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Caro18

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Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. Le Québec est loin de tout ça Cours obligatoires pour les détenteurs de chiens Les personnes qui aimeraient avoir un chien devront bientôt suivre une formation obligatoire. Les éleveurs seront eux aussi renvoyés sur les bancs d'école. Le Conseil fédéral a fixé mercredi un train de mesures pour améliorer la protection des animaux. L'ordonnance et la loi sur la protection des animaux, en suspens depuis le feu vert du Parlement à fin 2005, entreront en vigueur le 1er septembre. "Ce sujet très émotionnel a suscité plus de 500 prises de position lors de la consultation, il a fallu du temps pour aplanir les différents avis", a déclaré Doris Leuthard devant la presse. Finalement, la ministre de l'Economie estime avoir trouvé un équilibre entre les exigences des partisans d'une protection totale des animaux et celles des défenseurs des intérêts économiques. Pour tenir compte des appels des paysans, certains délais transitoires concernant les animaux de rente ont été prolongés. Prévention... La responsabilité des détenteurs de bêtes, qu'ils soient professionnels ou amateurs, est au centre de la nouvelle loi. "Impossible d'aller contrôler chez tout un chacun comment il traite son minet", a convenu la conseillère fédérale. Et d'avouer qu'elle a elle-même renoncé à avoir un animal de compagnie faute de temps pour s'en occuper. Pour compenser l'absence de moyens de contrôle, l'Office vétérinaire fédérale (OVF) mise sur la prévention. Il va lancer une campagne d'information, le but étant que les particuliers se rendent compte des besoins et des contraintes avant de se procurer un animal. ... et formation La formation constitue l'autre axe de la législation. Dès septembre, les nouveaux propriétaires de chiens devront suivre une instruction théorique, à raison de deux ou trois cours, avant de l'acquérir. Puis un entraînement pratique avec Médor devra avoir lieu durant la première année. Un délai transitoire, jusqu'au 1er septembre 2010, a été fixé pour permettre la mise en place des cours canins. Les détails ne sont pas encore fixés. Les personnes qui possèdent déjà un chien ne sont pas concernées, tant qu'elles ne décident pas d'en prendre un nouveau. Le but est de réduire le nombre d'accidents par morsure, a noté Doris Leuthard. A part son projet d'assurance responsabilité civile obligatoire, le Conseil fédéral n'entend néanmoins pas faire davantage en matière de chiens dangereux. Malgré les pressions du Parlement, il veut laisser les cantons agir à leur guise dans ce domaine. Il faudra aussi suivre des cours de base lorsqu'on détient plus de trois porcs, cinq chevaux, dix moutons, 150 poules pondeuses ou 200 poulettes. Des formations spécifiques sont exigées pour certains animaux sauvages ou élevages professionnels. Particularités L'ordonnance comprend une foule de règlements particuliers. Les espèces sociales, comme les perruches et les cochons d'Inde, ne devront plus être détenues individuellement. Les dimensions minimales des cages et des enclos ont été élargies. Les poissons font désormais l'objet d'un chapitre particulier dans l'ordonnance. Des études ont montré que ces animaux muets souffrent aussi. La mise à mort des poissons d'aquarium devra se faire avec le "plus de ménagement possible". Il faudra les assommer avant l'élimination et pas question de les jeter dans les toilettes ou de les congeler pour les tuer. Les pêcheurs et pisciculteurs professionnels seront tenus de prouver qu'ils possèdent une formation ad hoc et respecter moult normes. Les éleveurs de porcs ne pourront plus avoir recours à la castration sans anesthésie dès 2010. Ils devront aussi installer des possibilités de rafraîchissement telles que des douches dans les porcheries, les cochons étant sensibles à la chaleur car ils ne transpirent pas. Pour tous les animaux de rente, les conditions devront être améliorées, avec par exemple le droit à des sols propres et non glissants. La détention à l'attache devra disparaître. Les chiots ne pourront être séparés de leur mère que dès l'âge de 56 jours. ats/ap/hoj/hof http://info.rsr.ch/fr/rsr.html?siteSect=500&sid=9007888&cKey=1208960131000
  2. Caro18

    un film choc

    Sur le premier lien ce n'est qu'une bande annonce du film A Delicate Balance debunks the myths surrounding the production and consumption of animal products and exposes the harsh realities... Why are you three times more likely to die of colon cancer if you eat meat? How is meat production causing water shortage, starvation and poverty? Are you inflicting Type 1 diabetes on your children by feeding them milk? Why don't our medical schools teach doctors about nutrition? Can becoming a vegan really lead to worldwide social equity? Three years in the making, A Delicate Balance is a succinct production featuring candid, heartfelt interviews with some of the world's leading experts. http://www.adelicatebalance.com.au/interviewees.html Il y a aussi un livre: http://www.adelicatebalance.com.au/buy.html Voici le lien du site du film: http://www.adelicatebalance.com.au/movie.html
  3. Un éléphant, ça peint énormément Postée en mars, la vidéo a déjà été consultée plus de 6 millions de fois, faisant d'elle l'une des plus populaires sur YouTube. On y voit un éléphant peindre, posément, la silhouette d'un pachyderme. Le geste est délicat, le trait précis. Dans la vidéo circulant sur YouTube, l'"artiste" de poids se prénomme Hong, une femelle de 8 ans résidant dans le nord de la Thaïlande et dont David Ferris, directeur du projet Asian Elephant Art & Conservation, précise "qu'elle est de nature très curieuse et qu'elle a déjà réussi à ouvrir la porte d'un camion avec sa trompe". DÉFORESTATION quelques années, la population de ces animaux était passée, en Thaïlande, de 11 000 à 3 000 têtes. Privés de travail depuis l'interdiction de la déforestation et ayant contribué à détruire leur milieu naturel, les éléphants ne pouvaient être relâchés dans la nature. Les survivants se retrouvaient souvent à devoir mendier ou faire le clown, avec leurs cornacs. Devant ce succès, plusieurs autres "galeries d'art" pachydermique se sont créées. www.elephantart.com On ne dit pas "comment" les éléphants ont été forcés à apprendre à peindre Video: Poursuivre la lecture: http://www.lemonde.fr/technologies/article/2008/04/22/un-elephant-ca-peint-enormement_1037004_651865.html
  4. Des chiens aident à retrouver un bébé abandonné en Inde Un nouveau-né abandonné par sa mère a été secouru par trois chiens errants en Inde. Ils ont permis aux habitants d'un village de la province de Bihar de retrouver l'enfant sur un monticule de terre. Plusieurs centaines de villageois se sont rassemblés pour venir voir la fillette, confiée à un couple sans enfant qui l'a adoptée, ont indiqué les autorités locales. "Les chiens ont dégagé la terre autour d'elle et commencé à aboyer. Le bébé s'est mis à pleurer, ce qui a attiré l'attention des villageois", a raconté un responsable du gouvernement local. La police, qui suppose que l'enfant a été livré à la mort, est à la recherche de la mère de la petite fille. L'infanticide des fillettes reste répandu en Inde en raison du coût que représentent les dots pour les familles. (ats / 22 avril 2008 11:34) http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20080422113444351721948107000_brf032.xml
  5. Où j'ai la tête, j'ai oublié de mettre qui à traduit l'article Gracieuseté : Traducteurs pour le traitement éthique des animaux http://www.kindtranslators.com/
  6. Demandez des comptes au gouvernement: http://canada.gc.ca/directories-repertoires/direct-fra.html et des explications au Ministre des Pêches et des Océans http://www.dfo-mpo.gc.ca/Contact_f.htm Contactez le Premier Ministre: pm@pm.gc.ca
