Caro18
Membres-
Compteur de contenus
1 810 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Caro18
-
Le Canada va interdire et contrôler les produits chimiques toxiques 2006-12-09 15:46:14 OTTAWA, 8 décembre (XINHUA) -- Le gouvernement du Canada cherche à interdire et contrôler les produits chimiques toxiques dans un programme de quatre ans afin de dépolluer l'environnement, a déclaré le Premier ministre Stephen Harper vendredi. Le gouvernement établira un fonds public de 300 millions de dollars canadiens (270 millions de dollars américains) afin d'éliminer l'utilisation de nombreux produits chimiques particulièrement toxiques ainsi que sévèrement en contrôler d'autres, a-t-il indiqué. Selon la ministre de l'Environnement, Rona Ambrose, la liste d'interdiction comporte 200 produits chimiques déjà vérifiés comme mauvais pour les animaux et supposés potentiellement dangereux pour les êtres humains. Une nouvelle liste de produits chimiques suspects sera publiée chaque deux ou trois mois, par groupe de 15 à 30. La société et les parties concernées se verront demander de fournir des informations au gouvernement sur ces produits, a annoncé Mme Ambrose. "Si nous ne sommes pas satisfaits, il sera exigé de la compagnie de prendre des actions", selon la ministre, "dans certains cas, nous demanderons à l'usine de produire du matériel alternatif." Depuis 1994, aucun nouveau produit chimique n'a été fabriqué au Canada ou importé sur ce territoire sans subir au préalable une évaluation scientifique sur d'éventuels risques. Trouvé ici: http://www.french.xinhuanet.com/french/2006-12/09/content_358552.htm
-
La face cachée de L'Oréal 6 février 2007 - 07h18 La Presse Véronique Bouvier: veronique.bouvier@lapresse.ca Teint radieux, cheveux éclatants, peau saine, le message de L'Oréal n'a pas pris une ride. Le géant mondial de l'industrie cosmétique souhaite y rajouter protection de l'environnement, responsabilité envers ses client, et choix éthiques des ingrédients. Opération marketing ? Non, rétorque Sandrine Michard, VP Communications Corporatives chez L'Oréal Canada. «C'est un travail de fond que l'on fait depuis des années. Mais on a toujours eu comme philosophie d'agir avant de faire savoir.» L'Oréal figure d'ailleurs dans la plupart des indices boursiers intégrant des critères de développement durable comme ceux de FTSE4Good. «En tant que leader de l'industrie cosmétique, on se doit de montrer l'exemple. L'important est de prendre un engagement et de se commettre par rapport à un objectif.» Pour le groupe qui compte 19 marques, la diversité n'est pas un mot creux. «Notre filiale canadienne est très représentative avec 42 nationalités pour 1200 employés, souligne Sandrine Michard. On recrute selon le talent et le talent est partout.» Gérer la diversité, c'est surtout réussir l'intégration des nouvelles marques dans le groupe. «Il y a un énorme respect de la culture des marques. La logique d'acquisition est d'acquérir des entreprises qui sont complémentaires et vont apporter une expertise que l'on n'avait pas à l'interne», dit-elle. En 2006, L'Oréal a acheté la marque emblématique des «valeurs citoyennes» The Bodyshop, et la compagnie française Sanoflor, spécialisée dans la cosmétique bio et l'aromathérapie. Selon Sandrine Michard, il n'y a pas eu d'expérience douloureuse. «Au Canada, en 97, on a acquis Ombrelle et les gens sont encore en place. Ombrelle est toujours considérée comme une marque québécoise, elle a gardé sa personnalité.» Des tests animaux à la chimie verte Mais lorsqu'il s'agit du choix des ingrédients des produits et des tests animaux, la controverse n'est jamais très loin. Et ce, même si l'entreprise ne fait plus de tests de produits cosmétiques sur des animaux depuis 1989 et exige le même engagement de la part de ses fournisseurs. «Il faut être honnête avec le consommateur, reconnaît la vice-présidente communications corporatives chez L'Oréal Canada. Toute industrie, qui utilise des composants chimiques, sait qu'à un moment donné, ceux-ci ont dû être testés sur des animaux. Pour assurer la sécurité de nos produits, on est obligé d'utiliser ces ingrédients testés.» Depuis 20 ans, L'Oréal développe des tests alternatifs, axés sur la biologie cellulaire et l'ingénierie tissulaire afin de reproduire la peau humaine. Une filiale du groupe, Episkin, fabrique déjà des kits de peau, reconstruite de façon industrielle, qui permettent des tests in vitro d'ingrédients. L'Oréal prend les devants. D'ici 2009, les tests de sécurité animaux devront être arrêtés en Europe et les plus complexes, en 2013. Autre contrainte, la législation eeuropéenne REAC ((Registration, Evaluation an Authorization of Chemicals), a été adoptée en décembre dernier. Elle restreint l'utilisation et la production des substances chimiques afin de protéger la santé des consommateurs et l'environnement. «Le Canada se calque sur REACH, dit Sandrine Michard. Environnement Canada a lancé tout un processus pour réévaluer 20 000 ingrédients chimiques et regarder leur impact environnemental.» L'inquiétude n'est donc pas de mise. «On travaille avec seulement 2000 ingrédients, dont 40 % sont d'origine végétale», dit-elle. Et le groupe a adopté le concept de la «chimie verte» en 1998, qui établit une liste de 12 critères afin d'évaluer l'impact environnemental de la mise au point des procédés et molécules destinés à la fabrication des produits cosmétiques. À l'automne dernier, Pro-Xylane, la première molécule issue de la «chimie verte» a vu le jour. Cette molécule anti-âge est obtenue à partir d'un sucre issu