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Caro18

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  1. Chasse aux phoques : Grâce au travail de la Fondation Brigitte Bardot auprès des autorités, la France rejoint les pays de l’Union Européenne qui refusent d’être complices de ce massacre. Depuis 40 ans, les autorités canadiennes prétendent que la chasse aux phoques est une chasse « non cruelle », et depuis 40 ans les observateurs dénoncent, chaque année, ce massacre d’une rare cruauté. Dans son avis scientifique, adopté en 2007, L’EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) précise que les phoques peuvent être « dépecés alors qu’ils sont encore conscients […] les phoques sentent les coups de couteau du dépeçage, avant de perdre connaissance ou de mourir du fait de la saignée ». L’ancienne réglementation canadienne prévoyait que « quiconque frappe un phoque à l’aide d’un gourdin ou d’un hakapik doit le frapper sur le front jusqu’à ce que le crâne soit écrasé et vérifier manuellement que tel est le cas ou le soumettre à un test de réflexe de clignement de l’œil pour confirmer qu’il est mort avant de passer à l’abattage d’un autre phoque ». La nouvelle réglementation n’apporte rien de plus si ce n’est l’interdiction d’écorcher un phoque avant « qu’au moins une minute ne se soit écoulée après lui avoir tranché, afin de le saigner, les deux artères axillaires situées sous les nageoires avant »… Sur le papier, les autorités canadiennes peuvent écrire ce qu’elles veulent mais sur le terrain il est impossible de contrôler ce massacre qui n’a qu’un objectif : tuer un maximum de phoques en un minimum de temps. Il y a urgence car lorsque Brigitte Bardot s’est engagée, en 1976, dans la défense des phoques, le Canada s’était fixé un quota d’abattage de 130 000 animaux… Le quota présenté pour l’année 2009 atteint les 338 200 phoques ! Or l’Europe est le premier débouché de la chasse commerciale canadienne avec plus de 60% de parts de marché (source Le Monde). L’Europe ne sera plus complice du massacre ! D'après les informations en notre possession, l'Union Européenne s'apprète à interdire les importations des produits issus de la chasse aux phoques. Plus encore, l'intercition porte également sur le commerce au sein de l’UE, le transit et l’exportation de ces produits dérivés. Cette interdiction est totale et sans aucune dérogation. Cette première étape devra cependant être confirmée par l'ensemble du Parlement, fin avril, ainsi que par les pays européens. Le texte prévoit une exemption pour les Inuits, à condition que les produits vendus soient dérivés de la chasse traditionnelle, et répondent à « des besoins substantiels, traditionnels, rituels et éducatifs ». La Fondation Brigitte Bardot, membre d’Eurogroup for Animals, et l’association IFAW sont intervenus auprès des instances européennes pour réclamer une définition stricte de l’exemption Inuit qui doit se limiter à une chasse « de subsistance » et ne peut être assimilée à une chasse commerciale. Nous avons proposé plusieurs amendements qui tentent de limiter la portée de l’exemption « à l’utilisation coutumière et traditionnelle, par les communautés Inuits, de produits dérivés du phoque pour leur consommation personnelle ou familiale directe ». Enfin, le règlement européen proposé ne vise pas uniquement le Canada mais le commerce des produits dérivés des phoques et otaries abattus dans le monde. Cela représente environ 900 000 animaux ; le Canada, le Groenland et la Namibie représentant à eux trois près de 60 % du total… Coup de théâtre : la France milite désormais pour une interdiction totale !Alors que nous déplorions jusqu’alors la position de la France et après nos nombreuses interventions auprès de lui, le ministre de l’Ecologie a décroché son téléphone pour nous informer, le 23 mars dernier, que la France changeait de position et qu’elle militait désormais pour une interdiction totale du commerce. L’Elysée nous l’a confirmé dans la soirée et le 30 mars nous avons reçu une lettre de M. Sarkozy en personne. Lire la lettre du Président adressée à Brigitte Bardot>> Bonne nouvelle donc puisque ce changement de position est décisif et devrait inciter d’autres pays à faire de même et ainsi faire basculer le vote… La Russie contre la chasse aux phoques… La Russie a interdit la chasse aux phoques âgés de moins d'un an. Le ministère avait déjà interdit la chasse aux bébés phoques de moins d'un mois en février sur demande du Premier ministre Vladimir Poutine. "La chasse sanguinaire est désormais interdite dans notre pays comme dans la plupart des pays développés, c'est une mesure importante pour préserver la biodiversité en Russie", a souligne le ministre des Ressources naturelles Iouri Troutnev. …et même le Canada ! Le sénateur libéral de l’Ontario, Mac Harb, a déposé mardi 3 mars un projet de loi prônant l’interdiction de la chasse aux phoques au Canada. M. Harb espère ainsi convaincre ses collègues de mettre fin à la chasse commerciale qui, selon lui, nuit considérablement à la réputation internationale du Canada et n’est plus rentable pour les chasseurs. Dans un communiqué, le sénateur ajoute : « Vu le déclin du marché des produits du phoque et l’opposition internationale très vive à cette activité, il est temps que le Canada reconnaisse qu’il n’est plus possible de ranimer cette industrie moribonde ». Il est intéressant de constater que l’opposition n’est pas seulement hors des frontières canadiennes. Rappelons qu’une majorité de Canadiens souhaitent que cette chasse chasse prenne fin. http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40189
  2. On fait dur comme peuple! ...et que dire de nos politiciens
  3. Manifestation à Montréal Nues pour les phoques Agence QMI Jean-François Cyr 02/04/2009 13h45 ( Sur la photo on voit des peluches pour représenter les phoques, les organisateurs auraient dû les teindre en gris pour ne pas donner à nos détracteurs l'opportunité de dire qu'il n'y a plus de chasse aux blanchons ) Deux jeunes femmes se sont mises à nu ce midi au centre-ville de Montréal et se sont enveloppées dans un drapeau du Canada taché de sang afin de protester contre la chasse aux phoques. À l'angle des rues Sainte-Catherine et University, une vingtaine de personnes ont brandi pancartes et crié des slogans pour dénoncer la chasse aux phoques, une pratique pourtant soutenue par le gouvernement fédéral. Parmi la foule, une femme noire et une autre blanche ont, par un geste symbolique, enlevé leurs vêtements pour les troquer temporairement contre l'unifolié canadien. «Honte au Canada, arrêtons la chasse aux phoques» scandait Melissa Galianos, l'organisatrice de l'événement et membre active de Concordia Animal Rights Association (CARA). «Cette brutalité ne fait aucun sens. En plus, elle ne représente que 7 millions $ de revenus dans tout le pays en 2008», dit-elle. ( Misère elle a manqué une belle occasion de dire à la place que cette chasse coûte aux contribuables 60 millions ) L'initiative s'inscrit dans une démarche annuelle qui consiste a dénoncer toute violence faite aux animaux. Aux dires de la responsable, toutess les personnes de CARA impliquées pour cet événement sont végétariens, voire végétaliens. Cette manifestation n'est donc pas propre à la chasse aux phoques, mais bien plus à une cause animalière. Cette année, environ 338 000 phoques seront tués, dont une quantité importante dans l'est du Canada. Leur nombre total est évalué à plus de cinq millions au Canada seulement. http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2009/04/20090402-134526.html