  7. Une belle boucherie s'annonce avec ce permis de tuer!
  8. Maxime Arseneau veut que les sauvateurs de l'Acadien II soient récompensés Il y a 1 jour ILES-DE-LA-MADELEINE — Le député péquiste des Iles-de-la-Madeleine, Maxime Arseneau, soumet la candidature de Wayne Dickson et de son équipage du "Madelinot War Lord" pour la médaille d'honneur de "l'Hommage au civisme" du gouvernement du Québec. Maxime Arseneau estime que le capitaine Dickson et son équipage méritent un tel honneur pour avoir sauvé la vie des deux seuls rescapés du naufrage de l'Acadien II, Bruno-Pierre Bourque et Claude Deraspe. On sait que quatre autres chasseurs de phoques avaient péri dans la tragédie, au large du Cap Breton. C'est le ministère de la Justice qui décerne cet hommage à tous les ans, afin de souligner des actes héroiques accomplis dans des circonstances périlleuses. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5haEOvnqARB0kbjnB7Ic2ha9JkrSQ
  9. Les deux chasseurs de phoque «sauveurs» en lice pour l'Hommage au civisme c'est la cerise sur le sundae, on pousse loin dans l'exagération! Le capitaine Wayne Dickson et son équipage du «Madelinot War Lord» sont en lice pour l'obtention de la médaille d'honneur de l'Hommage au civisme. Ces derniers avaient sauvé la vie des deux seuls rescapés du naufrage de l'Acadien II, messieurs Bruno-Pierre Bourque et Claude Deraspe. C'est une initiative du député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Maxime Arseneau qui a démontré sa reconnaissance et sa fierté pour le geste posé. Rappelons que malheureusement quatre autres chasseurs de phoques avaient péri dans la tragédie, au large du Cap Breton. Cette médaille d'honneur est remise annuellement par le ministère de la Justice pour souligner les gestes héroïques posés par des citoyens dans des circonstances particulièrement périlleuses. http://www.matin.qc.ca/articles/20080421103022/les_deux_chasseurs_phoque_sauveurs_lice_pour_lhommage_civisme.html
  10. Signez la lettre-pétition "en ligne" pour interdire le commerce des produits du phoque dans l’UE Vous pouvez signer, peu importe l’endroit dans le monde où vous vivez! La Commission européenne envisage une interdiction du commerce des produits du phoque qui sauverait des millions de phoques d’un sort horrible. Aidez-nous à convaincre l’UE à mettre un terme au commerce cruel des produits du phoque! La date limite officielle pour les commentaires du public sur la question est passée, mais nous devons continuer à exercer des pressions. Ajoutez votre nom à notre pétition pour signifier votre appui envers les phoques. Vous pouvez signer, peu importe l’endroit dans le monde où vous vivez. Stavros Dimas, Commissaire européen à l’Environnement, a annoncé qu’il proposerait une interdiction de tous les produits du phoque qui proviennent d’activités de chasse inhumaines. Signez: http://www.hsus.org/about_us/humane_society_international_hsi/seal_trade_ban.html Merci de votre participation! Diffusez partout où vous le pouvez.
  11. Une vache sacrifiée au nom du foot.... Gaia attaque Ahmed Hassan (06/02/2008) À la Can, l'équipe d'Égypte a égorgé une vache pour se porter chance BRUXELLES Vendredi dernier, l'équipe d'Égypte, tenante de la Coupe d'Afrique des Nations de football et toujours dans le dernier carré de la compétition qui se déroule au Ghana, a sacrifié une vache en l'égorgeant au bord de son terrain d'entraînement. Un geste qui a le don d'irriter Gaia, l'organisation belge de défense des droits des animaux. Son président, Michel Vandenbosch, a écrit une lettre à Ahmed Hassan, présent lors de ce rituel, mais aussi au président d'Anderlecht, Roger Vanden Stock. Dans ces lettres, Gaia fait référence au rôle d'exemple que remplit un footballeur d'Anderlecht, même quand il joue à l'étranger pour son équipe nationale." Abattre un animal par superstition est déjà inacceptable, mais la manière dont cela s'est fait est vraiment criminelle", écrit Michel Vandenbosch. "Pour pouvoir égorger la vache, presque toute l'équipe a dû s'y mettre pour l'immobiliser, attachant la patte avant droite aux pattes arrière. Dans de telles circonstances, l'agonie d'une vache, qui dure au moins cinq minutes, est particulièrement douloureuse", poursuit-il. Selon Gaia, Hassan donne le mauvais exemple à ses supporters, mais surtout aux enfants qui l'admirent. Gaia espère qu'Ahmed Hassan "reviendra à la raison" et que les dirigeants d'Anderlecht lui feront comprendre clairement que de telles pratiques sont inacceptables et ne doivent en aucun cas être répétées. La viande de l'animal a notamment été distribuée aux personnes démunies. "Faire le bien autour de soi, comme nourrir les pauvres, est une manière de remercier Dieu ou d'obtenir son agrément", précise-t-on au Centre islamique de Bruxelles.