du bois de hêtre, le xylose, facilement biodégradable et non écotoxique, explique Alexandre Cavezza, chimiste chez L'Oréal Recherche. «L'idée était de limiter les déchets dans la composition d'un produit . De réduire la consommation d'énergie et les solvants utilisés», précise Sandrine Michard. Une approche qui reste coûteuse pour l'entreprise. Même si la nouvelle molécule entre désormais dans la composition des produits L'Oréal commercialisés au Canada, la recherche qui a abouti à Pro-Xylane a duré sept ans. «On n'est pas dans un univers pharmaceutique où on rentabilise les molécules. De notre côté, souvent en deux-trois ans, nos molécules sont obsolètes.» Une usine qui fait la guerre au gaspillage Un grand sac rempli de bouteilles en plastique trône au beau milieu de l'usine de L'Oréal Canada. À première vue, rien d'exceptionnel. Mais le big bag, comme l'appelle affectueusement le directeur de l'usine d'origine française, Éric Wolff, n'est pas là par hasard. C'est qu'il symbolise la lutte au gaspillage dans laquelle s'est engagée l'unique usine de L'Oréal au Canada, depuis 2000. «Le big bag contient des capsules utilisées sur les lignes de production, explique le directeur. Une fois vide, il est renvoyé aux fournisseurs pour être réutilisé.» Adieu les palettes de bois, le polystyrène, et l'emballage plastique thermoformé. «On a développé avec nos fournisseurs des emballages navettes, poursuit M. Wolff. Pour les articles de conditionnement que nous recevons par cartons, on déplie les cartons et on les renvoie à nos fournisseurs.» Résultat, le taux de valorisation des déchets tourne autour de 94%. Cette démarche s'est systématisée aux 42 usines du groupe dans le monde. Mais l'usine de Ville Saint-Laurent, spécialisée dans les produits de coloration pour les cheveux destinés aux salons professionnels, se distingue, précise fièrement le directeur. En 2005, l'usine a reçu le prix du groupe L'Oréal de la meilleure initiative environnementale pour l'efficacité de la récupération de la chaleur de ses eaux de lavage et de ses compresseurs. «Avec un système de fonctionnement en cascade, on a réduit de moitié le nombre de compresseurs utilisés et de 39 % notre consommation d'électricité totale», dit-il. Et depuis un an, la chaleur, dégagée par les compresseurs, est utilisée pour chauffer l'entrepôt. Quant à l'eau de lavage, l'usine a mis en place des bassins de rétention où 20 000 pieds carrés de tuyaux d'eau froide sont réchauffés par l'eau chaude récupérée. Selon David Ohayon, directeur Environnement à l'usine, la consommation d'eau a été réduite de 54 % entre 2003 et 2006. Ces initiatives rapportent, estime Éric Wolff. «Une usine comme la nôtre investit près de 10 millions par an, dont 10 % pour l'environnement. On a un retour sur investissement de l'ordre d'un an.» Plus remarquable encore à ses yeux, l'implication des 280 employés de l'usine. " Le développement durable est un outil de motivation et de recrutement. Il rentre dans ce qui peut créer un sentiment d'appartenance à l'entreprise. " L'ORÉAL EN CHIFFRES - 52 000 employés dans 130 pays - 42 usines - 75 centres d'expédition - 2 rapports de développement durable en 2003 et en 2005 selon les critères du GRI Triuvé ici: http://www.lapresseaffaires.com/article/20070206/LAINFORMER/702060560
-
Du cerf à votre santé Dans la municipalité de Sainte-Élisabeth Réjean Lamontagne et Diane Lepage ont surpris leurs voisins, à l’automne 1996, lorsque des brames de cerfs rouges sont venus s’ajouter aux bruits ambiants de la paisible campagne de Sainte-Élisabeth. Aujourd’hui, ce qui n’était qu’un plaisir pour les yeux des propriétaires est devenu une véritable entreprise qui vend de la viande santé sans cholestérol avec un fort taux en fer et protéines. Comme nous avions pas mal d’animaux, nous avons décidé d’en abattre un pour voir ce que goûtait la viande. Nous avons expérimenté et nous nous sommes mis à faire plusieurs recettes », souligne le couple. Recettes qu’ils n’hésitent d’ailleurs pas à offrir à leurs clients. Cependant, ne cherchez pas les produits sur les tablettes des supermarchés lanaudois, car les seuls et uniques éleveurs de cerfs dans la région ne vendent leurs produits qu’à domicile. Poursuivre la lecture: http://www.laction.com/article-72831-Du-cerf-a-votre-sante.html
-
La SPCA récupère des animaux laissés au froid (INFO690) - Des animaux laissés au grand froid ont été récupérés hier soir par la SPCA Montérégie. C'est à la suite de plaintes que des policiers de la Sûreté du Québec se sont rendus sur une propriété dans le rang Salvail, dans le secteur de La Présentation, près de Saint-Hyacinthe. Dans l'extrait audio, l'agent Ronald McInnis, de la SQ, raconte la suite. Écouter: http://www.info690.com/nouvelle-spca_recupere_animaux_laisses-60812-27.html Une enquête est en cours. Il est encore trop tôt pour dire s'il y aura matière à poursuite. Pierre Laporte / Info690
-
La chasse aux animaux Les membres du conseil municipal de Vancouver veulent interdire la vente et la possession d'animaux exotiques. Les boas et autres grands serpents, les alligators ainsi que les araignées sont parmi les animaux visés par ce projet de règlement. Le conseil municipal a également demandé au maire de Vancouver, Sam Sullivan, d'écrire à l'Union des municipalités de la Colombie-Britannique pour proposer d'étendre la réglementation à l'échelle de la province. Le conseil municipal de Vancouver propose aussi d'interdire d'utiliser des animaux exotiques lors de spectacles. Trouvé ici: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/colombie-britannique/2007/02/02/004-animaux-exotiques.shtml