  4. Caro18

    À vomir: par Louis-Gilles Francoeur

    Vos réactions Guillaume Ferber Les phoques encore pris en otages Voilà donc une nouvelle raison de continuer ce massacre et de nier encore et toujours les droits fondamentaux des phoques sous prétexte que les organes tels que la valve coronarienne ou la trachée des phoque pourrait sauver des vies humaines. Le progrès de la science et de la médecine semble toujours se faire au détriment de ceux dont on ne demande pas l'avis : on arrache les organes après leur avoir défoncé le crâne à coups d'akapik. Pourquoi justifier le massacre des phoques par les avancées de la science alors que d'autres méthodes toutes aussi fiables existent telles que les organes mécaniques (http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/le-premier-cur-artificiel-compact-et-totalement-implantable_17166/) et qui tendent vers une disparition des organes d'animaux pour les transplantations. Quel intérêt ce "chercheur" grec peut-il avoir à appeler à la poursuite du massacre des phoques sous prétexte scientifique si ce n'est la facilité et la mauvaise volonté de reconnaître une vraie volonté publique de cesser ces meurtres en série? En ce qui concerne le boycott des produits issus de la chasse aux phoques, l'UE prend les devants sur un point éthique que l'écrasante majorité des européens reconnaît comme urgent. Est-ce que 450 millions de citoyens européens sont tous fanatiques ou est-ce qu'ils ont simplement compris que la chasse aux phoques doit cesser immédiatement ? Pour rappel, les européens ne sont pas les seuls à se prononcer contre la chasse aux phoques : selon un sondage IPSOS-IFAW (Fonds international pour la protection des animaux), plus de 6 canadiens sur 10 sont opposés à la chasse et qu'une grande majorité de ces canadiens(plus de 7 sur 10) trouve que l'Union Européenne est en droit d'interdire les produits provenant de la chasse aux phoques et enfin que le gouvernement canadien doit mettre un terme à cette chasse. Alors, les fanatiques ont envahi le monde ? L'argument des surpèche ne cherche qu'à détourner l'attention du vrai problème : l'UE a aussi ses torts mais parler de la pêche au thon rouge alors que le sujet concerne les phoques canadiens ne fait aucunement avancer le débat : est-ce que la surpêche par les européens est une raison pour qu'ils se taisent sur le massacre des phoques canadiens ? non, le problème de la surpêche doit être réglé (pour le bien des poissons, il vaudrait quand même mieux d'arrêter de tuer en masse) mais également celui de la chasse aux phoques. L'argument de la souffrance des phoque au moment de leur meurtre n'en est pas un parce que l'abattage nie directement le droit fondamental des phoques à ne pas être tués et donc à poursuivre leur vie de la manière qu'ils le veulent. De plus, en tant que mammifère (tout comme l'écrasante majorité des animaux), il a été prouvé qu'ils possèdent une conscience complexe de leur environnement, d'eux-mêmes ainsi qu'ils sont capables de projection dans le temps ; ils sont donc sans aucun doute possible capables d'exercer leur volonté sur leur monde et sur eux-mêmes : les tuer revient tout simplement à interrompre de la manière la plus brutale cette volonté de poursuivre leur vie et ces projets qu'ils construisent avec leurs congénères. Il n'y a donc, économiquement, scientifiquement, éthiquement, éthologiquement, aucune justification à la poursuite de cette chasse à grande échelle. Et ce ne sont pas quelques fanatiques qui brandissent des pancartes : ce sont des institutions comme l'UE et des citoyens éclairés qui le clament ! http://www.ledevoir.com/2009/03/31/242867.html
  5. Valves et trachées de phoques pourraient sauver des vies humaines Louis-Gilles Francoeur Un chercheur grec met en garde l'Europe contre le boycottage de produits dérivés de la chasse L'industrie de la chasse aux phoques mise sur l'utilisation la plus complète possible des animaux abattus. Mais personne n'avait encore pensé à utiliser les organes du mammifère nordique pour doter les humains de prothèses. Sauf un chercheur grec! Des recherches en cours au service de chirurgie cardiaque du Centre médical d'Athènes sous la direction du Dr Andreas Agathos pourraient changer sensiblement l'image de la chasse aux phoques dans le monde, et en Europe en particulier, si ce dernier arrive à mettre au point une valve aortique et une trachée susceptibles d'être greffées à des humains avec moins de problèmes de rejet que les méthodes actuelles. Le Dr Agathos a d'ailleurs écrit la semaine dernière à tous les ministres de l'Environnement de l'Union européenne pour les mettre en garde contre l'adoption d'un projet de loi qui instituerait en Europe un boycottage des produits dérivés de la chasse aux phoques, y compris les valves du coeur et les trachées en expérimentation. «Si on bannit du marché les produits dérivés du phoque dans toute l'Union européenne, cela privera les patients d'Europe des avantages des nouvelles bioprothèses issues du phoque du Groenland», écrit-il en guise d'avertissement. Mais devant l'émotivité qui caractérise ce dossier en Europe, c'est plutôt la Chine qui risque de profiter des premières valves aortiques que son centre médical pourrait offrir. En entrevue au Devoir, le Dr Agathos s'est aussi porté à la défense du «professionnalisme» des chasseurs de phoques canadiens. «J'ai accompagné, écrit-il au Devoir dans une entrevue par courriel, à plusieurs reprises les chasseurs de phoque, de Sydney en Nouvelle-Écosse jusqu'aux îles de la Madeleine. J'ai vécu à bord des navires jusqu'à cinq jours d'affilée, vivant avec eux et expérimentant les difficiles conditions de leur chasse. Croyez-moi, ce n'est pas un métier facile qu'ils pratiquent. Pour les besoins de mes expériences, nous avons utilisé tous les maillons de ce cheptel, des plus petits aux plus gros spécimens.» Le témoignage de ce chirurgien-spécialiste a d'autant plus de valeur qu'il est un des rares représentants de la profession médicale à avoir observé de près la mise à mort des phoques sur la banquise et à en témoigner. «Après avoir été souvent dans des abattoirs de porcs et de vaches, ajoute-t-il, je sais pertinemment ce que la souffrance des animaux signifie. La façon dont on y traite les animaux n'approche pas, et de loin, le professionnalisme des chasseurs canadiens de phoque. Malheureusement, ces abattoirs se situent dans des pays qui veulent bannir les produits de la chasse aux phoques sous prétexte qu'il s'agit d'une méthode d'abattage inhumaine. Quelle ironie!» La très mince paroi du cerveau des phoques -- aussi mince qu'une coquille d'oeuf! -- leur assure une mort instantanée dès le premier coup du lourd marteau à manche long, l'akapik, précise le chirurgien. Il affirme n'avoir jamais vu une seule bête écorchée avant d'être définitivement morte. Il ajoute avoir vu les chasseurs défoncer le cerveau des plus gros phoques avec l'akapik pour s'assurer de leur mort cérébrale définitive, même après qu'ils eurent été abattus par une balle de gros calibre dans la tête. Il est impossible dans ces circonstances, nous écrit-il, que des bêtes aient pu souffrir. Un projet très avancé Le professeur Agathos travaillait aux côtés du Dr