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03 mars 2009 12h37 HE Déclaration de Fabian Manning, sénateur OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 3 mars 2009) - Le sénateur Fabian Manning, du gouvernement du Canada, a fait la déclaration suivante aujourd'hui au sujet de la chasse au phoque : Aujourd'hui au Sénat, le sénateur libéral Mac Harb (Ottawa-Centre) présente une mesure législative erronée, fondée sur de fausses informations et totalement irresponsable dans le but de mettre fin à la chasse au phoque commerciale au Canada. Notre gouvernement conservateur alloue un temps et des ressources considérables à la défense de la chasse au phoque au Canada, qui est attaquée en Europe. Et maintenant, elle est attaquée ici au pays, par le Parti libéral. Les chasseurs doivent savoir que le chef libéral, Michael Ignatieff, et que le Parti libéral veulent interdire la chasse au phoque. Les actes du Parti libéral sont inacceptables et minent les droits de nos chasseurs, qui doivent faire vivre leurs familles. Le principal conseiller libéral Warren Kinsella dit que la chasse est "épouvantable et qu'elle cause plus de tort que ce qu'elle vaut". Les Libéraux disent à des milliers de familles qui dépendent de cette chasse de trouver une autre façon de gagner leur vie. Le Parti libéral abandonne nos chasseurs au beau milieu d'une crise économique, alors qu'eux et leurs familles ont plus que jamais besoin de notre soutien. Alors que nous défendons vigoureusement la chasse et continuons à fournir des faits dans le cadre des discussions internationales, il importe de se demander si l'UE était au courant de la motion du Parti libéral avant de voter, hier. Le gouvernement conservateur du Canada continuera à défendre, sur la scène internationale, le droit des chasseurs canadiens de faire vivre leurs familles par cette chasse légale, durable et sans cruauté. Renseignements : Fabian Manning
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Encore Ricardo Codina Mauvaise nouvelle pour les chasseurs de phoques Une interdiction partielle des produits du phoque a été appuyé par le comité du Parlement européen chargé de la question. La décision est une bien mauvaise nouvelle pour les milliers de chasseurs de phoques canadiens. Les députés européens ont rejeté un projet de loi initial qui prévoyait plutôt des règles plus strictes d’étiquetage plutôt qu’une interdiction partielle. Si l’on parle d’une interdiction partielle c’est qu’un amendement est prévu pour ajouter des exceptions au projet de loi. En effet, les produits du phoque fournis par les Inuits du Canada et du Groenland seraient acceptables. Il ne faut pas chercher de logique dans ça, c’est une décision politique, la logique n’entre pas dans le processus décisionnel. Les Inuits qui tuent les phoques ne sont pas des assassins, les Blancs le sont. Pourtant, la méthode de chasse est similaire! Aucune logique. Le projet de loi, avant d’être en vigueur, doit être adopté par le Parlement européen dans son ensemble et par les gouvernements membres de l’Union européenne. Ceux qui appuient le projet de loi espèrent que tout soit réglé dès la fin du mois d’avril. Mais certains pays de l’Europe du nord pourraient faire dérailler le projet de loi. En effet, le Danemark, la Suède et la Finlande s’opposent à l’interdiction d’importation. Ils ont tout à fait raison. - Les phoques ne sont pas tués plus cruellement que les animaux qui vont à l’abattoir. - Les phoques sont en surnombre depuis fort longtemps dans l’estuaire du Saint-Laurent. - Les peaux de phoques sont une ressource renouvelable et écologique. En plus, c’est chaud. - La viande de phoque est délicieuse et riche en oméga 3. - Advenant l’adoption d’un tel projet de loi, le Canada devrait légiférer pour interdire l’importation de foie gras d’Europe. En effet, un embargo sur ces produits au Canada, voire en Amérique du Nord, de foie gras en provenance d’Europe serait intéressant. Idem pour les produits dérivés : viande de canard gavé, bouillon et gras en provenance d’oies ou de canards gavés etc. Mais pourquoi envisager de telles idioties alors que l’Europe du Nord semble pleine de bon sens et beaucoup plus équitable que les pays du reste du continent envers les chasseurs de phoques? En effet, leur opposition pourrait sauver la chasse aux phoques ici. La peau de phoques permet de confectionner de bons manteaux et de bons mocassins. C’est toujours plus écologique que la fourrure synthétique et les bottes de plastique à base de pétrole non? Ceci étant dit, il est temps que le Canada orchestre une campagne médiatique agressive en Europe pour mieux faire connaître les produits du phoque. Il est temps aussi d’imposer une manière moins rapide de faire la chasse. Avec l’imposition de quotas, les chasseurs doivent tuer trop rapidement et parfois bâcler certaines tâches qui, on le voit dans les vidéos des animalistes, causent de la souffrance inutile. Certaines pratiques doivent être dénoncées, mais il ne faut pas interdire la vente d’un produit écologique et plein d’avenir. Ceux qui sont contre n’ont qu’à continuer à boycotter sur une base volontaire ces produits et laisser les autres tranquilles. VOS RÉACTIONS: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/20262
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03 mars 2009 19h36 HE La ministre Shea dénonce l'existence chez les libéraux de projets cachés en matière de chasse aux phoques canadienne OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 3 mars 2009) - L'Honorable Gail Shea, ministre des Pêches et des Océans, a émis aujourd'hui le communiqué suivant : "Les Canadiens et les Canadiennes en sont venus à la conclusion que Michael Ignatieff et le Parti libéral nourrissent des intentions cachées. Les attaques menées sans cesse par le sénateur libéral Mac Harb à l'endroit des phoquiers et ses efforts visant à mettre un terme à la chasse aux phoques commerciale au Canada sont honteuses et viennent mettre la lumière sur les réelles intentions des Libéraux en ce qui concerne la chasse aux phoques. Et encore plus révélateurs sont les gestes posés par le chef du Parti libéral du Canada, Michael Ignatieff. Le fait qu'il a avalisé un projet de loi épouvantable a effectivement mis au grand jour les intentions cachées du Parti libéral, à savoir : on veut mettre un terme à la chasse aux phoques canadienne. Je m'inquiète de ce que les efforts que nous avons déployés en Europe visant à protéger la principale source de revenu de milliers de familles et ce, à un moment où ils ont grand besoin de notre aide, ont été minés par le Parti libéral. Ce dernier a déclaré haut et fort à des représentants des pays membres de l'Union Européenne avant la tenue d'un vote clé que l'opposition officielle du Canada voulait interdire la chasse au phoque. Tandis que les Libéraux tentent de plaire aux groupes d'intérêt spécial, le gouvernement conservateur fait tout son possible pour défendre les intérêts de nos phoquiers et nous ne cesserons de nous battre dans l'arène international, et chez nous au Canada, pour les droits des phoquiers canadiens qui travaillent fort et ce, pour qu'ils puissent faire vivre leurs familles par le truchement d'une chasse aux phoques qui soit légal, soutenable et humaine." Renseignements : Ministre des Pêches et des Océans Le Bureau de l'Honorable Gail Shea Ann Matejicka Directrice des communications http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=956958&lang=F5
