Tartiflette111

Je sais, question très c** même si je pense que c'est le cas, à quel age perdent-ils leurs dents de lait. Sachant qu'un chiot à 32 dents et 42 adulte, la machoire du chat est-elle identique ?

Pas sure que la moustiquaire résiste longtemps aux assaults de Damo Perso quand j'ai eu mon fils, la chambre étant à l'étage, donc interdit pour la minette, elle a fait quelques tentive, j'avais attaché des grelots dans l'escalier... Mais pas facile d'empécher un chat de se lover sur bébé tout chaud. Ca m'a toujours fait fliper.

Wahouuu ! Sublimes tes photos ! James est superbe ! 4 étoiles leurs repas chez toi

Effectivement ma minette est née dans une grange... Je n'était pas très chat mais le gars allait les noyer quand je suis passée par là... Mon p'tit coeur n'a pas résisté et il a accepté d'en épargner une : ma minette. Mais c'est clair qu'elle n'a vu que sa mère et je l'ai eu à 8 semaines. Je n'avais pas pensé à cette possibilité, merci

Oui bizard ma question hein ? Je m'explique, j'ai donc eu une minette, un vrai chat des rues, toujours partie à droite à gauche. Ce qui me "gêne" chez le chat (de goutière) c'est son indépendance, sa façon d'avoir plusieurs chez soit et de revenir par intérêt de la gamelle qui s'annonce... Minette était très câline, mais c'était quand elle voulait, ou du moins quand elle était là. On m'a toujours dit que les chats de race (LOOF) avais un comportement différent, qu'ils étaient presque "chien". J'ai pu le constaté avec le maine coon de Criss mais est-ce le cas de tous les chats de race ? Sans vouloir comparer le chat au chien, j'ai un peu de mal avec ce comportement moins affectif et trop indépendant à mon gout. Quand pensez vous ?

Elle est sublime la petite Futée. De très jolies photos tendresse !

Ma-gni-fi-que !! Merci pour le partage !

Il a eu raison le père noël de te gâter Superbe photos et très joli modèle

je ne suis pas trop chat, mais chat alors !!!! Ils sont sublimes Moi mon chouchou c'est Max

Wahouuu immaculée ton Eclipse, faudra me donner ta combines pour mes westies Très très belle !

Toutes de bien belles photos ! Trop fort Lissy

Elle est très belle, tout comme votre histoire

Ma minette m'a souvent rapporté des p'tits cadeaux devant la porte d'entrée. Souris ou lézard poélés, ça ne doit pas être mauvais Peut être qu'elle devait être déçue de ne pas me voir courir derrière une souris Elle avait le sens du partage ta nenette Patoune, j'imagine bien la scène de la mouche

Je laisse le soin aux éleveurs de compléter les élements que l'aurais pu oublier...

Si vous achetez votre chat chez un éleveur, certains documents obligatoires vous seront remis. Ils valident l’acte de vente et attestent de la bonne santé de l’animal. L’attestation de vente signée par les deux parties et portant les précisions suivantes : - Les coordonnées du vendeur et de l’acheteur. - Le numéro d'identification de l’animal. - Sa date de naissance, son sexe, sa race. - Le prix de vente. - Les garanties contre les vices rédhibitoires. - La destination de l’animal (compagnie, reproduction, garde…). - Les coordonnées du vétérinaire choisi par le vendeur. - Les dates de vente et de livraison. - Un certificat de naissance pour les animaux de race inscrits au LOOF (Livre Officiel des Origines Féline) Ce certificat de naissance comprendra : le numéro de déclaration de naissance, l’identité des deux parents et de ses ancêtres, le LOOF. Le carnet de vaccination signé par un vétérinaire ainsi qu'une attestation de bonne santé. Le jeune animal doit avoir déjà reçu sa première injection à 8 semaines. Le rappel intervient un mois plus tard. L'animal adulte doit posséder un carnet de vaccinations à jour. Le certificat d'identification : Arrêté du 30 juin 1992 : Tous les chats de race ou croisés doivent être identifiés par tatouage ou par puce électronique à partir de l’âge de 2 mois. C’est la carte d’identité de l’animal. De façon générale : Il est obligatoire d’obtenir un document d’information et de conseils sur les besoins et l’éducation de l’animal. De plus, la loi protège les propriétaires d’animaux achetés chez un éleveur et assure 3 garanties : les vices rédhibitoires, les vices cachés et les vices de consentement.

