Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Caro18

Membres
  • Compteur de contenus

    1 810
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. CANADA Un salopard! Un chat battu a mort et un autre lancer d'un balcon de 3 étages Police search for Ottawa man after one cat beaten to death, second thrown from balcony. Incident part of disturbing trend of cruelty to animals, humane society says Geoff Nixon, The Ottawa Citizen Published: Saturday, July 12, 2008 Police are searching for a man they say broke into a Sandy Hill apartment, threw a cat from a third-floor balcony and beat a second cat to death. Police allege Richard Holstein, 24, broke into the apartment, where a woman he was once involved with lived, on Wednesday. An initial report suggested a third cat was involved, but the Ottawa Humane Society confirmed yesterday that only two cats lived in the apartment. Sharon Miko, director of operations at the humane society, said a long-haired, brown Tabby cat named Marble was beaten to death. The other cat, a Siamese and Tabby mix named Kitty, was short-haired with white, light brown and gray fur. Kitty is possibly pregnant and has still not been found. Both cats were about a year old. "It's shocking," Ms. Miko said, calling the alleged abuses "another example of an extremely disturbing trend in animal cruelty that we've been seeing." The apartment where the cats were living is in an Ottawa Community Housing building on Wiggins Private. Directly behind the building is a hill which leads down to a parking lot and adjacent ravine. The balcony where the cat was allegedly thrown from faces the grass and is some distance from a hard pavement surface and two city garbage bins, which sit next to the building. In the hallway leading to the third-floor apartment, several crude messages are scrawled on the walls. The messages, all written in dark ink, contain references to sex, crack cocaine and a specific reference to the apartment itself. Another message provides a phone number that can be used to buy "rocks" from a dealer named "Joey." Neighbours said the apartment was rented by a woman who was previously involved with Mr. Holstein. Ottawa police Const. J.P. Vincelette confirmed the incident "has to do with a domestic matter," something which would not normally be a public matter. In this case, however, police decided to go public because of the violent nature of the acts. "We're looking for him because his actions were somewhat irrational," Const. Vincelette said. "That's why we want to find him, to make sure this doesn't go any further." He said police are "confident in saying that an animal was beaten to death," but would not say what, if any, weapon was used. Ottawa Community Housing CEO Jo-Anne Poirier said she was "going to be personally involved" in looking into the incident, noting "the safety of our tenants is extremely important." Mr. Holstein is wanted on a series of criminal counts including theft, being unlawfully in a dwelling and causing unnecessary suffering to animals. For unrelated matters, he is also wanted for breach of probation and breach of recognizance. He is described as white, approximately six feet tall, weighing about 190 pounds. He has blue eyes, short blond hair and a muscular build. He has characteristic tattoos on his neck and the back of his hands. His right hand tattoo says "G-Unit," his left-hand tattoo has a "50 Cent" marking. He also has a heart tattooed on his left hand. Police are asking anyone with information to contact Det. Leanne Smith at 613-236-1222 ext. 5407, or to call Crime Stoppers at 613-233-8477. gnixon@thecitizen.canwest.com http://www.canada.com/ottawacitizen/news/story.html?id=efa93543-e5a6-4596-896a-fb3c9c0c75ca
  2. Pêches et Océans Canada Jul 10, 2008 12:15 ET Déclaration de Loyola Hearn, ministre des Pêches et des Océans : Le Premier ministre Harper se porte de nouveau à la défense de la chasse au phoque du Canada OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 10 juillet 2008) - L'honorable Loyola Hearn, ministre des Pêches et des Océans, a émis aujourd'hui la déclaration suivante, après la conclusion du Sommet du G8 à Toyako, au Japon : "Outre les autres importants dossiers abordés lors du Sommet du G8, le Premier ministre Harper a discuté aujourd'hui de la chasse au phoque pratiquée au Canada, lors de sa rencontre bilatérale avec le président de la Commission européenne, M. José Manuel Barroso. Le Premier ministre a réitéré qu'il est impératif que les nations membres de l'Union européenne évaluent minutieusement ce qu'elles comptent faire lorsqu'elles discuteront de mesures qui pourraient limiter ou interdire la vente de produits dérivés du phoque sur leur territoire. Le Canada est déterminé à favoriser une chasse sans cruauté, durable et réglementée. Les pressions publiques qui s'exercent dans l'Union européenne et qui visent à interdire la vente de produits dérivés du phoque reposent sur des campagnes de désinformation orchestrées par des organisations opposées à la chasse au phoque et des groupes extrémistes. Notre gouvernement a toujours défendu les dossiers importants pour les collectivités côtières du Canada. Le Canada ne va pas rester les bras croisés et accepter des mesures qui vont à l'encontre des pratiques internationales acceptées en matière de durabilité et de commerce et qui sapent le commerce de produits dérivés de phoques chassés selon les normes internationales. Le leadership du Premier ministre lors du Sommet du G8 démontre une fois encore que ce gouvernement défend les intérêts des chasseurs de phoque canadiens." For more information, please contact Pêches et Océans Canada. Ottawa Joshua Zanin - Adjoint spécial, Communications Cabinet du ministre 613-992-3474 ou Pêches et Océans Canada, Ottawa Relations avec les médias 613-990-7537 http://www.marketwire.com/press-release/Pêches-Et-Océans-Canada-877737.html