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Un libéral tente sans succès d'ouvrir le débat sur la chasse aux phoques Il y a 3 heures OTTAWA — Un sénateur libéral, Mac Harb, a tenté mardi d'ouvrir le débat sur la chasse aux phoques en déposant un projet de loi prônant son interdiction. Sa tentative s'est toutefois soldée par un échec, puisqu'aucun autre membre de la Chambre haute n'a accepté de l'appuyer. M. Harb, qui représente l'Ontario, espérait convaincre ses collègues de mettre fin à la chasse commerciale tout en protégeant les droits des autochtones. Selon lui, la chasse nuit considérablement à la réputation internationale du Canada et n'est plus rentable pour les chasseurs. " Vu le déclin du marché des produits du phoque et l'opposition internationale très vive à cette activité, il est temps que le Canada reconnaisse qu'il n'est plus possible de ranimer cette industrie moribonde", a-t-il expliqué dans un communiqué. Ni ses arguments, ni ceux des militants contre la chasse, n'ont cependant convaincu les parlementaires canadiens qui ont choisi de laisser son projet de loi s'éteindre sans bruit. En l'absence d'un coproposeur, le projet n'a pu être inscrit au feuilleton et ne sera vraisemblablement pas débattu de sitôt. Selon Marc Roy, du bureau du leader de l'opposition au Sénat, la situation est inédite et personne ne sait trop comment procéder à partir de maintenant. Mais les probabilités que M. Harb ait une autre chance de présenter son idée son plutôt faibles, a-t-il indiqué. Le Parti libéral ne fera certainement rien pour que cela se produise, puisqu'il a pour politique officielle d'appuyer la chasse aux phoques. "Le parti croit fermement au droit des sénateurs et des députés de proposer des projets de loi d'initiative privée. Ceci étant dit, la politique du Parti libéral est tout à fait contraire au projet de loi présenté et nous ne supporterons aucunement cette initiative devant le Sénat", a déclaré M. Roy. Les militants contre la chasse ne perdent pas espoir pour autant. L'avocat du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), Clayton Ruby, soutient que l'absence d'un coproposeur n'est qu'une "technicalité" qui sera réglée sous peu. D'après lui, le dépôt du projet de loi de Mac Harb marque "un moment historique". "On peut enfin envisager la fin de la chasse aux phoques commerciale canadienne, a-t-il fait valoir. Le sénateur a démontré un leadership et un courage incroyables, en parlant au nom de la majorité des Canadiens sur ce sujet." L'IFAW, qui lutte depuis des décennies pour l'abolition de la chasse, célèbre aussi cette semaine la décision d'une commission de l'Union européenne d'imposer un embargo sur tous les produits dérivés du phoque: fourrure, suppléments alimentaires et autres. Avant d'être en vigueur, cette interdiction devra être approuvée par le Parlement européen. Les partisans de l'embargo espèrent que ces étapes seront franchies avant la fin du mois prochain et que l'embargo partiel entre en vigueur dès cette année. Les produits dérivés du phoque sont déjà bannis aux Etats-Unis depuis 1972 et quelques Etats de l'UE, dont la Belgique et les Pays-Bas, les interdisent aussi. Un embargo à l'échelle du continent serait toutefois beaucoup plus dévastateur puisqu'il compromettrait l'accès des chasseurs au marché de la mode. La ministre fédérale des Pêches, Gail Shea, a promis lundi de se battre jusque devant l'Organisation mondiale du commerce pour faire annuler cette résolution. En attendant, le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe estime qu'Ottawa devrait redoubler d'efforts pour faire connaître les faits sur cette chasse, pratiquée depuis des siècles dans le Golfe du Saint-Laurent. "Je pense qu'il faut faire une campagne d'information large, avec les moyens requis, pour leur expliquer qu'il n'y a rien d'incorrect dans cette chasse, a-t-il déclaré mardi, à l'issue de la période des questions. "Qu'il y ait des manteaux faits en peau de phoque, comme on porte des chaussures qui sont faites en cuir, ou qu'on mange du foie gras; je ne vois pas pourquoi les Européens ne comprennent pas ça." La chasse aux phoques du Canada est considérée comme la plus importante du monde, pour le nombre d'animaux tués. Au cours des trois dernières années, le quota des prises de phoques a oscillé entre 270 000 et 335 000 par an. La plupart des bêtes sont âgées de moins d'un an mais ont perdu leur pelage blanc. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5g4V5avGG5Fgj9-_P2q9Q4JDHBvkw
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- Communiqué de presse Produits dérivés du phoque: vers une stricte interdiction Libre circulation des marchandises - 02-03-2009 - 20:05 La commercialisation des produits dérivés du phoque devrait être strictement interdite dans toute l'UE, selon la commission du marché intérieur du Parlement européen. Les députés ont limité les dérogations proposées par la Commission européenne et n'ont pas suivi l'avis de leur rapporteur, qui proposait un étiquetage à la place de l'interdiction. L'interdiction devrait s'appliquer à la mise sur le marché des produits dérivés du phoque, leur importation à destination de la Communauté, leur transit par le territoire de l'UE et leur exportation depuis celui-ci, selon le rapport approuvé par la commission parlementaire ce mardi. Par ailleurs, elle devrait couvrir la viande, l'huile, les organes, la graisse et les pelleteries, estiment les députés. En pratique, seraient concernés notamment les sacs, les nappes, les chapeaux, les bottes et les gants utilisés par les motocyclistes, les skieurs ou encore les boxeurs, ainsi que les produits parapharmaceutiques présentés