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Caro18

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  1. Caro18

    Chasse au phoque / VOTRE AVIS S.V.P.

    Take action now The Department of Fisheries and Oceans (DFO) is trying to restrict the monitoring of Canada’s commercial seal hunt by increasing the distance hunt observers must remain from sealers from 10 to 20 metres. IFAW monitors risk their lives each year by taking to the ice to film the hunt, documenting the cruelty and alleged violations of Marine Mammal Regulations and sharing the truth about the seal hunt with the rest of the world. If implemented, this increase will make documenting the seal hunt difficult and often impossible. Please email the DFO today and tell them NOT to increase the minimum distance to observe sealers. http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17782&aid=8080&tr=y&auid=2361479
  2. La campagne nationale "Montrez du coeur" de Global Pet Foods appuie la SPA de Moncton Mise à jour le jeudi 08 février 2007 Par: Services des communications de l'Université de Moncton Les magasins Global Pet Food Stores Inc. (une corporation qui comprend Global Pet Foods, Ryan’s Quality Pet Foods et les concepts de vente au détail GLOBAL - Pitou Minou) sont heureux d’annoncer un partenariat promotionnel avec la compagnie Royal Canin Canada (une compagnie de nutrition santé pour chats et chiens) et la SPA de l’Ontario (de même que d’autres organismes et refuges pour animaux locaux dans d’autres provinces dont la SPA de Moncton). Le partenariat a pour objectif d’augmenter les fonds déjà recueillis par Global et Royal Canin pour les animaux en détresse d’un bout à l’autre du pays. À l’occasion de la Saint-Valentin, le programme « Montrez du coeur » aura lieu pendant tout le mois de février avec plusieurs projets mensuels pour les consommateurs tels que la chance de gagner de la nourriture pour animaux de compagnie de marque Royal Canin pour une période d’un an, des iPods et bien d’autres. En outre, les compagnies participantes égaliseront chaque dollar en don versé le samedi 10 février et le samedi 17 février. Tout l’argent amassé sera remis à la SPA de l’Ontario et à d’autres organismes similaires au Québec, aux Maritimes et en Alberta, ce qui comprend la SPA de Moncton. « Nous sommes très enthousiasmés par ce projet qui marque l’inauguration d’un programme signature annuel. Nous souhaitons qu’il léguera un important héritage aux animaux de compagnie du pays au nom des partenaires », a affirmé Jim Walker, président des magasins Global Pet Food Stores Inc. « Avec l’aide de nos proches partenaires promotionnels Quiller and Blake Advertising et F.E.M. et avec le soutien de notre important réseau d’associés de franchises à travers le pays, nous attendons avec impatience le début d’un programme qui a le potentiel d’avoir autant d’impact auprès des animaux abusés et abandonnés que le programme des Camps pour les enfants de Tim Hortons a eu auprès des enfants défavorisés au Canada! » « La SPA de Moncton est très heureuse de participer à cette campagne », a déclaré Lee McKeigan-Dempsey, présidente du conseil d’administration de la SPA de Moncton. « Nous sommes le plus grand refuge pour animaux à l’est de Montréal et le financement est très important pour nous. Au nom de tous les animaux dans notre refuge, nous voulons remercier Global Pet Foods, Royal Canin et tous les autres partenaires pour leur grande générosité. » Le magasin Global Pet Foods de Moncton est situé au 1126, chemin Mountain. Pour plus de renseignements, veuillez contacter le siège social des magasins Global Pet Food Stores au (905) 790-9023. http://www.capacadie.com/communiques/2007/2/13/La_campagne_888.cfm
  3. L’année 2007 commence bien pour la protection des oiseaux protégés par la CITES. Le Réseau pour la Survie des Espèces (SSN) a commencé l’année 2007 en saluant la décision historique prise par l’Union Européenne visant à interdire de façon permanente l’importation des oiseaux capturés dans la nature. Cette décision qui sera applicable le premier juillet 2007 a été adoptée par le Comité Permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale (CPCASA) « Le CPCASA a reconnu avec sagesse que le commerce international des oiseaux constitue un environnement idéal pour la diffusion des maladies infectieuses causées par le stress et le confinement d’un grand nombre d’oiseaux dans des espaces restreints avant ou pendant leur transport » déclare Monsieur Will Travers, président du SSN. « Cette interdiction va bénéficier à la fois à la santé humaine et à la conservation des espèces d’oiseaux exotiques à travers le monde. » Avant 2005, l’Union Européenne était l’exportateur d’oiseaux sauvages le plus important au monde exportant près d’un