Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Caro18

Membres
  • Compteur de contenus

    1 810
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. Il y a 2 pages Subsidized sealers The $6-million sealers get from the hunt is far outweighed by the tens of millions Ottawa spends backing it Murray Teitel, Financial Post Published: Friday, April 18, 2008 Whether you think killing seals is a bad thing or a good thing, whether you think it barbaric or humane, you should oppose Canada's annual seal hunt. According to Fisheries and Oceans Canada (DFO) the justification for the hunt is to provide economic opportunities for Canada's coastal communities. Last year, according to its Web site, this entire economic opportunity amounted to $12-million, the value of all seal pelts landed. They fetched on average $52 a pelt. According to evidence given to Parliament's standing committee on fisheries and oceans on Nov. 6, 2006, half of that is eaten up by expenses, so we are talking, at most, $6-million that flowed to the sealers themselves: one-tenth of 1% of Newfound-land's GDP. (This year it will be even less, because pelts of three to four week old "beaters" that make up 95% of the catch are selling for between $6 and $33.) This $6-million costs Canadians at least 10 times as much and does so year after year. First of all, there is the cost of deploying the Canadian Coast Guard (CCG) to the seal hunt for seven weeks each year. Last year it involved 10 vessels, many of them icebreakers, helicopters and patrol planes. Nobody in government knows, even less wants to know, what this costs. DFO claims it costs nothing because the boats and aircraft are owned and the crews are on salary. Does it cost nothing to put out fires in Toronto because it owns the trucks and firefighters aren't on piecework? Toronto hires firefighters and buys trucks based on the anticipated number and severity of fires. A significant part of what CCG does is rescue sealers. Some 24% of its 2003 fishing vessel rescues derived from this hunt. Without it, CCG's annual budget could be significantly reduced. One hunt-deployed icebreaker, the Amundsen, costs $50,000 per day to operate in winter. Given DFO's lack of transparency, one can only estimate the annual CCG cost attributable to the hunt at $5-million. Secondly, every year some disaster occurs. Last year, it was heavy ice that trapped sealers for days on end. Some even ran out of cigarettes! DFO calculated the extra CCG costs due to heavy ice at $3.41-million. It also paid $7.9-million to owners of boats damaged by ice. This year, it is the drowning of four sealers and the near drowning of two while being rescued by CCG. This resulted in the cost of an unsuccessful week-long 2,800 nautical square mile search for one of the drowned and his boat involving patrol planes, helicopters and three icebreakers. The inevitable lawsuits and legal bills will easily cost more than $6-million. Thirdly, millions are spent every year trying to counter bans on the importation of seal products. Our NAFTA partners and four European countries have imposed bans. Four countries have announced intentions to do so. Italy and Luxembourg have suspended imports. The European Parliament resolved to impose an EUwide ban. The Council of Europe has called on its 46 members to do so. Canada has taken Holland and Belgium to the World Trade Organization in Geneva. Aside form being terribly expensive, it jeopardizes a relationship with two countries with which Canada has a trade surplus. $5.2-million of raw seal products constitutes less than 1/1,000 of what we export to Europe. Page 1 http://www.nationalpost.com/opinion/story.html?id=453009&p=1 Page 2: http://www.nationalpost.com/opinion/story.html?id=453009&p=2
  2. Caro18

    S-203

    Jusqu’à présent, 2008 a été une bien sombre année pour les animaux. Les médias ont rapporté un nombre effarant de cas de cruauté animale, incluant l’histoire d’un pauvre chat tué dans un micro-onde, d’un chiot battu à mort à coups de marteau sur le crâne ainsi que le cas de ces 29 chevaux quasi morts après avoir souffert de grave négligence alors que 100 autres nécessitaient des soins médicaux d’urgence. 2008 n’a pas non plus été une bonne année pour la démocratie. Malgré le message clair que nous communiquons aux députés depuis les neuf dernières années, nos élus ont appuyé le projet de loi S-203, malgré l’opposition généralisée des canadiens. S-203 permet aux abuseurs d’animaux de circuler en toute liberté S-203 permet la cruauté envers les animaux sauvages, errants et abandonnés S-203 permet quasiment l’impunité des crimes de négligence S-203 permet la cruelle réalité d’élever et d’entraîner des chiens pour les combats Votre *député a-t’il voté pour mettre un terme à la cruauté envers les animaux ? Découvrez si votre député a voté en faveur du projet de loi S-203 ou s’il s’y est opposé en visitant le www.dontbecruel.ca (site bilingue). L’IFAW a récemment publié un rapport comparant la législation canadienne en matière de cruauté animale avec celles mises en place dans 13 autres pays du monde. Le Canada se classe bon dernier et est pire que les Philippines et la Malaysie. http://www.ifaw.org/ifaw/dimages/custom/2_Publications/Misc/IFAW%20Cruelty%20report_FRENCH.pdf Parmi les faits saillants du rapport, on compte : Le Canada est le seul à n’offrir pratiquement aucune protection pour les animaux sauvages et les animaux errants. La législation canadienne ne comporte pas de définition claire du terme « animal » alors que les autres pays sont explicites. Le Canada est le seul pays qui n’offre pas de protection aux animaux qui sont entraînés pour se battre entre eux. Le Canada est le seul pays qui rend la poursuite de cas de négligence pratiquement impossible. La loi S-203 n’améliore nullement les lois régissant la cruauté animale et ne fait rien non plus pour les rendre pertinentes sur la scène internationale. De plus, S-203 va à l’encontre de la volonté des Canadiennes et Canadiens. Il est temps que nos députés soient redevables à la population canadienne. Visitez http://www.dontbecruel.ca ( MAINTENANT EN FRANCAIS ) pour savoir si votre député vous a écouté et vous a bien représenté, ainsi que pour savoir comment agir. Très cordialement, Olivier Bonnet
  3. Caro18

