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Caro18

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  1. Caro18

    Procès : Des animaux maltraités

    rappel des faits: Dogs had chains embedded in their necks Monteregie rescue. Pony, horse and 21 dogs recovering with help of SPCA, volunteers KAZI STASTNA, The Gazette Published: Wednesday, February 07 2007 Twenty-one animals found chained outdoors in minus 30 degree temperatures with little food and no water on a property in Monteregie are recovering in the care of the regional SPCA, its director said yesterday. Many of the 18 dogs and one puppy seized on Monday night from the La Presentation residence, 60 kilometres east of Montreal, had open, infected wounds on their necks from the tightly wound chains and old collars used to tie them up, Linda Robertson said. They are to be seen by a veterinarian today, she said. View Larger Image Karen Muller of the Monteregie SPCA shows a husky malamute dog's chain dug into its flesh. The 6-week-old puppy has been placed with the SPCA's cats. GORDON BECK, THE GAZETTE Email to a friend Printer friendly Font:****"We had to take them with their chains because we couldn't take them off their necks," she said. "A lot of the dogs had the chains embedded." The dogs, which include huskies, a pregnant part-boxer, mixed labradors and a malamute, were found in a field abutting the main house. They were tied with thick, six-metre long chains attached to a metal pole. Although each had a doghouse, the chains were so twisted around the pole that, except for the puppy, they were unable to reach shelter, Robertson said. The only signs of food were several frozen geese carcasses scattered nearby. A pony found chained to a truck on another field along with a horse left to wander freely are being cared for by an SPCA volunteer at her home. The 6-week-old husky puppy has been placed with the SPCA's cats. Provincial police are to question the owner of the property this week and determine whether he will be charged with animal cruelty, in which case the animals would remain at the Monteregie SPCA in Ste. Angele de Monnoir, about 35 kilometres southwest of La Presentation. An SPCA volunteer first noticed the chained animals last week while driving past the property, which, Robertson said, is littered with old cars, trucks, household appliances and other debris that the municipality has warned the owner to clean up on several occasions. After two preliminary surveys of the site, the SPCA decided to intervene Monday night because of the extreme cold and with the help of a search warrant obtained by the Surete du Quebec. "The big concern was shelter, and we never saw any water," Robertson said. The owner arrived as the police and SPCA workers were leaving but "didn't say too much," she said. kstastna@thegazette.canwest.com http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=38db4277-4562-497d-b47d-e3635688f89e&k=96009
  2. Un centre de sauvetage des ours ouvre ses portes au Vietnam Il y a 2 heures HANOI, Vietnam — Le premier centre de sauvetage des ours a été récemment inauguré au Vietnam, offrant un refuge pour des plantigrades retrouvés dans des fermes qui élèvent ces animaux pour vendre de manière illégale leur viande et leur bile. Les quatre premiers ours accueillis par le centre -des ours noirs d'Asie, appelés aussi ours de Lune-ont été secourus il y a sept mois par la police qui a découvert ces animaux dans le compartiment bagages d'un autocar qui se rendait de Dien Bien Phu, dans une province montagneuse du nord du pays, à Hanoï. La majorité des ours du Vietnam, dont la population est en diminution, vit dans des fermes du pays. "C'est réellement une tragédie", déplore Jill Robinson, de l'Animals Asia Foundation, une structure qui a ouvert le centre de sauvetage des ours. D'ordinaire, "les ours sont gardés dans des conditions révoltantes", dénonce-t-elle. Situé dans la ville de Tam Dao (nord), le centre de sauvetage, qui s'étend sur 12 hectares, est encore en construction. Il contiendra des jardins en plein air, et suffisamment d'espace pour accueillir jusqu'à 200 ours quand il sera terminé en 2009. Bien qu'il soit légal d'élever des ours au Vietnam, la législation interdit la vente de leur viande et de leur bile, des produits qui sont pourtant tous les deux vendus au marché noir dans le cadre d'un commerce juteux. De nombreux Vietnamiens croient que la bile d'ours procure des bienfaits sur le plan médical, et leur viande est servie dans des restaurants clandestins. Certains éleveurs extraient la bile de la vésicule biliaire des plantigrades avec des seringues, puis ils les vendent à des consommateurs qui la boivent en général mélangée avec un peu d'alcool dé riz. Ils croient que cela a des effets bénéfiques pour la vue et le foie, et que ça permet de soigner d'autres maladies. Il est difficile de mettre fin à l'élevage d'ours dans les fermes, parce que l'utilisation de la bile de plantigrade est une tradition profondément ancrée dans les moeurs, explique Nguyen Van Cuong, directeur-adjoint du Département de protection des forêts au ministère vietnamien de l'Agriculture. Le centre envoie un message important au peuple vietnamien en matière de protection des animaux, selon Mme Robinson. "Ces ours sauvés montreront au monde que cette industrie barbare n'a pas sa place dans une société moderne", souligne-t-elle. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5h8oQZsuYt6xhkBBHqaCixwDkkWEg
  3. Harrison Ford se mobilise pour défendre le droit des animaux Depuis quelques jours déjà, Harrison Ford est à l’affiche du quatrième volet de la saga «Indiana Jones» qui fait d’ailleurs un carton dans tous les pays où il est sorti. Cet acteur n’hésite pas à mettre sa popularité au service d’une cause à laquelle il tient particulièrement. C’est pourquoi il se mobilise pour défendre le droit des animaux. Lorsqu’il se lance dans une campagne en faveur d’une cause quelle qu’elle soit, Harrison Ford met à contribution tous les moyens à sa disposition. Après avoir subi une séance d’épilation du torse pour dénoncer le phénomène de déforestation de la planète, l’amoureux de Calista Flockhart a enregistré trois vidéos pour une campagne de WildAid, une organisation américaine militant pour le respect de la nature en général. On notera que dans ce projet, Harrison Ford bénéficie du soutien du Département d’Etat américain. L’objectif d’Harrison Ford réside dans le fait qu’il veut surtout sensibiliser les touristes américains voyageant dans des pays tropicaux et les convaincre d’arrêter de ramener des animaux exotiques. On ne manquera pas de noter que de nombreuses personnes adoptent de tels animaux afin d’en faire des animaux de compagnie. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’ils chamboulent complètement la vie de ces derniers et bon nombre d’entre eux sont voués à une mort certaine. Qu’il s’agisse d’un crotale, d’une tortue, d’un caméléon ou encore d’une veuve noire, il vaut mieux s’abstenir d’en exporter. Le slogan choisi pour cette campagne est des plus suggestives : “Non merci, envoyez-moi plutôt une carte postale”. Le message sera diffusé par les ambassades américaines auprès d’une trentaine de pays à travers le monde. Soyons sûrs qu’avec une telle formule, Harrison Ford va arriver à ses fins… du moins espérons-le. http://www.waliboo.com/nac/harrison-ford-se-mobilise-pour-defendre-le-droit-des-animaux/6967/
  4. Procès : Des animaux maltraités Pierre Richard Le Journal de Montréal 12/06/2008 09h46 Accusé de négligence criminelle envers plusieurs chiens, un poney et un cheval, l'avocat Benoît Tremblay entame le dernier droit des procédures entreprises contre lui. Le 5 février 2007, la SPCA de la Montérégie effectuait une saisie des 18 chiens, du poney et du cheval qui se trouvaient au 1425, rang Salvail sud, à La Présentation, la résidence de l'avocat Benoît Tremblay. Ce soir-là, le poney était déplacé, tout comme le cheval, la SPCA soutenant qu'il n'y avait pas d'abris adéquats pour ces deux animaux sur la ferme de l'avocat. Quant aux 18 chiens, ils étaient saisis et étaient examinés par le vétérinaire Michel Léger. Celui-ci, dans un rapport qui était remis à la défense, représentée par Me Pierre Poupart, faisait valoir qu'il a constaté sur un chien une boiterie modérée et une lésion au museau. Sur un autre chien, le médecin notait une « plaie d'origine traumatique au cou » causée par un collier trop serré ainsi qu'une infection causée par ce collier. Un chiot, selon l'expert, avait une quantité importante d'oeufs de vers dans ses selles. Enfin, disait le vétérinaire, tous les chiens manifestaient une peur évidente en présence d'humains et plusieurs d'entre eux avaient des traces de colliers trop serrés. Un chien avait même des marques d'un collier tellement serré qu'il aurait pu provoquer l'étranglement, selon le vétérinaire. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2008/06/20080612-094603.html