million d’espèces inscrites à la Convention sur le Commerce International des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), soit 87% du commerce global. En novembre 2005, l’Union Européenne a adopté un moratoire temporaire sur les importations en réponse à la détection de la souche H5N1 de la grippe aviaire, une souche hautement pathogène détectée dans un établissement de mise en quarantaine fonctionnant sous la direction d’un négociant d’oiseaux britannique. « En plus de la menace liée à la transmission des maladies » déclare Monsieur Travers, « le commerce international des oiseaux sauvages expose un nombre infini d’oiseaux au risque de déclins de populations très considérables. Nous ne devons pas rester inactifs alors que des espèces aviaires magnifiques souffrent gravement ». Près de 57% des perroquets menacés dans le monde et près d’un oiseau menacé à l’échelle globale sur dix sont négativement affectés par le commerce. L’interdiction des importations adoptée par l’Union Européenne vient renforcer les réglementations sur le commerce déjà en place sous l’égide de la CITES qui ne s’applique malheureusement qu’à une fraction des espèces d’oiseaux commercialisées (la CITES ne s’applique par exemple toujours pas aux migrateurs néo-tropicaux même si l’on estime que ces oiseaux font l’objet d’un commerce considérable). Poursuivre la lecture: http://www.mediaterre.org/international/actu,20070214111412.html
  4. La propagation de la grippe aviaire imputée au commerce, selon l’ONU Jusqu'à présent, officiellement, les oiseaux migrateurs étaient la cause de la dissémination du virus H5N1, même si la contamination d'élevages industriels, où les animaux 'vivaient' confinés sans contact avec l’extérieur, restait sans réponse. Aujourd’hui, les choses évoluent, avec la reconnaissance par l’ONU que la propagation de la grippe aviaire n’a plus rien à voir avec les oiseaux sauvages migrateurs. En effet, selon David Nabarro, le coordinateur du système de l’ONU pour la grippe aviaire et humaine, l’épidémie se propage actuellement à travers le commerce de la volaille, tandis que les autres méthodes de transmission connues du virus sont la contamination de l’eau et des sols, ainsi que la manipulation de volailles infectées. Il est vrai que le discours passé, qui niait les causes directement imputables au marché mondial de la volaille, devient de plus en plus difficile à tenir quand, dans le même temps, le nombre d’oiseaux sauvages retrouvé contaminé est en chute alors que les contaminations d’élevages perdurent, pour ne pas dire plus… Outre ce constat, D. Nabarro note que l’épidémie a toujours la potentialité de muter en une pandémie humaine, et qu’à ce titre la vigilance reste de mise, tandis que des efforts sont encore à faire pour se préparer à cette possibilité. Pascal Farcy Source Univers Nature http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=2530
  5. La chanteuse britannique Jamelia, 26 ans, révélée internationalement par ses hits Superstar et Thank You, a prêté ses formes pour la nouvelle campagne de l'association PETA, qui milite contre les vêtements de fourrure animale. "Sentez-vous bien dans votre PROPRE peau, et laissez les animaux garder la leur", dit le slogan de la nouvelle affiche, prévue pour attirer de nombreux regards pendant la semaine de la mode londonienne. "La raison pour laquelle j’ai décidé de me dévoiler totalement pour PETA est que j’ai été sensibilisée à la façon inhumaine dont les animaux utilisés pour la fourrure sont traités et parce que je trouve cela répugnant", a déclaré Jamelia. "Je pense que, si l’on a un cœur, on ne devrait pas porter de fourrure", a-t-elle clamé. L'organisation PETA a déjà profité par le passé de la crédibilité de personnalités célèbres pour faire entendre son message. Côté dénudé, la chanteuse Eve Angeli ou les actrices Kim Basinger et Pamela Anderson font partie des stars à avoir déjà accepté de se dévoiler pour la bonne cause. Trouvé ici: http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr/det/art_378732.html?wt.bron=homeArt7
  6. Caro18

    Émoi pour une bête martyrisée

