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Caro18

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  1. Chasse aux phoques Les pêcheurs veulent une prolongation Mise à jour le mercredi 7 mai 2008, 10 h 49 . Les chasseurs de phoques de la Basse-Côte-Nord demandent à Pêches et Océans de prolonger la chasse au-delà du 15 mai. Seulement le tiers du quota autorisé de 6000 bêtes a été abattu depuis le 14 avril. Les chasseurs de la région de Blanc-Sablon ont tué seulement une dizaine de phoques chacun à l'ouverture de la saison. Depuis, seulement deux ou trois bateaux sortent régulièrement en mer. Les mauvaises conditions de glace, les faibles prix des peaux et les coûts élevés du carburant contribuent à maintenir à quai la majorité des bateaux. Le carburant diesel se vend 40 % de plus que l'an dernier sur la Basse-Côte-Nord. Parallèlement, les pêcheurs reçoivent 33 $ pour la peau de phoque de première qualité, soit le tiers du prix payé il y a deux ans. La centaine de chasseurs de la Basse-Côte-Nord préfèrent attendre des conditions idéales de glace et la présence assurée d'une quantité suffisante de jeunes phoques sur la banquise avant de sortir en mer. Le président de l'Association des pêcheurs polyvalents de Vieux-Fort et Blanc-Sablon, Jean-Richard Joncas Jean-Richard Joncas, de l'Association des pêcheurs de Blanc-Sablon, rappelle que la chasse a été fermée le 23 juin l'an dernier à Terre-Neuve. « Pourquoi, nous, on est si pressé de fermer? On chasse tous sur le même territoire », ajoute-t-il. Martin Saint-Gelais, du bureau régional de Pêches et Océans Canada se défend de vouloir mettre fin hâtivement à la chasse. « S'il y a une demande de prolongation, on va regarder le contexte, puis on va regarder aussi notre capacité de surveillance, compte tenu des autres activités de pêche qui se déroulent », indique M. Saint-Gelais. Les pêcheurs ont besoins des revenus supplémentaires de la chasse. « 4000 mille phoques, c'est une chasse de deux jours. Ça fait que je ne vois pas de problème avant la fin mai, à dire qu'on va les tuer », fait valoir M. Joncas. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/07/001-chasse-phoques.asp
  2. À Denis Lévesque sur LCN hier! L'avocat du propriétaire du chenil de l'horreur de Blainville nous dit pourquoi il va contester la sentence de Marc-André Laporte. Écoutez l'interview: http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=20080506-212257&alt=1
  3. Belle prise pour cet ex-chasseur policier Je ne vois nulle part (venant de ce policier) un regret ou de la compassion pour ce pauvre éléphant! Ce dernier a fait feu à au moins 12 reprises, sans que l'animal soit atteint de façon efficace. 12 coups de fusil , ce pauvre éléphant a souffert le martyre avant de rendre l'âme, j'ose même pas imaginer le stress et la souffrance qu'il a dû endurer. Le pauvre est quand même mieux mort que vivant! C'était il y a 30 ans! Mais plus ça change, plus c'est pareil! L'espece humaine me dégoûte
  4. Chenil démantelé (CHLN) - La Sécurité publique de Trois-Rivières fait présentement enquête à la suite du démantèlement d'un chenil sur le boulevard Thibault, dans le secteur Saint-Louis-de-France. À la suite d'une information du public, les policiers sont intervenus samedi dans un ancien garage où ils ont retrouvé 82 chiens gardés dans des conditions qui ne seraient pas adéquates. Les animaux ont été confiés à la Société protectrice des animaux de la Mauricie. Quant aux policiers trifluviens, ils continuent d'analyser le dossier, selon leur porte-parole, l'agent Michel Letarte. Écoutez-le en audio ci-joint. http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-chenil_demantele-892642-4.html Jocelyn Ouellet / CHLN
  5. Le mardi 06 mai 2008 82 chiens dans un garage Pas moins de 82 chiens se trouvaient dans ce garage situé sur le boulevard Thibeau, dans le secteur Saint-Louis-de-France (Trois-Rivières ) . Les lieux étaient insalubres. Des accusations pourraient être portées contre le propriétaire de ce chenil possiblement illégal. Photo: Sylvain Mayer Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste Trois-Rivières Pas moins de 82 chiens vivaient dans des conditions insalubres dans un ancien garage sur le boulevard Thibeau, dans le secteur Saint-Louis-de-France. Il est possible que leur propriétaire soit accusé de cruauté envers les animaux. Les policiers sont intervenus à cet endroit à la suite d'une information provenant du public. «À notre arrivée, il y a 82 chiens à l'intérieur. C'est carrément un chenil. L'endroit ne nous apparaît pas adéquat pour le nombre de chiens qu'il y a sur les lieux. On doute aussi que le responsable ait les autorisations nécessaires pour l'exploitation de ce commerce», explique l'agent Michel Letarte, porte-parole de la Sécurité publique de Trois-Rivières. Tant les lieux que les animaux étaient sales, selon les policiers. Il n'a pas été possible de savoir, hier, si outre la saleté, les chiens avaient été maltraités. Tout porte à croire que ce chenil était illégal. La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) ignorait d'ailleurs son existence. Les policiers ont demandé l'assistance de la SPAM. Elle a amené tous les animaux à ses locaux et elle leur a prodigué les premiers soins. «Notre préoccupation première a été d'apporter soins et sécurité à ces animaux», souligne M. Serge Marquis, directeur général de la