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La fourrure québécoise en déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 08-10-2009 1 peau canadienne sur 4 provient des forêts québécoises. Les revenus dégagés par l’industrie de la fourrure sont en chute libre au Québec depuis le début de la récession. Ainsi, la valeur des fourrures provenant du piégeage a chuté au Québec de 26% au cours de la période 2007-2008 par rapport à 2006-2007, pour s'établir à 4,4 millions de dollars. C’est un plongeon plus accentué que celui du Canada, qui a été de 18% en un an, à 21 millions de dollars, selon Statistique Canada. «Le déclin perçu dans les valeurs est attribuable en grande partie à des prix plus faibles», est-il indiqué dans le rapport de l’organisme fédéral. La martre est la plus payante Au Québec, les peaux d’animaux sauvages qui ont rapporté le plus l’an dernier ont été celles de la martre, à hauteur de 1,6 million de dollars. Suivent respectivement celles du castor (960 000 dollars), du pékan – un cousin du carcajou – (377 000 dollars) et du rat musqué (297 000 dollars). Du point de vue du nombre de peaux prélevées par le piégeage, il a reculé en un an au Québec de 31%, à 192 700. Parmi elles, on compte 55 000 peaux de rat musqué, 41 000 peaux de castor, 30 000 peaux de martre, ainsi qu’un millier de peaux d’ours noir et 16 d’ours blanc. À noter que le Québec est la province qui produit le plus grand nombre de peaux d’animaux sauvages au Canada. En effet, 1 peau canadienne sur 4 (26%) provient de nos forêts. Pas surprenant Les fermes à fourrure moins touchées La valeur des peaux provenant de fermes à fourrure a, elle aussi, dégringolé au Québec en un an. À hauteur de 26,5%, à 2,5 millions de dollars. Le recul est toutefois plus prononcé au Canada, de 33,3%, à 77 millions de dollars. Quant au nombre de peaux issues des fermes à fourrure, il est resté stable au Québec d’une année sur l’autre, à 52 600. Idem à l’échelle du Canada, à 1,7 million. EN SAVOIR PLUS : Consultez le rapport de Statistique Canada (PDF) http://www.statcan.gc.ca/pub/23-013-x/23-013-x2008001-fra.pdf
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10/09/2009 – Les protecteurs des phoques condamnés pour « crime flagrant » d’avoir assisté au massacre des phoques George Orwell aurait compris cela .... Le verdict final a été rendu aujourd'hui concernant le cas opposant le gouvernement canadien à deux membres de Sea Shepherd, le capitaine Alex Cornelissen, des Pays-Bas, et le 1er officier Peter Hammarstedt, de Suède. Les deux hommes se sont vu refuser le droit d'assister à leur propre procès en avril 2009 parce qu'ils avaient été extradés et n'ont pas été autorisés à retourner au Canada pour présenter leur défense. Malgré cela, la Cour de Nouvelle-Écosse a procédé au jugement, n'entendant que le témoignage du procureur de la Couronne. La juge Jean Whalen a statué en Juillet que les deux hommes ont été reconnus « coupables » de s’être approchés deux fois chacun à moins de 926 mètres d'une chasse aux phoques. Ils ont chacun reçu une amende de 11.607 $ (près de 8.000 €) pour chaque chef d'accusation, soit un total de $ 45,000 (32.000 €). C'est difficile à croire, mais pour le «crime» d'être témoin et de documenter le massacre des bébés phoques Alex et Peter ont reçu des amendes totalisant 32.000 €. 32.000 € pour une simple violation des lois du ministère des Pêches et des Océans, consistant simplement à assister à l'abattage des bébés phoques! Les photographies prises des brutalités infligées aux phoques semblent donc être les photographies les plus coûteuses jamais prises pour un massacre de la faune sauvage. Ces amendes sont beaucoup plus élevées que les amendes infligées à des braconniers ou suite à des infractions sur les quotas de phoques. Ce verdict n est pas surprenant, cependant, de la part d'un pays qui a un gouvernement pathologiquement obsédé par le soutien à tout prix de l'industrie du massacre des phoques. Nous avons déjà eu la couverture médiatique inquiétante de la gouverneure générale Michaëlle Jean mangeant un coeur cru de phoque à la télévision nationale et celle du Premier ministre Stephen Harper avalant lors d’un déjeuner de la viande de phoque pour prouver qu'il est solidaire des tueurs de bébés phoques de Terre-Neuve et des îles Maganderthal du Québec. La juge était hystérique et théâtrale dans son jugement, déclarant que: « Le comportement des deux coupables était tellement flagrant qu'il a suscité la peur de vétérans de la mer aguerris, pour leur propre survie. » C'est une image amusante. Et même une sacrée image : des chasseurs de phoques robustes, résistants, grisonnants, qui se blottissent par crainte abjecte devant un bateau plein de végétariens. Des chasseurs de phoques « craignent pour leur vie » alors qu ils éclatent la tête de bébés phoques. (photographies de Greg Hager/Sea Shepherd) Cette surprenante affirmation vaut à elle seule l'amende infligée à nos militants pour leurs efforts courageux dénonçant les atrocités commises sur les banquises contre les bébés phoques. Le tribunal a également cité le mépris affiché pour les agents des pêches lorsque Peter Hammarstedt a répondu à la radio à un agent qui lui demandait de produire un permis l’autorisant à approcher la chasse au phoque : « permis? Je n ai pas besoin de votre permis puant. » Apparemment, le tribunal n'était pas au courant de cette fameuse tirade par Alfonso Bedoya dans le film « Le Trésor de la Sierra Madre ». Le juge n'a donc pas pu apprécier l’humour. (NDT : référence à une phrase de Humphrey Bogart dans le film de John Huston) La conspiration de la Cour canadienne pour répondre aux lâches « Il ne fait aucun doute que cette sentence avait des motivations politiques », a déclaré le capitaine Paul Watson. « Le ministère des Pêches et des Océans voulait leurs têtes et les ordres étaient clairs - les accusés n’ont pas eu la possibilité de présenter leur défense et ont ensuite été condamnés au maximum. » Alex et Peter ont été arrêtés à l'extérieur de la limite de douze miles nautiques du Canada quand une unité SWAT paramilitaire de la Police Montée est montée en force à bord du Farley Mowat, en avril 2008. Afin de saisir tous les documents que l'équipage de Sea Shepherd avait enregistrés concernant les cruautés infligées aux phoques par les chasseurs. Sea Shepherd Conservation Society était sur place en train de collecter de la documentation (photographies, films) à présenter comme preuves à l'appui du projet d’une interdiction des produits dérivés des phoques par le Parlement européen. Mais l’ensemble des documents n’a pas été saisi. Le capitaine Paul Watson a réussi à prendre avec lui certains des éléments de preuve lorsque le Farley Mowat a fait scale dans les îles françaises de Saint-Pierre-et-Miquelon, au sud de Terre-Neuve. En dépit d'un assaut violent contre le Farley Mowat par les pêcheurs français, le capitaine Watson ainsi que la cuisinière du bord Laura Dakin ont échappé à la foule et quitté l’île par avion avant que les pêcheurs furieux ne puissent les intercepter à l'aéroport. D'autres cartes numériques ont été clandestinement cachées par les dix-huit autres membres d’équipage qui étaient détenus à bord mais pas arrêtés. Les amendes ne seront pas payées les deux officiers de Sea Shepherd contestant le jugement, n’ayant pas pu présenter leur défense pour un procès équitable. « Je reste fier de nos actions visant à témoigner du brutal massacre des bébés phoques au Canada. En fin de compte, nous avons gagné la bataille de l'opinion publique internationale, de sorte qu'aucune sanction, peu importe sa sévérité, ne me convaincra que mon rôle dans le tournage des films sur l'abattage brutal des bébés phoques était mauvais. Je sais qui sont les vrais criminels - les barbares que nous avons filmés et qui écorchaient des bêtes vivantes contrairement aux lois sur les mammifères marins. Si la juge Whalen avait le moindre sens de la justice, les tueurs de phoques auraient dû être condamnés à des amendes et emprisonnés, non pas les personnes qui prennent les photos de ces brutalité s», a déclaré Peter Hammarstedt, le 1er Officier du Farley Mowat. Le capitaine Alex Cornelissen, répondant depuis les îles Galápagos, a déclaré: « Le gouvernement canadien continue de prendre des