  3. Chine et Russie : un marché porteur pour la fourrure sauvage du Canada Les temps évoluent. Si pendant près de 400 ans, l'Europe a été le premier acheteur mondial de fourrures sauvages canadiennes, aujourd'hui les trappeurs vendent davantage les produits de leurs chasses en Chine et en Russie, des économies en plein essor. Ne faut-il pas y voir également un effet secondaire du changement climatique ? Car il faut bien le dire, les rigueurs de l’hiver se font plus rares dans les zones dites tempérées, réduisant ainsi les occasions "offertes" aux dames pour se parer de tels atours. "Notre marché le plus important est sans l'ombre d'un doute la Russie et le deuxième la Chine", selon James Gibb, porte-parole de la "Fur Harvesters Auction" (FHA), une entreprise de North Bay, en Ontario, spécialisée dans les enchères de fourrure. La Russie - avec les Etats-Unis, le Canada et la Scandinavie - est l'un des principaux producteurs mondiaux de fourrures sauvages. Toutefois, l'offre ne suffit plus pour répondre à la demande en raison de la croissance vertigineuse de l'économie et des goûts de luxe des nouveaux riches. D'où l'intérêt de se tourner vers le Canada, réputé pour la qualité de ses peaux de castor, lynx, martre, loutre, ours et autres. Les trappeurs canadiens vendent leurs prises à des agents qui viennent récolter sur place la fourrure ou envoient directement les peaux à des entreprises comme la FHA ou la NAFA (North American Fur Auctions) qui organisent des ventes aux enchères attirant des acheteurs du monde entier, mais de plus en plus en provenance de Russie. Le raton laveur a été le clou des ventes du mois de janvier pour la NAFA. La Chine, de même que l’Europe, la Grèce en particulier, se sont livrées une vive concurrence pour l’offre de 100 000 peaux de raton. Si l’on compare janvier 2007 à janvier 2008, on s’aperçoit que, dans bien des cas, les prix des peaux de plus grandes tailles et de plus belles couleurs ont augmenté de 40%. L’activité accrue de la Chine pour cet article témoigne de la demande des détaillants en raton laveur nord-américain plutôt qu’en raton laveur chinois. Cela n’aurait été possible sans le vaste travail accompli par NAFA en vue d’introduire cet article sur le marché chinois depuis plusieurs années. La totalité des peaux de castor a été vendue, ce qui est encourageant et ce, à des prix satisfaisants pour toutes les peaux à poil long et de plus grandes tailles utilisées pour les bordures. En ce concerne le coyote, 40% des fruits de la nouvelle chasse ont été vendus, les peaux plus denses à des prix de 10 à 15 % inférieurs aux niveaux de janvier 2007, les chiffres d’affaire ayant régressé de 30%. Les prix des peaux de rat musqué, qui se sont vendues à des niveaux exceptionnellement élevés en janvier 2007, ont diminué de 50%. Cet article, dont la demande a diminué au cours de la saison de vente 2007, a connu des problèmes surtout après qu’une maison de vente aux enchères ait déchargé une quantité de ses peaux de rat musqué à plusieurs spéculateurs et ce à des prix très bas. Une quantité limitée de lynx roux s’est très bien vendue à prix élevés, ce qui témoigne du vif intérêt de l’industrie de la mode. Cet article sert principalement aux bordures de vêtements en vison. Les membres de la direction de la NAFA se rendront dans les marchés de la Chine, de Hong Kong, de la Corée, de Russie, de la Grèce, de la Turquie et de Dubaï au cours des quatre prochaines semaines. L'industrie de la fourrure sauvage fonctionne selon le principe suivant : les peaux brutes sauvages sont achetées en Amérique du Nord, puis envoyées en Chine pour en faire des manteaux. Ces manteaux sont ensuite réexportés en partie en Amérique du Nord, mais surtout en Russie. Car si au Canada, plusieurs entreprises ou artisans confectionnent des manteaux de fourrure sauvage, les coûts de la main d'oeuvre y sont plus élevés qu'en Chine. "La Chine est un grand acheteur de fourrures brutes du Canada (...) mais elle est aussi un grand compétiteur de point de vue de la fabrication des manteaux", précise ainsi Alan Herscovici, président du Conseil canadien de la fourrure. Le marché de la fourrure sauvage ne progresse plus depuis la fin des années 80 en Occident en raison notamment des campagnes des défenseurs des animaux, mais l'Europe continue à jouir d'un prestige particulier grâce à ses maisons de haute couture. Bien que l'on associe souvent les créations en poils aux animaux sauvages, près de 85 % de la fourrure est issue de l'élevage et notamment des fermes européennes qui comptaient en 2006 pour 70 % de la production internationale de visons et 63 % de l'élevage de renards. La fourrure sauvage représentait à cette date seulement 15 % de la production mondiale. En la matière, la législation nationale et internationale se concentre sur deux objectifs : l'homogénéisation des normes de piégeages et la protection des espèces en danger. Premier texte de référence : l'accord sur les normes internationales de piégeages sans cruauté (ANIPSC) liant le Canada, l'Union Européenne et la Russie, puis les Etats-Unis. Dès 1997, ce texte s'attache à définir les conditions de piégeages des animaux, gageant les participants à tester la conformité de leurs pièges aux normes ISO, garantes de souffrances minimales des animaux. Dès son entrée en vigueur, l'accord est appliqué aux 19 espèces les plus communément exploitées pour leur fourrure à l'image du coyote, du loup, du lynx, du rat musqué, du raton laveur, etc. "Les centres de la mode en Europe, comme Paris et Milan, dictent les tendances de la mode et utilisent encore de la fourrure. S'ils ne le faisaient pas, la fourrure ne serait pas aussi prisée dans le reste du monde", estime Robert Cahill, président de l'Institut canadien de la fourrure. Pour contrer l'influence des défenseurs des animaux et reconquérir le marché occidental, l'industrie canadienne de la fourrure sauvage vient de lancer une importante campagne de publicité sur "l'éco-fourrure". "La fourrure sauvage a toujours été écologique (...) Si on veut réduire les gaz à effet de serre c'est une bonne idée d'acheter moins de fourrure synthétique (fabriquée à partir du pétrole) comme le proposent certains animalistes et d'acheter de la vraie fourrure", fait valoir M. Herscovici. Ah l’écologie, que ne dirait-on pas en son nom ! Sources : AFP, NAFA, www.leblogluxe.com