Albert Starr, le premier chirurgien qui a installé une valve mécanique sur un coeur humain en 1960. Il raconte qu'il a eu l'idée d'utiliser la valve de l'aorte de différents phoques, il y a une dizaine d'années, «parce que des valves biologiques provenant de porcs ou de bovins offrent l'avantage de ne pas nécessiter de doses quotidiennes de Coumadin, parce qu'elles provoquent moins de thrombo-embolies, moins d'hémorragies et d'infections cardiaques». Dans la nature, dit-il, il fallait trouver une valve coronarienne qui a toutes les caractéristiques de la meilleure valve hydraulique. Et les meilleures se retrouvent chez les mammifères marins, qui ont la capacité de résister à des pressions hydrostatiques 100 fois plus grandes que dans le cas des humains. Comme il est possible de traiter et de stériliser des valves prélevées chez des phoques, de les désinfecter, de stabiliser leurs tissus et de les rendre moins antigéniques, il y a là un potentiel important pour traiter des humains à long terme, explique ce spécialiste. Aucune valve coronarienne provenant de phoques du Groenland n'a encore été greffée sur un humain, précise le Dr Agathos, «mais j'espère que nous pourrons commencer les tests cliniques cette année. Toutes les étapes que la FDA [Food and Drug Administration] exige pour tester de nouvelles valves biologiques ont été suivies, et nous pensons que d'ici deux ou trois ans, nous pourrons offrir cette solution sur le marché». D'autres percées en vue Les travaux réalisés sur des valves coronariennes de phoques ont conduit les chercheurs du Centre médical d'Athènes à envisager de remplacer aussi les trachées défectueuses chez des humains par l'organe équivalent de phoques du Groenland. Dans sa lettre aux ministres de l'Environnement des pays membres de l'UE, le Dr Agathos leur indique qu'il n'existe présentement «aucune solution» pour remplacer les trachées dysfonctionnelles de patients atteints de cancers, de traumas, de brûlures ou de malformations congénitales. Il précise avoir réussi avec succès 10 greffes de trachées de phoques sur des porcs, qui ont survécu 39 jours sans le moindre traitement de soutien. Il entend en mai procéder à d'autres expériences de greffes de trachées au Laboratoire de médecine animale de l'Académie d'Athènes. Selon la revue Info-Réseau du Réseau d'observation de mammifères marins du Québec, Pêches et Océans a autorisé récemment le prélèvement de 200 phoques du Groenland pour les projets du Dr Agathos, lequel en a profité pour prélever aussi de nombreux organes supplémentaires comme des coeurs, qui seront envoyés à des laboratoires français, suisses et suédois pour être transplantés, eux aussi, sur des porcs, un animal dont la génétique s'apparente à la nôtre. Si la demande pour des organes de phoques devait augmenter, précise la revue québécoise, les captures seraient gérées par la Groenland Tamasu, une entreprise des Îles qui aurait alors l'exclusivité d'approvisionnement du marché médical international. Vos réactions http://www.ledevoir.com/2009/03/31/242867.html
  6. La chasse aux phoques dans le Saint-Laurent pourrait commencer dès dimanche Il y a 39 minutes HALIFAX, N.S. — Le ministère fédéral des Pêches et des Océans a indiqué lundi que les chasseurs de phoque de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Côte-Nord du Québec pourraient entreprendre leur saison dans le golfe du Saint-Laurent dès dimanche. Le porte-parole du ministère, Phil Jenkins, a dit que la chasse au large de la côte ouest de l'île de Terre-Neuve et de la Côte-Nord du Québec devrait commencer entre le 5 et 8 avril. M. Jenkins a ajouté que 84 424 phoques pouvaient être tués dans le golfe du Saint-Laurent, nombre qui inclut les 15 000 déjà capturés par des chasseurs des Iles-de-la-Madeleine. Entre-temps, à North Sydney, en Nouvelle-Ecosse, les chasseurs de l'Ile-du-Prince-Edouard, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Ecosse ont éprouvé des difficultés à capturer des phoques à proximité du cap Breton, en raison des glaces entourant l'île. Les habitants de ces trois provinces ont le droit d'abattre 1400 phoques, mais, selon M. Jenkins, les mauvaises conditions ne leur ont permis que d'en tuer 15. Le porte-parole croit que trois navires phoquiers prendront part à la chasse tenue mardi à proximité du cap Breton. Il a ajouté que dimanche un seul bateau détenant un permis de pêche autochtone avait atteint son quota de phoques. Cette embarcation a participé à la chasse dans les Iles-de-la-Madeleine. Par ailleurs, la porte-parole du groupe Le Fonds international pour la protection des animaux Sheryl Fink a indiqué que des observateurs allaient être dépêchés dans le nord du golfe Saint-Laurent afin d'y surveiller la prochaine étape de la chasse aux phoques. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jKLYOmxsHFLr6_mnEFUtn33EsQ8g
  7. Je suis certaine que nos chers journalistes vont nous sortir la vérité à ce sujet Mais plus sérieusement, c'est très inquiétant, tu soulèves des bonnes questions
  8. Des chasseurs innus du Québec abattent des caribous au Labrador 30 mars 2009 04:21 SAINT-JEAN, T.-N.-L. - La ministre des Ressources naturelles de Terre-Neuve-et-Labrador affirme qu'un groupe de chasseurs innus québécois a abattu près de la moitié d'une harde de caribous dans le sud du Labrador, tout en lançant des pierres et des cordes en direction d'agents de conservation qui les survolaient à bord d'hélicoptères. Selon Kathy Dunderdale, les chasseurs sont des Innus de l'est du Québec, qui ont commencé à tuer des bêtes de la harde de Joir River, laquelle comptait une centaine d'animaux avant le début de la chasse, la semaine dernière. Ils ont jusqu'à présent tué une quarantaine de ces caribous, parfois à l'aide de carabines de gros calibre, à partir de motoneiges en mouvement, a-t-elle soutenu. Mme Dunderdale a précisé qu'elle s'est plainte auprès du cabinet du premier ministre Jean Charest et du ministre québécois des Ressources naturelles et de la Faune, Claude Béchard. Elle a qualifié la situation d'explosive et de dangereuse. Elle se demande pourquoi les chasseurs abattent une espèce menacée, et pourquoi ils s'en prennent à la horde de Joir River, puisque pour la rejoindre, ils ont dû traverser le territoire de la horde de George River, qui compte, elle, 750 000 têtes. http://www.journalmetro.com/linfo/article/205251
  9. Réflexions sur la chasse au phoque par David Ruffieux Les médias au Canada ont peu de sympathie pour les défenseurs des animaux, qu’ils appellent les animalistes. On les accuse d’anthropomorphisme, de sensiblerie et d’utiliser les images pour persuader l’opinion. Quel outrage comparé à l’exploitation des phoques que beaucoup trouvent cruelle et barbare ! Heureusement, beaucoup savent que les émotions et la sensibilité sont le propre et le meilleur de l’homme. De plus, sur la question de la sensibilité, je ne doute pas que certains animaux soient capables de sentiments. Pourquoi vouloir le nier ? C’est simple : parce que cela facilite l’exploitation des animaux et nous excuse d’agir avec cruauté. POURSUIVRE LA LECTURE: http://david-ruffieux.over-blog.fr/article-29641081.html Ajouter aussi un petit commentaire