comme suppléments d'acides gras d'oméga-3. Dérogations pour les Inuits Les députés ont rejeté une série d'exceptions à l'interdiction générale proposées par la Commission européenne, notamment en cas d'abattage "sans détresse" et "sans souffrances inutiles". Ils ont aussi exclu la possibilité d'accorder une dérogation nationale, à la demande d'un Etat. Dans les deux cas, cette position a été justifiée par l'impossibilité pratique de superviser le respect des conditions auxquelles une dérogation serait accordée. En revanche, les parlementaires sont favorables à la dérogation proposée pour les Inuits ou d'autres communautés aborigènes. Elle s'appliquerait aux produits provenant de la chasse traditionnelle et nécessaires à la subsistance de ces communautés, pouvant faire l'objet d'échanges commerciaux à des fins culturelles, éducatives ou rituelles, mais selon une série de conditions à respecter. La proposition sur l'étiquetage rejetée La position de la commission du marché intérieur a été soutenue par 25 députés sans abstention, avec le vote contre du rapporteur, Diana Wallis (ADLE, UK), et de 6 autres députés. Mme Wallis proposait, à la place de l'interdiction, un système d'étiquetage qu'elle estimait plus efficace pour assurer le consommateur "du respect de normes élevées de bien-être animal ". Elle mettait notamment en doute la compatibilité de cette interdiction, fondée sur les règles du marché intérieur de l'UE, avec les règles internationales du commerce. Un avis juridique émis récemment par le Conseil va dans le même sens. Néanmoins, la plupart des membres ont partagé l'opinion de Christel Schaldemose, député socialiste danoise, pour qui "il ne s'agit pas dans ce débat d'un dilemme juridique mais politique auquel le Parlement doit apporter une réponse politique". Répondre aux préoccupations de l'opinion publique Le projet d'interdire la mise sur le marché communautaire, l'importation, le transit et l'exportation de produits dérivés du phoque vise à répondre aux préoccupations du Parlement européen quant aux pratiques causant des souffrances injustifiées aux animaux. Une déclaration signée par 425 députés en 2006 avait aussi souligné la nécessité de prendre des mesures n'ayant pas d'incidence sur la chasse au phoque traditionnelle des Inuits (3% du volume total de chasse dans le monde). Cette position du Parlement avait été stimulée par les inquiétudes des ONG et de l'opinion publique dans la plupart des Etas membres quant au traitement infligé aux phoques. Harmoniser les règles du commerce dans l'UE Le règlement vise aussi à mettre un terme à la fragmentation actuelle du marché intérieur de l'UE en établissant les règles communes harmonisées, directement applicables sur tout le territoire de l'UE. En effet, les législations nationales varient, certains Etats, comme la Belgique ou le Pays-Bas, ont d'ailleurs déjà interdit la commercialisation des produits dérivés du phoque, d'autres envisagent de le faire. Etapes suivantes Le Parlement européen, qui co-décide sur ce dossier avec le Conseil des ministres, se prononcera sur ce dossier en session plénière probablement le 1er avril, à Bruxelles. Le règlement, une fois adopté par le PE et le Conseil, devrait entrer en vigueur vingt jours après sa publication au Journal officiel de l’Union européenne. L'article 3 portant sur les interdictions serait d'application six mois après la date d’entrée en vigueur. 02/03/2009 Présidente : Arlene MCCARTHY (PSE, UK) REF. : 20090302IPR50623Contact Cezary LEWANOWICZ Service de presse http://www.europarl.europa.eu/news/expert/infopress_page/054-50624-061-03-10-909-20090302IPR50623-02-03-2009-2009-false/default_fr.htm
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L'Union européenne votera lundi sur l'interdiction des produits du phoque Publié à 19h31 le dimanche 1er mars 2009 ST-JEAN, T.-N.-L. - Des moments de tension attendent l'industrie canadienne de la chasse aux phoques, alors que l'Union européenne (UE) s'apprête à voter sur l'interdiction des produits du phoque. Une importante décision doit être prise lundi pour déterminer les paramètres d'une nouvelle loi qui pourrait également inclure un processus de certification. Un comité comptant 44 membres se réunira à Bruxelles pour évaluer s'il est possible de permettre l'importation des produits du phoque, dans la mesure où la pratique de la pêche se déroule sans cruauté. Les parlementaires européens, qui ne partagent pas forcément les mêmes positions, se prononceront en avril sur les orientations proposées par le comité. Loyola Sullivan, ambassadeur canadien pour la conservation des pêches, a reconnu qu'une certaine forme d'interdiction entrerait en vigueur, mais selon lui, il reste à voir si les peaux et autres produits du phoque canadiens en seront exemptés. "S'il y en a qui s'imaginent qu'il n'y aura pas d'interdiction en Europe, ils font sérieusement erreur", a-t-il dit. "Je crois qu'il est juste de dire que la volonté - certainement celle de la population en Europe, des parlementaires et des Etats membres - est (en faveur d'une) certaine forme d'interdiction", a ajouté M. Sullivan. Au cours des dernières semaines, plusieurs politiciens du Canada, incluant M. Sullivan et la ministre fédérale des Pêches et des Océans, Gail Shea, ont multiplié les rencontres avec leurs homologues européens pour les convaincre que la chasse aux phoques se faisait sans cruauté . Mme Shea a indiqué qu'il était encore trop tôt pour confirmer si oui ou non le Canada appuierait un processus de certification. "Il faudra évaluer ce que contiendra la proposition. Si nous pouvons vivre avec, nous accepterons, mais s'il s'agit de mesures qui viendront restreindre considérablement la pêche, alors nous ne pourrons pas accepter", a-t-elle déclaré. Ottawa estime que la décision de l'UE pourrait avoir une influence considérable sur le secteur de la pêche aux phoques, qui pourrait perdre annuellement jusqu'à 13 millions $, et affecter 6000 pêcheurs au Canada. Au cours des trois dernières années, le quota des prises de phoques a oscillé entre 270 000 et 335 000 par an. http://www.jminforme.ca/article/588472