  4. Le vendredi 04 juillet 2008 BEAUCOUP D'ANIMAUX RECUEILLIS EN JUIN La SPCA de l'Outaouais est débordée Bryan Michaud Le Droit Beaucoup d'animaux de compagnie ont été rapportés en juin par leurs propriétaires à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) en Outaouais, ce qui amène l'organisme à craindre une surpopulation dans ses locaux d'ici peu. Dans les locaux de la SPCA, qui peuvent héberger près de 200 animaux, on en dénombre présentementun peu plus de 160. "Actuellement, nous devons gérer avec les moyens du bord, admet le président de la SPCA en Outaouais, Yves Geoffrion. Nous avons reçu beaucoup plus de chiens qu'à la normale, ce qui explique nos difficultés." La SPCA fait donc appel à des familles d'accueil pouvant héberger certains animaux pour une dizaine de jours, afin de faire de la place aux nouveaux venus. Le mois de juin a également été occupé du côté de la Humane Society d'Ottawa, mais ses dirigeants ne sont pas inquiets. "L'été est la saison où nous recevons le plus d'animaux de compagnie, dit la porte-parole de l'organisme Tara Jackson. On peut accueillir jusqu'à 50 bêtes par jour, à l'occasion. Par contre, nous avons de la place et nous ne refusons aucun animal." http://www.cyberpresse.ca/article/20080704/CPACTUALITES/807040350/6790/CPDROIT
  5. Enfin, une vraie BONNE NOUVELLE pour les organismes et les chiens Des milliards pour le bien-être des chiens ( plus de 5 milliards de dollars ) Vous vous souvenez de Leona Helmsley? Après son décès, l’été dernier, le monde avait été surpris d’apprendre que la reine des hôtels new-yorkais avait légué à sa chienne Trouble 12 millions de dollars en héritage. Ce soir, le New York Times publie sur son site internet un article encore plus étonnant : avant de mourir, Helmsley a signé une déclaration de deux pages indiquant son intention de consacrer tout l’argent de sa fondation caritative - entre cinq et huit milliards de dollars - au bien-être des chiens. Reste à voir si les volontés ultimes de la dame seront respectées. http://blogues.cyberpresse.ca/hetu/?p=70421677 Une richissime New-yorkaise lègue des milliards de dollars à des chiens Il y a 1 jour NEW YORK (AFP) — La richissime New-yorkaise Leona Helmsley qui avait défrayé la chronique en léguant 12 millions de dollars à sa chienne Trouble, aurait en fait promis l'intégralité de sa fortune, soit plus de 5 milliards de dollars, au bien-être de la race canine, selon le New York Times. Poursuivre la lecture: http://afp.google.com/article/ALeqM5hYHQee-3ZDqlNxBmlgYFvnvzhOcw
  6. Montréal, capitale nord-américaine des chats errants Émilie Bilodeau La Presse Les miaulements des chats errants résonnent de plus en plus fort à Montréal. Avec la reproduction exponentielle des félins non stérilisés et les abandons d'animaux après les déménagements, la métropole s'est vu attribuer le titre de la capitale nord-américaine des chats errants par des organismes de protection des animaux. C'est le cas de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) à Montréal. Les patrouilleurs de l'organisme ramassent souvent jusqu'à 15 chats par jour dans les rues de la métropole. «En ce moment, c'est la pire saison parce que les chattes ont eu leurs chatons au printemps et doivent maintenant se nourrir plus qu'à l'habitude pour allaiter leurs petits. Pour y parvenir, elles approchent les humains», dit Noémie Barthelet, directrice adjointe des opérations à la SPCA. Pas moins de la moitié des chats qui sont apportés à la SPCA sont euthanasiés. Johanne Tassé, présidente des Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec, croit également que Montréal mérite le titre de capitale nord-américaine des chats errants. Pour contrer le problème, elle suggère de rendre obligatoire la stérilisation de tous les chats et chiens de la province. Les nombreuses plaintes concernant les chats errants ont forcé l'arrondissement de Saint-Laurent à réagir. Depuis 2004, l'organisme Humanochat capture les chats du secteur, les stérilise et les tatoue. Pour éviter qu'un autre clan s'y installe, l'organisme ramène ensuite les chats au même endroit. «Au départ, nous n'étions pas certains que cette mesure allait être efficace. Mais on se rend compte que les chats ne se reproduisent plus et leur nombre a tendance à diminuer avec leur mort naturelle», explique Alan De Sousa, membre du Comité exécutif de la ville et maire de Saint-Laurent. La ville de Los Angeles, qui a adopté cette mesure, a vu son taux d'euthanasie d'animaux abandonnés chuter de 70% en 8 ans, soutient Mme Tassé. «Ici, au Québec, la solution, c'est l'euthanasie, mais ça ne fonctionne pas parce que le problème d'errance existe toujours et le taux d'euthanasie ne diminue pas», ajoute-t-elle. Pour encourager les gens à stériliser leurs félins, la SPCA organise pour la première fois une rencontre avec les citoyens. L'organisme souhaite également trouver de nouveaux propriétaires aux chats abandonnés. La semaine dernière, à la veille des déménagements du 1er juillet, la société a reçu 100 chats. Cette rencontre aura lieu à la Bibliothèque Atwater, à l'entrée située au 4023, Tupper, ce soir à 19h. Comme des lapins La SPCA de Montréal a calculé la vitesse à laquelle se multiplient un chat non stérilisé et ses chatons. Voici le résultat: 1re année = 3 portées = 12 chatons 2e année = 144 chats 3e année = 1728 chats 4e année = 20 736 chats http://www.cyberpresse.ca/article/20080703/CPACTUALITES/807030662/1019/CPACTUALITES
  7. Voici ce que j'ai trouvé sur Mario La loi ANTI-MARIO http://homelessnation.org/en/node/7714 Le samedi 24 novembre 2007 La Ville saisit de nouveau le chien d'un sans-abri http://www.cyberpresse.ca/article/20071124/CPACTUALITES/711240765/1019/CPACTUALITES samedi 01 septembre 2007 Le chien Renégat sauvé de l'euthanasie http://www.cyberpresse.ca/article/20070901/CPACTUALITES/709010699/-1/CPACTUALITES Coalition Canine de Montreal http://montrealcaninecoalition.blogspot.com/2008/02/il-sera-interdit-de-promener-plus-de.html
  8. Quelle triste fin! C'est cruel de faire ça aux chiens et à Mario!!!! Est-ce qu'il y a un mouvement pour soutenir Mario, il faut que son histoire soit racontée dans les médias et sur internet, il faut dénoncer le plus possible cette décision louche et inhumaine! Soyons solidaires! Est-ce que Mario a pu assister à l'euthanasie Toutes mes sympathies Mario
  9. Ce paragraphe résume assez bien, comment les éleveurs adorent les animaux...à la livre et dans le frigo! Il dit que la taure ne vaut pas le prix de la foetotomie et qu'il veut tuer la vache. Je propose donc en dernier recours de tirer la vache et de faire une césarienne d'urgence pour sauver le veau. Mais ce n'est plus la saison des vêlages et il n'a pas le temps de s'occuper d'un seul veau. Ses autres veaux sont déjà sevrés. Il a donc attendu au matin pour tirer la vache, appelé le beau-frère qui est boucher et mis la taure dans son congélateur...