  10. Un ministre de Terre-Neuve défendra la chasse aux phoques devant des Européens Publié à 13h40 le lundi 30 mars 2009 SAINT-JEAN, T.-N.-L. - Le ministre des Pêches de Terre-Neuve-et-Labrador, Tom Hedderson, rencontrera cette semaine des représentants de l'Union européenne afin de défendre la chasse aux phoques. Un comité parlementaire européen a appuyé récemment un projet de loi qui pourrait éventuellement mener à une interdiction de l'importation des produits du phoque dans tous les pays de l'Union européenne. M. Hedderson a déclaré lundi que l'interdiction serait une violation des ententes internationales sur le commerce. Le ministre rencontrera plusieurs ambassadeurs et représentants européens. Il a indiqué, par communiqué, que le gouvernement terre-neuvien voulait s'assurer de faire entendre sa voix par des gens bien placés pour exercer une influence sur le résultat du vote au Parlement européen. Selon lui, la chasse aux phoques ne profite pas seulement à l'économie de sa province, mais elle est aussi bénéfique pour la protection de l'environnement et la conservation des espèces. Il a rappelé que certains pays européens chassent le phoque afin de protéger les stocks de poisson. La semaine dernière, le premier ministre de la province, Danny Williams, a écrit à plusieurs ambassadeurs européens pour les mettre au courant de l'appui de Terre-Neuve à la chasse aux phoques. Selon le gouvernement de Terre-Neuve, entre 5000 et 6000 personnes tirent un revenu de la chasse aux phoques, qui a rapporté des revenus d'environ 30 millions $ dans la province en 2008. http://www.jminforme.ca/article/619523
  11. De la désinformation: INTERVIEW...... Robert Collette: «C'est plus réglementé que la chasse au chevreuil» Robert Collette, ambassadeur du Canada en Suisse VOS RÉACTIONS: http://www.lematin.ch/actu/suisse/robert-collette-reglemente-chasse-chevreuil-102458
  12. Publié le 29 mars 2009 à 05h00 | Mis à jour le 29 mars 2009 à 05h00 Une belle défaite de plus pour abattre les phoques. En dernier recours, les exploitants se servent toujours de cette tactique : dans l'intérêt des humains, ce massacre servira dorénavant à une belle cause! Ils veulent en faire un mal nécessaire, ça vous rappelle quelque chose: xénotranplantation, expérimentation animale, l'abattage des surplus de porcs du Canada - la viande servira à des banques alimentaires etc., Cardiologie: les phoques à la rescousse des humains Merrielle Ouellet, collaboration spéciale Le Soleil (Cap-aux-Meules) Que diriez-vous, advenant un grave problème cardiaque, de vous retrouver avec une valve de coeur de phoque pour vous permettre de survivre? Venus de Grèce, cinq chirurgiens cardiologues ont foulé ces derniers jours la banquise dans le golfe Saint-Laurent afin de prélever des coeurs de phoques du Groenland et de mener une étude sur l'utilisation des valves de ces coeurs pour une éventuelle implantation chez l'humain. Initiateur du projet biomédical, Andréas Agathos du Centre médical d'Athènes révèle que les résultats des premières analyses in vitro et in vivo menées depuis un an dans des laboratoires français, suisses et suédois sont au-delà de leurs espérances et parlent même de percée médicale. «Les résultats sont magnifiques. Il n'y a pas de calcification des tissus. C'est une percée médicale!» a lancé le chirurgien cardiologue lors de son passage aux Îles-de-la-Madeleine ces derniers jours. En outre, les valves de coeurs de phoques n'ont montré aucun signe de calcification lorsqu'elles ont été implantées chez les rats, contrairement aux autres valves biologiques, de nature porcine et bovine, actuellement utilisées en médecine pour les transplantations cardiaques. Si la valve mécanique a l'avantage d'avoir une durée illimitée, elle demeure néanmoins plus susceptible au rejet. Par contre, la valve biologique actuellement disponible a une durée de vie maximale d'environ 15 ans, tandis que celle du phoque pourrait combiner tous les avantages. La non-calcification des valves de phoques n'est pas encore expliquée, mais le Dr Agathos émet l'hypothèse que la forte teneur en oméga-3 pourrait contribuer à empêcher la calcification des tissus. «Il n'y aurait plus besoin de coumadine [anticoagulant], il y aurait moins d'infections et moins de risques d'hémorragies», a avancé M. Agathos. Des tests sur des porcs devraient être menés en cours d'année. S'ils sont concluants, les essais cliniques sur l'humain pourraient débuter dès l'an prochain. Selon M. Agathos, la demande mondiale en valves mécaniques et biologiques s'élève à 300 000 par année, dont 140 000 pour les biologiques. Ces dernières se négocient entre 4000 $ et 5000 $US. Entente exclusive Une entente exclusive d'approvisionnement a été conclue avec l'entreprise madelinienne de traitement des peaux de phoques et d'huile, TAMASU, advenant un résultat concluant des recherches. Son président, Bernard Guimond, indique que l'entreprise est à préciser un protocole de prélèvement et de reconnaissance officielle de chasseurs. «Les prélèvements de coeurs pourraient se faire en bateau et les valves pourraient être prélevées des coeurs en usine ici», a expliqué pour sa part Paul Boudreau, vice-président de TAMASU. Notons au passage que les dirigeants de l'entreprise reportent en juin la décision de reconstruire ou non l'usine détruite lors de l'incendie de Madelipêche en janvier 2007. Selon Bernard Guimond, tout le projet d'étude des valves de coeurs de phoques nécessitera des investissements de l'ordre de 12 millions $. L'entreprise est à analyser un éventuel partenariat avec les chirurgiens cardiologues grecs. Interrogé sur d'éventuelles difficultés de commercialisation, puisque les États-Unis interdisent depuis 1972 toute importation de produits dérivés du phoque et que l'Union européenne votera en avril sur un éventuel boycottage, M. Agathos croit que la pression populaire pour les valves saura faire pencher la balance politique dans ce dossier, «les patients vont demander ce produit». Avec la collaboration d'André Bécu http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/sante/200903/28/01-841293-cardiologie-les-phoques-a-la-rescousse-des-humains.php
  13. CÉCILE GLADEL La chasse aux phoques est un massacre? Chaque fin mars, le cirque recommence. Le cirque de la désinformation des groupes animalistes, surtout européens qui utilisent tout ce qu'ils peuvent pour dépeindre les chasseurs des Îles de la Madeleine comme des monstres sanguinaires. Ce qui est le plus triste ? Les journalistes européens embarquent dans cette propagande. De mon côté, je n'aime pas la chasse et je la pratiquerais pas. Tout comme je mange peu de viande et que je reste persuadée que la consommation de viande doit baisser, mais les méthodes des animalistes me répugnent tout autant que la désinformation véhiculée. La sénatrice Céline Hervieux-Payette travaille pour trouver une solution puisque la Commission européenne se prépare à boycotter les produits du phoque. Un code d'éthique est en préparation en collaboration avec les pays européens nordiques comme la Suède, le Danemark. J'aime les paroles de Céline Hervieux-Payette qui souligne que les animalistes pratiquent eux-aussi une chasse médiatique. Elle souligne que si on mettait un veau ou un agneau sur la glace et qu'on le tuait, les réactions seraient semblables. Il est d'ailleurs facile pour des pays européens de boycotter un tel produit qui ne les concerne pas. Y-a-t-il d'autres chasses en Europe ? Et si on disait aux européens que leur chasse aux cerfs est un massacre? Qu'il est facile de voir la poutre dans l'oeil du voisin... http://cecilegladel.blogspot.com/2009/03/la-chasse-aux-phoques-est-un-massacre.html
