. Dans une lettre écrite en 2006, Barack Obama laisse clairement savoir qu'il considère «cruelle» la chasse aux phoques telle que pratiquée au Canada. http://www2.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/04/20090410-235806.html
  14. Paul Watson: The end of the commercial Canadian seal hunt is in sight By Paul Watson ”Mr. Speaker, I would like to see the six million, or whatever number is out there, killed or sold, or destroyed or burned. I do not care what happens to them. The fact that the markets are not there to sell more seals....What they (the fishermen) wanted was to have the right to go out and kill the seals. They have that right, and the more they kill, the better I will love it.” —John Efford, former Newfoundland Minister of Fisheries and former Canadian Minister of Natural Resources, to the Newfoundland Legislature on May 4, 1998 The surest sign that the horrific commercial slaughter of baby harp seals will soon be ended is the fact that in a fit of whining desperation and seething anger, Canadian politicians and bureaucrats this week raised the kill quota of harp seals by 55,000 to a high of 338,000 seals. Canada also intends to kill 55,000 grey seals and 8,500 hood seals. The bloody clubs of Canada’s East Coast barbarian culture will begin swinging this week upon the nursery ice floes in the Canadian Gulf of St. Lawrence. This is the best response they can come up with after two weeks of heavy blows to their obscene and bloody industry. The bureaucrats in the Canadian Department of Fisheries and Oceans are throwing a temper tantrum after the announcement by President Vladimir Putin of Russia that the killing of baby seals by Russian sealers has been banned. Putin openly called it a “bloody business”. The Irish Parliament banned all seal pelts without loopholes and exemptions. LUSH stores with 600 retail outlets around the world are displaying full window displays condemning the seal slaughter in partnership with the Sea Shepherd Conservation Society and collecting petitions to send to the Canadian government. For the first time ever, a member of the Canadian Senate, Senator Mac Harb, has drafted a motion to end the slaughter although only the Green Party has had the courage to speak out against the killing. The boycott of Canadian seafood organized by the Humane Society of the United States is still going strong. Demonstrations have taken place against the Canadian slaughter in hundreds of cities worldwide. And next month, Europe is posed to pass a bill banning all seal products into European markets. Seal products have been banned in the USA since 1972 and the Canadian government’s negotiations with the Bush Administration to overturn the ban were shot down in flames with the election of President Barack Obama. The Canadian Department of Fisheries and Oceans is a hornet’s nest of hissy fits and nail-biting sore losers. They’ve lost and they know it, they just are refusing to accept the stark reality that their glorified welfare tradition of bashing out the brains of baby seals is an obscenity that will soon be tossed onto the immoral trash heap of history. Over the last week, the Canadian government has been assaulting LUSH with their pathetic propaganda, whining that the seal defenders are being “unfair” in accusing Canadian sealers of killing baby seals. You see, it’s all in the definition. The Canadian Department of Fisheries and Oceans defines a baby seal as any seal over two weeks of age even if they can’t swim and are helpless on the ice as some cigarette-smoking, beer-chugging, club-swinging, sadistic, immoral thug approaches and proceeds to kick, slash, club, and skin them alive. The bureaucrats and the politicians are paid to deny reality. A few years ago I debated Senator Celine Hervieux-Payette on Canadian national television. She was angrily insistent that the seal slaughter was, in her words, “the most well-managed, humane slaughter of animals in the world”. Yet when I asked her if she had ever gone to the seal hunt, she admitted she had not. She was just mindlessly parroting the party line. In Canada, in order to kiss the rear posteriors of Newfoundland and Eastern Quebec voters, the politicians actually bicker with each other over who loves the killing of seals the most in a childish game of competitive viciousness. I have opposed the seal slaughter since the early 1960s. As a Canadian boy I deplored it and to this day I continue to oppose it. The government would have everyone believe that only city-dwelling, primarily foreign, middle class or upper middle class people who know nothing about fishing communities oppose the slaughter of seals. Yet the leadership of the anti-sealing movement has been very much from the Maritimes