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Caro18

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  1. C'est sans doute une question de feeling. La chanteuse Fabienne Thibeault a décidé de mettre les deux pieds dans les terroirs du Québec pour sauver le patrimoine agricole de la province. Contrariée par l'inertie du gouvernement devant la sauvegarde de la vache canadienne, du cheval canadien et surtout du poulet Chantecler, l'ex-serveuse automate de l'opéra rock Starmania (première cuvée) veut en effet prêter sa voix à ces espèces dites patrimoniales menacées d'extinction depuis des années non seulement par des lois et des règlements qu'elle juge désuets mais aussi par l'industrialisation de l'agriculture. Et son objectif est clair: sortir ces bêtes de la torpeur d'ici un an. «C'est une honte, ce qui est en train de se passer dans nos campagnes», a expliqué cette semaine au Devoir Mme Thibeault, de passage à Montréal. L'artiste vit en France depuis une vingtaine d'année. «Le poulet Chantecler, la vache canadienne et le cheval canadien font partie de notre histoire, de notre patrimoine, et ils sont en train de disparaître doucement dans la plus grande indifférence. Ça ne peut plus durer. Il faut soutenir les producteurs qui prennent soin de ces espèces et s'assurer que les cadres juridiques leur soient favorables à l'avenir.» À lire au complet la suite ici; http://www.ledevoir.com/2007/01/26/128765.html
  2. Animaux : La Belgique premier pays de l’U.E à interdire tous les produits issus des phoques Le Parlement belge a voté hier en faveur de l’application d’une interdiction nationale de l’importation de tous les produits issus des phoques, ce qui fait de la Belgique le premier pays de l’Union Européenne à franchir un tel pas. Cette interdiction ferme le marché belge au commerce des phoques, et envoie ainsi un message fort au gouvernement canadien. La Belgique montre ainsi qu’elle ne veut rien avoir à faire avec la cruelle chasse commerciale des phoques qui se déroule au Canada. Au cours des dernières années, le bureau européen d'IFAW, en collaboration avec l'ONG belge GAIA, n'avait eu de cesse d'appeler à un embargo national en Belgique. “Nous aimerions remercier le gouvernement belge, et en particulier les trois ministres qui sont intervenus dans cette initiative, ainsi que les parlementaires qui ont soutenu cette décision exceptionnelle. Le vote du Parlement aidera à mettre un terme à la chasse commerciale des phoques en réduisant la demande de produits issus des phoques," » a ainsi affirmé Lesley O’Donnell, Directrice du bureau européen d’IFAW. "C’est une victoire monumentale pour notre campagne et nous espérons que l’exemple belge encouragera les autres nations européennes à adopter leur propre embargo." a aussi précisé Lesley O'Donnell Le vote du Parlement belge démontre au Gouvernement canadien que les marchés de tous les produits des phoques en Europe peuvent être fermés. Tout au long de l’année dernière, des mesures renforcées ont été adoptées pour arrêter le commerce des produits de phoques en Europe. Le Parlement allemand a voté à l’unanimité une motion incitant le gouvernement à interdire les produits des phoques, un mois à peine après que le Parlement européen ait voté une résolution écrite en faveur de l'interdiction de ce commerce dans l'UE. Trouvé ici: http://www.fenetreeurope.com/php/page.php?section=actu&id=7289
  3. Dans toutes les nouvelles disponibles sur ce braconnage morbide et dégoûtant, on constate que les truands ne seront pas accusés pour des actes de cruauté envers les animaux.
  4. Canada : Pickton donnait les corps des victimes à manger aux cochons publié le jeudi 25 janvier 2007 Le Canadien Robert Pickton, accusé d’avoir tué 26 femmes, donnait les dépouilles de ses victimes à manger à ses cochons, a affirmé un ancien employé de sa ferme. Le témoignage, dont une vidéo a été diffusée lors du procès, remontait à 2002. "Il les amenait dans une pièce et les donnait à manger aux cochons", déclare Andy Bell, ex-employé de Pickton dans un extrait vidéo montré à Pickton lors de son interrogatoire par la police, au lendemain de son arrestation en février 2002. Pickton réagit en s’exclamant "Oh ! Ça alors !", avant de rire et de dire : "en voila une drôle d’histoire". En 2004, les autorités sanitaires de Colombie-Britannique avaient mis en garde la population contre la consommation de saucisses fabriquées dans la région, de crainte que la viande provenant de la porcherie Pickton ne contienne des restes humains. Les jurés ont poursuivi mercredi l’écoute de l’enregistrement de l’interrogatoire de 11 heures de l’ancien éleveur de porcs âgé de 57 ans dans lequel celui-ci qualifie de "foutaises" les accusations contre lui. Dans cet enregistrement réalisé alors qu’il n’était accusé que de deux meurtres et que la police n’avait pas encore découvert de restes humains chez lui, Pickton affirme "être un simple éleveur de porcs", victime d’un "coup monté". Dans la partie diffusée mercredi, Pickton déclare notamment au policier l’interrogeant qu’il se servait de son pistolet recouvert d’un godemiché en guise de silencieux pour faire moins de bruit lorsqu’il abattait les porcs qu’il élevait. A l’ouverture du procès lundi, le procureur Derrill Prevett avait présenté le pistolet et le godemiché découverts sur le terrain de la ferme de Pickton comme une importante pièce à conviction contre lui. Il avait indiqué que le godemiché portait des traces d’ADN de Pickton et d’une des six femmes qu’il est accusé d’avoir tuées. Robert Pickton, qui a plaidé non-coupable, est accusé d’avoir tué 26 femmes, mais il n’est jugé dans le procès actuel que pour six meurtres. SDA-ATS http://www.armees.com/Canada-Pickton-donnait-les-corps-des-victimes-a-manger-aux,15286.html