Depuis la loi du 2 juillet 2001, le propriétaire d’un chat ou d’un chien a le choix du mode d’identification de son animal, le tatouage ou la puce électronique. Qu’est-ce que l’identification ? L’identification consiste en un enregistrement officiel permettant de répertorier l’animal. Pourquoi identifier son chien ou son chat ? L’identification des chiens et des chats est obligatoire en France depuis le décret du 28 août 1991 suivi de l’article 276-2 du Code Rural. - Pour tous les chiens de plus de 4 mois. - Pour tous les chiens et chats, en cas de cession ou de vente. - Par ailleurs, cette identification est exigée si l’animal quitte le territoire aussi bien vers l’étranger que vers un département ou un territoire d’outre-mer. Nouvelle réglementation : La loi du 20 juin 2008 interdit la cession d'un chien ou d'un chat sans un certificat vétérinaire qui indique le numéro d'identification de l'animal. En outre, l'arrêté du 10 Octobre 2008 impose le passeport pour animaux de compagnie comme seul support de certification de la vaccination antirabique. Ce passeport indique le numéro d'identification. De façon générale, un chat et un chien identifiés auront plus de chance d’être retrouvés en cas de perte, de fugue ou de vol. Enfin, le fait d’être identifié et vacciné permettra à l’animal d’échapper à la menace d’euthanasie lors des alertes rage. Comment se pratique l’identification L’identification peut se faire soit : Par tatouage. Le tatouage, maintenant passé à 7 chiffres, est réalisé dans l’oreille ou sur la face interne de la cuisse. Le fichier en est géré par la SCC (Société Centrale Canine). Par radiofréquence ou puce électronique. La puce est implantée sous la peau par une injection indolore et sans anesthésie réalisée par un vétérinaire. Elle est sans danger pour l’animal et son entourage. Les vétérinaires, les refuges et les services de police peuvent décoder la teneur de cette puce à l’aide d’un lecteur spécial. Quels documents accompagnent l’identification ? Une médaille que l’on accroche au collier peut indiquer que l’animal est équipé d’une puce électronique. Quelques jours après la pose de la puce, on reçoit la carte d’identité de l’animal.

J'ai trouvé un article là dessus : La médecine moderne prend de plus en plus en compte la douleur humaine des patients. Ce n’est plus une fatalité. Pour les animaux, il a fallu attendre longtemps pour admettre qu’ils puissent ressentir des souffrances comme nous. Un peu d’histoire : Au XVIe siècle, les savants et les théologiens s’affrontèrent dans des débats houleux pour savoir si la douleur physique était réservée à l’espèce humaine et si les espèces animales en étaient exemptes. L’homme était-il seul à endurer des souffrances, sans doute pour expier ses fautes ou celles des autres selon la religion chrétienne? Les mentalités ont évolué et on admet maintenant que nos animaux familiers aussi peuvent ressentir des douleurs. Il a fallu attendre la fin du XXe siècle pour que la médecine animale prenne en compte cette donnée. Un problème philosophique : Cependant, cette prise de conscience est toute relative. En effet, si nous sommes convaincus qu’un singe, un chat ou un chien souffrent, sommes-nous sûrs qu’il en est de même pour une fourmi, une mouche ou un ver de terre ? A partir de quelles espèces, concevons-nous la souffrance ? Les volailles immobilisées par dizaines dans des paniers ou suspendues par les pattes ressentent-elles des douleurs ? Un animal peut-il avoir mal s’il ne nous communique pas sa souffrance? La réalité : Par anthropomorphisme, nous nous référons toujours à l’homme pour considérer que la douleur ne peut s’exprimer que par des cris et des grimaces mais, à l’état sauvage, un animal cache son état de faiblesse pour ne pas attirer l’attention d’éventuels prédateurs. Comment déceler la douleur de votre chat ? • Il gémit ou il crie, surtout si on le touche sur la partie du corps affectée. • Il ronronne. En effet, un chat peut aussi ronronner s’il ressent de la peur, de l’anxiété ou de la douleur. • Il s’isole et se blottit dans un coin, à l’abri des allées et venues. • Il respire fortement, il halète. • Il ne reste pas en place, s’agite et change sans arrêt de position. • Il lèche et mordille la partie du corps qui le fait souffrir. • Il ne mange plus et devient léthargique. • Il néglige son hygiène. • Ses yeux se révulsent, sa pupille se dilate. • Il grogne ou mord lorsqu’on le manipule. Si les symptômes vous alarment, une consultation chez le vétérinaire s’impose !

