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Max|mum-leterrarium

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  1. “Appel urgent pour préserver la faune marine en Tunisie et en Méditerranée: Stopper le massacre des tortues de mer” “Les participants à la journée d'information sur les tortues marines organisée hier à Monastir ont lancé un appel urgent pour stopper le massacre des tortues de mer dans les côtes tunisiennes, et ce, à travers notamment l'élaboration d'une stratégie nationale pour préserver la faune marine en général et les tortues aquatiques en particulier. Les recommandations issues de cette journée ont porté sur la nécessité de lancer des campagnes de sensibilisation et de formation au profit des pêcheurs et des organisations non gouvernementales, de concevoir un plan d'action national pour la protection de la tortue marine, de renforcer la recherche scientifique et de consolider les moyens pour l'application et le respect de la loi relative à la protection des animaux marins en général. "Ces recommandations seront intégrées dans les politiques nationales de protection de la biodiversité", a précisé Ali Ben Temessek, chef de service à la direction générale de l'environnement et de la qualité de la vie au ministère de l'environnement. Cette journée a permis également d'évoquer la question de la biodiversité marine en Tunisie, le programme national de création d'aires protégés marines et côtières citant l'exemple des Iles Kuriat à Monastir, le rôle des organisations et des pêcheurs dans la protection de la biodiversité marine ainsi que du plan d'action pour la conservation des tortues marines en Méditerranée. L'accent a été mis également sur les problèmes qui menacent les tortues marines dont la pêche au chalut, les filets, les ordures jetées en mer dont les débris de matières plastiques. Prenant la parole, l'experte italienne, Flagra Bentivegna, a souligné que la préservation de l'écosystème est tributaire éventuellement de la protection des tortues marines, car ces espèces, en voie d'extinction, sont les plus grands consommateurs de méduses. Passant en revue l'expérience italienne dans le domaine de la sensibilisation et de la protection des tortues aquatiques, "Il est très important d'adopter une bonne méthodologie de vulgarisation et d'information auprès du pêcheur" a-t-elle indiqué. Il est à noter que cette journée a été organisée par le ministère de l'environnement avec l'appui du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), du Plan d'action pour la Méditerranée (PAM), du Centre d'Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégés (CAR/ASP) avec la participation de spécialistes tunisiens et italiens.” Source
  2. Les plus vieux fossiles de tortue découverts en Pologne Les chercheurs polonais de l'Institut de paléobiologie de Varsovie ont officialisé la découverte des plus vieux fossiles de tortues, datant de 215 millions d'années. La trouvaille a été faite en 2008 dans le sud-ouest du pays.
  3. Flandre : le salon Animaflore vous présente son iguane, ses poissons-cracheurs et ses passionnés Organisé par le cercle aquaterrariophile de Bailleul, ce salon présente insectes, plantes (cactus, bonsaïs, plantes carnivores) et animaux (oiseaux, poissons, reptiles) salle Paul-Perrier jusqu'à 18 heures demain. L'occasion de rencontrer des passionnés et de découvrir des nouveaux animaux de compagnie très spéciaux. Source
  4. Le dernier crocodile du Siam sauvage au Vietnam est mort L’ultime spécimen au Vietnam d’une espèce en voie de disparition dans le monde est mort fin septembre. La Thaïlande envisage de relâcher dans la nature des crocodiles de cette famille pour éviter l’extinction. Le corps de la femelle de 3,2 mètres de long et de plus de 100 kilos a été retrouvé sans vie le 29 septembre dans le lac Ea Lam dans le centre Vietnam. Elle était âgée de près de 100 ans. Cet animal était un crocodile du Siam. Il était le dernier spécimen né et vivant à l’état sauvage au Vietnam. Le crocodile du Siam sauvage est aujourd’hui considéré comme une espèce en danger. Il