  5. Les producteurs veulent imposer leurs conditions 25/01/2007 12h19 La Fédération des producteurs du porc estime que les producteurs québécois ont été suffisamment patients. Si les fermetures d'usines d'abattage se confirment, par exemple celle d'Olymel à Vallée-Jonction, en raison des négociations salariales qui stagnent, elle n'hésitera pas à demander au gouvernement d'imposer les conditions de travail à cet endroit, selon la Presse Canadienne. Le président de l'Union des producteurs agricoles du Québec, Laurent Pellerin, a évoqué cette possibilité, jeudi en conférence de presse. «La situation est dramatique. On assistera d'ici peu à l'effondrement de la filière porcine québécoise et à tout un cortège de faillites chez les producteurs de porcs du Québec, sans compter l'impact désastreux sur les emplois en région», a dénoncé M. Pellerin. «Les animaux doivent sortir des bâtiments d'élevage. Les producteurs n'ont pas le choix: il leur faudra conclure des ententes avec d'autres abattoirs du Québec et de l'extérieur (en Ontario et dans les Maritimes). Des ententes qui seront irréversibles et de longues durées», a soutenu le président de la Fédération des producteurs de porcs du Québec, Claude Corbeil. Trouvé ici: http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/01/20070125-121933.html
  6. Un python étrangle l'employé d'un cirque Rostov-Sur-Le-Don, Russie, 24/01- Un python s'est échappé de sa cage dans un cirque itinérant en Russie et a étranglé une employée, a-t-on appris auprès de la police de Stavropol. Le corps de la femme, qui s'occupait des animaux dans ce petit cirque, a été retrouvé près de la cage en verre avec des signes d'asphyxie et des restes de peau de serpent autour du cou, a précisé la branche régional du ministère de l'Intérieur. Le python de cinq mètres et demi, qui pèse 100kg, a été retrouvé non loin du cadavre et remis dans sa cage. Les autorités mènent une autopsie sur le corps de la femme de 62 ans. Trouvé ici: http://www.angolapress-angop.ao/noticia-f.asp?ID=504208
  7. Paul Arcand arcand@985fm.ca Claude Poirier Répondeur: 514-598-2857
  8. Caro18

    Canada/affaire Pickton

    Ce tortionnaire était un éleveur de porcs, je n'ose même pas imaginer comment étaient traités les pauvres bêtes. Canada/affaire Pickton: têtes humaines trouvées dans un congélateur NEW WESTMINSTER - Robert Pickton, accusé d'être le pire meurtrier en série de l'histoire du Canada, avait entreposé dans un congélateur les têtes de deux de ses victimes, a affirmé lundi un procureur. En prison, il aurait avoué 49 meurtres. Le procureur Derrill Prevett a donné un aperçu des horreurs reprochées à l'ancien éleveur de porcs âgé de 57 ans, lors de l'ouverture de son procès devant un jury à New Westminster, dans la banlieue de Vancouver. Le juge ne se trompait guère en annonçant aux jurés qu'ils risquaient d'assister à un film d'horreur. Parmi les découvertes macabres faites par la police sur le terrain de la ferme de Pickton et rendues publiques pour la première fois lundi, figurent deux têtes de femmes qui avaient été entreposées dans des seaux de plastique, retrouvés dans un congélateur. Les seaux contenaient aussi des parties de mains et de pieds des victimes. "Dans les deux cas, la tête avait été coupée en deux verticalement", a précisé le procureur Prevett. Il a également affirmé que l'accusation produirait un enregistrement dans lequel Pickton semble avouer 49 meurtres. Celui-ci y déclare à un policier se faisant passer pour un co-détenu qu'il aurait voulu commettre un autre meurtre "pour arriver au chiffre rond de 50". Pickton, qui a plaidé non-coupable, est accusé d'avoir tué 26 femmes. Mais dans le procès qui s'est ouvert lundi et doit durer un an, il répondra de six meurtres. En raison du volume et de la complexité du dossier, un second procès portant sur les 20 autres cas aura lieu plus tard. Ces six victimes sont toutes des femmes qui se droguaient et se livraient à la prostitution. La police avait creusé la terre sur une profondeur de plusieurs mètres dans la ferme Pickton située à Port Coquitlam à une cinquantaine de km de Vancouver. Elle y a trouvé des ossements humains et d'animaux ainsi que des dents, selon le procureur. La défense est intervenue brièvement pour dire que Robert Pickton n'était pas coupable et pour appeler le jury à bien mesurer les capacités mentales de l'accusé. http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20070123020051868172194815700.XML&associate=PHF1547
  9. Pratique illégale de la chasse et du trappage Le 22 janvier 2007 Échec au crime et le ministère des Ressources naturelles sont très soucieux des pratiques illégales de la chasse. Cette semaine, nous demandons votre collaboration afin de mettre fin à ce genre de crime au Nouveau-Brunswick. La chasse et le trappage hors saison sont illégaux. De plus, certains individus continuent de chasser le chevreuil, l'orignal et d'autres gibiers la nuit. Au Nouveau-Brunswick, c'est un délit grave. Chasser la nuit est extrêmement dangereux. Cette pratique est désavantageuse pour les animaux et carrément illégale. Le ministère des Ressources naturelles, la Fédération de la faune du N.-B., les chasseurs et Échec au crime vous rappellent que la majorité des citoyens du N.-B. condamnent ces activités. Promotion Échec au crime versera jusqu'à 2000 $ pour tout renseignement menant à l'arrestation de ceux et celles qui chassent de façon illégale. Si vous possédez des renseignements sur ce genre de délit, téléphonez à Échec au crime au 1 800 222-TIPS, c'est-à-dire 1 800 222-8477. Appelez maintenant. Échec au crime http://www.nb.crimestoppers.ca info@acadie.net http://www.acadie.net/modulacadie/contenu.cfm?identification=9958