    Encore une autre de Lagacé

    Le militant de l'environnement Paul Watson persiste et signe Il y a 6 heures HALIFAX — Un militant de l'environnement au coeur du mouvement de protestation contre la chasse au phoque persiste et signe, à la suite de propos tenus il y a 30 ans, alors qu'il a reproché à d'autres groupes écologiques de tirer profit des phoques du Groenland. Dans le cadre d'une entrevue accordée en 1978 à la radio de CBC, aujourd'hui disponible sur le site web YouTube, Paul Watson a critiqué Greenpeace et d'autres organisations, les ayant accusées de multiplier les manifestations contre la chasse au phoque parce qu'"il est très facile d'exploiter" la situation, même si l'espèce n'était pas en voie de disparition. L'homme de 57 ans, cofondateur de Greenpeace qui a par la suite mis sur pied la Sea Shepherd Conservation Society, organisme établi à Vancouver, a affirmé au journaliste que les groupes écologiques faisaient campagne afin de protéger les phoques parce que ces animaux étaient "mignons" et que les images de ces derniers généraient davantage de dons que les efforts menés pour protéger d'autres espèces. Mercredi, M. Watson a indiqué que Greenpeace et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) continuaient de tirer profit des phoques, mais qu'ils faisaient peu pour les protéger, contrairement à sa propre organisation. "Je pensais ce que j'ai dit en 1978 et je pense ce que je dis maintenant, je n'y vois aucune contradiction", a-t-il déclaré lors d'un entretien accordé depuis Halifax. L'organisme de M. Watson a fait parler de lui dans le monde entier, le week-end dernier, après que son navire, le Farley Mowat, eut été arraisonné par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) dans le détroit de Cabot, où se déroule la chasse au phoque. Les autorités fédérales ont affirmé que le navire - toujours détenu à Sydney, en Nouvelle-Ecosse - s'était trop approché de chasseurs, le 30 mars. Son capitaine et le capitaine en second, Alexander Cornelissen et Peter Hammarstedt, ont été accusés en vertu de la Loi sur les pêches. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jOo_8My2jxn7uzIKWm8jtWLE3vVg
  4. Au Québec on aime les animaux? Le vendredi 11 avril 2008 Chien heurté par les policiers: le propriétaire veut des réponses Éric Lallier Le Nouvelliste Trois-Rivières Le propriétaire du chien heurté volontairement par un véhicule policier, mardi, ne digère tout simplement pas la façon de faire des autorités. «Je suis déçu de la réaction des policiers, c'est une grosse déception... J'ai des questions et je veux des réponses», clame maintenant Jean-Claude Gravel. L'homme agit d'ailleurs à titre de famille d'accueil pour l'organisme SOS lévrier, qui reçoit à domicile les canins de partout aux États-Unis, une fois leur carrière dans le monde des courses de chiens terminée. Bahia, décédée mardi, venait tout juste de lui être remis. Mais l'animal, que son propriétaire estime d'une valeur de 5000 $, lui a fait faux bond et a quitté le domicile mardi matin, pour se rendre jusqu'à l'autoroute 40 et y circuler librement, à contresens. Face aux risques imminents d'accidents, les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont choisi de la happer intentionnellement pour arrêter sa course. «Frapper un chien comme ça, c'est trop facile, dénonce M. Gravel, qualifiant le geste de barbare. Qu'est-ce qui est plus dangereux? Un chien sur l'autoroute ou dix chars de police qui partent après?» Dans les faits, il reproche aux forces policières de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour sauver le chien, dont il dit avoir signalé la disparition et qu'il prétend avoir enregistré en bonne et due forme auprès de la Ville de Trois-Rivières. «Ils n'ont pas de filet ou de corde dans leur véhicule. Ils n'ont rien», dit-il. Et il va plus loin dans ses reproches, écorchant au passage la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM), qui n'a pu se rendre à temps sur les lieux de l'événement. «Pourquoi ont-ils seulement un patrouilleur ? À quoi ça sert d'acheter une médaille pour les chiens alors?», questionne Jean-Claude Gravel, tout en soulignant qu'on lui avait réclamé 35 $ pour l'enfouissement de son chien. Ainsi, il entend questionner les autorités municipales pour obtenir réponse à toutes ses interrogations. Déjà, des démarches en ce sens ont été entreprises, selon le propriétaire.• http://www.cyberpresse.ca/article/20080411/CPNOUVELLISTE/804110487/5409/CPNOUVELLISTE
  5. Corée du Sud : enfin du chien propre à la consommation ! Les autorités de Séoul veulent classer le meilleur ami de l’homme comme animal de boucherie afin de pouvoir fixer des règles sanitaires et rassurer ainsi les consommateurs locaux de viande canine, écrit The China Post. Selon les estimations, 2 à 4 millions de chiens seraient consommés chaque année en Corée du Sud, mais en l’absence de règles d’hygiène l’abattage et la transformation s’effectuent dans des environnements insalubres, ce qui représente un risque pour les consommateurs, rapporte le correspondant à Séoul du quotidien taïwanais. “Des millions de chiens sont consommés chaque année dans le pays”, précise Lee Hae-woo, directeur de l’Agence de sécurité alimentaire de la ville. “C’est pourquoi nous voulons recommander au gouvernement central de classer les chiens comme animaux de boucherie. C’est un sujet délicat, mais nous ne pouvons pas faire comme s’il n’existait pas.” La capitale sud-coréenne a toujours eu une position ambivalente à propos de la viande canine. Pour éviter toute mauvaise publicité avant les Jeux olympiques de 1988, elle avait interdit la vente de viande de chien et de serpent en les qualifiant d’“aliments immondes”. Mais cette loi est largement ignorée puisque, selon les estimations, quelque 500 restaurants en servent à Séoul. La proposition de reclasser le chien comme animal de boucherie a suscité une levée de boucliers chez les défenseurs des animaux. Ils ont organisé des manifestations et lancé des pétitions sur Internet. “La Corée du Sud est le seul pays au monde qui autorise légalement la consommation de viande de chien”, rappelle l’Association coréenne de protection des animaux dans un communiqué. “La devise de la Corée du Sud est la mondialisation, mais, pour ce qui est de la consommation de viande canine, elle fait tout pour retourner à l’âge de pierre.” Selon le président de l’association, Lee Won-bok, si le projet est adopté, la consommation de viande de chien augmentera dans des proportions considérables. “C’est épouvantable d’imaginer du chien dans les rayons des supermarchés à côté du bœuf et du jambon, et ça soulève le cœur de voir du chien rôti au menu des restaurants”, affirme-t-il. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=84496
  6. Corée du Sud: la qualité de la viande de chien en question Il y a 1 jour SEOUL (AFP) — Les autorités de Séoul vont lancer une campagne d'inspection afin de vérifier l'hygiène et la qualité de la viande dans les restaurants servant de la viande de chien, théoriquement illégaux depuis les jeux Olympiques de 1988 mais tolérés. A compter de la fin avril, des échantillons seront prélevés dans les quelque 530 restaurants de la ville de Séoul ayant au menu de la viande de chien. Le but est de vérifier si cette viande ne contient pas de produits dangereux pour la santé, tels des métaux lourds. "Nous ne souhaitons pas remettre en cause la vente de viande de chien mais examiner sa qualité", a indiqué un responsable des services de santé alimentaire, sous couvert d'anonymat. A l'issue de cette campagne, la ville publiera une liste des restaurants servant de la viande impropre à la consommation et suspendra leur ouverture. Les autorités sud-coréennes avaient interdit avant les jeux Olympiques de 1988 la vente de viande de chien et de serpent, mais depuis lors, l'interdiction est largement ignorée. "Beaucoup de gens apprécient la viande de chien, malgré l'interdiction. Mais aucune règle d'hygiène ne s'applique à l'abattage ou au commerce de cette viande, car elle n'est pas considérée comme un produit alimentaire", selon la même source. Les autorités de Séoul ont donc proposé de reclasser la viande de chien comme produit alimentaire, une proposition qui a soulevé de nombreuses critiques de la part de mouvements de protection des animaux. Le ragoût de chien, appelé "boshintang" (soupe de la santé) est un mets sud-coréen très apprécié. Entre deux et quatre millions de chiens sont abattus chaque année en Corée du Sud destinés à la cuisine. Leurs conditions d'abattage sont souvent douteuses et présentent des risques sanitaires. http://afp.google.com/article/ALeqM5jihbmOmWgcBv_iJ7AA63Zo4qg5zg
  7. Caro18

