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Voici la lettre que la FQF a fait parvenir aux médias et aux membres de la FQF Communiqué Pour diffusion immédiate Les chasseurs et les pêcheurs du Québec appuient le projet de loi S-213 sur la cruauté envers les animaux Québec, le 8 février 2007 - La Fédération québécoise de la faune (FQF), ses 200 associations membres et les 150 000 chasseurs qui les composent, appuient le projet de loi S-213 sur la cruauté envers les animaux tel que présenté par le sénateur John G. Bryden. La FQF juge que ce dernier projet de loi en liste est de loin le plus raisonnable. Il prévoit des amendes et des peines plus sévères pour ceux qui font preuve de cruauté envers les animaux, tout en protégeant de poursuites possibles les chasseurs, les pêcheurs, les producteurs d’animaux et les chercheurs qui utilisent des animaux. Ainsi, il évite de compromettre plusieurs activités importantes pour notre société. Il y a déjà plusieurs années, des défenseurs des droits des animaux réclamaient une augmentation des peines et amendes relatives aux actes de cruauté envers les animaux. Ces demandes ont conduit à l’introduction du projet de loi C-17 par un gouvernement précédent. Puis, au cours des années et des débats qui ont suivi, le projet de loi C-17 est passé par les projets de loi C-15B, C-10B, C-22 et C-50 pour finalement inclure des changements beaucoup plus larges que de simples augmentations d’amendes ou de peines, et venant même à compromettre plusieurs activités économiques qui dépendent des animaux, dont la chasse et la pêche, ainsi que l’élevage en agriculture et la recherche médicale. Devant la menace de poursuites légales pour cruauté envers les animaux advenant l’adoption de l’un ou de l’autre de ces projets, la FQF s’est donc opposée à tout changement à la loi en vigueur. Afin d’appuyer massivement le projet de loi S-213 du sénateur Bryden, la Fédération québécoise de la faune demande à tous les chasseurs et les pêcheurs du Québec, d’envoyer une lettre d’appui à leur député fédéral respectif. Un modèle de lettre, ainsi qu’un lien Internet (www.parl.gc.ca) pour obtenir la liste des députés fédéraux sont disponibles sur le site de la Fédération québécoise de la faune au www.fqf.qc.ca. - 30 - Source : Annie Guertin Responsable des relations publiques Fédération québécoise de la faune Courriel : annieguertin@fqf.qc.ca Tél. : (418) 626-6858 / sans frais : 1 888 LAFAUNE
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Voici une copie de la lettre que la Fédération québécoise de la Faune demande d'envoyer: Février 2007 (Nom de votre député) (Son adresse complète) Objet : loi sur la cruauté envers les animaux Je vous transmets cette lettre en appui à la Fédération québécoise de la faune (FQF) qui supporte au nom de ses 200 associations membres et des 150 000 chasseurs que ces dernières représentent, le projet de loi S-213 sur la cruauté envers les animaux tel que présenté par le sénateur John G. Bryden. Il y a déjà plusieurs années, des défenseurs des droits des animaux réclamaient une augmentation des peines et amendes relatives aux actes de cruauté envers les animaux. Ces demandes ont conduit à l’introduction du projet de loi C-17 par un gouvernement précédent. Puis, au cours des années et des débats qui ont suivi, le projet de loi C-17 est passé par les projets de loi C-15B, C-10B, C-22 et C-50 pour finalement inclure des changements beaucoup plus larges que de simples augmentations d’amendes ou de peines, et venant même à compromettre plusieurs activités économiques qui dépendent des animaux, dont la chasse et la pêche, ainsi que l’élevage en agriculture et la recherche médicale. Devant la menace de poursuites légales pour cruauté envers les animaux advenant l’adoption de l’un ou de l’autre de ces projets, la FQF s’est donc opposée à tout changement à la loi en vigueur. La FQF juge cependant que le dernier projet de loi en liste concernant ce dossier, le projet S-213 déposé par le sénateur John G. Bryden, est de loin le plus raisonnable. Bien que ce projet prévoit des amendes et des peines plus sévères pour ceux qui font preuve de cruauté envers les animaux, il protège de toutes poursuites les chasseurs, les pêcheurs, les producteurs d’animaux et les chercheurs qui utilisent des animaux. Ainsi, il évite de compromettre plusieurs activités économiques importantes pour notre société. Donc, en mon nom personnel, et en soutient à la FQF, je vous demande, M. le député, d’appuyer le projet de loi S-213 tel que présenté par le sénateur John G. Bryden et de soutenir ainsi tous les secteurs économiques qui dépendent de l’utilisation d’animaux. Veuillez accepter l’expression de nos salutations distinguées. (Votre nom) (Vos coordonnées) c.c. M. Stephen Harper, premier ministre M. Rob Nicholson, ministre de la justice M. Gilles Duceppe, chef du Bloc québécois M. Jack Layton, chef du NPD M. Stéphane Dion, chef du Parti libéral M. John G. Bryden, sénateur
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Article mis en ligne le 22 février 2007 -------------------------------------------------------------------------------- Appui de taille pour le projet de loi sur la cruauté envers les animaux La Fédération québécoise de la faune et sa section du Centre-du-Québec appuient le projet de loi S-213 sur la cruauté envers les animaux tel que présenté par le sénateur John G. Bryden. Elles jugent que ce dernier projet de loi en liste est de loin le plus raisonnable. Il prévoit des amendes et des peines plus sévères pour ceux qui font preuve de cruauté envers les animaux, tout en protégeant de poursuites possibles les chasseurs, les pêcheurs, les producteurs d’animaux et les chercheurs qui utilisent des animaux. Ainsi, il évite de compromettre plusieurs activités importantes pour notre société. Il y a déjà plusieurs années, des défenseurs des droits des animaux réclamaient une augmentation des peines et amendes relatives aux actes de cruauté envers les animaux. Ces demandes ont conduit à l’introduction du projet de loi C-17 par un gouvernement précédent. Puis, au cours des années et des débats qui ont suivi, le projet de loi C-17 est passé par les projets de loi C-15B, C-10B, C-22 et C-50 pour finalement inclure des changements beaucoup plus larges que de simples augmentations d’amendes ou de peines, et venant même à compromettre plusieurs activités économiques qui dépendent des animaux, dont la chasse et la pêche, ainsi que l’élevage en agriculture et la recherche médicale. Devant la menace de poursuites légales pour cruauté envers les animaux advenant l’adoption de l’un ou de l’autre de ces projets, la FQF s’est donc opposée à tout changement à la loi en vigueur. Afin d’appuyer massivement le projet de loi S-213 du sénateur Bryden, la Fédération québécoise de la faune demande à tous les chasseurs et les pêcheurs du Québec, d’envoyer une lettre d’appui à leur député fédéral respectif. Un modèle de lettre, ainsi qu’un lien Internet www.parl.gc.ca ) pour obtenir la liste des députés fédéraux sont disponibles sur le site de la Fédération québécoise de la faune au www.fqf.qc.ca Trouvé ici: http://www.lecourriersud.com/article-77971-Appui-de-taille-pour-le-projet-de-loi-sur-la-cruaute-envers-les-animaux.html Le projet de loi S-213 du Sénat sur la cruauté envers les animaux est un "leurre" Appuyez le projet de loi C-373 /AEQUO-ANIMO-c1/ANIMAUX-Amerique-du-Nord-f3/Appuyez-le-projet-de-loi-C-373-t5741.htm