provinces. Rebecca Aldworth, who leads the Humane Society of the United States efforts, is from a Newfoundland out port. Brigitte Curran, who led the demonstration in Halifax last week and has opposed the slaughter for years, is a Nova Scotian. I was raised in a fishing village in New Brunswick as the eldest of seven children in a poor community, where the poor kids like us went to school with lobster sandwiches because lobster were free for the taking (not any longer of course). As Maritimers from Atlantic Canada, we opposed the slaughter for the simple reasons that it is cruel, unnecessary, barbaric, and a threat to the Atlantic marine eco-system. I have actively intervened against the slaughter of seals since 1975, leading numerous expeditions by ship into the ice to block, harass, and interfere with the vicious business of killing seals. During that time I have seen horrific acts of cruelty and I’ve experienced the violence of the sealers personally. I have been beaten, threatened, arrested, ridiculed, and persecuted by the government of Canada for almost forty years. And now, finally, I can see the desperation in the eyes of the politicians, the bureaucrats, and the sealers. The world is changing and the barbarians are going to be left behind for there can be no place for the savage slaughter of seals, especially baby seals, in the 21st century. Yes, seals will die this year, but they will not get their ridiculously high quota for the simple reason that the money is simply not there anymore. Only taxpayer subsidies can motivate the seal killers to afford to kill anymore. The profits are not there and the cost of fuel and the operation of their boats, the insurance, and the provisions just make it bad business. But the Canadian government, in their fanatic zeal to see seals killed, have been responsible for the deaths of four sealers last year and the loss of numerous boats by refusing to enforce safety regulations with the result that ships are heading into the ice that were not built to sustain the conditions of the sea and weather at this time of year. Last year, Fisheries Minister Loyola Hearn’s policy of killing as many seals as possible saw four men killed when their wooden hulled fishing boat was dragged under the ice by a powerful Canadian government ice-breaker. His reaction was to switch the focus to Sea Shepherd by sending a SWAT team to board and seize our ship the Farley Mowat for the “crime” of documenting the killing of seals. That act alone has cost the government over a million dollars in losses. Canadian fisheries ministers can always be counted on to overreact, as Loyola Hearn did last year. The current minister of fisheries, Gail Shea, has done to same with her hysterical announcement to increase the killing in the face of worldwide opposition. She knows that the sealers can’t possibly kill that many seals. It’s her way of saying that Canada will do whatever it wants, wherever it wants, however it wants with the seals and will never acknowledge that the slaughter of baby seals is the horrifically cruel massacre that the rest of the world views it. Instead of admitting defeat she has given the world the “finger” with this unscientific, politically motivated increase in kill numbers. Today, with the head of the former KGB Mr. Putin calling the seal slaughter cruel and disgusting, with people from dozens of nations demonstrating all around the world, with nation after nation banning obscene seal products, with Canada’s name and reputation being dragged through the mud, with Ireland banning the pelts taken by Canadians of primarily Irish descent from Newfoundland, and with condemnation by the European Parliament, the writing is on the wall. The Canadian commercial seal hunt is on the ropes economically and will soon be going the way of other despicable practises throughout the ages like slavery, bear-baiting, cock-fighting, child labour, and scalp-hunting. I don’t expect the Canadian government and the sealers to surrender gracefully. Grace is a virtue for gentlemen and women and there is nothing gentle about the sealers or the Canadian politicians who have been defending them for years. I’m sure they will continue to torture and kill seals for spite and perverse sadistic pleasure, to shoot them on sight, and to whine about the unfairness of the seal defenders as they cry cowardly tears into their stale Labatt’s beer. That is the behaviour I have come to expect from them—petty, vicious, whining, and cowardly. We’re probably stuck with them until the next post-seal killing generation, when their children’s children will look back in horror on the cruelty of their murdering ancestors. But we will have the satisfaction of knowing that we will have crippled their