  10. En prison pour avoir voulu sauver un ours orphelin Un Indien a été placé sous les verrous pour avoir emmené chez lui un ourson abandonné. L’ourson «Rani» aimait beaucoup grimper sur le vélo de Munda.L’histoire avait bien commencé. L’année dernière, Ram Singh Munda, un Indien de 35 ans, avait aperçu un ourson égaré alors qu’il ramassait du bois de chauffage dans la forêt. Attendri, il avait décidé d’emmener le petit animal chez lui pour en prendre soin. Au fil du temps, «Rani» était devenu un membre à part entière de la famille. Il avait même aidé la fille de Munda à se remettre du deuil récent de sa maman. Des images télévisées prises il y a quelques mois montrent l’ourson gambadant avec la fillette, puis essayant maladroitement de monter à l’arrière du vélo de Munda. Mais ce bonheur retrouvé a brusquement été interrompu la semaine dernière, lorsque les services de protection de la nature ont pris connaissance de cette histoire incroyable dans les médias locaux. Ram Singh Munda a été arrêté et emprisonné pour avoir violé la loi du pays, qui interdit de s’approprier un animal sauvage. Il risque jusqu’à 3 ans de prison. L’ourson «Rani» a été envoyé dans un zoo. Depuis, il refuse de s’alimenter. La fille de Munda a été placée dans une institution. Touchés par cette affaire, des activistes des droits des animaux tentent aujourd’hui de faire libérer Munda, rapportait hier la télévision américaine Fox News. Ils avancent que le pauvre homme, illettré, ignorait tout des lois du pays. Ils soulignent aussi que l’ourson risque de mourir s’il continue sa grève de la faim. Mais les autorités restent de marbre, arguant que «Rani» fait, de plus, partie d’une espèce protégée. Sophie Pieren http://www.20min.ch/ro/rechercher/story/27177069
  11. Les progrès contre les transports sur longue distance: campagne au Canada Traduction avec un robot En Février, le Handle with Care Coalition à exposé les conditions que les porcs ont été contraints d'endurer le long d'un kilomètre 6000-voyage de l'Alberta à Hawaii. La coalition a depuis appris que les porcs ne sont plus expédiées de l'Alberta à Hawaii, mais ils continuent à être transférés d'exploitations dans le Montana et d'autres États américains. Et le fait est que rien dans les lois canadiennes ou américaines permettrait d'éviter ce commerce cruel. La bonne nouvelle positive est que le ministre de l'Agriculture et l'Agro-alimentaire du Canada, en réponse à notre campagne, c'est chargé d'améliorer une réglementation du transport des animaux veille de 30 ans pour empêcher l'exportation d'animaux vivants si les conditions de transport ne répondent pas aux exigences fédérales pendant tout le voyage. C'est un premier pas positif et une nouvelle direction pour les animaux d'élevage. Toutefois, il reste encore beaucoup à faire et vous pouvez aider. S’il vous plaît envoyer une lettre http://e-activist.com/ea-campaign/clientcampaign.do?ea.client.id=23&ea.campaign.id=768 au ministre de l'Agriculture pour le remercier de son engagement et l'encourager également à considérer le bien-être des animaux transportés à l'intérieur et entre les provinces canadiennes. En plus des discussions avec le ministre de l'Agriculture, les membres de la Coalition a récemment rencontré le Président de la Commission de l'Agence canadienne d'inspection des aliments . Une série de modifications réglementaires ont été appelés, avec une réduction importante du temps que les animaux sont autorisés à être transportés. ACIA propose des modifications en vertu de la réglementation des transports sur la santé des animaux. Toutefois, nous sommes informés que la proposition sera bientôt publié pour examen et commentaires. L'attention des médias après le lancement de Handle with Care Canada a incité le ministre de l'Agriculture en vue de permettre des changements à la réglementation qui incluent notamment la possibilité de refuser les permis d'exportation lorsque le transport des animaux ne sont pas conformes avec le gouvernement fédéral. Des règlements de 30 ans ont pas mal besoin de révision. S’il vous plaît envoyer une lettre au ministre de l'Agriculture le remerciant pour son engagement et l'encourageant à mettre fin à la longue distance de transport des animaux à l'abattage. Pour en savoir plus sur l'état d'avancement de la campagne canadienne, visitez notre site Web. http://wspa.ca/news.asp?newsID=163&utm_source=LDT_AU_EBLAST&utm_medium=EMAIL&utm_campaign=LDT_AU_EBLAST LA CAMPAGNE ( à voir absolument ) Stoppez les longs transports sur longue distance des cochons Les cochons transportés du canada vers les États-Unis, puis jusqu'à Hawaii. http://www.handlewithcare.tv/ca/default.html VIDÉO: https://www.youtube.com/handlewithcaretv À consulter entièrement: Rapport final - Appel d'observations sur les dispositions visant le transport dans le Règlement sur la santé des animaux http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/reprapf.shtml
  12. Lisez le rapport http://www.seashepherd.fr/paris/080607_paris_rapport.html
  13. Valéry Giroux Éthique animale le 8 novembre Titre du projet : Vers l’égalité animale : mise en cause des justifications morales de l’exploitation par l’homme d’autres animaux L’homme utilise d’innombrables animaux pour son propre bénéfice. Que ce soit pour se nourrir, pour se divertir, pour se vêtir, pour obtenir divers services, pour acquérir des nouvelles connaissances, pour tester la toxicité des produits qu’il met en marché ou encore simplement pour lui tenir compagnie, il se permet de traiter les autres animaux d’une manière qui lui paraîtrait maintenant scandaleuse s’il s’agissait d’êtres humains. Or, depuis Aristote, nous admettons que, pour qu’il soit juste de traiter des individus de manières distinctes, il faille être en mesure d’identifier une différence entre eux qui justifie la différence de traitement. Opérer une discrimination injustifiée en fonction de l’espèce relèverait du spécisme et serait moralement aussi condamnable que le sont le racisme et le sexisme. Bien entendu, il est souvent approprié de distinguer entre l’homme et les autres animaux. Il est évidemment raisonnable, par exemple, de n’accorder le droit de vote qu’aux êtres humains adultes normaux. La capacité de formuler un jugement critique paraît être une condition pertinente pour déterminer qui devrait avoir la possibilité de voter. Mais certaines discriminations semblent beaucoup moins bien justifiées et soulèvent des problèmes éthiques auxquels des philosophes de plus en plus nombreux accordent - surtout depuis les 30 dernières années et avec la naissance de l’éthique animale en tant que discipline - une importance capitale. Mes recherches doctorales visent à vérifier l’hypothèse selon laquelle aucune raison, qui soit encore aujourd’hui considérée valable au plan moral, ne permet de justifier la discrimination morale faite en fonction de l’espèce, discrimination qui mène au refus d’accorder le statut de personne à tous les êtres sensibles. Mon objectif en trois volets est de démontrer que, en raison de leurs intérêts communs à ne pas souffrir, à vivre et à ne pas être traités comme de simples marchandises, tous les êtres sensibles devraient également bénéficier des droits les plus fondamentaux. Par conséquent, l’être humain devrait renoncer à toute forme d’exploitation institutionnalisée des animaux sensibles. Avant d’entreprendre des études de troisième cycle au département de philosophie de l’UdeM sur la valeur morale accordée aux animaux et sur les justifications morales du spécisme, j’ai obtenu un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal et passé les examens du Barreau du Québec. J’ai également complété une maîtrise en droit sur le projet de modification des infractions de cruauté envers les animaux du Code criminel canadien (2003). http://www.creum.umontreal.ca/spip.php?article455 Le Statut Juridique de l’Animal http://trempet.uqam.ca/ConjoncturesWEB/Numero33/F07_Valerymep03.pdf Réponse à Francoeur « La pensée animaliste » 29 mars 2006 Le Devoir, lien vers l’article http://www.ledevoir.com/2006/03/23/commentaires/0603291834544.html?273 Courriel de Valérie: valeryg@hotmail.com
  14. Nouveau-Mexique Des vaches maltraitées en vente à l'encan Un groupe de défense des animaux a rendu publique cette vidéo hier d'une vache malade et blessée sauvagement battue. La bête se trouvait dans un encan du Nouveau-Mexique. 26/06/2008 06h34 Les animaux sont vendus à cet endroit pour ensuite être abattus. Mais certaines vaches sont tellement mal en point qu'elles représenteraient un risque de transmission de la maladie de la vache folle, de la bactérie E. Coli ou autres infections. Le propriétaire de l'encan se défend, aucun animal malade ne s'est retrouvé dans la chaîne alimentaire. Le même groupe de défense avait rendu publiques d'autres images dans les derniers mois de cas semblables, cela avait provoqué l'un des plus grands rappels de boeuf au pays. La nouvelle en vidéo Video 1 Regardez les images du traitement réservé aux vaches. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2008/06/20080626-063416.html
  15. Je diffuse : Un poisson rouge vivant dans un porte-clefs !, JO Quoi de plus original qu’un porte-clefs avec un poisson rouge mort dedans? Oh, bien sur, il vous est vendu vivant, mais s’agissant d’un porte-clefs scellé, l’animal ne survivra pas bien longtemps en vase clos. Apparemment, des vendeurs de Qingdao en Chine vendent ces trucs horribles, et les poissons ont seulement une espérance de vie de quelques heures dans leur cellule transparente. [Weird Asia News via Geekologie] http://www.weirdasianews.com/2008/06/11/goldfish-keyring-with-live-goldfish/ http://www.gizmodo.fr/2008/06/13/un_poisson_rouge_vivant_dans_un_porteclefs.html
  16. Caro18

    Tous les ans, la même folie !!