  5. Décès d’un des deux chiens renifleurs de DVD Canoë Yvon Laporte 10/06/2008 08h38 Voir photo: http://www.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/06/20080610-083831.html Il y a quelques semaines, le gouvernement de la Malaisie annonçait avec beaucoup de fierté l’embauche de deux chiens, capables de détecter des DVD. Cette escouade canine a été mise sur pied dans le but de démanteler des réseaux de CD et de DVD piratés. Or, on apprend que l’un des deux chiens a été retrouvé mort dans son enclos au cours des derniers jours. Il s’agit de Manny, un Labrador doré, âgé d’un an. Il était arrivé en Malaisie en février dernier. Les autorités n’ont pas fourni beaucoup de détails sur cette affaire. Le corps de l’animal a été envoyé dans un laboratoire, dans le but de déterminer les causes de son décès. Ce que l’on sait, c’est que Manny et son copain Paddy étaient gardés dans un endroit secret. Les deux chiens étaient encore dans une phase d’adaptation, mais leur arrivée en Malaisie avait fait déjà couler beaucoup d’encre. Déjà, des menaces avaient été lancées contre les deux animaux. L’année dernière, le gouvernement malaisien a obtenu beaucoup de succès contre les pirates, avec deux autres chiens, Lucky et Flo. Baptisée «Opération Double Trouble», il s’agissait de mettre à l’essai, pendant un mois, cette nouvelle façon de traquer les pirates. En fin de compte, l’opération a duré six mois et elle s’est révélée beaucoup plus productive que prévu. Les deux détectives à quatre pattes ont aidé à l’arrestation de 26 personnes, à la saisie d’équipements servant à produire les disques et à la confiscation de plus de 1,6 million de DVD illégaux. On comprend plus facilement pourquoi les autorités malaisiennes ont voulu recommencer l’expérience, cette fois avec une véritable escouade canine, dédiée exclusivement à ce type de crime. Les chiens sont entrainés à s’asseoir ou à s’immobiliser, dès qu’ils détectent certaines substances chimiques que l’on retrouve sur les DVD. Ce sont les policiers qui, par la suite, évaluent s’il s’agit de disques ou de DVD piratés. Les deux chiens avaient été offerts au gouvernement malaisien par la Motion Picture Association qui, en 2005, estimait ses pertes, en raison du piratage, à 6 G$. http://www.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/06/20080610-083831.html
  6. Judaïté et américanité Dans chacun des romans de Foer, la Shoah s'impose également en filigrane du récit. Sa mère est née dans un camp de déplacés, ses tantes y sont mortes. Mais contrairement à d'autres écrivains juifs américains, sa relation avec la judaïté n'inspire pas la même filiation avec les États-Unis. «J'aime l'Amérique, mais je ne me sens pas aussi redevable que la génération précédente, qui a trouvé refuge ici, constate-t-il. Vous savez, lorsqu'un écrivain meurt ou est sur le point de mourir, sa famille vend ses lettres et ses manuscrits à une université. Un ami, qui gère ce genre de trucs, me racontait qu'il avait de la difficulté à convaincre les écrivains juifs de le faire. Ils veulent tous les léguer à la Bibliothèque du Congrès américain, puisqu'ils se sentent redevables. Pour ma part, je ne me sens ni profondément américain ni juif.» Foer admet toutefois qu'il se plaît dans le rôle de faiseur d'impact. La pire réaction à ses mots, dit-il, est l'indifférence. «Je veux que ce soit le pire ou le meilleur livre que le lecteur ait lu. Entre le vide et le coup de poing, je prends le coup de poing. Il n'y aurait aucun intérêt à écrire un livre pour qu'il soit immédiatement oublié.» La prise de position politique est-elle nécessaire pour l'écrivain? «Je suis tenté de dire oui, évoque-t-il après réflexion. Dans une ère comme la nôtre, toute personne qui a accès à une tribune devrait sentir cette obligation. Mais je ne jugerai personne qui décidera de se taire.» Être romancier, affirme-t-il, le pousse à se considérer comme un imposteur. Peut-être pour cette raison, son troisième ouvrage ne s'annonce pas comme une fiction, mais semble sujet à la polémique. Il puisera cette fois dans un thème hautement délicat pour l'Amérique profonde: la viande. «C'est un sujet qui m'obsède, ose-t-il. Je suis végétarien depuis l'âge de 9 ans. En fait, ça fonctionne par cycle, parce que lorsque je vivais à Paris, je mangeais de tout. Et puis, maintenant, je suis de nouveau végétarien.» En 2004, il avait fait la narration du documentaire américain If This Is Kosher, qui dénonçait la cruauté envers les animaux dans le processus de certification de la viande casher. «Cette fois, c'est autre chose, explique-t-il. Je viens de passer un an à visiter des fermes partout aux États-Unis, des grosses fermes industrielles aux petites fermettes familiales, en passant par les abattoirs. Et j'écris là-dessus, mais j'ignore encore ce que ça va donner.» Quand le nouvel ouvrage osera-t-il envahir les étals? «Croisez vos doigts, mais ne retenez pas votre souffle. Ça pourrait prendre encore un moment.» http://www.cyberpresse.ca/article/20080608/CPARTS02/806080542/1050/CPARTS02
  7. La conservation des grands singes en RDC reçoit plus de 360,000 $ de l'Espagne -------------------------------------------------------------------------------- Le gouvernement espagnol a contribué 368,000 $ à une initiative du Programme des Nations Unies pour l'Environnement(PNUE) visant à aider à protéger les gorilles, les chimpanzés et leurs habitats dans la République Démocratique du Congo(RDC). La nouvelle arrive alors que le pays continue à faire face à un des plus grands défis environnementaux en Afrique aujourd'hui. Les dernières années ont vu de plus en plus de tueries d'animaux rares une et de destruction de l'environnement alors que la région est en proie aux conflits. Tandis qu'une grave instabilité continue dans l'est du Congo, 500,000 personnes déplacées (IDP) se sont répandues à travers la région et les groupes rebelles ont occupé de grandes étendues de parcs nationaux et d'importants écosystèmes forestiers. Les fonds espagnols iront au Partenariat pour la survie des grands singes(GRASP) dans le cadre du programme du PNUE pour aider à améliorer la conservation des espèces et des écosystèmes menacés et économiquement importants. Le PNUE aide les autorités de la RDC à élaborer et développer de lois nationales sur l'environnement, facilite le dialogue dans la région et renforce la coopération pour faire face aux défis environnementaux du pays. Entre temps, le premier accord international pour la conservation des gorilles entre en vigueur le 1er Juin, offrant de l'espoir pour une nouvelle ère de protection pour les singes. L'accord a été conclu entre les dix Etats de l'aire de répartition des gorilles à Paris en Octobre 2007, sous les auspices de la Convention sur la conservation des espèces menacées(CMS). Achim Steiner, Sous-secrétaire général et Directeur exécutif du PNUE, a dit: "Le financement du gouvernement espagnol est un développement chaleureusement reçu pour ce pays et cette région troublés. À risque sont les ressources naturelles sur lesquels de nombreuses personnes de la RDC dépendent comme moyens de subsistance ". "Entre temps des lois sur l'environnement sont urgemment nécessaires pour que ces ressources naturelles soient exploitées par les sociétés internationales de manière d'une façon qui garantit leur intégrité et leur productivité pendant les années et les décennies à venir. Le gouvernement allemand est également en train d'augmenter son financement à la RDC à travers sa nouvelle initiative Life Web. J'encourage les autres pays à soutenir la population et la biodiversité de ce pays africain clé ", a-t-il ajouté. L'annonce du nouveau financement espagnol arrive alors que 191 pays se réunissent à Bonn pour une importante réunion sur la biodiversité dans le but de réduire sensiblement la perte de la biodiversité d'ici 2010. Les forêts de la RDC, qui couvrent un million de kilomètres carrés, sont un trésor pour la biodiversité. Certaines des espèces les plus rares et les plus remarquables du monde y habitent, y compris le bonobo(l'animal le plus proche de l'espèce humaine) et l'okapi(une girafe de foret unique) ainsi que de rares gorilles de montagne. Plus de la moitié des 720 gorilles de montagne qui restent dans le monde vivent dans l'Est de la RDC. Mais cette biodiversité est menacée en raison des décennies d'instabilité qui a dévasté le pays. L'instabilité affecte fortement les ressources naturelles et la faune de la région et la situation a été aggravée par des facteurs comme le manque de moyens pour renforcer les lois sur la faune et la flore; le braconnage généralisé, et la croissance rapide des activités minières et l'ouverture des forêts qui facilite l'accès à des zones forestières autrefois isolées. En 2007, sept gorilles de montagne ont été tués dans l'est de la RDC. Le parc national des Virunga, qui est au coeur des tensions et conflits actuels, a également vu une diminution de sa population d'hippopotames d'environ 29,000 à un troupeau de quelques centaines. Les éléphants sont également menacés: de nouveaux chiffres de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction(CITES) montrent des niveaux de braconnage alarmants en Afrique centrale-dans et autour de l'Est de la RDC. La CITES a constaté que l'Afrique centrale a des niveaux plus élevés de tueries illégales