    SPCA

    http://www.plentyoffish.com/member1088082.htm http://www.netclubrencontre.com/rencontrequebec/mb/2200286.html
  8. Caro18

    S-203

    Campagne de la WSPA Est-ce que votre député a voté pour les animaux? Le 9 avril, 189 députés ont voté en faveur du passage du projet de loi S-203 en dépit d'une forte opposition de tous les groupes de protection des animaux. Notre campagne pour l'efficacité de la législation fédérale pour protéger les animaux est loin d'être terminée. Dans un premier temps, il nous faut remercier les députés qui ont voté contre le projet de loi S-203 et de les encourager à travailler avec nous pour arriver à une meilleure loi. Si votre député a voté pour le projet de loi S-203, dites-leur comment vous êtes déçus de ne pas représenter votre point de vue au Parlement. S’il vous plaît remplir le formulaire ci-dessous afin de savoir si votre député a voté pour ou contre le projet de loi S-203 et envoyer votre lettre déjà rédiger maintenant sur notre site. CLIQUEZ ICI: http://e-activist.com/ea-campaign/clientcampaign.do?ea.client.id=23&ea.campaign.id=552 Si vous souhaitez plus d'informations sur cette importante campagne s’il vous plaît visitez http://www.dontbecruel.org/
  9. Sea Shepherd au banc des accusés La Sea Shepherd Conservation Society joue un bras de fer avec les autorités canadiennes. Mal lui en pris puisqu’à la demande de Pêches et Océans Canada, la Gendarmerie royale du Canada et la Garde côtière canadienne, leur navire Farley Mowat a été saisi et ses deux passagers arrêtés (le capitaine et son second). Selon le fondateur du groupe, Paul Watson, qui n’en est pas à une déclaration malheureuse près, il s’agit d’un « acte de guerre ». Bon, on se calme et on respire. Le navire a été arrêté tout simplement parce qu’il ne respecte pas la distance exigée par la loi pour l’observation de la chasse aux phoques. Le navire a navigué, selon Pêches et Océans Canada, à une distance de 20 pieds des chasseurs le 30 mars dernier. Ce qui est très dangereux. Voilà pourquoi le navire a été saisi. De plus, les opposants à la chasse aux phoques de cet organisme n’auraient pas écouté les demandes de se retirer et respecter la distance sécuritaire selon Loyola Hearn, ministre fédéral des Pêches et des Océans. Un communiqué de Pêches et Océans Canada justifie les arrestations par la nécessité d’assurer la sécurité et le travail des chasseurs de phoques canadiens. Le navire Farley Mowat a été accompagné jusqu’au port de Sydney en Nouvelle-Écosse. À cet endroit, il sera inspecté. Les deux écologistes Peter Hammarstedt et Alexander Cornelissen vont comparaître sous peu pour répondre de leurs actes. Le bateau n’a sans doute pas été mené aux Ïles-de-la-Madeleine où on n’avait pas apprécié les propos de Paul Watson sur la mort des chasseurs de phoques. Ce dernier affirmait alors que la mort des phoques chaque année était une tragédie encore plus grave. Disons qu’en plus du deuil collectif, ce n’est pas la chose à dire pour réconforter. Il reste à espérer que les autres groupes animalistes puissent continuer à observer la chasse aux phoques pourvu qu’ils respectent la distance réglementaire entre eux et les chasseurs. La Sea Shepherd est au banc des accusés. Comment imposer sa loi animaliste lorsque l’on ne respecte pas la loi des hommes? Même s’il n’y a pas eu meurtre ou crime majeur, ça devient un peu difficile dans de telles circonstances de faire connaître objectivement son point de vue. Fort heureusement, la majorité des organismes animalistes et environnementaux présents dans le golf du Saint-Laurent respectent les lois canadiennes en ce qui a trait à Pêches et Océans Canada et l’observation de la chasse aux phoques. Et ça, il est important de le souligner. En effet, la majorité de ces groupes n’agissent pas comme la Sea Shepherd Conservation Society en marge de la loi de manière aussi provocatrice. http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/17827
  10. Watson paye la caution en pièces de 2 $; Williams le traite de "terroriste" Il y a 20 heures SYDNEY, N.-E. — Le dirigeant du groupe écologiste Sea Shepherd Conservation Society, Paul Watson, a payé lundi, en partie en pièces de 2 $, la caution de 10 000 $ exigée pour la libération du capitaine et du second de son bateau, le Farley Mowat. L'écrivain canadien Farley Mowat a fait don du montant de la caution à l'organisme, affirmant que l'arraisonnement du navire qui porte son nom est un geste totalitaire. L'homme de 86 ans s'est dit très honoré que la Sea Shepherd Conservation Society baptise son navire le Farley Mowat, mais affirme avoir eu honte du gouvernement canadien lorsque l'embarcation a été remorquée à Sydney ce week-end. "Une grossière erreur judiciaire a été commise par le ministre des Pêches et Océans Loyola Hearn, et n'importe quel Canadien doté d'une conscience chercherait à la réparer, a dit l'animaliste depuis son domicile de Port Hope, en Ontario. J'ai un peu de conscience et un peu d'argent; j'ai donc choisi d'utiliser les deux pour rectifier une erreur." Paul Watson a accepté le don de M. Mowat et a payé les 10 000 $ nécessaires pour la libération des deux membres de l'équipage. La moitié de cette somme a été payée en pièces de 2 $, que M. Watson a qualifiées de "doublons". Il estime que les autorités canadiennes ont agi comme des pirates, et que les pirates aiment être payés en espèces sonnantes et trébuchantes. Alexander Cornelissen et Peter Hammarstedt sont accusés d'avoir enfreint le règlement sur les mammifères marins. Ils sont passibles d'une amende maximale de 100 000 $ et d'une peine d'emprisonnement d'un an. Le navire a été arraisonné tôt samedi matin par la Garde côtière canadienne. M. Watson affirme que la saisie de son vaisseau de 54 mètres n'a pas modifié ses objectifs. Il estime au contraire que la publicité générée par les arrestations très médiatisées a plutôt donné une nouvelle impulsion au mouvement mondial contre la chasse aux phoques. Selon Paul Watson, le bateau se trouvait en eaux internationales et hors de la juridiction canadienne lorsque les policiers de la GRC, habillés de noir et armés de mitraillettes, l'ont abordé samedi. La GRC nie toutefois avoir fait usage de la force. Par ailleurs, le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, a traité M. Watson de "terroriste", lundi, et a estimé qu'il ne devrait plus être le bienvenu au Canada. M. Williams dit avoir été choqué par les propos de M. Watson, qui a déclaré que la mort de trois chasseurs des Iles-de-la-Madeleine était moins tragique que la mort de milliers de phoques. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jUvc9zO43xLGf3EiQSf81aGlfw8g