  12. Caro18

    Non à l'hakapik

    16/04/2008 - Terre-Neuve veut interdire le symbole du massacre Dans un effort désespéré pour sauvegarder l'industrie mourante de la chasse au phoque, le gouverneur de Terre-Neuve, Danny Williams et le gouverneur de Nuvanut Paul Okalik, demandent l'interdiction de l'usage du "hak-a-pik", la massue crochue qui sert à éclater les crânes des bébés phoques. Pendant des années les deux ont prétendu que le hak-a-pik était une arme 'humaine' pour tuer les phoques. Maintenant ils disent que cette arme vicieuse et d'un autre âge est un symbole de "carnage sanglant" qui doit être réformé. Williams a dit plusieurs fois que le hak-a-pik n'était plus utilisé et que les phoques sont à présent abattus au fusil, pas matraqués, une déclaration contredite par toutes les images obtenues sur les champs de massacre des bébés phoques. "Le Hak-a-pik" est un vrai problème d'image pour nous," a déclaré Okalik. Sea Shepherd Conservation Society est opposée au massacre des phoques, quel que soit le moyen employé pour les tuer. "Nous sommes opposés au matraquage, au fusil, et à l'écorchage d’animaux vivants, point," a dit le Capitaine Watson. "Le fusil est encore plus cruel que le Hak-a-pik et l'équipage de Sea Shepherd a pu voir des phoques blessés par un coup de fusil au ventre, baigner dans leur propre sang sur la glace, hurlant de façon pathétique en agonisant alors que les chasseurs rigolaient comme des fêtards sadiques à une "massacre partie" de bébés phoques." Cette manœuvre de Williams et Okalik n'a pas l'approbation du Ministre des Pêches Loyola Hearn, qui est un fan du Hak-a-pik traditionnel. Il y a quelques années, Williams et Okalik disaient que le Hak-a-pik était une façon humaine de tuer, et maintenant, ils disent le contraire. "Ce qu'ils essaient de faire, c'est d'aseptiser le massacre en croyant que les Européens vont accepter le rituel sanguinaire annuel du Canada sur la glace," a déclaré le Capitaine Watson. Sea Shepherd Conservation Society est confiante dans le fait que le Parlement Européen va rejeter les apologistes de la cruauté et de la mort et que le décret pour l'interdiction des produits dérivés du phoque en Europe va passer. "Quand ce sera fait, l'Europe aura fait monter l'humanité d'un cran sur l'échelle de l'évolution et de la civilisation." http://www.seashepherd.fr/
  13. La hausse des accidents impliquant des chevreuils inquiète Nathalie Simon Au cours des trois derniers mois, près d'une dizaine d'accidents de la route impliquant des chevreuils sont survenus à Châteauguay. Depuis le milieu des années 90, on a observé un accroissement de la population de ce cervidé dans la région et, parallèlement, du nombre d'animaux heurtés. Transports Québec en a même fait l'objet d'un projet de recherche. «Depuis janvier, on a eu beaucoup plus de collisions avec des chevreuils que par le passé. C'est un phénomène relativement nouveau pour la région et il faut que les automobilistes en prennent conscience», commente l'agent Nathalie Langevin, du service de police de Châteauguay. Les accidents sont survenus principalement sur le boulevard René-Lévesque, sur le chemin Saint-Bernard et sur le tronçon de l'autoroute 30 qui longe le parc industriel châteauguois. Devant l'accroissement de la population de cerfs de Virginie et le risque accru de collisions avec des véhicules, les policiers indiquent qu'il faut redoubler de prudence. «C'est un animal très nerveux. Il peut surgir devant nous assez rapidement. Il faut donc être plus vigilant. On évalue la possibilité d'installer des panneaux jaunes pour informer les automobilistes de la présence de chevreuils», indique Mme Langevin. À la recherche d'une solution «La pose de panneaux c'est la première étape. Mais, il y a certainement d'autres solutions et c'est ce que nous analyserons au cours des prochains mois», souligne Marcel Beaudoin, à la Direction ouest de la Montérégie du ministère des Transports du Québec (MTQ). M. Beaudoin a soumis un projet de recherche qui vient d'être accepté et dont l'objectif est de réduire le nombre d'accidents impliquant des chevreuils en Montérégie. «C'est un problème sérieux. On enregistre chaque année plus de 500 accidents avec des chevreuils, juste pour notre secteur. C'est plus de 1500 pour l'ensemble de la Montérégie. On ne parle ici que des accidents qui sont rapportés à la police. À mon sens, le nombre de collisions doit être encore supérieur aux données dont on dispose», soutient-il. La recherche de M. Beaudoin analysera le comportement des chevreuils afin de pouvoir apporter les solutions qui seront les plus adéquates. «Ce type d'accidents est de plus en plus fréquents dans la région. On observe le phénomène depuis une quinzaine d'années. La connaissance et la compréhension des facteurs qui influent sur les comportement du chevreuil sont déterminantes dans l'application de mesures efficaces pour diminuer les accidents routiers», explique M. Beaudoin. L'étude débutera en septembre prochain pour se terminer en 2010. L'équipe de Marcel Beaudoin fera appel à de nombreux partenaires du milieu afin de recueillir le plus de données possibles. Poursuivre la lecture: http://www.hebdos.net/lsc/edition172008/articles.asp?article_id=205800