d'éléphants que le reste du continent: 73% d'éléphants morts dans région sont tués illégalement, par rapport à 17% en Afrique australe, 31% en Afrique de l'Ouest et 44% en Afrique de l'Est. En avril 2008, quatorze éléphants ont été tués au Parc national des Virunga. Le PNUE prépare actuellement une vaste stratégie visant à aider le gouvernement de la RDC à faire face à cet énorme défi. Le PNUE aide le Gouvernement à rédiger des lois sur l'environnement et facilite le dialogue des parties prenantes de la région transfrontalière des Virunga. L'organisation est également en train d'évaluer les possibilités pour renforcer la coopération entre la RDC, le Rwanda et l'Ouganda pour endiguer les flux illégaux de ressources naturelles telles que le charbon de bois et l'exploitation transfrontalières du pétrole et du gaz méthane. En outre, le PNUE délibère la question des camps de personnes déplacées qui dépendent fortement des forêts du Parc national des Virunga pour le bois de chauffage et le charbon. Une fois que la situation sécuritaire s'améliorera dans l'est de la RDC, le PNUE envisage également d'entreprendre une évaluation environnementale post-conflit dans la région. En outre, le PNUE et l'UNESCO ont obtenu un engagement de la Mission des Nations unies en RDC(MONUC) pour effectuer des patrouilles conjointement avec les gardes-forestiers de l'Institut Congolais pour la Conservation de la Nature(ICCN) lorsque la situation sera plus stable. D'autres partenaires internationaux travaillent également avec le PNUE et le gouvernement de la RDC pour favoriser la protection de l'écosystème et des espèces menacées de l'est de la RDC. Le Centre Patrimoine Mondial de l'UNESCO, avec l'aide de la MONUC, facilite actuellement le dialogue entre l'ICCN et les représentants des groupes armés présents dans le Parc national des Virunga. L'un des objectifs est de convaincre les groupes armés de permettre à l'ICCN de reprendre les patrouilles du parc, en particulier le secteur habité par les gorilles de montagne menacés qui est actuellement contrôlée par des groupes armés. CITES collabore également avec la Convention du patrimoine mondial dans la lutte contre le braconnage et le commerce illégal de la faune affectant les cinq sites du Patrimoine Mondial de la RDC, y compris les Virunga. Cela implique la coordination avec les pays voisins, la formation du personnel et le partage d'information. L'Union internationale pour la conservation de la nature(UICN) et l'UNESCO ont également envoyé des représentants à la RDC pour enquêter sur les abats des gorilles et aider à trouver des solutions. De nombreux groupes de société civile sont actives au niveau local. -------------------------------------------------------------------------------- News Press 09/06/2008 16:20 http://www.newspress.fr/communique_203301_2627.aspx
  8. Caro18

    Faire fortune avec la charité

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  9. Caro18

    Faire fortune avec la charité

    Chers bénévoles, Comme vous en avez probablement été témoin, le nouveau Conseil d´administration est extrêmement occupé depuis les5 3 dernières semaines. Nous avons dû examiner plusieurs dossiers prioritaires dans un court laps de temps. Conséquemment, nos communications avec vous n’ont pas été aussi fréquentes que nous l’aurions voulu. Nous nous en excusons sincèrement. Nous avons toujours voulu vous garder informés et, à partir d’aujourd’hui, nos communications avec vous seront plus régulières. Nous sommes conscients que plusieurs d’entre vous avez des questions et des inquiétudes, et ce courriel a pour but de répondre aux principales. Nous savons également que de l’information erronée circule et nous voulons que ayez les faits. Ce courriel est quelque peu long ; je l’ai donc divisé en sections. De cette façon, vous pourrez choisir de lire le tout ou simplement les sections qui touchent les sujets qui vous préoccupent. Assurez-vous, s’il vous plaît, de lire la dernière section à propos d’une rencontre prochaine du Conseil avec les bénévoles. Nomination des nouveaux membres du Conseil d´administration La façon dont le nouveau Conseil d´administration a été formé semble ambiguë pour certains. Tout a été fait dans le plus grand respect des règlements de la SPCA établies par l’ancien CA. Légalement, pour devenir membre, il fallait se soumettre à ces règlements, selon lesquels les membres de la SPCA peuvent nominer d’autres membres au Conseil d´administration. Ce règlement stipule que pour devenir membre du CA, il est possible de présenter sa candidature à l’Assemblée si appuyer par 25 membres de la SPCA. Ces documents ont par la suite été présentés à la personne qui était la secrétaire du Conseil à ce moment, Nancy Breitman, au moins 10 jours avant l’Assemblée annuelle générale spéciale qui s’est déroulée le 9 avril 2008, ceci toujours conformément aux règlements de la SPCA. Le fait que le nombre de nominés était inférieur au nombre de places disponibles sur le Conseil explique pourquoi les nominés ont automatiquement été assermentés et non élus après vote. Dans un cas où le nombre de nominations aurait été plus grand que le nombre de sièges disponibles, il y aurait eu un vote. Le rôle du Conseil d´administration et du Directeur exécutif Le rôle du Conseil d´administration est d’établir les politiques et les objectifs nécessaires à la réalisation des buts de la Société conformément à sa mission, pour ensuite s’assurer que le tout est respecté. Le Directeur exécutif, pour sa part, doit voir à l’implantation des politiques et objectifs identifiés par le Conseil via ses procédures. La SPCA et le Conseil d´administration connaissent présentement une situation particulière en regard de son Directeur exécutif, M. Pierre Barnoti étant en congé de maladie. Comme le Conseil doit s’assurer que le refuge puisse continuer à opérer et que la SPCA remplisse sa mission, nous avons dû nommer un Directeur exécutif par intérim. Comme vous le savez, nous avons nommé Jaimie Allister, Membre du Conseil d´administration et Trésorier, il y a de cela quelques semaines. Comme l’horaire de M. Allister ne lui permettait pas de pouvoir être présent à la SPCA quotidiennement, il a demandé à Alanna Devine d’être la directrice exécutive par intérim. Mme Devine reçoit de l’aide de Nancy Breitman, membre et présidente du Conseil. Toutes deux travaillent bénévolement. Cette situation particulière est temporaire. Le Conseil cherche présentement à engager Directeur exécutif par intérim. Une fois le nouveau directeur exécutif par intérim engagé, le Conseil reprendra son rôle. Comités Compte tenu du fait que le Conseil doit considérer de nombreuses facettes du refuge, nous avons créé des comités. Différents membres du Conseil travaillent sur différents comités. Ceci nous permet, dans un premier temps, de pouvoir étudier des questions spécifiques en profondeur et, dans un deuxième temps, d’utiliser nos compétences particulières au maximum. Par exemple, le Comité pour le bien-être des animaux, dont je fais partie, se penche entre autre sur la condition des animaux du refuge. Nous avons ranimé et construit des relations avec les autres refuges et organismes de secours afin de pouvoir y transférer des animaux lorsque ceux-ci ont des besoins particuliers ou lorsque le refuge reçoit plus d’animaux qu’il ne peut en contenir, comme c’est le cas présentement. La semaine dernière, par exemple, nous avons transféré 16 chiens du refuge de Laval à un refuge en Ontario, et plusieurs autres ont été transférés hier. Comme le nouveau Conseil d´administration a été créé il n’y a que moins d´un mois, les Comités n’en sont qu’à leur début. Comme les bénévoles, les employés et les gens de l’extérieur peuvent faire partie des comités, nous avons accueilli la bénévole Stéphanie Embriaco, chef d’équipe du programme des animaux exotiques, ainsi que Debbie Groves et Dominique Montreuil, tous deux employés de longue date, au sein du comité pour le bien-être des animaux afin de faire bénéficier le comité de leurs connaissances étendues des animaux exotiques, des chiens, des chats et de la faune (mouffettes, écureuils, etc) respectivement. Au fur et à mesure que nous identifierons les besoins du refuge et identifierons les actions à prendre pour adresser chaque besoin, nous serons plus aptes à identifier les types d’expertise nécessaire au sein des comités, et nous vous enverrons une liste desdits comités expliquant leurs buts, objectifs et besoins et ce, bientôt. Nous vous inviterons alors à nous contacter si vous êtes intéressés à joindre l’un d’entre eux. L’acceptation des candidats au sein d’un comité sera déterminée selon les compétences requises. Coordonnatrice des bénévoles et nouvelle position parmi le personnel Louise Allard, coordonnatrice des bénévoles, avait été mise à pied à l’automne 2007 pour des raisons financières ; depuis la semaine dernière, elle est de retour à ce poste. Louise est la créatrice du programme de bénévolat, programme inexistant avant son arrivée 4n 2003. Pendant ses 5 ans en tant que Coordonnatrice des bénévoles, elle a créé une foule de programmes qui palliaient aux besoins du