  11. C'est l'enfer dans les abattoirs pour les pauvres bêtes, c'est certain que plusieurs animaux sont maltraités et brutalisés, et de plus, ils sont parfois pleinement conscients à l'abatage! Les abattages maison À la façon dont les éleveurs de porcs traitent les cochons, j'ose même pas imaginer de quelle manière brutale ils s'y prendront pour abattre les cochons sans témoins! Tout ça me dégoûte et m'écoeure
  12. La majorité de la viande sera jetée 150 000 petits cochons J'ai pas de mots pour décrire ma hargne Les producteurs sont encouragés à envoyer leurs porcs dans des abattoirs certifiés, pour éviter tout traitement cruel. Seulement encouragés, donc les producteurs ne sont pas obligés
  13. Allo Pierrot, j'ai vraiment adoré ton billet, tu as vu juste et je partage ton opinion. Ton texte a été très rafréchissant à lire! J'ai honte aussi d'être canadienne
  14. C'est quoi ce délire, on fait parler un chasseur à notre place, les médias ont si peur que ça d'inviter des ANIMALISTES, PHOQUE YOU RADIO CANADA! Au lieu d'inviter Francoeur à l'émission pour parler des ANIMALISTES pourquoi on n'a pas interviewé un vrai défenseur des animaux! Pour commenter mermonde@matane.radio-canada.ca
  15. Vivre, c’est tuer Tiens, ça faisait longtemps que je n’avais pas réagi à Patrick Lagacé. Faut lire son dernier billet, où il publie le texte de Valérie Fortin, qui est fâchée fâchée parce que Lagacé dénonce ce salopard de Paul Watson pour qui la vie d’un humain vaut moins que celle d’un phoque. Voici un extrait du (long) texte de Mme. Fortin, où celle-ci tente d’expliquer en quoi nous devrions tous nous sentir coupables… ---------------------------------------------------------------------------------- Toute vie s’équivaut en soi, en ce sens que tout animal, humain ou non, est animé par son propre désir ou instinct de survie. Tout animal souffre sous la torture physique et psychologique, et passe sa vie à tenter d’éviter la douleur et la mort. Nous sommes tous des animaux, nous sommes tous égaux dans la souffrance et dans la mort. Suis-je une criminelle pour ça ? Suis-je coupable de haute trahison envers ma race humaine ? Va-t-on m’immoler à mon tour ?! ---------------------------------------------------------------------------------- Et bien, Mme. Fortin, vous mangez quoi pour survivre? Des légumes? De pauvres légumes qui sont animés par leur propre désir de survie, souffrant de la torture physique imposée par le fermier, et qui passe leur vie à chercher le rayon de soleil pour éviter la douleur et la mort… C’est ce légume que toi, CRIMINELLE, tu manges? Qu’attends-tu donc pour boycotter tous les TUEURS de légumes? Non, désolé pour les soi-disants protecteurs des animaux mais qui sont surtout des pourfendeurs d’humains, mais vivre c’est tuer la vie. On tue la vie à chaque seconde; on tue des microbes, des bactéries - n’ont-elles pas le droit de vivre? - des insectes. On tue des légumes, des fruits. On tue des animaux. C’est ça la vie. On se nourrit du sacrifice d’une autre forme de vie pour permettre à la nôtre de persister. Et savez-vous quoi? Entre des phoques tués à coup de pioche et un radis arraché à son sol nourricier, il n’y a qu’une question de perception. Et entre de la bonne viande sauvage, d’un animal sain et non bourré de médicaments, et toutes ces oies gavées ou poulets engraissés que Mme. Fortin ne semble pas vouloir défendre, je choisis la première option. Nous sommes des omnivores; nous mangeons de tout. Y compris la vie, animale ou végétale. Respect pour les chasseurs de phoque, respect pour les agriculteurs, respect pour l’animal ou le végétal qui nous permettent de survivre, et respect pour tous ceux qui tentent de mieux vivre en ce bas-monde. Réponse de Valérie: Wow Valou! « M. Louis », Quand vous proférez des insanités comme celle-ci : « ce salopard de Paul Watson pour qui la vie d’un humain vaut moins que celle d’un phoque. », prenez-vous seulement la peine d’aller contre-vérifier vos dires à leur source, ou vous contentez-vous de répéter la désinformation prémâchée par votre gourou Lagacé ? Pas la peine de répondre, je connais évidemment la réponse, l’éloquence de votre niaiserie parle d’elle-même. M. Watson n’a jamais dit que « la vie d’un humain vaut moins que celle d’un phoque », ça n’a aucun rapport, vous dites n’importe quoi, vous êtes complètement dans le champ. Vraiment, M. Louis, vous êtes pitoyable et j’ai honte pour vous. On pourrait aussi s’attendre, se fiant à l’étalement que vous faites de votre « culture » sur votre blogue, que vous en auriez démontré un peu plus que ça au sujet du végétarisme. En ce domaine, le moins que l’on puisse dire est que vous ne jouez pas à plus intelligent que vous êtes, c’est un créneau qui, on le voit, vous échappe totalement, au point que vous croyez et écrivez les pires sottises et absurdités qui soient. Au plus fort de votre état d’inconscience le plus exemplaire, au plus fort de votre délire schizophrène, réalisez-vous que vous poussez le mépris jusqu’à confondre la souffrance d’un animal et d’un légume, que vous poussez l’injure jusqu’à comparer la souffrance physique et psychologique d’un radis à celle d’un phoque, à déclarer qu’entre les deux n’existe qu’une « différence de perception » ?!?! Monsieur, si vous pensez réellement les scandaleuses conneries que vous proférez, vous êtes un bon candidat pour l’asile. S’il ne s’agit que d’un trouble de déficience intellectuelle, alors je me risque tout de même à vous renvoyer à votre cours de biologie 101. Mais j’ose croire que vous n’êtes pas sérieux, que vous n’êtes pas débile à ce point. Puisque nous souffrons, humains, autant que les animaux non humains, vous osez donc dire que la souffrance humaine est comparable à celle — toujours hypothétique — des radis… Vous êtes, à mes yeux, ni plus ni moins qu’un monstre pour éructer de telles énormités. Vous demandez : « Et bien, Mme. Fortin, vous mangez quoi pour survivre? Des légumes? De pauvres légumes qui sont animés par leur propre désir de survie, souffrant de la torture physique imposée par le fermier, et qui passe leur vie à chercher le rayon de soleil pour éviter la douleur et la mort… » Pour répondre à votre question débordant d’intelligence et de pertinence, je mange des légumes, oui, mais jamais des comme vous. Des pauvres légumes comme vous, je trouve ça indigeste, idiot, prétentieux, bavard et baveux, bref ça me coupe l’appétit. Vous vociférez, encore une fois à travers votre chapeau : « les soi-disants protecteurs des animaux mais qui sont surtout