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Consommation + shopping Eco-logis-que! Des objets du quotidien pour la maison mais en version améliorée parce qu'ils ont adopté un côté un peu plus écologique. La peinture La peinture traditionnelle renferme des produits toxiques et dommageables autant pour l’environnement que pour notre santé. Jetés dans la poubelle, ils se retrouvent soit à la décharge soit à l’incinération entraînant, dans le premier cas, une pollution du sol et de l’eau, dans le second cas, une pollution de l’air. Vidés dans l’évier ou à l’égout, ou abandonnés n’importe où, ils polluent l’eau et le sol. Alternatives écolos Peinture recyclée - Issue de la récupération des restants de peinture, elle contribue à diminuer les déchets toxiques ainsi que des bidons de métal. 16 couleurs actuelles sont offertes en peinture latex fini velours. Également disponibles peinture et teinture alkyde, peinture à galerie et plancher et apprête au latex. Elles ont toutes les mêmes propriétés que les peintures traditionnelles. La peinture coûte environ $13 le bidon de 3,78 l. Elle est disponible dans les magasins de peinture, les chaînes de quincaillerie et de matériaux de construction, les centres de liquidation ainsi que les magasins de recyclage. La peinture écologique sans C.O.V. (composé organique volatile) est celle qui vous évitera les problèmes liés à leur habituelle présence car elle doit être exempte de formaldéhyde, de solvants halogénés, de mercure, de plomb, de cadmium, de chromium et autres produits jugés néfastes à la santé des occupants et de l'environnement. Benjamin Moore, Dulux, Sherwin Williams offrent quelques peintures sans ou avec très peu de COV. Disponible chez les marchands spécialisés – recherchez le logo canadien du choix environnemental (3 colombes formant une feuille d’érable). Revêtements muraux vinyliques (papiers peints vinyle) Les revêtements muraux nécessitent l’utilisation de colles donc représentent une double source d’émanations de COV. De plus, une fois enlevés, ils se retrouveront dans un site d’enfouissement… pour y continuer leur dégradation. Alternative écolo Enduit mural naturel Hacienda Enduit NATUREL à base de matières végétales & minérales Intérieur - Blanc Décollable SE TEINTE avec les «Terres Naturelles». Par sa composition entièrement naturelle, Hacienda nature vous garantit un habitat sain, non pollué par l’évaporation de solvant. Pour disponibilité dans votre région 1-877-651-1929 Draps et serviettes de coton La culture du coton est l’une des plus polluante et, après le blé et le riz, la plus grande consommatrice d’eau… Alternative écolo – draps et serviettes de bambou et coton ou coton bio Le bambou est la plante par excellence de l'antiquité chinoise. Sa croissance est rapide – jusqu'à 1m par jour - et sa culture facile. La fibre est vraiment intéressante pour la mode, car son toucher est doux et elle a un fort pouvoir absorbant (5 fois plus que le coton). Mais son utilisation devient très intéressante pour ses propriétés antibactériennes reconnues, qu'elle garde durant plusieurs lavages. Bois de chauffage D'importantes quantités de plus de 100 polluants liés à la fumée de bois peuvent être libérées dans votre logis et à l'extérieur. Plusieurs de ces produits chimiques sont cancérogènes et posent des risques pour la santé humaine et l'environnement. Selon Environnement Canada, un poêle à bois conventionnel, non certifié par l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA), émet autant de particules fines dans l'atmosphère en neuf heures qu'un poêle certifié fonctionnant 60 heures ou une automobile de type intermédiaire parcourant 18 000 km. Alternative écolo – JAVA LOG Fabriquées à partir de marque de café, les bûches brûlent plus proprement que le bois ou les bûches faites de sciures – produisent 85% moins de monoxyde de carbone que le bois! Une bûche dure 3 heures et ses flammes sont 3 fois plus abondantes car le café est plus huileux. Bois (pour revêtement extérieur, balcon, armoires, etc.) Le bois traité et aggloméré est très présent dans nos maisons (patios, moulures etc) et dégage des substances néfastes à la santé. Alternative écolo – Bois torréfié • Écologique: Aucun produit chimique n’est utilisé dans le processus de traitement. • Esthétique: La torréfaction «caramélise» le bois, lui donne une teinte de blond miel à brun foncé, selon la durée du traitement. • Durable: Le traitement thermique augmente la résistance du bois aux intempéries et à la pourriture. • Stable: Le bois traité conserve une grande stabilité dimensionnelle lorsqu’il est exposé aux variations atmosphériques. • Mise en œuvre: Le bois traité s’usine et s’assemble facilement. • Entretien: On doit protéger le bois contre les rayons ultraviolets si on veut conserver l’aspect naturel du bois. • Valeur ajoutée: L’ensemble des qualités données au bois lors de la torréfaction permet d’anoblir certaines essences communes de bois. Le bois torréfié sera présenté en grande première dans le cadre du Salon National de l’Habitation. Chandelles Les chandelles et l'encens peuvent relâcher du plomb et des composés organiques volatiles dont des particules fines. De nombreuses chandelles d'importation sont encore dotées de mèches dont le coeur est en plomb et exposent les utilisateurs à des niveaux dangereux de ce métal lourd hautement toxique. Les chandelles commerciales sont souvent à base de produits pétroliers auxquels sont ajoutés des colorants, des parfums synthétiques et des additifs artificiels qui les rendent plus rigides. Alternative écolo Privilégier les chandelles à base de cire végétale et peu ou pas parfumées. Aveda – bougies pour le mois de la Terre. 100% des profits de la vente de cette bougie sera remis à à son partenaire environnemental canadien (WaterCan/ EauVive www.watercan.com ) et québécois ( www.naturequebec.org ). Nouveaux produits de nettoyage « Attitude » Produits écologiques, biodégradables, à base d’huiles essentielles, non-testés sur les animaux, sans colorant, non-toxiques. Disponibles chez Réno Dépôt, Home Depot, Rona, Pharmacies Jean Coutu, Proxim et Brunet. Trouvé ici: http://tva.canoe.com/emissions/toutsimplementclodine/consommationshopping/15912.html