sadistic industry with the result that far fewer seals will be killed in the future. Last year, a Canadian reporter actually asked me if I was ready to apologize to the sealers for remarks I made accusing them of gross cruelty. I said that indeed I was, and looking into the live broadcast camera, I said, “I apologise for being a Canadian and being associated with the most vicious and barbaric slaughter on the planet—the Canadian seal hunt.” Perhaps soon, hopefully very soon, I won’t have to continue to apologise for being a Canadian. Captain Paul Watson is founder of the Sea Shepherd Conservation Society and a founding member of the Greenpeace Foundation. He is a former contributor to the Georgia Straight and ran for mayor of Vancouver in 1996 as a candidate for the Green Party. http://www.straight.com/article-209222/end-commercial-canadian-seal-hunt-sight
  15. Des vautours tuent une vache et son nouveau-né dans le Béarn Une vache qui avait vêlé lundi matin a été tuée quelques heures plus tard, avec son veau nouveau-né, par une centaine de vautours qui les ont attaqués, dans le Haut-Béarn. Le couple de fermiers, propriétaire de la vache, ainsi que plusieurs voisins, ont été témoins de la scène. Des agents de l'Office de la Chasse et de la Faune sauvage se sont rendus sur place pour enquêter avec le concours d'un vétérinaire. D'après les informations du Point.fr, le vêlage se serait passé "sans problème" lundi matin. C'est en début d'après-midi que les fermiers possédant les animaux, alertés par les beuglements, auraient découvert la centaine de vautours qui s'acharnaient sur la vache "encore vivante". Aidés par leurs voisins, ils auraient réussi à faire fuire les rapaces, mais n'ont pas pu sauver les animaux. C'est le troisième témoignage de "dommages sur bétail à cause des vautours" dans le Haut-Béarn depuis le début de l'année, a indiqué Didier Hervé, directeur de l'IPHB (Institution Patrimoniale du Haut-Béarn), rappelant que 84 scènes de ce type ont été enregistrées en 2008. Les attaques d'animaux de ferme vivants, aussi bien vaches que porcs ou poulains, suscitent des débats entre éleveurs et écologistes, sur la politique de préservation des vautours. Ces rapaces, une espèce nécrophage protégée depuis des décennies, ne se nourrit en principe que de cadavres d'animaux repérés en montagne. Selon l'IPBH, la population des vautours est évaluée à 500 couples dans les Pyrénées-Atlantiques, un chiffre qui serait en forte augmentation. http://www.tele-animaux.com/actualite,article,des-vautours-tuent-une-vache-et-son-nouveau-ne-dans-le-bearn:5842.html
  16. Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) Apr 08, 2009 10:40 ETIFAW/Peaux de phoques : Pas de marché au rendez-vous, alors que les captures autorisées ont augmenté OTTAWA, CANADA--(Marketwire - 8 avril 2009) - La chasse aux phoques commerciale canadienne s'ouvre à nouveau dans le golfe du Saint-Laurent aujourd'hui, avec cette fois-ci 64,000 juvéniles destinés à l'abattage. L'IFAW se réjouit d'apprendre que de nombreux chasseurs de phoques ne participeront probablement pas cette année en raison de l'absence de marché pour la fourrure de phoque. "Bien sûr qu'on est contents," dit Sheryl Fink, associée de recherche pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). "Si l'effondrement des marchés mène en bout de ligne à l'arrêt de ce massacre inhumain, on s'en réjouira. Si notre propre gouvernement est incapable d'agir au nom de la majorité de canadiens qui veulent voir l'arrêt de la chasse commerciale dans ce pays, et bien peut-être que c'est l'absence d'un marché international pour la peau de phoque qui en décidera autrement." On vient de rapporter que les acheteurs n'offrent que $15 par peau de phoque cette année, alors qu'elles se vendaient à plus de $100 en 2006. Les chasseurs craignent, à juste titre, que de partir chasser le phoque à de tels prix ne sera pas viable. Le prix de $30 offert pour des peaux le mois dernier aux chasseurs des Iles-de-la-Madeleine était majoré par une subvention provinciale québécoise de $9 par peau, a-t-on appris, et si l'on se fie aux rumeurs, bon nombre des peaux des 20,000 phoques abattus n'auraient pas été achetées par les tanneries. "D'après Pêches et Océans Canada (MPO), le total autorisé de captures (TAC) pour la chasse est soumis aux lois du marché. Mais si c'était vrai, le TAC pour 2009 aurait été réduit, et non pas augmenté à un tel niveau qu'on se demande si le MPO se moque de son propre plan de gestion." Le mois dernier, la ministre des Pêches et des Océans Gail Shea a décidé d'augmenter le TAC à 280,000 phoques du Groenland, malgré les avertissements précis de ses propres scientifiques, selon lesquels un TAC dépassant les 270,000 animaux ne respecterait pas les objectifs