mesures extrêmes pour empêcher les gens d'exposer leur secret le plus horrible, le plus grand massacre de la faune marine de la planète. En abordant notre navire immatriculé aux Pays-Bas, dans les eaux internationales et sous la menace des armes, ils n ont pas pu nous empêcher d'obtenir les preuves destinées au Parlement européen, comme quoi cette soi-disant chasse n'est rien de moins qu'un holocauste biologique et les chasseurs de phoques ne sont finalement que des bourreaux sadiques. Le montant de l'amende est totalement hors de propos car même une amende d'un million de dollars ne saurait nous impressionner : nous n'avons rien fait de mal ; nous ne sommes pas ceux qui commettent des crimes contre la nature. Et puisque nous étions ensuite interdits de séjour au Canada, la mention d’une peine de prison au lieu d'une amende n'a aucun sens, si ce n’est une vaine et dernière tentative des bureaucrates qui ne peuvent pas admettre la défaite. Payer l'amende est la dernière chose dans mon esprit. La chasse est pratiquement terminée: il n'y a plus de marché pour les peaux de phoques. Nous avons peut-être perdu la bataille au tribunal, mais nous avons gagné la guerre destinée à faire interdire le commerce des produits dérivés du phoque. » « C'était un tribunal fantoche et la juge a simplement prononcé le verdict exigé par les hommes politiques », a déclaré le capitaine Paul Watson. « Elle a condamné deux hommes en vertu de cette loi stupide et digne de Georges Orwell, qui condamne les témoins d'une atrocité contre les phoques ; la juge a prononcé sa sentence alors que les accusés ne pouvaient se défendre, ne pouvant même pas entrer dans le pays et puis elle a infligé une amende ridicule de 32.000 €. Si c'est comme cela que le Canada considère la justice, alors tous les Canadiens devraient avoir honte d'eux-mêmes. » L’affaire du « Tar Baby Farley » est close Jusqu'à la date de la sentence, le capitaine Paul Watson a dû garder le silence sur sa stratégie lorsqu’il a envoyé le Farley Mowat, dans le golfe du Saint-Laurent au printemps 2008. « Le Farley Mowat avait atteint un âge vénérable, et devait être tôt ou tard désarmé. La mise en cale sèche destinée à maintenir le navire en état de naviguer aurait entraîné trop de frais et le Farley Mowat devenait une lourde charge financière ; par ailleurs, le navire était beaucoup trop lent pour une utilisation efficace dans les mers australes. Il est coûteux de désarmer un navire, en particulier un vieux bateau, et nous avons dû trouver un moyen pour que le Farley prenne dignement sa retraite, sans dépense supplémentaire. J'ai donc décidé d'envoyer le navire pour son dernier voyage dans les bras du ministère canadien des Pêches et des Océans, avec pour mission de documenter en 2008 le massacre canadien des bébés phoques. En tant que Canadien, j’ai renoncé à en prendre le commandement, et j’ai promu le premier officier Alex Cornelissen, des Pays-Bas, pour en être le capitaine, le Farley Mowat battant d’ailleurs pavillon néerlandais. Nous avions besoin d'envoyer un équipage européen sur un navire européen afin d’attirer l'attention sur le massacre des phoques pour renforcer le soutien à la future législation européenne visant à interdire les produits dérivés des phoques en Europe », a déclaré le Capitaine Watson. « J'ai passé une semaine à titiller et aiguillonner le ministre des Pêches, Loyola Hearn, afin qu’il fasse saisir le navire avec des annonces du genre qu '« il n'avait pas le courage de prendre notre navire dans les eaux internationales. » C'était la stratégie classique de Compère Lapin de dire s'il vous plaît ne me jetez pas dans le buisson de ronces alors que au fond de lui Bibi Lapin voulait réellement être jeté dans le buisson touffu », a t-il poursuivi. « Ainsi, nous avons envoyé le navire en tant que « Tar Baby Farley » (*) et Loyola a fait ce qu'on attendait de lui. Il s’est précipité sur le navire et il s'est englué avec celui-ci. Premièrement, les autorités canadiennes ont demandé 50.000 dollars comme caution pour restituer le navire, bien qu'il n'y a jamais eu de plainte contre le navire ou ses propriétaires. J'ai refusé de déposer une caution et ils retenaient le navire a quai, ce qui généra des coûts chaque jour jusqu’à ce qu’un tribunal statue sans autre forme de procès, que le navire serait mis aux enchères. Après avoir dépensé un million de dollars sur la sécurité et les coûts d'entretien à quai, le navire a été vendu pour 50.000 $, mais le nouveau propriétaire n’a pas encore payé et donc le gouvernement doit encore assumer les dépenses quotidiennes du Farley Mowat aux frais du Département des pêches et Océans. L'affaire est maintenant close, le gouvernement du Canada est encore aux prises avec le « Farley Tar Baby ». Alex et Peter n'ont pas l'intention d'aller au Canada, en fait, ils sont interdits de séjour au Canada, et ainsi les amendes ne seront pas payées ; de plus, ils ne peuvent pas être extradés sur un délit ou un acte criminel. Des précieux éléments de preuve ont été obtenus à l'appui de la législation européenne pour interdire les produits dérivés des phoques, et notre campagne a reçu beaucoup d'attention des médias en Europe. Tout ceci vaut bien plus à Sea Shepherd qu'un navire qui devait être mis à la retraite. « Il est donc certain que l'opération« Tar Baby Farley » a été un succès. L'affaire est close », a conclu le capitaine Watson. (*) NOTE : Tar-Baby était une poupée faite de goudron et térébentine, utilisée pour piéger Br'er Rabbit dans le second tome des histoires de l’oncle Rémus (littérature Nord Américaine). Plus Br'er Rabbit essayait de se dégager de la poupée, plus il s’emmêlait avec. Aujourd’hui, l’image de la « poupée goudron » fait référence à une situation délicate qui, plus on tente d’y apporter une solution, plus elle le devient. http://www.seashepherd.fr/News/090910_news_01.html
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GardCorps torturé d'un sanglier découvert à Saint-Victor-la-Coste : le maire porte plainte contre X Publié à 16 h 30 - C'est avec stupeur que les habitants de Saint-Victor-la-Coste ont retrouvé, ce week-end, le corps torturé d'un sanglier. Un acte de barbarie qui a poussé le maire de la commune, Robert Pizard-Deschamps, a porté plainte contre X auprès de la gendarmerie de Laudun l'Ardoise. L'animal avait été « matraqué, saigné, lacéré, éventré et brulé ». Pour le maire, cette découverte de torture est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. En effet, plusieurs actes d'incivilités ont également été enregistrés sur la commune depuis le printemps. Ce week-end, d'ailleurs, outre le sanglier torturé, des feux ont été allumés sur le parvis de la salle polyvalente de Saint-Victor-la-Coste, et un conteneur à ordures a été incendié. Plus d'informations demain dans votre édition locale de Midi Libre VOS RÉACTIONS http://www.midilibre.com/articles/2009/10/07/BAGNOLS-GARD-Un-sanglier-torture-a-Saint-Victor-la-Coste-949153.php5
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Chasse et écologie : le grand greenwashing