a disparu de Malaisie, d’Indonésie et de Thaïlande. Il en reste une centaine dans le monde, notamment au Cambodge. La femelle, retrouvée morte, aurait été étranglé par des fils en acier, posés par des chasseurs. Une minorité ethnique, les Ê Dê honore ces crocodiles car, selon elle, ces animaux emportent avec eux les âmes de leurs défunts. Si le crocodile du Siam à l’état sauvage est menacé, il existe des milliers d’ en captivité, élevés dans des fermes spécialisées dans le commerce de peaux de crocodiles. La Thaïlande envisage de relâcher dans la nature plusieurs crocodiles de cette famille, selon le blog Scientific American. La réussite de cette entreprise réside toutefois dans la mise en place de zones protégées où l’espèce pourra se reproduire en toute sécurité. Après le dernier rhinocéros de Java en 2010, le Vietnam perd une nouvelle fois l’ultime spécimen d’une espèce en danger, présent sur son territoire. Source
  5. Sa passagère dans le camping-car était... une tortue d’une espèce protégée Lors de contrôles routiers, les policiers sont amenés à découvrir diverses “marchandises” transportées dans les voitures : drogue, armes, objets volés… Mardi après-midi, vers 17 heures, lors de l’un de ces contrôles, les policiers de la brigade accident du commissariat de Valence ont effectué une surprenante découverte dans un véhicule… Ce véhicule, c’est un camping-car, conduit par un Valentinois âgé de 33 ans. Après vérification des différents documents du conducteur, les policiers découvrent, dans l’habitacle, une… Testudo graeca (plus communément appelée tortue mauresque) ! Une espèce de tortue qui s’avère être inscrite à la convention de Washington et dont l’acquisition, la détention ou le transport s’avèrent être interdits. Prochainement convoqué devant le tribunal correctionnel Alors que la tortue a été saisie et confiée à une association, le trentenaire a quant à lui était convoqué avant d’être auditionné par les policiers valentinois. Il aurait confié avoir, il y a un mois, acheté à un Valentinois, par le biais d’internet, la tortue de cette espèce protégée. Précisant encore qu’elle était son animal de compagnie. Deux délits du code de l’environnement ayant été relevés par les policiers, à savoir “achat d’animal non-domestique, espèce protégée” et “détention d’animal non-domestique, espèce protégée”, le trentenaire valentinois fera l’objet, dans les prochaines semaines, d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) doublée d’une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) devant le tribunal correctionnel de Valence. Source
  6. Combien de temps vit une tortue Les tortues sont parmi les vertébrés qui vivent le plus longtemps. Les tortues marines peuvent vivre 60 à 80 ans. Le record de longévité est détenu par les tortues terrestres géantes des Seychelles et des Galapagos qui peuvent atteindre 150 ans. En élevage, une tortue terrestre bien soignée peut vivre 120 ans et une tortue à tempes rouges, dite de Floride, jusqu’à 30 ou 40 ans! L’âge d’une tortue n’est pas toujours facile à déterminer. Les plus grosses ne sont pas toujours les plus âgées, même si une tortue peut grandir tout au long de sa vie. Les spécialistes comptent les bourrelets de croissance sur une des plaques de la carapace. Chez les tortues âgées, ces bourrelets sont moins visibles, car la carapace est usée et la croissance ralentie. Source
  7. Des tortues qui urinent par la bouche Des chercheurs de Singapour ont découvert que le trionyx de Chine, une tortue à carapace molle, évacue son urée principalement par la bouche. Le reptile rince sa bouche afin de diluer et recracher l'urée. Cela lui permet de ne pas avoir à avaler trop d'eau salée alors qu'elle vie et nage dans des eaux saumâtres. Après avoir lu cette histoire, vous ne vous plaindrez plus jamais quand la nourriture a un mauvais arrière-goût. Le trionyx de Chine, une tortue à carapace molle, urine en effet... par la bouche. C'est ce que vient de montrer une équipe de l’université nationale de Singapour dont les résultats ont été publiés le 11 octobre dans le