    Ça ne m'étonne pas ! Depuis quelques années, les gens utilisent de plus en plus des feux d'artifice et/ou des gros pétards lorsqu'ils font la fête... en plus de leur musique qui joue à tue-tête Dans mon coin, ce sont des ados qui s'amusent avec ça dans un parc (ou plutôt, un terrain de baseball) non loin de chez nous, presqu'à tous les soirs, la plupart du temps vers 11:30-minuit ! Il y a des maisons tout autour de ce parc, mais personne ne semble s'en plaindre, car tous les ans c'est pareil. J'entends souvent des petits oiseaux crier à cette heure-là, ce qui confirme qu'ils paniquent les pauvres ... Ma chatte a aussi très très peur des pétards et des feux d'artifice! L'été, c'est l'enfer ! J'ai quasiment hâte à l'hiver ! En plus, c'est facile pour les gens de se procurer des feux d'artifice, dans les magasins 1 dollar et au dépanneur du coin!
  17. Caro18

    Tous les ans, la même folie !!

    Justement hier, un de mes voisins (3 maisons plus loin) à fait pété des feux d'artifice, mes chiens ont paniqué, j'ai fermé les fenêtres et j'ai fait partir la fan de la cuisine et mon air climatisé pour couper le bruit, un de mes chiens était complètement traumatisé de peur, il tremblait tellement que je pensais qu'il était pour faire une crise de panique!!! J'ai crié à ce voisin d'arrêter ce vacarme, mais les gens étaient sur la party, donc les insultes ont suivi!
  18. Extinction du phoque moine des caraïbes mercredi 18 juin 2008 Une autre victime sur la longue liste des espèces éteintes. Le phoque moine des caraïbes (monachus tropicalis) qui était porté manquant depuis 1994, a été officiellement déclaré "éteint en cette année 2008. Les deux autres espèces de phoques moines, celui de Méditerranée et celui d’Hawaï, sont également en danger critique d’extinction. Urbanisation des côtes, surpêche, pollution des eaux, réduction de leur habitat, bref les menaces qui pèsent sur ces mammifères sont nombreuses. En ce qui concerne le phoque moine de Méditerranée (500 individus à l’heure actuelle, sa survie ne tient qu’à un fil ; En Grèce, il est en conflit avec les pêcheurs locaux , et il a carrément disparu de certaines zones dont l’Espagne (en 1960) et la Corse depuis 1975 (les derniers specimen furent tués par les pêcheurs locaux) ! Pour le phoque moine d’Hawaï, ses effectifs ont chuté à partie des années 1985-196, à tel point que le gouvernement américain a créé en 2001 une réseve pour protéger les survivants. Ses plages de reproduction sont envahies de touristes et ont vu l’implantation de nombreuses pêcheries industrielles. Résultat, les phoques ont déserté ces sites. La disparition du phoque moine des Caraïbes servira-t-telle de leçon aux gouvernements ? J’en doute... http://www.aves.asso.fr/breve.php3?id_breve=185 Confirmation de l'extinction du phoque moine des Caraïbes La National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine a confirmé vendredi 6 juin ce que les biologistes pensaient depuis longtemps : l’extinction du phoque moine des Caraïbes. La dernière apparition confirmée d’un phoque de cette espèce remonte à 1952, entre la Jamaïque et la péninsule du Yucatan au Mexique. Le phoque moine des Caraïbes a été découvert en 1494, lors du deuxième voyage de Christophe Colomb vers le Nouveau Monde. On estime que 250 000 phoques vivaient à cette période dans les Caraïbes. Il sont rapidement devenus une proie facile pour les chasseurs en raison de leur présence fréquente sur les plages, pour se reposer ou pour accoucher. Des années 1700 à 1900, ils ont été intensivement chassés pour leur graisse, utilisée comme composant d’huile et comme revêtement de fond de bateaux, ainsi que pour leurs peaux, qui servaient de vêtements, de sangles et de revêtements de troncs. La NOAA a également annoncé qu’il ne restait plus que 1 200 phoques moines d’Hawaï et 500 phoques moines de Méditerranée et que leurs populations déclinaient, principalement à cause de la pollution et de l’appauvrissement de leur habitat. Selon la NOAA, il ne reste plus 1 200 phoques moines d’Hawaï - Photo Wikipedia Le phoque moine de Méditerranée est actuellement une des espèces de mammifères les plus menacés et la population de phoques moines d’Hawaï pourrait atteindre moins de 1 000 individus d’ici trois ou quatre ans, d’après la NOAA, plaçant également ces mammifères parmi les espèces les plus menacées. http://www.sur-la-toile.com/article-5609-Confirmation-de-l-extinction-du-phoque-moine-des-Cara%EFbes.html
  19. SAISES Mars 2008 - Saisie de chevaux à Boucherville (Québec) Lors d’une froide journée du mois de mars, nous avons reçu un appel d’urgence au sujet de chevaux affamés, négligés par leur propriétaire qui avait quitté les lieux en les abandonnant à leur sort dans une étable. Des travailleurs du coin avaient tenté de garder ces chevaux en vie en les nourrissant eux-mêmes. En arrivant sur les lieux, nous avons constaté que ces pauvres animaux vivaient dans une étable souillée et qu’ils étaient affamés et assoiffés. Parmi ces bêtes se trouvait une mère ainsi que son poulain âgée d’une semaine, cette dernière condamnée à mourir des plaies purulentes dont ses pattes étaient recouvertes si nous n’étions pas intervenus. Le vétérinaire qui nous accompagnait pour rédiger un rapport détaillé sur chaque animal a conseillé de transporter le poulain à l’hôpital vétérinaire de Saint-Hyacinthe, où elle a été placée immédiatement sous surveillance, ainsi que sur l’alimentation intraveineuse et les antibiotiques. Un effort ultime pour tenter de lui sauver la vie. Nous l’avons ensuite réunie avec sa mère, que nous avons transportée sur place, afin que celle-ci puisse continuer de l’allaiter. Les semaines suivantes furent cruciales, et souvent nous avons douté de ses chances de survie. Tous les chevaux saisis ont été placés dans différents refuges ou dans des maisons d’accueil ; la mère et le poulain sont restées à l’hôpital vétérinaire durant plus d’un mois. Nous sommes enchantés de vous annoncer que le poulain a survécu et vit à présent avec sa mère dans un magnifique sanctuaire pour chevaux. Toute saisie comportant une fin heureuse a un prix, et celle-ci nous a coûté plus de 3,500.00$. Nous n’avons reçu aucune contribution du propriétaire négligent, ni de la ville, qui étaient pourtant à l’origine de la plainte. Si cette histoire vous a touché et que vous aimeriez contribuer aux coûts reliés à cette saisie et au rétablissement de ce magnifique poulain, veuillez envoyer votre don au refuge en spécifiant la cause que vous désirez soutenir. Nous vous tiendront au courant des développements dans ce dossier. Merci de votre appui ! http://www.spcamonteregie.com/francais/saisies.html Photos - Saisie de chevaux à Boucherville (Québec) http://www.spcamonteregie.com/gallery/bouchervillehorseseizure/index.htm