refuge et de nos animaux. Elle cherche constamment à améliorer le programme des bénévoles et elle est toujours ouverte à de nouvelles façons d’y parvenir. Mme Allard a déjà commencé à reconstruire le solide programme des bénévoles qu’elle avait mis sur pied avant d’être mise à pied. Elle a trouvé des chefs d’équipe pour les programmes qui n’en avaient plus et a de plus ré-instauré deux programmes de bénévolat extrêmement importants. Nous sommes très enthousiastes à l’idée du retour des programmes d’Agents à l’information et des Perdus / Trouvés. Pour ceux qui ne sont devenus bénévoles qu’après l’automne dernier et qui ne connaissent pas ces deux programmes, voici un bref résumé. Le rôle de l’équipe des agents à l’information consiste principalement à accueillir les visiteurs lorsqu’ils entrent dans les divers chenils d’adoption, à répondre aux questions principales à propos des procédures d’adoption, des frais et des animaux, tout en aidant à diminuer la contagion rapide de la rhino et de la toux de chenil en s’assurant que les visiteurs ne touchent pas aux animaux. De plus, les agents à l’information aident à placer les chats ayant la rhino et les chiens ayant la toux de chenil au sein de foyers d’accueil temporaires et même au sein de familles permanentes en promouvant ces animaux auprès de gens qui désirent adopter. Une fois cette équipe remise sur pied, nous devrions constater une diminution du nombre d’animaux malades, comme était le cas avant l’automne dernier. La mission de l’équipe des Perdus / Trouvés est de fournir un service au public et aux animaux. Les bénévoles prennent les descriptions des animaux perdus et voient s’il y a des correspondances entre les animaux perdus et les animaux trouvés. Une partie importante de leur travail consiste à prêter une oreille amicale aux gens en détresse qui ont perdu un animal qui leur est cher, et de leur donner divers conseils afin de les aider à retrouver leur animal si celui-ci n’est pas au refuge. Comme plusieurs actions urgentes sont nécessaires, le Conseil a déterminé qu’il était impératif de créer une nouvelle position, soit celle du superviseur de projets spéciaux. La bénévole Anita Kapuscinska était la candidate parfaite. L’une de ses tâches sera de recruter des familles d’accueil. Trois employés ont été consultés par la Directrice des opérations et ils ont tous signifié que Mme Kapuscinska était celle qu’ils souhaitaient avoir pour recruter des familles d’accueil. Pour le moment cependant, Mme Kapusciska doit aider la directrice exécutive par intérim pour certaines tâches urgentes. Le salaire de Mme Kapuscinska est confidentiel ; nous pouvons cependant vous dire qu’il se situe à l’intérieur de l’échelle salariale des employés performant des tâches similaires au sein refuge. Le taux horaire dont les rumeurs font mention est faux. Rencontre des bénévoles avec le Conseil d´administration Le Conseil aimerait vous inviter à la toute première rencontre Bénévoles / Conseil d´administration, ce dimanche le 11 mai, de 9h à 11h, à l’École de formation de la SPCA, située au 7314, Mountain Sights. Cette rencontre sera une opportunité pour ceux d’entre nous qui ne nous sommes jamais rencontrés de le faire. Nous vous parlerons des buts du Conseil, vous informerons de ce que nous avons fait et planifions de faire pour la SPCA et, naturellement, nous serons disponibles afin de répondre à vos questions et de discuter vos inquiétudes. Veuillez s’il vous plaît confirmer votre présence en écrivant à Louise Allard, coordonnatrice des bénévoles, alloloulou@yahoo.ca D’ici là, si vous avez des questions ou des inquiétudes, n’hésitez pas à contacter votre coordonnatrice des bénévoles. Mme Allard vous fournira toujours de l’information précise et valide ; si elle ne connaît pas la réponse à votre question, elle demandera à la directrice exécutive par intérim ou au Conseil d´administration afin de s’assurer que l’information que vous recevrez sera factuelle. En terminant, je désire vous remercier, au nom du Conseil d´administration, pour votre précieuse présence, votre travail et votre collaboration. Nous avons hâte de vous voir à la rencontre des bénévoles ! Sincèrement, Marie-Claude Cadieux, Membre du Conseil d´administration, Vice-Présidente ---------http://www.iheartpaws.com/forums/showthread.php?p=113700--------
  10. Caro18

    Faire fortune avec la charité

    Mardi 20 mai 2008 LE NEW YORK TIME ET LA SPCA INTERNATIONAL Il est bizarre de constater que le New York Time consacre 2 pages sur 6 pour un reportage sur la SPCA International et que nos journaux locaux francophones en parlent si peu ou presque, un petit reportage en page 33 au journal de Montréal avec quelques données c’est tout. POUQUOI ? Que voulez vous nous sommes un peuple ou l'aveuglement règne en maître ou que l'on maintient dans l'ignorance. Il semblerait que certains médias ne veulent toujours pas en parler. Enfin passons, je vous explique la SPCA Internationale et vous fait un résumé du reportage du New York Time, pour ceux et celles que cela intéressent. La SPCA International qui a été fondée le 17 juin 2006 par Pierre Barnoti, Howard Sholzberg et Michel Poulos, ces deux derniers étant membres du conseil d'administration de la SPCA de Montréal d'alors. La SPCA International fait des campagnes de financement dans le même ordre que la SPCA canadienne a fait durant plus de 5 ans et qui a amasser plus de 8 000 000, 00 $ et qui a coûter plus de 12 000 000, 00 $ à la SPCA de Montréal, donc un déficit de plus de 4 millions. Pierre Barnoti créa, donc la SPCA International, qui a pour but d’amasser des dons à travers le monde. En effet, lors de la campagne SPCA canadienne, Barnoti et les membres du conseil d’administration en poste ont tenté une percée aux USA sans trop de succès et c’est compréhensible puisque le nom SPCA canadienne n’est pas très vendeur aux USA. Alors vient l’idée de la SPCA International vers l’an 2000. S’ensuit la création au Delaware en juin 2006 de la SPCA International et le début des campagnes fait par la compagnie Quadrigua, qui soit dit en passant, fait aussi les campagnes de financement pour la SPCA canadienne. De plus la SPCA de Montréal a hypothéqué pour 1 million de dollars le bâtiment de la SPCA de Montréal pour payer le cautionnement qu’exige la compagnie Quadrigua. Là ne s’arrête pas la création de la compagnie SPCA International NON ! Le site spca.com a été commandité par la compagnie Hill’s en 1996 pour la SPCA de Montréal et il a été crée le 21 octobre 1996. De 1996 à juin 2006 lorsque vous cliquiez sur spca.com apparaissait la SPCA de Montréal jusqu’en juin 2006. Mais à partir de juin 2006 la SPCA International est apparue comme par magie et la SPCA de Montréal est disparue. Pourtant le site appartenait et appartient toujours à la SPCA de Montréal. Un exemple vous prenez un tableau de Picasso et vous effacez sa signature et mettez celle de Barnoti, Sholzberg et Poulos à la place que diriez-vous ! Trouveriez-vous que le tableau leur appartient ou non ? Pour ceux et celles qui connaissent Internet il est facile de retracer le tout. Tout ce qui apparaît sur Internet garde des traces les archives existe. De plus, toutes les informations que j’ai remisent à CTV étaient et sont encore des informations publiques autant au USA qu’au Québec. Depuis ce temps la SPCA International fait des campagnes de financement par le biais de spca.com. Il a été démontré par CTV que la SPCA International n’a qu’un numéro de taxe et non un numéro de charité, que la SPCA International a recueillis pas moins de 1 millions de dollars américain et qu’ils ont remis que 9000 $. Que le bureau chef de la SCPA situé en Californie est bidon etc. Le New York Time dans son édition du 18 mai 2008 relate les faits tels que : les parutions des reportages de CTV News, des manifestations, des voyages de Barnoti et des campagnes de la SPCA canadienne. Il explique aussi que l’ARC agence de revenu canada a débuté une enquête. Il explique aussi que l’élection du nouveau conseil d’administration qui affirme tenter de résoudre le mystère Internet. Pourtant il est bien résolu le mystère Internet depuis juin 2006. Le New York Time affirme aussi que l'entreprise de M. Gordon qui a conçu le site SPCA.com, et James D. Winston, un associé de longue date de M. Gordon, apparaissent sur les documents fiscaux que l'organisation. M. Gordon un homme impliqué jadis dans une fraude et sur des sites pornographiques sur le WEB. Ils ajoutent qu’une nouvelle entité, soit la Fondation SPCA vient de voir le jour. Le New York Time affirme aussi que, selon Californie Corporate Records, la fondation a été enregistrée comme une société à but lucratif en août dernier par l'avocat de M. Gordon, M. Woodlief, qui lui est relié à la fondation et la SPCA International. En ce qui concerne la SPCA International, M. Gordon ne semble avoir aucun rôle opérationnel. Malgré cela, le groupe est impliqué dans une série d'initiatives. Chaque semaines, la SPCA international sélectionne un "chenil" dans le monde entier et demande ensuite l'argent sous cette représentation et pour l’organisme choisi. Quatre des cinq centres qui ont