des pourfendeurs d’humains », mais sur quoi ou sur qui basez-vous donc cette grossièreet stupide généralisation ?! Connaissez-vous tous les protecteurs d’animaux de la planète, pour décréter cette vérité du haut de votre chaire sur les grandes questions de la vie et de la mort ? Aussi, si vous aviez lu les messages suivant mon texte sur le blogue de Lagacé, vous y auriez vu plusieurs clarifications que j’y fait, notamment quant à mon engagement envers tous les animaux exploités et torturés, dont les animaux dédiés à la boucherie. En voici d’ailleurs un extrait : « […] j’ai déjà écrit sur les animaux de boucherie et je vais sans doute continuer à le faire jusqu’à la fin de mes jours. Pour répondre à votre question, il est évident que les animaux de boucherie souffrent plus encore que les phoques, surtout ceux confinés dans les industries à viande sur pattes. Je pourrais vous décrire longtemps tous les sévices inouïs subis par ces pauvres animaux du début à la fin de leur vie, des cochons castrés à froid aux veaux enchaînés qui ne peuvent même pas se lécher aux truies réduites à des machines à saucisses en passant par les poussins mâles jetés vivants dans des sacs poubelle, les canards gavés qui vomissent du sang, les chevaux qui « pleurent » en voyant leurs congénères se faire égorger, etc., etc. Dans le cas des volailles, par exemple, plusieurs sont ébouillantées vivantes et conscientes du fait qu’elles relèvent la tête au-dessus de la cuve d’eau électrifiée ou parce que le couteau rotatif mécanisé sensé leur trancher la gorge leur ouvre plutôt la poitrine ou leur tranche le visage ou le dessus de la tête… Une étude réalisée aux États-Unis (où les procédés d’abattage sont semblables à ceux prévalant ici) estime que chaque jour, au moins 30 000 à 60 000 poulets sont plongés vivants dans le réservoir d’échaudage… Plusieurs personnes s’imaginent (même Patrick le croyait) que les animaux sont égorgés une fois morts, alors qu’ils ne sont qu’« étourdis » (sauf, notamment, pour la viande certifiée cachère ou halal, de plus en plus populaire dans le monde, pour laquelle les animaux sont traditionnellement égorgés à froid). Ils sont donc « assommés » par un pistolet à percuteur ou électrocutés — plus rarement gazés — afin que le cœur, pompant, assure l’évacuation d’un maximum de sang. Malheureusement, nombreux sont ceux qui reprennent conscience avant ou pendant la saignée. Maintenant, le fait que les animaux de boucherie souffrent plus encore que les phoques ne nous permet pas d’abandonner ces derniers pour autant. Nous sommes plusieurs, au printemps, à focaliser sur cette chasse parce qu’elle à lieu à ce moment-là, puis à retourner ensuite militer pour les animaux de boucherie, cette fois dans l’indifférence totale de la population et des médias. Ne pas s’occuper des phoques sous prétexte que d’autres animaux souffrent plus reviendrait, pour quelqu’un d’autre, par ex., à abandonner sa mission auprès des enfants battus au profit des enfants cancéreux sous prétexte que ces derniers souffrent peut-être plus, ou à abandonner la lutte contre la déforestation sous prétexte que la lutte contre la pollution est plus importante. Je crois que toutes les causes sont importantes, du moment qu’elles ont comme objectif d’aider des individus, animaux ou humains, à moins souffrir. Jamais je ne me permettrais de juger la cause de quelqu’un, du moment qu’il fasse quelque chose de bien, sa modeste part au mieux-être du Monde. Ce n’est malheureusement pas le cas de la majorité des gens, hélas, qui se permettent de juger arbitrairement de la valeur des causes et des même de celle des vies… !!! » Vous affirmez également que : « vivre c’est tuer la vie. » Voici un autre extrait de mes explications sur le blogue concernant ce point : « […] vous confondez, comme bien d’autres, les animaux aux humains sur les plans alimentaires, techniques et de conscience. Si nous commes capables, contrairement aux phoques, de manier le gourdin, c’est directement tributaire au fait que nous manions également la pensée intellectuelle et une conscience qui nous est propre (enfin, pour certains humains). Il n’est pas rare que cette conscience s’accompagne d’une sensibilité envers les autres, qu’ils soient animaux humains ou non, d’une empathie minimale ou, tout au moins, d’une compréhension de la douleur physique et psychologique que les autres ressentent lorsqu’on leur inflige de mauvais traitements ou qu’on les tue. Le lion ne peut faire autrement que de manger la gazelle pour survivre, ainsi va la dure réalité dans la savane. Mais l’Homme peut parfaitement se passer de viande pour survivre et être en excellente santé, des milliards de végétariens et de végétaliens à travers le monde le prouvent depuis des millénaires. Étant conscients que la viande n’est pas essentielle à notre survie, la torture et le meurtre annuel des 53 milliards d’animaux boucherie n’est donc pas justifiable, à mes yeux, sur le plan éthique. Nous possédons les moyens techniques et les connaissances pour transformer les industries de la viande, des œufs et du lait, en industries végétaliennes : qu’attendons-nous pour révolutionner positivement nos sociétés ? Ça bousculerait certes nos habitudes alimentaires, mais quel serait ce tourment comparé à la réduction colossale de souffrance sur Terre ? […] tout écologiste conséquant avec lui-même devrait être végétarien car l’industrie de la viande dévaste littéralement l’environnement. Aussi, tout humaniste conséquent avec lui-même devrait également être végétarien, puisque la consommation de viande des pays riches contribue à priver en nourriture les pays pauvres. Les « carnivores » sont donc responsables, à leur façon, de la faim dans le monde, même si plusieurs d’entre eux se disent humanistes ou écologistes… » Maintenant, puisque vous vous affectez grandement de la souffrance du pauvre légume, puisque dans votre te-tête vous entendez le cri strident de la carotte que le cuisinier égorge sans pitié, sachez que, comme l’explique si éloquemment Mme Pelchat en intervenant sur le blogue en question : « la production d’une portion de viande de bœuf nécessite 16 fois plus de ressources agricoles et énergétiques qu’une portion d’aliment végétal. Autrement dit, si les céréales qui sont utilisées pour nourrir les bovins étaient utilisées pour nourrir directement les humains, elles nourriraient 16 fois plus de personnes. 