-
Des lapins géants pour contrer la famine? Berlin Un retraité allemand dit avoir été approché par la Corée du Nord qui souhaite importer les lapins géants qu'il élève pour résoudre son problème de famine. Karl Szmolinsky, un ancien chauffeur de 67 ans, a remporté le prix du plus gros lapin lors d'une récente foire agricole grâce à un spécimen de 10,5kg pour 74cm. Il élève ses «Géants allemands», des lapins gris de la taille de cockers, depuis 44 ans à Eberswalde, au nord-est de Berlin. Après sa victoire au concours agricole, il a reçu un appel téléphonique de la fédération régionale des agriculteurs. La Corée du Nord s'intéressait, semble-t-il, à ses gros lapins pour sortir ses habitants de la famine. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070203/CPINSOLITE/70203115/5406/CPINSOLITE
-
L'épicerie ENQUÊTES ET REPORTAGES Bien-être animal - Beaucoup connaissent le commerce équitable et biologique. Un autre volet de la consommation responsable est toutefois moins connu: la consommation animaliste, qui tient compte des conditions d’élevage des animaux. Non au foie gras Le gavage des animaux à l’origine de la production du foie gras est considéré par plusieurs personnes comme une pratique immorale. C’est pourquoi, dans une dizaine de pays européens, en Israël et en Californie, sa vente est interdite. Chicago, troisième pôle gastronomique en importance aux États-Unis après New York et San-Francisco, vient de suivre leur exemple. Le conseiller municipal Joe Moore a mené la bataille pour l’interdiction du foie gras dans sa ville. « Nous reflétons notre croyance culturelle qui veut qu’on ne torture aucun animal, ni toute autre créature de Dieu », explique-t-il. De son côté, l’Union européenne prend la question du gavage au sérieux. Elle a mis sur pied un comité sur l’éthique animale dont le mandat est d’établir des règles de conduite dans tous les types de productions animales. Revoir les méthodes d’élevage Le foie gras n’est qu’une des cibles dans la mire des groupes de défense des animaux, comme le groupe américain PETA (People for the ethical treatment of animals). Puissant lobby aux États-Unis, certains groupes de protection des animaux comme PETA ont beaucoup de pouvoir. Selon Renée Bergeron, spécialiste du porc et enseignante en éthique animale à l’Université Laval, les gens sont parfois mal informés par des groupes de pression comme PETA. « On pourrait se retrouver avec des excès ou des aberrations », explique-t-elle. Mais à leur image, de nombreuses organisations font pression pour que nos méthodes d’élevage soient révisées. Plusieurs ouvrages sont d’ailleurs publiés sur l’éthique animale. De l’élevage au marché Aux États-Unis, la chaîne d’alimentation Whole Foods Market propose une façon d’acheter qui tient compte du bien-être animal. On retrouve 190 Whole Foods Market chez nos voisins du sud, dont 2 à Chicago. Trois sont établis au Canada, soit à Vancouver, à Toronto et à Oakville. Dans cette chaîne, on vend des pâtés contenant du foie de canard et d’oie, mais les animaux qui l’ont produit n’ont pas été gavés. Whole Foods Market va plus loin: on n’y vend aucun homard ou crabe vivant. Selon Catherine Irons, de Whole Foods Market, aucune étude ne prouverait qu’ils ne souffrent pas pendant le transport et dans les viviers. On y vend ainsi que du homard et du crabe cuit, ou surgelé. Pour ce qui est de la viande, Whole Foods Market s’assure auprès de ses fournisseurs qu’elle ne provient pas d’animaux qui ont pu souffrir. « Notre mission est d’offrir de la viande qui provient d’animaux élevés et nourris humainement, ce qui permet d’offrir au consommateur un produit éthique », précise-t-elle. La chaîne d’alimentation refuse même de vendre des oeufs provenant de poules en cage. Pour que la viande soit vendue chez Whole foods market, les animaux, de leur vivant, doivent répondre à des standards de qualité de vie. Selon les normes de l’entreprise, les vaches doivent, par exemple, passer les deux tiers de leur vie à l’extérieur. Renée Bergeron a participé à l’élaboration des standards de Whole Foods Market concernant le porc. Selon elle, le bien-être animal relève du gros bon sens. Les animaux doivent être en santé, être bien nourris et bien logés. « On veut respecter leurs besoins comportementaux. On veut aussi des animaux qui n’ont pas peur inutilement, qui ne souffrent pas inutilement », précise-t-elle. Pour savoir si un animal répond à ses conditions, on peut, entre autres, mesurer ses hormones de stress. Un animal qui évolue dans de bonnes conditions a généralement un bon système immunitaire et résiste bien aux maladies. Consommation responsable La progression de la chaîne Whole Foods Market témoigne d’une nouvelle prise de conscience de certains consommateurs. Un nombre croissant d’entre eux s’intéressent au traitement des animaux dont ils consomment la viande. Les consommateurs veulent s’assurer qu’ils n’ont pas causé la souffrance. Cette tendance semble être là pour rester. D’ailleurs, outre les producteurs biologiques, de plus en plus de producteurs conventionnels se fixent des normes d’élevages, afin de montrer au public qu’ils peuvent aussi bien faire les choses. Évidemment, il y a un prix à payer pour s’assurer du bon traitement des animaux. « On peut pas avoir la viande bien-être, le meilleur bien-être et payer le prix en vente chez Costco », conclut Renée Bergeron. Regarder le reportage http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_11523.shtml# http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_11523.shtml