SPAM. Il s'agit de chiens de petites races comme des yorkshires et des terriers. «Il y a plusieurs races et leur âge est très variable. Certains sont possiblement nés il y a moins d'une semaine», précise M. Marquis. L'arrivée de 82 chiens a entraîné beaucoup de travail pour la SPAM. «On a procédé à leur identification, à la création d'un dossier pour chacun d'entre eux. Dimanche, chacun a été vu de façon préliminaire par un vétérinaire. Il va y avoir des évaluations plus poussées sur l'état de ces animaux au cours des prochains jours», explique M. Marquis. En trois ans et demi comme directeur général à la SPAM, M. Marquis n'a jamais vu une saisie d'une telle ampleur. «Selon mon expérience personnelle, il n'y en a pas eu d'autres d'aussi imposante.» Ce dossier a été soumis au procureur aux poursuites criminelles et pénales qui va étudier la possibilité de porter ou non des accusations contre le propriétaire pour cruauté envers les animaux. Un article du code criminel prévoit en effet des poursuites en cas «d'omission d'accorder des soins raisonnables». «On a des motifs de croire qu'il n'avait pas tout le nécessaire pour l'exploitation de tant d'animaux. L'état des lieux n'était pas très propre, les animaux non plus», précise M. Letarte.• http://www.cyberpresse.ca/article/20080506/CPNOUVELLISTE/805061047/6785/CPNOUVELLISTE
  6. Caro18

    L'histoire de «Beauty»

    Superbe témoignage qui nous rappelle la triste réalité des chevaux Ce témoignage me rappelle l'excellent film Black Beauty de 1994 La vie d'un cheval a l'époque du 19 e siecle raconté de son point de vue. Prince Noir est un magnifique étalon élevé dans une superbe propriété de la campagne anglaise. Mais quand ses maîtres doivent déménager et se séparer de leur cheval favori, Prince Noir se trouve plongé dans une suite de mésavantures qui le mèneront des vertes prairies de son enfance jusqu'aux rues sales de Londres pour travailler... Retrouvera-t-il un jour un maître pour s'occuper de lui et l'aimer ? Un film très touchant à voir absolument
  7. Avis à l’industrie - TRANSPORT DE CHEVAUX AU CANADA : CET ANIMAL EST-IL APTE AU TRANSPORT? OTTAWA, le 30 avril, 2008 — L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) rappelle aux propriétaires de chevaux et à ceux qui transportent des chevaux que des règlements fédéraux régissent le transport sans cruauté des animaux au Canada. Par conséquent, quiconque désire transporter des chevaux pour usage personnel ou pour affaires doit d’abord s’assurer que la santé des animaux est suffisamment bonne pour qu’ils puissent faire face au stress du transport. En cas de doute, demandez conseil à un vétérinaire ou communiquez avec l’ACIA avant le chargement des animaux. Pour aider à protéger les chevaux durant le trajet, les transporteurs doivent faire ce qui suit : Fournir des aliments et de l’eau et prévoir des périodes de repos aux intervalles nécessaires. Aucun cheval ne peut être transporté sans aliments ni eau pendant plus de 36 heures; après ce temps, les chevaux doivent pouvoir se reposer pendant au moins cinq heures avant de poursuivre le trajet. Offrir immédiatement des soins aux animaux qui deviennent inaptes au transport, notamment des traitements vétérinaires ou l’euthanasie sur place s’il y a lieu. Utiliser des installations et du matériel de chargement et de déchargement adéquats, comme des couloirs munis de murs, des quais de chargement à auto alignement et des rampes qui ont une inclinaison adéquate et dont l’éclairage est approprié. Utiliser des véhicules adaptés qui offrent une ventilation adéquate, des surfaces permettant une bonne adhérence, une litière appropriée ainsi qu’une protection contre les conditions atmosphériques. Les véhicules doivent également procurer aux chevaux une hauteur et un espace suffisants pour qu’ils puissent se tenir debout en position normale. Il n’est pas recommandé de transporter des chevaux dans des remorques à deux paliers. En effet, ces véhicules peuvent occasionner des blessures à la tête et au dos si les chevaux mesurent plus de quatorze mains de hauteur. Depuis décembre 2007, l’ACIA et l’Agence des services frontaliers du Canada collaborent à l’inspection de tous les chargements de chevaux entrant au Canada dans des remorques à deux paliers dans le but de détecter les blessures ou les souffrances indues. Tous les responsables du transport des chevaux doivent appliquer les exigences du Canada en matière de transport des animaux. L’ACIA reconnaît que la majorité des transporteurs traitent bien les animaux. Le petit nombre qui ne le fait pas s’expose à des amendes ou à des poursuites judiciaires. De surcroît, le Canada peut refuser l’entrée au Canada des chargements d’animaux transportés de manière inadéquate. Afin d’améliorer constamment la protection de la santé des animaux, l’ACIA tient des consultations auprès de l’industrie et d’autres intervenants sur une nouvelle réglementation qui pourrait tenir compte des plus récentes connaissances scientifiques et pratiques de l’industrie, éclaircir les règles en ce qui concerne la surveillance et les soins adéquats des animaux et permettre à l’ACIA de mieux appliquer les exigences en matière de transport sans cruauté. - 30 - http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/20080430f.shtml Pour qu'on lance un communiqué comme ça, il y a surement eu des choses lamentables de rapportées!