  10. Sauvetage de dizaines de chiens maltraités à Saint-Philippe Presse Canadienne Un autre cas de chiens maltraités est mis au jour sur la rive-sud de Montréal, cette fois à Saint-Phillipe, en Montérégie. Entre 20 et 30 chiens ont été abandonnés dans une grange sans eau, nourriture et chauffage au 73 rue St-Pierre, de cette petite municipalité de 4763 habitants. Une opération de sauvetage de ces animaux s’est amorcée en fin d'avant-midi jeudi par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux et la Régie intermunicipale de police de Roussillon. Le porte-parole de la police, Guy Lépine, explique que les policiers ont tenté de joindre le locataire des lieux, mais sans succès. Il est possible que l'homme qui loue la résidence à proximité de la grange n'habite pas les lieux. Ce dernier pourrait éventuellement faire face à des accusations prévues au code criminel en ce qui concerne les animaux maltraités. http://www.cyberpresse.ca/article/20070118.../5025/CPDMINUTE
  11. La SPAM pulvérise des records Trois-Rivières L'année 2006 est celle de tous les records pour la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM). Elle a recueilli pas moins de 5369 animaux, soit 25 % de plus que l'an dernier. "On a eu des records en terme du nombre de dossiers traités, d'animaux recueillis et d'adoptions. On ne s'attendait pas à avoir une augmentation aussi importante", souligne Serge Marquis, directeur de la SPAM. Il attribue ce phénomène à différents facteurs dont le déménagement dans de nouveaux locaux mieux aménagés et plus facilement accessibles sur le boulevard Saint-Jean. "En raison de la présence de nos nouvelles installations, on pense que beaucoup de gens de l'extérieur de Trois-Rivières viennent porter des animaux dont ils ne veulent plus. Beaucoup d'animaux - surtout des chats - sont laissés dans des boîtes à notre porte. Cette année, c'est arrivé fréquemment." Notons qu'en 2004 aussi, l'année avait été passablement achalandée alors que 5037 animaux avaient été recueillis. Parmi les 5369 animaux qui se sont retrouvés à la SPAM, 4052 sont des chats et 1189 des chiens. http://www.cyberpresse.ca/article/20070117/CPNOUVELLISTE/701170722/5409/CPNOUVELLISTE
  12. Condamné pour avoir fait bouillir un chat Thetford Mines Une horrible histoire de cruauté envers les animaux a connu son dénouement dernièrement, au palais de justice de Thetford Mines, quand François Delisle, un homme de 26 ans de Saint-Laurent, île d'Orléans, a reçu une sentence de 12 mois de probation en plus de devoir payer une amende de 500$ et de verser un don de 500$ à la Société protectrice des animaux (SPA). En octobre 2005, Delisle habitait chez un oncle à Thetford Mines et ce dernier avait décidé de le mettre à la porte car il ne payait pas sa part du loyer. Fâché contre son oncle et contre le chat de ce dernier, qui aurait endommagé son lit d'eau, Delisle a décidé de se venger de façon cruelle. Il a brisé le cou de l'animal pour ensuite l'attacher et le faire bouillir dans un chaudron. Son oncle a fait la macabre découverte quelques heures plus tard, après avoir remarqué une odeur particulière qui s'échappait du logement. Il a immédiatement contacté les policiers. Repenti Questionné hier par la procureure de la Couronne, Me Céline Cyr, a déclaré qu'il était prêt à se soumettre à un suivi psychiatrique, même s'il s'y était au départ opposé. «Depuis un an, j'ai pu me repentir et parler avec mon oncle. à l'époque, j'avais beaucoup de problèmes. J'avais perdu ma maison ainsi que mon emploi et mon oncle m'avait mis dehors. J'ai pété les plombs et, aujourd'hui, je le regrette», a-t-il déclaré. L'avocat de Delisle, Me Enrico Théberge, a ensuite présenté au juge Narcisse Proulx une suggestion de sentence approuvée par la Couronne, soit une période de probation assortie d'un suivi psychiatrique, d'ateliers pour aider à contrôler l'impulsivité et d'une amende de 1000 $. «J'accepte partiellement la suggestion car je crois que monsieur a mal réagi, de façon impulsive, mais qu'il s'agit là d'un fait ponctuel», a déclaré le juge avant de rendre sentence, remplaçant l'amende de 1000 $ suggérée par une amende de 500 $ assortie d'un don équivalent à la SPA, des sommes qu'il devra acquitter dans un délai de huit mois. http://www.cyberpresse.ca/article/20070116/CPACTUEL/70116076/5406/CPINSOLITE
  13. Caro18

    Appuyez le projet de loi C-373

    Qu'il est difficile de protéger nos amies les bêtes! Nouvelle tentative pour sévir davantage contre les responsables de la cruauté envers les animaux Ottawa -- La sixième sera-t-elle la bonne? Ainsi pourrait se résumer l'interminable saga législative de la loi fédérale punissant la cruauté envers les animaux. Cette fois, c'est le Sénat, celui-là même qui a bloqué toutes les initiatives gouvernementales précédentes, qui revient à la charge pour sévir plus fermement contre les auteurs de ces violences envers les animaux. Le sénateur libéral John Bryden a déposé le projet de loi S-213 durcissant les peines pour les personnes reconnues coupables de mauvais traitements. Le sénateur Bryden est pourtant un de ceux qui, à la Chambre haute, s'était opposé avec virulence aux initiatives précédentes de son parti en la matière. C'est que depuis décembre 1999 seulement, pas moins de cinq projets de loi (à peu près identiques) ont été déposés par le gouvernement libéral pour modifier les dispositions du Code criminel relatives à la cruauté envers les animaux. Chaque fois, le projet de loi est soit mort au feuilleton, soit a été bloqué au Sénat. La raison fournie par le Sénat? «Il n'est tout simplement pas nécessaire