En relisant, je ne pense pas qu'une chatte secoue son petit par la peau du cou... si ?

Si votre animal peut présenter des problèmes de comportement liés à sa santé, il peut aussi manifester des réactions dues à son entourage, les humains ou les autres animaux. Nous devons apprendre à connaître nos animaux de compagnie. Leurs comportements, propres à chacun, correspondent le plus souvent à ce que l’on attend d’eux. Toutefois, certaines manifestations peuvent s’avérer gênantes et même dangereuses. Exemples de comportement : Jets d’urine : La queue dressée et vibrante, le chat trépigne des pattes postérieures et urine en hauteur, sur les murs, les pieds des meubles, les nouveaux objets, les tentures… C'est le signe du marquage de territoire et de l'effacement des traces d’autres congénères par le dépôt de phéromones sexuelles. Remèdes : l'éloignement des autres chats, la pulvérisation d’un produit révulsif, la stérilisation. Morsures Remède : la pulvérisation d’eau sur le coupable avec une seringue. Chasse et présentation du trophée à son maître C’est son instinct de chasseur qui se manifeste. Remède : équiper le chat d’un collier muni d’une clochette qui effraiera les proies. Agressivité vis-à-vis des humains : On peut penser à de l'anxiété, à la présence trop insistante de l’homme, à une mauvaise socialisation du chat... Remède : la visite au comportementaliste animalier. Agressivité vis-à-vis des congénères : C’est un problème de hiérarchie. Remède : réorganiser l’espace, séparer provisoirement les chats agresseurs, mettre des grelots à chacun pour éviter les rencontres fortuites, les nourrir séparément. Frottement des joues, des flancs et de la queue : C'est un marquage de propriété ou de contentement. Piétinements sur la poitrine ou les genoux du maître : C’est une marque de confiance et d’assimilation à la mère lorsqu'il était bébé. Attitudes d’accouplement de la part de la femelle : Elle est sans doute en chaleur. Remède : l’éloigner provisoirement des mâles du voisinage ou attendre la fin de la crise .

Votre chat peut, à tout moment, présenter des problèmes de comportement. Il est nécessaire de l'observer au quotidien, afin d'en détecter les signes. Le chat et le chien sont les deux animaux les plus proches de l’homme. Ils ont été domestiqués et on attend d’eux des comportements sociaux adaptés à leur statut : animaux de compagnie, chasseurs, reproducteurs, limiers, animaux de spectacle… Malgré tout, ils peuvent avoir des réactions inhabituelles et, parfois même, gênantes pour leur entourage. Ces manifestations sont inhérentes à la race, au sexe, à l’âge, au caractère propre, mais aussi à des troubles relationnels ou cliniques. Tous ces facteurs peuvent opérer isolément ou cohabiter et il est parfois difficile d’isoler une cause plutôt que l’autre. Exemples de comportements Perte d’appétit : On peut imaginer qu'il chasse, qu'il profite de multiples sources d’alimentation ou que sa nourriture est peu appétissante ou avariée. On peut craindre également des troubles digestifs ou du stress en relation avec un environnement inadapté. Remèdes : le distributeur de croquettes, le changement de nourriture. Il boit beaucoup : Il faut craindre une crise de diabète. Griffades : Est-ce le marquage de territoire, la dépense d’énergie ou plutôt la libération du stress? Remèdes : l'« arbre à griffer », la taille des griffes trop longues. Vomissements : On peut émettre plusieurs hypothèses: le repas a été avalé goulûment, le chat souffre de problèmes gastriques ou il est simplement angoissé. Remèdes : le distributeur de croquettes, des paroles rassurantes ou une consultation si les vomissements persistent. Malpropreté : A-t-on nettoyé sa litière, le chat associe-il le lieu à un mauvais souvenir, exprime-t-il des manifestations émotionnelles, souffre-t-il d'énurésie, d'encoprésie? Remèdes : le changement de récipient, de type de litière, de lieu… Penser aussi à rassurer le chat. Fugues répétées : C’est peut-être la saison des amours ou cela correspond au tempérament nomade du chat. Remèdes : le tatouage ou la puce électronique, un collier avec l’identité du chat et les coordonnées du maître.