  8. Vétérinaire aux Îles-de-la-Madeleine Ce matin, je vous présente le portrait du Dre Mireille Lapierre, seule vétérinaire des Îles-de-la-Madeleine, et ce, depuis dix ans. Née à Bassin, cette petite dernière d’une maisonnée de neuf enfants a terminé son cours à Saint-Hyacinthe en 1997, avant de retourner par chez elle. Une seule vétérinaire, Même si elle était mieux préparée que quiconque à entreprendre une carrière aux Îles – elle avait travaillé à la clinique au cours de l’été 1996 avec son prédécesseur – elle avoue toutefois qu’au bout de six mois de pratique, elle s’est sérieusement demandé si elle aurait le courage de continuer. « Je n’avais peut-être pas vraiment réalisé l’ampleur de la tâche qui m’attendait ! » nous a-t-elle confié. Dix ans plus tard, cette fille des Îles est toujours aussi déterminée à poursuivre son chemin. D’autant plus que la clinique vétérinaire de l’Archipel est définitivement installée et qu’elle a réuni autour d’elle une formidable équipe dévouée et dynamique. Côté pratique, elle propose aux Madelinots un service de médecine, de chirurgie, de radiographie, de pension et de toilettage comme dans n’importe quelle clinique du « continent ». Aux Îles, il y a environ 4 500 chats et chiens. Si sa clientèle compte plus de chiens, elle doit aussi voir à la bonne santé des quelque 35 chevaux et poneys des deux centres équestres et également s’occuper de la vingtaine de coursiers qui participent à la compétition qui a lieu à Fatima chaque semaine. Ajoutez à cela 200 vaches, quelques cochons et un éleveur de sangliers, sans négliger les phoques de l’aquarium et vous avez un portrait assez juste de son type de patients ! Évidemment, en été, il faut ajouter les chiens des touristes qui se prennent trop souvent une malfaisante gastro-entérite après avoir goûté aux pattes de crabes sur la plage. En résumé, si les Madelinots et leurs animaux sont extrêmement chanceux de pouvoir se fier sur une vétérinaire si dévouée, chaleureuse et talentueuse, notre profession est également choyée de pouvoir compter sur une telle ambassadrice. http://tva.canoe.com/emissions/salutbonjour/veterinaire/17649.html
  9. Pour le Québec il n'y a qu'un refuge d'inscrit En Ontario, il y en a au moins une douzaine
  10. Le programme Iams Parrainons nos amis unit des personnes réelles à des animaux réels. Iams et la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux lancent le programme national de parrainage de chiens et de chats TORONTO, le 1er mai /CNW/ - La compagnie Iams comprend très bien que même si vous avez un grand coeur, votre demeure, elle, n'est peut-être pas assez grande. En partenariat avec la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (FSCAA), elle désire donc donner une chance aux amoureux des animaux de tout le pays de démontrer leur amour pour les animaux dans le besoin. Elle a ainsi élaboré le programme Iams Parrainons nos amis ( www.parrainonsnosamis.ca ), une nouvelle initiative pour le mois de mai qui permettra d'unir des personnes réelles à des animaux réels grâce à un parrainage en ligne. Du 1er au 31 mai 2008, les Canadiens pourront parrainer des animaux d'un refuge participant de leur choix. Ils pourront aider ainsi à garder des animaux en santé et heureux jusqu'à ce qu'ils soient adoptés par une famille aimante et bien assortie. Pour chaque don fait en ligne, les "nouveaux parents" recevront un certificat personnalisé Iams Parrainons nos amis sur lequel figureront une photo et des renseignements au sujet de leur nouvel ami à quatre pattes. "Nous avons réalisé que ce ne sont pas tous les Canadiens qui sont en mesure d'adopter un animal", nous apprend Alan Rego de la compagnie Iams Canada, P&G Soins des animaux. "Le programme Iams Parrainons nos amis permet aux gens de donner de l'amour tout en tenant compte de leurs conditions de logement ou de leur style de vie." Le programme Iams Parrainons nos amis acheminera les dons faits en ligne par les nouveaux "parents parrains" aux refuges d'animaux participants du Canada qui en ont grand besoin. Les amoureux des animaux n'ont qu'à visiter le site Web, sélectionner un refuge et choisir de parrainer soit un chien soit un chat. Ils n'ont ensuite qu'à indiquer le montant de leur don. Selon la FSCAA, un don en ligne de 15 dollars permettrait de nourrir pendant un mois un animal d'un refuge. Cependant, un don en ligne de 50 dollars permettrait non seulement de nourrir un animal pendant un mois, mais aussi de lui fournir les vaccins et une micropuce d'identification. "Il y a des milliers d'animaux partout dans le pays qui ont besoin d'un foyer permanent", nous rappelle Steve Carroll, directeur général de la FSCAA. "Le programme Iams Parrainons nos amis donne la chance aux gens, avant qu'ils ne s'engagent de façon permanente, d'en apprendre davantage sur les soins des animaux et les responsabilités des propriétaires d'animaux. Ce programme fournit également du soutien là où les besoins sont les plus criants : dans les refuges pour animaux de tout le Canada." Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du programme Iams Parrainons nos amis ou pour parrainer un animal, visitez le site www.parrainonsnosamis.ca . Note au rédacteur en chef ------------------------- A propos de la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux ------------------------------------------------------------------- Depuis 1957, la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (FSCAA) s'est efforcée d'améliorer les conditions des animaux de tout le pays. Comptant partout au Canada plusieurs sociétés membres ayant à coeur la prévention de la cruauté envers les animaux et de leur souffrance, la FSCAA constitue la voix nationale sur les questions touchant les animaux des Canadiens d'un océan à l'autre. Elle se sert de cette voix pour assurer une liaison avec les gouvernements, le public, l'industrie, la communauté scientifique, les éducateurs et les médias nationaux afin de mettre un terme à la souffrance des animaux. En travaillant en collaboration avec tous les intervenants de l'industrie, la FSCAA apporte des changements positifs et assure une meilleure protection des animaux. A propos de P&G Soins des animaux --------------------------------- Depuis plus de 60 ans, Procter & Gamble Soins des animaux (NYSE:PG), le fabricant des marques Iams et Eukanuba, a permis d'améliorer le bien-être des chiens et des chats en offrant des nourritures et des produits d'excellente qualité. Pour en savoir davantage sur les nourritures Iams(MD) et Eukanuba(MD) ou sur les soins et l'alimentation des chiens et des chats en général, communiquez avec le service à la clientèle Iams au 1-800-446-3075. Vous pouvez également visiter les sites Web suivants : http://www.iams.com et au http://www.eukanuba.com. A propos de Procter & Gamble ( On fait du mal d'un bord et du bien de l'autre ) ---------------------------- Trois milliards de fois chaque jour, les marques de P&G sont complices de la vie des consommateurs du monde entier. Notre entreprise propose l'un des plus importants portefeuilles de marques reconnues et de confiance telles que Pampers(MD), Tide(MD), Always(MD), Pantene(MD), Mach3(MD), Bounty(MD), Pringles(MD), Folgers(MD), Charmin(MD), Downy(MD), Iams(MD), Crest(MD), Oral-B(MD), Actonel(MD), Duracell(MD), Olay(MD), Head & Shoulders(MD), Wella, Gillette(MD) et Braun(MD). L'effectif de P&G compte plus de 135 000 employés répartis dans plus de 80 pays. Au Canada, P&G est la plus grande entreprise de produits de consommation, avec des ventes annuelles de plus de 2,9 milliards de dollars. Visitez le site www.pg.ca pour obtenir les toutes dernières nouvelles et pour tout savoir au sujet de P&G et de ses marques. Renseignements: Pour les demandes de renseignements des médias, veuillez communiquer avec Ana Francisco, Optimum PR, (416) 934-8425 ou ana.francisco@cossette.com
  11. LE CHOC ALIMENTAIRE On oublie souvent que la population mondiale s'accroît chaque année de 28,5 millions de bouches à nourrir ; à elle seule, l'Afrique verra le nombre de ses habitants passer de 800 millions, cette année, à 1,8 milliard en 2050. La demande subit parallèlement d'importantes modifications. En s'enrichissant, les habitants des pays émergents se mettent à table deux fois par jour au lieu d'une. Comme l'ont fait avant eux les pays industrialisés, ils délaissent les nourritures ancestrales et se tournent vers des aliments plus sophistiqués. C'est ainsi que la quantité annuelle de viande consommée par chaque Chinois a bondi de 20 kg à 50 kg en une génération. Or, pour produire de la viande, il faut plus de céréales, plus de légumineuses et plus d'eau. L'évolution est comparable pour le lait ou le chocolat. Poursuivre la lecture: http://www.lepost.fr/article/2008/04/30/1187748_le-choc-alimentaire.html On est passé de 50 milliards à 90 milliards d'animaux à viande Nourrir 90 milliards d'animaux à viande chaque année revient à produire autant de céréales que pour toute l'humanité. L'arrivée de nouveaux