-
Toute la vérité sur l’interdiction européenne d’importation des produits de phoque (26 janvier 2007) - Contrairement à l’information publiée dans de nombreux médias, l’UE fait toujours enquête sur la situation de la chasse canadienne des phoques. L’UE pourrait donc décider de légiférer contre celle-ci, dans un futur plus ou moins rapproché. « Il est important de corriger cette interprétation inexacte du statut de l’enquête présentement menée par l’UE visant une potentielle interdiction d’importation des produits de phoque, » a souligné Sheryl Fink, porte-parole de l’IFAW. La « réponse officielle » mentionne simplement qu’une enquête approfondie du sujet doit être menée avant que quelque proposition visant l’interdiction d’importation de produits de phoque ne soit faite. La réponse de la Commission européenne note : La Commission est déterminée à maintenir des standards élevés en ce qui a trait au bien-être animal, tant au sein de l’UE que sur la scène internationale. Tous les efforts requis pour assurer la pratique d’une chasse aux phoques sans cruauté devront être mis en œuvre et, si la situation l’exige, il sera suggéré que le Conseil et le Parlement agissent en ce sens. Consciente du haut niveau de préoccupation publique que soulève la mise en place de méthodes d’abattage dites sans cruauté, et considérant son propre engagement au maintient de standards élevés en ce qui a trait au bien-être animal, la Commission examinera toute information disponible et prendra les mesures nécessaires afin d’assurer la pratique d’une chasse sans cruauté. Elle présentera ensuite les résultats de ces analyses dans les plus brefs délais. En se basant sur une évaluation objective et détaillée, la Commission tirera les conclusions de son étude et pourrait rappliquer avec certaines propositions législatives, si la situation l’exige. « L’opposition européenne continue de grandir devant la chasse commerciale, cruelle et non-durable des phoques au Canada, » a ajouté Madame Fink. « L’interdiction totale d’importation des produits de phoques votée hier démontre que la Belgique a été convaincue par l’évidence des faits s’opposant à la chasse. » « Nous attendons avec impatience les détails de l’enquête actuellement menée par l’UE sur la chasse et serons ravis de fournir l’ensemble des données recueillies au cours de nombreuses décennies d’observation. » Pour plus d’information, communiquez avec : Erica Martin (IFAW, Canada) Tél : 1-613-241-3982 poste 221 ou 1-613-852-0589 Courriel : emartin@ifaw.org Rédacteurs en chef : pour plus d’information, visitez le www.ifaw.org.
-
Phoques, Le film. Un contrepoids à la propagande et à la désinformation Mise à jour le jeudi 01 février 2007 Par: Le Radar Dimanche en après-midi, au cinéma Cyrco de Cap-aux-Meules, Madame Cécile Chevrier, une fille des Îles et productrice du documentaire «Phoques, Le film», a présenté avec une émotion non dissimulée le fruit de plus de cinq années de travail du réalisateur Raoul Jomphe, devant un auditoire tout aussi sensible et accroché aux moindres paroles de la présidente des Productions Phare-Est. Quant à monsieur Raoul Jomphe, réalisateur du film, il faut dire qu’il était en territoire bienveillant, ce qui devait faire contraste avec les différentes situations qui l’ont amené à tourner le documentaire présenté en avant-première devant un public choisi des Îles de la Madeleine. Le film Il s’agit d’un documentaire constituant une véritable remise en perspective quant à la traditionnelle chasse aux loups-marins. Tout au long du déroulement de la pellicule, le spectateur peut constater l’approche professionnelle du réalisateur et son équipe. La participation massive de gens impliqués directement ou indirectement dans la chasse au phoque fait contraste avec les images auxquelles nous ont habitué les médias internationaux. S’il est une des belles réalisations de ce documentaire, c’est bien que le réalisateur s’est d’abord infiltré au sein des mouvements abolitionistes et les a filmés tant dans leurs faiblesses que dans leurs forces, ce qui démystifie beaucoup l’aura avec laquelle ces gens se sont drapés depuis plus de quarante années. Par la suite et pour une première fois, il donne la parole «et l’image» aux gens impliqués dans cette chasse impopulaire. Biologistes, chasseurs, membres des familles de chasseurs, gens de l’industrie de la fourrure, environnementalistes, officiers de Pêches & Océans, enfin, tous ont droit de parole. Ni pleurnichard ni pompeux, ce documentaire est simple, mais pas simpliste. Le scénario et la chronologie des événements qui s’y déroulent «ne font pas dans la dentelle» non plus. Sans complaisance, on y fait la démonstration presque scientifique et comparative entre l’abattage filmé d’un animal voué à la consommation de viande domestique et l’abattage d’un loup-marin sur les glaces. Et l’argumentaire ne s’arrête pas là. Tout y passe ou presque. L’historique de toute la polémique entourant la chasse aux loups-marins, les images qui ont tout déclenché, la blessure infligée à tout un peuple accueillant et fier, le mépris des opposants à cette chasse, leurs manières contradictoires de faire valoir leurs opinions et sous un certain angle, on pourrait aussi dire, la malhonnêteté intellectuelle dont certains ténors du mouvement abolitionnistes font preuve, caméras à l’appui. Que faire de ce film Présenté à un public «vendu à l’avance» est une chose. Cependant, il faudrait maintenant voir la réaction d’un public neutre et celle d’un public majoritairement opposé à