été choisies pour recevoir cette distinction déclarent qu'ils ont reçu 1000 $ et une plaque honorifique. Le cinquième chenil, Welfare of Our Furry Friends, in West Sacramento, en Californie, disent qu’ils ont reçu 48 $. La SPCA International a également entrepris un autre projet. L'année dernière, elle a créée un programme appelé Opération Bagdad Pups qui tente de sauver les chiens errants en Irak au nom des soldats américains qui se sont lié avec eux. Le programme est géré par Terri Crisp, qui est surtout connu comme la fondatrice de Noah's Wish. En Octobre dernier, Noah's Wish a été l’objet d’une enquête par le procureur général de Californie et a accepté de verser 4 millions de dollars sur les allégations selon lesquelles elle a détourné, les dons qu'elle a reçu après le passage du cyclone Katrina. Dans une interview, Mme Crisp a refusé de discuter des problèmes de la Noah's Wish. Mais elle dit SPCA international est "à ses débuts" et tente de «trouver quelque chose d'unique pour faire une différence pour les animaux." L’histoire se répète ici tout comme à Montréal la SPCA International n’a pas déposé son bilan annuel et a demandé une prolongation. De plus comme au Canada et au Québec les campagnes de financement et le site SPCA International sème la confusion au USA et les gens croient que les SPCA International englobe toutes les SPCA du monde. Auparavant avec la SPCA canadienne Barnoti et ses acolytes ainsi que les membres du conseil d’administration en poste (Trois sont toujours membres du CA actuel Allister, Breitman et Malcom) semaient la confusion en laissant croire aux donateurs que la SPCA canadienne était le bureau chef des SPCA partout au Canada maintenant c’est partout dans le monde. En attendant le nouveau conseil d’administration de la SPCA de Montréal cherche toujours comment faire pour rapatrier le nom de domaine et cherche à comprendre le fouillis pour le site spca.com. BIZARRE NON, COMME IMPRESSION DE DÉJÀ VU ! http://www.nytimes.com/2008/05/18/technology/18gordo.html?pagewanted=5&ei=5087&em&en=64ab0ea3d6207abf&ex=1211428800 La Source http://la_source.monblogue.branchez-vous.com/
  11. Caro18

    Un piège dangereux

    Cas similaire en Europe, mais avec des conséquences plus sérieuses pour les contrevenants! Le commandement de la Police cantonale vaudoise communique : A mi-juin 2002, un renard a dû être abattu par les gendarmes du Sentier à la Vallée de Joux, à la suite de blessures infligées par un braconnier voulant récupérer un piège à mâchoires tendu par son épouse et dans lequel l'animal s'était pris, le blessant grièvement à une patte. C'est un renard, grièvement blessé, mais vivant que les gendarmes du Sentier ont découvert dans une haie au Rocheray, commune du Chenit, à mi-juin 2002. L'animal présentait une profonde blessure à une patte, due incontestablement aux mâchoires d'un piège, ainsi que diverses lésions nécessitant sa mise à mort pour abréger ses souffrances. L'enquête effectuée a permis de confondre un couple domiciliés à La Vallée, dont l'homme a été vu frappant l'animal à coup de gourdin, afin de récupérer son piège, toujours accroché à la patte du malheureux renard. L'auteur, âgé de 67 ans, chasseur et pêcheur ainsi que son épouse ont été déférés au Juge d'instruction du Nord vaudois pour mauvais traitements envers les animaux et infraction à la Loi sur la faune.
  12. Caro18

    Un piège dangereux

    Un piège dangereux Vincent Guilbault Un piège illégal aurait pu tuer un chat, un chien ou carrément blessé un enfant, selon Nicolas Gemme, résidant de Belœil. C'est une mouffette qui a perdu la vie, la nuque brisée, sur le terrain d'une propriété située à l'intersection des rues Biron et Richelieu, mercredi, à Belœil. La bête a été tuée par un piège à mâchoires, installée à quelques pieds seulement du trottoir. «Un enfant aurait pu se prendre dans le piège, a dit Nicolas Gemme, en colère . J'ai vu un attroupement de personnes, alors je suis arrêté. J'ai tenté de libérer l'animal, mais je n'ai même pas été capable d'ouvrir le piège. J'ai appelé la police, mais elle n'est pas intervenue.» La Société de contrôle d'animaux domestiques (SCDD) a été déplacée sur les lieux, mais c'est finalement la Société pour la protection des animaux (SPCA) qui est intervenue. Linda Robertson, employée de la SPCA, a dû endormir l'animal qui souffrait. «C'est la première fois que je vois ce type de piège en ville», a-t-elle avoué. Pour ce qui est de la possibilité d'une enquête, Mme Robertson reste sceptique. «Comme le propriétaire du terrain a nié avoir placé le piège et que son voisin a tenu le même discours, nous ne pouvons pas faire grand chose.» Du côté de la Régie de police Richelieu?Saint-Laurent, le capitaine Harry Wadup a indiqué qu'il n'avait pas pris conscience du dossier pour le moment et qu'il était encore trop tôt pour parler d'une enquête. http://www.hebdos.net/orb/edition242008/articles.asp?article_id=210749
  13. Encore des animaux mal en point à Sainte-Anne-du-Sault par Claude Thibodeau Voir tous les articles de Claude Thibodeau Article mis en ligne le 8 juin 2008 à 10:56 Soyez le premier à commenter cet article À la suite d’un signalement, les policiers de la Sûreté du Québec de la MRC d’Arthabaska ont découvert, samedi, une quarantaine d’animaux mal en point sur une ferme du Rang 2 à Sainte-Anne-du-Sault. Les animaux, selon la SQ, n’étaient pas nourris et certains, un chevreau et trois veaux, sont morts affamés. Sur les lieux, les policiers ont constaté la présence de plusieurs bêtes rachitiques, 17 chevreaux, 8 veaux, 1 vache, 3 chèvres, 1 bouc et 6 poules. Un porte-parole de la SQ a confié que le propriétaire, aux prises avec des problèmes financiers, avait mis sa propriété en vente et entrepris des démarches pour qu’on récupère ses animaux, ce qui devait se faire en début de semaine. Mais voilà qu’un acheteur potentiel, après avoir visité les lieux, a dénoncé la piètre condition des animaux. ( Bravo à cet homme ) Aucune arrestation n’a été effectuée. Et la SQ fait valoir l’absence d’éléments criminels dans les circonstances. Le dossier a été confié à la Société protectrice des animaux d’Arthabaska. Cette affaire, par ailleurs, n’a aucun lien, affirme la SQ, avec le cas mis au jour à la mi-avril. Les policiers, à la suite d’un appel d’un citoyen, avaient découvert, sur une ferme de Sainte-Anne-du-Sault, une cinquantaine d’animaux, dont une trentaine de moutons, maltraités, certains étant déjà morts. Réagissez à cet article http://www.lanouvelle.net/article-220735-Encore-des-animaux-mal-en-point-a-SainteAnneduSault.html
  14. Animaux de compagnie La stérilisation obligatoire? Johanne Tassé demande au ministre de l’Agriculture une législation pour stériliser les animaux de compagnie dans les fourrières et les refuges destinés à l’adoption Le gouvernement devrait légiférer pour rendre obligatoire la stérilisation des animaux de compagnie dans tous les refuges et les fourrières avant qu'ils ne soient mis en vente ou en adoption. C'est ce que propose Johanne Tassé, directrice des Centres d'adoption des animaux de compagnie du Québec, qui déplore que trop d'animaux, surtout des chiens et des chats, soient abandonnés par insouciance. Elle s'inquiète d'autant plus que la période des déménagements arrive à grands pas et qu'à cette occasion, nombre de personnes abandonneront leur animal. «La conséquence est grave. Les fourrières ne peuvent garder tous ces animaux et elles doivent euthanasier des milliers d'animaux», dit-elle. «Depuis le mois d'avril, j'ai transporté 46 chiens pour adoption à Toronto parce que les refuges débordent. Ça n'a aucun sens», dit-elle. Une solution serait d'obliger tous les refuges et fourrières à stériliser les animaux avant adoption, soutient- elle. Selon l'Académie de médecine vétérinaire, il y a 1 452 000 chats au Québec, soit 1,57 minou par foyer. Ce chiffre ne tient pas compte des chats errants ou vivant temporairement dans les boutiques d'animaux ou les refuges. Par ailleurs, l'Académie, selon son sondage qui date de quelques mois, estime que la population approximative de chiens se situerait à 880 000 pour l'ensemble du Québec. D'après l'Académie des vétérinaires, l'an dernier, à 750 000 occasions, les Québécois se sont départis, volontairement ou non, de leurs chats et de leurs chiens. Un bien meuble «Notre société est indifférente. Elle se débarrasse de ses animaux comme s'il s'agissait d'un bien meuble», a dit Patricia Tulasne, de la Société québécoise pour la défense des animaux. «Tenter de donner un animal à un ami ou à un membre de la famille est un geste responsable», ajoute-t-elle. Selon Johanne Tassé, depuis que l'État du New Hampshire a adopté un programme de stérilisation, le taux d'euthanasie a chuté de 70% en 8 ans. Dans la ville de New York, la stérilisation est aussi obligatoire. «Pourquoi ne pas créer un programme de stérilisation mobile afin de limiter la surpopulation des animaux», s'interroge-t-elle. «Montréal est une des villes en Amérique du Nord où l'on trouve le plus de chats errants», selon Patricia Tulasne. Animaux abandonnés En 2007, un chat a été donné, vendu ou euthanasié à 491 000 