consommateurs des grands pays émergents complique la situation : «Ces classes moyennes consomment de plus en plus de poulet et de porc, eux-mêmes transformateurs de céréales», http://www.esseclive.com/actualite-media/debat-vous/010677-les-emeutes-sans-fin.htm Nous vivons déjà dans un contexte de consommation excessive de viande : 2/3 de la surface agricole utile dans le monde est affectée à l’élevage - pour nourrir 1 milliard d’humains ! Il faut en effet 7 kg de céréales pour produire 1 kg de viande de bœuf. http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=3842 Crise économique: Quelle est la situation au Mali ? Des centaines de millions de femmes et d’hommes, principalement en Chine et en Inde ont été extraits de la misère et de la pauvreté. C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’un développement aussi massif est enregistré dans un délai aussi court. Ces millions de femmes et d’hommes qui ne mangeaient presque pas de viande en mangent désormais. EN INDE http://www.lemali.fr/mali/economie/crise-economique:-quelle-est-la-situation-au-mali-?-2008041912776.html Répercussions de la consommation de viande sur la sécurité alimentaire et l’environnement Pour produire de la viande de porc, l’indice de conversion est de 8,4 : 1, tandis que pour les œufs, au poids, il est de 3,8 : 1 et pour le fromage, de 7,9 : 1 ( USDA, 1997 ). La majeure partie des aliments consommés par les animaux est convertie en fumier ou en énergie et sert à la croissance de parties du corps non comestibles. Une très faible partie de ces aliments est convertie en viande. Par exemple, environ 40 kg de fumier sont produits pour chaque kilogramme de bœuf comestible ( Environnement Canada, 1995 ). L’industrie de la viande s’efforce d’utiliser certains sous-produits, mais le très grand nombre d’animaux abattus rend la tâche difficile. Environ le sixième seulement du fumier des fermes d’élevage de porcs est utilisé aux États-Unis ( USDA, 1986, cité dans Durning et Brough, 1991 ). Les déchets animaux excédentaires finissent souvent dans les rivières et les eaux souterraines qu’ils polluent à cause de l’azote, du phosphore et du nitrate qu’ils contiennent ( Durning et Brough, 1991 ). Pâturage Environ un cinquième des terres de la planète sert de pâturage, soit deux fois plus que la superficie consacrée aux cultures ( FAO, 1997 ). À l’état naturel, les prairies constituent des écosystèmes sains qui abritent un large éventail d’espèces de végétaux, d’oiseaux, de rongeurs et d’animaux sauvages. Elles conviennent rarement à la culture, mais soigneusement aménagées, elles peuvent généralement être utilisées comme pâturages pour le bétail. Les bovins, les moutons et les chèvres sont des ruminants, préférant ainsi un régime alimentaire composé d’herbe. Dans les pays occidentaux, le bétail passe encore la majeure partie de sa vie à pacager et est seulement engraissé par un régime dénaturé de céréales et de soja avant d’être abattu. Poisson La consommation de poisson, comme celle de la viande, a augmenté considérablement à l’échelle mondiale. La pêche moyenne est passée d’un peu moins de 9 kg de poissons par personne en 1950 à plus de 19 kg par personne en 1989, tandis que la pêche mondiale totale a plus que quadruplé, passant de 22 millions de tonnes de poissons à 100 millions de tonnes ( Brown et Kane, 1994 ). Depuis 1989, les niveaux de pêche n’augmentent plus aussi rapidement, ayant atteint le point où ils peuvent tout juste répondre aux besoins engendrés par la croissance de la population humaine ( FAO, 1996 ). Les niveaux actuels mettent à rude épreuve les écosystèmes marins dans bien des régions. Des 200 principales ressources halieutiques du monde en 1994, environ 35 p. 100 étaient en déclin et 25 p. 100 avaient été pleinement exploitées ( FAO, 1996 ). L’aquaculture, qui comptait pour 17 p. 100 des fruits de mer récoltés dans le monde en 1994 ( FAO, 1996 ), a compensé jusqu’à maintenant la baisse des stocks de poissons sauvages, mais le resserrement de l’approvisionnement mondial de céréales pourrait entraver la croissance, puisque l’élevage de poissons nécessite d’importantes quantités de pâture. Le poisson élevé donne environ 1 kg de viande pour 3 kg d’aliments ( Brown et Kane, 1994 ). http://www.idrc.ca/fr/ev-30610-201-1-DO_TOPIC.html L'élevage d'ici 2020 la prochaine revolution alimentaire De Christopher L Delgado Consultez le livre en ligne: http://books.google.ca/books?id=-JCHSCceksUC&printsec=frontcover&dq=augmentation+de+la+consommation+de+viande+en+inde&hl=fr#PPP1,M1 Les conséquences écologiques de la consommation de viande http://www.vegetarismus.ch/info/foeko.htm