de gestion de son ministère. "Le fait que la chasse aux phoques ne soit pas une industrie viable saute aux yeux de tout le monde - sauf ceux du gouvernement conservateur. Les seules choses qui alimentent encore ce massacre, c'est l'argent des contribuables canadiens, et la fierté mal placée de quelques politiciens qui s'accrochent désespérément à leurs sièges au Parlement," continue Fink. Le gouvernement conservateur semble déterminé à poursuivre ce gaspillage d'impôts des contribuables pour perpétuer une industrie moribonde, plutôt que de répondre à l'opinion publique canadienne et à la crise économique globale. La semaine dernière, le ministre du Commerce international Stockwell Day a réitéré la position du gouvernement pour mener bataille devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) si l'Union européenne (UE) interdit l'importation des produits dérivés du phoque. "On a du mal à s'imaginer une démarche aussi irresponsable," dit Fink. "Un litige devant l'OMC coûterait au bas mot des millions de dollars aux citoyens canadiens, et tout ça pour tenter de raviver un marché moribond dont la valeur, selon le propre ministère de M. Day, s'élèverait à $5.4 million tout au plus." "La ministre Shea prévoyait une 'business as usual' pour la chasse cette année," se souvient Fink. "C'est vrai que la chasse aux bébés phoques est toujours aussi cruelle, mais sur le plan de la 'business', elle est bien loin du compte." For more information, please contact IFAW Kim Cormack Agente de communication kcormack@ifaw.org http://www.marketwire.com/press-release/Fonds-International-Pour-La-Protection-Des-Animaux-Ifaw-972350.html
  17. Caro18

    En direct de la banquise

    Follow HSI/Canada's Rebecca Aldworth as she documents Canada's commercial seal kill, and take action to end this bloody business» Posted 11:30 AM EST So often the suffering of the seals during this slaughter is viewed at a distance. "It takes a special kind of person to club and shoot helpless baby seals." HSI/Sanchez, 04-03-09 From the air, from thousands of feet, somehow the pain of the animals does not transmit properly. You see them wriggling across the ice, blood trailing behind them. You see their mouths open in a silent scream through the camera lens. But from the ice it is different. You hear their cries, you see them try to escape, you smell the blood and you feel their terror. Yesterday, the ProtectSeals team travelled to the seal killing area by zodiac (a small, inflatable boat), documenting the slaughter from 30 meters away. We witnessed so many seals dying a horrible death, as sealers shot at the terrified babies, and then descended on the wounded, struggling animals with wooden bats. I will never be able to forget the agonizing assault on one seal. The pup was in front of our zodiac, and a nearby sealing vessel approached. The pup sniffed the air as if sensing danger. He looked around, and then the first bullet slammed into him. His scream could be heard all across the water. He tried to crawl away but another bullet ripped through his flesh. His outraged cries echoed as a third and fourth and fifth bullet hit him. Finally, he dove into the water. He did not come back up. The sealers shrugged nonchalantly and moved on. We looked around frantically for him but he did not surface. Likely, this baby seal would have bled to death slowly and painfully under the water, like tens of thousands of other seals that are "struck and lost" each year in this cruel slaughter. I want the world to remember this brave seal. His cries of protest are echoing in my mind and I want them to sound across the world. I want everyone to hear as I did the mortal cries of a wounded baby seal who doesn't understand why he is being hurt. And hearing those cries, know as I do that this slaughter simply has to stop. The sealing boats headed out. The HSUS/Sanchez, 04-03-09 Despite Canada's assurances that this year the seal hunt will be humane, we filmed so much cruelty it is unbearable. Sealers were shooting at seals in open water, not bothering to retrieve the wounded animals. So many pups were shot multiple times before the sealer approached and, realizing the seal was still conscious, beat the animals to death with wooden bats. Wounded seals were repeatedly allowed to slip beneath the water's surface, left to die slowly. I have filmed this carnage for 11 years now, and this year is exactly the same as every other—filled with unspeakable suffering and unconscionable cruelty. Not surprisingly, some sealers don't want us to film them. They were more aggressive toward our observers than ever before. Yesterday they made veiled threats about "ricocheting bullets" hitting us, and they pointed a rifle at us. Four sealing boats repeatedly