    J'avais consommé des peanuts Claude Savary Le Nouvelliste Trois-Rivières Armand Grenier, un homme de 54 ans qui avait battu sauvagement un chien le 28 novembre dernier et qui l'avait abandonné en l'accrochant à une clôture alors que l'animal était sérieusement blessé, s'en sort finalement avec un sursis de sentence assorti d'une assignation à résidence. Le juge Guy Lambert a pris en compte la situation personnelle de l'accusé, il est invalide et il est pratiquement sans le sou, pour surseoir au prononcé de sa sentence. Il a plutôt choisi de décréter un couvre-feu de 18 h à 6 h du matin pour le premier mois, et de 21 h à 6 h du matin pour les deux mois suivants. Il ne pourra par ailleurs fréquenter les bars pendant un an. Aucune interdiction de posséder un animal n'a toutefois été prononcée. Une correction Selon la version fournie par l'accusé, il avait acquis le pitt-bull mastiff trois mois auparavant. Il n'était rien arrivé de fâcheux avant le 28 novembre. Ce jour-là, l'animal s'en est pris à un plus petit chien de la maisonnée et l'a tué. "Comme il y avait un petit enfant dans la maison, j'ai sorti le chien dehors pour le calmer et pour lui donner une correction", a confié le quinquagénaire en soulignant qu'il avait téléphoné à la SPAM où on lui aurait répondu qu'on ne pourrait s'occuper du chien que le lendemain. En fait, au moment des événements, l'accusé n'avait pas toute sa tête. "J'avais consommé des peanuts", a-t-il dit dans son langage imagé. Il avait pris quelques comprimés d'ectasy et un peu de pot de son propre aveu. Au juge, hier, Grenier a raconté qu'il avait asséné deux coups de poing à son chien sans plus. Le juge Lambert a réagi en demandant à l'accusé de dire la vérité puisque la police avait découvert un marteau maculé de sang. Du bout des lèvres, l'accusé a dit qu'il avait effectivement utilisé un marteau pour corriger son animal et s'en débarrasser. Lorsque des policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières se sont présentés près de l'école Saint-Paul, ils y ont vu une scène difficile à supporter. Le chien portait de multiples blessures et plusieurs plaies suintaient le sang. L'animal était attaché à une clôture de l'école de manière tellement serrée qu'il avait peine à bouger. Il fut aussitôt confié aux bons soins de la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM). Un examen a permis de constater que l'animal avait été frappé au niveau du front et d'un oeil de même qu'au scrotum. Heureusement, aucune blessure interne n'a été décelée. Le directeur général de la SPAM, M. Serge Marquis, n'a pu être joint hier mais il y a quelques semaines il déclarait que l'animal s'est remis physiquement de ses blessures. Mais il a précisé qu'il ne sera probablement jamais confié à une famille avec des enfants. Le chien n'est pas agressif mais seuls des gens ayant déjà pris soin d'animaux battus ont la capacité de s'en occuper, avait indiqué M. Marquis. L'examen clinique avait d'ailleurs révélé qu'avant d'appartenir à Armand Grenier, l'animal avait probablement été battu par d'autres propriétaires. "Ça ne se fait pas" Au moment de rendre sentence et après avoir entendu la procureure de la Couronne, Me Joanne Tourville, expliquer ce qui s'était passé, le juge Lambert a dit que des choses comme celles-là ne se faisaient pas. Le magistrat aurait souhaité imposer des travaux communautaires mais l'invalidité de l'accusé l'a fait changer d'idée. Le procureur d'Armand Grenier, Me Yvan Braun, avait pour sa part proposé que son client remette mensuellement une somme d'argent pour payer en partie les soins prodigués au chien mais le juge a conclu que l'accusé n'avait pas la capacité de payer. Être responsable Mme Stéphanie Corbeil, une femme qui a été fortement touchée par le sort fait au chien et qui a fourni personnellement quelques centaines de dollars en plus d'organiser une collecte de fonds pour défrayer les soins médicaux, a dit souhaiter que les gens prennent leurs responsabilités lorsqu'elles ont la charge d'un animal. "Il ne s'agit pas de bannir les pitt-bulls mais de rendre plus responsables leurs maîtres", a-t-elle précisé à la sortie de la salle d'audience. Quant à Armand Grenier, il se disait content de ne pas avoir d'amende à payer. Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070214/CPNOUVELLISTE/702140883/5663/CPACTUEL03
  7. Caro18

    Émoi pour une bête martyrisée

    Condamné pour avoir frappé son chien avec un marteau 1 an de probation, mais aucune interdiction de posséder à nouveau un animal Pas de prison et aucune amende à payer. Mise à jour le mardi 13 février 2007, 16 h 54 . Palais de justice de Trois-Rivières (archives) À Trois-Rivières, Armand Grenier a condamné à un an de probation pour avoir blessé son chien à la tête et l'avoir fait souffrir inutilement. Il devra respecter un couvre-feu pendant trois mois. Cette affaire avait soulevé une vague de compassion et d'indignation. Le 29 novembre dernier, Grenier aurait donné sept coups de marteau à l'animal de trois ans avant de l'abandonner dans la cour de l'école Saint-Paul, à Trois-Rivières. Deux mois plus tard, le suspect a été identifié par les policiers de Trois-Rivières qui ont lancé un mandat d'arrestation contre le Trifluvien. Grenier s'était alors rendu aux policiers. Des dons ont permis d'amasser quelque 1 700 $ pour la SPA Mauricie puisse soigner le chien qui se porte mieux maintenant. Il devrait être adopté prochainement.