de modifier ces dispositions de fond afin de pouvoir engager des poursuites à l'égard des actes effroyables que nous trouvons tous si horribles», expliquait le sénateur Bryden dans un discours livré en mai dernier lors du débat sur son projet de loi. Selon le sénateur, le Code criminel dans sa forme actuelle contient déjà une multitude d'interdictions quant aux traitements cruels envers les animaux. Le problème réside plutôt dans les peines y étant rattachées, jugées trop clémentes et non dissuasives. «Toutes les enquêtes que moi et d'autres avons menées nous ont permis de conclure que les infractions prévues dans le Code criminel permettaient toujours de porter des accusations contre les contrevenants. Le problème, c'est que leurs infractions n'étaient pas prises au sérieux. Un propriétaire d'usine à chiots était inculpé, payait l'amende de 200 $ et retournait à ses affaires. Par conséquent, les procureurs, les agents d'application de la loi et même les juges baissent les bras. C'est pour ça que ça ne marche pas.» Deux points de vue Deux factions s'affrontent dans ce débat. Il y a ceux, instigateurs des projets de loi gouvernementaux, qui veulent moderniser les dispositions du Code criminel relatives au traitement des animaux. Plusieurs de ces dispositions datent du XIXe siècle, ce qui explique que l'animal soit considéré comme le bien de son propriétaire au même titre qu'un objet inerte. Les législateurs veulent créer une section distincte où les crimes envers les animaux seraient considérés différemment. On estime dans ce groupe, contrairement au sénateur Bryden, que le Code criminel est incomplet et ne permet pas de punir tous les cas de négligence. L'autre faction, dans laquelle on retrouve aussi certains lobbies industriels et religieux, craint que l'instauration d'une telle loi ne rende illégales certaines pratiques. Remettre un poisson à l'eau après l'avoir hameçonné serait-il considéré comme infliger une «souffrance inutile»? Être incapable de retrouver le lièvre qu'on a blessé mais non tué serait-il illégal? Égorger un animal avant de le manger en guise de rituel religieux passerait-il le test de la nouvelle loi? Une mère qui oublierait de nourrir le poisson rouge de son fils parti en colonie de vacances serait-elle poursuivie, comme certains l'ont affirmé? «C'est tout à fait ridicule», vocifère au téléphone Anne McLellan qui, à titre de ministre de la Justice, avait présenté sans succès les deux premiers projets de loi sur la question, en 1999 et 2001. Elle assure que rien de ce qui est aujourd'hui permis ne deviendrait illégal. «Pour que des accusations soient portées, il doit y avoir enquête, rappelle l'ex-procureure générale. La police fait preuve de bon sens, les procureurs font preuve de bon sens et les juges font preuve de bon sens. Alors je n'ai pas de temps à perdre avec ce genre d'idioties!» Tanya O'Callaghan, porte-parole de la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (les fameux SPCA), reconnaît que ces craintes ont été alimentées par certains groupes animalistes «plus extrêmes». «Ils ont dit à leurs bailleurs de fonds, par exemple, qu'ils utiliseraient la loi pour poursuivre l'industrie, les chasseurs, les pêcheurs, les fermiers, et que c'était le début de la libération des animaux au Canada. La réalité, c'est que ces groupes n'auront pas le pouvoir de poursuivre au criminel! C'est le pouvoir de la police.» N'en reste pas moins que le sénateur Bryden n'a jamais été rassuré par ces garanties orales. Et c'est pour cela qu'il revient à la charge avec un projet de loi privé au Sénat, qui ne fait qu'accroître les peines pour les crimes envers les animaux déjà reconnus dans le Code criminel. Les amendes maximales passeraient de 2000 $ à 10 000 $ et les peines de prison, de six à 18 mois. Les groupes de protection des animaux ne pensent pas que les choses soient si simples. Selon eux, le Code criminel n'est pas complet. Mme O'Callaghan rappelle ce cas d'un éleveur de Saskatchewan qui avait laissé mourir de faim ses dizaines de moutons il y a quelques années. Il a été acquitté parce que la Couronne n'a jamais pu démontrer que la négligence était «volontaire» comme l'exige le Code criminel. «C'est extrêmement difficile de prouver que quelqu'un avait l'intention au départ de négliger son animal», explique Mme O'Callaghan. «La nouvelle définition considérerait comme négligence un traitement nettement différent de ce qu'une personne normale aurait fait dans une situation similaire.» L'appui du gouvernement Le gouvernement conservateur a fait savoir qu'il appuierait ce projet de loi plutôt que de soumettre une nouvelle version des projets de loi libéraux antérieurs. «S-213 est une approche que nous pourrions appuyer, a fait savoir le porte-parole du ministre de la Justice, Mike Storeshaw. Nous pensons que les peines existantes sont trop légères et S-213 est une bonne façon d'y remédier.» Les groupes de protection des animaux n'appuient pas le sénateur dans sa démarche et ne se réjouissent pas du fait que, au moins, les peines deviennent plus sévères. «Il y a des gens qui appuient le projet de loi parce que ça semble une façon facile de faire quelque chose dans un dossier qui traîne depuis tellement longtemps», croit Tanya O'Callaghan. Mais ce faisant, craint-elle, cela enlèvera l'urgence d'agir. «C'est dommage que les gens soient prêts à laisser tomber huit années de travaux parlementaires pour un projet de loi qui n'a pas la même portée. C'est comme un coup de peinture sur une maison qui a un problème de fondation.» En outre, les projets de loi précédents auraient permis d'interdire à vie la possession d'un animal à toute personne trouvée coupable de cruauté envers les animaux. Et les personnes trouvées coupables de cruauté seraient considérées différemment que si elles avaient vandalisé la maison du voisin, ce que ne fait pas le projet de loi S-213. Mme McLellan, tout comme Tanya O'Callaghan, rappellent que des études américaines ont établi un lien entre la cruauté envers les animaux et des comportements violents à l'âge adulte. L'ex-ministre rappelle un cas récent de deux jeunes qui avaient attaché un chien derrière leur véhicule et avait roulé jusqu'à ce que l'animal meure. «On doit s'inquiéter quand quelqu'un inflige ce genre de douleur insensée à une créature vivante. On doit vraiment s'inquiéter de ce qui se passe dans la tête de ces gens-là, non seulement pour ce qu'ils pourraient faire à un autre animal, mais aussi à un être humain.» Vos réactions http://www.ledevoir.com/2007/01/04/126339.html