  14. Etude : Attention, animaux à bord! L'automobile-club allemand ADAC vient d'annoncer les résultats d’une surprenante étude : une campagne de crash tests pour évaluer la sécurité des systèmes de transport des animaux de compagnie. Bilan : nos amis à quatre pattes ne sont pas du tout protégés en cas de choc, et se révèlent le plus souvent mal attachés, aggravant les risques encourrus par les occupants bipèdes en cas de projection à travers le véhicule. Les systèmes de cages, harnais, et autres ceintures de sécurité actuellement vendus seraient donc bien inutiles… ou à repenser J'ose espérer que c'était des mannequins animaux http://www.auto-moto.com/actualites/7814_Etude-Attention-animaux-a-bord/
  15. Comme en Californie? Jean-Simon Gagné Le Soleil Québec Au cours des 10 dernières années, plusieurs tentatives pour moderniser les lois canadiennes sur les droits des animaux ont échoué. La crainte des excès survenus aux États-Unis n’y est sans doute pas étrangère. Le mois dernier, à Fort Worth, au Texas, un juge a débouté un homme qui revendiquait le droit de sacrifier des dizaines d’animaux sur sa propriété, au nom de ses convictions religieuses. Pour expliquer sa décision, le juge s’est basé sur les règlements municipaux interdisant la cruauté envers les animaux. Il a aussi reproché à l’homme d’avoir refusé un compromis avec la municipalité. Cette dernière lui avait proposé de se contenter de sacrifier des poulets au lieu de martyriser des chèvres, des moutons, des canards, des tortues et des pigeons, comme il le réclamait. L’affaire, qui a fait grand bruit, illustre l’extrême complexité de la condition animale. D’un côté des exemples flagrants de sadisme et de cruauté, parfois associés à certaines traditions religieuses. De l’autre, une société de plus en plus urbaine, où des propriétaires font prescrire du Prozac à leur chat. Sans parler des hôpitaux vétérinaires qui offrent des traitements de chimiothérapie pour soigner des animaux atteints du cancer. Pas étonnant que le statut juridique de l’animal donne des maux de tête à tout le monde. Au Canada, les choses évoluent plutôt lentement. Par exemple, les lois interdisant la cruauté envers les animaux n’ont guère changé depuis... un siècle. Et un récent projet de loi visant à imposer des peines plus sévères n’y changera pas grand-chose. Avant même son adoption, la loi a été vivement dénoncée par toutes les organisations de défense des droits des animaux. Celles-là reprochent à la loi d’être pleine de trous. Pire qu’un gruyère. Bref, un exercice un peu futile. Nouvelle loi ou pas, la grande spécialiste du droit animal au Québec, Martine Lachance, de l’Université du Québec à Montréal, ne croit pas que nous soyons à la veille de donner un nouveau statut à l’animal. «Pour l’instant, le droit traite les animaux comme un bien meuble. Et je ne suis pas sûre que cela va changer dans un avenir prévisible. La Suisse, l’Allemagne, la côte ouest des États-Unis se sont penchées sur la question. Plus que nous. Je ne pense pas qu’on va créer un statut spécial pour l’animal. Mais nous allons augmenter les obligations de l’humain à son égard. «D’une manière générale, nous ne sommes plus indifférents devant les cas de cruauté ou de négligence manifeste, estime Mme Lachance. Surtout pour les animaux de compagnie. Pour les animaux de laboratoire ou d’élevage, la prise de conscience commence à peine.» Mme Lachance rappelle une récente enquête de Radio-Canada, qui révélait que pas moins de deux millions d’animaux d’élevage meurent chaque année, durant leur transport, au Canada. La prudence canadienne tranche avec ce qui se passe du côté des États-Unis, où l’animal bénéficie de plus en plus souvent d’un statut juridique particulier. Au point où des avocats n’hésitent plus à parler d’un chien comme de leur «client», voire d’un «défendant» ou d’un «plaignant». Dans certains États, les vétérinaires sont même tenus de rapporter aux autorités les blessures suspectes. Comme les pédiatres doivent le faire pour prévenir la violence envers les enfants. Dans le Maine, par exemple, la justice ne craint pas d’établir un lien direct entre la cruauté envers les animaux et la violence domestique. Ceci expliquant peut-être cela, plusieurs tribunaux octroient désormais des sommes importantes pour dédommager les propriétaires d’un animal victime de la négligence d’un voisin ou d’un vétérinaire. À Seattle, en 2005, la cour a ainsi octroyé 45 480 $ au maître d’un chat, tué sauvagement par le chien d’un voisin. La somme incluait notamment 15 000 $ pour compenser le stress et les soins psychologiques. L’avocat du plaignant, Adam Karp, a qualifié le jugement «d’historique». Selon lui, la Cour a reconnu pour la première fois le félin comme un compagnon aussi «valable» que le chien. Avouez que vous n’y auriez pas songé. http://www.cyberpresse.ca/article/20080420/CPSOLEIL/80419065/5221/CPSOLEIL