  12. Conseil canadien du porc : Le Programme de réforme des porcs reproducteurs a déjà atteint la moitié de son objectif OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 30 avril 2008) - Les producteurs de porcs canadiens ont déjà présenté des demandes qui représentent plus de la moitié de l'objectif de réduction de 10 % du cheptel reproducteur visé par le Programme de réforme. Financé par Agriculture et Agroalimentaire Canada, ce programme de 50 millions de dollars permet à l'industrie de franchir une étape indispensable pour s'adapter aux réalités actuelles du marché. Deux semaines seulement après l'entrée en vigueur du programme, les demandes couvrent plus de 75 000 porcs. "L'adhésion massive et immédiate au programme dès son lancement témoigne de l'ampleur du stress financier et des pressions du marché auxquels font face les producteurs de porcs du pays", déclare Clare Schlegel, président du Conseil canadien du porc. "L'aide du gouvernement fédéral a été bien accueillie par le secteur et cette mesure nous permet de réduire la taille du troupeau reproducteur et nous aider à rebâtir une industrie plus vigoureuse à long terme." Les demandes reçues jusqu'à maintenant révèlent que les deux tiers des animaux admissibles au programme ont été mis en marché avant la date de lancement de ce dernier. Cette situation démontre bien que les producteurs avaient déjà entrepris d'eux-mêmes des démarches pour s'ajuster au marché. La viande issue de ces animaux a été mise en marché dans les réseaux commerciaux de l'alimentation humaine. Grâce à l'aide accordée récemment par plusieurs provinces et des investisseurs privés, une grande partie de la viande issue des animaux réformés après la date du lancement, soit le 14 avril, sera donnée à des banques alimentaires. "Nous nous réjouissons qu'une bonne partie de la viande produite soit destinée aux plus démunis", signale M. Schlegel. "Les producteurs traversent une période difficile où les prix du porc sont très bas, mais cette source de protéines sera grandement appréciée par les banques alimentaires et leurs utilisateurs." Les formulaires de demande pour adhérer au Programme de réforme des porcs reproducteurs peuvent être téléchargés à partir du site Web du Conseil canadien du porc, à www.cpc-ccp.com. Les producteurs peuvent également composer le numéro sans frais 877-655-2567 pour obtenir des informations ou de l'aide concernant la demande. Le Conseil canadien du porc est le porte-parole des producteurs de porcs du Canada. Le Conseil est une fédération qui regroupe neuf associations provinciales du secteur porcin et dont les activités visent à assurer le dynamisme et la prospérité de l'industrie du porc au Canada. Pour plus d'information Martin Rice Directeur exécutif 613-236-9239 rice@cpc-ccp.com http://www.corusnouvelles.com/communique.php?id=458528002
  13. Le gouvernement du Québec double son aide financière au Salon de la fourrure et à la campagne de promotion de l'industrie canadienne de la fourrure. L'aide financière au salon passe ainsi de 50 000 à 100 000 $, tandis que la campagne de promotion de la fourrure canadienne obtient 70 000 $. Donc 170,000$ de subvention
  14. Le ministre du Développement économique du Québec, Raymond Bachand, a profité de l'ouverture du Salon de la fourrure de Montréal pour annoncer l'investissement de 50 000 $ de plus. Le gouvernement du Québec double son aide financière au Salon de la fourrure et à la campagne de promotion de l'industrie canadienne de la fourrure. L'aide financière au salon passe ainsi de 50 000 à 100 000 $, tandis que la campagne de promotion de la fourrure canadienne obtient 70 000 $. Le ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand, a procédé à cette annonce à l'occasion de l'ouverture du Salon du conseil canadien de la fourrure, le plus important événement du genre en Amérique du Nord, mardi, à Montréal. Le ministre Bachand a souligné que 80 % de la production canadienne de fourrure se faisait au Québec. Il estime également que le gouvernement doit soutenir cette industrie à affronter la concurrence des pays émergents et le ralentissement économique des États-Unis. Des manifestants ont profité de la tenue du Salon canadien de la fourrure pour faire valoir leur point de vue. Ils critiquent l'utilisation d'animaux pour leur fourrure et dénoncent la pollution qu'elle engendre.