  8. Pensionnaires à poil au 24, Sussex Louise Leduc La Presse Que fait ce petit chat sur le site Internet officiel du premier ministre du Canada et pourquoi y est-il plus en évidence que le message d'appui aux troupes canadiennes en Afghanistan? C'est que le 24, Sussex sert de foyer d'accueil à quantité de petits félins et que Stephen Harper a choisi de faire connaître son appui à une cause qui lui est particulièrement chère. Le programme de préadoption de la SPCA trouve ainsi sur le site du premier ministre une vitrine de choix : le programme est expliqué, et les numéros de téléphone des SPCA de toutes les provinces sont affichés. Le premier ministre entend-il épouser d'autres causes ? Dans quelles limites peut-il servir de porte-étendard ? Peut-on l'imaginer épouser la cause de refuges pour femmes battues, d'enfants malades, ou encore, s'il préfère rester dans le règne animal, promouvoir la survie de l'ours polaire que l'on dit menacé d'extinction ? Au bureau du premier ministre, toute question sur le sujet est redirigée à la SPCA d'Ottawa. La porte-parole de la SPCA, Tara Jackson, explique que Stephen Harper et sa femme ont hébergé jusqu'ici une vingtaine de chats, en plus de leurs deux félins en résidence. Parfois, ce sont des portées entières à sevrer, parfois, des petits minous malades à remettre sur pattes. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070213/CPACTUEL/702130641/5156/CPARTS
  9. Animaux maltraités Les policiers et les agents de la S.P.C.A. ont découvert l’horreur hier à Notre-Dame-des-Prairies quand ils ont secouru une vingtaine de chevaux et chiens pratiquement laissés à l’abandon. Video TQS http://www.tqs.ca/videos/infos/2007/02/animaux-maltraites-6519.php 35 chiens abandonnés Un chenil a été démantelé à Saint-Mathieu sur la Rive-Sud de Montréal. 35 bêtes grelottantes, assoiffées et affamées ont été récupérées par la S.P.C.A. Video TQS http://www.tqs.ca/videos/infos/2007/01/35-chiens-abandonnes-5970.php Animal abuse database (United States Canada United Kingdom New Zealand Australia Spain ) http://www.pet-abuse.com/pages/cruelty_database.php
  10. Ottawa et les Inuits créent le premier sanctuaire de baleines Bob Weber Presse Canadienne Edmonton Le gouvernement fédéral et les Inuits du Nunavut se sont entendus pour créer le premier sanctuaire pour baleines boréales, après plus de 25 ans de négociations et de délais. «Ces zones de protection de la faune signifient qu'on y retrouvera de la faune pour toujours, et nous en sommes heureux», a dit le porte-parole inuit, James Eetoolook. L'accord de principe, qui définit le financement et les responsabilités de gestion pour 12 autres sanctuaires dans l'est de l'Arctique, devra maintenant être ratifié par le Parlement et par les groupes inuits. Le Conseil du trésor devra aussi approuver les engagements financiers. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070209/CPACTUALITES/70209266/1019/CPACTUALITES
  11. De la viande en éprouvette Mathieu Perreault La Presse Il faudra au moins une dizaine d'années avant que la viande produite en éprouvette n'arrive dans le comptoir de nos bouchers. Il est rare que des producteurs de viande et des défenseurs des droits des animaux soient du même côté de la clôture. Et pourtant, Jason Matheny reçoit régulièrement des appuis de la part de groupes comme People for the Ethical Treatment of Animals, qui considère que manger un hamburger est de la « McCruauté», ou In Defense of Animals, notamment responsable de l'interdiction du foie gras dans les restaurants de Chicago. Jason Matheny, économiste à l'Université John Hopkins à Baltimore, est l'un des fondateurs de «New Harvest», un groupe qui veut produire de la viande en éprouvette. Deux technologies ont été mises au point entre 2002 et 2005 par la NASÀ et un groupe de recherche dont fait partie M. Matheny. Des biologistes hollandais y travaillent également depuis l'an dernier. Deux avenues sont possibles. « On peut prélever un morceau de muscle sur un animal et le faire grossir en laboratoire, explique M. Matheny en entrevue téléphonique. C'est la voie choisie par les chercheurs du collège Touro, à New York, qui travaillent avec la NASA. Ou on peut prendre des cellules souches, les transformer en cellules de muscle et les faire se multiplier. Cette approche est plus efficace jusqu'à maintenant.» Ces recherches sont issues de technologies biomédicales permettant par exemple de cultiver des greffons de peau. Le problème, c'est que les prix ne sont pas les mêmes dans les hôpitaux et chez le boucher. «Pour le moment, il en coûte environ 10 000 $ pour fabriquer une livre de viande en éprouvette, précise M. Matheny. Ce n'est pas un problème pour les greffes de peau. Mais personne ne va payer cette somme pour un hamburger, même s'il s'agit d'une personne qui se sent coupable de la souffrance des animaux d'élevage.» Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070211/CPACTUEL01/702110585/5159/CPACTUEL