1,3 milliard d’êtres humains pourraient être nourris avec les céréales utilisées pour engraisser le bétail des États-Unis. La terre peut supporter un très grand nombre de végétariens, elle ne peut en revanche supporter qu’un nombre limité de mangeurs de viande. Ça ce sont des faits (je veux dire de vrais faits, pas des pseudo-faits comme il en pleut sur ce blog). En bref, la raison principale pour laquelle il y a pénurie de nourriture est que plus de 40% de la production mondiale de céréales est utilisée pour engraisser les animaux d’élevage plutôt que pour nourrir directement les humains. Cette conversion de denrées végétales en produits d’origine animale est déficitaire car dans ce processus en moyenne 90% de la nourriture initiale est perdue sous forme d’excréments! Ça c’est du gaspillage! Le problème peut bien être retourné dans tous les sens, on peut rejeter la faute sur ceci ou sur cela, cela n’y changera rien. Puisque les ressources alimentaires sont limitées, il est tout simplement impossible de consommer aussi massivement des produits d’origine animale sans que des dizaines de millions de personnes ne meurent de faim à un endroit ou à un autre. Ce ne sont pas uniquement les animaux qui en sont les victimes, les humains aussi crèvent pour que vous puissiez manger votre steak. Chaque fois que vous mangez un repas de viande, songez seulement qu’il en aura coûté en moyenne 10 assiettes vides, 10 ventres creux qui auraient pu être rassasiés, et après quelques récidives, 10 cadavres victimes de cette folie. Si cela vous dérange trop d’y penser, il suffit de l’ignorer, ou de faire un petit don une fois par année pour vous donner bonne conscience. Si au contraire la résolution de cette crise vous semble plus importante et urgente que la satisfaction toute égoïste de vos papilles, alors vous savez ce que vous avez à faire. Avec l’avènement des agro-carburants, le drame est en voie de prendre une ampleur apocalyptique. Il est plus que temps d’agir. » Combien de pauvres herbes souffrantes dévorez-vous à travers la chair de votre « viande sauvage » ou industrielle, monsieur Louis ? Si moi je suis criminelle d’exister, tel que vous le déclarez, que dire de vous ?! Aussi, sachez que je ne dénonce pas les atrocités perpétrées à l’endroit des animaux dans le simple but : « d’expliquer en quoi nous devrions tous nous sentir coupables… » Encore une fois, ça n’a rien à voir, nous nagez en plein délire dans vos interprétations erronées de mes propos. Je dénonce ces atrocités pour inciter les gens à des prises de conscience, pour leur donner envie de changer certains de leurs comportements et, surtout, pour inciter le débat, au Québec, sur la légitimité du traitement excessivement cruel qu’on réserve aux animaux. J’essaie seulement d’initier un questionnement, une remise en question de la nécessité réelle de tuer, notamment, 53 milliards d’animaux de boucherie par année. Vous ne voulez pas participer intelligemment au débat, vous ne voulez pas ouvrir votre esprit et remettre en question cette idée qu’il faut « tuer [des animaux] pour vivre », c’est votre affaire, vous seul vivez avec votre conscience. Mais, de grâce, ne contribuez pas vous aussi à polluer la toile de conneries indigestes et autres ragots médisants, ne participez pas comme vous le faites à la dangereuse désinformation qui prévaut présentement sur le Web, notamment. Suite: http://uhec.net/2008/04/07/628/
  16. Arraisonné samedi, le Farley Mowat est remorqué à Cap-Breton Il y a 20 heures SYDNEY, N.-E. — Le navire arraisonné samedi par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) dans le détroit de Cabot, où se déroule la chasse aux phoques, a été remorqué vers le plus grand port de Cap-Breton sous les yeux de quelques douzaines de curieux, dimanche. La Sea Shepherd Conservation Society a condamné la saisie du navire Farley Mowat, la qualifiant d'"acte de guerre", au moment où la partie la plus importante de la chasse annuelle s'est amorcée au large de Terre-Neuve. Selon le groupe de défense des droits des animaux et son porte-parole, Paul Watson, la saisie était illégale car le navire n'a pas pénétré dans les eaux territoriales Le ministre fédéral des Pêches et des Océans, Loyola Hearn, a pour sa part affirmé que la loi relative aux pêcheries l'autorisait à intervenir au-delà des eaux territoriales Le Farley Mowat restera à Sydney jusqu'à ce que des responsables du ministère des transports aient terminé leur inspection, a dit M. Hearn. La présence du navire dans le port a attiré les curieux, appareils-photo à la main. Dave MacNeil, un résidant de Sydney, appuie le geste du gouvernement, qui a attiré l'attention partout sur la planète. "Ils ont enfreint la loi, un point c'est tout, a-t-il lancé. Je me fous de qui vous êtes, si vous violez une loi, vous devrez subir les conséquences. Je ne crois pas qu'ils accomplissent grand-chose, sauf mettre la vie de certaines personnes en danger." Dimanche matin, un membre de l'équipage du Farley Mowat a raconté sa version de l'incident. "Nous avons été arrêtés et forcés de nous coucher à plat ventre sur le pont, a dit David Jonas, du New Hampshire. On nous a ensuite escortés vers la poupe, où nous étions surveillés par des gardes armés." M. Jonas a ajouté que certains de ses collègues ont été menottés et qu'on leur a dit qu'ils seraient accusés d'avoir violé le Règlement sur les mammifères marins du Canada lorsqu'ils seraient à bord du brise-glace de la Garde côtière. Seuls le capitaine et le capitaine en second du navire, Alexander Cornelissen et Peter Hammarstedt, ont finalement été accusés. Ils sont détenus jusqu'au paiement de leur caution de 5000 $. Ils devront comparaître le 1er mai. Entre-temps, ils seront libres de quitter le pays. M. Jonas croit que le Canada n'avait pas le droit de les arrêter. "Le Canada n'avait aucunement le droit d'arraisonner le navire et de l'amener à Sydney. Nous étions en eaux internationales. Notre navire a été enregistré aux Pays-Bas et nous avions droit de passage." Paul Watson croit que la saisie hautement médiatisée est une bonne opération de relations publiques pour son organisation, au moment où l'Union européenne songe à interdire l'importation des produits du phoque. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5il24QrtpDpYIMXNlV3JaYC0Fv3Ig