la chasse aux phoques. Pour ce faire, ce documentaire ne doit pas rester «pellicule» morte et ne circuler qu’à l’intérieur de quelques cercles fermés. Ce documentaire doit faire le tour du monde, particulièrement en Europe et aux États-Unis, dans nos écoles, nos musées maritimes et partout où il est susceptible de provoquer des réactions, surtout un questionnement, un éveil à l’autre réalité de l’acte plus que millénaire de l’homme, soit celui de chasser. Au fond, ce que ce documentaire dit tout haut et que bien des gens ont de la difficulté à entendre, c’est qu’on est tous, sans exception, des prédateurs et en de rares occasions, des proies. Du végétarien le plus pur au carnivore le plus gourmand, la vie se nourrit de la mort de l’autre. C’est quand une espèce n’a plus de prédateurs qu’elle devient dangereuse pour le reste de la chaîne alimentaire, pour les vivants qui demeurent, qui survivent. Dans «Phoques, Le film», on atteint ce but dans l’explication rationnelle, démontrée scientifiquement et vulgarisée avec un profond respect de l’intelligence et parfois argumentée avec un certain humour comme ce questionnement d’un des dirigeants de l’industrie de la fourrure au Canada qui dit à peu près ceci : «Les abolitionistes veulent remplacer la fourrure par un produit synthétique. Or, on sait que pour toute production à base synthétique, on pollue grandement notre atmosphère et par cela, on augmente notre participation au réchauffement global de la planète qui, en bout du compte, risque de détruire beaucoup plus de phoques par la fonte des glaces que tout ce que les chasseurs de l’Amérique du Nord pourraient abattre et que tout ce que les abolitionistes disent vouloir protéger. » « Phoques, Le film » …à voir absolument. Ce film ne s’adresse pas uniquement aux chasseurs, mais à nous tous, humains, qui pour vivre, devons depuis le début des temps, tuer autre chose de vivant pour assurer notre survie. *Contrairement à ce qui avait été annoncé la semaine dernière, «Phoques, Le film» sera présenté à la population des Îles dès vendredi, samedi et dimanche les 2, 3 et 4 février prochains (6 représentations) au cinéma Chez Wendell. Voir annonce en page 7. Trouvé ici: http://www.leradar.qc.ca/leradar/2007/2/1/Phoques_Le_811.cfm À lire également: La reconstruction de Madelipêche et PHOQUES Le film http://www.capacadie.com/leradar/2007/2/1/La_reconstruction_808.cfm Raoul Jomphe, réalisateur de «Phoques, le film». «Il faut combattre l’image par l’image» http://www.capacadie.com/leradar/2007/1/25/Raoul_Jomphe_146.cfm Phoques, Le film. Le public le reçoit avec une ovation debout http://www.capacadie.com/leradar/2007/2/1/Phoques_Le_812.cfm
-
-
Quand l’Amérique se met au fast-food végétarien Los Angeles En roulant trop vite, on est sûr de le manquer : les enseignes du PFK et du McDonald’s prennent toute la place. Mais il est bien là : Orean’s, un petit fast-food indépendant, qui compte un stationnement minuscule, une dizaine de tables extérieures et surtout un menu unique aux États-Unis. On y propose les plats habituels : cheeseburger, hot-dog, chili, tacos. Mais ici, le menu est célèbre pour ce qu’il ne contient pas : pas de viande, pas de produits laitiers, pas de poisson, pas de graisses animales, pas d’OGM. Chez Orean’s, les frites ne sont pas frites mais bien cuites au four. La « viande » est faite à partir de légumes, de tofu et de seitan. Les boissons gazeuses sont composées d’un mélange maison de kamut, de spiruline, d’algues et de jus de fruits. Exempts de produits laitiers, les milk-shakes sont composés de fruits et de lait de soya. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070131/CPACTUEL/70131040/5159/CPACTUEL
-
-
Réaction à l'article: Les vaches qui rient…des consommateurs Et les vaches et les veaux, est-ce qu'un jour ils seront épargnés? 2007-01-27 12:33 - Commentaire d'opinion - / LBR.ca / - Quelle bonne nouvelle que cette diminution de la consommation de produits laitiers! Cela signifie que, à terme, moins d'animaux seront exploités et emprisonnés, tués...car l'industrie du lait est très liée à celle de la viande, puisque les petits veaux, arrachés à leur mère, sont engraissés pour être conduits à l'abattoir; en effet, il faut que les vaches soient enceintes pour qu'elles donnent du lait. Nous pourrions aussi parler des mastites qu'elles développent à force d'être traites par les machines: inflammations ou infections de leurs pauvres mamelles. Lorsqu'elles ne sont plus assez rentables, ces vaches sont bien sûrs conduites à l'abattoir pour y être tuées, en guise de remerciement des services rendus. Voilà la réalité de l'industrie du lait: souffrance et mort pour tous ces bovins. « Les contribuables sont épargnés. » Et les vaches et les veaux, est-ce qu'un jour ils seront épargnés? Coralie Fambrini Trouvé ici: http://www.lbr.ca/article-4-5001.html
-