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Chasse et écologie : le grand greenwashing Personne n’échappe à la vague verte, et la vague verte n’échappe à personne, pas même aux chasseurs. Eux qui, il y a quelque temps, se contentaient d’invoquer la tradition pour justifier leur pratique, se posent à présent en authentiques écologistes. Les chasseurs auraient, nous dit-on, une indispensable fonction de régulation des populations animales en excès par rapport au milieu. D’après le sénateur Poniatowski, à l’origine de la loi pro-chasse de 2008 : « Les chasseurs sont désormais reconnus comme des acteurs à part entière de la gestion équilibrée des écosystèmes et plus largement du développement économique et écologique de nos territoires ruraux ». La chasse, « une nécessité pour l’écologie ». Cette idée trouve a trouvé récemment un écho chez certains, comme Cyril Hofstein et Laurence Lacontre du Figaro Magazine (29/9/09) : « La chasse se veut désormais durable. Qui s’en plaindra ? ». Gageons que leur patron, Serge Dassaut, propriétaire du Figaro et chasseur notoire, ne les contredira pas. Pas davantage que nos dirigeants d’ailleurs : « La chasse est devenue tellement politiquement correcte qu’aucune formation politique n’ose plus s’afficher antichasse », se flatte Thierry Coste, chargé de communication de la Fédération nationale des chasseurs. Pourtant, la faille dans le raisonnement est, je dirais, grosse comme une maison. Passons sur l’obstruction des chasseurs français, permanente depuis toujours, aux lois européennes de protection de la faune en voie de disparition, ou le vote quasi-traditionnel en France de lois pro-chasse (comme la fameuse loi Verdeille, si attentatoire aux libertés des non-chasseurs qu’elle entraîna une condamnation de la France devant la Cour Européenne des Droits de L’Homme). Il nous faudrait écrire un livre, et de très bons existent déjà sur le sujet. Concentrons-nous plutôt sur un petit détail, presque rien sans doute mais... Il se trouve que, sur les 30 millions d’animaux tués par les chasseurs chaque année (ONCFS, études entre 1998/1999 et 2001/2002), 20 millions proviennent... des élevages à fin de chasse (Le Chasseur Français, juin 1999). Vous avez bien lu. Deux animaux sur trois sont élevés, puis lâchés dans la nature pour se faire tirer dessus. On est assez loin de la sacro-sainte mission de régulation de la chasse. Autant dire que l’argument écologique, censé justifier tous les massacres, est ici nul et non-avenu, tant que perdurera cet état de fait. Ce qu’on croyait n’être qu’un gag des Inconnus, le fameux « lâcher de galinettes cendrées », n’est ici que triste réalité ! Mais on peut compter sur les puissantes officines de communication de la chasse pour imprimer autre chose dans la tête des gens. Le greenwashing, terme résultant de la contraction des mots green (vert) et brainwashing (lavage de cerveau), trouvera une illustration parfaite, si les chasseurs parviennent à inscrire en nous le mythe du chasseur écologiste. On évoquerait plutôt le pompier pyromane. Cependant il ne s’agit pas pour les chasseurs d’éteindre un feu, mais de faire feu sur des animaux. Comme nous, ces derniers n’aiment pas qu’on brise leur os, ou qu’on transperce leur chair. Qu’importe. Puisqu’on vous dit que c’est pour sauver la nature. David Chauvet Membre fondateur de Droits des Animaux Liens et sources : 1. Session ordinaire du Sénat pour l’examen de la proposition de loi Poniatowski : http://www.senat.fr/leg/ppl06-269.html 2. « Une nécessité pour l’écologie » : http://www.lavoixdunord.fr/journal/VDN/2009/09/24/PLUS/ART1908592.phtml 3. Greenwashing de la chasse au Figaro Magazine : http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2009/09/26/01006-20090926ARTFIG00078—la-chasse-pratique-l-ouverture-.php 4. Serge Dassault, chasseur et propriétaire du Figaro Magazine : http://www.leparisien.fr/politique/c-est-un-gars-bien-ce-fabius-09-04-2000-2001302550.php http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2007-01-17/presse-le-figaro-dassault-a-la-une/916/0/31596 5. Propos de Thierry Coste : http://www.developpementdurable.com... 6. CEDH, 29/04/1999, Chassagnou c./ France (la loi Verdeille permettait notamment de chasser sur le terrain d’autrui sans son consentement) Pour en savoir plus sur la chasse (et ce que ses lobbies se gardent bien de dire) : Despin, J.-P., Bartholy, M.-C., Chasseurs, Office National des Forêts et écolos : le trio infernal, L’Harmattan, 2009. Farrachi, A., Pour la séparation de la chasse et de l’Etat, Droits des Animaux, 2008. Charollois, G., Pour en finir avec la chasse, Imho, 2009. Réagissez à l'article http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/chasse-et-ecologie-le-grand-62763# -
Protection des animaux Québec passe aux actes Mise à jour le mercredi 7 octobre 2009 à 17 h 31 Québec annonce une série de mesures pour mieux protéger les animaux de compagnie. Un comité a été mis sur pied à la suite de la diffusion de reportages bouleversants, l'an dernier, sur les usines à chiots. Le Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie a fait ses recommandations au gouvernement, qui entend resserrer les règles. Les amendes seront désormais plus élevées et le nombre d'inspecteurs au Québec passera de 5 à 20. D'ici le printemps, Québec compte aussi définir ce qui représente un environnement acceptable pour les animaux. Ce volet est essentiel, selon le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, Claude Béchard. « On a beau avoir des inspecteurs, mais quand on arrive pour intervenir, souvent, c'est de savoir qu'est-ce qui fait que la situation est déplorable ou pas. C'est pour ça que souvent, ce qu'on voit, c'est des extrêmes, alors il faut être capables d'intervenir avant ces extrêmes là », soutient le ministre. Un des membres du groupe de travail, le Dr Claude Martineau de la SPA de Québec, se dit heureux de voir que les recommandations ne sont pas laissées lettre morte. « Si on travaille ensemble, je peux vous garantir qu'on a tous les éléments de solution et il semble y avoir une volonté du ministre aussi de vouloir aller de l'avant donc les actions, on est capables de les mettre sur la table assez rapidement », indique le Dr Martineau. Le comité poursuivra par ailleurs son mandat. D'autres mesures sont envisagées à moyen terme, comme la mise sur pied d'un registre de tous les lieux de garde des animaux au Québec. http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2009/10/07/007-protection_animaux_mesures.shtml
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Québec veut améliorer le bien-être des animaux domestiques d'élevage De Alexandre Robillard (CP) – il y a 1 heure QUEBEC — Le gouvernement veut se donner les moyens de lutter contre la perception que le Québec est un terre d'accueil pour les éleveurs d'animaux domestiques peu scrupuleux, a indiqué mercredi le président d'un groupe de travail qui s'est penché sur la question. Le député Geoff Kelley a affirmé que l'atteinte de cet objectif passe par la définition de nouvelles normes, pour la garde et le soin des animaux de compagnie, ainsi que par des amendes plus sévères et un plus grand nombre d'inspecteurs. M. Kelley avait été saisi du dossier à la suite de la diffusion, l'an dernier, de reportages faisant état des conditions lamentables chez certains éleveurs, particulièrement de chiens, dont les établissements ont été présentés comme des "usines à chiots". Après avoir consulté divers groupes concernés par le bien-être des animaux, au cours des derniers mois, M. Kelley a déclaré qu'il était difficile d'évaluer l'ampleur de ce phénomène au Québec, les renseignements demeurant fragmentaires et dispersés. Malgré tout, M. Kelley a affirmé qu'une mise à niveau des lois et réglements s'imposait et il a présenté ses conclusions, mercredi, au ministre de l'Agriculture, Claude Béchard. Lors d'une conférence de presse, M. Béchard a annoncé que le gouvernement irait de l'avant avec les recommandations de M. Kelley. Il s'est aussi empressé d'annoncer l'octroi d'un montant d'un million $ pour améliorer les installations d'accueil des animaux de la Société de protection des animaux et la Société de prévention de la cruauté envers les animaux. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jDv_MVumFscfHPuokJo15ewsrpjA
