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A notre tour!!! + journée de formation
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de Kanaye dans Discussion générale
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Les coussinets en hiver?
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de isa71 dans Santé / Soins vétérinaires
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résultats du test de comportement de napalm et toxyne
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de mary-toutou dans Discussion générale
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Suisse - CHIENS : Chaque semaine un enfant mordu Le médecin qui a soigné le bébé mordu par un pitbull, à Préverenges, rappelle que les morsures canines constituent des accidents tragiques mais si fréquents. Photo : PATRICK MARTIN | Moins d’un tiers des chiens sont de race pure. Leur dangerosité est plutôt liée à leur taille et à leur éducation. Julien Pidoux | 16.12.2009 | 00:03 A l’Hôpital de l’Enfance (HEL), l’infirmière chargée des admissions en a l’habitude. Chaque semaine en moyenne, un enfant mordu par un chien y est amené, par ses parents ou par une ambulance. «Un accident tragique mais classique, soupire Nicolas Lutz, le médecin qui a soigné le petit Bleon, mordu par un pitbull à Préverenges mercredi dernier. Il ne faut pas oublier que le chien reste un prédateur, et l’enfant de la chair à pâté.» Spécialisé en chirurgie pédiatrique, Nicolas Lutz ne mâche pas ses mots, car il veut que le message passe, qu’il arrête de se dire «encore un!» quand un enfant mordu débarque dans son service. «Il ne faut jamais laisser un chien s’approcher d’un petit enfant, surtout s’il est sans laisse. Dès qu’un chien s’approche, les parents doivent protéger leur petit. Or, combien de fois a-t-on vu un chien renifler un berceau ou lécher le visage d’un enfant? C’est de la folie.» Surtout, il faut arrêter de croire qu’un animal que l’on connaît ne fera pas de mal: près de 80% des morsures seraient dues à un chien connu de la famille, selon les données les plus complètes de l’Office vétérinaire fédéral. Le cas de Bleon est donc l’exception. «Sa mère a d’ailleurs bien agi, en se méfiant dès qu’elle a vu le chien», note Nicolas Lutz. Le week-end dernier encore, une fillette de 2 ans s’est fait mordre par un… teckel de 6 mois, qui appartenait à une cliente du magasin que tient sa mère. «Elle a été mordue sous l’œil, elle gardera des cicatrices.» A voir les derniers formulaires officiels en cas de morsure de chien remplis par le personnel médical de l’HEL, la race ne semble pas un critère déterminant: un doberman, un berger belge, un berger allemand, un beagle, un cocker, un boxer, deux shitsus et trois bâtards sont les derniers canidés à avoir agressé un enfant. «Il ne faut pas oublier que moins d’un tiers des chiens sont vraiment de race, les autres étant des croisements. La taille de l’animal et la façon dont il a été éduqué sont des éléments prépondérants.» Les bons comportements A chaque fois qu’un tel cas se présente à l’HEL, les parents se font remettre une petite brochure, qui leur permettra d’expliquer à leur enfant les bons comportements à adopter en présence d’un chien. «Surtout, quelle que soit la morsure, il faut venir à l’hôpital. Ce n’est pas une question de rage – il n’y en a plus eu chez nous depuis plus de dix ans –, mais les plaies peuvent s’infecter, insiste le médecin. Un sparadrap ne suffit pas.» Le petit Bleon en sait quelque chose. S’il a pu quitter l’hôpital, lui et sa famille sont loin d’en avoir terminé avec les soins. La brochure d’informations destinée aux enfants peut être commandée ou téléchargée sur le site http://bvet.admin.ch source: http/journalduchien.com
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D'abord rendu, le chien dangereux a été arrêté
mary-toutou a posté un sujet dans Vos coups de gueule