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Saint-Robert La police et la SPCA visitent un chenil insalubre Caroline Roy Le Journal de Montréal 22/02/2007 08h49 Des animaux domestiques abandonnés au grand froid. Des carcasses de chevaux qui servent de nourriture. La SPCA et les policiers ont découvert hier un chenil insalubre à Saint-Robert, près de Sorel, en Montérégie. À leur arrivée, les employés de la SPCA ont retrouvé plus d'une centaine d'animaux domestiques et de ferme qui vivaient dans des conditions épouvantables dans une petite ferme, située sur le chemin Saint-Robert. Les bêtes, dont des poules, chats, chevaux, furets et lapins, recevaient peu d'aliments et d'eau. Des carcasses d'animaux morts servaient à les nourrir. Plusieurs animaux étaient gardés dehors dans des cages sans être protégés du froid. Seule une toile par-dessus leur cage les abritait du vent. Accusations «La Sûreté du Québec a ouvert une enquête afin de savoir si des accusations seront portées contre la propriétaire de l'endroit», indique l'agent Ronald McInnis, porte-parole de la SQ. Les animaux maltraités ont été pris en charge par la SPCA. Trouvé ici: http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/02/20070222-084904.html
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Sociétés pour la protection des animaux Les sociétés pour la protection des animaux (SPA) sont des organismes de prévention de la cruauté envers les animaux. La première SPA voit le jour en 1824, au terme d'une longue bataille en faveur d'une loi contre la cruauté envers les enfants et les animaux d'élevage, livrée notamment par Richard Martin, propriétaire foncier et parlementaire britannique. Bien que ce dernier en soit membre fondateur, l'organisme est effectivement fondé par le révérend Arthur Broome, membre du clergé anglican, et Lewis Gompertz, auteur juif. En 1840, cet organisme précurseur de la Société d'aide à l'enfance devient, par ordonnance de la reine Victoria, la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA). Le mouvement de protection des animaux est introduit en Amérique du Nord par Henry Bergh. Après une visite à la RSPCA, il fonde à New York l'American SPCA en 1866. La même année, une loi assurant la protection des animaux est adoptée. Établie à Montréal en 1869, la Société canadienne de protection des animaux est la première du genre au Canada, bientôt suivie d'entités locales à Québec (1870), à Ottawa (1871) et à Toronto (1873). Actuellement, il existe des SPA dans les grandes villes du Canada et dans quelque 85 municipalités. Ce sont tous des organismes de bienfaisance à but non lucratif. La plupart recueillent des animaux perdus ou abandonnés, principalement des CHATS et des CHIENS, et sont souvent chargés du contrôle des animaux au nom de la municipalité. Beaucoup sont régis par les SPA provinciales ou par les lois sur la protection des animaux, lesquelles les habilitent à enquêter sur les plaintes de cruauté envers les animaux et, au besoin, à engager des poursuites. De même, les agents des SPA peuvent se référer aux articles du Code criminel du Canada relatifs à la cruauté envers les animaux. Ils ne peuvent pas porter d'arme à feu, mais peuvent, avec la permission des tribunaux, retirer des animaux maltraités à leur propriétaire. Parallèlement à la multiplication des SPA, le besoin d'apporter des réponses collectives aux problèmes d'envergure nationale, tels le transport et l'abattage d'animaux destinés à l'alimentation, se faisait plus pressant. Ainsi, vers la fin des années 50, le Dr A.E. Cameron, médecin vétérinaire canadien retraité, le lieutenant-colonel Richard Taylor, président de la Société protectrice des animaux d'Ottawa, K. Switzer, directeur-général de cette même société, et le sénateur F.A. McGrand organisent des réunions visant à mettre sur pied une SPA nationale. En 1957, la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (FSCAA), basée à Ottawa, est dotée d'une charte fédérale. Il s'agit d'un groupe de coordination des 42 sociétés membres autonomes, des SPA pour la plupart, mais qui comptent aussi d'autres organismes s'intéressant à certaines questions spécifiques par rapport au bien-être des animaux. La FSCAA ne participe pas à la gestion des activités quotidiennes des abris, mais elle s'attaque aux problèmes de plus grande envergure. Elle intervient auprès de 10 ministères fédéraux dont les sphères d'attributions recouvrent, d'une façon ou d'une autre, certains aspects de l'utilisation des animaux par les humains aux échelles nationale, internationale et interprovinciale. Auteur NEAL R. JOTHAM
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Plaintes en matière de sécurité et de bien-être animal Vous estimez que des animaux sont maltraités, qu'ils reçoivent des soins inadéquats nécessitant une intervention ou qu'ils font l'objet d'une situation inacceptable? Selon le type d'animal affecté et selon la nature ou le lien du manquement qui doit être signalé, vous devez contacter l'une des ressources suivantes afin de porter plainte: http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Productions/santeanimale/securitebienetre/plaintesenmati%C3%A8redes%C3%A9curit%C3%A9etdebienetreanimal/
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Je relaye Urgent: Campagne d'écritures pour les partis politiques J'invite tous les militant(e)s et les organismes pour la protection des animaux du Québec à communiquer "en cette période électorale" avec les partis politiques du Québec, faites part de vos préoccupations concernant les droits des animaux, questionnez les partis politiques... s'ils sont élus, ont-ils l'intention de légiférer pour la protection des animaux ( dans le dossier des usines à chiots, les nombreux cas de cruauté envers les animaux non punis, le transport des animaux, les animaux d'élevage etc.). Merci, Un citoyen pour les droits des animaux du Québec Courriels et adresses des partis politiques Parti vert du Québec http://www.partivertquebec.org/ Permanence nationale Permanence Local 450-663-VERT (8378) ou sans frais 1-888-998-VERT (8378) par courriel : info@partivertquebec.org ou par courrier postal : Parti vert du Québec C.P. 83 Succ. Place d’Armes Montréal, Qc H2Y 3E9 _____________________________________________________ Parti libéral du Québec http://www.plq.org/ Information générale : info@plq.org Communications : communications@plq.org Direction générale : direction@plq.org Vice-premier ministre : ministre@msp.gouv.qc.ca votre association de comté ( Courriels): http://www.plq.org/fr/impliquez_vous/asso_comte.html Adresse: Montréal 7240, rue Waverly Montréal (Québec) H2R 2Y8 Téléphone : (514) 288-4364 Sans frais : 1 800 361-1047 Télécopieur : (514) 288-9455 _____________________________________________________ Parti Québécois http://www.pq.org/ Utilisez ce formulaire http://www.pq.org/nv/index.php?pq=59 pour joindre la Permanence du Parti Québécois: Pour joindre, par courriel, le chef du Parti Québécois, André Boisclair, veuillez utiliser andre.boisclair@pq.org Vous pouvez également faire parvenir toute correspondance à l'attention du chef du Parti Québécois à la Permanence nationale. Courriel : info@pq.org Permanence nationale du Parti Québécois 1200, avenue Papineau, bureau 150 Montréal (Québec) H2K 4R5 Téléphone : (514) 526-0020 Sans frais : 1-800-363-9531 Télécopieur : (514) 526-0272 _____________________________________________________ Québec solidaire http://www.quebecsolidaire.net/ Contactez Québec solidaire... Par la poste: Québec solidaire 7105, St-Hubert bureau 304 Montréal, Qc H2S 2N1 Par téléphone: 514-278-9014 1-866-278-9014 Par télécopieur: 514-278-9028 Par courriel: info@quebecsolidaire.net _____________________________________________________ Action démocratique du Québec http://www.adq.qc.ca/accueil Le chef Mario Dumont ( courriel ): mdumont@assnat.qc.ca Vos commentaires sont importants pour nous; faites-les-nous parvenir, et nous vous répondrons dans les meilleurs délais. Formulaire: http://www.adq.qc.ca/tiki-index.php?page=soumettre_commentaire&bl Secrétariat général740, rue Saint-Maurice, bureau 108 Montréal (Québec) H3C 1L5 Région de Montréal : 514 270-4413 Partout au Québec : 1 800 370-3221 Télécopieur : 514 270-4469
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Ferme de Robert Pickton Une policière parle d'animaux négligés Presse Canadienne (PC) Greg Joyce 19/02/2007 20h29 Une policière d'expérience, les larmes aux yeux et la voix brisée par l'émotion, a décrit aujourd'hui le triste spectacle d'animaux négligés et mourant à l'extérieur de la roulotte où vivait le présumé meurtrier Robert Pickton. L'agente Daryl Hetherington, membre du service de police de Vancouver depuis 26 ans, a été envoyée à la propriété de Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, le 7 février 2002, un jour après que la police eut investi les lieux à la suite de la découverte d'éléments de preuve liés à l'enquête menée sur la disparition de nombreuses femmes dans le centre-ville de Vancouver. Mme Hetherington a affirmé lundi au procureur de la Couronne, Mike Petrie, avoir passé 22 mois sur le site. Sa première impression, une fois arrivée sur place, était que rien ne semblait en ordre ou à sa place. À côté de la roulotte de Pickton se trouvait une remorque bétaillère. Une truie gisait au fond de cette remorque, a raconté la policière, qui a alors dû cesser de parler un moment afin de retrouver son calme, tenant à la main un mouchoir tendu par un greffier de la cour. «Cela semblait être une portée avortée», a affirmé Mme Hetherington. «Elle (la truie) était dans un tel état qu'elle ne pouvait se lever», a ajouté l'agente, avant de s'interrompre de nouveau. La policière a ensuite raconté que les foetus étaient tombés sous la remorque, dans la boue. Un pit-bull s'amusait avec eux, a-t-elle précisé. Devant la remorque se trouvaient quatre porcs affamés, chacun d'entre eux pesant seulement environ 12 kilogrammes. Mme Hetherington a dit avoir vu un autre porc, d'un poids de quelque 70 kilos et montrant «des signes évidents de détresse». La voix une fois de plus brisée par l'émotion, elle a raconté que la patte avant gauche de l'animal paraissait avoir été «sévèrement blessée et semblait être en train de pourrir». «Aucun des animaux n'avait de l'eau ou de la nourriture», a déclaré la policière. Robert Pickton subit son procès pour les assassinats de six femmes de Vancouver -Mona Wilson, Brenda Wolfe, Marnie Frey, Sereena Abotsway, Andrea Joesbury et Georgina Papin. Il est aussi accusé des meurtres de 20 autres femmes, pour lesquels il fera face à la justice plus tard. Trouvé ici: http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/02/20070219-202946.html Dossiers • Procès de Robert Pickton http://www.canoe.com/infos/dossiers/archives/2007/01/20070126-144800.html Un policière témoigne de la découverte de restes humains chez Pickton NEW WESTMINSTER, C.-B. (PC) - Une policière d'expérience qui a passé près de deux ans à effectuer des fouilles sur la propriété du présumé meurtrier Robert Pickton a affirmé mardi que la tête coupée en deux de Mona Wilson ainsi que ses mains, ses pieds et d'autres parties du corps en décomposition avaient été découverts dans l'abattoir utilisé par l'accusé. La policière Daryl Hetherington, de la police de Vancouver, a indiqué dans le cadre de son témoignage au procès de Pickton qu'elle figurait au nombre des douzaines de policiers ayant procédé à des fouilles dans plusieurs bâtiments de la propriété appartenant à Pickton, à Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, à partir de février 2002. En juin 2002, elle a été appelée à saisir des éléments de preuve qui avaient été découverts par deux autres enquêteurs dans l'abattoir. Mme Hetherington a alors vu deux seaux à ordures, placés l'un dans l'autre. L'un d'eux contenait les restes humains. Interrogée par le procureur de la Couronne, Mike Petrie, la policière a affirmé avoir constaté dans le seau du bas la présence des deux moitiés d'un crâne humain, un pied droit et un pied gauche, une main droite et une main gauche, de même que des dents et un certain nombre de morceaux de tissus humains en voie de se décomposer. Ces restes humains ont été retirés du seau et envoyés à des spécialistes pour autopsie. Ils ont été identifiés comme étant ceux de Mona Wilson. Lundi, Mme Hetherington avait raconté à la cour avoir vu sur la propriété de Pickton des animaux dans un évident état de détresse. Les larmes aux yeux et la voix brisée par l'émotion, la policière avait décrit de quelle façon elle avait vu une truie qui semblait avoir avorté et une autre truie qui paraissait avoir une patte en état de putréfaction. Robert Pickton subit actuellement à New Westminster, en Colombie-Britannique, son procès pour les assassinats de six femmes - Mona Wilson, Brenda Wolfe, Marnie Frey, Sereena Abotsway, Andrea Joesbury et Georgina Papin. Il est aussi accusé des meurtres de 20 autres femmes, pour lesquels il fera face à la justice plus tard. Toutes ces femmes ont été portées disparues dans le centre-ville de Vancouver. Trouvé ici: http://www.info690.com/nouvelle-policiere_temoigne_decouverte_restes-79542-2.html