  14. Témoignages de chasseurs de phoques http://www.gan.ca/campagnes/la+chasse+aux+phoques/fiches+d'information/t%C3%A9moignages+de+chasseurs+de+phoques.fr.html Voici des témoignages directs de chasseurs de phoque, recueillis par des fonctionnaires du ministère de la Pêche et des Océans. Ces témoignages, obtenus grâce aux lois en matière d’accès à l’information, contiennent des descriptions crues d’actes de cruauté envers les animaux. Jusqu’à maintenant, sept accusations ont été déposées à la suite de l’enquête, mais une seule s’est rendue jusqu’au tribunal. Dossier MPO, 1998, témoignages des chasseurs de phoques Remarques : L’utilisation de carabines de calibre .22 pour abattre les phoques a été interdite pour des raisons de cruauté – les carabines ne sont pas assez puissantes pour tuer rapidement les phoques. Lorsqu’une mère est tuée et que son nouveau-né est abandonné sur la glace, il n’a aucune chance de survivre. Dans tous les cas, le bébé phoque serait lentement mort de faim. « Avant le 8 mars 1998, la plupart des femelles étaient tuées enceintes. J’ai vu sept bébés être jetés par-dessus bord après le dépouillement de la femelle. J’ai en jetés deux moi-même. Un autre chasseur et moi-même avons convenu que c’était insoutenable et qu’il devrait y avoir une autre façon de tuer des phoques. Nous étions dans l’aire de mise bas le 10 mars 1998 parce que j’ai remarqué qu’il y avait, sur huit des dix radeaux de glace, de jeunes bébés phoques avec les résidus post-partum et d’autres débris suite à la naissance sur les glaces. Je me souviens entre autres d’une fois où un jeune phoque regardait ses parents être hissés à bord. Il a regardé le bateau qui les emportait s’éloigner. Les bébés n’ont pas été tués, ils ont été abandonnés sur la glace ». Déclaration d’un chasseur faite à Fergus Foley, du ministère des Pêches et des Océans, 10 juin 1998. « J’ai bien vu des mères être tuées et leur bébé tomber sur le pont du bateau toujours vivant. (Nom supprimé) m’a dit de le jeter par-dessus bord, ce que j’ai fait. Il est monté sur un radeau de glace. La mère était pleine de lait, le lait s’est écoulé sur le pont lorsque le petit est tombé ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 24 juin 1998. « J’étais présent au moment où des phoques à capuchon femelles ont été dépouillées et j’ai bien vu des bébés phoques tomber sur le pont. Je l’ai vu deux fois et je sais que cela s’est produit de huit à dix fois lors du premier voyage. Je le sais parce que j’ai conversé avec les membres de l’équipage. Les deux bébés que j’ai vus sur le pont étaient vivants. Ils ont été jetés par-dessus bord, et à une occasion, j’ai vu un de ces petits nager dans l’eau. Je ne sais pas ce qui est arrivé aux bébés ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 3 juillet 1998 à 15 h 33. « J’ai vu une femelle être dépouillée et son bébé est sorti de son ventre lorsqu’on l’a éventrée. Le petit était mort. Le phoque était mort depuis un bon moment. Ce jour-là, on en avait attrapé cent soixante-dix. Quelqu’un a dit : « Si seulement Greenpeace était là pour voir ça ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 22 juin 1998 à 15 h 15. « Il est vrai que nous avons pris des phoques à capuchon femelles et laissé leurs petits sur la glace. J’étais sur le pont lorsqu’un bébé est tombé du ventre d’un phoque à capuchon femelle et j’ai dépouillé le phoque avec deux autres membres d’équipage. Je ne me souviens plus qui ils étaient. Le petit était toujours vivant lorsqu’il est tombé. Je l’ai tué et je l’ai jeté par-dessus bord ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 6 juillet 1998 à 15 h 51. « Nous chassions les adultes et, à plusieurs occasions, nous avons pris les phoques plus âgés et laissé les petits sur la glace. Des phoques à capuchon ont mis bas pendant que nous les chassions. Il est vrai que nous avons pris des femelles avant qu’elles ne mettent bas et, à une occasion, j’ai bien vu un phoque tomber sur le pont pendant que sa mère se faisait dépouiller. Ce bébé était vivant et il a été jeté par-dessus bord. Il était vivant et il nageait dans l’eau. Il s’est hissé sur la glace ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 6 juillet 1998 à 11 h 11. « Mon travail était de dépouiller les phoques et de me servir du fusil. J’étais présent lorsque le phoque à capuchon femelle a été dépouillé et que son petit est tombé de son ventre sur le pont. Cela s’est produit huit ou dix fois. Bien des remarques ont été faites. Par exemple, « Si seulement nous avions une caméra vidéo, nous ferions une fortune » et « On ne devrait jamais nous permettre d’aller les tuer ». « Il est souvent arrivé que les phoques mâles et femelles soient tués et embarqués sur le bateau et que les petits soient laissés sur la glace. Parfois, le bébé avait du sang sur lui car il venait à peine de naître. Nous avons pris environ cinq cent cinquante phoques pendant ce voyage, dont quatre cents étaient des phoques à capuchon et au moins cent cinquante d’entre eux étaient des femelles ». « Les phoques étaient toujours dans un filet dans l’embarcation à moteur et lorsqu’ils étaient hissés sur le bateau, il y avait beaucoup de douilles de carabines de calibre .22 parmi les phoques. Souvent, ils se déplaçaient sur le pont du palangrier. J’ai vu l’observateur Rex Hodder les ramasser et les jeter par-dessus bord. Il devait savoir que des carabines de calibre 22 avaient été utilisées. Elles font même un son différent qu’un fusil de calibre plus élevé. Il y avait même un effort concerté de cacher ces carabines à Rex Hodder. On les amenait à bord par les évents de la salle des machines. Dans les deux embarcations à moteur, elles étaient cachées dans des caisses. Pendant ce voyage, nous avons capturé plus de trois mille phoques. Nous sommes arrivés autour du 21 avril 1998. Je ne crois pas que les carabines de calibre .22 soient assez puissantes pour tuer même un brasseur. J’ai souvent vu des phoques en vie après avoir été hissés à bord des embarcations à moteur. Ils étaient achevés à l’aide d’un hakapik ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 24 juin 1998 à 19 h 40. « Nous avons pris toutes les femelles et laissé les bébés sur la glace. Le petit a été laissé sur la glace après la mort de la mère qui a été amenée au bateau ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 14 juillet 1998. « Quelques fois, il m’a dit de tuer le mâle et la femelle, et d’autres fois de tuer la femelle seulement. Le petit était toujours abandonné. Il me semble qu’il me disait de tout tuer lorsque les phoques étaient rares. Quelquefois, les phoques n’étaient pas très vieux parce qu’il y avait du sang à l’endroit où ils étaient nés ». « À la fin de la journée, tout le monde aidait à dépouiller les phoques. Il y en a deux ou trois qui ont été tirés des femelles lors du dépouillage. Ils ont été tués et jetés par-dessus bord. Il y a eu beaucoup de discussions à savoir si cela était la bonne chose à faire. Tout le monde en était conscient ». « La meilleure journée que nous avons eue est celle où nous avons tué environ cent quatre-vingts phoques. Ce jour-là, nous prenions les mâles et les femelles. C’était vers la fin de notre voyage. Il y avait beaucoup de bébés phoques autour et ils ont tous été abandonnés sur la glace. Le lendemain, nous avons tué quelques femelles qui