  20. Chevaux en piteux état à Boucherville Édition du 21 juin 2008 Nathalie Gilbert Un propriétaire de chevaux pourrait faire face à la justice sous des accusations de cruauté envers les animaux. La police de Longueuil a soumis un dossier au procureur à la suite d’une intervention menée en mars dernier dans un bâtiment à Boucherville. La SPCA Montérégie, en collaboration avec la police de Longueuil, est intervenue au début mars à Boucherville, soutient Linda Robertson, présidente de l’organisme. «Il y avait une douzaine de chevaux en mauvaise condition, dont un poulain de quelques jours qui avait plusieurs blessures. Nous avons dû l’envoyer à l’Hôpital vétérinaire de Saint-Hyacinthe, où il était sous surveillance. Ensuite, nous avons envoyé sa mère le rejoindre, pour qu’ils soient ensemble», affirme-t-elle. La mère et son rejeton y auraient passé un mois et se porteraient maintenant bien, ajoute Mme Robertson. Les bêtes vivaient dans un bâtiment souillé et elles étaient affamées et assoiffées, allègue la présidente, qui dit que tous les chevaux ont été placés dans divers refuges. Tant la police que la présidente de la SPCA Montérégie insistent pour dire que le propriétaire des lieux n’est pas responsable de la situation. «Plusieurs personnes ont même tenté de sauver la vie des chevaux en les nourrissant. C’est la personne à qui appartenaient les bêtes qui ne s’en occupait pas», avance Mme Robertson. Elle affirme que les plaintes concernant la maltraitance des chevaux sont plus fréquentes qu’on pourrait le croire. «Les gens ignorent que c’est beaucoup d’entretien et de temps.» Au bout du compte, la SPCA Montérégie dit se retrouver avec une facture de 3500$, représentant les coûts du séjour à l’hôpital vétérinaire des deux bêtes et leur transport. http://www.hebdos.net/lsb/edition262008/articles.asp?article_id=211857
  21. Dernièrement, le lundi 26 mai 2008, il y a eu aussi 1850 porcs brûlés vifs! 1850 porcs meurent brûlés La porcherie Petit lard, située sur la rue Courchesne à Pierreville, a été complètement détruite par les flammes dans la nuit de samedi à hier. Quelque 1850 bêtes se trouvaient à l'intérieur lorsque le feu a débuté, un peu avant 2 h. Elles ont toutes péri. http://www.cyberpresse.ca/article/20080526/CPNOUVELLISTE/805260856/1019/CPACTUALITES
  22. Le samedi 14 juin 2008 Une porcherie entièrement rasée par un incendie à Compton Presse Canadienne Montréal Une porcherie a été entièrement rasée par un incendie dans la nuit de samedi à Compton, près de Coaticook, en Estrie. Un millier de porcs ont péri. Les dommages sont évalués à plusieurs centaines de milliers de dollars. L'origine de l'incendie est indéterminée http://www.cyberpresse.ca/article/20080614/CPACTUALITES/80614010/1019/CPACTUALITES
  23. Trafics d'animaux sauvages Introduction Le commerce illégal des animaux sauvages met en péril des milliers d'espèces dans le monde. Ne soyez pas complice en rapportant dans vos bagages mygales, perroquets ou félins... Aéroport de Francfort, septembre 1999. Après un bref séjour au Mexique, une Française vivant en Allemagne rentre chez elle avec deux énormes valises. Rien à déclarer. Un signe suspect pour les douaniers qui s'empressent de fouiller les bagages. Banco ! Ils découvrent l 300 mygales vivantes. Estimation du butin : 800 000 francs. Quelques mois plus tôt, leurs collègues de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Caulle, à Paris, ont fait encore mieux: 455 tortues, 27 serpents dont 24 boas ont été retrouvés dissimulés sous des objets artisanaux. Les trafiquants n'en étaient pas à leur premier coup et avaient tout prévu : chaque animal était enveloppé dans un sac en coton, le tout recouvert d'une couche de zinc isolante fermée par des joints en silicone pour passer au travers des rayons X. Du travail d'expert. « Nous effectuons au moins une saisie par jour, affirme Jean-Yves Mahé, directeur régional des Douanes à Roissy. Parfois, c'est juste un serpent ou un singe ramené mort dans une valise pour être cuisiné. Mais il nous est aussi arrivé de saisir 576 kilos d'ivoire brut. » En 1999, les douaniers de Roissy ont saisi 9 780 articles d'origine animale et presque 500 animaux vivants ! Après la drogue et les armes, le trafic d'animaux et de végétaux sauvages est considéré comme la troisième source la plus importante de revenu illicite. L'association écologiste internationale World Wild Fund (Fonds Mondial pour la Nature - WWF) estime le marché à 100 milliards de francs par an. Si des milliers d'espèces animales et végétales sont aujourd'hui menacés de disparaître partout dans le monde, ce n'est pas seulement à cause de la déforestation et de la pollution, mais aussi de ce commerce illégal. Des grenouilles, des serpents, des perroquets, des singes, des araignées, des insectes et même des félins... rien n'échappe au pillage de la nature. Au total, plus de 27 000 espèces sont menacées dans le monde et protégées par la Convention de Washington (1973). Donc interdites ä la vente. Cette convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) a mis en place une réglementation très stricte pour limiter le trafic d'animaux et de végétaux au niveau international. En s'appuyant sur la CITES, l'Union Européenne a édicté un règlement encore plus strict. Ainsi, les espèces menacées sont répertoriées en quatre catégories, dénommées annexes A, B, C et D. Les espèces les plus menacées (annexe A) sont interdites à l'importation et à l'exportation. II s'agit par exemple des gorilles, lémuriens, ou de certains perroquets très rares. Elles ne doivent par circu1er sur le territoire européen sans un permis CITES, une sorte de passeport obligatoire pour passer les frontières. Le permis CITES vérifie la provenance du spécimen mais aussi les futures conditions d'hébergement et de soin de l'animal. Les espèces dans l'annexe B peuvent être commercialisées plus facilement, mais elles doivent aussi bénéficier d'un permis. Les catégories C et D doivent bénéficier d'une autorisation d'importation, mais les formalités administratives sont moins contraignantes. Panthère dans le Lot et Garonne En France, une autre loi, l'arrêté Guyane, stipule que toutes les espèces présentes en Guyane sont interdites à la circulation et à la vente sur le territoire français. Cela pour éviter que le département d'Outre-mer devienne la plaque tournante du trafic en Amazonie. Mais, en dépit de cette réglementation, chaque année, des dizaines de milliers d'animaux passent les frontières illégalement, par les airs, les mers ou les routes. La grande majorité meurt pendant le transport. Certains sont congelés, d'autres