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27 févr. 2009 17h26 HE Une usine à chiots remet 60 chiens à la SPCA Un abandon qui en dit un peu plus sur le problème persistant des usines à chiots au Québec MONTREAL, QUEBEC--(Marketwire - 27 fév. 2009) - Cet après-midi, la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux a recueilli une soixantaine de chiens provenant d'une usine à chiots située non loin de Montréal. La propriétaire de l'usine a volontairement remis les animaux à la SPCA le vendredi 27 février. Les chiens, tous de petite race, sont arrivés sales et effrayés au refuge. Ils ont été pris en charge par les bénévoles de la SPCA en poste au refuge d'urgence à Montréal, où ils recevront des soins vétérinaires et de toilettage et entreprendront un programme de socialisation avant d'être placés en adoption. "Nous nous réjouissons que la propriétaire de cette usine à chiots ait pris la décision de remettre certains de ses animaux à la SPCA ( probablement pour faire place à des plus productifs ) et nous ne pouvons qu'encourager les autres à en faire autant. C'est une chance que les chiens nous aient été confiés, car les conditions dans lesquelles ils vivaient à l'usine étaient certes inacceptables, mais la propriétaire des lieux agissait en conformité avec le Code criminel et nous n'avions aucun moyen de prendre un recours juridique pour faire saisir les chiens, a déclaré Alanna Devine, directrice générale intérimaire de la SPCA. Ce cas illustre, une fois encore, le problème posé par notre juridiction actuelle et son application; le Code criminel ne protège pas adéquatement les animaux contre la négligence et la structure provinciale qui est en place fait peu de choses pour empêcher les usines à chiots de fonctionner au Québec." Le 12 février dernier, Me Laurent Lessard, ministre de l'Agriculture, a annoncé la création d'un groupe de travail chargé de renforcer les mesures adoptées pour lutter contre la cruauté envers les animaux. Le groupe de travail sera dirigé par Geoffrey Kelley, député de Jacques-Cartier, et se penchera notamment sur la question des usines à chiots dont, entre autres, leur enregistrement obligatoire. "Le fait que nous ayons pu sauver ces chiens uniquement parce que la propriétaire des lieux les a abandonnés prouve une fois encore que le Québec doit prendre des mesures plus vigoureuses à l'endroit des usines à chiots. La population québécoise a laissé savoir haut et fort qu'il faut agir pour faire en sorte que les usines à chiots ne puissent plus mener leurs activités dans la province. Nous espérons que le groupe de travail mis sur pied par le ministre Lessard apportera des changements fondamentaux hautement nécessaires pour le bien-être des animaux de la province et permettra d'éliminer une fois pour toutes les usines à chiots", a ajouté Alanna Devine. Renseignements : SPCA Alanna Devine Directrice générale par intérim 514-735-9172 514-659-0499
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C'est vrai puisque voici la réplique du gouvernement 27 févr. 2009 17h18 HE Le gouvernement du Canada défend le droit des chasseurs de phoques de gagner leur vie OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 27 fév. 2009) - L'honorable Gail Shea, ministre des Pêches et des Océans, a fait la déclaration suivante aujourd'hui en défense des chasseurs de phoques canadiens : Le gouvernement du Canada est déçu d'apprendre que le sénateur libéral Mac Harb introduira un projet de loi qui interdirait la chasse au phoque au Canada. Cette proposition nuit considérablement aux efforts continus du Canada visant à défendre la légitimité de cette chasse au moment où notre pays fait face à des appels d'interdiction sur les produits du phoque en Europe et ailleurs. Mais encore plus notable est le fait que la proposition remet en question le droit à un moyen de subsistance légal pour ces chasseurs de phoques qui travaillent si dur. En plus de représenter une source d'alimentation, de combustible et d'abri depuis des centaines d'années, les produits du phoque continuent d'être des articles en grande demande auprès des consommateurs au Canada, en Europe et en Asie. De ce fait, la chasse au phoque est une activité économique viable et elle représente une importante source de revenus pour des milliers de Canadiens et leur famille résidant dans des villes et villages éloignés, à une période de l'année où les débouchés économiques sont peu nombreux. Leur refuser ce droit fondamental serait irresponsable. Notre gouvernement et moi demeurons résolus dans notre engagement à défendre les activités économiques légitimes des Canadiens et nous travaillerons de pair avec les provinces, les territoires et ses partenaires au sein de l'industrie afin de préserver l'accès au marché des produits canadiens du phoque. J'ai bon espoir que le sénateur Harb reconnaitra les préjudices que sa proposition causera et qu'il viendra nous appuyer pour défendre les chasseurs de phoques canadiens. Renseignements : Pêches et Océans Canada Phil Jenkins ou Pêches et Océans Canada Cabinet de la ministre Ann Matejicka
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Un projet de loi pour mettre fin à la chasse aux phoques? 27 Février 2009 (Ottawa – Canada) - Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) se réjouit d’apprendre que le sénateur Mac Harb a l’intention de déposer un projet de loi pour mettre fin à la chasse aux phoques. Si cette information est vraie, ce serait la toute première fois qu’un politicien canadien présente une loi mettant un terme à ce qui demeure le plus grand massacre de mammifères marins au monde. “Ce serait un moment historique – on pourrait enfin envisager la fin de la chasse aux phoques commerciale canadienne », a dit l’avocat canadien réputé Clayton Ruby. « Le sénateur démontrerait un leadership et un courage incroyables, en parlant au nom de la majorité des Canadiens sur ce sujet. » “Le gouvernement conservateur et son Ministère des Pêches et des Océans sont visiblement aux abois, avec l’embargo sur les produits dérivés du phoque en Europe et l’annonce hier que la Russie va vraisemblablement interdire la chasse aux bébés phoques dans la mer Blanche », a dit David Lavigne, Conseiller scientifique auprès de l’IFAW. « Étant donné le manque d’exactitude du gouvernement en la matière, il est tout à fait possible que cette information du Ministère des Pêches qui attaque le sénateur Harb soit une erreur, mais si elle est fondée, l’IFAW applaudira le sénateur d’agir au nom de la majorité des Canadiens. » Des sondages récents démontrent qu’une majorité de Canadiens sont toujours opposés à la chasse aux phoques commerciale et voudraient qu’elle soit arrêtée. Cette annonce survient alors que l’industrie de la chasse aux phoques est en déclin. On s’attend à ce que le prix des peaux de phoque baisse à nouveau cette année. La demande mondiale en fourrure de phoque est dérisoire, et l’Union européenne envisage un embargo sur tous les produits de phoques non-aborigènes. « La chasse aux phoques commerciale canadienne est un anachronisme du 19ème siècle », conclut Ruby. « C’est une activité foncièrement cruelle, qui ne répond pas aux normes d’éthique ou de durabilité biologique, et c’est un gaspillage incroyable. Cette chasse n’a aucune raison d’être au 21ème siècle, ni au Canada ni ailleurs. » Relations médias: veuillez contacter: Rob Rosenfeld Tel: 613-852-0589 Email: rrosenfeld@ifaw.org S.V.P ÉCRIVEZ AU SÉNATEUR EN APPUI À SON PROJET DE LOI le sénateur Mac Harb Courriel: harbm@sen.parl.gc.ca