  16. À la défense des chasseurs de phoque Nathalie Simon info@cybersoleil.com Ses romans articulés autour de la chasse aux phoques ont jeté le Châteauguois d'adoption Michel Carbonneau au cœur de l'actualité récemment. L'auteur Madelinot a été de plusieurs tribunes médiatiques concernant les tragiques événements de l'Acadien II, qui a coulé en mer alors qu'il était remorqué par la Garde côtière canadienne. Quatre marins ont péri. «On m'avait d'abord invité à RDI pour parler de chasse aux phoques. La saison venait d'ouvrir. Mais la tragédie est survenue et il était bien difficile de parler d'autres choses», raconte-t-il, de passage au journal. Michel Carbonneau a écrit La tourmente et Le mal d'aimer, les deux tomes d'une saga qui se déroule aux Îles de la Madeleine. Des romans qui s'articulent autour du quotidien des Madelinots. «C'est une vie difficile, dans un environnement rude», commente-t-il. «On peut débattre éternellement sur la chasse aux phoques. Mais on oublie que derrière cette activité, il y a un mode de vie qui se transmet depuis des générations», poursuit-il. Michel Carbonneau a été fortement ébranlé par le drame des pêcheurs de l'Acadien II. «Les Îles c'est petit. Tout le monde se connaît. Tout le monde a été touché», confie-t-il. Invité par RDI a commenté les funérailles des marins morts en mer, Michel Carbonneau a livré un vibrant hommage. «En quittant les Îles de la Madeleine en 1958, j’avais l’impression de laisser derrière moi un peuple heureux; heureux qu’il était de soutirer à la mer le sel de leurs jours et aux banquises un revenu d’appoint qui leur permettait de rattraper leur bouée», lance-t-il. «Les catastrophes qui ont frappé mes compatriotes avec le naufrage du Marie-Carole en 1964, celui du Nadine en 1990 et tout dernièrement l’Acadien II a assombri encore plus leur désir d’exercer le plus beau métier du monde en tant que pêcheur. Les nombreuses contraintes imposées aux Madelinots en général ne sont certainement pas étrangers à de tels désastres. Des désastres qui me font ravaler, tout comme eux, une vive colère. Lorsque cette colère fera surface, je souhaite qu’elle redonne à la chasse au loup-marin ses lettres de noblesse perdues, tout en ramenant du même coup la paix sur la banquise. Nous, Les Madelinots de la grande-terre, saluons de très haut ces braves pêcheurs et chasseurs qui ont donné trop souvent de leur vie pour le bien-être des leurs», conclut-il, dans son message. Michel Carbonneau sera à la Librairie Boyer du Centre régional Châteauguay le 23 avril prochain où il dédicacera ses romans. http://www.hebdos.net/lsc/edition172008/articles.asp?article_id=205824
  17. Caro18

    Non à l'hakapik

    LA CHICANE Le samedi 19 avril 2008 Reynald Blais rejette l'abolition de l'hakapik pour chasser Presse Canadienne Îles-de-la-Madeleine Le député fédéral de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, Reynald Blais, s'indigne de la déclaration commune des premiers ministres de Terre-Neuve et du Nunavut, Dany Williams et Paul Okalik, en faveur de l'abolition de l'hakapik pour chasser les phoques Dans une lettre qu'il leur a transmise, M. Blais fait remarquer que c'est l'outil le plus efficace pour abattre un loup-marin sans cruauté. Le porte-parole du Bloc québécois en matière de Pêches croit que les premiers ministres Williams et Okalik se sont fait prendre au jeu déloyal des abolitionnistes, en réclamant l'abandon de l'hakapik. Reynal Blais se déclare d'autant plus déçu que MM. Williams et Okalik ont acheminé leur demande au gouvernement fédéral, sans tenir compte de l'opinion des chasseurs madelinots. Le député bloquiste sollicite une rencontre avec les premiers ministres terreneuvien et inuit. Il les accuse de manquer de solidarité. http://www.cyberpresse.ca/article/20080419/CPACTUALITES/80419007/1019/CPACTUALITES
  18. Le samedi 19 avril 2008 Paul Watson, l'homme qui voulait être Neptune Marc Allard Le Soleil Québec Au moment où la chasse aux phoques se met en branle au large des côtes de Terre-Neuve-et-Labrador, l’animaliste Paul Watson ne relâche pas la pression pour dénoncer ce type d’activité. Alors qu’il vient tout juste d’être libéré sous caution après son arrestation par la GRC, le capitaine du Farley Mowat est déjà prêt pour repartir au combat. Avant que ce dernier ne reprenne le large, Le Soleil s’est entretenu avec le controversé personnage. Paul Watson n’est pas retourné aux Îles-de-la-Madeleine depuis 1995, parce qu’il avait été chassé. À coups de poing sur la gueule. Durant son séjour, le fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society (SSCS) était allé filmer un cimetière pour établir un rapport entre les morts locaux et les phoques tués sur la banquise. Enragés, environ 75 Madelinots s’étaient regroupés devant son hôtel à Cap-aux-Meules. Paul Watson avait été sévèrement tabassé et il avait dû être escorté jusqu’à un avion par des policiers de la Sûreté du Québec. Lorsque Paul Watson a dit au début du mois que le massacre des phoques était plus tragique que la mort des quatre chasseurs de L’Acadien II, plusieurs Madelinots auraient aimé qu’il revienne faire un tour. Si de nombreux Québécois ont l’impression que Paul Watson vient de remplacer Brigitte Bardot dans le rôle du détestable animaliste, ce corpulent moustachu tente en fait d’entraver la chasse aux phoques depuis plus de 30 ans dans le golfe du Saint-Laurent. Au début des années 80, les Madelinots se souviennent qu’il avait été jusqu’à éperonner un de leurs bateaux. Un chasseur qui se trouvait sur la glace avait failli se noyer. Roger Simon, de Pêches et Océans Canada, se souvient d’avoir entendu l’avertissement de Paul Watson sur les ondes : «Arrêtez de chasser. Ou on vous fonce dessus!» Ce n’est pas un hasard si Paul Watson appelle sa flotte «La marine de Neptune», le dieu romain des océans et des mers. Il ne considère pas son ONG comme un simple regroupement pour la protection de la faune maritime. Plutôt comme une police des hautes mers. «Nous sommes une organisation interventionniste. Et on intervient contre les activités illégales», dit-il