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Chasse aux phoques Un peu plus de distance SVP entre chasseurs de phoques et défenseurs des droits des animaux Ricardo Codina ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca VIE RURALE, Opinion du citadin, 18 Février 2007 Il semblerait que les observateurs et défenseurs des droits des animaux pourraient devoir tenir une distance de 20 mètres plutôt que 10 mètres, comme c'est le cas actuellement, dans un avenir rapproché. C'est que Pêches et Océans Canada conclut un processus de consultation qui risque d'avoir pour conséquence une augmentation de la distance entre les observateurs et les chasseurs. Une mesure, selon des chasseurs, de sécurité car à dix mètres il y a trop d'altercations qui en viennent aux coups. Selon les règles actuelles, un observateur (lire ici un défenseur des droits des animaux farouchement opposé à la chasse aux phoques) doit se tenir à au moins dix mètres des chasseurs. Frank Pinhorn, directeur de l'Association canadienne des chasseurs de phoques, désire que ce soit 1000 mètres (1 km). Ce qui est complètement exagéré. Ce qui est étudié actuellement par Pêches et Océans Canada c'est de passer à une zone d'exclusion de 20 mètres, soit le double ce que c'est actuellement. C'est que, outre les chasseurs, l'exercice de consultation qui s'est déroulé via Internet a recueilli près de 2000 commentaires venant des défenseurs des droits des animaux. Le ministère se devait donc de trouver un compromis entre les deux groupes. À vingt mètres, les défenseurs des droits des animaux pourraient continuer à s'approcher suffisamment pour effectuer des observations adéquates. Les chasseurs quant à eux sont plus ou moins satisfaits car ça ne change pas grand-chose en termes de distance si ce n'est un risque moins élevé d'altercations avec les opposants. Parlant d'opposants à la chasse aux phoques, Mme Rebacca Aldworth, porte-parole du groupe américain Humane Society, a affirmé à Radio-Canada qu'il s'agit là d'un stratagème du gouvernement Harper d'empêcher les journalistes et observateurs d'effectuer un travail adéquat. Difficile de comprendre une telle attitude. Être à vingt mètres de la chasse sur une banquise sans obstacle visuel permet de faire un bon travail d'observation. Pour l'industrie ce serait insuffisant mais mieux que maintenant. Frank Pinhorn a rapporté à Radio-Canada qu'au cours des dernières années il y a eu un petit nombre d'altercations qui consistaient en échange de coups entre chasseurs et observateurs. Étant donné que certains observateurs et chasseurs sont très émotifs, il y a une faible possibilité que cela dégénère en une situation potentiellement dangereuse voire tragique. La chasse aux phoques débute à la fin mars mais la date précise va dépendre des conditions de glaces. Cette année serait beaucoup mieux en termes de conditions de glace que l'an passé. La date du début de la chasse étant très rapprochée, il se peut que l'augmentation de la zone d'exclusion soit mise en application non pas cette année mais en 2008. Il reste à souhaiter qu'aucune altercation tragique ne se produise sur la banquise. Cette augmentation de la zone d'exclusion n'est pas envisagée à cause des journalistes mais bien à cause de certains activistes et groupes de défenses des animaux qui semblent chercher la confrontation avec les chasseurs. Ces derniers, de plus en plus excédés, pourraient être tentés d'accepter l'invitation. Étant donné qu'aucun des deux groupes n'est prêt à dialoguer, la situation stagne depuis trente ans. Beau dialogue de sourds, mais bon compromis éventuel de Pêches et Océans Canada. Un peu plus de distance SVP entre les chasseurs de phoques et les défenseurs des droits des animaux. Simple mesure de sécurité. Trouvé ici: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11173
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41 millions de dollars en Saskatchewan pour favoriser la science et l'innovation en agriculture Saskatoon (Saskatchewan), 12 février 2007 - La recherche et le développement en agriculture reçoit un solide coup de pouce en Saskatchewan à la suite d'un accord conclu entre le nouveau gouvernement du Canada et la Province de la Saskatchewan sur l'utilisation de 41,5 millions de dollars de fonds de transition et de fonds reportés entrant dans le Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA). Le financement a été annoncé par Chuck Strahl, ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire et ministre de la Commission canadienne du blé, et par Mark Wartman, ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation de la Saskatchewan. « Le nouveau gouvernement du Canada est ravi de son investissement accru dans les recherches agricoles, ce qui permettra aux agriculteurs de tirer profit de possibilités économiques futures, a déclaré le ministre Strahl. La Saskatchewan et le Canada tout entier profiteront de cet investissement plus élevé dans la recherche et l'innovation relatives à des domaines tels que l'alimentation et les bioproduits, les biocarburants, la production bovine et porcine ainsi que la production d'aliments pour animaux de plus grande valeur. » « Ce financement fait partie de l'engagement du Canada aussi bien que de la Saskatchewan envers la science et l'innovation, a affirmé M. Wartman. La Saskatchewan possède une énorme capacité agricole et nécessite une capacité de recherche tout aussi grande pour maximiser son potentiel. Des ressources additionnelles en génétique des cultures et des animaux ainsi que dans la recherche sur les biocarburants et le développement de nouveaux aliments à haute valeur pour animaux ne sont que quelques exemples où les efforts accrus de recherche et de développement créeront des bénéfices dans une industrie agricole plus forte et plus compétitive. » Poursuivre la lecture: http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070218_202019_4540
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Ce qui est écoeurant au plus haut point; c'est que les médias n'ont jamais montré au complet au grand public les films d'observation de Ifaw sur cette chasse ( on ne montre que des petits bouts pas trop sanglants ), toutefois, on va diffuser largement le film de Raoul Jomphe dans les salles de cinéma, sur le poste d'état ( Radio-Canada ) et sur les autres chaînes de télévision. juste du bourrage de crâne.