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Des démissions à Anima-Québec... juste avant la table de travail du ministre! Dernières nouvelles OFFRE D’EMPLOI AU POSTE DE : Directeur général – Directrice générale ANIMA-Québec, un organisme à but non lucratif dont la mission est de veiller à la sécurité et au bien-être des animaux de compagnie, applique sur tout le territoire québécois la section IV.1.1 de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (L.R.Q., c. P-42). Depuis le début de ses activités d’inspection, ANIMA-Québec a réalisé plus de mille quatre cents visites de lieux d’élevage, de garde et de vente de chiens et de chats, initié de nombreuses poursuites judiciaires et procédé à plusieurs saisies d’animaux. ANIMA-Québec est à la recherche d’un directeur général ou d’une Directrice générale qui, sous la supervision du conseil d’administration, saura poursuivre le développement de l’organisme. Il s’agit d’un poste-clé qui aura une très grande influence sur la croissance et le succès de l’organisation. Pour plus de détails : Offre d'emploi - Directeur général - Directrice générale http://www.animaquebec.com/pdfs-fr/Offredemploidg.pdf Pour plus de détails : Offre d'emploi - Adjoint(e) à la direction http://www.animaquebec.com/pdfs-fr/Annonceembaucheadjointdirection.pdf http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=2&Itemid=2
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La campagne: Vancouver 2010 - chasse aux phoques Nous avons besoin que vous vous exprimiez pour les phoques maintenant et que vous demandiez l’arrêt définitif de ce massacre de phoques cruel. Exigez du Canada qu’il aide à mettre un terme au massacre de phoques ! PETA en appelle au comité olympique organisateur d’aider à mettre un terme au massacre de phoques Les yeux sont rivés sur le Canada alors qu’il se prépare à accueillir les Jeux Olympiques d’Hiver 2010. Cette publicité supplémentaire va accroitre l’attention ajoutant à la responsabilité d’être un exemple pour le monde. C’est pourquoi nous en appelons au comité olympique organisateur d’aider à arrêter le massacre de phoques canadien. Au cours de la chasse annuelle contre les phoques, des centaines de milliers d’individus sont tués pour leur peau de la plus horrible manière qu’il soit. Les phoques n’ont aucune chance face aux chasseurs armés de bâtons qui n’en veulent qu’à leur fourrure. Ils doivent assister au massacre de leurs petits avant de connaître le même destin sanglant. Ces phoques dont beaucoup ne sont âgés que de quelques semaines, sont tués, ont le crâne défoncé ou sont tirés à bout portant par des chasseurs guidés par le profit et la vénalité. L’anxiété que ressent une maman phoque, alors qu’elle regarde son petit assassiné à quelques pas, est horrible et peut être entendue à travers ses pleurs désespérés et vue à travers ses tentatives de sauver son enfant. L’an passé, plus de 205 000 phoques ont été tués pendant la saison de massacre, qui n’est rien de plus qu’une combine lucrative orchestrée par des pêcheurs professionnels. Le Canada va bientôt lancer sa nouvelle saison de chasse sans merci des phoques pour leur fourrure. Nous avons besoin que vous vous exprimiez pour les phoques maintenant et que vous demandiez l’arrêt définitif de ce massacre de phoques cruel. Veuillez écrire au comité olympique organisateur et au Premier Ministre canadien Stephen Harper et exigez d’eux qu’ils aident à mettre un terme immédiat au massacre des phoques. Signez la lettre sur le site de PETA: http://action.petafrance.com/ea-campaign/clientcampaign.do?ea.campaign.id=2584 Merci pour les phoques!
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PETA veut profiter des J.O. de 2010 pour protester contre la chasse aux phoques Il y a 5 jours VANCOUVER, B.C. — Un groupe de défense des droits des animaux souhaite profiter de la tenue des Jeux olympiques de Vancouver pour mettre un terme à ce qu'il appelle "la honte du Canada". Le groupe People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) affirme que les organisateurs des Jeux de 2010 ont l'influence nécessaire pour convaincre le gouvernement canadien de mettre un terme à la controversée chasse aux phoques sur la côte est. Le groupe lancera une nouvelle campagne de sensibilisation, mercredi. On y verra l'Inukshuk des Jeux frapper un phoque et les cinq anneaux olympiques ensanglantés. PETA est reconnu pour ses tactiques choc, mais selon la gestionnaire de campagne Lindsay Rajt, il s'agira d'une première campagne liée aux Olympiques pour le groupe. Le comité organisateur des Jeux n'a pas commenté. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hSvjGW-5iV9BU2CjbAMP6pQU4jqw
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Dans une entrevue avec Isabelle Maréchal maman Dion confirme qu'elle est toujours végétarienne, à l'époque elle était devenue végétarienne après avoir écouté un reportage sur l'élevage des poulets. Est-ce que Céline Dion a autant de compassion que sa mère? Partie 1: http://www.985fm.ca/chmp/audio/audioplayer.php?url=http://mediacorus.corusquebec.com/webcorus/audio/content_Audio/151173.mp3 Partie 2: http://www.985fm.ca/chmp/audio/audioplayer.php?url=http://mediacorus.corusquebec.com/webcorus/audio/content_Audio/151183.mp3
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Le gouvernement crée un groupe de travail sur le bien-être des animaux 14 février 2009 01:13 QUEBEC - Le gouvernement du Québec a discrètement annoncé cette semaine la création d'un groupe de travail en vue de renforcer les mesures existantes à l'égard du bien-être des animaux. Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, Laurent Lessard, a indiqué que le mandat de ce groupe consistera à examiner les problèmes liés aux animaux de compagnie, et à proposer des solutions à court et moyen termes. Le groupe de travail se penchera notamment sur un projet de règlement ayant pour objet de rendre obligatoire l'enregistrement de tous les lieux de garde, de vente, et d'élevage de chiens au Québec. Le ministre soutient que personne ne peut demeurer insensible face aux mauvais traitements qui sont infligés aux animaux, comme ce fut le cas dans certaines "usines à chiots". Le groupe de travail sera présidé par le député Geoffrey Kelly. Il sera cmposé de représentants des principaux organismes qui s'occupent des animaux. M. Kelly assure que tous les efforts seront déployés pour contrer les pratiques abusives. Nouvelles de La Presse Canadienne, 2009 http://www.journalmetro.com/Linfo/article/181984