  17. Paul Watson fait une collecte pour faire libérer son équipage Il y a 5 heures SYDNEY, N-E — Le militant environnementaliste Paul Watson compte sur les ours polaires, version monétaire, pour faire libérer les membres d'équipage du Farley Mowat qui ont été emprisonnés le week-end dernier. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) venait de saisir le navire utilisé pour contrer la chasse aux phoques. Paul Watson, qui dirige la Sea Shepherd Conservation Society, fait présentement une collecte de pièces de deux dollars sur l'Ile du Cap Breton en Nouvelle-Ecosse et dit vouloir payer la caution de 10 000 $ avec ces espèces sonnantes; selon lui, les autorités canadiennes ont agi comme des pirates et c'est ainsi que les pirates aiment être payés. M. Watson, qui est arrivé à Sydney dimanche soir, affirme que la saisie de son vaisseau de 54 mètres n'a pas modifié ses objectifs. Il estime au contraire que la publicité générée par les arrestations très médiatisées ont plutôt donné une nouvelle impulsion au mouvement mondial contre la chasse aux phoques. M. Watson a par ailleurs confirmé que l'auteur de renommée internationale Farley Mowat, dont le navire porte le nom, a offert de payer la caution du capitaine et du premier officier du navire. Selon Paul Watson, le bateau se trouvait en eaux internationales et hors de la juridiciton canadienne lorsque les policiers de la GRC, habillés de noir et armés de mitraillettes, l'ont abordé samedi. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jegYZ9jI3vdx1oIUDN9bSbfGnfuw
  18. Questions d'image - Noir et blanc sur fond rouge Le Devoir, un journal de chasses et pêches ! Jean-Jacques Stréliski On voudrait être encore enfant pour n'apprécier les événements et les émotions que suivant un seul registre -- celui, simplet, d'une chose et de son contraire. Le noir et le blanc, le bien et le mal, les bons et les méchants, les savants et les sots, etc. Mais, hélas, la vie des adultes se déroule dans un cadre infiniment plus complexe, dans un monde étrange où l'on peine souvent à vraiment voir clair; où il n'est pas aisé de se forger une opinion. Comme sur la pratique de la chasse aux phoques, par exemple. Quatre marins madelinots, chasseurs de phoques, sont morts noyés dans un stupide accident de remorquage au large du Cap-Breton. La stupidité, que l'on appelle trop souvent et à tort «fatalité», fait aussi partie du voyage. L'enquête, car enquête il y aura, révélera bien entendu à qui incombe la faute, puisque faute il y eut. On punira des hommes, des marins sans doute, tandis que d'autres marins y auront laissé leur vie. On établira de nouvelles règles de remorquage pour que «de tels événements ne se reproduisent plus». Mais on n'oubliera pas non plus les sottes déclarations de ce savant capitaine Paul Watson, animaliste et défenseur des droits de la planète «phoquée», aux commandes de son vaisseau sans amarres (puisque tranchées, en représailles, par de solidaires pêcheurs français de Saint-Pierre-et-Miquelon où il tentait de faire escale). Grand mal lui prit d'affirmer que la vie des pêcheurs madelinots est moins importante à ses yeux que la tragédie des phoques abattus. Et il a même refusé de s'excuser. Bien sot, ce savant. Mais alors, s'il est aussi sot, est-il aussi savant qu'il le prétend? Sur les blanches banquises en dérive du golfe Saint-Laurent, la saison de la chasse vient de commencer. Chaque année, la polémique gronde. Dans le camp des environnementalistes, on ne sait plus quoi faire, sottement ou intelligemment, pour sensibiliser le monde à la «cruauté» de cette chasse. Stars et starlettes, depuis Brigitte Bardot, ont pris la cause en adoption. Non sans justesse, mais là encore jusqu'au ridicule. Hélas, ce dernier ne tue plus! Impossible désormais d'échapper à ces images sanguinolentes de carcasses de phoques mutilés, bébés ou non -- bien que la chasse aux blanchons soit désormais interdite --, des images insupportables reprises systématiquement par les médias chaque début de saison. Je ne prétends pas être un ardent défenseur de cette chasse qui, comme toute forme de chasse, me révulse quelque peu. Mais je peux comprendre cependant que l'économie des régions en général, et celle des régions côtières en particulier, est de plus en plus précaire. Chaque emploi compte. Je m'efforce donc d'analyser les raisons et surtout les véritables conséquences de cette pratique sur la vie de ces pêcheurs-chasseurs en mal de ressources. Il y a fort à parier que, devant les interdictions de vente des produits du phoque dans des marchés importants, comme l'Europe et les États-Unis (mais pas l'Asie), et la pression incessante des environnementalistes sur les consommateurs, la survie de cette chasse est elle-même menacée. Nous verrons. Les lois du marché sont souvent elles-mêmes très prédatrices de jobs. Il semble acquis que l'argument qui consiste à accuser les phoques de la baisse du nombre de goberges et de morues ne tient guère la route et que cette baisse est davantage le fait d'années de surpêche par des navires industriels qu'un phénomène de prédation bien naturelle. Et l'on ne voit pas non plus comment la disparition annuelle de 275 000 phoques sur les cinq à six millions recensés dans la grande région peut menacer l'espèce et changer l'équilibre des choses. Ce qui est dommageable pour ces pêcheurs, c'est bel et bien la pratique d'un abattage archaïque -- même si certaines études montrent que le gourdin est plus expéditif que le fusil --, car en opposition totale avec à l'image que l'on se fait d'ordinaire d'un pêcheur artisan. Voilà pour les uns. Pour les autres, force est donc de constater que les extrémistes animalistes sont en train de perdre toute crédibilité en raison d'une intoxication d'images et de déclarations stupides, même si, au départ, leur lutte se justifiait fort bien. Ils devront eux aussi revoir leur stratégie, en intégrant le fait que, pour se nourrir, les humains abattent chaque année, et loin des caméras, des millions de poulets, de porcs, de veaux, d'agnelets tout blancs et de charmants petits lapins qui se retrouvent chaque jour dans leurs propres assiettes. Tous, loin de là, ne sont pas végétaliens. Le jour viendra où ma petite-fille me demandera de lui lire une histoire avant de s'endormir. Je crois bien alors que j'éviterai lâchement tout sujet où il sera question de mignons petits phoques chassés sur les banquises blanches. J'ai trop peur qu'elle me pose des questions. Les enfants sont ainsi. Et si ce n'est pas trop compliqué pour elle, je sais que ce serait dur pour moi de lui avouer que, parfois, sur cette terre, il est bien ardu de tout comprendre. Bambi et Winnie feront parfaitement l'affaire. Jean-Jacques Stréliski est spécialiste en stratégie d'images. Vos réactions Soyons différents et cohérents - par Francois Munyabagisha (fmunyabagisha@hotmail.com) Le lundi 14 avril 2008 10:00 Toutes les nuances du gris. - par Serge Charbonneau (veliserdi@hotmail.com) Le lundi 14 avril 2008 09:00 Réagissez à ce texte http://www.ledevoir.com/2008/04/14/185018.html
  19. Caro18