occasions. Le nombre d'abandons de chiens a été de 261 000. Les Québécois se sont départis de 25 % de tous les chats et chatons qu'ils ont logés en 2007 et de 23 % de tous les chiens et chiots. Un appel à faire preuve de civisme Trouver un foyer à son animal au lieu de s'en départir est la responsabilité des citoyens, rappelle Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal. Tout en lançant une campagne d'information hier, il a invité la population à faire preuve de civisme. Il était accompagné de Patricia Tulasne et de Johanne Tassé qui, toutes deux, se préoccupent depuis longtemps du sort des animaux de compagnie. Alan DeSousa souhaite que l'exemple de son arrondissement, Saint-Laurent, soit adopté par l'ensemble des arrondissements dans leur effort pour contrer l'abandon des bêtes. «Nous menons un projet pilote qui semble porter ses fruits», dit-il. Les chats errants, nombreux près des voies ferrées, sont capturés puis amenés au cégep pour être castrés. Ils sont ensuite remis en liberté dans le même secteur, ce qui empêche la formation d'une nouvelle colonie de chats errants. Un contrôle de la population est ainsi exercé, évitant l'euthanasie à ces animaux. Internet «Nous avons aussi un site Web sur lequel les photos des chiens errants et capturés sont mises. Leurs propriétaires peuvent les retrouver ainsi.» L'Académie des médecins vétérinaires du Québec estime qu'il y aurait environ 484 000 chats dans les foyers du Grand Montréal. La stérilisation contribue à réduire les populations d'animaux de compagnie non désirés et aide à maintenir la santé de l'animal. Source: Académie des médecins vétérinaires du Québec. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/06/20080608-085205.html
  15. Vous déménagez! M'avez-vous oublié? MONTREAL, le 7 juin /CNW Telbec/ - A nouveau cette année, la Ville de Montréal et la Société québécoise pour la défense des animaux (SQDA) lancent un appel à la responsabilité et au civisme des citoyens pour contrer les abandons des animaux domestiques qui surviennent lors de la période des déménagements. "Les raisons pour abandonner son animal de compagnie sont nombreuses. Mais sans conteste, le plus gros des abandons survient pendant la période des déménagements", fait remarquer Mme Patricia Tulasne, porte-parole de la SQDA. "En juillet, il n'est pas rare de trouver dans les appartements déserts des chats ou des chiens, quand ce n'est pas tout simplement dans la rue, ou même dans la nature. Montréal est malheureusement une des villes en Amérique du Nord où l'on trouve le plus de chats errants". Pour sa part, M. Alan DeSousa, membre du Comité exécutif et maire de Saint-Laurent insiste sur le fait que les citoyens ont la responsabilité de trouver un nouveau foyer pour leur animal s'ils veulent ou s'ils doivent s'en départir. "Dites-le à vos amis et à votre famille. Au besoin, placez des petites annonces. Votre animal ne pourra se reloger sans votre aide. Et surtout, ne l'abandonnez pas dans la rue ou dans la nature en espérant qu'un bon Samaritain s'en occupera. C'est inconscient et cruel car la plupart du temps, il mourra de froid, de faim, de maladie, ou sera tout simplement écrasé". Quant au recours aux fourrières, la SQDA souligne qu'une forte proportion des animaux qu'on y amène sont euthanasiés dans les jours suivant leur arrivée, faute de trouver une famille d'accueil. Evitez aussi d'adopter un animal pour la période des vacances si vous n'avez pas l'intention de le garder par la suite. On déplore un trop grand nombre d'animaux abandonnés à la fin du mois d'août. "Les Centres d'adoptions des Animaux de compagnie du Québec encourage la SQDA et la Ville de Montréal dans leur campagne de sensibilisation auprès des propriétaires des animaux de compagnie à être responsable et prendre les mesures nécessaires et viables pour trouver un nouveau foyer pour leur animal. Du fait même souvent ces animaux ont été des achats par impulsion et ce sont eux qui souffrent", a déclaré Mme Johanne Tassé, porte-parole de la CAACQ. Au Québec, 45% des ménages possèdent un animal domestique. D'après les statistiques, ils ne le gardent chez eux que deux ans en moyenne. C'est ainsi que chaque année, près des milliers de chats et chiens sont abandonnés, notamment lors des déménagements. Rappelez-vous que si vous gardez un animal de compagnie, vous devriez voir à le faire opérer. La stérilisation contribue énormément à réduire les populations d'animaux de compagnies non désirés. De plus, elle peut contribuer au maintien de la santé de votre animal. Renseignements: Darren Becker, Attaché de presse, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412; Patricia Tulasne, Société québécoise pour la défense des animaux, (514) 792-5454; Johanne Tassé, CAACQ, (514) 232-6282 http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/June2008/07/c9594.html
  16. Le dimanche 08 juin 2008 Les refuges pour animaux débordent Violaine Ballivy La Presse Les refuges pour chiens et chats de la région de Montréal débordent. Le problème n'est pas nouveau mais il atteindrait cette année des proportions inégalées. La Ville et les organismes de protection des animaux sonnent l'alarme. Jeudi dernier, pour la sixième fois depuis le début du printemps, Johanne Tassé a quitté Montréal avec huit chiens abandonnés qu'elle allait confier aux bons soins d'un refuge de Toronto. Il n'y avait plus de place pour eux ici. C'était donc cela ou l'euthanasie, une solution qu'elle refuse d'envisager. «Cela fait 10 ans que je travaille dans ce domaine, et je n'ai jamais vu cela. Je n'ai jamais vu autant d'animaux abandonnés», dit la porte-parole des Centres d'adoption des animaux de compagnie du Québec. La situation est d'autant plus préoccupante que la période des déménagements est à nos portes. «En juillet, il n'est pas rare de trouver dans des appartements déserts des chats ou des chiens abandonnés par leur propriétaire. Montréal est l'une des villes où l'on trouve le plus de chats errants», affirme-t-elle. Du coup, la situation pourrait s'aggraver au cours des prochains jours. La Ville de Montréal fait pourtant campagne depuis quelques années déjà afin de sensibiliser les citoyens à l'importance de trouver un famille d'accueil pour leur meilleur ami s'ils ne peuvent l'emmener avec eux dans leur nouvelle maison. L'ennui, c'est que le message n'a été compris qu'à moitié. «Maintenant, les gens n'abandonnent plus leurs animaux dans la rue mais dans les refuges, où l'on procède parfois à des euthanasies massives. La situation a empiré», déplore aussi Patricia Tulasne, porte-parole de la Société québécoise pour la protection des animaux. Mais les organisations responsables de la protection des animaux n'ont pas interpellé que les citoyens, hier. Les autorités municipales et gouvernementales devraient faire plus et mettre sur pied des programmes de stérilisation à grande échelle, croient Johanne Tassé et Patricia Tulasne. «Mes voisins ont deux chattes et deux chiennes enceintes. Dans deux semaines, il y aura au moins 22 chiots et chatons de plus dans le quartier. Il faudra leur trouver un foyer. Ce n'est pas vrai que ce sera facile», relève Mme Tulasne. Elle estime ainsi que, au lieu d'investir pour refleurir les rues, par exemple, les autorités municipales devraient plutôt soutenir financièrement les citoyens qui désirent stériliser leur animal de compagnie mais n'en ont pas les moyens. «Nous n'envoyons pas un bon message à la société.» Hier, le conseiller municipal Alan DeSousa a souligné que la Ville offre un rabais sur le prix des médailles pour les chats et les chiens qui sont stérilisés. De son côté, Johanne Tassé estime que Québec devrait permettre à des cliniques mobiles de stériliser chats et chiens à coût très modique. D'ici là, un seul mot d'ordre: «Stérilisez et gardez votre animal.» http://www.cyberpresse.ca/article/20080608/CPACTUALITES/806080498/5155/CPACTUALITES
  17. Un organisme veut freiner l'abandon des animaux de compagnie le 1er juilletIl y a 19 heures MONTREAL — Avec la période des déménagements qui approche au Québec, la Société québécoise pour la défense des animaux veut diminuer le nombre d'abandons des animaux de compagnie. Si les abandons dans les rues sont moins fréquents, les refuges pour animaux sont déjà pleins, déplore la porte-parole de la Société, Patricia Tulasne. Mme Tulasne croit qu'il faut trouver un nouvel environnement à son animal de compagnie si on veut s'en départir. Autrement, le laisser dans la nature signifie une mort certaine pour l'animal. Pour réduire les recours à l'euthanasie, la porte-parole de la Société estime qu'il faut contrôler la population animale par la création de cliniques de stérilisation puisqu'il est plus efficace de "stériliser un animal que d'en euthanasier cinq". Questionnée sur les problèmes de mauvaise gestion et des irrégularités financières de la SPCA, Mme Tulasne a affirmé être "heureuse" du départ de l'ancien président Pierre Barnoti. Selon elle, même si la situation n'est pas rose à la SPCA, le directeur par intérim James Allister mérite d'avoir sa chance comme administrateur. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hvrOXq0QvkzVvHIh5vXJO61GrIlg