  12. Le 9 février 2007 - 20:27 Deux frères sont emprisonnés pour avoir placé un chiot vivant dans un four Presse Canadienne Deux adolescents ont été condamnés à 10 ans de prison chacun pour avoir torturé un chiot en le faisant cuire, vivant, dans un four. Joshua Moulder, 17 ans, et son frère Justin, 19 ans, avaient reconnu leur culpabilité en janvier à plusieurs chefs d'accusation, dont vol avec effraction, dommages criminels à la propriété, menaces terroristes et cruauté envers des enfants. Les frères avaient invité les enfants du voisinage à voir le chiot mort, et avaient ensuite menacé de les tuer s'ils en parlaient, a affirmé la Couronne. Les policiers ont révélé avoir trouvé le chiot de trois mois mort, le 21 août, dans le four d'un centre communautaire. Des égratignures trouvées à l'intérieur du four démontraient, selon la Couronne, que le chiot était vivant quand il y a été placé. Une autopsie effectuée sur l'animal a déterminé que son museau et ses pattes avaient été enroulés de ruban et qu'il avait été enduit de peinture avant d'être placé dans le four, toujours selon la Couronne. Les autorités ont aussi découvert des ordinateurs endommagés, de la vitre brisée et des éclaboussures de peinture sur les murs du centre communautaire, qui venait à peine d'être rénové. Le premier procès des deux frères avait avorté en décembre. Leur avocat, Timothy Owens, a déclaré qu'il aurait aimé voir leur sentence être axée davantage sur la réhabilitation que sur l'incarcération. Trouvé ici: http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20070209202705
  13. Grande-Bretagne: elle transforme ses animaux décédés...en bague LONDRES - Une Britannique s'est offert une bague de diamants fabriquée à partir des cendres de ses animaux domestiques préférés, aujourd'hui décédés. Le bijou a été fait avec les cendres de Lucky, un berger anglais, de Sam, un golden retriever, et du chat Patch. Sue Rogers a payé 3200 livres (7800 francs) pour cette bague. Des scientifiques américains ont prélevé de faibles quantités de carbone dans les cendres de chaque animal, les ont chauffées à 3000°, et y ont ajouté des produits chimiques pour en faire des diamants bruts. Trouvé ici: http://www.romandie.com/infos/ats/display2.asp?page=20070210135618671721948107000.XML&associate=PHF1125
  14. Ontario : subvention pour favoriser le bien-être des animaux d'élevage Toronto (Ontario), 6 février 2007 - Le gouvernement McGuinty continue de bâtir des collectivités encore plus saines en encourageant le bon traitement des animaux d'élevage, a annoncé la ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales, Mme Leona Dombrowsky. « Les agriculteurs ontariens se soucient profondément du bien-être des animaux d'élevage et de l'environnement, a déclaré la ministre Dombrowsky. Grâce à l'appui financier qu'il donne à l'Ontario Farm Animal Council, le gouvernement McGuinty aide à sensibiliser et à informer le secteur agroalimentaire au sujet des méthodes actuelles en agriculture et en production alimentaire. » Le gouvernement a garanti des fonds de 150 000 $, étalés sur trois ans, pour soutenir l'Ontario Farm Animal Council (OFAC). La subvention de cette année représente 50 000 $. C'est le deuxième versement aux termes d'un protocole d'accord convenu entre l'OFAC et le gouvernement provincial. L'OFAC est un organisme sans but lucratif enregistré, qui a pour mission d'informer. Il représente 35 000 éleveurs de bétail et de volailles, ainsi que de nombreux groupes et entreprises agricoles qui sont associés à élevage et à la production alimentaire. Son personnel et son conseil d'administration travaillent en étroite collaboration avec les membres de l'OFAC pour favoriser le bien-être des animaux grâce à des méthodes concrètes. « Le gouvernement provincial est d'une aide précieuse dans ce que nous faisons pour améliorer le bien-être des animaux d'élevage en Ontario, a dit M. John Maaskant, président de l'OFAC et producteur de poulets. Les subventions et le soutien que nous recevons nous aident à fournir des programmes et ressources aux personnes qui travaillent chaque jour avec des animaux, dont les agriculteurs, les transporteurs et les jeunes. » Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Ministère de l'agriculture, de l'alimentation et des affaires rurales de l'Ontario http://www.omafra.gov.on.ca/french/index.html Trouvé ici: http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070210_205331_5524
  15. Cela est inacceptable qu'un journaliste "commentateur" banalise et minimise ainsi la cruauté et la violence envers les animaux. J'ai envoyé un commentaire à TQS tvpublic@tqs.ca service à l'auditoire concernant les propos de M. Mongrain.