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Dépôt du rapport de M. Geoffrey Kelley sur le bien-être des animaux de compagnie Le ministre Claude Béchard annonce une série d'actions pour accroître le bien-être animal Québec, le 7 octobre 2009 - Le député de Jacques-Cartier et président du groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, M. Geoffrey Kelley, a rendu public aujourd'hui son rapport, accompagné du député de Kamouraska-Témiscouata, ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable des Affaires intergouvernementales canadiennes et de la Réforme des institutions démocratiques, leader adjoint du gouvernement et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent, M. Claude Béchard. Ce rapport rend compte des réflexions des membres du groupe de travail en ce qui a trait aux divers sujets liés au bien-être des chiens et des chats, tels que le problème des « usines à chiots », la surpopulation d'animaux abandonnés ou non désirés et le financement des organismes liés au bien-être animal. Il présente aussi les observations et les recommandations du président, M. Kelley. « Les discussions du groupe m'ont permis notamment de constater qu'il est nécessaire d'augmenter le nombre d'inspecteurs et de modifier la Loi sur la protection sanitaire des animaux afin d'augmenter les sanctions contre les contrevenants. Toutefois, la pierre angulaire de l'amélioration rapide de la situation au Québec se trouve dans la création d'un véritable réseau pour le bien-être de nos animaux de compagnie. J'ai confiance que nous allons réussir, car il existe à l'intérieur du groupe une volonté de collaboration qui est déjà bien manifeste », a affirmé le député Kelley. Le ministre Béchard a pris connaissance du contenu du rapport et des recommandations de M. Kelley. Il a fait part des principales mesures qui en découleront. « Le gouvernement est conscient qu'il doit poser des gestes concrets pour assurer le bien-être des animaux de compagnie. C'est pourquoi je m'engage dès aujourd'hui à mettre en oeuvre une série d'actions qui renforceront les mesures existantes et, de concert avec les acteurs du milieu, à instaurer de nouvelles façons de faire qui nous permettront d'agir plus efficacement pour contrer les pratiques abusives et ainsi accroître la protection des animaux de compagnie », a déclaré le ministre Béchard. Cinq mesures importantes seront mises en place : Augmentation du nombre d'inspecteurs à la suite de la signature d'ententes avec les Sociétés protectrices des animaux (SPA) et les Sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA); Mise en place d'un programme d'aide financière d'un million de dollars pour améliorer les installations d'accueil des animaux des SPA et SPCA; Rédaction d'un règlement établissant les normes pour la garde et le soin des animaux de compagnie; Modification de la Loi sur la protection sanitaire des animaux afin de revoir à la hausse les amendes et les pénalités prévues contre les mauvais traitements infligés aux animaux; Poursuite des rencontres du groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie. Pour consulter le rapport du groupe de travail « Vers un véritable réseau pour le bien-être des animaux de compagnie », rendez-vous dans le site Internet du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. Liens vers le document :Rapport « Vers un véritable réseau pour le bien-être des animaux de compagnie » http://www.mapaq.gouv.qc.ca/NR/rdonlyres/1C3D84DC-3C0A-4C19-B617-971F5E604598/0/RapportAnimauxcompagnie.pdf http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Centre_Presse/Communiques/2009/09205.htm
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Québec veut redorer son image en matière de protection animale par François Cattapan Article mis en ligne le 7 octobre 2009 à 16:30 Soyez le premier à commenter cet article S'appuyant sur les réflexions du Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, le gouvernement du Québec met en place des mesures afin de se départir de sa mauvaise réputation de terre d'accueil d'éleveurs sans scrupules et de championne nationale de la maltraitance envers les animaux domestiques. Pour corriger cette situation, cinq actions ont été confirmées. Il s'agit de : 1) l'augmentation de 5 à 20 inspecteurs au Québec; ( c'est 200 en Ontario ) 2) une aide de 1 M$ pour améliorer les installations des organismes sur le terrain (SPA et SPCA); 3) la rédaction d'un nouveau règlement balisant la garde et le soin aux animaux; 4) la modification de la Loi sur la protection sanitaire des animaux pour hausser les amendes et pénalités; et 5) la prolongation du mandat du Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie. L'annonce a été faite par le ministre de l'Agriculture du Québec, Claude Béchard, qui se montre préoccupé par la problématique. Elle coïncide avec le dépôt du rapport du Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, présidé par son collègue député Geoffrey Kelley. Il va sans dire que les reportages récents sur la maltraitance des animaux et, plus particulièrement, ceux qui ont mis l'emphase sur l'enfer des usines à chiots ont fait grand bruit au sein de l'appareil gouvernemental. La mauvaise réputation de la province à la grandeur du pays, combinée au constat que certains délinquants en matière d'élevage quittent les provinces voisines plus sévères pour s'installer au Québec, a justifié l'urgence d'agir. Premier pas «Il est certain que de passer de 5 à 20 inspecteurs à la grandeur du Québec ne peut être jugé suffisant. Toutefois, il s'agit d'un premier pas pour envoyer un message de vigilance et espérer redresser la situation. On compte aussi sur l'aide du public qui peut être témoin de situations inacceptables», estime le ministre Béchard selon qui la révision de la législation au début 2010 permettra de mieux outiller les intervenants. À titre de comparaison, un cas de maltraitance animale peut conduire à une peine de prison de deux ans en Ontario, contre une amende de… 600 $ au Québec. «Les mesures annoncées s'avèrent attendues et bienvenues. Cependant, la pierre angulaire de l'amélioration rapide de la situation au Québec réside dans la création d'un véritable réseau regroupant tous les organismes dédiés au bien-être de nos animaux de compagnie. S'ajoute également la nécessité d'une meilleure coordination entre les ministères et les villes», soutient pour sa part le député Kelley. Accueil favorable Présent lors de la conférence de presse et participant aux discussions du Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, le vétérinaire et membre du conseil d'administration de la SPA de Québec, Claude Martineau, s'est dit agréablement surpris par les annonces du gouvernement. À son avis, l'aide financière annoncée sera un coup de pouce favorable au projet de relocalisation de l'organisme de la Capitale. «Mais, pour moi, le point le plus important c'est l'intention d'instaurer un meilleur réseautage des partenaires en protection des animaux», a-t-il noté. S.V.P Réagissez à cet article http://www.lejacquescartier.com/article-385893-Animaux-de-compagnie-Quebec-veut-redorer-son-image.html VOIR EN VIDÉO LA CONFÉRENCE http://www.lejacquescartier.com/article-385893-Animaux-de-compagnie-Quebec-veut-redorer-son-image.html
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Les oeufs de poules de batteries ont disparu des supermarchés allemands Les oeufs provenant de poules élevées en batteries ont quasiment disparu des supermarchés allemands, la chaîne de supermarchés Real, une des dernières enseignes qui en proposait, ayant annoncé jeudi avoir renoncé elle aussi à les commercialiser. Real, filiale du groupe de distribution Metro, ne vendra plus que des oeufs bio ou de poules élevées en plein air, selon un communiqué de la société, qui rejoint ainsi la quasi-totalité des enseignes de distribution allemandes. Les poids lourds du discount Aldi et Lidl ont également arrêté ces derniers mois de proposer des oeufs de poules de batteries. Les associations de protection des animaux dénoncent depuis longtemps les conditions d'élevage des poules en batterie, et les consommateurs eux-mêmes se détournent des oeufs ainsi produits. L'élevage en batteries sera interdit en Allemagne à compter du 1er janvier mais l'alternative, l'élevage dit en petits groupes, est également fortement critiquée par les ligues de protection des animaux. Real et ses confrères se sont engagés à ne pas vendre ces oeufs-là non plus. Ceux-ci continuent néanmoins à être utilisés pour la confection d'aliments tels que les pâtisseries et crèmes. (belga/th) 01/10/09 15h23 http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1007784/2009/10/01/Les-oeufs-de-poules-de-batteries-ont-disparu-des-supermarches-allemands.dhtml
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REPORTAGE SUR FRANCE 3 A DIFFUSER
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