Que ce soit avec ses postures ou ses miaulements, le chat ne cesse de communiquer avec nous. Etre attentif, permet de renforcer la complicité. " Miaou ! Ce balourd de Médor prétend mieux communiquer que moi avec les maîtres. Le pauvre ! Moi aussi, mais plus discrètement et plus subtilement, j’entre en relation avec les autres par le biais de la voix, des attitudes, des mimiques, des odeurs…Et tout le monde me comprend ! Démonstration " C’est le pied ! Tu m’as manqué : Minet arrive de loin ( en miaulant ?), la queue droite, les oreilles dressées. Tu es à moi : reniflements et frottements avec les zones arrière des oreilles pour vous démontrer sa tendresse et vous marquer de ses phéromones. Caresse-moi : frottements, à droite, à gauche, ronronnements bruyants, queue verticale frémissante, couché sur le dos pour des caresses. Je m’endors : couché, détendu, le ventre en l’air, les yeux clos ou mi-clos, bâillements. Fiche-moi la paix ! : tête détournée, grognement étouffé. Ca me rappelle ma mère : piétinements sur vos genoux ou votre poitrine et enfoncements frénétiques des griffes à travers les vêtements (et la peau !). On joue ? : excitation, corps arqué et dansant autour du copain, yeux grand ouverts. J’me balade : promenade, la tête haute et la queue dressée. Je marque mon territoire : promenade la queue dressée, dressé contre le tronc d’un arbre, griffades et jets convulsifs d’urine sur les végétaux, les troncs et les roues des voitures. C’est la toilette : léchage appliqué de la patte qui nettoie et lustre le pelage, nettoyage des parties génitales avec la langue. Chouette, un parfum ! : frottage de la charogne en putréfaction avec l’arrière des oreilles. J’ai faim ! Vite ! : miaulements bruyants et insistants. Qu’est-ce que c’est ? : approche prudente et reniflement préalable. Miam-miam ! : accroupi et la queue au sol si c’est à son goût. Beurk ! : sinon, air de dégoût et recul. Ouille, ouille ! Je me sens mal : miaulements plaintifs, ronronnements (?) pour calmer sa détresse comme le faisait sa mère lorsqu’il était bébé. Aïe !!! : miaulement perçant. Je pars en chasse : J’ai vu une proie : aplati au sol, le regard fixe, la queue basse qui s’agite nerveusement. Je m’approche : reptation par déplacements successifs jusqu’à une distance de bond. Et, hop ! : saut, les pattes en avant, saisie de la proie au sol ou en l’air. J’en fais quoi ? : immobilisation, jeu à libérer et reprendre, offrande du trophée entier ou partiel au maître (?), sacrifice, dégustation totale ou partielle. Miam ! : toilette consciencieuse avec la langue.