  16. LE 8 FÉVRIER 2007 Le ministre Hearn plaide en faveur d'une approche responsable en ce qui concerne la chasse au phoque OTTAWA, ONTARIO--(CCNMatthews - 8 fév. 2007) - Je suis déçu de la déclaration faite aujourd'hui au Parlement du Royaume-Uni, qui renforce l'information erronée qui circule sur la chasse au phoque du Canada. Les membres du Parlement du Royaume-Uni ont reçu beaucoup d'information des représentants canadiens, notamment des rapports produits par des vétérinaires indépendants internationaux, qui démontre que la chasse se déroule sans cruauté. Il importe de souligner à la population canadienne que la déclaration d'aujourd'hui n'entraîne en rien une interdiction sur les importations des produits de la chasse au phoque, ni au Royaume-Uni, ni dans l'Union européenne. La Commission européenne a déjà signalé qu'elle n'avait pas l'intention d'appliquer une telle interdiction. Elle a déclaré publiquement qu'elle n'avait rien à redire sur la question de la conservation. Toutefois, la Commission nous a affirmé qu'elle entreprendra une évaluation approfondie des rapports conflictuels sur la cruauté de la chasse pour parvenir à une meilleure compréhension de la question. Je suis satisfait de l'approche constructive et responsable adoptée par la Commission, et l'ambassadeur Loyola Sullivan et moi-même nous réjouissons à l'idée de travailler en collaboration avec les membres pour répondre à toutes leurs questions. Je suis convaincu qu'un examen impartial et scientifique des pratiques de la chasse confirmera ce que nous ne cessons de répéter : que la chasse est sans cruauté. Je continuerai à travailler avec mes collègues fédéraux et mes homologues provinciaux et territoriaux pour faire valoir la position du Canada sur la scène internationale concernant cette importante question. Loyola Hearn Ministre des Pêches et des Océans http://www.dfo-mpo.gc.ca Trouvé ici: http://www.ccnmatthews.com/news/releasesfr/show.jsp?action=showRelease&searchText=false&showText=all&actionFor=634774
  17. Pas à Granby, dit le Zoo Karine Blanchard La Voix de l'Est Granby La captivité laisset-elle des séquelles chez les éléphants? Un rapport publié mercredi par le Zoocheck Canada, un organisme de défense des animaux, l'affirme. Mais au Zoo de Granby, les dirigeants assurent que les conditions de vie des éléphantes Toutoune et Sarah sont excellentes. Ces pachydermes devraient être déplacés dans les régions plus chaudes des États-Unis, estime Winnie Kiiru, un gestionnaire du projet pour le Amboseli Human-Elephant Conflict Projet au Kenya, qui a visité sept jardins zoologiques au Québec, en Ontario et en Alberta - dont celui de Granby - en septembre. L'espace dont disposent ces gros mammifères, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, est inadéquat, ajoute-t-elle. Dans ces conditions, ces animaux deviennent stressés et s'ennuient. «Ce sont des observations et c'est très subjectif», rétorque Catherine Page, directrice des communications au Zoo de Granby. Selon elle, les gens de Zoocheck n'ont pas consulté le dossier médical des animaux et n'ont pas recueilli d'informations à leur sujet auprès du personnel en place. À lire dans La Voix de l'Est de vendredi: http://www.cyberpresse.ca/article/20070209/CPACTUALITES/702090804/5264/CPACTUALITES
  18. Les commentaires de Jean-Luc Mongrain sur ce reportage: les animaux sont mieux traités que les enfants.
  19. La captivité au Canada laisse des séquelles chez les éléphants EDMONTON (PC) - Le froid qui sévit au pays et les cages trop petites rendent les éléphants malades, selon un rapport publié mercredi par le groupe de défense des animaux Zoocheck Canada, qui a visité sept jardins zoologiques au Québec, en Ontario et en Alberta. Les dirigeants qui prennent soin de ces animaux ont toutefois rejeté les requêtes du groupe, selon lesquelles on devrait interrompre les programmes d'accouplement en captivité et déplacer les éléphants dans des sanctuaires situées dans les régions plus chaudes des Etats-Unis. Le groupe torontois Zoocheck a demandé à Winnie Kiiru, gestionnaire de projet pour le Amboseli Human-Elephant Conflict Project au Kenya, de visiter sept jardins zoologiques au Québec, en Ontario et en Alberta et d'y évaluer les conditions de vie de 35 éléphants captifs. "L'espace dont disposent les éléphants, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, est inadéquat dans tous les zoos qui ont été visités, a écrit Mme Kiiru. Même quand il y a un grand enclos extérieur, comme par exemple au Parc Safari (à Hemmingford), au Québec, les éléphants doivent passer plusieurs heures à l'intérieur à cause du froid intense qui sévit pendant une bonne partie de l'année." Poursuivre la lecture: http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-captivite_canada_laisse_sequelles-63442-2.html