    OTTAWA SAISI LE FARLEY MOWAT

    Les gardes côtes Canadiens éperonnent le Farley Mowat Le brise-glace CCGS Des Groseilliers des Gardes-côtes canadiens a éperonné deux fois le Farley Mowat de Sea Shepherd Conservation Society aujourd’hui. Les Gardes-côtes ont ordonné au Farley Mowat de ne pas s’approcher de l’endroit où les phoques sont massacrés. Lorsque le Farley Mowat n’a pas obtempéré, les Gardes-côtes l’ont éperonné au niveau de la proue droite. Après que le Farley Mowat ait stoppé dans la glace, les Gardes-côtes ont éperonné le navire une deuxième fois au même endroit endommageant les plaques à cet endroit. Les Gardes-côtes ont montré une inconscience extrême avec cet acte. L’équipage du Farley Mowat était en train de documenter le massacre des phoques. Ils n’interféraient pas avec la chasse. “ Je commence à me demander si quelqu’un a un brevet de capitaine dans la cabine de pilotage du Groseilliers,” a déclaré le Capitaine Alex Cornelissen. “L’incompétence des Gardes-côtes a déjà coûté la vie à 4 marins chasseurs de phoques ce week-end, et maintenant ils éperonnent des navires dans des conditions dangereuses. C’est incroyable. C’est comme si les gardes-côtes avaient déclaré la guerre aux défenseurs de phoques et que les chasseurs sont des pertes acceptables.” Le Farley Mowat restera dans le Golfe du St Laurent et continuera à filmer les atrocités sur la glace. Déjà l’équipage a suffisamment de preuves pour comprendre que la mascarade du gouvernement canadien disant que le massacre est humain n’a aucun réel fondement – en d’autres mots, c’est un mensonge d’Etat. « Il semble que le Canada est prêt à recourir à la violence pour couvrir la vérité de ce massacre,” a dit le Capitaine Paul Watson. « Notre devoir est de résister à leur violence et continuer à documenter la vérité. » LA VÉRITÉ FLIMÉE On voit aussi une petite séquence où un chasseur dépiaute un bébé phoque pendant qu'il est toujours vivant! Le chasseur "qui provoque aussi en même temps les membres de la Sea Shepherd" enfreint les règlements, c'est plus que flagrant! Le ministre en guise de solidarité va à la chasse, moi, j'envoie un autre don à l'équipe de Paul Watson en signe de soutien! Go lets go!
  20. Caro18

    Ce soir à la Semaine Verte

    POUR NOUS JOINDRE : semaineverte@radio-canada.ca
  21. Caro18

    OTTAWA SAISI LE FARLEY MOWAT

    Malgré tout, je suis certaine que pas un des journalistes présents étaient du côté de Paul Watson, ni même des défenseurs des animaux!
  22. Caro18

    Des animalistes se réjouissent ...

    La campagne de calomnie des médias envers M. Watson et les méchants animalistes commence à prendre une proportion démesurée.
×
×
  • Créer...