tried to ram our zodiac, yelling threats all the while. It takes a special kind of person to club and shoot helpless baby seals and threaten unarmed, peaceful observers. The sealers' cowardice speaks volumes. We won't be intimidated, and we won't go anywhere. We are here to document the cruelty, and it is crucial work. For we know, as the sealers do, that our evidence will put this industry into the history books where it belongs. Rebecca Aldworth is director of Humane Society International Canada (HSI Canada). For more than a decade, she has observed firsthand Canada's commercial seal hunt—escorting more than 100 scientists, parliamentarians and journalists to the ice floes to bear witness to the largest marine mammal slaughter on Earth. http://www.hsus.org/marine_mammals/marine_mammals_news/live_from_the_ice_2009.html
  18. Comté de Bellechasse Des carcasses de porcs empilées à la vue de tous Mise à jour : 06/04/2009 19h06 Un producteur de porcs de Sainte-Claire, dans Bellechasse, soulève l'indignation pour avoir abandonné des dizaines d'animaux morts sur son terrain. Les carcasses pourrissent en plein air depuis plusieurs semaines, à la vue des résidents et des automobilistes qui circulent tout près. Le ministère de l'Agriculture a ouvert une enquête en plus de demander au propriétaire de nettoyer les lieux dans un délai de 48 heures. Mais pour que Québec intervienne auprès d’un producteur contrevenant, une plainte doit avoir été au préalable formulée en bonne et due forme. C’est pourquoi le MAPAQ invite les citoyens à signaler toute situation similaire. Bon an mal an, le ministère reçoit de 150 à 200 plaintes concernant des carcasses d’animaux. La nouvelle en vidéo Video 1: http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20090406_me.wmv Regardez le reportage de Martin Everell. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/04/20090406-190646.html
  19. Massacre de phoques en Ecosse lundi 6 avril 2009 par Sylvie CARDONA Pendant que l’opinion internationale se focalise, année après année, et avec raison, sur le massacre des phoques au Canada, deux autres tueries sont également perpétrées chaque année, sans que grand-monde s’y intéresse. Nous évoquerons le problème les phoques de Namibie dans un autre article. Nous allons parler en revanche du massacre des phoques en Ecosse. Ce massacre n’est pas nouveau. A la toute fin des années 70, le navire de Greenpeace s’opposait déjà à cette tuerie dans les îles Orcades. Cette fois, l’alerte est à nouveau donnée par un groupe de conservationnistes anglais (Seal Protection Action Group) qui se bat tous les ans pour faire interdire cette honteuse pratique. Phoques communs et phoques gris sont généralement appréciés des Ecossais. Les animaux surtout aux Hébrides et dans les Orcades, attirent quantité de touristes, heureux de pouvoir apercevoir ces animaux évoluer en liberté dans leur milieu. Mais hélas pour les phoques, ces derniers sont amateurs de saumons. Or, depuis plusieurs années, les fermes d’élevage de saumon ont littéralement explosé en Ecosse. Les fermiers abattent donc leurs concurrents, entre 3000 et 5000 tous les ans. Les conservationnistes, déjà inquiets du déclin constaté des populations de ces animaux, protestent donc contre cette nouvelle menace. L’industrie du saumon est le plus gros employeur en Ecosse. Ces tirs sont généralement effectués en secret, hors la vue d’éventuels témoins. Les phoques ont commencé à se raréfier autour des fermes à saumons, qui sont par ailleurs un véritable désastre écologique. Dans la zone très touristique de la côte ouest, Kerrera, les phoques communs sont de plus en plus difficiles à apercevoir, au grand dam des touristes et des guides, tandis qu’on peut compter jusqu’à 300 fermes à saumons dans ce périmètre ! L’industrie du saumon réplique en affirmant que les phoques peuvent être très agressifs, détruisant cages et filets. Un phoque pourrait tuer un millier de saumons en une seule attaque. Bien que les industriels essaient de trouver d’autres solutions pour éloigner les phoques, ces derniers sont également abattus par les pêcheurs. Question de concurrence. Les consommateurs anglais et écossais qui apprennent au fil des semaines l’existence de ces procédés, envisagent de consommer du saumon provenant d’élevages s’engageant à ne pas tuer les phoques et une chaîne de magasins réfléchit à la mise en place d’un label pouvant permettre d’identifier les fermes respectueuses des phoques. En attendant que le cas des phoques soit examiné prochainement au sein des parlements anglais et écossais, rien n’empêche le consommateur français de boycotter le saumon d’élevage écossais... http://www.aves.asso.fr/article940.html?lang=fr
  20. Caro18

    Peaux de phoques à moitié prix !!!