  14. Des animaux par référendum Photo: http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/misc?url=/misc/zoom.pbs&Site=CP&Date=20070112&Category=CPNOUVELLISTE&ArtNo=701120779&Ref=AR&Profile=5052&show=CPNOUVELLISTE&sectioncat=CPNOUVELLISTE&cr=Photo:%20François%20Gervais&relart=%2Fapps%2Fpbcs.dll%2Farticle%3FAID%3D%2F20070112%2FCPNOUVELLISTE%2F701120779%2F5052%2FCPNOUVELLISTE Bécancour Il y a deux ans, Monic Aussant en a eu assez de vivre seule et a adopté une petite chienne afin de lui tenir compagnie. Cette locataire d'une habitation à loyer modique (HLM) de Bécancour s'est battue depuis pour pourvoir garder sa chienne Toutite à la maison, puisque le règlement de l'Office municipal d'Habitation (OMH) de Bécancour ne permet pas les animaux. En novembre dernier, c'est le juge qui a tranché: Mme Aussant devait se départir de son animal avant le 4 janvier ou elle serait évincée de son logement. "Je ne voulais pas perdre mon privilège d'habiter dans un HLM. J'ai envoyé Toutite chez ma fille pour qu'elle la garde. Mais moi je m'ennuie ici, je veux avoir ma chienne", lance-t-elle avant d'ajouter: "Elle ne jappe pas. Elle reste dans l'appartement. Elle ne dérange personne". Son souhait pourrait-il devenir réalité? C'est du moins ce qu'espère la Fédération des locataires d'habitation à loyer modique du Québec (FLHLMQ), qui aimerait voir l'OMH de Bécancour tenir un référendum sur la question. http://www.cyberpresse.ca/article/20070112/CPNOUVELLISTE/701120779/5052/CPNOUVELLISTE
  15. LONDRES (Reuters) - Deux frères anglais ont été condamnés par un tribunal de Londres pour avoir laissé leur chien devenir obèse. Rusty, leur labrador chocolat, pesait plus de 70 kg, soit plus de deux fois le poids normal d'un chien de cette espèce à l'âge adulte. Selon les vétérinaires de la Royal Society for Prevention of Cruelty to Animals (Société royale pour la prévention de la cruauté sur les animaux), qui était partie civile dans le procès, Rusty était tellement gros qu'il ne pouvait pas enchaîner plus de six foulées sans devoir s'asseoir. Malgré le verdict, le labrador, aminci de 20 kg, est retourné vivre chez David et Dereck Benton, ses deux maîtres, à la condition que ces derniers ne lui laissent plus prendre de poids. "Rusty était en surpoids, nous ne nions pas ce fait. Mais il était aimé. Il n'y en a pas deux comme lui", a déclaré David à la BBC. Voir photo du chien: http://today.reuters.fr/news/newsArticle.aspx?type=oddlyEnoughNews&storyID=2007-01-12T183111Z_01_GAR266658_RTRIDST_0_OFROE-GB-CHIEN-OBESE-20070112.XML
  16. Un faux inspecteur d'Anima-Québec en Mauricie (CHLN)- Un individu se fait faussement passer pour un inspecteur de l'Association nationale d'intervention pour le mieux-être des animaux. Le faux inspecteur d'Anima-Québec a sévi l'été dernier en Mauricie et des informations laissent croire qu'il serait en période de récidive. L'inspectrice en chef, Suzanne Lecompte, informe que seulement trois inspecteurs sont accrédités par Anima-Québec et qu'ils possèdent une carte d'identité avec photo. Écoutez Suzanne Lecompte, en audio ci-joint... http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-faux_inspecteur_anima_quebec_mauricie-46455-4.html
  17. Sainte-Anne-des-Monts aux prises avec un problème de chiens errants Par Allen Cormier Photo Allen Cormier L'an dernier, une trentaine de chiens abandonnés ont dû être récupérés par des employés municipaux. La Ville de Sainte-Anne-des-Monts est aux prises avec un problème de chiens errants. L'an dernier, une trentaine de chiens abandonnés ont été récupérés par des employés municipaux et logés pendant plusieurs jours avant qu'on ait la chance de leur trouver un nouveau foyer, ou pire qu'ils soient euthanasiés par le vétérinaire. Malheureusement, dans la majorité des cas, ces pauvres bêtes ne sont pas réclamées par leur propriétaire. « Vous savez cette mesure entraîne des coûts de plusieurs milliers de dollars pour la Ville, soit pour les contribuables. De plus, ce n'est pas facile au niveau humain d'envoyer de pauvres bêtes se faire euthanasier. Il m'est aussi déjà arrivé de récupérer des animaux qui avaient froid, faim, maltraités ou qui étaient blessés. Je pense qu'il serait très important que les propriétaires d'animaux prennent leurs responsabilités ou encore qu'ils s'abstiennent complètement d'en avoir », souligne Jacques Tremblay, employé municipal à la Ville. Le règlement municipal #98-532 indique, entre autres, que tout propriétaire de chien se doit d'enregistrer son animal à la municipalité ; une médaille est alors remise gratuitement et le chien figure au registre, ce qui aide grandement les employés lorsqu'un chien est retrouvé. Si des gens sont témoins d'abandons à l'endroit d'un chien, ils peuvent communiquer avec la Ville de Sainte-Anne-des-Monts au 763-5511 pour faciliter la recherche du propriétaire. http://www.hebdosquebecor.com/riv/01142007/riv_01142007_A2.shtml