Chenil clandestin Deux personnes accusées de cruauté envers les animaux Sylvain Daignault Locataires du chenil de Saint-Mathieu de La Prairie où l'on a retrouvé la semaine dernière une trentaine de chiens dans un piteux état, une résidante de Châteauguay et un autre de Saint-Rémi font maintenant face à une accusation de cruauté envers les animaux. Suite à une information provenant d'une voisine qui s'inquiétait d'entendre continuellement les chiens hurler, les policiers de la MRC Roussillon, accompagnés de bénévoles de la SPCA, ont découvert le jeudi 18 janvier une trentaine de chiens qui semblaient littéralement laissés à eux-mêmes dans un ancien bâtiment de ferme du rang Saint-Pierre à Saint-Mathieu de La Prairie. Présidente de la SPCA Montérégie, Linda Robertson affirme avoir visité l'endroit durant cinq jours consécutifs sans que personne ne vienne s'occuper des chiens. Des accusations en vertu de l'article 446. (1) c) du code criminel ont été portées contre les locataires des lieux, une résidante de Châteauguay et un homme de Saint-Rémi. Cet article se lit comme suit : "Commet une infraction quiconque, selon le cas : c) étant le propriétaire ou la personne qui a la garde ou le contrôle d'un animal ou oiseau domestique ou d'un animal ou oiseau sauvage en captivité, l'abandonne en détresse ou volontairement néglige ou omet de lui fournir les aliments, l'eau, l'abri et les soins convenables et suffisants." À la demande de leurs confrères de Roussillon, les policiers de Châteauguay se sont présentés à la résidence de la dame afin de s'assurer qu'aucune autre bête ne vivait dans ces conditions. "Sur place, les agents ont découvert neuf chiens adultes de même que plusieurs chiots", indique la policière Nathalie Langevin. Trois constats d'infraction ont été émis contre cette femme soit possession de plus de deux chiens tel que permis par le règlement municipal de Châteauguay, avoir tenu commerce sans l'autorisation de la Ville et possession de chiens qui n'avaient aucune licence. Entre-temps, les chiens ont été confiés à des familles d'accueil non sans avoir été préalablement examinés par un vétérinaire. Par ailleurs, aucune accusation n'a été portée contre le propriétaire de la ferme. Trouvé ici: http://www.hebdos.net/lsc/edition52007/articles.asp?article_id=158043 Vague de sympathie pour des chiens maltraités http://www.hebdos.net/lrd/edition52007/articles.asp?article_id=157903 Encore trop bêtes http://www.hebdos.net/lrd/edition52007/articles.asp?article_id=157951
-
Vague de sympathie pour des chiens maltraités Normand Laberge DELSON - L'opération de sauvetage dans un chenil clandestin de Saint-Mathieu a beaucoup ému la population. À un point tel que la SPCA Montérégie a déjà une liste d'attente de plusieurs personnes intéressées à adopter un chien. "Je n'ai jamais vu ça en 15 ans, a souligné la directrice, Linda Robertson. Les gens sont vraiment choqués par la situation. J'en ai vu pleurer tellement ils étaient abasourdis de voir autant de chiens maltraités." C'est Mme Robertson qui a demandée l'aide des policiers à la suite d'un appel d'un citoyen. "La plainte remonte à une dizaine de jours, a-t-elle expliqué. Avant d'appeler les policiers, je me suis rendue à trois, quatre reprises pour voir ce qu'il en était. Ce qui m'a surtout surprise, c'est de voir qu'il n'y avait jamais personne sur place pour s'occuper de ces animaux." Mme Robertson s'est finalement décidée à communiquer avec la Régie de police Roussillon, le 15 janvier. Celle-ci a dû attendre d'avoir un mandat de perquisition avant de se pointer sur les lieux, jeudi dernier. Ce jour-là, la SPCA Montérégie a accueilli 32 chiens dans son refuge à Sainte-Angèle de Monoir. La plupart sont des danois, des dobermans et des bergers anglais. Selon Mme Robertson, ils vivaient dans des conditions exécrables sans eau ni nourriture depuis plusieurs jours. En plus d'être mal nourris, ces animaux vivaient dans leurs propres excréments. En entrevue à la télévision, l'une des propriétaires du chenil qui louait le bâtiment s'est défendu d'avoir abandonné les animaux. "Ils étaient surtout fatigués, a précisé Mme Robertson. Fatigués de vivre dans de telles conditions, mais aussi, et surtout, fatigués de devoir continuellement s'accoupler pour répondre aux exigences des propriétaires de ce chenil." Deux danois sont particulièrement mal en point, souffrant de maladies de la peau, selon Mme Robertson. "La première chose qu'on a fait quand nous les avons hébergés est de les recouvrir de couvertures et de soigner leurs blessures, a-t-elle expliqué. Or, malgré tous ses soins, ils tremblaient toujours autant." Un vétérinaire se présente régulièrement pour faire le suivi nécessaire. Tous les animaux ont été examinés par ce dernier. Aucun ne devrait être euthanasié. Certaines personnes qui veulent adopter un des chiens maltraités devront patienter puisque Mme Robertson ne peut exaucer leur désir tant et aussi longtemps que les locataires des lieux qui exploitent le chenil n'auront pas comparu en cour. Ils seront accusés par voie de sommation d'avoir omis d'apporter des soins convenables et suffisants à des animaux. Le gouvernement doit réglementer Ce n'est pas la première fois que Mme Robertson exhorte le gouvernement à réglementer concernant les chenils et ce, en dépit qu'il existe un organisme Anima-Québec qui doit, en principe, s'assurer du mieux-être des animaux. À l'heure actuelle, n'importe qui et de n'importe quelque façon peut opérer un chenil. Un meilleur encadrement réduirait le nombre de propriétaires irresponsables, selon elle. "La plupart de ces personnes n'ont pas à cœur le bien-être des animaux, a-t-elle déploré. Ils ne font ça que pour l'argent." "En réglementant et en s'assurant, surtout, que chaque chenil soit enregistré avec un numéro, on pourrait ainsi éviter ce genre de situation", a-t-elle ajouté. En attendant, Mme Robertson suggère aux personnes intéressées à acheter un chien de s'assurer de sa provenance. "Demandez de voir la mère ou le père des chiots avant de prendre votre décision, a-t-elle noté. S'ils répondent que c'est impossible, c'est signe qu'ils se passe quelque chose de pas normal." Trouvé ici: http://www.hebdos.net/lrd/edition52007/articles.asp?article_id=157903
-