  20. Le 8 février 2007 - 11:55 Londres veut interdire le phoque dans l'UE Presse Canadienne Le gouvernement britannique a annoncé jeudi qu'il inciterait les autres membres de l'Union européenne à interdire l'importation de produits dérivés du phoque en raison de la façon dont se déroule la chasse au Canada. Des centaines de milliers de phoques sont tués chaque année dans des conditions que le Canada dit "humaines" et respectueuses de l'équilibre naturel mais les organisations de défense des animaux veulent faire interdire cette chasse commerciale. Les peaux de phoque sont principalement achetées par l'industrie de la fourrure et de la mode en Europe et en Extrême-Orient. Le Canada affirme que son plus grand client pour les produits du phoque est la Norvège, qui n'appartient pas à l'UE. Dans un message écrit aux députés, le ministre britannique Ian McCartney a fait part de la préoccupation du gouvernement et a souhaité que "la Commission européenne propose des mesures à l'échelle de l'UE pour interdire l'importation de produits tirés du phoque à capuchon et du phoque du Groënland". La Commission a rejeté le 26 janvier une proposition du Parlement européen interdisant totalement l'importation de peaux de phoque, estimant que la législation de 1983, interdisant le commerce de produits de bébés phoques, était suffisante. L'exécutif a jugé "en partie contradictoires" les différents rapports concernant les méthodes de chasse critiquées et a souligné que l'animal ne figurait pas sur la liste des espèces menacées d'extinction. Le Parlement belge a adopté à l'unanimité le 25 janvier un projet de loi interdisant l'importation des produits du phoque, et d'autres pays de l'UE (l'Allemagne, l'Italie et les Pays-Bas) sont en train d'élaborer des mesures similaires Trouvé ici: http://www.matin.qc.ca/monde.php?article=20070208115547
  21. Nouveau cas de cruauté envers les animaux (INFO690) - Encore un cas de cruauté envers des animaux. En plus, c'est la troisième fois que la SPCA intervient auprès de cet individu. Ça se passe à Notre-Dame-des-Prairies, près de Joliette, au 130, 2e rang de la Chaloupe. Le directeur général de la SPCA, Pierre Barnoti, est découragé, comme on peut l'entendre dans l'extrait audio. http://www.info690.com/nouvelle-nouveau_cas_cruaute_envers-64122-27.html M. Barnoti réclame encore une fois des règles sévères pour l'élevage des animaux et dénonce les amendes ridicules imposées aux bourreaux. Dans les cas de récidives comme celui-ci, l'amende avoisine les 2000 $, dit-il. Julie Héroux / Info690
  22. Déclaration du Conseil canadien du porc sur la décision de Maple Leaf d'éliminer graduellement les cages de gestation Ottawa (Ontario), 31 janvier 2007 - L'entreprise Maple Leaf Foods a annoncé son intention d'éliminer progressivement d'ici 10 ans, les cages de gestation pour les truies et d'avoir plutôt recours aux systèmes de logement en groupe dans ses exploitations porcines. L'annonce fait suite à une déclaration semblable de Smithfield Foods aux Etats-Unis, la semaine dernière. Le Conseil canadien du porc reconnaît que les entreprises privées ont le droit de prendre des décisions commerciales qui répondent à leurs besoins. Les deux entreprises ont toutefois admis qu'il n'existe pas de preuve concluante sur la supériorité d'un système de logement par rapport à l'autre. Le bien-être animal est lié à de nombreux facteurs associés autant au logement, aux pratiques d'élevage et à l'environnement de la porcherie. Le logement des truies ne représente qu'un des nombreux volets du bien-être animal. En 2005, le CCP a mis en place un programme de Bien-être animal (BEA) en vue d'établir des normes minimales en matière de bien-être animal dans les fermes porcines canadiennes. Le BEA traite des aspects majeurs du bien-être animal, dont le logement des truies. Notre industrie reconnaît que certains consommateurs ont exprimé des réticences envers les systèmes actuels de logement des truies et le CCP maintient son engagement à encadrer l'évaluation de solutions de rechange aux systèmes de logement des porcs. Il sera important de bien comprendre les répercussions des divers systèmes de logement sur le bien-être animal et la gestion des exploitations. Les initiatives pour implanter de nouveaux systèmes devront être soutenues, mais uniquement si les nouvelles approches permettent d'améliorer réellement le bien-être des animaux. Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Aliments Maple Leaf http://www.mlfi.com/ Conseil canadien du porc (CCP) http://www.canpork.ca/ Trouvé ici: http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070206_134422_4932