La maltraitance des animaux En France, l’animal n’a aucun droit. Il est considéré par le code civil comme un objet, un bien immobilier. De nombreuses associations se battent pour faire reconnaître son statut d’être vivant ! Et oui, nous ne reconnaissons pas l’animal comme un être vivant qui a le droit de ne pas souffrir ou de ne pas être maltraité ou torturé. Il y a bien quelques peines rendues çà et là par des tribunaux à des personnes qui les ont affamés ou tués dans des circonstancesparticulièrement cruelles. Mais elles sont rares.Trop rares. Alors que nous nous considérons comme une société civilisée, un simple regard sur la condition des animaux qui vivent dans notre pays, devrait nous faire réfléchir. Chaque année : 100 000 animaux abandonnés dont 60 000 sur les routes des vacances ; 26 millions d’animaux sont tués à la chasse ; 23 000 espèces différentes sont saisies par les douaniers dans les bagages des voyageurs pour en faire des trafics. On ne le sait pas, mais le trafic d’animaux est au 3ème rang mondial en matière de rapport après les armes et la drogue. Hélène Erlingsen,les équipes de France 3 et Olivier Denoun vous proposent un magazine sur la manière dont on traite la faune en France, qu’elle soit de compagnie, domestique ou en liberté. Le reportage France 3, le Maghttps://www.dailymotion.com/user/sebro54/video/xapah6_le-mag-france-3_animals http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=m31a_lemag -
295 loups vont être tué suite à la décision D’Obama ! Posted on 5 septembre 2009 by 3m1l13 Après 30 ans d’interruption de chasse aux loups dans l’ouest américain, voila que lundi dernier le New York Times annonçait la reprise de la chasse aux loups mardi 1er septembre! Pour information, le loup n’est plus une espèce en danger depuis mars 2009 sur la décision de l’administration Obama. Pour participer à la chasse, plus de 6 000 chasseurs de l’Etat d’Idaho ont acheté des licences. http://bande2brute.wordpress.com/2009/09/05/295-loups-vont-etre-tue-suite-a-la-decision-dobama/ USA : Obama suit Bush en déclassant le loup de la liste des espèces menacées http://ferus.org/spip.php?article1609
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Barack Obama proclame une journée Nationale de la chasse! Je, Barack Obama, président des États-Unis d'Amérique, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par la Constitution et les lois des États-Unis, proclame le 26 Septembre 2009, comme la journée Nationale de Chasse et Pêche. J'invite le peuple des États-Unis à reconnaître cette journée avec les programmes et activités appropriés. EN FOI DE QUOI, j'ai apposé ma signature en ce vingt-deuxième jour de Septembre, en l'an de grâce deux mille neuf, et de l'indépendance des Etats-Unis d'Amérique! Obama, like Sarah Palin, hails hunting, killing wild animals Wow, big change in political attitude this fall. Little-noticed. Remember that Democratic candidate for president -- what was his name? -- who complained to those elite San Francisco donors at a supposedly private mansion gathering about bitter small-town Pennsylvanians who cling to their guns and religion? And it made a big splash at the time because, unbeknownst to that candidate, a Huffington Post reporter taped the careless remarks. And, well, some woman who'd gone duck-hunting once went on to win the party primary in the Keystone State. Well, on the eve of that special season when so many Americans blast migrating ducks out of the sky and blow large holes in the side of fleeing deer, Barack Obama, now in the White House, has just issued a special Presidential Proclamation. He's saluting and celebrating those "ageless pursuits" of hunting and fishing, just like some caribou-killing ex-Alaska governor might. And he's actually returning to Pennsylvania this week, only not to kill animals. Obama says today's American hunters and fisherpersons like, say, ex-VP Dick Cheney, celebrate sound, scientific game management and "freedom, fairness and self-sustainability." Although, truth be told, it's pretty hard to imagine hunting ever being fair until the game are armed too. Anyway, this Democratic president has proclaimed Saturday as National Hunting and Fishing Day "from atop Pikes Peak to the shores of the James River." Which leaves out a lot of the West. But, hey, he's president now. Here's the president's full proclamation from the White House, which does have a dog living there but successfully evicted a family of raccoons some months ago. -- Andrew Malcolm BY THE PRESIDENT OF THE UNITED STATES OF AMERICA, A PROCLAMATION From atop Pikes Peak to the shores of the James River, Americans celebrate the great abundance and utility of our natural resources. Since our Nation's founding, hunters and anglers have cherished these unparalleled natural gifts and marveled at their untamed beauty. National Hunting and Fishing Day recognizes the contributions of millions of Americans who continue to engage in these ageless pursuits. Following in the centuries-old footsteps of the pioneers who walked before them, hunters and....anglers have played a key role in the conservation and restoration of numerous species and their natural habitats. They not only understand their pivotal role as stewards of the land, but also seek to pass on this honored tradition to future generations. As our citizens continue to enjoy our Nation's natural resources, we must remember that this privilege brings great responsibility. Not long ago, hunting threatened the extinction of the American Bison, an enduring symbol of the American West. Today, their population has recovered because of the cooperative efforts of conservationists and hunters. Many species, however, still require our protection. We can no longer look to our wilderness, as some once did, as land full of unlimited bounty and surplus. Recognizing the need for conservation, our hunters and anglers have worked hard to manage local ecosystems where wildlife remain, as well as to protect those areas where they are slowly re-establishing viable populations. Our national character, always evolving, finds its foundation in those timeless American ideals of freedom,fairness and self-sustainability. Today's hunters and anglers bring this spirit to life in the forests and streams they visit. If not for America's great hunters and anglers, like President Theodore Roosevelt and Aldo Leopold, our Nation would not enjoy sound game management; a system of ethical, science-based game laws; and an extensive public lands estate on which to pursue the sports. On National Hunting and Fishing Day, we celebrate their contributions to our natural environment and our national heritage. NOW, THEREFORE, I, BARACK OBAMA, President of the United States of America, by virtue of the authority vested in me by the Constitution and the laws of the United States, do hereby proclaim September 26, 2009, as National Hunting and Fishing Day. I call upon the people of the United States to recognize this day with appropriate programs and activities. IN WITNESS WHEREOF, I have hereunto set my hand this twenty-second day of September, in the year of our Lord two thousand nine, and of the Independence of the United States of America the two hundred and thirty-fourth. http://latimesblogs.latimes.com/washington/2009/09/barack-obama-game-hunter-and-fisherperson.html
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Nos bons journaleux du Québec! Chasser dans les règles de l'art Simon Diotte simon.diotte@videotron.ca La Presse Où peut-on apprendre à chasser à Montréal? Dans un local des Chevaliers de Colomb de Pointe Saint-Charles, bien sûr! C'est dans ce lieu inusité, au décor défraîchi, que le Club de chasse et pêche Cabou offre, plusieurs fois par année, les cours qui permettent d'obtenir le certificat de chasseur, l'attestation obligatoire pour acquérir un permis de chasse au Québec. En ce samedi matin de septembre, une trentaine de personnes, en majorité des hommes, ont choisi, comme moi, de sacrifier leur précieux week-end pour apprendre les règles de la chasse sportive, sachant que plus tard, gros panache en mains, ils ne regrettaient pas les heures perdues à l'ombre, ni le lever aux aurores (le cours commence à 7h30). Deux chasseurs chevronnés donnent bénévolement cette formation qui comprend deux volets: le cours canadien de sécurité dans le maniement des armes à feu (CCSMAF) et le cours d'initiation à la chasse. Pour recevoir son certificat de chasseur, il faut obtenir la note de passage aux deux examens, qui ont lieu à la fin de la journée. Il s'agit donc d'un week-end intense à comprendre, de A à Z, l'éthique du chasseur moderne. Offerte depuis 1972, cette formation donne des résultats. Les accidents de chasse diminuent constamment, bien que le nombre de chasseurs augmente, tandis que les comportements en forêt se civilisent. Des alcooliques se baladant avec une arme à feu