  18. Caro18

    Émoi pour une bête martyrisée

    CHIEN BATTU SAUVAGEMENT DANS UNE COUR D'ÉCOLE Cruauté animale : un homme accusé Trois-Rivières Les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont possiblement mis la main sur celui qui avait battu sauvagement un chien dans la cour de l'école Saint-Paul, le 28 novembre dernier. Armand Grenier, 54 ans, de Trois-Rivières, a été formellement accusé d'avoir blessé et fait souffrir inutilement un animal. C'est lundi qu'un mandat d'arrestation a été émis contre Grenier. La même journée, il s'est présenté au palais de justice de Trois-Rivières où il a comparu. Il a été remis en liberté et devra revenir devant la cour le 13 février. Ensanglanté et à peine conscient, le bull mastiff avait été retrouvé attaché avec une corde à linge à la clôture de l'école Saint-Paul. Il avait été laissé pour mort après avoir été brutalement frappé à la tête et au scrotum à l'aide d'un objet contondant, possiblement un bâton ou un marteau. Il se trouve toujours à la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où il continue à prendre du mieux. Le directeur général de l'organisme, Serge Marquis, espère lui trouver une famille d'ici la fin du mois de janvier. Il a fait l'objet d'examens comportementaux au cours des dernières semaines. Il ne semble pas agressif, mais la SPAM veut quand même choisir sa prochaine famille avec attention. Tous les détails dans l'édition papier du Nouvelliste du 11 janvier 2007. http://www.cyberpresse.ca/article/20070111/CPNOUVELLISTE/701110735/5409/CPNOUVELLISTE
  19. Chasse du cerf de Virginie : récolte exceptionnelle Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune annonce que la récolte des chasseurs de cerfs de Virginie a de nouveau été exceptionnelle au cours de l'automne 2006. Bien que la compilation finale ne sera complétée que dans quelques semaines, les résultats actuels permettent déjà de constater que la récolte de 2006 sera du même ordre de grandeur que celles des dernières années, des années records dans l'histoire québécoise de la chasse au cerf de Virginie. Au 12 décembre, les données du Ministère indiquent une récolte de 61 533 cerfs, soit 38 189 mâles avec bois (62%), 16 094 femelles adultes (26%) et 7250 faons (12%). La récolte a été particulièrement bonne à l'Île d'Anticosti en raison de conditions de neige favorables au cours des derniers hivers. La situation a été similaire en Gaspésie où la récolte a progressé de plus de 50%. À l'inverse, l'hiver 2006 a été difficile dans le Bas-Saint-Laurent, avec comme conséquence une récolte de cerfs plus modeste qu'en 2005. Globalement, près de 35% des chasseurs ont récolté un cerf cet automne, une situation qui prévaut depuis quelques années et qui suscite un intérêt grandissant pour l'activité, alors que le nombre de permis vendus s'établit maintenant à près de 170 000 au Québec. La récolte de mâles avec bois, un reflet fiable de l'abondance des populations, suggère une certaine stabilité dans plusieurs zones de chasse du Québec depuis 2002. Cette situation s'explique par l'adoption de modalités de chasse visant à stabiliser et à réduire les populations dans certaines zones de chasse, tel qu'il a été convenu avec les partenaires du Ministère dans le cadre du Plan de gestion du cerf de Virginie 2002-2008. Dans le cadre de son programme de suivi, le Ministère effectuera, au cours de l'hiver, des estimés par inventaire aérien des populations de cerfs de la zone de chasse 7 (Centre-du-Québec). De même, l'opération du réseau de stations de mesure de neige se poursuivra; ces données permettant d'ajuster le prélèvement de cerfs sans bois en fonction de la sévérité de l'hiver précédent et aux objectifs de populations convenus pour chacune des zones de chasse. Un tableau complet des statistiques de chasse au cerf de Virginie pour chacune des zones de chasse, mis à jour tous les mardis, peut être consulté sur le site Internet du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/statistiques/chasse-piegeage.jsp). Pour plus d'information sur les objectifs de gestion de chacune des zones de chasse, consulter le Plan de gestion du cerf de Virginie également disponible sur Internet (www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/plan-gestion-cerf.jsp). Trouvé ici : http://www.hebdos.net/lsv/edition22007/articles.asp?article_id=155934
  20. Chiens de race | reproduction La SPCA dit non Le Journal de Montréal 28/12/2006 06h10 Les personnes qui souhaitent acheter un chien de race pour la reproduction auprès de la SPCA auront une petite surprise. Ces chiens très convoités seront désormais stérilisés pour freiner le commerce non contrôlé des animaux de race. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) a décidé de resserrer ses règlements après la multiplication des cas d'individus voulant acquérir des chiens de race pour les destiner à la reproduction. «Tout récemment encore, une femme voulait acheter une chienne beagle pour la faire accoupler avec un mâle qu'elle possédait déjà dans le but de revendre des chiots. Nous avons dit non», révèle Nathalie Bouillé, de la SPCA. La femelle beagle en question a depuis été stérilisée avant qu'un futur propriétaire n'en fasse l'acquisition. L'organisme dit avoir adopté cette politique pour respecter son mandat qui est de protéger les animaux contre toute exploitation. Marché lucratif «Les gens pensent qu'ils peuvent adopter à la SPCA des chiens de race à un prix modique pour ensuite revendre leurs chiots à fort prix», précise Mme Bouillé. Dans le cas d'un chien de la race beagle, les chiots peuvent parfois être revendus à un prix pouvant dépasser les 