Suisse - D'abord rendu, le chien dangereux a été arrété PRÉVERENGES | Après avoir agressé un enfant, Baxter un pitbull terrier à été rendu à sa propriétaire avant que la gendarmerie vienne le récupérer. Photo DR | Le chien qui a attaqué un enfant Jean-Marc Corset | 15.12.2009 Les larmes de la jeune propriétaire du pitbull terrier n’y feront rien: hier, peu après 13 h, les spécialistes de la gendarmerie s’occupant des chiens dangereux se sont rendus à son domicile pour emmener Baxter. Ceux-ci sont arrivés au moment où elle le sortait pour la promenade de midi, en compagnie de son second chien, Kooky, un beagle croisé. Le pitbull, un mâle castré beige, ne manifestait aucun signe d’agressivité, mais il portait une sangle sur le museau. L’ordre de séquestration venait de tout en haut de la hiérarchie des autorités canonales. L’émotion suscitée hier par la blessure du bambin, cinq jours après les faits, a changé la donne. Le jour de l’accident, mercredi 9 décembre, vers midi trente, Baxter avait été embarqué par la police de Morges, après le constat d’un maître-chien de la gendarmerie. Mais, moins de trois heures après, sa propriétaire avait déjà pu le récupérer. Une décision de le libérer qui relève conjointement du préfet et du vétérinaire cantonal jugeant que la dangerosité de l’animal, et le risque de récidive, ne sont pas avérés. Aujourd’hui, placé à la fourrière, l’avenir de Baxter est entre les mains du vétérinaire comportemental qui décidera de son sort d’ici une semaine. Si l’animal échappe à l’euthanasie, il y a toutefois peu de chances que sa maîtresse le récupère. Car, fait «aggravant», elle ne possédait pas d’autorisation pour détenir ce type de chiens, qui figure parmi les trois races considérées comme dangereuses par le canton, et n’avait pas passé les tests de maîtrise. Au risque de confiscation, à la suite de la plainte pénale qui a été déposée, s’ajoute celui d’une amende. Tant chez la maîtresse de Baxter que chez la femme qui s’occupait du pitbull au moment des faits, on ne s’explique pas pourquoi celui-ci s’en est pris à l’enfant. Cette dernière, qui habite le même groupe d’immeubles que la famille de la victime, et qui possède elle-même trois chiens (un doberman et deux colleys) se défend de n’avoir pas su maîtriser le molosse. Mercredi dernier, elle se trouvait sur le trottoir à côté du giratoire proche de la Venoge, à l’entrée de Préverenges, avec quatre chiens qu’elle a l’habitude de promener en l’absence de leurs maîtres. Outre le pitbull et le beagle, elle tenait en laisse – non extensible précise-t-elle – deux bouledogues français, Balou et Bagera. Elle dit avoir salué et échangé quelques mots avec la maman avant de se ranger sur le côté. Pour une raison inconnue – un geste mal interprété de l’enfant? – Baxter lui a échappé. Visiblement affectée par d’autres soucis, la femme dit ne plus en dormir la nuit. Pour elle, l’euthanasie serait excessive en regard de la gentillesse de Baxter, celui-ci n’ayant pas été maltraité, il n’y a pas forcément risque de récidive. Dans le quartier, d’autres propriétaires de quatre-pattes ne partagent pas cet avis. L’une d’elles, qui possède un petit chiot, affirme éviter toute rencontre avec ces chiens: «Il y a toujours de la bagarre! C’était à prévoir.» Elle déplore que le beagle, normalement peu agressif et qui devait amuser son compagnon pitbull, n’ait pas joué son rôle «modérateur», en raison de son vécu turbulent en refuge. Source : http://www.24heures.ch/vaud-re et http//journalduchien.com -
Canada - Les chiens sont plus intelligents que les enfants Le saviez-vous ? Un chien peut enregistrer et comprendre au moins 165 mots… Soit la même capacité qu’un enfant de deux ans et demi ! Et certaines espèces comme les Border Collies pourraient en apprendre plus de 250. Mieux, une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de la Colombie-Britannique, au Canada, démontre que les chiens sauraient compter jusqu’à cinq soit autant qu’un enfant en grande section de maternelle. "Ces indicateurs d’intelligence montrent que les chiens sont beaucoup plus proches de l’homme que ce qu’on imaginait", explique le professeur Sanley Coren, auteur du livre Comment les chiens pensent. Mais comment expliquer que certaines races soient plus intelligentes que les autres ? "Celles qui ont le mieux réussi les tests sont les races les plus récemment créées parce qu’on les a élevées dans cette optique." Comprendre et connaître l’intelligence de son chien…Quel propriétaire de toutou n’a pas déjà