au téléphone, à bord d’une voiture qui roule sur l’île du Cap-Breton, où il a payé en pièces de 2 $ la caution de 10 000 $ pour faire libérer les membres de son équipage qui ont été emprisonnés après la saisie du Farley Mowat par la GRC. Toute l’année, Paul Watson vogue d’un océan à l’autre, traquant les chasseurs de baleine dans l’Antarctique, les chasseurs de dauphins dans le Pacifique, les chasseurs de requins au large des îles Galapagos, les chasseurs de phoques dans le golfe du Saint-Laurent. Pour leur faire obstacle, le fondateur de la SSCS n’hésite pas à éperonner, à aborder ou même à saboter des navires à quai, comme il l’a déjà fait en 1992, avec un navire norvégien qui servait à la chasse aux requins. Admirateurs et ennemis Pour son culot, Paul Watson a reçu le soutien d’une longue liste de vedettes internationales militant pour le droit des animaux, comme Mick Jagger, Pierce Brosnan, Sean Penn, Edward Norton, Orlando Bloom, Uma Thurman et, évidemment, Brigitte Bardot. Le dalaï-lama l’a même comparé à une divinité bouddhiste. Mais Paul Watson est aussi détesté qu’il est adulé. Des autorités en Islande, au Danemark, au Japon, au Costa Rica et au Canada l’ont dénoncé. Greenpeace, dont il est un des cofondateurs, ne veut plus rien savoir de lui depuis qu’il a été mis dehors à la fin des années 70 parce qu’il était jugé trop agressif. Paul Watson estime que son ONG est la seule à vraiment poser des gestes pour protéger la faune marine. Depuis 30 ans, il accuse les groupes environnementaux comme Greenpeace de faire de l’argent sur le dos des phoques parce qu’ils sont si mignons. La chef du Parti vert du Canada, Elizabeth May, qui a démissionné du comité consultatif de la SSCS à cause des propos de son fondateur, estime malgré tout que Paul Watson est sincère lorsqu’il affirme se préoccuper moins de financement que du sort des animaux. L’ennui, c’est qu’en semant autant la controverse, «il crée des distractions qui empêchent de voir les vrais enjeux», ajoute celle qui le connaît depuis une vingtaine d’années. Paul Watson, 57 ans, est un écologiste radical. Il croit que les êtres humains sont des parasites qui sont en train de tuer leur hôte, la planète. Il a déjà exigé des mesures draconiennes pour réduire la population mondiale sous le milliard et dit que le cancer est «un remède aux problèmes de la nature». Il a comparé l’extermination des baleines à l’Holocauste. D’un point de vue écologique, souligne-t-il, les vers de terre sont plus importants que les humains puisque les premiers peuvent se passer des seconds. Comme tout son équipage — souvent des jeunes idéalistes qui ont la moitié de son âge —, Paul Watson est végétalien. Il est contre toute forme de chasse. «Les gens doivent comprendre que les animaux pensent, qu’ils ressentent comme nous, dit-il. On peut vivre dans un monde imaginaire où on prétend que ce sont des végétaux. Mais ils ne le sont pas.» Paul Watson aime raconter qu’il est devenu un guerrier pour le droit des animaux avant la puberté. Il a grandi dans un village de pêcheurs au Nouveau-Brunswick. À l’âge de 10 ans, un oncle l’a amené à la chasse aux phoques, et il en a vu un se faire tuer. «Ç’a été une des choses les plus horribles que j’ai vues de ma vie, dit-il. Et je me suis dit qu’à l’avenir, je ferais tout en mon pouvoir pour mettre fin à cette chose. Ce n’est pas nécessaire, c’est barbare et à cause de ça, j’ai honte d’être Canadien.» Naissance de Greenpeace Au début des années 70, Paul Watson et une vingtaine d’environnementalistes ont fondé Greenpeace à Vancouver. Après une campagne très médiatisée contre des baleiniers russes au large de la Californie, Paul Watson a insisté pour que l’ONG sauve les phoques. Plusieurs membres se sont opposés, jugeant qu’il valait mieux se concentrer sur les baleines. En 1976 et 1977, Paul Watson a tout de même réussi à réunir des militants sur les banquises près de Terre-Neuve. Lors du deuxième voyage, il s’était fâché contre un chasseur et avait jeté ses peaux et son gourdin dans l’eau. À la suite de cet incident, les membres de Greenpeace, une ONG pacifique, avaient décidé à l’unanimité de l’exclure. Paul Watson fondait ensuite la Sea Shepherd Conservation Society pour protéger les océans comme il l’entendait. Trente et un ans plus tard, Paul Watson se félicite entre autres d’avoir sauvé des centaines de baleines, de dauphins et de requins et d’être à l’origine de la campagne qui a mené à la fin de la chasse aux bébés phoques, en 1983. Paul Watson explique qu’un de ses principaux objectifs, cette année, était de filmer «le massacre des phoques» pour fournir des preuves aux Européens, qui songent à interdire les produits dérivés du phoque. Dans quelques années, croit-il, cette chasse sera révolue. «Les prix baissent, dit-il. L’industrie est en train de mourir.» En attendant, ne comptez par sur lui pour tempérer ses propos. Ou s’excuser. «Je suis comme un acupuncteur. J’insère mon aiguille dans l’opinion publique et j’espère une réponse. Je brasse, je crée des controverses, j’essaie de faire réfléchir les gens sur ces enjeux. Et tu ne peux faire ça qu’avec du drame, du théâtre et en étant un fauteur de troubles!», s’esclaffe-t-il. http://www.cyberpresse.ca/article/20080419/CPSOLEIL/80418255/6787/CPSOLEIL
  19. On est même pas capable de faire fermer un abattoir à ciel ouvert, (phoques) comment faire maintenant pour faire cesser tout ça!