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Les chasseurs de phoques ne sont pas des barbares J'ai scruté le net pour voir si le réalisateur Raoul Jomphe était un "militant écologiste", je n'ai rien trouvé à part les mêmes articles sur le film. Est-ce que le gouvernement du Canada a accordé une subvention pour la réalisation de son film. par Brigitte Dubé redaction.matane@hebdosquebecor.com Symbole favori des détracteurs la chasse aux phoques, le blanchon est des plus séduisants. Photo Raoul Jomphe Même s'il ne mange pas de viande, que du poisson, Raoul Jomphe dit comprendre les motivations des chasseurs de phoques qui, au fond, perpétuent des rituels ancestraux. Collaboration Raoul Jomphe Le film de Raoul Jomphe décrit les techniques de chasse des Madelinots. L'instrument utilisé: le hakapik. Photo Raoul Jomphe Avec Phoques, le film, le cinéaste Raoul Jomphe de Saint-Léandre apporte une nouvelle et surprenante perspective à la campagne anti-chasse aux phoques aux Îles-de-la-Madeleine. «Je me demandais depuis longtemps comment les chasseurs, des gens si accueillants l'été, pouvaient se transformer en barbares sanguinaires l'hiver, raconte-t-il. Pour moi, ça n'avait aucun sens. Je voulais comprendre ce qui clochait dans cette histoire.» Un film d'opinion Ainsi, pendant trois ans, il a suivi des chasseurs sur la banquise, mais aussi des animalistes (le lobby anti-chasse), réalisé des entrevues avec divers spécialistes et déniché d'anciens bouts de films. «Avec le temps, prévient ce réalisateur qui ne mange pas de viande, c'est devenu un film d'opinion, favorable aux chasseurs.» Les Matanais pourront le voir grâce à CinémAlice le mercredi 21 février à 19h30, à la salle Lucien-Bellemare du cégep de Matane. Les blanchons ne sont plus chassés depuis 20 ans Avec son titre phonétiquement provocateur, Phoques, le film a été présenté uniquement aux Madelinots, qui ont fort bien réagi. «C'était un public conquis d'avance, admet Raoul Jomphe, mais les gens l'ont reçu comme un baume sur des plaies vives.» Ces blessures, elles font souffrir les Madelinots, pêcheurs ou non, depuis plus de 40 ans. En 1964, le Québécois Serge Deyglun avait montré des phoques en train de se faire écorcher vivants, ce qui ne se voit jamais. Raoul Jomphe raconte que Deyglun avait payé des gens pour que les images soient les plus cruelles possible. Plus tard, l'actrice française Brigitte Bardot a repris le flambeau en montrant des bébés phoques (blanchons) ensanglantés sur la banquise, criant «Canadiens assassins!» Aujourd'hui, les animalistes diffusent encore des images de blanchons alors qu'on ne les chasse plus depuis 20 ans. Comment manipuler habilement l'opinion publique «Profitant de la sensibilité des gens, les animalistes ramassent des millions pour sauver les phoques», s'indigne le cinéaste. Ce que le spectateur peut constater en regardant le film, c'est que la chasse est surtout payante pour eux. On y apprend qu'un chasseur peut gagner 7 000$, le quart de son revenu annuel, mais que le président de l'une de ces organisations de défense des droits des animaux, la Humane Society of the United States (HSUS) touche 510 000$ américains par année. Par ailleurs, les animalistes ont les moyens d'inviter des journalistes toutes dépenses payées en avion et en hélicoptère pour les convaincre, eux et le public. Sans rien faire pour l'aider Des images de Raoul Jomphe montrent Rebecca Aldworth de la Human Society des États-Unis faisant une entrevue avec en arrière-plan un phoque blessé. Plusieurs minutes s'écoulent sans que personne ne porte secours à l'animal qui réussit tout à coup à se glisser à l'eau. Mme Aldworth ordonne alors qu'il soit remonté sur la glace pour pouvoir le filmer encore, toujours sans rien faire pour l'aider. Une carrière prometteuse pour Phoques, le film Réalisé par Raoul Jomphe et produit par Cécile Chevrier des Productions Phare Est, Phoques, le film suscite l'intérêt des Européens et sera traduit en anglais. Il sera bientôt diffusé au réseau RDI. Raoul Jomphe a reçu plusieurs demandes d'entrevues, signe qu'une carrière prometteuse s'annonce pour son film. Si tout se déroule bien, il pourrait se promener un peu partout dans le monde. Des journalistes européens qui ont vu Phoques, le film ont dit avoir compris qu'il était exagéré de décrire les chasseurs comme des barbares. Tradition, identité et survie Raoul Jomphe a ses racines à Havre-Saint-Pierre en Basse-Côte-Nord et de plus profondes aux Îles-de-la-Madeleine qu'il fréquente depuis 30 ans. Parallèlement, il a tourné plusieurs films sur les chasses traditionnelles des Inuits. «Pour ces gens, comme pour ceux des Îles, la chasse fait partie des traditions. C'est une question d'identité et de survie, explique-t-il en substance. Les gens des villes ont perdu contact avec ces réalités.» Des méthodes non respectueuses pour d'autres animaux Il ajoute que, tous les jours, des porcs, des boeufs et des poulets sont abattus avec des méthodes beaucoup moins respectueuses que celles des chasseurs traditionnels et que peu de gens s'en émeuvent. Dans le film, on peut voir que le troupeau de phoques a tellement augmenté ces dernières années, que la chasse est devenue nécessaire pour contrôler la population. Il serait passé de 2,5 millions dans les années 1980 à 5,8 millions en 2006. Trouvé ici: http://www.hebdosquebecor.com/vxd/02182007/vxd_02182007_A1.shtml