étaient accompagnées d’un mâle et d’un petit ». « Nous étions présents tous les quatre lorsque les bébés ont été sortis du ventre des femelles, (supprimé) était également au courant. Nous avions environ huit cents phoques pour ce voyage et environ un quart et même plus étaient des femelles ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 10 juillet 1998 à 19 h 15. « Au cours du deuxième voyage, nous avons abandonné quinze ou vingt bébés phoques après avoir pris les familles. Des erreurs ont été commises parce que des phoques à capuchon enceintes ont été tués. Cela s’est produit environ six fois, mais on n’a pas vu les bébés sur le pont. Je suis un chasseur de phoque d’expérience et je sais qu’elles étaient enceintes. Nous ne gardions pas la viande et, par conséquent, le petit était jeté à la mer avec la carcasse ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans le 11 août 1998 à 16 h 50. « À quelques reprises nous avons pris des phoques à capuchon mâles et femelles et nous avons abandonné les petits sur la glace. Deux fois j’ai vu un bébé tomber sur le pont pendant que sa mère était dépouillée. Les deux petits que j’ai observés étaient vivants et ont été jetés par-dessus bord. J’ai vu les bébés se hisser sur la glace après avoir été jetés à la mer ». « J’ai probablement tué de trois à quatre cents phoques avec un fusil de calibre .22. J’ai eu des conversations avec le capitaine et l’équipage pour cacher ces fusils à l’observateur ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 29 juin 1998 à 10 h 45 « Après que les femelles eurent été dépouillées et les bébés tombés sur le pont, les petits ont été jetés par-dessus bord. J’en ai vu quelques-uns bouger dans l’eau derrière le bateau. Ils semblaient vivants et ils nageaient. Nous avons vu un petit qui était sorti de la femelle sur le pont tenter de se hisser sur une plaque de glace. À ma connaissance, il n’y est pas parvenu. Cela m’a dérangé de voir des phoques se débattre dans l’eau pour essayer de se hisser sur la glace ». Déclaration d’un chasseur de phoque faite à Cyril Furlong, du ministère des Pêches et des Océans, le 28 juin 1998 à 16 h 30.
  15. Caro18

    Colloque phoques!

    Compte rendu du Colloque de 2005 sur les phoques C'est en reculant dans les années qu'on comprend mieux les stratagèmes d'aujourd'hui Un représentant des chasseurs dit qu’ils aimeraient que l’expression « jeune à dos bleu » soit remplacée par une autre appellation, comme par exemple « jeunes brasseurs », pour décrire les phoques à capuchon ou les phoques du Groenland une fois qu’ils ont été sevrés et qu’ils ont quitté l’aire de mise bas. Cela aiderait aux relations publiques. Un vétérinaire fait remarquer que seuls deux des huit membres du groupe des vétérinaires participent au Colloque. Ils tiendront bien compte des commentaires des groupes et en informeront le groupe des vétérinaires. Les vétérinaires sont convaincus que, dans certains cas, les phoques abattus dans l’eau à l’aide d’une arme à feu couleront. Toutefois, le nouveau texte de la recommandation est acceptable. Le rapport des vétérinaires a été établi pour apaiser des craintes ayant trait au bien-être des animaux – il est inacceptable que 50% des animaux abattus par balle ne soient pas récupérés. Le MPO déterminera s’il y a lieu de mettre la recommandation en oeuvre. Un pêcheur côtier répond qu’il chasse le phoque depuis 20 ans et que 90% des phoques qu’il a abattus se trouvaient dans l’eau lorsqu’il les a tués. Seuls quelques rares jeunes phoques et les plus vieux coulent. En 20 ans, il a vu moins de 5% des phoques couler – et c’est vrai dans l’ensemble de Terre-Neuve. Les recommandations des vétérinaires ne doivent pas perpétuer le malentendu. Un vétérinaire répond que son information vient du Groenland, où le taux de perte des phoques adultes tués dans l’eau est de 50%. POURSUIVRE LA LECTURE: http://www.dfo-mpo.gc.ca/fm-gp/seal-phoque/reports-rapports/2005-forum/2005-forum-fra.htm Colloque 2002 sur les phoques Dossier MPO, 1998, témoignages des chasseurs de phoques. À titre d'observateur, j'ai visité deux groupes différents pour la question des « phoques gris », et l'information scientifique donnée dans ces différentes pièces n'était pas cohérente. Dans un groupe, le Dr McLaren a laissé entendre que l'impact direct des phoques gris sur la morue était considéré minime (< 0,4 % de leur régime alimentaire). Dans une autre pièce, les délégués étaient convaincus que les phoques gris avaient un impact direct et important sur la morue. De telles incohérences doivent être clarifiées. POURSUIVRE LA LECTURE: http://www.dfo-mpo.gc.ca/fm-gp/seal-phoque/reports-rapports/forum-colloque2002/forum-colloque2002-fra.htm
  16. Ily a une manif aujourd'hui à Vancouver! MARCH 27th (Friday) is our Annual Anti Seal Hunt Event in Vancouver!!!! We will gather together at 11:40 AM behind the Art Gallery at Robson. Hope to see you there!!!! Ericka As a result of the total lack of interest from our Canadian Government to the opinions of the Canadian public about the seal hunt, fifteen months ago CATCA launched an awareness campaign targeting the Polish Government. This turned out to be very positive, so afterwards 13 months ago, CATCA launched an international campaign together with anti sealing groups in Europe and Canada. Our goal has been to target all Ministries of Environment at the European Union, to explain them, what really happens during the seal hunt and why it can't be done in a humane way. We want these decision makers to support the total ban on the trade of Canadian seal products at the European Union (there is a very important upcoming decision coming in February at the European Parliament and Council, that could end the seal hunt in Canada between the next 4-7 years). If the ban on the trade of seal products (Canadian and also from the seals killed for fur in Russian, Namibia, Greenland and Norway) is approved, this would harm quite a lot the trade on seal products and the Canadian seal hunt particularly. The sealers are getting barely any money from the seal hunt now. It is risky and the weather conditions are extreme, so this is what has the power to end it up once and for all. The Atlantic Canadian fisheries are also getting the pressure for the Seafood Boycott that has made them lost millions of dollars in revenue. During 2007, our President and Founder went 3 times to Europe, relaying on the good will of fellow animal colleagues and volunteers, who send us whatever they could to pay for these trips. CATCA doesn't get any funding due that we lobby against our Canadian Government. However so far we have succeeded in lobbying in person with the majority of the decision makers in Europe for over three years, thanks to the generosity and involvement of many people all over the world. CATCA was created over 20 years ago in Europe, to promote awareness and support international, national and local campaigns against animal abuse. Check our website: www.catcahelpanimals.org to do your share to stop animal cruelty worldwide. PLEASE GO TO:Seal campaign in Europe (last and recent webpage: www.catcahelpanimals.org/sealseuropa.html), to know what it's going on there and updates of our campaign in Europe and go to "2009 seal campaigns" page for our latest e-mail campaign:
  17. Caro18

    Exclusif: Chasse aux phoques

    Moi, je vois le lien ( Commentez ), pas vous autres?