  18. Appel au civisme Trop d’animaux abandonnés lors des déménagements Canoë Geneviève Riel-Roberge 07/06/2008 18h39 Au Québec, 500 000 animaux sont abandonnés chaque année. À l’arrivée du premier juillet, plusieurs animaux seront malheureusement abandonnés par leur propriétaire dans un logement désert. La Ville de Montréal et la Société québécoise pour la défense des animaux (SQDA) ont lancé un appel au civisme des citoyens pour contrer le phénomène. Le recours aux fourrières ne semble pas non plus une solution, une forte proportion des animaux qui y sont ramenés étant euthanasiés quelques jours après leur arrivée. «Les façons traditionnelles de gérer la surpopulation des animaux domestiques ne fonctionnent plus au Québec», a mentionné en entrevue Johanne Tassé, porte-parole des Centres d’Adoptions des Animaux de Compagnie du Québec, où tous les animaux sont stérilisés avant d’être prêts pour l’adoption. Celle qui œuvre depuis onze ans dans le sauvetage d’animaux abandonnés décrie le fait que le nombre d’animaux abandonnés et euthanasiés soit en constante hausse. «Ça fait 11 ans que je suis dans le sauvetage d’animaux et je n’ai jamais vu autant d’abandons. Ou on les entrepose, ou on les euthanasie, la situation est alarmante», a affirmé celle qui attribue en grande partie cette hausse d’abandons aux achats impulsifs et à la perception qu’ont les Québécois des animaux. «Pour l’anglophone, l’animal de compagnie est perçu comme un membre de la famille à part entière. Pas pour le Québécois, qui le voit davantage comme un simple bien». Un bien meuble La porte-parole de la Société québécoise pour la défense des animaux (SDQA), Patricia Tulasne, a elle aussi déploré, en entrevue, l’absence de statut des animaux. «L’animal, dans le code civil, est considéré comme un bien meuble. Souvent, les gens ne sont pas assez responsables face à leurs animaux. Ils ont un coup de cœur dans une animalerie et ils achètent sans se poser de question.» Elle a d’ailleurs précisé qu’il serait préférable que les gens s’interrogent sérieusement, avant l’achat, sur le sort d’un animal en cas de déménagement, de maladie, de divorce, de changement de conjoint ou de quelque autre motif pouvant les amener à reconsidérer la question d’en être propriétaire. Problème de société Patricia Tulasne a aussi évoqué la possibilité que des programmes municipaux soient instaurés afin que les propriétaires d’animaux moins fortunés aient, malgré tout, accès à la stérilisation de leur animal à moindre coût. Elle considère d’ailleurs le phénomène de la surpopulation animale comme un véritable problème de société. «Personne n’apprécie que des chats errants urinent sur leur terrain. La surpopulation domestique devrait être considérée par les villes comme un problème de société, au même titre que les nids de poule ou l’état de l’aménagement urbain», a ajouté celle qui a généreusement accueilli, chez elle, en campagne, 18 chats, certainement traités aux petits oignons. Adoption Chats Sans Abri Sylvain Bissonnette, président du conseil d’administration de l’organisme - sans but lucratif - Adoption Chats Sans Abri, à Limoilou, prévoit recevoir, durant la saison, entre 30 et 40 appels par semaine de gens désirant se départir de leur chat. «On conseille aux gens de chercher quelqu’un, dans leur entourage, qui pourrait adopter leur animal». Une des missions du centre est aussi la stérilisation. «Parce que deux chats, peuvent produire, avec toutes les générations de chatons subséquentes, 21 000 chats en quatre ans», a-t-il spécifié. Un questionnaire est aussi remis aux gens désireux d’adopter un chat, afin d’estimer avec réalisme le sérieux de leur démarche. «Il y a une grosse éducation à faire. Un chat, ça n’est pas une plante verte. Il faut que les gens soient responsables», a-t-il conclu. Au Québec, 45% des ménages possèdent un animal domestique. Les statistiques démontrent qu’en moyenne, chacun n’est gardé que deux ans par ses propriétaires. Au Québec, 350 000 chats sont euthanasiés chaque année. http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2008/06/20080607-183938.html
  19. Brigitte Bardot se dit "lassée" par ses combats mais "pas prête à se taire" Il y a 23 heures PARIS — Brigitte Bardot "combat sans opérer de distinction, ou stigmatiser telle ou telle catégorie de personnes". Malgré une nouvelle condamnation pour incitation à la haine raciale, l'actrice n'entend pas se taire, selon son avocat qui explique la véhémence de sa cliente par sa "lassitude" à ne pas être entendue sur les conditions d'abattage des moutons. "C'est son action militante, à l'endroit de toute la condition animale, induite par le comportement de l'homme dont il s'agit", a expliqué jeudi à l'Associated Press Me François-Xavier Kelidjian. "C'est vrai que souvent je m'emporte, mais quand je vois la lenteur à laquelle le choses avancent alors que je ne suis pas éternelle, et en dépit de toutes les promesses qui m'ont été faites tous gouvernements confondus, c'est mon désarroi qui prend le pas", expliquait elle-même B.B à l'AP en septembre dernier, alors qu'elle fêtait son 73 anniversaire, entourée de chiens et de chats recueillis au siège de sa fondation à Paris. L'ancienne actrice a été condamnée mardi par le tribunal correctionnel de Paris à 15 000 euros (23 000 $)d'amende pour des propos tenus dans une lettre envoyée en 2006 à Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur à l'époque. "Il y en a marre d'être menés par le bout du nez par toute cette population qui nous détruit, détruit notre pays en imposant ses actes", déclarait-elle en référence à la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir et aux pratiques d'abattage des moutons. Son avocat, qui réfléchit à interjeter appel, a expliqué jeudi que "depuis des années", sa cliente a multiplié les démarches auprès de plus hautes autorités de l'Etat et des autorités religieuses. La lettre adressée le 31 octobre 2006 à M. Sarkozy alors ministre de l'Intérieur et des Cultes, était à l'époque "celle de la présidente d'une fondation de la protection animale", émue "une fois encore de la condition réservée à l'animal" dans le cadre du sacrifice rituel de l'Aïd el-Kébir, qui marque la fin du ramadan chez les musulmans. Il transparaît dans cet écrit que Brigitte Bardot fait preuve "d'une lassitude, voire d'un épuisement", a-t-il expliqué, notant que Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris, avait notamment jugé que l'Islam n'était pas hostile à l'étourdissement préalable des animaux à sacrifier, permettant qu'ils soient égorgés sans souffrance, dès l'instant où il était réversible. En décembre 2006, M. Sarkozy répondait à Brigitte Bardot, après enquête de l'Académie vétérinaire, qu'il "demanderait à ce que les abattoirs 'hallal' s'engagent concrètement et rapidement dans la voie d'une généralisation de l'étourdissement préalable". Devenu président, Nicolas Sarkozy a réitéré son engagement en recevant Brigitte Bardot le jour de son dernier anniversaire. Brigitte Bardot s'était émue de la situation similaire de tous les animaux sacrifiés par les trois religions du Livre, notamment auprès de l'archevêque de Paris Mgr André Vingt-Trois et du Grand rabbin de France, Joseph Sitruk, ajoute son avocat. Mardi, il avait expliqué que l'ancienne star du cinéma français était "lasse de ce type de poursuites. Elle a l'impression qu'on veut la faire taire. On ne la fera pas taire dans sa défense animale". "Je suis écoeurée de prêcher ainsi dans le désert", confiait récemment à l'AP Brigitte Bardot, végétarienne depuis 31 ans. "Oui, je suis lasse, mais tant que je vivrais, jamais on ne me fera taire. Jamais". http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5it6uHZlLorc5EDrBDAXaHRDc2N7w
  20. Les chats de Pékin sont en danger A Pékin, les chats abandonnés et les chats errants capturés sont détenus dans des conditions effroyables dans les fourrières municipales avant d’y être tués. Le gouvernement veut nettoyer la ville pour les prochains Jeux olympiques. ActAsia et One Voice veulent sensibiliser les autorités pékinoises à l’importance de traiter éthiquement le problème des animaux abandonnés et errants. L’image de la ville, qui accueillera des visiteurs internationaux cet été, en dépend. Les chats errants de Pékin sont en danger. Des milliers d’entre eux sont menacés par les mesures prises par le gouvernement chinois dans le cadre du « nettoyage » de la ville pour préparer les Jeux olympiques 2008. Les chats errants sont chassés des rues et des lieux publics de Pékin. Fin 2007, la municipalité a mis en place deux fourrières pour y enfermer les chats errants et ceux abandonnés par leurs propriétaires et a incité les habitants de la ville à les y amener. En visitant ces fourrières, les défenseurs des animaux ont constaté que les chats étaient détenus dans des conditions effroyables. Beaucoup sont malades et ne reçoivent aucun traitement. Ils sont enfermés dans des cages minuscules (30 cm sur 30 cm) empilées les unes sur les autres. En janvier, l’association Lucky Cats et d’autres défenseurs des animaux ont rencontré le directeur adjoint du Centre d’inspection