empaillés. À l'aéroport de Roissy, une animalerie de 2 000 mètres carrés peut accueillir tous les animaux saisis vivants : du lionceau au ouistiti, en passant par les grenouilles maintenues en vie dans une ambiance tropicale artificielle. « Un jour, dans le Lot-et-Garonne, nous avons intercepté une voiture dans laquelle se trouvait une panthère des neiges, une espèce en voie de disparition. Elle était venue du Kirghizistan par la Yougoslavie, la Turquie, l'Egypte, le Maroc et l'Espagne », raconte Ismaël-Alexandre Costa, chef de la Brigade mobile d'intervention spécialisée dans le trafic, à l'Office national de la chasse (ONC). La vente de l'animal devait permettre de financer le voyage des réfugiés. Une mafia prête à tout Dans les pays pauvres, le commerce de la nature est une source de revenus considérable. Et certains trafiquants sont prêts à tout. Même à tuer, ainsi, en Afrique de l'Ouest, des perroquets gris font l'objet d'une traque sans merci. Au sud du Nigeria, le village d'lkodi est surnommé le paradis des perroquets parce que des milliers d'oiseaux vivent dans la forêt. Les villageois ramassent les plumes tombées du ciel et les vendent à des guérisseurs qui les utilisent dans des remèdes traditionnels. Mais ils se heurtent aux braconniers ghanéens qui capturent les oiseaux et travaillent pour le compte d'une véritable mafia locale. Tous les villageois qui ont essayé de détruire les pièges ont été assassinés. Et pour cause : les perroquets gris sont revendus entre 4 000 et 8 000 francs pièce dans les pays occidentaux. En 15 ans, on estime à 500 000 le nombre des oiseaux exportés. Un beau pactole ! Sans compter que les perroquets gris sont loin d'être les seuls à être braconnés. Sur les 330 espèces de psittacides (perruches, perroquets...) officiellement recensées dans le monde, un tiers est en grave danger d'extinction et plus de la moitié est commercialisée régulièrement. Certaines espèces, comme l'ara de Spiks, se vendent plus de 300 000 F pièce ! « Les aras sont plus nombreux en captivité que dans la nature, et personne ne cherche à les relâcher ni à les faire se reproduire car plus ils sont rares, plus ils sont chers », note Fabrice Bernard, garde ä I'ONC. Comble du cynisme, certains braconniers n'hésitent pas à éradiquer une espèce pour faire grimper les prix. Bref, la mort de la nature devient un business juteux. Pour qui ? Pour des collectionneurs, des "passionnés", voire des gens en manque d'affection qui rêvent de s'offrir un animal original pour leur tenir compagnie. Dans les pays occidentaux et particulièrement en France, le marché des nouveaux animaux de compagnie (NAC) explose. Avoir un chien, un chat, un hamster, c'est dépassés ! Désormais, la mode est aux tortues, aux reptiles, aux insectes... Plus c'est bizarre, rare et dangereux, et plus ça plaît. La dernière mode: posséder des dendrobates, petites grenouilles venimeuses très colorées dont raffolent les Allemands. Les scorpions, les serpents venimeux et les araignées sont aussi très en vogue. « Certaines personnes détiennent plus de cent mygales chez elles, les adorent et les dorlotent sans avoir conscience que leur passion met en péril ces espèces et détruit la nature », raconte Stéphane Ringuet, chargé de programme Trafic-France, un organisme dont la mission est de lutter contre le commerce illégal. Sans compter qu' Internet est une aubaine pour les trafiquants. « Nous avons recensé 99 000 sites Internet sur lesquels sont commercialisés des perroquets. Au total, plus de 220 espèces sont vendues via ce réseau, s'indigne Jerôme Pensu, conseiller technique du Conservatoire des espèces psittacines, à Kerret, dans le Morbihan. La France est d'ailleurs le premier pays importateur de perroquets en Europe... » La situation prend parfois une tournure inquiétante car, par nature, ces animaux ne sont pas domestiques. Ainsi, il n'est pas rare que des personnes soient totalement dépassées par leurs nouveaux compagnons. Achetés tout petits, ils sont gentils, mais lorsque ces animaux arrivent à taille adulte, les choses se gâtent. « La plupart des propriétaires ne savent pas prendre soin de leurs animaux exotiques qui meurent rapidement », témoigne Didier Boussarie, vétérinaire et président du GENAC (groupe d'études sur les nouveaux animaux de compagnies). S'ils parviennent a. survivre, ils sont parfois relâchés dans la nature. Ils peuvent alors envahir le milieu et détruisent les espèces locales. Ainsi, le vison d'Amérique a éliminé le vison d'Europe, et la tortue de Floride la cistude d'Europe. « En fait, les personnes qui achètent illégalement des animaux exotiques détruisent deux fois la nature. D'abord dans le pays où l'espèce est prélevée, ensuite dans le pays où elle est introduite », résume Stephane Ringuet. Vente illégale en boutique Les petites bêtes ne sont pas les seules à faire des adeptes. Les félins comme les lions, les pumas ou les tigres ont aussi du succès. Petits, ils ressemblent à des peluches. « Mais lorsqu'ils grandissent, les gens cherchent à s'en débarrasser. Car ils prennent trop de place et mangent trop. On ne sait plus quoi faire de ces animaux qui se reproduisent très vite en captivité. Même les parcs zoologiques les refusent », témoigne Jacques Winterguest, sous-directeur adjoint de la chasse, de la faune et de la flore, au ministère de l'Environnement. La plupart du temps, les acheteurs ignorent qu'ils sont dans l'illégalité. Ainsi, cette femme qui explique fièrement dans une émission télévisée comment elle a réussi à passer les douanes avec un singe dans ses bagages. Mais aucune information sur le fait qu'elle est passible d'amende et même de prison. Ou encore cette annonce parue, en février 2000, dans le journal gratuit du métro parisien, "A Nous Paris", d'une boutique située sur les quais de Seine vendant un perroquet d'Amazonie, l'ara hyacinthe, pour une valeur de 110 000 francs... Problème : cette espèce menacée, très rare, n'est normalement autorisée sur le territoire européen qu'à des fins scientifiques. Contrôlée par les Services vétérinaires, la boutique a présenté un permis CITES, assurant que l'animal était bien ne en captivité et issu d'un élevage agréé. « II y a 99 % de chance pour que cet oiseau soit issu du trafic. A ma connaissance il n'y a pas d'éleveur agréé pour cet oiseau et il est peu probable qu'il soit en captivité depuis deux générations, c'est-à-dire 20 ans, comme le veut la loi », affirme Jerôme Pensu, du Conservatoire des espèces psittacines. Un cas flagrant de fraude ? En tous les cas, aucun autre organisme n'a réalisé de contrôle. Les gardes de I'ONC n'ont pas été autorisés à vérifier 1'authenticité du permis. Et rien ne prouve qu'il ne soit pas faux