500 $. Même s'il est difficile d'en mesurer l'ampleur, ce marché aurait donc pu devenir très lucratif pour toute personne oeuvrant au noir. Environ 25 % des chiens destinés à l'adoption à la SPCA sont des animaux de race. Mesure exagérée? «Je trouve cela un peu exagéré. On ne peut pas tout contrôler. Il y aura toujours des gens sans scrupule», déclare Ginette Blanchette, propriétaire du Chenil St-Lin. «Il est impossible de placer une police auprès de chaque chien qu'on vend. Si les gens veulent avoir des chiots, c'est leur droit», estime Mme Blanchette. La dame, en affaires depuis 1965, croit que la politique de la SPCA empêchera certains propriétaires bien intentionnés, qui souhaitaient avoir des chiots, d'en faire l'expérience à peu de frais. Hier midi, en l'espace d'une heure, tous les chiens disponibles à la SPCA ont été donnés en adoption. SPCA en bref... La SPCA existe depuis 1869. Chaque année, elle recueille environ 25 000 animaux abandonnés, perdus ou errants. La majorité sont des chats et des chiens, dont 25 % sont des animaux de race. La SPCA reçoit aussi des oiseaux, des lapins et d'autres rongeurs. Trouvé ici: http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/12/20061228-061000.html
  21. Le Canada va interdire et contrôler les produits chimiques toxiques 2006-12-09 OTTAWA, 8 décembre (XINHUA) -- Le gouvernement du Canada cherche à interdire et contrôler les produits chimiques toxiques dans un programme de quatre ans afin de dépolluer l'environnement, a déclaré le Premier ministre Stephen Harper vendredi. Le gouvernement établira un fonds public de 300 millions de dollars canadiens (270 millions de dollars américains) afin d'éliminer l'utilisation de nombreux produits chimiques particulièrement toxiques ainsi que sévèrement en contrôler d'autres, a-t-il indiqué. Selon la ministre de l'Environnement, Rona Ambrose, la liste d'interdiction comporte 200 produits chimiques déjà vérifiés comme mauvais pour les animaux et supposés potentiellement dangereux pour les êtres humains. Une nouvelle liste de produits chimiques suspects sera publiée chaque deux ou trois mois, par groupe de 15 à 30. La société et les parties concernées se verront demander de fournir des informations au gouvernement sur ces produits, a annoncé Mme Ambrose. "Si nous ne sommes pas satisfaits, il sera exigé de la compagnie de prendre des actions", selon la ministre, "dans certains cas, nous demanderons à l'usine de produire du matériel alternatif." Depuis 1994, aucun nouveau produit chimique n'a été fabriqué au Canada ou importé sur ce territoire sans subir au préalable une évaluation scientifique sur d'éventuels risques. = probablement expérimentation animale http://www.french.xinhuanet.com/french/200...tent_358552.htm
  22. Caro18

    Appuyez le projet de loi C-373

    L’Honorable Vic Toews Ministre de la Justice Chambre des Communes Ottawa, ON K1A 0A6 Toews.V@parl.gc.ca Écrivez aussi à votre député pour lui laisser savoir que le projet de loi S-213 ne suffit pas. Pour trouver votre député http://webinfo.parl.gc.ca/MembersOfParliament/MainMPsCompleteList.aspx?TimePeriod=Current&Language=F Exemple de lettre Cher député, Je vous écris afin de vous encourager fortement à ne pas soutenir le projet de loi S-213 présenté par le Sénateur Bryden et visant à modifier les articles du Code criminel sur la cruauté envers les animaux. Le 29 août dernier, le Ministre de la Justice indiquait qu’il soutenait ce projet de loi qui est fort inadéquat. En tant qu’électeur et animaliste, je vous demande de vous opposer à ce projet de loi. Le projet de loi S-213 ne changerait strictement rien aux infractions de cruauté envers les animaux telles qu’elles avaient été définies il y a plus de 100 ans! Il ne vise que l’accroissement des peines maximales pour infraction. Il va s’en dire que des peines accrues sont vraiment nécessaires mais les défauts flagrants de ce projet de loi doivent également être abordés. Par exemple, le projet de loi S-213 n’offre aucune protection pour les animaux errants et les espèces sauvages. Il n’interdit pas les actes de cruauté haineuse. Un crime horrible tel que le dépouillement d’un chat errant à Toronto il y a quelques années demeurerait impuni. De plus, le projet de loi S-213 ne changerait rien au fait que la cruauté envers les animaux ferait encore partie des crimes contre les biens. La notion de « négligence volontaire » demeure une échappatoire au sein du projet de loi S-213. Il demeurerait encore pratiquement impossible d’accuser une personne de faute lourde même si cette dernière laissait crever de faim des douzaines d’animaux puisqu’il faudrait prouver qu’elle agissait ainsi afin de les tuer. Vous vous rappellerez peut-être qu’un projet de loi a été soumis au Parlement à plusieurs reprises au cours des sept dernières années. Connu plus récemment sous le nom de projet de loi C-50, il éliminerait les échappatoires et les énoncés archaïques tout en accroissant les peines maximales. Le projet de loi C-10B, une des versions précédentes du projet de loi C-50, a failli être adopté en 2003 et était soutenu par la grande majorité des Canadiens, la plupart des groupes de l’industrie animale, les groupes animalistes ainsi que tous les partis de la Chambre des Communes. Il a toutefois été freiné par le Sénat et a été abandonné lorsque des élections ont été déclenchées. Le projet de loi S-213 n’est pas mieux que rien. Après 114 ans, nous devons adopter des lois efficaces qui abordent la cruauté envers les animaux, une forme de violence haineuse qui empoisonne notre société et qui souvent mène à la violence familiale. Je vous remercie de votre considération et vous offre mes salutations les meilleures.