Une première au Québec : un jumelage entre trappeurs et producteurs Barrages, blocage des ponceaux, berges qui s’effondrent, inondation des terres, pertes de récoltes, coupe d’arbres et bien d’autres encore. Depuis quelques années, les producteurs lanaudois ont de plus en plus de problèmes avec certains animaux à fourrure qui élisent domicile sur leurs terres, en particulier le castor. Devant ce constat, l’Union des producteurs agricoles de Lanaudière (UPA) a cherché une solution à long terme pour aider ses membres. C’est la raison pour laquelle, elle a approché l’Association des trappeurs de Lanaudière pour établir des jumelages entre producteurs et trappeurs. Le contrat est simple, pour la somme de zéro dollar, l’agriculteur ouvre sa terre à un seul et unique trappeur, qui lui aura la chance d’aller exercer sa passion. Attention cependant, le trappeur souhaite que cette entente soit valable pour une période assez longue, le temps de faire connaissance avec le terrain, mais aussi avec le producteur. « Les agriculteurs ouvriraient leur terre à une seule personne et non à dix. On peut aussi établir des règles par écrit, par exemple, les endroits où circuler, les endroits où se stationner, la marque du véhicule du trappeur, etc. », souligne Jean-Guy Ricard, vice-président de l’association des trappeurs de Lanaudière. L’avantage est d’autant plus grand, car lorsqu’il y a un problème les agriculteurs doivent souvent faire appel au ministère de la Faune, qui lui, ne se gêne pas pour envoyer une facture. Lanaudière est la première région à établir ce genre de jumelage, mais pour l’instant les foules ne se bousculent pas aux portes comme le mentionne Marcel Papin, président du syndicat du Portage. « Nous en avons parlé dans notre syndicat, mais ça n’a pas levé fort. Les producteurs ne veulent pas d’étrangers chez eux. Ils n’ont peut-être pas le temps de s’occuper de ça ou les dommages sur les terres ne sont pas assez grands pour les faire bouger. » M. Ricard comprend la réticence des agriculteurs, mais il souligne que le problème des animaux à fourrure ne se résorbera pas tout seul, surtout que, selon ses observations, le nombre d’animaux à fourrure augmente d’année en année. « Pour stabiliser la population de castors, il aurait fallu en trapper 4000 et nous en avons trappé seulement 1800, nous sommes loin du compte », fait remarquer M. Ricard. Les producteurs qui sont intéressés par ce jumelage ou qui désirent obtenir plus d’informations peuvent communiquer avec Andréanne Aumont à l’UPA au 450-753-7486 poste 245. Trouvé ici: http://www.laction.com/article-69807-Une-premiere-au-Quebec--un-jumelage-entre-trappeurs-et-producteurs.html
-
Le 26 janvier 2007 - 20:01 Leur chasse peut contribuer au déclin du caribou, admettent les autochtones Presse Canadienne Les autochtones du Nord du Canada reconnaissent que leur chasse joue peut-être un rôle dans le déclin drastique des hardes de caribous dans l'Arctique. Un sommet de trois jours sur la question a recommandé que les peuples dont la subsistance et la culture dépendent de cet animal pourraient, pour la toute première fois de leur histoire, devoir limiter le nombre de caribous qu'ils abattent. "Nous devons pratiquer une récolte disciplinée, a dit Richard Nerysoo, le chef de la bande Déné d'Inuvik. Nous devons comprendre que cela doit changer." La population de caribous est en chute libre dans le Nord. Cinq des sept hardes sont en déclin, une sixième est soupçonnée de connaître le même problème et aucune information n'existe concernant la septième. La plus grande harde, la harde Bathurst au nord du Grand lac des Esclaves, est passée de 500 000 individus il y a 20 ans à environ 186 000, un recul de 60 pour cent. Personne ne sait pourquoi, mais les changements climatiques et une augmentation de l'activité industrielle sont au nombre des suspects. La conférence a notamment recommandé une protection accrue pour les terrains de mise bas, qui sont de plus en plus convoités par les entreprises minières. Les méthodes de chasse modernes sont aussi mises en cause. Les hardes peuvent maintenant être repérées par avion, voire suivies sur Internet, les routes et les véhicules facilitent les transports, et les chasseurs sont équipés d'armes plus puissantes. "Les méthodes de chasse ont changé très rapidement et les gens doivent encore s'y adapter", a dit Norman Snowshoe, de Fort MacPherson. La chasse autochtone est reconnue par divers traités, et n'est aucunement réglementée. Les autochtones abattraient environ 11 000 animaux par année _ soit dix fois plus que les pourvoyeurs et les chasseurs résidants, dont les quotas ont déjà été réduits. La conférence met en présence 180 représentants de six territoires et provinces, des autochtones, des représentants de l'industrie, des écologistes, des pourvoyeurs et des chasseurs sportifs. Toute limite à la chasse devra toutefois être approuvée par les communautés individuelles et les conseils de chasse. Convaincre une population pour qui le caribou est si important d'accepter de telles limites risque par contre d'être difficile. "Ça ne sera pas très populaire, a reconnu Robert Charlie, le président de la Commission des ressources renouvelables de Gwich'In. Mais nous savons aussi que des règles volontaires ne fonctionnent pas." Il a ensuite ajouté qu'un exemple historique existe déjà de ce qui se produit lorsqu'on ne se préoccupe par des générations futures. "Nous ne voulons pas être comme les Indiens des plaines, qui ont exterminé le bison", a-t-il dit. Trouvé ici: http://www.matin.qc.ca/canada.php?article=20070126200130
-