  15. Québec double son appui financier à la 26e Exposition nord-américaine fourrure et mode de Montréal Pas d'appui financier pour les SPCA, mais pour l'industrie de la fourrure, OUI! MONTRÉAL, le 29 avril /CNW Telbec/ - Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Montréal, M.Raymond Bachand, annonce qu'une aide financière de 100 000 $ est accordée au Conseil canadien de la fourrure. Cette somme servira à l'organisation de la 26e Exposition nord-américaine fourrure et mode de Montréal (ENAFMM), qui se tient à Place-Bonaventure, du 29 avril au 2 mai. PRO MODE, la Stratégie québécoise de la mode et du vêtement, annoncée au début d'octobre 2007, est mise à la disposition de l'industrie pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises. La mesure, présentement opérationnelle, permet non seulement de soutenir des projets d'entreprises sur un horizon de 3 ans, mais également des projets structurants pour l'ensemble du secteur comme le Salon de la fourrure. PRO MODE répond aux besoins des partenaires et a pour but d'appuyer les efforts constants de nos entrepreneurs et le génie québécois. L'ENAFMM est le principal événement professionnel de la fourrure et de la mode en Amérique du Nord et le salon de mode vestimentaire le plus important au Canada. Quelque 4 000 visiteurs et acheteurs, ainsi que plusieurs représentants de la presse internationale spécialisée dans le domaine de la mode, participeront à cet événement. «L'ENAFMM représente une occasion exceptionnelle de présenter les créations originales des entreprises québécoises oeuvrant dans le secteur de la fourrure et de diversifier l'offre québécoise sur des marchés internationaux en croissance, notamment la Russie et l'Europe de l'Est», a déclaré M. Bachand. Le Québec constitue le coeur de l'industrie canadienne de la fourrure. Avec 80 % de la production canadienne, soit plus de 600 M$ de ventes annuelles, dont quelque 350 M$ à l'exportation, le Québec compte une cinquantaine d'entreprises, qui emploient environ 1 000 personnes. «Ce salon unique en son genre mettra en valeur la qualité supérieure des produits québécois, l'expertise de nos artisans, la tradition particulière ainsi que les valeurs écologiques de l'industrie québécoise de la fourrure», a ajouté le ministre Raymond Bachand. Le Conseil canadien de la fourrure, établi à Montréal depuis 1964, regroupe les associations de l'industrie canadienne de la fourrure. Il a pour mandat de représenter ses membres, de défendre leurs intérêts et de promouvoir la fourrure. L'aide gouvernementale à la 26e Exposition nord-américaine fourrure et mode de Montréal est accordée en vertu du Programme de soutien aux partenariats et aux filières industrielles, volet Promotion de la mode et du design industriel, qui fait partie intégrante de la stratégie PRO MODE. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Avril2008/29/c2565.html
  16. Fashion house staff visit Nunavut Northern News Services Published Monday, April 28, 2008 IQALUIT - The European fashion house Hermes recently held a worldwide contest for their employees to submit a dream of any kind, travelling or otherwise. Ten employees from France, Korea, Hong Kong and England were chosen, and their dream was to travel to the Canadian Arctic and learn about the Inuit way of life. The group spent time in Iqaluit and Kimmirut, and in that time they learned to fish, travelled to an iceberg and made tea with ice fresh off the berg. One of the other things they did was visit the fur production course at the Nunavut Arctic College campus in Iqaluit to see how the Inuit use sealskin. "We were very conscious of the European response to seal," said Kyra Fisher of the college. "We explained right away that in Nunavut, seal is shot (not clubbed) and that every part of the seal is utilized." Poursuivre la lecture: http://nnsl.com/northern-news-services/stories/papers/apr28_08fh.html
  17. Le mardi 29 avril 2008 On a médit de Paul Watson N'en déplaise à cette honteuse couverture médiatique partisane et médisante, Paul Watson n'a jamais dit ni se réjouir ni se moquer de la mort des quatre chasseurs de phoques. Ce valeureux Canadien, végétarien, cofondateur de Geenpeace et fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, se dédie à la protection des fragiles écosystèmes et des mammifères marins. Non spéciste, il considère que tout animal, humain ou non, a le droit d'exister, que la valeur de la vie ne se hiérarchise pas arbitrairement selon les espèces. Depuis 30 ans, il sillonne les mers et risque sa vie pour faire directement obstacle aux pêcheurs braconniers de tous les pays, aux baleiniers soviétiques et japonais, aux pêcheurs utilisant illégalement des filets dérivants (qui tuent des milliers d'albatros et de tortues, notamment), aux trafiquants d'ailerons de requins, aux massacreurs de dauphins, aux chasseurs de phoques... SOS Grand Bleu l'a nommé citoyen d'honneur en 1996, et le Time Magazine l'a désigné, en 2000, comme l'un des héros écologistes du XXe siècle. Les tentatives de poursuites judiciaires contre Paul Watson et son association échouent constamment parce que les films tournés par les membres de l'équipage démontrent chaque fois le non-fondement des accusations ou parce que les navires qui se disent «victimes» sont eux-mêmes hors la loi. Que les personnes qui ont fait, pour les animaux, humains ou non, ainsi que pour l'environnement, ne serait-ce que le millième de ce que Paul Watson a fait jusqu'ici, le disent maintenant ou ravalent leurs insultes. Valérie Fortin Montréal http://www.cyberpresse.ca/article/20080429/CPSOLEIL/80428143/5826/CPSOLEIL
  18. Commandité par Pêches et Océans Canada
  19. Un chasseur de phoque lance un appel aux Européens via Youtube Il y a 5 heures ILES-DE-LA-MADELEINE — Un chasseur de phoques qui s'est fait connaître à la suite de la tragédie de l'Acadien II au large du Cap-Breton a produit un enregistrement sur YouTube afin de demander aux élus européens de rejetter un projet de loi pour banir les importations des produits du phoque. Dans une production remplie d'émotions, Wayne Dickson des Iles-de-la-Madeleine a déclaré que cette industrie était cruciale pour sa communauté. Le capitaine Dickson a déclaré que les opposants à la chasse annuelle aux phoques font de la désinformation sur la façon de tuer les animaux. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iAOHvLz6lUwRgi5y0ogARAlk8Cgw
  20. Caro18

    Mode: gros plan sur la relève

    À ceux qui se portent à la défense des animaux, la jeune femme réplique que «la fourrure, c'est très écologique». Elle répète exactement ce que l'industrie essaie de nous faire croire! Mais si manger de la viande n'est pas écologique.... alors porter de la fourrure non plus! La plupart des fourrures utilisées par l'industrie proviennent des animaux d'élevage. Belle relève !