  20. Condamné pour avoir brûlé son chien vivant Quatre mois de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve de deux ans et une interdiction définitive de détenir un chien. Un homme de 28 ans poursuivi pour « sévices graves ou actes de cruauté envers un animal domestique » a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Mulhouse. Au vu des éléments de l'enquête, il aurait attaché son berger croisé à poil long à un poteau avant de l'asperger d'essence et de l'enflammer. Les faits se sont déroulés le 17 février à Mulhouse. Quelques jours avant de passer à l'acte, le propriétaire s'était rendu à la société protectrice des animaux (SPA) pour faire euthanasier son fidèle compagnon. Une demande qui lui avait été refusée. Selon les forces de l'ordre, l'individu pourrait aussi être directement responsable de la mort de deux autres chiens. Les juges n'en ont pour autant pas fait mention dans leurs chefs d'inculpation. Qualifiant son geste d'abject et d'insupportable, le ministère public avait requis à son encontre trois mois de prison ferme. http://www.20minutes.fr/article/225672/Strasbourg-Condamne-pour-avoir-brule-son-chien-vivant.php
  21. Dominique Roux encourage la dénonciation Cruauté envers les animaux Comme directrice de la Société protectrice des animaux d’Arthabaska (SPAA), Dominique Roux a été appelée à se rendre à Sainte-Anne-du-Sault, lundi matin, dans une ferme où se trouvaient de nombreux animaux victimes de malnutrition. En fait, les bêtes, dont plusieurs étaient déjà mortes, n’avaient pas été nourries depuis plusieurs semaines. Comparativement à une vingtaine d’animaux avancés par les agents de la paix en début de semaine, ce sont plutôt une cinquantaine de bêtes qui ont été découvertes sur les lieux, dont une trentaine de moutons. «Les animaux encore vivants se nourrissaient de carcasses. C’était une véritable scène d’horreur. En 20 ans de métier, je n’avais jamais rien vu de tel. Et que dire des excréments et de l’odeur. Bref, ce n’était pas beau à voir. Il fallait avoir le cœur solide», a raconté Mme Roux. À la suite de l’intervention de l’équipe de la SPAA, une personne a été mandatée pour prendre en charge les bêtes vivantes, alors que les carcasses ont été enfouies. Mme Roux souhaite que ce triste événement ait pour effet de sensibiliser la population à la cruauté envers les animaux. En fait, elle insiste pour que les citoyens témoins d’actes douteux dénoncent les suspects. «Trop souvent, lorsque nous sommes contactés, il est trop tard. Autant les employés municipaux que les résidants doivent faire preuve de vigilance. Il ne faut surtout pas fermer les yeux. Au contraire, il faut dénoncer. Nous ne pouvons laisser les animaux à eux-mêmes. C’est un devoir d’intervenir», a-t-elle dit. Par ailleurs, comme il a été permis de le constater lors de l’intervention à Sainte-Anne-du-Sault, l’expertise de la SPAA est désormais sollicitée par les autorités policières et les municipalités. Il reste que ces interventions entraînent des coûts pour l’organisme voué à la protection des animaux. La SPAA, qui ne jouit d’aucun fonds de dépannage, n’arrive pas à assumer de tels frais. C’est pour cette raison qu’elle sollicite la générosité de la population afin de bénéficier d’une certaine aide financière dans le but, entre autres, de poursuivre son travail de sensibilisation auprès des citoyens et des jeunes. Ceux qui désirent offrir des dons à la SPAA peuvent le faire en composant le 819 758-4444. Pour plus d’informations, il suffit de cliquer le www.spaavic.com Les animaux ont été découverts dans un état lamentable Une véritable scène d’horreur! Plusieurs bêtes étaient déjà mortes à l’arrivée des intervenants Les animaux n’auraient pas été nourris depuis plusieurs semaines. Les lieux étaient insalubres. Quelques chevaux ont pu être sauvés.
  22. Des animaux maltraités à Sainte-Anne-du-Sault par Ghislain Chauvette AFFREUX! HORRIBLE! ABOMINABLE! MONSTRUEUX! ( voir photos sur l'autre post ) Article mis en ligne le 15 avril 2008 à 8:21 Soyez le premier à commenter cet article À la suite d'un appel d'un citoyen, les policiers de la Sûreté du Québec de la MRC d'Arthabaska ont découvert une vingtaine d'animaux maltraités à l'intérieur d'une ferme, lundi en fin d'avant-midi, à Sainte-Anne-du-Sault. Certains chevaux, moutons et vaches étaient morts, alors que d'autres présentaient de sérieux problèmes de santé. D'ailleurs, les agents de la paix ont fait savoir qu'ils devront être euthanasiés. Lors de l'intervention policière, personne ne se trouvait sur place. Le propriétaire des lieux aurait été joint par téléphone. Une enquête a évidemment été ouverte. Des représentants du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et de la Société protectrice des animaux ont été dépêchés sur les lieux. À la suite de leurs analyses, le propriétaire de la ferme pourrait faire face à des accusations. «Il est, pour l'instant, top tôt pour avancer qu'il s'agit d'une histoire de cruauté envers les animaux. L'enquête suit son cours et le rapport des divers intervenants devrait apporter les éclaircissements nécessaires», a laissé entendre un policier de la SQ. Réagissez à cet article http://www.lanouvelle.net/article-202650-Des-animaux-maltraites-a-SainteAnneduSault.html
  23. Caro18

    Non à l'hakapik

    Les PM de T.-N.-L. et du Nunavut demandent qu'on interdise le hakapik Il y a 3 jours SAINT-JEAN, T.-N.L. — Les premiers ministres de Terre-Neuve-et-Labrador et du Nunavut demandent qu'on interdise l'utilisation du hakapik - ce gourdin muni d'un crochet qui est devenu un des symboles les plus controversés de la chasse aux phoques au Canada. Danny Williams et Paul Okalik se sont rencontrés à Saint-Jean, où ils ont indiqué avoir l'intention d'écrire à Ottawa pour demander l'imposition d'un interdit. L'outil, tout d'abord développé par les Norvégiens, est utilisé depuis des années pour battre les animaux à mort et ensuite traîner leur carcasse sur la glace. Toutefois, la vaste majorité des chasseurs au large de la côte nord de Terre-Neuve utilisent plutôt des armes à feu. Pour les détracteurs de cette chasse qui se déroule le long de la côte est du Canada, le hakapik illustre la cruauté de cette activité. Rebecca Aldworth, la porte-parole de la Humane Society des Etats-Unis, croit toutefois que la demande de MM. Williams et Okalik n'est qu'un "complot cynique". Elle estime que l'utilisation d'une arme est tout aussi cruelle que celle du hakapik, puisque la majorité des chasseurs ne sont pas de bons tireurs. Elle accuse les politiciens de ne pas se préoccuper du sort des animaux, et de chercher uniquement à améliorer l'image publique de la chasse. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5izxlBrsM5POBIHWuuBS-pB6AqTbg