LE 26 JANVIER 2007 - 13:29 ET Déclaration de Loyola Hearn ministre des pêches et des océans : Le ministre Hearn se dit heureux que la commission européenne ne prépare pas de mesure interdisant les produits du phoque OTTAWA, ONTARIO--(CCNMatthews - 26 jan. 2007) - Je me réjouis de la réponse que vient de donner la Commission européenne à la déclaration du Parlement européen sur les importations des produits du phoque. Cette réponse signifie pour l'instant qu'aucune mesure législative visant à interdire les importations liées au phoque ne sera élaborée par l'Union européenne. Cette réponse mesurée est positive et importante. Elle valide la gestion prudente que nous prônons dans la conservation du troupeau de phoques, et reconnaît qu'aucune menace de conservation ne pèse sur la population de phoques du Groenland du Canada. Plus important encore, cette réponse souligne les contradictions dans le débat sur la cruauté de la chasse au phoque, confirmant que bien des faits sont effectivement déformés et que la rhétorique est souvent inexacte dans un grand nombre de campagnes contre la chasse au phoque. Nous saluons la décision de la Commission européenne d'adopter résolument et avec justesse une approche basée sur les faits dans ce dossier. De plus, nous prions les pays européens de prendre acte de cette décision éclairée et importante. Cette démarche positive montre qu'il importe d'associer la communauté internationale et de rendre public les faits concernant la chasse au phoque. Lors des rencontres que j'ai eues dans la dernière année avec de nombreux groupes de parlementaires européens, j'ai été fier de représenter personnellement l'industrie du phoque, qui est essentielle à la santé économique du Québec rural, de nos territoires nordiques, de nos provinces maritimes ainsi que de Terre-Neuve-et-Labrador. Les efforts déployés à l'échelle internationale pour perturber l'industrie canadienne des produits de la mer mettent en lumière le besoin d'une représentation accrue sur la scène mondiale et accentuent la pertinence de l'annonce effectuée hier concernant l'ambassadeur Sullivan. Avec le soutien de nos ministères, nous nous ferons un plaisir, M. Sullivan et moi-même, de rassurer les parlementaires et les représentants de l'Union européenne sur le fait que la chasse au phoque est sans cruauté, durable et économiquement viable, car nous voulons protéger cette précieuse ressource naturelle pour les générations à venir. Loyola Hearn Ministre des Pêches et des Océans POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC: Pêches et Océans Canada, Ottawa Steve Outhouse Directeur des communications, cabinet du ministre 613-992-3474
-
La chasse au phoque expliquée aux Européens Pêches et Océans Canada et le ministère des Affaires extérieures du Canada recevront une délégation de grands médias nationaux européens à Terre-Neuve et aux Îles de la Madeleine la semaine prochaine pour leur expliquer les rudiments de la chasse au phoque. Le gouvernement canadien veut accroître ses efforts de communication pour contrer les campagnes internationales de propagande des animalistes. Les journalistes rencontreront les chasseurs de phoques et les industriels dans leur milieu de vie. Plusieurs pays européens envisagent d'adopter des lois interdisant l'importation de produits du phoque. Aux États-Unis, l'organisme Humane society of United States mène une campagne depuis deux ans pour convaincre les restaurateurs américains de ne plus servir de produits de la mer du Canada à leurs clients. En 1983, le parlement européen a adopté un boycottage de certains produits du phoque. Le directeur de Pêches et Océans des Îles de la Madeleine, Roger Simon, s'en souvient: « Beaucoup de gens ne pensaient jamais que ça serait adopté et personne ne prenait ça au sérieux jusqu'au jour où on s'est rendu compte que nos marchés étaient fermés. Je pense qu'il ne faudrait pas répéter les erreurs du passé et rester inactifs ». Pêches et Océans travaillera donc sur plusieurs fronts. Les ambassadeurs étrangers et canadiens seront informés sur la chasse au phoque. Des associations américaines seront aussi rencontrées, dit M. Simon: « Pour beaucoup, c'est corriger l'information qui est un peu déformée des groupes antichasse ». http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/01/26/002-chasse-phoques-expliquee.asp
-
Chasse aux phoques : une campagne d'information est mise sur pied CN)- Le ministre de Pêches et des Océans est présentement en train de développer une campagne d'information afin de rétablir les faits entourant la chasse aux phoques an Europe et aux États-Unis. Selon Roger Simon, directeur du bureau du ministère aux Îles-de-la-Madeleine, la stratégie d'intervention européenne devra cibler les parlementaires allemands, néerlandais et belges. Aux États-Unis, ce sont les restaurateurs des côtes Est et Ouest que le plan de communication visera, question de contrer l'appel au boycott des produits marins canadiens http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-chasse_phoques_campagne-48456-2.html
-
Explosion d'une bombe dans un marché aux animaux de Bagdad Une bombe a explosé vendredi dans un marché aux animaux populaire de Bagdad, tuant au moins six personnes et en blessant 14 autres, a annoncé la police irakienne. L'engin était dissimulé dans une boîte quand il a explosé vers 10 h locales au Souq al-Ghazl qui attire acheteurs, vendeurs et fermiers d'oiseaux, de chiens, de chats et d'autres animaux tels que moutons et chèvre. Trouvé ici: http://www.info690.com/nouvelle-explosion_bombe_dans_marche-48566-12.html