  18. Exclusif: Chasse aux phoques: les mesures à venir en Europe seront contre-productives pour le bien-être animal, dit un vétérinaire Publié par Olivier Caron à 13H16 La chasse aux phoques s'est ouverte cette semaine et comme à l'habitude, les opinions divergentes sur cette pratique se sont entrechoquées. Pour obtenir quelques éclaircissements sur cette pratique, Matin.branchez-vous.com a interrogé un vétérinaire spécialisé dans la surveillance médicale des animaux sauvages. Les chasseurs des Îles-de-la-Madeleine se sont en effet mis au boulot au début de la semaine et avaient capturé 10 000 phoques en mi-journée, mardi. Pendant ce temps, les mauvaises conditions météorologiques empêchaient les groupes animalistes de décoller de Charlottetown pour se rendre sur les glaces afin de filmer les chasseurs. Cependant, il y a une nouvelle équation cette année: l'Union européenne s'apprête à interdire tout commerce de produits dérivés de la chasse aux phoques même si le Canada a fait de nouvelles concessions dernièrement. Un vote doit être passé à ce sujet la semaine prochaine lors d'une séance plénière du Parlement européen. Selon le docteur Pierre-Yves Daoust, professeur en pathologie à l'école vétérinaire de l'Université de l'Île-du-Prince-Édouard interrogé par Matin.branchez-vous.com mardi dernier, «il y a peu de doute que ça va passer». «Tout le monde a perdu espoir que le Parlement européen s'oppose à cette interdiction» nous a déclaré le professeur Daoust lors d'une entrevue. «Mon commentaire sur cela, c'est que c'est tout à fait contre-productif pour ce qui est du bien-être animal». Le docteur Daoust rappelle qu'il a participé avec un collègue à sept ateliers d'information pour les chasseurs aux Îles-de-la-Madeleine, sur la Basse-Côte-Nord et à Terre-Neuve «pour leur recommander des méthodes de chasse efficaces qui ne sont pas vraiment différentes de celles qu'ils utilisent généralement, mais qui sont certainement plus structurées». Il soutient d'ailleurs avoir été très bien reçu par les chasseurs. Malgré ce qui se dessine en Europe, la chasse va continuer selon lui. «Peut-être pas avec les quotas actuels, mais je crois qu'elle va continuer à l'échelle d'au moins quelques dizaines de milliers d'animaux». Suggérant qu'il y aura un certain marché quelque part pour la chasse au phoque, le vétérinaire soutient que les grands perdants seront les animaux et leur bien-être. Il estime en fait qu'«il n'y aura plus pour les chasseurs d'avantages pour continuer à améliorer leurs méthodes». «Ça me dépasse» dit-il. Pour cette saison, Pêches et Océans Canada a décidé d'augmenter le quota de 43 000 bêtes, affirmant agir ainsi afin de maintenir la population de phoques. Ottawa soutient avoir tenu compte de l'avis des scientifiques. Ainsi, les chasseurs pourront tuer 50 000 phoques gris, 8 200 phoques à capuchon et 280 000 phoques du Groenland pour un grand total de 338 200 bêtes. À propos des augmentations de quotas, le docteur Daoust soutient que c'est une question qui l'a toujours un peu chicoté. «Les quotas sont toujours plus gros que le taux de remplacement de la population» soutient-il. «Il y a eu des quotas assez élevés depuis le début des années 2000» nous répond Pierre-Yves Daoust. Il fait également remarquer qu'«il y a beaucoup de peaux de phoques du Groenland qui n'ont pas atteint le marché». Considérant ce qui va se passer avec l'interdiction en Europe, il se demande ce que va donner ce quota en augmentation. Ce qui lui apparaît cependant clair, c'est que tous les vétérinaires qui regardent la situation de manière objective s'entendent pour dire qu'il n'y a pas de problèmes avec les méthodes utilisées, du moins théoriquement, qu'il s'agisse d'abattre l'animal par arme à feu ou avec le «hakapik». «En général, ces techniques sont bien utilisées, mais c'est difficile de connaître la proportion» de chasseurs qui les utilisent adéquatement, admet le vétérinaire. En fait, le docteur Daoust a comme opinion que si l'on compare cette chasse objectivement avec d'autres formes d'exploitation des animaux sauvages ou même des animaux domestiques qui sont abattus dans les abattoirs, il y aura «toujours une proportion des animaux où le travail ne se fait pas bien». «Le but de quelqu'un comme moi, c'est de diminuer les mauvaises pratiques le plus possible» affirme-t-il, tout en ajoutant que les «animalistes peuvent prendre des séquences de vidéos de mauvaise pratique, mais cela ne nous dit absolument pas quelle est la proportion des chasseurs qui emploient les mauvaises pratiques». À propos des extraits de cruauté envers les phoques souvent rapportés par des organisations comme International Fund for Animal Welfare (IFAW) ou Humane Society of the United States (HSUS), Pierre-Yves Daoust soutient qu'il n'y a pas de doute que certaines pratiques sont indéfendables. Par contre, il ajoute que «si on avait l'opportunité d'observer la chasse sportive, par exemple, d'une manière aussi détaillée que les animalistes le font avec la chasse aux phoques, il n'y a aucun doute qu'on y trouverait aussi des lacunes». «Ce sur quoi j'insiste, c'est que de mon expérience, la chasse aux phoques, il n'y aucune raison pour qu'elle soit plus barbare, plus cruelle qu'une autre forme d'exploitation des animaux sauvages» affirme le professeur Daoust. D'un point de vue strictement lié au bien-être animal, il fait remarquer que même si leur abattage est moins contrôlé puisqu'il survient dans un environnement naturel, les phoques «n'ont pas été transportés pendant des heures de leur ferme ou de leur lieu de naissance jusqu'à l'abattoir». Il rappelle également que l'abattage en abattoir n'est pas toujours instantané. «Si avec un phoque, ça ne prend que deux à cinq secondes, est-ce qu'automatiquement ça devient une pratique barbare, cruelle? Je ne suis pas d'accord du tout avec ça». VOS COMMENTAIRES: http://environnement.branchez-vous.com/2009/03/exclusif_chasse_aux_phoques_le.html
  19. Plus de 17.200 phoques du Groenland tués en deux jours, le Guiness en vue ? 26/03/2009 20:51 (Par Pierre MELQUIOT) Plus de 17.200 phoques du Groenland tués en deux jours, le Guiness en vue ? Le Canada, malgré les protestation internationales face au plus grand massacre de mammifères marins au monde, revendique djà plus de 37.000 phoques tués, un triste record pas encore inscrit au Guiness des records. La première phase de la chasse commerciale des phoques s'est terminée au Canada Le Ministère canadien des Pêches et Océans (MPO) a fermé la première zone de la chasse aux phoques ce jour, après que le premier groupe de chasseurs ait déjà tué 17.200 phoques du Groenland ! Un chiffres impressionnant. Le Canada, malgré les protestation internationales face au plus grand massacre de mammifères marins au monde, revendique déjà plus de 37.000 phoques tués, un triste record pas encore inscrit au Guiness des records. Mais le Canada ne va pas s’arrêter en si bon chemin, record oblige (sic !) et le MPO se prépare à rouvrir la chasse aux bébé phoques dans une autre région du Golfe du Saint-Laurent, et ce dès vendredi. Les observateurs d'IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux) viennent