  21. Les producteurs de porcs dans une situation critique L'industrie québécoise du porc vit une crise qui n'en finit plus. Et depuis un an, les choses empirent. Le prix des céréales grimpe, celui du porc chute. Le dollar canadien reste élevé. Les producteurs sont «pris à la gorge». Poursuivre la lecture ( à lire au complet ): http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080423/LAINFORMER/804230776/5891/LAINFORMER01
  22. L'abondance de chevreuils cause d'importantes pertes aux producteurs Deux producteurs de Saint-Majorique-de-Grantham en ont soupé de tous ces cerfs de Virginie qui piétinent et abîment leurs terres. Chaque année, ils doivent s'en remettre à leur compagnie d'assurance, car ces jolis cervidés affamés détruisent… plusieurs tonnes de céréales. «Puisque ma terre est située jusqu'à côté du territoire de la Forêt Drummond, elle sert de garde-manger aux chevreuils. Je sais que le ministère y fait de la gestion de femelles, mais là, il y en a trop. Ces temps-ci, il n'est pas rare que j'en vois 75 sur ma terre… on dirait presque j'en fais l'élevage. Ils brisent mes rangs et marchent sur les petites pousses, ce qui nuit à la photosynthèse», a indiqué Mario Lecavalier, qui produit des fraises et plusieurs variétés de céréales, telles que du soya, du maïs et de l'avoine. Évidemment, lorsqu'ils sont trop nombreux, M. Lecavalier essaie tant bien que mal de les chasser en circulant avec un véhicule tout terrain. «Ça ne les effraie pas vraiment, car une demie heure après, ils reviennent, a-t-il communiqué. L'an dernier, ils ont dévoré beaucoup de plants de soya. Ils adorent cela. Les pertes sont importantes. Vous savez, quand le grain se vend 400 $ la tonne, ça va vite. J'aime beaucoup les animaux, mais là, je crois que ça prendrait une meilleure gestion de la population», a-t-il ajouté. Un peu plus loin, le producteur Claude Letendre a également des problèmes avec la présence de cerfs de Virginie sur ses terres. L'an dernier, ils ont dévoré quatre tonnes de soya. «C'est l'enfer. C'est rendu que mon assureur doit venir chaque année pour constater les dommages. Généralement, un producteur récolte une tonne de soya par acre, mais moi, à cause des chevreuils, je n'en récolte qu'une demi-tonne. On parle donc de pertes de 20 000 $ par année… c'est énorme. Mes champs sont presque détruits», a informé M. Letendre, propriétaire d'une ferme de 250 acres, située sur le 2e Rang. Si les dommages de ces producteurs sont si élevés, c'est essentiellement parce que leurs terres sont situées tout près de la forêt. L'UPA sensible Évidemment, l'Union des producteurs agricoles (UPA) du Centre-du-Québec est consciente de cette problématique. D'ailleurs, au mois de mars, elle a adopté une résolution pour demander à l'UPA nationale de faire les pressions nécessaires auprès du ministère des Ressources naturelles et de la Faune afin qu'il prenne toutes les mesures nécessaires pour réduire le cheptel de cerfs de Virginie, notamment en prolongeant la période de chasse et en permettant davantage la prise de femelles. «Le piétinement est le principal problème que cause les chevreuils. Chaque année, des producteurs nous appellent pour nous dire qu'ils y en a beaucoup sur leur terrain et ils veulent connaître des moyens pour prévenir des ravages. Je ne sais pas si le Ministère va réagir, mais au moins, je sais qu'un exercice de dénombrement est en cours», a fait savoir Charles Lachapelle, responsable des dossiers environnementaux au sein de l'UPA Centre-du-Québec. En attendant, il y existe un moyen relativement efficace pour limiter l'accès des cerfs de Virginie aux champs de soya, leur céréale préférée. De fait, Michel Dumont, conseiller à la Financière agricole du Québec, suggère aux producteurs de semer quelques rangées de maïs tout autour de leur champ de soya, particulièrement du côté des boisés. Ainsi, les chevreuils se régaleront de maïs et seront moins portés à s'enfoncer plus dans les terres. DEVINEZ QUOI - le gouvernement va céder, comme d'habitude et on va prolonger la chasse Réagissez à cet article http://www.journalexpress.ca/article-205432-Labondance-de-chevreuils-cause-dimportantes-pertes-aux-producteurs.html
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