    Chasse aux phoques Trois fois moins pour les peaux Mise à jour le lundi 6 avril 2009, 11 h 19 . Chapska en peau de phoque (archives) Les chasseurs de phoques de la Basse-Côte-Nord sont très pessimistes à quelques jours du début de la saison. Ils craignent que leurs revenus soient très bas. Les acheteurs de Terre-Neuve-et-Labrador ont laissé entendre qu'ils offriront seulement 15 $ par peau de phoque, comparativement à une moyenne de 45 $ l'an dernier. « C'est un désastre. Il n'y a pas d'autre mot pour le dire, c'est un désastre. - Le directeur de l'Association des pêcheurs de la Basse-Côte-Nord, Paul Nadeau. » L'Association des pêcheurs de la région compte négocier de meilleurs prix de vente cette semaine. Si l'organisme n'y arrive pas, les chasseurs pourraient être moins nombreux à prendre la mer lors de l'ouverture de la saison, mercredi. D'ailleurs, les quotas pour la chasse aux phoques en Basse-Côte-Nord ce printemps ont été haussés de 25 % comparativement à l'an dernier. Quelque 8000 bêtes peuvent être abattues. L'Association des pêcheurs de la région prédit toutefois que si les prix de vente des peaux ne sont pas révisés, moins de phoques que l'an dernier seront chassés en Basse-Côte-Nord. Au printemps 2008, quelque 2200 phoques ont été tués par les chasseurs de la région. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/04/06/003-prix-peaux-phoques.asp
  21. Caro18

    frappé et perdu...

    frappé et perdu... samedi 4 avril 2009, par Olivier Soury C’est le nom que donnent les chasseurs de phoques à un animal qu’ils ont eu le temps et l’immense courage de frapper d’un coup de massue et qui, blessé, à moitié assommé ou en sang réussit à fuir par un trou dans la glace. Cette triste histoire est particulièrement d’actualité, car c’est en ce moment même que les chasseurs canadiens, couverts par leur gouvernement, s’adonnent à cette pratique sans merci, avec la plus basse des sauvagerie. L’ultime but de cette chasse ? La fourrure bien sûr, si convoitée pour la fabrication de gants, de manteaux ou de chaussures. À l’heure où, dans le monde entier, des centaines de milliers d’écologistes agissent pour le "mieux" de la planète, où les campagnes de sensibilisation du public à l’environnement sont légions, des îlots de barbarie et de sauvagerie continuent, en toute impunité, de massacrer des animaux, assécher des marais ou déboiser les grandes forêts primaires à coups de massues, de tronçonneuses ou de béton. L’ironie de la chose, tant est qu’on puisse encore tenter d’y trouver une ironie quelconque, est que ces pratiques sont totalement et légalement cautionnées par des gouvernements ou des lobbies industriels et financiers, qui foulent ainsi aux pieds les plus élémentaires règles d’humanité. C’est pourquoi à Humaterra, nous relayons ce genre d’information et invitons ceux qui, peut-être encore un peu épargnés par la crise (vous savez, celle-là même que les sus-nommés ont engendrée), pourraient, par un petit don, apporter leur goutte d’eau dans l’océan de la protection de la nature. Ces informations concernant la chasse, pardon, le massacre des bébés phoques nous sont régulièrement transmises par l’IFAW, dont nous défendons activement la cause. Parmi les lettres que nous pouvons recevoir, voici un petit extrait très édifiant : “Le gouvernement canadien clame que le massacre annuel des phoques est « une chasse pratiquée de manière humaine et professionnelle ». Mais nos preuves démontrent que cela n’est tout simplement pas vrai !” Le tout dernier rapport concernant l’activité sur la banquise est étayé par cette histoire effroyable : « Nous avons vu également des bébés phoques qui avaient été tués et dont les corps étaient gelés sur la glace- sans qu’ils aient été dépecés. D’autres milliers ont été dépecés, mais leurs carcasses ont été abandonnées sur la banquise dans des mares de sang. » Pouvez-vous imaginer une ballade dans les bois, et découvrir jonchées sur le sol tout autour de vous des carcasses d’animaux en putréfaction ? Le gouvernement ne permettrait jamais une telle tuerie, doublée d’un gaspillage. La police serait alertée, et des arrestations auraient lieu. Mais pour la chasse aux phoques, ils ne se contentent pas de l’autoriser, ils la subventionnent ! Bien sûr, la banquise finira par fondre ou dériver en mer, et les preuves de cette atroce cruauté seront emportées à jamais. C’est pourquoi il est crucial que nos observateurs de