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Québec veut s'attaquer aux usines à chiots Violaine Ballivy vballivy@lapresse.ca La Presse Québec veut se défaire de sa réputation d'être le «paradis des usines à chiots» du Canada. Le gouvernement a mis sur pied cette semaine un groupe de travail dont le mandat sera de renforcer les mesures en vigueur pour protéger les animaux domestiques. Selon le ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, les Québécois sont de plus en plus préoccupés par les conditions de vie des animaux de compagnie. Surtout depuis que deux chenils où des centaines de chiens étaient contraints de vivre dans des conditions exécrables ont été démantelés l'automne dernier. «Lorsque nous sommes les témoins d'images qui démontrent sans équivoque les mauvais traitements qui leur sont infligés, comme dans le cas des usines à chiots, personne ne peut demeurer insensible», dit le ministre Lessard. Ce groupe de travail devra notamment étudier la création d'un règlement qui obligerait l'enregistrement systématique de tous les endroits de la province où des chiens sont gardés, vendus et élevés, une demande répétée à maintes reprises par les groupes de défense des droits des animaux. «Le travail à abattre au Québec est énorme. Nos lois sont les pires au Canada, mais le gouvernement semble enfin prendre le problème au sérieux», dit Alana Devine, présidente de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Montréal, l'un des organismes invités à faire partie du comité. La SPCA fera aussi des pressions pour que les peines prévues associées aux crimes contre les animaux soient plus sévères, et demandera d'obtenir les pleins pouvoirs pour appliquer la Loi du bien-être et de la sécurité des animaux (P-42). La SPCA voudrait pouvoir mener des inspections dans les chenils et autres locaux commerciaux sans avoir à obtenir un mandat de perquisition, un droit actuellement réservé à l'organisme gouvernemental Anima-Québec. Le groupe de travail sera présidé par le député Geoffrey Kelley. http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... chiots.php
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Abattage de volailles - Inspection des aliments: Ottawa se déleste de certaines obligations Poursuivant le gouvernement au nom de la santé publique, les vétérinaires fédéraux veulent écarter le secteur privé L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) se retrouve une fois de plus sur la sellette. Au coeur de la controverse: un programme expérimental mis en place dans quatre abattoirs au pays, dont deux au Québec, où à l'avenir le retrait de la chaîne alimentaire des poulets non conformes sera laissé au jugement d'employés du secteur privé, plutôt qu'à des vétérinaires du gouvernement. Une réforme jugée inquiétante par les fonctionnaires qui ont décidé d'amener leurs craintes devant la Cour fédérale. Le projet-pilote, mené par l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et qui vise à mettre dans les mains de l'industrie des procédures d'inspection dans plusieurs abattoirs au pays, dont deux situés au Québec, continue de soulever l'ire des vétérinaires du gouvernement fédéral. Se disant d'ailleurs inquiets au sujet de cette réforme qui pourrait être à l'origine, selon eux, d'une nouvelle crise sanitaire au pays, ces spécialistes en santé animale ont décidé de traîner l'Agence et ses dirigeants devant la Cour fédérale avec un objectif clair: inciter leur employeur à faire marche arrière. Baptisé «Projet du rejet des carcasses de volaille (PRCV)», cette refonte réglementaire pilotée par l'ACIA consiste, dans les grandes lignes, à confier à des employés d'abattoir le soin de retirer de la chaîne alimentaire les animaux non conformes à la consommation humaine. Jusqu'à maintenant, cette responsabilité incombait à un vétérinaire de l'ACIA qui, dans le cadre de la réforme en cours, n'aurait alors plus qu'à valider les rapports d'inspection fournis par l'industrie, sans forcément être présent sur la chaîne de production. Le hic, c'est que cette nouvelle façon de faire bafouerait la Loi sur l'inspection des viandes en laissant des personnes non qualifiées poser des gestes relevant uniquement de la médecine vétérinaire. Ces actes visent d'ailleurs à «protéger la santé publique et à promouvoir la confiance des consommateurs en l'innocuité des produits de la volaille», résume l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), l'organisme à l'origine de la poursuite, dans un document de trois pages déposé en cour le 30 janvier dernier. La date d'audience de cette cause n'a pas encore été fixée. Poursuivre la lecture: http://www.ledevoir.com/2009/02/07/232180.html
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Consultation publique sur le Code de pratiques recommandées pour les bovins laitiers OTTAWA, le 14 janv. /CNW Telbec/ - Une version préliminaire du Code de pratiques recommandées pour le soin et la manipulation des bovins laitiers a été soumise à la consultation publique aujourd'hui. Le projet de Code laitier a été élaboré dans le cadre d'un nouveau processus d'élaboration des codes de pratiques piloté par le Conseil national pour le soin des animaux d'élevage (CNSAE). Les Producteurs laitiers du Canada (PLC) se sont avancés en 2006 pour mettre à jour la version précédente de leur Code de pratiques pour les bovins laitiers (1990) en appliquant le nouveau processus du CNSAE pour l'élaboration des codes. Par l'intermédiaire de son Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire (PASCAA), Agriculture et Agroalimentaire Canada a assuré le financement nécessaire à l'élaboration du nouveau Code laitier, qui sert de projet pilote du nouveau processus du CSNAE pour l'élaboration des codes de pratiques. On peut voir et commenter le projet de Code laitier dans le site Web du CNSAE (www.nfacc.ca) jusqu'au 13 février 2009. Tout le monde est invité à présenter ses observations, comme l'explique le site Web du CNSAE. La version finale du Code de pratiques recommandées pour le soin et la manipulation des bovins laitiers sera prête pour le 31 mars 