  24. Caro18

    Non à l'hakapik

    Ils ne savent plus quoi faire pour protéger l'image de cette chasse! Chasse au phoque Non à l'hakapik Les premiers ministres du Nunavut et de Terre-Neuve-et-Labrador, Paul Okalik et Danny Williams, demandent à Ottawa d'interdire l'hakapik (aussi nommé agapik). Il s'agit d'un gourdin muni d'un crochet et d'un marteau. Les chasseurs s'en servent à l'occasion pour abattre leur proie en la frappant à la tête. Selon les premiers ministres, cette arme donne des munitions aux opposants à la chasse au phoque à l'échelle internationale. Elle est responsable, selon eux, des images sanglantes de carcasses de phoques qui font le tour du monde. M. Okalik indique qu'il revient d'un voyage en Europe où il a vu à répétition des images de chasseurs qui abattent des blanchons avec l'hakapik. Ces images sont toujours diffusées même si la chasse au blanchon est interdite au Canada depuis des années. Peu de chasseurs utilisent encore l'hakapik pour chasser le phoque. Les phoques sont abattus par balle dans 95 % des cas. Les premiers ministres espèrent que l'interdiction de l'hakapik dissuaderait la communauté européenne d'interdire l'importation des produits du phoque. Les parlementaires européens doivent tenir un débat à ce sujet en juin. M. Okalik précise que des parlementaires européens lui ont dit qu'ils voteraient contre ce moratoire si le Canada laissait tomber l'hakapik. Selon les premiers ministres Okalik et Williams, le Canada doit agir de toute urgence. Ils rappellent qu'il n'est pas nécessaire de promulguer une loi. Il suffirait de modifier les règlements de la chasse. Le premier ministre du Nunavut rappelle que la chasse au phoque est très importante pour l'alimentation des Inuits. Il explique que la viande livrée de l'extérieur n'est plus très fraîche lorsqu'elle arrive à destination, alors que celle du phoque est disponible sur place. M. Okalik ajoute que la vente de la peau du phoque finance cette chasse. Paul Okalik a l'intention de retourner bientôt en Europe avec Danny Williams pour sensibiliser les parlementaires européens à l'importance de cette chasse. ENCORE $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/04/15/010-gourdin.asp
  25. Seal hunt unpopular; protests even less popular Juliet O'Neill , CanWest News Service Published: Friday, April 18, 2008 OTTAWA - Most Canadians don't like the commercial seal hunt but they appear to like confrontational protests against it even less. Seventy five per cent of Canadians support the federal government's decision last weekend to board and seize an anti-sealing protest ship off the coast of Newfoundland, says an Ipsos Reid poll released Friday. The was a high level of support for seizing the Farley Mowat, arresting its crew and charging two officers, even though only four in 10 Canadians support the annual hunt. Sealers drag a harp seal carcass on an ice floe off the northwest coast of Newfoundland earlier this month. Reuters Half of Canadians said they oppose commercial seal hunting. Two in 10 would shut it down altogether and four in 10 would allow only hunting by aboriginals and others for personal and subsistence use. The April 15-17 poll of 1,002 adults for Canwest News Service and Global National is considered accurate to within plus or minus 3.1 percentage points 19 times out of 20. "It's clear that the Canadian public doesn't like publicity stunts, doesn't like people who are not working within the law," John Wright, senior vice-president of Ipsos Reid, said in an interview. "The Canadian public is saying we should do something about the seal hunt, we're opposed to it, but we don't want civil disobedience to go with it." The pollsters compared the findings to 1997 and found opposition to the hunt up two percentage points to 52 per cent, support down by six points to 39 per cent and those who don't know what to think up three points to nine per cent. Support for the RCMP intervention after the Farley Mowat's confrontation with a coast guard ship was high across the board - in every province, age group and gender. Attitudes toward sealing, however, vary dramatically by region, education, income, age and gender. Opposition to the hunt is highest in British Columbia (61 per cent), among urban residents (55 per cent), the under-35 age group (60 per cent), women (63 per cent), those with less than a high school education (63 per cent) and those with incomes under $30,000 (70 per cent). Support for commercial sealing is highest in Atlantic Canada (64 per cent), among the 55 or older age group (44 per cent), rural residents (48 per cent), university educated adults (48 per cent) and those with annual incomes of $60,000 or more (48 per cent). Far more men, 51 per cent, support sealing than women, 28 per cent. "People who support this are dealing with the intellectual argument, they're not dealing with the emotional argument," Wright said. "This has never been about a rationale argument. It's been about photographs, about blood, about baby seals and about the use of force against a small animal. You can't compete in a rationale argument on those bases." As well as the incident involving the Sea Shepherd Conservation Society's vessel, the government has been dealing with the threat of a European Union ban on seal product imports. The Atlantic Canada data differs from the rest of the country. Two-thirds of Atlantic Canadians support the hunt and three in 10 are opposed. Most Atlantic Canadians either want to see the seal hunt operate as it currently is (44 per cent) or support an expansion of the hunt (17 per cent). Two in 10 (18 per cent) support closing the hunt completely, while 16 per cent support closing the commercial hunt but allowing aboriginals and subsistence hunters to continue their practice. Saskatchewan and Manitoba are the only other provinces where there are more individuals (50 per cent) supporting than opposing (42 per cent) the hunt. Most Quebecers (54 per cent) and Ontarians (55 per cent) oppose the hunt. Half of Albertans oppose it. Ottawa Citizen 2008 http://www.canada.com/topics/news/national/story.html?id=e7856350-8bea-408c-a098-70c6dfb08e20&k=37070
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