la chasse demeurent présents sur la glace pour rassembler les images vidéo et des preuves. Grâce à celles-ci, nous relatons des faits avérés. Mais nous avons besoin de votre aide pour maintenir notre équipe sur les lieux afin d’alerter le monde de cette tragédie. De toute urgence, merci de nous envoyer un don maintenant pour maintenir sur le terrain nos équipes d’observateurs de la chasse, où se joue le massacre. Elles nous aideront à convaincre le Parlement européen de voter l’interdiction stricte du commerce des produits dérivés de phoque au sein de l’Union européenne. Elles permettront de rassembler le soutien nécessaire au projet de loi historique du Sénateur canadien Harb pour mettre fin une fois pour toute à la chasse commerciale aux phoques. Grâce aux efforts d’IFAW, après 15 ans de campagne, la Russie a récemment interdit l’abattage des phoques de moins d’un an, une étape importante pour ces animaux. Il est temps maintenant que le Canada vote aussi sa propre interdiction. Ces preuves nous permettront de convaincre également d’autres pays pour suivre la décision des Etats-Unis, de la Belgique, des Pays-Bas, de l’Allemagne, de l’Italie qui ont déjà interdit le commerce des produits dérivés de phoque, ou celle d’autres nations qui ont annoncé leur intention en ce sens. De toute urgence, merci de nous envoyer un don maintenant pour maintenir sur le terrain nos équipes d’observateurs de la chasse, où se joue le massacre. http://www.ifaw.org/ Source: http://www.humaterra.info/?frappe-et-perdu
  22. Téléchargez ces fichiers pour agir et sauver des phoques! http://www.stoppezlachasseauphoque.ca/site/c.igLQI2OBKlF/b.5029811/k.5C5F/Le_guide_de_lactiviste.htm
  23. Caro18

    Chasse au phoque au Québec

    Vraiment à vomir!
  24. Canadian Senator Mac Harb observes seal hunt and renews his effort to end it (Ottawa, Canada – 29 March 2009) – Senator Mac Harb has returned from witnessing this year’s commercial seal hunt along with observers from IFAW (International Fund for Animal Welfare –www.ifaw.org) in the Gulf of St. Lawrence. BRAVO BRAVO! "Continuing to defend the commercial seal hunt is not the answer," said Senator Mac Harb. "The government can’t go on burying its head in the sand and pretending everything is going to be okay. It is time to provide mechanisms to transition the few thousand individuals in sealing out of this declining industry and into jobs with more promising futures." Earlier this month, Senator Harb introduced a private member’s bill calling for an end to Canada’s commercial seal hunt -- marking the first time a Canadian politician has introduced legislation to put an end to the largest remaining marine mammal slaughter in the world. "Over 20,000 seal pups have been killed in the first few days of Canada's commercial seal hunt. It is admirable that Senator Harb has taken the initiative to witness this slaughter first hand" said Sheryl Fink, Senior Researcher with IFAW. After observing activity in the Gulf of St. Lawrence, Senator Harb has renewed his initial resolve to end this slaughter. "I plan to go back next year and every year until this hunt ends to catalogue the wastefulness of this hunt. I have an obligation to the majority of Canadians who oppose the hunt to be a witness to this waste of tax-dollars and a vocal advocate for its swift conclusion," added Harb. Canada’s commercial seal hunt comes just weeks before the EU considers banning the trade in seal products throughout its member states and several weeks after Russia declared a ban on hunting of harp seals below one year of age in the White Sea. Approximately 20,000 seals have already been killed in the first stages of this year’s commercial seal hunt. Canada’s Department of Fisheries and Oceans (DFO) has set the 2009 total allowable catch at 280,000 harp seals, which is 10,000 over what government scientists have said would respect the current management plan. It is also being conducted in spite of record low pelt prices, which will further increase the amount Canadian tax payers will be forced to contribute. http://www.stopthesealhunt.com/site/apps/nlnet/content2.aspx?c=ihKPIWPCIqE&b=3990411&content_id={699E4DC2-9D10-4B9F-94F9-0C8187FADEB2}&notoc=1
  25. Caro18

    L'hypocrisie Canadienne révélée

    Signez la pétition de la FBB: http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/petition.php?Id=352
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