2009. Michael Hall, président du Comité de l'élaboration du code de pratiques pour les bovins laitiers et lui-même producteur laitier, explique : "L'utilisateur final primaire et l'auditoire visé pour le Code laitier est l'agriculteur. Mais les codes doivent refléter des normes acceptables pour l'ensemble de la société. Les producteurs laitiers se sont engagés à adopter des pratiques de soin des animaux qui ont de solides fondements scientifiques. Elles sont reflétées dans le projet de Code laitier." "Je félicite les producteurs laitiers d'être les premiers à mettre à jour leur code de pratiques en fonction du nouveau processus du CNSAE pour l'élaboration des codes", a déclaré Geoff Urton de la Société pour la prévention de la cruauté aux animaux de la Colombie-Britannique, qui représente la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux au sein du Comité d'élaboration du Code laitier. "Cette expérience a vraiment démontré ce qu'il est possible d'accomplir lorsque les participants se consacrent à un processus d'élaboration des codes qui utilise les meilleures données scientifiques qui soient." Historique des codes de pratiques C'est en 1980 que le Canada a lancé l'élaboration des codes de pratiques pour le soin et la manutention des animaux d'élevage. Depuis lors, il s'est donné des codes de pratiques pour à peu près toutes les espèces d'animaux d'élevage au Canada. Le site Web du CNSAE donne accès aux codes déjà disponibles (http://www.nfacc.ca/code.aspx). "Au moment de la création du CNSAE en 2005, l'un de ses principaux objectifs était la mise en oeuvre du processus d'élaboration des codes. Une vaste consultation a débouché sur un consensus pour aller de l'avant avec l'élaboration des codes sous les auspices du CNSAE, et un nouveau processus d'élaboration des codes a été établi", dit Edouard Asnong, président du CNSAE et producteur de porc du Québec. Les directives et normes sur le soin des animaux devraient tirer parti des meilleurs résultats de recherche scientifique qui soit. En relançant un processus d'élaboration des codes de pratiques, le CNSAE a reconnu la nécessité d'un moyen plus formel d'intégrer la recherche scientifique dans le processus. Un Comité de spécialistes scientifiques s'est vu confier le soin d'étudier les questions prioritaires de bien-être des animaux pour fournir des renseignements utiles au Comité d'élaboration des codes pour la création et la révision d'un code de pratiques. L'avenir des codes de pratiques Le nouveau processus du CNSAE pour l'élaboration des codes de pratiques : << - Etablit des liens plus clairs entre la science et les recommandations des codes - Articule clairement les principes et les critères pour l'élaboration des codes - Accroît la transparence du processus d'élaboration des codes - Fait une distinction plus claire entre les exigences pour le soin et les pratiques optimales recommandées. En outre, le nouveau processus jouera un rôle important dans : - La sensibilisation des producteurs aux bonnes pratiques de soin des animaux - La communication des normes de l'industrie aux intervenants d'aval qui ont besoin de ces renseignements - La formation de la justification et du fondement pour les programmes de vérification à la ferme élaborés par l'industrie - La démonstration à faire à nos partenaires commerciaux que le Canada a un processus pour recenser, communiquer et assurer de saines pratiques de soin des animaux d'élevage. >> Les secteurs canadiens des animaux d'élevage reconnaissent la valeur des codes de pratiques. Plusieurs secteurs ont exprimé le désir de mettre leur code à jour selon le nouveau processus du CNSAE pour l'élaboration des codes. Le Conseil national pour le soin des animaux d'élevage est un organisme agissant sous l'impulsion de ses membres, dont la mission est de constituer une tribune de discussion pour le soin des animaux d'élevage au Canada, de créer et de maintenir une approche normative de l'élaboration des codes de pratiques recommandées et d'autres outils de soin des animaux, et de coordonner le partage d'information entre les gouvernements, les industries de l'agriculture et les autres intervenants. Les PLC sont un organisme national de marketing, de politique et de lobby représentant les agriculteurs vivant de plus de 13 000 fermes. Les PLC travaillent à créer des conditions favorables pour l'industrie laitière canadienne en préconisant des politiques qui favorisent la viabilité des fermes laitières canadiennes et font la promotion des produits laitiers et de leurs bienfaits pour la santé. Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) est heureux de participer à ce projet. AAC est engagé à travailler avec nos partenaires de l'industrie à sensibiliser le public à l'importance de l'agriculture et de l'agroalimentaire pour le Canada. Les opinions exprimées dans ce document sont celles du Conseil national pour le soin des animaux d'élevage et pas nécessairement celles d'AAC. Renseignements: Jackie Wepruk, coordonnatrice du CNSAE, Conseil national pour le soin des animaux d'élevage, (403) 783-4066, nfacc@xplornet.com, http://www.nfacc.ca; Thérèse Beaulieu, Directrice adjointe, Communication et politiques, Les Producteurs laitiers du Canada, (613) 236-9997 x 2571, therese.beaulieu@dfc-plc.ca; www.producteurslaitiers.org http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/January2009/14/c7366.html
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Les Métis peuvent chasser sans permis Droits autochtones Un Métis du Manitoba remporte une importante bataille juridique contre le gouvernement provincial. Le juge John Coombs de la Cour provinciale a tranché en faveur de Will Goodon qui était accusé, en vertu de la Loi sur la conservation de la faune, d'avoir chassé le canard sans permis près du mont Turtle en octobre 2004. Will Goodon soutenait que sa carte d'identité métisse suffisait. Le juge Coombs appuie son jugement sur un cas de jurisprudence en Cour suprême du Canada relativement au cas de deux frères métis accusés d'avoir abattu un orignal, près de Staut-Ste-Marie en Ontario. Le plus haut tribunal du pays avait statué que les Métis avaient droit aux mêmes droits de chasse que les Inuits et les Autochtones s'ils peuvent prouver leurs liens ancestraux. Le juge Coombs a de plus souligné que dans la cause Goodon, des témoins avaient démontré que les ancêtres métis pratiquaient la chasse de subsistance dans la région du mont Turtle. http://www.radio-canada.ca/regions/manitoba/2009/01/08/001-Metis-chasse.shtml D'autres vont vouloir emboîter le pas