chargée en forêt, ça se voit de moins en moins, soutiennent Denis Dumoulin et Gilles Labine, nos deux formateurs. Avez-vous remarqué que le traditionnel défilé des panaches sur les camions tend à disparaître? L'extinction de cette coutume n'est pas le fruit du hasard. La formation insiste sur l'importance de ne pas heurter la sensibilité du public avec ce genre de rituel. Même dans l'examen final, une question portait sur le sujet. La première journée, nous avons suivi le CCSMAF (seuls les gouvernements peuvent pondre d'aussi beaux acronymes!) qui porte sur les armes à feu. Grâce à ce cours, je connais maintenant la différence entre un fusil et une carabine (je pourrais donc couvrir les faits divers...), en plus de posséder un vocabulaire à rendre jaloux un armurier. Au menu: tout ce qu'il faut savoir pour manipuler une arme sans danger, y compris son entreposage sécuritaire. Le cours d'initiation à la chasse touche aux lois et règlements, et à la sécurité au sens large. Savez-vous que le plus grand danger, à la chasse, ce n'est ni l'ours noir ni le tir erratique du beau-frère? Dans la plupart des cas, c'est le chasseur qui s'inflige lui-même des blessures. Et la cause principale des accidents, c'est le mirador! Rien de mieux pour surprendre le gibier que de se percher dans les airs, mais cette technique comporte ses risques. Après quelques heures de guet, le chasseur sent la fatigue, s'endort sous le doux soleil d'automne et bang! Il tombe. D'où l'importance d'utiliser un harnais. Les mousquets, arme d'une autre époque? Eh bien! Non. Les chasseurs utilisent encore des fusils dont le chargement se fait par la bouche du canon, comme dans le temps de la bataille des plaines d'Abraham! C'est aussi archaïque, à mes yeux, que des flèches à plumes! Mais les passionnés, tout comme les animaux, y trouvent leur compte, car le gouvernement accorde plus de jours de chasse aux premiers, tandis que les seconds ont le temps de déguerpir pendant que le chasseur recharge son arme et comprime la charge avec sa baguette. La partie la plus intéressante du cours porte sur la connaissance de la faune, car le chasseur sachant chasser connaît le comportement des animaux. Période de rut, poids, grosseur des panaches, milieu de vie, les gros gibiers n'ont plus de secrets pour moi. Quelques mythes passent également à la moulinette. Exemple: que la grosseur des bois (ou le nombre de pointes) détermine l'âge d'un cervidé. Or, le fait qu'un orignal (ou un cerf ou un caribou) arbore un immense panache indique seulement qu'il se nourrit bien et qu'il est en excellente santé. Autrement dit, que sa viande est succulente! Bien oui, c'est connu, les chasseurs chassent toujours les plus beaux spécimens et les plus en santé et les plus forts! Donc, le cheptel en subit les conséquences! simonac, dans la nature, c'est le contraire, c'est les plus faibles et les plus malades qui sont chasser! Caro Les deux formateurs, qui ne manquaient pas d'anecdotes croustillantes, ont réussi à nous transmettre le goût d'essayer cette activité patrimoniale en respectant les règles de l'art. Cependant, ce cours ne nous apprend pas les mille et une astuces du chasseur aguerri. Le seul moyen de les acquérir, c'est de partir dans le bois et d'observer les pros. J'entends déjà l'appel de l'orignal! Pour connaître l'horaire des formations du certificat de chasseur, consultez le site de la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec: www.fqf.qc.ca http://www.cyberpresse.ca/search/search.php?search_author=Simon+Diotte
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La HSI appelle au boycott européen des fruits de mer canadiens De Marie Vastel (CP) – Il y a 2 jours OTTAWA — Dans un nouvel assaut contre l'industrie canadienne de la chasse aux phoques, la Humane Society International (HSI) a appelé au boycott européen des fruits de mer canadiens, vendredi. Mais la ministre des Pêches et des Océans ne s'en inquiète pas outre mesure, et dénonce cette nouvelle campagne qu'elle qualifie d'"injuste". En lançant son "ProtectSeals" boycott, la HSI souhaite convaincre le gouvernement du Canada et l'industrie canadienne de la pêche de mettre fin à l'abattage commercial des phoques. "Etendre le boycott des fruits de mer canadiens à l'Europe était, logiquement, la prochaine étape à franchir dans le cadre de notre campagne visant à mettre fin à l'abattage commercial des phoques", a expliqué le directeur de HSI/Royaume-Uni, Mark Glover, dans un communiqué. Mais à en croire la ministre des Pêches et des Océans, Gail Shea, le gouvernement fédéral n'est pas prêt de laisser tomber ses pêcheurs. "Le destin des pêcheurs canadiens ne sera pas dicté par un groupe d'intérêts qui ne comprend pas cette industrie. Parce que nous allons continuer de défendre les chasseurs de phoques canadiens", a-t-elle certifié, en entrevue téléphonique avec La Presse Canadienne, vendredi après-midi. En juillet dernier, l'Union européenne (EU) a banni le commerce des produits issus de la chasse commerciale du phoque sur son territoire. La ministre s'est toutefois montrée optimiste à l'effet que l'Europe ne cède pas à ce nouvel appel de l'organisme qui prône la protection des animaux. "Je suis confiante que ce boycott sera un échec, parce que les Européens savent que les fruits de mer canadiens sont de la plus grande qualité. C'est simplement une nouvelle tentative d'un groupe d'intérêts d'amasser de l'argent pour leur organisation", a-t-elle dénoncé. La Humane Society of the United States, le partenaire américain de HSI, a lancé en 2005 le boycott des fruits de mer canadiens au sud de la frontière. Cette initiative a cependant eu peu d'effets sur les exportations canadiennes, selon la ministre Shea. Et tandis que les Etats-Unis reçoivent 80 pour cent des exportations de fruits de mer canadiens, la part de marché des fruits de mer qui quittent le pays à destination de l'Europe est beaucoup moins importante et correspond à une enveloppe d'environ 230 millions $, a-t-elle expliqué. La HSI prétend que la chasse annuelle ne représente, en moyenne, qu'un faible pourcentage du revenu annuel des pêcheurs commerciaux de la côte est du Canada. Une affirmation que réfute également la ministre. "Je m'inquiète toujours, en tant que ministre des Pêches et des Océans, qu'un groupe propage de la désinformation, et qu'en résultat cela pourrait affecter les vies de milliers de familles canadiennes", a-t-elle répliqué, ajoutant du même souffle que la stabilité économique des pêcheurs de la côte est et des communautés inuites dépend de cette industrie. Le gouvernement du Canada a demandé, en juillet dernier, à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) de se pencher sur le dossier de l'interdiction par l'UE du commerce des produits dérivés du phoque. L'OMC étudie toujours le litige. "Nous allons de l'avant à toute allure", a pour sa part garanti la ministre. Le Canada, qui est le plus important chasseur de phoques à travers la planète, a exporté pour l'équivalent de 5,5 millions $ de produits dérivés du phoque vers les membres de l'UE l'an dernier. La décision de l'UE a affecté plus de 6000 chasseurs de phoques des communautés côtières bordant l'Atlantique, de même que des populations inuites et autochtones du Nord du pays. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hYUMDM4OW3UZzSQxTWQgElSbTf9A