rêvé de posséder ce pouvoir ? La méthode est simple : par exemple, on montre deux friandises à un chien, puis on les cache dans une boîte. Quand on ouvre la boîte, le chien s’attend donc à retrouver les deux bonbons mais on le piège en en rajoutant un troisième ou en enlevant un. Résultat : le chien fixe longuement les friandises, comme étonné de ne pas retrouver les deux friandises. Un enfant aura la même réaction. Ce qui signifie que les canidés ont une compréhension basique de l’arithmétique et peuvent ainsi "compter" jusqu’à quatre ou cinq. De la même façon, les chercheurs ont aussi démontré que le chien avait une intelligence sociale et pouvait faire preuve d’émotions diverses comme la peur, la colère ou le dégoût. Mais pas de trace de sentiment de culpabilité ou d’équité, qui sont proprement humains. Ainsi, si en récompense d’un acte égal, on donne à l’un des chiens un morceau de viande et à l’autre un bout de pain, celui qui a reçu la seconde friandise ne se sentira pas lésé pour autant ! Le top 3 des races les plus intelligentes ? Les Border Collies (très utilisés d’ailleurs dans les élevages pour rassembler les troupeaux), les Caniches (qui l’eût cru !) et les Bergers allemands. Source : http://www.starnimo.com/2009/1 et http://journalduchien.com
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Chiens, Chats, Etc...Nos animaux de compagnie sont-ils heureux ? Par Anne MERCENIER-BOULLAND • Vétérinaire • Le bien-être animal est un sujet souvent abordé pour décrire les conditions de vie des animaux d’élevage. Pourtant, même si les modes de vie sont très différents, voire opposés, force est de constater que nos animaux de compagnie eux aussi semblent parfois souffrir d’un « mal-être ». Qu’entend-on par « bien-être animal » ? Le bien-être animal est une notion traditionnellement utilisée pour les animaux d’élevage : le bien-être est alors défini comme une situation où toute souffrance inutile est absolument proscrite. Cela paraît évident et pourtant, de gros progrès ont été faits ces vingt dernières années dans le domaine de l’élevage. Que ce soit pour les poules ou les bovins, la protection animale a fait progresser leurs conditions de vie. Et même s’il reste encore de très nombreux points à améliorer, la prise de conscience du bien-être de ces animaux est un point très positif. En ce qui concerne les animaux de compagnie, c’est tout autre chose. Partant du principe que ces animaux vivent avec leur maître une relation de complicité affective, il est d’usage de penser qu’ils sont heureux. Sans parler des animaux maltraités (car battus, abandonnés, affamés, assoiffés, enfermés…), évoquons plutôt leurs conditions de vie : sont-elles idéales pour l’animal…ou pour le maître ? Bref, le bien-être d’un animal se mesure à l’échelle de ce dernier : de quoi a-t-il besoin pour être heureux ? Comment reconnaître un animal heureux ? Contrairement à ce que l’on pourrait croire, un animal heureux n’est pas un animal qui fait tout ce qu’il veut, et ceci est particulièrement vrai pour les chiens : rendre un chien heureux, c’est l’éduquer afin qu’il s’adapte au mieux à notre mode de vie. Concrètement, cela signifie qu’il faut lui donner des règles de vie, quitte à le contrarier au début de son éducation. Un animal qui ne se sent pas bien dans son milieu de vie va manifester des troubles comportementaux : s'il s’ennuie, il peut manifester des comportements « bizarres » : boire de façon intempestive, courir après sa queue, se lécher frénétiquement une partie du corps…l’ennui évoluant vers une forme de dépression. Le chat peut même devenir agressif. Les animaux peuvent s’ennuyer lorsque l’on ne s’occupe pas assez d’eux, pour diverses raisons : solitude à la maison, pas assez de sorties, pas de jeux, etc. Un chien qui ne respecte pas la hiérarchie au sein du foyer va devenir dominant. Cela se manifestera par de l’agressivité plus ou moins marquée. Première étape : adaptation Tout petit déjà, le chiot ou le chaton est éduqué par sa mère afin qu’il respecte une certaine hiérarchie. D’autre part, les petits s’habituent très vite au contact des personnes qui les soignent, ainsi qu’à la présence d’autres animaux. Il est fondamental d’habituer