  23. Affrontement à Ottawa Une séance du comité permanent des pêches à Ottawa, mardi, a donné lieu à un affrontement en règle entre des députés fédéraux en faveur de la chasse au phoque et des défenseurs de droits des animaux. Le Fonds international pour la protection des animaux et la Humane Society des États-Unis ont répété que cette chasse est inhumaine, soulevant la colère des députés. Les arguments des animalistes sont en général bien connus. Ils soutiennent que cette chasse est cruelle et peu rentable. Devant le comité permanent des pêches, la représentante de la Humane Society, Rebecca Aldworth, a accusé les députés des régions du golfe du Saint-Laurent de trembler devant leurs électeurs en faveur de cette chasse. Après avoir répété que plusieurs phoques sont laissés agonisants sur la banquise et que les chasseurs continuent d'abattre de très jeunes phoques, Rebbacca Aldworth a dû essuyer les critiques acerbes du député bloquiste Raynald Blais, qui représente les Îles-de-la-Madeleine. « Vous êtes des menteurs et je répète, vous êtes tout simplement des menteurs », a lancé le député Blais. Raynald Blais s'en est pris au vocabulaire employé par les groupes de pression, qui parlent d'un massacre pour décrire la chasse d'une espèce non menacée. Le conseiller scientifique du Fonds international pour la protection des animaux, David Lavigne, a pour sa part répondu que la population de phoques subit un déclin constant ces dernières années. Depuis juin dernier, un groupe de députés fédéraux se penche sur la pratique de la chasse au phoque au Canada. Mardi, c'était au tour des défenseurs des droits des animaux de présenter leur point de vue aux députés, après les chasseurs, des chercheurs indépendants et des politiciens européens. Trouvé sur: http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2006/12/12/007-chasse-phoque.asp
  24. Caro18

    Appuyez le projet de loi C-373

    On va se faire passer un sapin, si on se mobilise pas contre le projet de loi S-213 FSCAA et IFAW/ Un sondage démontre que le projet de loi du Sénat sur la cruauté envers les animaux n'offre pas le niveau de protection auquel les Canadiens s'attendent Le projet de loi S-213 du Sénat sur la cruauté envers les animaux est un "leurre" OTTAWA, ONTARIO--(CCNMatthews - 12 déc. 2006) - La Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (FSCAA) et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) ont aujourd'hui partagé les résultats d'un sondage d'opinion publique qui indique que plus de 85 p. cent des Canadiens soutiennent une loi qui facilite le travail des organismes chargés de l'application de la loi dans la poursuite des personnes coupables de cruauté envers les animaux. Ce soutien est tout aussi élevé parmi les milieux ruraux qu'urbains, dans les provinces de l'Ouest que dans le Canada en général. Toutefois, il est évident que le Sénat ne voit pas la cruauté envers les animaux du même oil que la majorité des Canadiens. Jeudi dernier, les Sénateurs ont voté en faveur d'un projet de loi émanant d'un Sénateur qui ne fait que rendre plus sévères les sanctions de la loi actuelle qui fut adoptée dans l'ère de la Reine Victoria et ne facilite en rien la poursuite des personnes coupables d'actes de cruauté. Il est presqu'impossible de compléter des poursuites au Criminel sous la loi actuelle, qui contient des concepts et un langague archaïques. En fait, seul 1/4 de 1 p. cent des plaintes mène à une condamnation). Le projet de loi S-213 ne règlerait pas ces lacunes. "Rendre plus sévères les sanctions de cette loi difficile à réaliser serait l'équivalent d'une réparation des freins sur une voiture dont le moteur ne fonctionne pas," explique Kim Elmslie, de IFAW Canada. "Sous cette loi, il continuera d'être difficile de punir ceux qui commettent des actes de cruauté envers les animaux." Le sondage mené par SES Research démontre également que plus du trois-quarts des Canadiens appuient un changement qui ferait en sorte que les crimes de cruauté envers les animaux ne seraient plus considérés comme de simples crimes contre la propriété. Les gens habitant les milieux ruraux, les personnes qui s'adonnent à la pêche ou à la chasse régulièrement ainsi que les personnes votant traditionnellement pour les Conservateurs sont plus à même de soutenir ces changements que la moyenne canadienne. "Les animaux ne sont pas de simples propriétés et la loi doit refléter ce fait," note Steve Carroll, Chef de la direction de la FSCAA. "Le projet de loi du Sénat n'est qu'un leurre. En surface, on dirait une vraie loi, mais il ne s'agit que d'un nouvel effort visant à distraire le Parlement et à l'empêcher de considérer des amendements au Code criminel efficaces." Ce sondage a été mené auprès de 1 002 Canadiens, du 5 au 9 novembre 2006. La marge d'erreur est de plus ou moins 3,1 p. cent, 19 fois sur 20. Tant la FSCAA que l'IFAW encouragent le Parlement à écouter les concitoyens et à rejeter le projet de loi S-213 du Sénat, tout en consolidant le succès du processus législatif bâti sur sept années de consultation, de consensus général et d'une vraie pensée progressive. Le Premier Ministre Harper, qui avoue aimer les animaux, doit introduire un projet de loi qui les protègera réellement de la cruauté. Au sujet de la FSCAA et d'IFAW La FSCAA et l' IFAW sont deux organismes sans but lucratif qui voient à améliorer le bien-être des animaux en promouvant des opinions axées sur la recherche qui reflètent les convictions de la majorité des Canadiens. Ces deux organismes travaillent de concert avec les industries et les gouvernements pour influencer de façon constructive les politiques et les pratiques normales. Collectivement, elles représentent plus de 450 000 donateurs et partisans canadiens de toutes les régions du pays. POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC: La Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux Tanya O'Callaghan Coordonnatrice des communications 613-224-8072 p. 12 tanyao@cfhs.ca ou Le Fonds international pour la protection des animaux Marie-France Lettre Communications 613-241-3982 p. 225 mlettre@ifaw.org
  25. Le Bloc veut une zone cédée pour les pêcheurs madelinots Presse Canadienne Le député bloquiste de la Gaspésie et des Iles, Raynald Blais, réitère sa demande pour que soit restituée aux pêcheurs de homard madelinots la portion de zone 22 cédée à l'Île-du-Prince-Édouard. M. Blais qualifie de «scandaleuse» cette décision unilatérale du ministre fédéral des Pêches et des Océans, prise, dit-il, sans processus de médiation. Le ministre Loyola Hearn a tranché le litige qui opposait les pêcheurs des deux provinces depuis quatre ans en suivant la recommandation d'un émissaire nommé au dossier l'an dernier. Le ministre Hearn n'en est pas à sa première décision qui nuit à l'industrie québécoise de la pêche, soutient Raynald Blais. Le député estime que les dossiers de la crevette et du phoque sont autant d'autres précédents qui témoignent d'une gestion politique du secteur. À défaut d'obtenir un renversement de décision sur la zone 22, Raynald Blais prévoit faire du dossier un enjeu aux prochaines élections fédérales. Un recours judiciaire pourrait aussi être envisagé, dit-il, en concertation avec l'Association des pêcheurs propriétaires des Îles. http://www.cyberpresse.ca
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