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Chasse au phoque Une délégation à la rescousse Le gouvernement Canadien envoie une délégation défendre la chasse aux phoques Mise à jour le lundi 5 janvier 2009, 15 h 14 . Le gouvernement fédéral enverra sous peu une délégation en Europe pour tenter de faire échouer un projet de loi qui vise à interdire l'importation de produits de la chasse au phoque provenant du Canada. De passage à Terre-Neuve lundi, la ministre fédérale des Pêches et des Océans, Gail Shea, a expliqué qu'elle rencontrera bientôt des politiciens de l'Union européenne pour les convaincre que la chasse au phoque pratiquée par les chasseurs canadiens n'est pas cruelle. Elle estime que les produits canadiens dérivés de cette chasse devraient être exemptés de l'interdiction. Le Parlement européen et les 27 pays membres de l'Union européenne devraient entendre la première lecture du projet de loi en mars. Une éventuelle interdiction pourrait avoir des effets négatifs importants sur les pêcheurs de l'Atlantique pour qui cette chasse annuelle est la seule source de revenus. Elle les priverait de marchés importants, notamment aux Pays-Bas et en Allemagne. Si la loi est adoptée, seuls les produits de phoques provenant de pays qui pourront garantir que leurs pratiques de chasses évitent des souffrances inutiles aux animaux seront acceptés. Cette mesure devra toutefois d'abord être approuvée par tous les membres de l'Union européenne. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/01/05/004-tnl-chasse-phoques.shtml Le gouvernement envoie une délégation défendre la chasse aux phoques http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jfLUGTXQTm1IONzXmAdHZAtJKPVw
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Nouvelle réglementation canadienne sur la chasse aux phoques : Des mesures dérisoires et inapplicables pour la Fondation Brigitte Bardot ! 29 dec. 2008 La chasse aux phoques est inacceptable et les nouvelles mesurettes du Canada ne laveront pas la banquise du sang de ses pauvres animaux ! Par crainte d'un embargo Européen portant sur les produits dérivés de la chasse aux phoques, et dans un baroud « d’honneur », les autorités canadiennes tentent de faire passer les massacres perpétrés sur la banquise pour des chasses non cruelles en proposant, sur le papier, des mesurettes qui restent inapplicables sur le terrain. Ainsi, les chasseurs ne pourront plus frapper les bêtes de plus de 1 an avec un gourdin ou un hakapik, « à moins que celui-ci n'ait d'abord été abattu avec une arme à feu ». Ils devront également, avant de dépecer les phoques, vérifier s'ils sont morts en palpant leur crâne, plutôt qu'en vérifiant si les yeux de l'animal réagissent aux stimuli. Enfin, l'animal chassé devra être saigné pendant au moins une minute, ce qui permet de garantir que le phoque est mort. Les associations de protection animale sont indignées par ses nouvelles mesures qui de toute façon ne changent rien et restent inacceptables ! L’ancienne réglementation canadienne prévoyait que « quiconque frappe un phoque à l’aide d’un gourdin ou d’un hakapik doit le frapper sur le front jusqu’à ce que le crâne soit écrasé et vérifier manuellement que tel est le cas ou le soumettre à un test de réflexe de clignement pour confirmer qu’il est mort avant de passer à l’abattage d’un autre phoque ». La nouvelle réglementation n’apporte rien de plus si ce n’est l’interdiction d’écorcher un phoque avant « qu’au moins une minute ne se soit écoulée après lui avoir tranché, afin de le saigner, les deux artères axillaires situées sous les nageoires avant »… Il est vrai que dans son avis scientifique, adopté le 6 décembre 2007, L’EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) précise que les phoques peuvent être « dépecés alors qu’ils sont encore conscients, ce qui entraîne des douleurs, de la détresse, de la peur et d’autres formes de souffrance. En ce qui concerne la vérification de chaque phoque, visant à s’assurer qu’il est mort ou inconscient, il a été estimé que cela n’est pas toujours pratiqué efficacement et qu’il en résulte que les phoques sentent les coups de couteau du dépeçage, avant de perdre connaissance ou de mourir du fait de la saignée ». Il ne s’agit pas d’une chasse, mais d’un véritable massacre ! Sur le papier, les autorités canadiennes peuvent écrire ce qu’elles veulent mais sur le terrain il est impossible de contrôler ce massacre qui n’a qu’un objectif : tuer un maximum de phoques en un minimum de temps. Cette course folle entraîne des pratiques d’une extrême violence, d’une rare cruauté, les chasseurs passent d’un phoque à un autre en blessant les animaux pour les empêcher de rejoindre la mer, phoques agonisant de longues minutes dans la souffrance avant d’être achevés à coups de gourdins ou à coups de couteau. En ce qui concerne l’utilisation d’armes à feu pour abattre les phoques, les dernières observations montrent très clairement que les phoques sont, là encore, laissés de longues minutes blessés avant d’être récupérés et tués par les chasseurs. L’Europe n’acceptera pas ces demi-mesures Actuellement, les différents rapports du Parlement européen demandent une interdiction totale du commerce des produits dérivés du phoque. Pour la Fondation Brigitte Bardot, ces mesurettes ne répondent absolument pas aux préoccupations de l’opinion publique européenne qui refuse désormais d’être complice de massacres perpétrés sur la banquise pour alimenter le marché de la fourrure. La seule position cohérente et éthiquement recevable est de s’opposer fermement et totalement à ces massacres, en refusant le commerce en Europe des produits dérivés du phoque. De même que l’Union européenne ferme, à compter du 31 décembre 2008, ses frontières aux peaux et fourrures de chiens et de chats, elle doit fermer ses frontières, dès 2009, aux produits issus de la « chasse » aux phoques, plus gros massacre de mammifères marins au monde ! http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40178
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Le plan vise également à améliorer la surveillance des groupes abolitionnistes qui observent la chasse aux phoques. Selon Barry Rashotte, directeur général de la gestion de la ressource au ministère des Pêches et Océans, le nouveau plan de déploiement des agents des pêches inclut l'utilisation d'hélicoptères dotés de caméras Voici ce que veut le gouvernement: c'est de faire en sorte d'éloigner les observateurs pour les remplacer par des agents de pêches, c'est des bons petits amis des chasseurs car c'est des gars de la région!