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Voici le communiqué de HSI, malheureusement, il y a eu une erreur à la traduction, on a écrit blanchons au lieu de bébés phoques, je gage que les opposants à ce boycott vont se réjouir! HSI lance le boycott européen ProtectSeals des fruits de mer canadiens BRUXELLES, Oct. 2 /CNW/ - À la suite de l'interdiction du commerce des produits en fourrure de phoque dans l'Union européenne, Humane Society International lance le boycott européen ProtectSeals des fruits de mer canadiens. En encourageant les restaurants, les chefs et les consommateurs à boycotter les fruits de mer canadiens, HSI cherche à convaincre le gouvernement canadien et l'industrie canadienne de la pêche de mettre fin à l'abattage commercial des phoques. Avec plus d'un million de bébés phoques ( c'était écrit blanchons ) tués dans les cinq dernières années seulement, la chasse commerciale du phoque au Canada représente l'abattage d'animaux marins le plus important de la planète. L'abattage annuel est une activité hors-saison menée par les pêcheurs de commerce de la côte est canadienne et pour qui la chasse aux phoques ne représente, en moyenne, qu'un faible pourcentage du revenu annuel. "Étendre le boycott des fruits de mer canadiens à l'Europe était, logiquement, la prochaine étape à franchir dans le cadre de notre campagne visant à mettre fin à l'abattage commercial des phoques", a affirmé Mark Glover, le directeur de HSI/Royaume-Uni. "L'Union européenne a déjà a pris des mesures historiques en bannissant le commerce des produits issus de la chasse commerciale du phoque sur son territoire. Désormais, en refusant d'acheter des fruits de mer canadiens, les citoyens européens soutiennent la lutte visant à mettre fin à l'abattage sanglant des blanchons." The Humane Society of the United States, le partenaire américain de HSI, a lancé en 2005 le boycott des fruits de mer canadiens. Jusqu'à présent, le boycott ProtectSeals a reçu l'appui de plus de 5 500 établissements et 650 000 personnes. Grâce aux établissements européens, l'HIS espère voir grimper ces chiffres - puisque l'Union européenne est le troisième marché en importance pour les fruits de mer canadiens - et mettre fin à l'abattage inhumain des phoques. Pour souligner le lancement, HSI et The HSUS présenteront l'exposition "A Sealed Fate?" de Nigel Barker, photographe de mode de réputation internationale et juge pour l'émission "America's Next Top Model", dans différentes villes d'Europe. Les photos et la vidéo documentaire de Barker offre un regard intime sur la courte vie des blanchons victimes de la chasse aux phoques annuelle au Canada. Inaugurée à New York en juillet 2008, "A Sealed Fate?" a voyagé à travers les États-Unis et le Canada et a même été présentée pendant un mois dans le hall d'entrée des visiteurs à l'ONU. "A Sealed Fate?" fera ses débuts le 4 octobre au Bozar de Bruxelles, où l'on tiendra une réception privée réservée aux médias et co-commanditée par GAIA, avant de la présenter au public. L'exposition se dirigera ensuite vers le Bethanienklooster à Amsterdam, où l'on tiendra une réception privée réservée aux médias et co-commanditée par Bont Voor Dieren le 6 octobre en soirée, suivie d'une présentation publique le 7 octobre. Pour de plus amples informations concernant la campagne visant à sauver les phoques canadiens, veuillez visiter le protectseals.eu. Humane Society International et ses organismes partenaires constituent ensemble l'un des organismes dédiés à la protection des animaux les plus importants au monde - avec l'appui de 11 million de personnes. Depuis près de 20 ans, HSI lutte pour la protection de tous les animaux par la promotion et la défense des droits des animaux, par des campagnes de sensibilisation et par des programmes à intervention directe. Éloge des animaux et échec à la cruauté - en ligne au hsi.org. Renseignements: Shely Bryan de Humane Society International, +44 (0) 7710 148957, sbryan@hsi.org; ou Heather Sullivan de Humane Society of the U.S., (301) 548-7778, hsullivan@humanesociety.org http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2009/02/c3163.html
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Régulation "barbare" imminente de chiens (Chine)
Caro18 a répondu à un(e) sujet de Caro18 dans ANIMAUX - Europe et autres continents
La Chine rédige enfin sa première loi sur la protection animale Plusieurs associations de protection des animaux se félicitent de l'initiative de la Chine qui travaille enfin à l'élaboration d'une loi sur la protection animale alors que le pays cumule les actes de barbarie envers les animaux. L'association One Voice rapporte que "des associations de défense animale, des législateurs et des personnalités officielles se sont réunis, le 4 septembre 2009, à Pékin, pour travailler à l'élaboration d'une loi de protection animale, qui fait cruellement défaut en Chine". Le projet de cette loi de protection animale qui définit les bases de traitement des animaux est actuellement mis en ligne pour une consultation publique. Puis, le projet de loi sera soumis à l'Assemblée nationale populaire, l'organe du pouvoir législatif en Chine, cet automne. Rappelons qu'en Chine, seuls les animaux sauvages menacés d'extinction sont protégés. A ce titre, cette loi devrait concerner les animaux sauvages, les animaux de ferme, les animaux de compagnie, les animaux de laboratoire et les animaux utilisés comme outils de travail. Selon le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), cette loi présente les lignes directrices permettant de prévenir les maladies et de prodiguer les soins médicaux adéquats aux animaux. Par ailleurs, des recommandations relatives au bien-être des animaux de rente lors de leur transport et de leur abattage ont été incluses. De plus, en accompagnement de ce projet de loi, des modifications concernant la Loi Criminelle chinoise ont été suggérées afin de traduire les actes de cruauté envers les animaux en infractions pénales, souligne IFAW. L'adoption d'une loi de protection animale bénéficiera aux animaux, participera au développement économique du pays et répondra aux vœux de nombreux Chinois : en 2004, alors qu'un premier projet de loi avait avorté, 77 % approuvaient l'idée d'une loi limitant la souffrance des animaux, note One Voice. Le travail d'approfondissement entourant ce projet de loi est mené par une équipe spécialisée regroupant des chercheurs dirigés par le Professeur Chang Jiwen de l'Académie chinoise des Sciences sociales et appuyé par des associations de protection animale comme One Voice. IFAW rappelle qu'encore récemment, plusieurs villes chinoises ont privilégié les abattages massifs de chiens sous prétexte de présence du virus de la rage, tuant ainsi brutalement des dizaines de milliers d'animaux. De tels massacres ne devraient plus avoir lieu lorsque la loi sera adoptée. Pourtant, le peuple chinois ressent profondément la nécessité d'avoir une législation condamnant les actes de cruauté envers les animaux. Ainsi,suite au massacre récent de près de 40 000 chiens à Hanzhong, un sondage en ligne a révélé que sur les 63 000 participants, 89% souhaitaient la rédaction d'une loi interdisant les actes de cruauté envers les animaux. Des millions d'animaux souffrent horriblement en Chine Que ce soit dans les zoos ou les parcs, dans les fermes, sur les marchés ou dans les rues, dans les laboratoires ou lors des transports à destination des abattoirs, la condition animale n'est guère considérée en Chine. Souvent ignorants de la souffrance ressentie par les animaux, les hommes les considèrent uniquement comme une “ressource” et leur infligent les pires cruautés selon IFAW. Les pratiques barbares des zoos Selon l'association One Voice, Les zoos chinois sont visités par un public qui humilie les animaux, voire les martyrise. Dans certains zoos, des animaux vivants sont jetés en pâture aux fauves. D'autres dressent des animaux à exécuter des numéros de cirque, comme des combats de boxe d'ours. Aiguillonnés par les piques des dresseurs, les animaux ne peuvent que s'exécuter. Les conditions de vie sont désastreuses : cages inadaptées à la taille et aux besoins des animaux, hygiène déplorable, impossibilité de se cacher ou de se reposer. De nombreux animaux ont des comportements psychotiques : cent pas ininterrompus, léchage des murs, tête balancée jusqu'à la démence… Les chats de Pékin ont été exterminés One Voice a attiré l'attention sur l'extermination des chats de Pékin entreprise en 2007 pour « nettoyer la ville » avant les Jeux Olympiques. Les chats errants ont été mis en fourrières avant d'être tués. La majorité a été abandonnée par leurs propriétaires à la suite de campagnes du gouvernement sur les soi-disant dangers pour la santé qu'ils constituaient. IFAW précise également que les chats sont ébouillantés vivants avant d'être consommés. Des chiens massacrés pour leur viande Les enquêteurs de One Voice ont infiltré le réseau des producteurs de viande de chien en Chine. Ils ont filmé des scènes particulièrement violentes. Les chiens ne sont pas seulement mangés, ils sont maltraités et mis à mort avec une cruauté invraisemblable. Entassés dans des cages, sans eau ni nourriture, ils sont parfois nourris avec la chair de leurs semblables pour renforcer le goût de leur viande. Parmi eux se trouvent des chiens abandonnés et d'autres venant d'élevages spécialisés. Et ce n'est pas tout comme le souligne IFAW : "les tigres, dont on arrache les dents et les griffes, sont enchainés à même le sol afin de faciliter les photographies aux côtés des touristes. Les renards sont dépecés vivants pour leur fourrure. Les ours ont le corps mutilé afin d'en extraire la bile..." En savoir plus http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2114.php -