car il existe aussi un véritable trafic de faux permis CITES ! Pour Jerôme Pensu, « le doute est d'autant plus fort que cette animalerie commercialise couramment de nombreuses espèces protégées comme le cacatoes des Mollufues ou l'ara militaire, deux espèces recensées dans l'arrêté Guyane et totalement interdites à la vente. » Laxisme des autorités Pourquoi les réglementations qui visent à protéger les espèces menacées sont-elles si fadement bafouées ? Le premier problème vient de l'identification de l'animal. Comment savoir s'il est ou non protégé ? Quelque 27 000 espèces sont concernées et les douaniers ou les gardes peuvent en perdre leur latin. « On dispose de très peu de documents photographiques ou même écrits pour apprendre à identifier les espèces menacées. Nous sommes quelquefois obligés d'investir dans des livres pour mettre une image sur un nom et faire notre travail », témoigne un garde de I'ONC. Une fois identifiée, si l'espèce est protégée, elle doit bénéficier d'un permis délivré par la CITES pour être vendue. Ce permis garantît que l'animal est né en captivité, c'est-à-dire dans un élevage, et n'a pas été prélevé dans la nature. Les oiseaux doivent aussi être bagués car il est souvent difficile de distinguer deux animaux de la même espèce. Mais malheureusement, là aussi, il y a des trafics. « On voit de tout, des faux permis, des fausses bagues, sans oublier le trafic d'oeufs », dit Didier Boussarie, vétérinaire, qui plaide pour la mise en place d'une puce électronique posée sur les animaux afin de mettre un terme aux fraudes. « La législation actuelle ne sert a rien car il y a une tolérance beaucoup trop forte de l'administration. N'importe qui peut acheter un iguane ou un perroquet protégé, même dans des magasins, sans être menacé de poursuites », insiste le vétérinaire. Des sanctions ridicules Quant aux braconniers, s'ils sont interceptés, ils risquent au plus six mois de prison et 60 000 Francs d'amende... une goutte d'eau par rapport à la vente de leur marchandise. Pas de quoi les dissuader. « Tous les gros trafiquants interceptés récidivent tôt ou tard », confirme Ismael-Alexandre Costa. D'autant que rien ne les empêche d'écouler leur marchandise. Car lorsque les animaux sont capturés vivants, ils sont confisqués un certain temps... puis finalement restitués à leurs propriétaires. Un véritable scandale passe sous silence. « Les zoos et les structures d'accueil sont pleins ä craquer. Nous manquons cruellement de lieux pour placer les animaux. Nous sommes donc obligés de les redonner en dépôt à ceux à qui nous les avons confisqués et nous avons l'impression de ralentir un peu le trafic mais sûrement pas de le résorber », affirme un garde qui préfère garder l'anonymat. Bref, les contrôles effectués à l'heure actuelle sont quasiment inutiles. Plusieurs solutions existent pourtant, à commencer par la création de structures d'accueil et d'une autorisation à la vente limitée aux espèces nées en France en captivité. II est par exemple absurde de continuer d'importer certaines espèces alors que l'Europe en possède des stocks considérables en captivité et dont personne ne veut ! La loi (qui date de 1976) mériterait aussi d'être revue pour dissuader les trafiquants de récidiver en infligeant des amendes et des peines de prison plus fortes. Mais il existe une solution encore plus efficace et facile à mettre en oeuvre. A chacun de nous de refuser de participer au commerce en achetant des animaux sauvages... même si ceux-ci nous font craquer. Un article paru dans Santé Magazine
  24. Au Canal D, j'ai vu un reportage sur le trafic des animaux exotiques, c'est affreux, plusieurs animaux meurent avant d'arriver à destination, on tue des mères pour prendre les bébés - dans les transports, les animaux sont camouflés dans des faux planchers dans des camions ou autobus, la plupart meurent d'étouffement, de désidratation ou de la chaleur! En Inde, plusieurs bébés orangs-outans meurent dans ses voyages d'enfer, les trafiquants n'ont vraiment aucun scrupule. Comme une mère n’abandonne jamais son petit et se bat jusqu’à la mort pour lui, les braconniers tuent la mère au fusil et revendent le petit 10 ou 30 dollars aux trafiquants qui eux le vendent mille fois plus cher. Sans compter ce nouveau phénomène Des animaux rares menacés par des acheteurs sur internet Des acheteurs sur internet friands d'exotisme ont permis le développement d'un commerce florissant d'animaux qui menace l'existence de nombreuses espèces, selon un rapport du World Wide Web by the International Fund for Animal Welfare (IFAW) publié mardi. "Le commerce sur internet est facile, bon marché et anonyme" explique le directeur de l'IFAW pour le Royaume Uni, Phyllis Campbell-McRae. "Il en résulte un cyber-marché noir où se brade l'avenir des animaux les plus rares du monde". Le rapport a trouvé en vente sur internet, en une seule semaine, 146 primates vivants, 5.527 produits d'élephants, 526 tortues et carapaces de tortues, 2.630 produits de reptiles et 239 de chats sauvages. Une girafe de deux ans est proposée 15.000 dollars sur un site américain et un gorille de sept ans, vivant à Londres, et ayant besoin d'un nouveau foyer, "à cause d'un déménagement de son propriétaire", est vendu 4.500 livres (6.587 euros). Des bébés chimpanzés coûtent entre 60.000 et 65.000 dollars aux Etats-Unis, alors qu'au Pays de Galles un couple d'élevage de singes tamarins vaut 1.900 livres (2.781 euros). Des squelettes d'hippocampes sont parmi les articles proposés les plus exotiques, avec un cendrier en pied d'éléphant, des sculptures d'ivoire, des châles d'antilope tibétaine, appelés shahtoosh, des produits de chat sauvage, des vestes en peau de serpent et des bottes en peau de crocodile. Les experts estiment que le commerce mondial d'espèces en danger et de leurs produits représente des milliards de dollars par an, et, pour eux, le boom des sites d'enchères sur internet a simplement ajouté un nouveau canal à ce marché. Le National Criminal Intelligence Service britannique juge que les faibles peines encourues et le peu de priorité accordée au trafic d'animaux sauvages ne sont pas dissuasifs contre le crime organisé. "Le commerce, légal et illégal, d'animaux vivants ou morts - y compris celui de parties de leur corps - se développe et internet commence à y jouer un rôle central", assure dans son rapport l'IFAW, qui appelle les gouvernements nationaux à informer les consommateurs des lois sur les espèces menacées, à voter de nouvelles législations et à mieux contrôler ce qui se passe sur la toile. http://www.connaitre-ses-droits.com/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=6573&start=0#forumpost14812
×
×
  • Créer...