La cohabitation du chat avec ses congénères ou les humains est soumise à des codes, que nous avons bien souvent du mal à saisir. Cependant, il suffit parfois, de l'observer pour comprendre son langage. « Miaou ! Ce balourd de Médor prétend mieux communiquer que moi avec les maîtres. Le pauvre ! Moi aussi, mais plus discrètement et plus subtilement, j’entre en relation avec les autres par le biais de la voix, des attitudes, des mimiques, des odeurs… Et tout le monde me comprend ! Démonstration » Voilà quelqu’un : J’entends quelque chose : une oreille droite, l’autre orientée pour déceler une présence. Tu es qui, toi ? : droit sur les pattes, déplacement contrôlé, regard fixe, oreilles dressées. J’ai la pétoche ! Il est pas net ! : immobile et raide, face à l’intrus, retraite au ralenti sans quitter l’autre du regard. Aux abris ! : fuite éperdue vers une issue de secours ou un arbre, poil hérissé sur tout le corps. Coucou ! Occupe-toi de moi ! : miaulement doux et répétitif en suivant le maître dans tous ses déplacements. La porte est fermée : immobile devant l’obstacle, miaulements sonores et affirmés. Fais gaffe à toi ! Je t’ai à l’œil : immobilité du corps et la queue qui frappe le sol, petits coups répétés. Tu me portes sur les nerfs : aplati au sol, larges oscillations de la queue. Tu insistes ? : regard fixe, yeux mi-clos, feulements et crachotements, dents apparentes. Ici, c’est chez moi ! : corps arqué, poil hérissé, queue gonflée, miaulement long et modulé, claquement des dents. C’est moi le chef ! : approche lente en position basse, regard fixe, miaulements modulés avant l’agression, la griffe en avant en soufflant, poil hérissé sur le dos. Et les amours ? Je cherche un(e) partenaire : marquage urinaire. C’est mon fief : les mâles se battent et s’amaigrissent. Que je suis énervée ! : gémissements bruyants et prolongés, excitation, exhibition de l’arrière-train, pédalages. Tiens, un matou : en attente, immobile, feulements (« pleurs de bébé »). J’ai trouvé une minette : saisie de la chatte par le cou et piétinement de son dos. J’ai des chatons ! Du calme, je suis là ! : miaulements et léchages vigoureux. Tétez en paix ! : ronronnements pour apaiser les chatons et leur donner la cadence de la tétée.

Le chat est un félin miniature doté de 5 sens particulièrement développés qui lui permettent de s’adapter à tout notre environnement rural ou citadin L’ouie : Le chaton ne commence à percevoir les premiers bruits qu’au 2e ou 3e jour. Il a des oreilles mobiles qu’il oriente indépendamment l’une de l’autre et peut ainsi isoler un bruit parmi les autres. Il est ainsi capable de localiser un son dans n’importe quelle direction et de situer une proie à quelques centimètres près. L’odorat : Le chat est macromique, c’est-à-dire qu’il sélectionne une odeur parmi d’autres. En outre, son organe de Jacobson, situé derrière les dents, au-dessus du palais, lui permet de détecter, en particulier, les chattes en chaleur en reniflant leurs effluves. Le goût : Le chat paraît préférer les saveurs salées, acides et amères. Ses papilles gustatives se situent au bout de la langue, ce qui explique pourquoi il n’a pas besoin d’avaler pour aimer ou refuser un plat. Il est très sensible aux odeurs azotées et refuse de toucher des mets légèrement avariés. C’est aussi un fin "goûteur d’eau " et il en apprécie les qualités minérales. Le toucher : Ses vibrisses, très sensibles et à la base particulièrement innervée, lui servent d’antennes et lui permettent d’apprécier les distances et les variations atmosphériques. Elles se situent sur les joues (moustaches), mais aussi autour des lèvres, des yeux, du nez et sur les pattes antérieures. La vue : Le chaton, aveugle à sa naissance, ne commence à voir qu’entre le 5e et le 15e jour. Il possède une troisième paupière qui protège l’œil en se fermant horizontalement et que l’on voit lorsqu’il est malade. La dilatation de sa pupille lui permet de s’adapter à tous les éclairages. Peu de lumière lui suffit, mais il ne voit pas dans le noir absolu. Au fond de son œil, se trouve une membrane réfléchissante appelée tapetum lucidum qui renvoie la lumière sur la rétine. Les autres sens : Le sens de l’équilibre A partir du 2e mois, son oreille interne est mature et le chaton acquiert un sens de l’équilibre exceptionnel qui lui permet de jouer les acrobates. Peut-être des sens surnaturels : Des histoires, aussi extraordinaires les unes que les autres, pourraient suggérer que le chat est capable de s’orienter pour retrouver ses maîtres, de prévoir les changements météorologiques, les séismes, de sentir la mort… Mystère !