de la santé animale. Ils ont suggéré que la municipalité apporte des améliorations à ces structures : augmenter la taille des cages, isoler les chats malades et les faire soigner, ne pas capturer les chats des rues stérilisés et ceux qui sont identifiés. Les défenseurs des animaux ont proposé d’organiser des campagnes de stérilisation et d’identification (notamment par une marque à l’oreille) des chats des rues. Les associations de protection animale demandent que, lorsqu’un chat stérilisé est capturé, l’association à laquelle il appartient soit prévenue pour qu’elle puisse venir le chercher. Le public doit être informé sur les conditions de vie et le devenir des chats dans les fourrières de Pékin : ils sont euthanasiés au bout de 14 jours. Les autorités ont accepté d’informer les associations lorsqu’une fourrière reçoit un chat stérilisé mais celles-ci n’ont plus le droit de faire sortir d’autres chats des fourrières. Les chats des fourrières peuvent être adoptés à condition que les futurs propriétaires n’aient pas d’autres chats chez eux et le prouvent par un certificat administratif. Pour l’instant, la majorité des chats présents dans les fourrières ont été abandonnés par leurs propriétaires. Ces abandons massifs résultent de campagnes gouvernementales sur les dangers pour la santé de posséder un chat. Ces campagnes véhiculent en outre une image idyllique et fausse de la vie d’un chat dans une fourrière. Les associations tentent de contrecarrer ces campagnes en informant le public sur les terribles conditions de vie des chats dans les fourrières de Pékin et sur le sort fatal qui les y attend. Elles rétablissent la vérité scientifique - vivre avec un chat bien entretenu et soigné n’est pas dangereux – et expliquent comment prendre soin d’un chat. La municipalité de Pékin envisage maintenant d’augmenter les captures de chats errants. Il est donc urgent et nécessaire de lui faire comprendre que capturer et tuer les chats ne résoudra pas le problème des animaux errants : des propriétaires peu scrupuleux ou effrayés par de (fausses) menaces pour leur santé continueront à les abandonner en masse. Ce problème doit être traité à la racine et par une approche globale, qui inclut la stérilisation des chats et l’éducation des maîtres. Source : OneVoice 2008-06-06 14:16:00
  21. Davantage de recherches sur les primates (Agence Science-Presse) Les défenseurs des droits des animaux ont encore du boulot. Les NIH, principal organisme subventionnaire de la recherche aux États-Unis, s’attendent à ce que plusieurs facteurs accroissent la demande pour des subventions de recherche impliquant des singes. Poursuivre la lecture: http://www.sciencepresse.qc.ca/node/20701
  22. Un homme est sous enquête après avoir sauvé un faon sur le bord de la route Il y a 42 minutes Pas possible! MONCTON, N.-B. — Un homme qui a mis au monde un faon au Nouveau-Brunswick après avoir vu un camion heurter mortellement la mère de l'animal est maintenant sous enquête pour avoir potentiellement enfreint la loi. Hank Van-Til, âgé de 67 ans, était sur la route en direction de sa maison de Little River, lundi, quand il a été témoin de l'accident. Après s'être rangé sur le bord de la route, M. Van-Til a constaté que la biche était enceinte. Il a alors sorti son couteau et réalisé une césarienne, une opération qu'il avait déjà pratiquée sur des vaches. L'homme a ensuite transporté le faon dans le coffre de son camion. Voyant que l'animal avait faim, il a pris un contenant vide et l'a rempli du lait de la mère mourante. Jeudi, le ministère des Ressources naturelles est venu saisir le faon et a lancé une enquête. En vertu de la loi du Nouveau-Brunswick, il est illégal de ramener un animal orphelin chez soi et de s'en occuper sans permis. Dépendant de l'issue de l'enquête, M. Van-Til pourrait être accusé en vertu de la Loi sur la pêche sportive et la chasse. Normalement, quand un animal est saisi, il est relâché dans la nature, mais puisque le faon n'a que quatre jours et qu'il est orphelin, il sera pris en charge par le ministère. Selon les autorités, M. Van-Til aurait dû immédiatement appeler le ministère ou la GRC. En aucun cas, il avait le droit de prendre l'animal en charge. M. Van-Til s'occupait minutieusement du faon depuis quatre jours, qu'il avait baptisé "Dickie". Il lui avait même concocté de la nourriture pour bébé avec du lait concentré, de l'eau bouillante et du sirop d'érable, qu'il lui servait dans un biberon. L'affaire a laissé M. Van-Til confus et contrarié. Son intention première avait été de donner l'animal au zoo de Magnetic Hill, dans la région de Moncton. Après avoir appris que le zoo ne pouvait pas accueillir "Dickie", il avait pris la décision de garder l'animal et il soutenait être capable de s'en occuper lui-même. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iESYE3cGX-8vlFgxHo-1nehJD0qQ
  23. À quand un don de 1 million pour la protection des animaux du Québec Coucou Julie Snyder des Productions J et Pierre-Karl Péladeau, PDG de Quebecor
  24. Vous pouvez aussi envoyer directement votre message au président José Manuel Barroso via ce lien : http://ec.europa.eu/commission_barroso/president/contact/mail/index_fr.htm Remplissez le formulaire en inscrivant vos coordonnées Dans Sujet du message : Je suis choqué(e) par la cruauté de la chasse commerciale des phoques. Dans la case commentaires: Je suis informé(e) que la Commission européenne va se réunir pour discuter du commerce des produits dérivés de phoques et vous écris pour vous faire savoir que je soutiens une interdiction totale du commerce des produits dérivés de phoques. Il est clair qu'un embargo partiel ne mettra pas fin à la cruauté. La chasse canadienne atteint une telle ampleur qu'il est impossible de la surveiller efficacement. IFAW a constaté une cruauté inacceptable envers les animaux cette année (tout comme les décennies précédentes). Nous devons mettre fin à ce commerce inutile de produits dont les Européens n'ont pas besoin. Les sondages réalisés en Europe ont montré un soutien généralisé à l'interdiction. Je vous appelle à agir pour représenter mon opinion et celle de mes concitoyens canadiens. Avec mes respectueuses salutations,
  25. Action pour les phoques Nous sommes sur le point de franchir une nouvelle étape. Avec votre soutien, nous pouvons contribuer à arrêter la chasse commerciale des phoques en réduisant le marché de leurs produits dérivés. C'est le moment d'agir Aidez-nous à envoyer un message fort à M. Barroso pour qu'il comprenne que nous ne voulons pas de produits dérivés de phoques en Europe. Envoyez un courriel à M. José Manuel Barroso, le Président de la Commission européenne, pour lui demander d'interdire le commerce des produits dérivés de phoques. Cliquez ici pour envoyer une lettre déjà rédigée http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17884&aid=10385&msource=DR080601001 Où bien ici, si le lien ne fonctionne pas: http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17884 Notre campagne pour protéger les phoques d'une chasse commerciale cruelle est entrée dans une phase cruciale. Nous avons un besoin urgent de votre soutien pour une dernière action afin d’obtenir l'interdiction des produits dérivés de phoques dans toute l'Union européenne. Nous nous attendons à une décision dans les semaines à venir, http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17884&aid=10385&msource=DR080601001 votre engagement aujourd’hui pourrait faire toute la différence pour les phoques. La chasse n'est pas humaine Si nous obtenons l'interdiction de ce commerce, cela fera clairement comprendre au Canada que l'Europe ne veut pas être impliquée dans leur cruelle chasse commerciale des phoques. D'après les autorités canadiennes, cette année, la campagne de chasse a été « aussi humaine que possible ». Jugez-en par vous-même : http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oId=227991&msource=DR080601001 Vidéo sur la chasse aux phoques. Attention : ce film contient des scènes choquantes. Joignez vos forces pour les phoques IFAW participera à une manifestation à Bruxelles le mardi 1er juillet. Cliquez ici http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oId=229245&msource=DR080601001 pour plus d'informations. Les représentants d'IFAW et d'autres organisations venues de toute l'Europe seront présents en nombre pour soutenir l'interdiction du commerce des produits dérivés de phoques. Ensemble, nous pouvons commencer à faire décliner le marché des produits dérivés de phoques. Rejoignez-nous aujourd'hui et ajoutez votre voix à toutes celles qui demandent la fin de la cruelle chasse commerciale des phoques. Merci pour votre soutien sans faille. Avec mes remerciements, Fred O'Regan Directeur Général P.S. Nous souhaitons que tous nos sympathisants en Europe envoient un courriel à la personne qui détient le pouvoir de concrétiser cette interdiction. Écrivez donc aujourd'hui même à M. Barroso, http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.a...rce=DR080601001 pour lui demander de mettre fin au commerce des produits dérivés de phoques.
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