à peine de rentrer après avoir assisté au massacre des bébés phoques du Groenland, dans le cadre de la chasse commerciale aux phoques qui a débuté pour l’année 2009. « Aujourd’hui, nous avons assisté à un exemple classique de la cruauté inhérente à cette chasse. Un phoque blessé, ensanglanté, s'est échappé dans l'eau avant qu'un chasseur ne puisse l'atteindre. Le chasseur a essayé de l’extraire de l’eau par les nageoires postérieures, mais ce dernier a quand même réussi à glisser dans l'eau, » précise Cheryl Jacobson, observatrice de la chasse pour IFAW. « Ce phoque blessé va très probablement mourir sous l'eau et, aussi incroyable que cela puisse paraître, cette mort ne sera même pas répertoriée dans le nombre des prises officielles. » « Je suis persuadée que nous rassemblerons assez de preuves filmées démontrant aux décisionnaires européens les faits de brutalité qui illustrent la dure réalité de la chasse aux phoques commerciale du Canada. Celle-ci est d'une cruauté inacceptable, » a déclaré Sheryl Fink, chargée de recherches auprès d'IFAW. « En raison de la concurrence qui caractérise cette chasse, les chasseurs se hâtent pour assommer autant de phoques que possible dans un temps très limité. Cela combiné à une glace très glissante, nous constatons rapidement une négligence du respect des normes relatives au bien-être animal, qui cède le pas sur le profit," ajoute S.Fink » La chasse aux phoques commerciale du Canada a commencé quelques semaines à peine avant que les pays membres de l'UE n'examinent une interdiction du commerce des produits dérivés du phoque. Cette interdiction devrait à priori être retenue. De récentes études économiques indiquent que le marché de la fourrure de phoque est saturé, ce qui a provoqué une chute des prix de près de 50%. Les pelletiers signalent que les ventes de peaux de phoques se sont quasiment arrêtées fin 2007. Début 2009, elles ne semblent toujours pas avoir repris. Cette chasse aux bébés phoques du Groenland est le plus grand massacre de mammifères marins au monde. Cette année, la limite des totaux admissibles des captures commerciales (TAC) a été fixée à 280.000 phoques, ce qui est injustifiable. http://www.actualites-news-environnement.com/20036-phoques-groenland-tues-guiness.html
  20. Non, elle n'a pas le culot cette S
  21. La chasse aux phoques est terminée au large des Iles-de-la-Madeleine Il y a 4 heures HALIFAX, N.S. — Les chasseurs de phoques des Iles-de-la-Madeleine sont retournés sur les glaces dans le golfe du Saint-Laurent, mercredi, pour chasser le reste des bêtes qu'il leur était permis d'abattre selon leurs quotas. Un porte-parole du ministère des Pêches et des Océans, Phil Jenkins, a révélé qu'environ 17 200 phoques ont été tués, lundi et mardi, de sorte qu'il n'en restait plus que quelques centaines à abattre avant la fin de la chasse, qui se terminait à 10 heures mercredi matin. Des membres de deux groupes de défense des droits des animaux ont observé la dernière étape de la chasse en hélicoptère. Les chasseurs se trouvaient sur des bateaux, mais aussi en motoneiges et en véhicules tout-terrain. M. Jenkins a précisé qu'une chasse dans le golfe pour les chasseurs de la Nouvelle-Ecosse, du Nouveau-Brunswick et de l'Ile-du-Prince-Edouard doit commencer vendredi matin, si la température le permet. Quelque 50 chasseurs et leur équipage prendront part à cette chasse entre les Iles-de-la-Madeleine et Cap-Breton. Le quota, peu élevé, n'est que de 1435 phoques. Le gouvernement fédéral a établi un quota de 338 200 phoques du Groenland, phoques à capuchon et phoques gris pour les chasseurs de la côte Est cette année. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5j2AcXoQUIf6S08gDH0kk7yOQ-4qg Toute cette foutue propagande de la part de nos politiciens québécoise pour donner 3 jours de sale boulot aux chasseurs des ÎLES, c'est enrageant en &?*)&%?&?$?&(?*(_&*()_?&*(?*()&?
  22. Plus arrogante que ça, tu meurs !
  23. WOW, des belles répliquent Tiens-toi Ricardo!
  24. Pour plusieurs personnes c'est la même chose, les commentaires ne sont pas encore publiés
  25. Les chasseurs madelinots ont capturé 10 000 phoques en mi-journée, mardi Il y a 14 heures ILES-DE-LA-MADELEINE — Les chasseurs des Iles-de-la-Madeleine sont allés aux glaces à bord de bateaux, sur des motoneiges et des véhicules tout-terrain et ont capturé plus de 10 000 phoques, mardi. Pendant ce temps, les intempéries empêchaient les opposants à la chasse de les filmer et photographier au travail. Selon Phil Jenkins, porte-parole du ministère des Pêches et Océans, plus de 18 bateaux ont été dénombrés dans le secteur. Une cinquantaine d'autres chasseurs ont amené leur véhicule directement sur les glaces, que le courant avait poussées tout contre la terre ferme. M. Jenkins a déclaré qu'entre l'ouverture de la chasse, tôt lundi, et la mi-journée, mardi, environ 10 000 bêtes avaient été capturées dans l'archipel, soit plus de la moitié du quota total de 15 000 têtes. Selon lui, il était fort possible que le quota ait été atteint d'ici la fin de la journée. La chasse va bon train, a-t-il affirmé depuis son bureau de Charlottetown, ajoutant qu'aucun problème n'avait été signalé. Cependant, Wayne Dickson, un chasseur des Iles qui se trouvait sur les glaces, a déclaré mardi en entrevue téléphonique que les conditions étaient beaucoup plus difficiles que la veille, alors que son bateau avait abattu 238 phoques. Les vents forts et la poudrerie empêchaient d'ailleurs les membres des groupes abolitionnistes du Fonds international pour la protection des animaux et Humane Society of Canada de décoller de Charlottetown pour se rendre sur les glaces en avion et en hélicoptère. Rebecca Aldworth, de la Humane Society, a soutenu que le fait que les chasseurs continuent à abattre des phoques par mauvais temps démontre que la chasse est "en soi inhumaine". Avec la houle, les coups de vents, la faible visibilité, la pluie verglaçante et le brouillard, il est pratiquement impossible pour eux de s'assurer qu'ils abattent les bêtes sans cruauté, a-t-elle avancé. La plupart des chasseurs de l'archipel se servent d'un hakapik, un bâton muni d'un percuteur en métal, pour tuer sur le coup l'animal en lui frappant le crâne. Pêches et Océans a émis une vingtaine de permis d'observation à des journalistes et membres des groupes opposés à la chasse. La chasse des Madelinots est la première de la côte Est. Cette année, le nombre total de prises allouées pour l'ensemble de la chasse commerciale est de 338 200 animaux, soit 55 000 de plus que l'an dernier. La hausse des quotas a été annoncée vendredi par la ministre fédérale des Pêches et Océans Gail Shea, en dépit de l'opposition internationale à la chasse annuelle et des efforts en vue d'anéantir le marché déjà limité des peaux de phoque. Un comité du Parlement européen a récemment appuyé un projet de loi susceptible de conduire à l'interdiction de toute importation de produits du phoque en Union européenne. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jpmn9GxhTUy53W4UI1E11V5v-vmQ
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