le jeune animal aux contacts de différentes personnes, aux bruits et aux autres animaux. Les animaux passant les 3 premiers mois de leur vie dans un milieu dépourvu de contacts seront très perturbés quand ils arriveront dans un environnement familial. C’est le cas de nombreux chiens séparés avant l’âge de 2 mois de leur mère et grandissant dans une cage d’élevage intensif ou d’animalerie, avec pour seul contact, la personne venant leur donner leur repas 1 à 2 fois par jour. Ces animaux seront très fortement prédisposés à développer de graves troubles comportementaux allant de l’anxiété chronique à une forme d’agressivité dangereuse pour les humains comme pour les autres animaux. Deuxième étape : choisir et accueillir son compagnon Pour être en mesure de respecter le bien-être d’un animal, il faut d’abord bien réfléchir au compagnon dont on pourra dignement s’occuper. On ne gère pas un caniche comme un rottweiler, ni un chat persan comme un chat des forêts norvégiennes. Il s’agit de respecter la nature de l’animal. Prenons quelques exemples : un chaton de 5 mois né d’une chatte qui a toujours vécu dehors et ayant lui-même été habitué à vagabonder, aura d’énormes difficultés à s’adapter à une vie en appartement. Il risque fort de devenir agressif par ennui, et finalement, très peu sociable. Un chien de race malinois est heureux s’il se dépense beaucoup : en appartement avec uniquement des promenades hygiéniques, ce chien va vite développer de graves troubles comportementaux. Dans ces deux exemples, les animaux ne seront jamais de bons compagnons car ils seront malheureux. D’autre part, un animal n’est pas un objet dont on peut disposer quand on en a envie. Le petit chien ou le petit chat doivent rester en contact avec sa mère pendant au moins 3 mois. En effet, la mère éduque ses petits et leur apprend à ne pas mordre trop fort et à ne pas griffer de façon intempestive pour les chats. Cette notion est fondamentale puisqu’elle conditionne la qualité de la relation entre les futurs maîtres et l’animal. Troisième étape : respecter sa nature En plus des besoins absolument incontournables tels que manger, boire et sortir, un chien a besoin : de l’affection de son maître en priorité de jouer, de se promener au moins 1h par jour, voire plus pour les gros chiens de sentir que son maître prend les décisions à sa place. Malgré l’évidence de ce propos, nombre de chiens tentent d’être calife à la place du calife ! Cet état de fait déséquilibre le chien et le place à un statut qui ne fera qu’augmenter son anxiété. Pour un chat, c’est différent : en plus de l’inévitable affection de son maître, il sera heureux s’il parvient à vivre comme un félin parmi nous : il doit pouvoir chasser (même un jouet) et avoir une certaine indépendance. Finalement la recette du bien-être de son compagnon pourrait être la connaissance et le respect de sa nature. Vaste programme ! Source : http://www.lasemaine.fr/2009/1 et http://journalduchien.com
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Report de la date limite pour l'obtention du permis
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de cedafla dans Discussion générale
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Les intoxications de Noël : les aliments et les boissons 1. Le chocolat Il arrive que nos compagnons se régalent de nos boîtes de chocolat ou bien des restes de la bûche de Noël maladroitement laissés à leur portée. La toxicité du chocolat est liée au fait qu'il contient une substance appelée théobromine qui est une substance voisine de la caféine. Les signes de l'intoxication apparaissent 4 à 5 heures après l'ingestion. On note des symptômes nerveux : nervosité, agitation, excitation, tremblements qui peuvent aller jusqu'à l'apparition de convulsions et même jusqu'au coma. On peut également observer des signes cardiaques ainsi que des signes digestifs tels des diarrhées et des vomissements. Il faut savoir qu'en cas d'intoxication aiguë, l'animal peut mourir en 6 à 24 heures. En cas d'intoxication chronique, la mort peut survenir au bout de quelques jours à cause des problèmes cardiaques. Si votre compagnon ingère une grande quantité de chocolat, il faut donc contacter rapidement un vétérinaire qui fera le nécessaire pour soigner votre animal. Il faut savoir par exemple qu'une plaquette de chocolat noir de 100 grammes peut tuer un chien de 10 kg environ. Il faut donc prendre cette intoxication au sérieux et contacter votre vétérinaire au moindre doute pour ne pas gâcher le réveillon ! 