Comme toujours les organismes pour la défense des animaux sont des menteurs! Que le Conseil canadien nous prouve que la vidéo en question est frauduleuse! Credibility of "Chinese Dog Fur" Story Questioned Government Regulator Cautions Media About Misleading "Animal-Rights" Videos The Canadian Radio-Television and Telecommunications Commission (CRTC) has warned broadcasters to ensure the "balance, accuracy and pertinence" of video materials provided by animal-rights groups. Responding to a complaint by the Fur Council of Canada about videos broadcast by an Ontario television network, the CRTC ruled (June 7th, 2000) that: "Given the stronger impact of visuals than the spoken word, we consider that these videos tipped the balance of fairness and sensationalized an already controversial subject." The CRTC determined that one of the of the videos aired on the Rhonda London Live program by Crossroads Television System (CITS-TV) "depicted outdated and illegal traps being used inappropriately. Elsewhere on the program it was indicated that this video was very old and that improved equipment is being used by the fur industry." The second video "portrayed the callous treatment of cats and dogs in China and allegations that they are being used in the fur industry." The CRTC noted that anti-fur advocates could not vouch that these products were being sold in Canada, and that "There is also some question about the credibility of this particular video, even though it was aired on NBC's Dateline." The Canadian Broadcasting Corporation (CBC) investigative program UnderCurrents (January 16th, 2000) revealed that this widely distributed animal-rights video was not produced by any US television program or network, but was circulated by "SweepsFeed", a commercial "canned news" company that specializes in sensationalized stories intended to boost ratings. SweepsFeed executives could not vouch for the origins or accuracy of this video either - the tape was given to them by a militant animal-rights group and its authenticity was never verified. A SweepsFeed spokesperson admitted: "How do we know that video wasn't a fake? We don't, because we didn't shoot it in that case, and that's a rare instance [that we don't produce our own programs.]" The CBC's investigative team found that, although SweepsFeed execs now admit they had no way to know whether the story was true, they nonetheless distributed it to television stations which, in turn, broadcast the tape believing that its accuracy had been verified. The dubious origins of this widely publicized "dog fur" story were uncovered as part of an UnderCurrents investigation of how "canned news" is eroding the journalistic ethic that requires media to verify the sources and accuracy of stories they report. The "Chinese dog fur" story is the latest in a long series of animal-rights videos about which doubts have been raised: - In the 1960s, international protests were sparked by a film showing seals being "skinned alive". It was later learned that this film was a fake: the "sealer" admitted under oath to a Canadian Parliamentary Committee that he had been paid by the camera crew to stage these shocking scenes. - In the 1970s, campaigns against leghold traps were triggered by films that had also been staged: instead of being filmed "on a real trap line", animals had been released into a compound where they were trapped for the cameras. - In the 1980s and 1990s, fears that tuna fishing fleets were killing large numbers of dolphins were fueled by videos that were later revealed to have been staged by camera crews. - A video purporting to show poor conditions on a U.S. fur farm is still being circulated by animal-rights groups, although it has now been shown that the facility is not a fur farm (fur from animals kept in such conditions could not be commercially marketed) and the problems were quickly resolved by state authorities. In upholding the Fur Council's complaint, the CRTC has asked the broadcaster "to be more vigilant in ensuring the accuracy of its reporting" and reminded them that "broadcasters are responsible for their programming, regardless of the source." See also: Saving Society from Animal "Snuff" Films FCUSA commentary, Dec. 15, 1998. FCUSA Press Kit Special Feature: HSUS Furry Trade-Barrier Campaign http://www.furcommission.com/news/newsF02a.htm
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Canadian fur trade does NOT use furs from domestic dogs or cats Conscious of public concern for domestic cats (Felis catus) and dogs (Canis familiaris), the Fur Council of Canada wishes to confirm that the Canadian trade does not buy, sell or use any fur from these species. We understand that people in some countries do use these species for food and other purposes, and we respect cultural diversity; we do not wish to make value judgements or impose our own morality on other people. The Canadian trade, however, has no interest in working with furs from domestic cats (Felis catus) or dogs (Canis familiaris), nor is there any consumer demand for such products in North America. The Canadian fur trade is tightly regulated under provincial and territorial, national and international laws and codes of practice. The fur trade does not use endangered species and to this end fully endorses the Convention on International Trade in Endangered Species (CITES). The trade also funds research to ensure the best possible animal-welfare standards for both farmed and wild fur-bearing animals. Consumer protection is assured by the federal Competition Act, whereby it is illegal to falsely label consumer products in Canada. The fur trade is an excellent example of the sustainable use of wildlife and renewable resources, a principle promoted by the World Conservation Union and other leading conservation organizations. *** Policy endorsed by Joint Executive Committee of the Fur Council of Canada (FCC) and Canadian Fur Trade Development Institute (CFTDI), June 29, 2005.
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Les colombes seront remplacées par des ballons! Déjà célébrée partout dans le monde… Enfin au Québec! Dimanche le 4 octobre, devant le Parlement de Québec. Rassemblement de 12h30 à 13h45 avec distribution de ballons blancs. Suivra une musique acoustique de Martin Carré à la mémoire des animaux morts dans la cruauté ( Free me de Goldfinger) et se terminera par cette marche pacifique avec les ballons. Des personnalitées réputées marcheront avec nous en cette importante journée. Cette marche a pour but de demander au gouvernement de renforcir la législation sur la cruauté envers les animaux. Elle met à l’abri de peines sévères, les bourreaux d'animaux. 140$ d'amende et on en parle plus! Venez avec votre animal de compagnie si vous le désirez. ( n'oubliez pas l'eau et les sacs pour leur besoins) Si vous désirez, amenez une pancarte demandant une loi adéquate. Les animaux ressentent la souffrance comme nous tous. Ils sont nos compagnons, ils nous aident à traverser les épreuves. Nous leur devons beaucoup. Merci d'être présent ce 4 octobre prochain! Les animaux ont besoin de vous tous! Soyez la voix qu’ils n’ont pas ce 4 octobre! Beau temps, mauvais temps ,nous y seront! Une étude mené par des criminologues, psychologues et FBI ont conduit au fait que dans 90% des cas, ceux qui commettent des crimes violents sur des enfants, l'ont aussi fait sur des animaux bien avant. Les gens violents envers les animaux gardent leur comportement agressif sur les humains. Donc lutter contre la cruauté envers les animaux c'est aussi de prévenir la violence envers les humains. N.B.: Les ballons sont biodégradables pour respecter l'environnement.
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