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La SPCA enquête Michel Larose Le Journal de Montréal 07/02/2007 07h26 - Mise à jour 07/02/2007 11h45 http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/02/20070207-072606.html La SPCA de la Montérégie poursuivait hier l'évaluation des animaux qui ont vraisemblablement souffert de négligence sur une propriété de La Présentation, en Montérégie. Lundi soir, vers 19h30, à la suite d'une plainte, les policiers se sont rendus au 1425, rang Salvail sud, et ont vu 18 chiens, un cheval et un poney dehors, par un froid sibérien, enchaînés, sans aucun abri. «Chaque chien était attaché à sa niche par une chaîne qui s'était enroulée autour de son cou», a relaté Linda Robertson, directrice de la SPCA en Montérégie. «Les chiens ne pouvaient se mettre à l'abri du vent ni du froid. Leur laisse les empêchait de bouger», ajoute-t-elle. C'est d'ailleurs un bénévole de cet organisme qui avait remarqué les jours précédant l'intervention de la police la situation qui prévalait à cet endroit. «Lundi, avec le froid, nous avons vu que les animaux souffraient. Nous avons demandé l'intervention de la SQ», ajoute Mme Robertson. Des oies mortes avec leurs plumes, gelées comme des blocs de glace, avaient été lancées aux chiens pour les alimenter, a constaté la SPCA. «Le vétérinaire vient demain (mercredi) pour évaluer l'état de santé des animaux. Dans certains cas, les plaies causées par les chaînes autour du cou étaient nauséabondes», déplore la directrice du SPCA. Un poney était attaché à la carcasse d'une voiture, soutient la SPCA. Propriétaire récalcitrant Il semble selon les informations glanées par Le Journal de Montréal que la municipalité tente d'obliger depuis plusieurs mois le propriétaire des lieux à mettre de l'ordre sur son terrain. L'homme en question était chez lui lors de l'intervention de la Sûreté du Québec. Il sera interrogé dans les prochains jours, a indiqué Ronald McInnis, porte-parole de la SQ en Montérégie. Le dossier sera ensuite soumis au procureur de la Couronne qui décidera s'il y a lieu de déposer des chefs d'accusation.
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Trois-Rivières Un an de probation pour avoir battu son chien Un homme qui avait sauvagement battu un chien à Trois-Rivières écope d'une peine d'une année de probation. Armand Grenier, qui avait plaidé coupable, a avoué avoir agi sous l'effet de l'ecstasy. Il avait battu son chien à coups de marteau, en novembre dernier. La bête venait de s'attaquer à un chien au point de le tuer. L'accusé affirme aussi avoir agi pour protéger un enfant qui se trouvait à proximité. Malgré sa condamnation, Armand Grenier peut toujours posséder un chien. Le juge ne lui a pas posé cette interdiction, ce qui déplaît à la SPCA. Le chien, qui a été placé dans une famille d'accueil, se porte bien aujourd'hui. En vidéo, écoutez les explications de Chantal Carignan http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/02/20070213-194232.html
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La carrière de chiens de traîneaux est terminée Voici des nouvelles de la meute de chiens découverte récemment dans un état lamentable dans un chenil de Lanaudière. Ils sont maintenant en santé et profitent de la vie en attente d’un véritable domicile. Reportage vidéo: http://www.tqs.ca/videos/infos/2006/08/la-carriere-de-chiens-de-traineaux-est-terminee-2643.php
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La journaliste: Nancie Ferron E-mail: nferron@tqs.ca Chassez et pêchez Dans son reportage du jeudi 15 février, la chroniqueuse Nancie Ferron présente un reportage sur le Salon national de la pourvoirie chasse et pêche. Reportage vidéo: http://www.tqs.ca/videos/consommation/2007/02/chassez-et-pechez--6731.php
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Des tigres affamés tuent les animaux domestiques en Extrême-Orient russe 17:09 | 15/ 02/ 2007 VLADIVOSTOK, 15 février - RIA Novosti. Un tigre affamé a tué une jument dans un village du Primorié (Extrême-Orient russe), a indiqué à RIA Novosti jeudi l'inspection spéciale "Tigre" qui s'occupe de la protection des espèces animales rares dans la région. Après des chutes de neige abondantes, les tigres s'approchent de plus en plus souvent des villages. Quatre attaques de tigres contre des animaux domestiques ont été signalées par des villageois en moins de deux jours. Une vingtaine de cas d'irruption de tigres dans les propriétés privées ont été enregistrés depuis le début de l'hiver. Un tigre vient de tuer un chien dans le territoire d'une unité militaire. Les militaires ont réussi à le chasser, mais il ne s'éloigne pas de ces lieux. Un groupe de chasseurs a été dépêché dans cette unité militaire. En raison des chutes de neige abondantes, il est difficile pour les prédateurs de chasser dans la forêt. Mais d'habitude, les agressions sont provoquées par les hommes: suite à l'abattage des forêts, la zone d'habitat des tigres se réduit. Les braconniers ont presque exterminé les ongulés (principale nourriture du tigre). En conséquence, l'animal est obligé de se rapprocher des villages où ils chassent les chiens. Il s'agit dans la plupart des cas d'individus jeunes ou blessés, qui ont du mal à chasser dans la taïga. Le tigre de l'Amour (ou de Sibérie) est le plus grand de tous les félins. Les mâles peuvent mesurer jusqu'à 3,30 mètres et peser jusqu'à 300 kilos. Il ne reste actuellement que 450 tigres dans le Primorié et dans le Sud du territoire de Khabarovsk, selon le dernier recensement effectué par des spécialistes russes et américains. Trouvé ici: http://fr.rian.ru/russia/20070215/60796518.html
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EN ABITIBI-TÉMISCAMINGUE - LE MAPAQ AUTORISE UN PROJET PILOTE POUR UN SERVICE D'ABATTAGE DESTINÉ AUX PRODUCTEURS Le ministre trouve vite des solutions quand vient le temps de faire plaisir à tous ceux qui abusent des animaux. en revanche, pour voter des lois pour la protection des animaux, il ne trouve pas de solution ni d'argent$. QUÉBEC, le 15 fév. /CNW Telbec/ - M. Daniel Bernard, député de Rouyn-Noranda-Témiscamingue et adjoint parlementaire du ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, annonce que le MAPAQ autorise la mise en oeuvre d'un projet pilote d'abattoir à forfait avec atelier de découpe de viandes à Evain, en Abitibi-Témiscamingue. Cette annonce est faite au nom de M. Yvon Vallières, ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable de la région du Centre-du-Québec et député de Richmond. Le ministre Vallières a en effet accordé au promoteur, M. Donald Gélinas, l'autorisation de réaliser, à titre expérimental, ce projet d'abattage à forfait d'animaux d'espèces particulières - bovine, porcine, ovine, etc. - qui sont destinées à la consommation humaine, et ce, conformément à la Loi sur les produits alimentaires. «Cet abattoir à forfait offrira une solution d'abattage supplémentaire à proximité des fermes en région et devrait répondre aux besoins des producteurs qui désirent faire abattre et préparer leurs animaux pour leur consommation personnelle», a précisé M. Daniel Bernard. Il convient de préciser que ce projet pilote d'abattoir à forfait sera conforme aux exigences de salubrité du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et qu'un suivi rigoureux sera effectué au cours de l'expérimentation. Trouvé ici: http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Fevrier2007/15/c8916.html