Une fois votre chaton sevré, il vous faudra prendre le relais pour continuer la socialisation de l'animal... Quelques règles à suivre. Il est admis qu’on ne doit pas adopter un chaton avant l’âge de 3 mois. Il sera alors sevré et sa mère lui aura appris la propreté. Elle l’aura, également, accompagné dans sa maturation psychologique. Pour le chaton, la période de socialisation élabore son tissu relationnel et conditionne son futur comportement. Adopté trop jeune, un chaton risque d’avoir des problèmes comportementaux. Le test du portage est probant : On soulève le chaton par la peau du cou, comme le ferait sa mère : s’il accepte passivement, sa socialisation est réussie, s’il se débat, sa socialisation est inachevée. La socialisation : Durant les trois premiers mois du chaton, la mère joue un rôle essentiel dans les premiers apprentissages. Il vit des expériences de cohabitation avec elle et ses frères et sœurs. A leur contact, il apprend que les jeux ne doivent pas dégénérer et que les affrontements doivent être contrôlés. Par imitation et dans sa relation avec sa mère, le chaton découvre que les morsures et les griffures font mal et qu’il doit maîtriser ses gestes. Au cours de ses diverses situations ludiques, il bénéficie de multiples stimulations sensorielles qui alimentent son vécu et enrichissent son potentiel. Il est donc essentiel qu’il bénéficie d’un cadre de vie stimulant. Progressivement, il acquiert une plus grande stabilité émotionnelle et il grandit de façon harmonieuse en surmontant d’éventuels troubles du comportement. Il apprend ainsi qu’il appartient à l’espèce chat et se positionne par rapport à ses congénères, mais aussi par rapport aux humains et aux autres animaux, familiers ou sauvages. Peu à peu, le chaton différencie : - les membres de sa famille, - les autres chats, - les chiens, - les NAC, les rongeurs, les oiseaux, les poissons… - les humains, grands et petits, mais il reconnaît aussi qui est gentil, qui est dangereux, qui est une proie... En conclusion : La socialisation permettra au chaton de mener de façon autonome sa propre vie parmi les occupants du foyer mais aussi parmi les visiteurs. Il doit apprendre à décrypter les codes des autres et à les respecter tout en préservant son indépendance. On considère qu'un chat qui s’épanouit au sein du groupe familial est un animal familier et qu'un chat qui accepte aussi les intrus est un animal social.

Avant le sevrage, c’est la chatte qui inculque les premiers éléments d’éducation à son chaton. Au cours des semaines suivantes, c’est l’homme qui prend le relais. Le chaton et sa mère : Instinctivement, la mère le conditionne à son statut de chat domestique. Elle sait parfaitement le bousculer et même le mordiller quand il la blesse en tétant. Les sanctions sont toujours proportionnées aux infractions et le chaton établit rapidement la relation entre les deux. Le chaton et son maître : Eduquer un animal demande de la patience et de la persévérance. On ne peut lui inculquer qu’une ou deux règles à la fois. Ce n’est qu’après les avoir installées que l’on peut passer à d’autres acquisitions. Comment : Règle de base : la récompense est plus opérante que la punition. L’animal qui associe une action ou une attitude à une récompense ou des félicitations sera enclin à les reproduire. Le chaton adore certaines friandises, il quémande des caresses, il recherche son jouet favori, il est sensible à votre voix… Il faut en user lorsque l’on veut installer les bonnes acquisitions. C’est le renforcement positif. D'autre part, il faut être cohérent et systématique. Le chat ne comprend plus si on lui autorise aujourd’hui ce qu’on lui a interdit hier. Cela demande donc une concertation au sein de la famille et nos réactions doivent être unanimes. La "punition" doit rester exceptionnelle, dosée et toujours en situation. Le chaton ne peut comprendre notre réaction pour ce qu’il a pu faire, il y a longtemps. On peut, comme sa mère, le saisir par la peau du cou et le secouer. On conseille aussi parfois le jet du journal en boule ou l’aspersion avec une pipette remplie d’eau, mais il faut éviter la tape avec la main qui doit être associée aux caresses. Enfin, on peut également l'isoler dans une pièce pendant quelques minutes. Quand : Au début, la récompense peut sanctionner systématiquement l’attitude positive. Par la suite, il faut espacer nos réactions d'encouragement au fur et à mesure que les acquisitions deviennent stables. S’il y a "punition", ce ne peut être qu’au moment de l’acte si l’on veut être compris par le chat. En conclusion : La récompense est préférable à la punition car elle est mieux perçue par le chaton et parce qu’elle concourt à créer une relation harmonieuse entre l’animal et son maître.