  23. Phoque, le film, à la défense des chasseurs Gilles Gagné Le Soleil Collaboration spéciale Carleton Depuis quelques jours, les Madelinots défilent au cinéma pour visionner Phoque, le film, un documentaire d'une heure du cinéaste matanais Raoul Jomphe, qui est allé jusqu'à détenir un permis de chasseur de phoque et qui a infiltré un groupe animaliste afin de montrer la réalité d'une activité controversée depuis plus de 40 ans. Il s'agit d'un film d'opinion, dans lequel l'auteur tranche du côté des chasseurs. C'est surprenant, considérant qu'il est un écologiste militant, végétarien depuis l'âge de 20 ans et que ceux qui le connaissent bien l'auraient sans doute vu du côté des animalistes, s'ils avaient eu à parier. C'est vers 2000 que l'idée de faire un film sur la chasse au phoque a germé dans l'idée du Nord-Côtier d'origine, établi à Saint-Léandre, près de Matane. «Ça fait 30 ans que je viens aux Îles-de-la-Madeleine. Il y a ici les gens les plus accueillants de la terre et l'hiver, ils deviennent des barbares sanguinaires? J'avais vu Brigitte Bardot crier : «Canadiens, assassins». Ça ne collait pas. Je voulais régler un compte avec ça», raconte le cinéaste. Depuis le film de Serge Deyglun, tourné en 1964, dans lequel des Madelinots ont été payés pour tuer des phoques d'une manière cruelle, un nombre incalculable de documents écrits et audiovisuels ont été réalisés à ce sujet. Phoque, le film, est sans doute le premier à consacrer autant de temps à tous les acteurs engagés dans la chasse. «Il y a trois types d'acteurs. Il y a les chasseurs et les animalistes, mais il y a aussi la Garde côtière, à laquelle se joint souvent la GRC. Et tous ces acteurs se retrouvent à quelques mètres les uns des autres lors de la chasse, dans un fracas de bruit d'hélicoptères», précise-t-il. Il a fallu un temps considérable à Raoul Jomphe pour convaincre les chasseurs de le laisser tourner pendant l'abattage des phoques. En 2000, il essuie un refus. En 2004, il est invité par un jeune chasseur. C'est un début, mais il a besoin de plus. Il trouve son sujet, Jean-Claude Lapierre, qui chasse avec ses quatre fils. Il comprend aussi qu'il n'arrivera pas à produire le film seul. Il convainc Cécile Chevrier, une Madelinienne établie à Monction, d'embarquer avec Productions Phare-Est. L'infiltration d'un grouge animaliste a également été ardue. «J'ai fait une demande pour aller sur le bateau de Paul Watson. «Jamais.» On m'a finalement dit oui à la Human Society of United States, avec Rebecca Aldworth, née à Terre-Neuve, manifestante flamboyante, une ex-IFAW, celle qui a fait venir Paul McCartney avec 10 caméras l'an passé. J'ai fait trois sorties avec elle», évoque-t-il. Les animalistes ne se doutaient pas qu'il préparait un film montrant les deux côtés de la médaille. «J'ai un point de vue, bien sûr. Je laisse parler Rebecca. J'ai pris des bouts qui semblent incohérents. Elle travaille par intérêt, un intérêt discutable parce que c'est un trip émotif. Je ne la déteste pas. J'ai presque pitié pour elle», résume-t-il. Raoul Jomphe a penché du côté des chasseurs par équité parce qu'ils ont subi de graves préjudices, personnels et financiers, après les interventions de Deyglun et de Bardot. Il a visité un abattoir lors du tournage pour montrer que la préparation de la viande consommée dans notre société ne diffère en rien de l'abattage des phoques, si ce n'est que, dans ce dernier cas, il se fait à ciel ouvert. «Je démontre à quel point nous sommes responsables de ce que nous consommons». «Phoque, le film», sera diffusé le 15 mars à Radio-Canada Atlantique, puis à RDI à une date qui reste à déterminer. Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070206/CPSPECIAL11/702060428/1043/CPARTS01
  24. PHOQUE, LE FILM Une production qui défend les chasseurs de phoque 06-02-2007 | 11h48 Depuis quelques jours, les résidents des Îles-de-la-Madeleine défilent au cinéma pour visionner Phoque, le film, un documentaire d'une heure du cinéaste Raoul Jomphe, qui est allé jusqu'à détenir un permis de chasseur de phoque et qui a infiltré un groupe animaliste afin de montrer la réalité d'une activité controversée depuis plus de 40 ans. Il s'agit d'un film d'opinion, dans lequel l'auteur tranche du côté des chasseurs. M.Jomphe est pourtant un écologiste militant et végétarien depuis l'âge de 20 ans. C'est vers 2000 que l'idée de faire un film sur la chasse au phoque a germé dans l'idée du Nord-Côtier d'origine qui vit maintenant à Saint-Léandre, près de Matane. M.Jomphe précise qu'il a l'habitude de visiter les Îles-de-la-Madeleine depuis 30 ans et qu'il n'y a vu que les gens les plus accueillants de la terre. Il ne croyait pas que l'hiver, ils puissent devenir des barbares sanguinaires. Raoul Jomphe affirme aussi avoir voulu régler un compte, d'une certaine façon, avec Brigitte Bardot qui a dépeint les Canadiens comme étant des assassins. Entre-temps, huit journalistes européens qui se sont rendus en sol madelinot et terre-neuvien, la semaine dernière, disent avoir mieux saisir les enjeux de l'industrie de la chasse aux loups-marins. C'est du moins ce qu'ont prétendu Michael Miersch, journaliste à la pige à Munich, et Juliette Jovit, qui écrit pour The Observer, à Londres. Trouvé ici: http://www2.canoe.com/divertissement/cinema/nouvelles/2007/02/06/3540724-pc.html
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