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Le 15 février 2007 - 20:52 Ottawa veut éloigner davantage chasseurs de phoques et observateurs Presse Canadienne Le gouvernement fédéral étudie la possibilité de changer les règles entourant la chasse aux phoques sur la côte Est pour faire passer la distance minimale séparant chasseurs et observateurs de 10 mètres à 20 mètres. Le ministère des Pêches et Océans Canada a déjà reçu plus de 2000 réponses après avoir lancé la semaine dernière un programme de consultations publiques sur son site internet, a indiqué jeudi un porte-parole du ministère. "C'est une question de sécurité autant pour les chasseurs que les observateurs", a indiqué le porte-parole Phil Jenkins. "L'idée est de réduire les tensions sur la glace et de permettre aux chasseurs de continuer à faire leur travail sans être dérangés." Les consultations publiques se terminent vendredi et le ministre des Pêches, Loyola Hearn, prendra alors une décision. Il n'est pas certain qu'un changement de règles serait en vigueur pour l'ouverture de la saison de la chasse, prévue pour la fin mars, a indiqué le porte-parole Jenkins. Selon Rebecca Aldworth, de la Humane Society of the United States, un groupe de protection des animaux qui condamne la chasse aux phoques depuis des années, le ministre Hearn a déjà pris sa décision quant à l'agrandissement de la zone d'exclusion. Selon elle, les nouvelles dimensions de la zone rendront l'observation plus difficile, non seulement pour les groupes de protection des animaux, mais aussi pour les politiciens et les journalistes qui gardent un oeil sur la chasse. "Ça peut être difficile, même à 10 mètres, de documenter ce que les chasseurs font. 20 mètres ce sera très difficile, et parfois même impossible", a estimé Mme Aldworth. "Je crois que c'est un geste très évident de la part du gouvernement fédéral pour stopper les images sur la chasse qui réduisent le marché des produits du phoque dans le monde." Le gouvernement canadien assure que la chasse aux phoques, une importante source de revenus pour plusieurs communautés côtières dans l'Est canadien, est renouvelable et n'est pas cruelle. La plupart de l'observation de la chasse se déroule au début de la saison dans le golfe du Saint-Laurent, au large de l'Ile-du-Prince-Edouard et des Iles-de-la-Madeleine. Le plus grande partie de la chasse se déroule au large de Terre-Neuve et Labrador, où les distances avec les côtes sont plus grandes et l'observation est pratiquement impossible. Trouvé ici: http://www.matin.qc.ca/canada.php?article=20070215205210
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Armand Grenier, la SPAM et la cruauté animale Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste Trois-Rivières La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) se dit déçue et étonnée de la sentence imposée à Armand Grenier, qui avait violemment battu son chien en novembre dernier. Elle déplore particulièrement le fait que le Trifluvien puisse encore être propriétaire d'un animal. "Considérant les mauvais traitements qu'il a infligés au chien, on est étonné qu'il n'ait pas eu une interdiction de posséder un animal, explique M. Serge Marquis, directeur général de la SPAM. Je crois comprendre que le juge a voulu prendre en considération sa situation personnelle, sauf que je ne pense pas qu'une interdiction aurait eu un impact financier pour ce type-là." Rappelons que Grenier s'en est sorti avec un sursis de sentence assorti d'une assignation à résidence. Le juge Guy Lambert a pris en compte que l'homme de 55 ans est invalide et sans le sou. Par ailleurs, l'accusé avait déclaré au tribunal qu'il avait contacté la SPAM après avoir battu son chien, mais on lui aurait alors répondu qu'il n'était pas possible d'aller chercher l'animal avant le lendemain matin. M. Marquis mentionne que rien ne lui démontre que le quinquagénaire a réellement téléphoné à son organisme. "Le soir nos bureaux sont fermés, donc il serait tombé sur une boîte vocale. Il n'y a personne ici qui m'a indiqué que ce monsieur aurait pu appeler ici. Mais je crois comprendre que monsieur était peut-être dans un état pour ne pas tout à fait se souvenir de ce qu'il a pu faire." Rappelons que sous l'effet de la drogue, Armand Grenier avait violemment battu son chien, un bull mastiff, avec un marteau. Il l'avait laissé pour mort, attaché à la clôture de la cour de l'école Saint-Paul, dans les vieux quartiers. Il avait agi ainsi parce que son animal avait tué un petit chien plus tôt dans la journée. Le bull avait subi d'importantes blessures à la tête et au scrotum. Heureusement, il s'en est tiré. Il a même été adopté il y a quelques jours. "Il se porte très bien. On va assurer un suivi quasi quotidien sur une période de 21 jours et après, il y aura un suivi régulier qui sera fait jusqu'à temps qu'on considère que l'adoption a été un succès. Mais il est certain qu'il se trouve dans une famille qui va être en mesure de lui donner l'affection, la compréhension et le respect qu'il n'a pas trouvés dans le passé", se réjouit le directeur général. Toute cette histoire a soulevé un vent de sympathie et environ 1700 $ ont été amassés par des gens émus par les malheurs de cet animal. Cet argent servira à constituer un fonds pour les animaux maltraités. "Tous les témoignages d'appui et de solidarité qu'on a reçus sont un baume pour nous. On voudrait que plus jamais des histoires comme celles-là se produisent, c'est trop horrible.", confie M. Marquis. Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070215/CPNOUVELLISTE/702150930/5409/CPNOUVELLISTE