2. Le sel Cette intoxication peut se produire à n'importe quelle période de l'année mais elle est plus fréquente au moment de Noël avec l'ingestion d'aliments tels que le saumon fumé, la truite fumé, le jambon cru, les cacahouètes, etc… Les sels de déneigement peuvent également être avalés par nos petits compagnons. Les symptômes qui suivent une ingestion massive de sel sont : des symptômes digestifs : vomissements, soif intense, diarrhée abondante, coliques. des symptômes nerveux : hyperexcitation, convulsions, et même coma et mort subite. En cas d'ingestion de sel, il faut donner à boire à volonté à votre animal afin de le réhydrater car l'ingestion de sel entraîne une déshydratation. Vous pouvez faire cela dans un premier temps, mais il est préférable de contacter rapidement un vétérinaire afin de mettre en place un traitement approprié comme des perfusions et des diurétiques pour éliminer le sel. 3. L'alcool Il arrive que nos petits animaux familiers tombent malencontreusement sur un saladier de punch ou de sangria laissé au sol et qu'ils en boivent le contenu ! Les symptômes d'une intoxication à l'alcool sont très variés, on trouve le plus souvent des vomissements, des douleurs, une prostration, une perte d'appétit mais aussi plus rarement une jaunisse, une salivation excessive, des pertes d'équilibre, etc… Le traitement de choix est la mise en place de perfusionsafin d'éliminer l'alcool. Si vous êtes confrontés à ce problème avec votre compagnon, il faut donc contacter rapidement un vétérinaire afin de soigner votre animal. 4. Le café La toxicité du café est due à la présence de caféine qui a diverses actions sur de nombreux organes comme le cœur, le système nerveux et les reins. Les principaux symptômes sont des vomissements mais aussi des symptômes nerveux comme une hyperexcitation et même des convulsions. On peut aussi avoir des troubles du rythme cardiaque et même un œdème pulmonaire (de l'eau s'accumule dans les poumons). Devant la gravité des symptômes, il faut se rendre au plus vite chez un vétérinaire. Celui-ci mettra en place un traitement visant à accélérer l'élimination de café et à diminuer son absorption. 5. Les marrons et les châtaignes Les châtaignes cuites peuvent être à l'origine de ballonnements. Les marrons contiennent des tanins qui peuvent entraîner des diarrhées et des vomissements. Tous ces symptômes sont relativement bénins et rentrent rapidement en ordre avec un traitement symptomatique. Attention, ces aliments peuvent toutefois causer une occlusion intestinale en bloquant le transit digestif. 6. L'ail, les oignons et les échalotes Cette intoxication peut survenir toute l'année mais l'empressement qui accompagne les fêtes de fin d'année peuvent rendre les ménagères moins attentives et elles peuvent laisser traîner ou tomber des bulbes d'ail, d'oignons ou d'échalotes. Nos petits compagnons peuvent également jouer avec les bulbes et finir par les avaler. Ces aliments contiennent une substance qui entraîne la destruction des globules rouges et donc une anémie. Les premiers signes n'apparaissent qu'au bout d'un ou deux jours après l'ingestion des bulbes. Les premiers signes sont digestifs : il s'agit de vomissements et d'anorexie. Ensuite, les problèmes sanguins apparaissent, il y a donc de l'anémie (diminution du nombre de globules rouges), une respiration rapide et sifflante, des problèmes cardiaques, un abattement. Avec un traitement approprié, l'évolution est généralement favorable et les signes de l'intoxication disparaissent en 8 à 15 jours. Il faut donc vous rendre rapidement chez un vétérinaire car c'est une intoxication qui se soigne bien quand elle est traitée à temps. source: wanimo
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Report de la date limite pour l'obtention du permis
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de cedafla dans Discussion générale