journal of experimental biology. En vérité, les parois de la bouche de certaines tortues d’eau intriguent les chercheurs depuis longtemps, certains ont même suggéré qu’elles pourraient agir comme des branchies. Phénomène étrange, certaines tortues d’eau plongent leur tête de manière prolongée dans des petites flaques quand elles sont sur la terre ferme. Sont-elles obligées de faire cela pour respirer ? La véritable raison a bien surpris les chercheurs ! Dissoudre et évacuer l’azote Au cours des recherches, des tortues ont été gardées dans un aquarium pendant six jours, puis déplacées dans un terrarium où il n’y avait plus que des petites flaques. Ils ont alors mesuré les quantités d'urée présentes dans l'eau et das l'organisme des tortues. Par comparaison entre l’urée présente dans l’eau de l’aquarium et celle évacuée par le cloaque des animaux, les chercheurs ont ainsi conclu que les tortues n’évacuaient que 6% de leur urée par les reins. Dans la seconde étape avec les enclos plus secs, les tortues se sont comme prévu précipitées pour plonger leur tête dans les flaques. Elles pouvaient rester ainsi pendant plus d’une heure et demie. Or, quand ils ont analysé l’eau de ces points d’eau miniatures après le passage des tortues, les chercheurs ont constaté qu’ils contenaient soudainement de l’urée. Seule solution, ce produit azoté ne peut que provenir de la bouche des reptiles et ceux-ci ont besoin d’eau pour le dissoudre et l’évacuer. Au final, l'équipe a ainsi trouvé que les tortues évacuent cinquante fois plus d’urée par leur bouche que par leur cloaque. Le problème de l’eau saumâtre Mais pourquoi ces pauvres tortues en sont elles arrivées à un procédé aussi inhabituel ? Plus qu’une mauvaise blague de l’évolution, la raison semble en rapport avec l’eau saumâtre dans laquelle elles vivent. Les animaux qui se débarrassent de leur surplus d’azote en excrétant de l’urée doivent en effet boire beaucoup d’eau. Or, ces tortues se retrouvent dans des environnements salés et ne sont pas capables d’évacuer tout le sel qu’elles auraient à ingurgiter si elles buvaient plus qu’elles ne le font déjà. Grâce à l'élimination de l'urée par la bouche, les tortues peuvent simplement se rincer sans avoir à avaler l’eau dans laquelle elles nagent. Pas sûr pour autant qu’elles ne préféreraient pas boire la tasse. Source
  8. Canicule : gare aux bobos venimeux La canicule n’est pas seulement insupportable. Elle favorise aussi l’activité dangereuse des arachnides et des reptiles dans les régions chaudes du royaume. Le Centre Anti Poison Marocain (CAPM) révèle au Soir échos les procédures, les chiffres, et les conseils pour éviter les risques liés à la santé pendant l’été. Même s’il ne pleut pas, cette canicule est qualifiée étymologiquement de « temps de chienne ». Concernant la période annuelle du 24 juillet au 24 août, l’ardeur du soleil atteint son pic dans certaines régions arides telles que Marrakech-Tansift-El Haouz, Doukkala-Abda, Chaouia-Ouardigha, Souss-Massa-Drâa et Meknès-Tafilalet. « des régions extrêmement chaudes où l’on assiste à des cas de morsures de serpents ou de piqûres de scorpions », nous révèle Sanaa Benlarabi, Médecin, pharmaco-psychologue au CAPM dans le département de toxico-vigilance. Réflexes et secours à préconiser Les chiffres de 2012 ne sont pas encore publiés puisque l’année n’est pas encore finie pour faire le bilan final. Par contre le CAPM a bien voulu nous révéler les chiffres de l’année 2011. « Pour ce qui est des cas de piqûres de scorpions, nous en avons recensé 28 000 cas de piqûres. Pour les morsures de serpents, on nous a communiqué à peine 500 cas. Mais je pense que ce dernier chiffre doit être multiplié par 10 car on ne nous communique pas tout. Pour les cas de décès, 39 personnes sont mortes suite à une piqûre de scorpion, 9 à cause des morsures de serpents », nous révèle Benlarabi . Pour ce qui est des premiers secours qu’il faut entreprendre, il existe des réflexes qu’il ne faut pas sous-estimer. « Pas de bandage autour du membre piqué ou mordu. Pas de stratification et surtout pas d’utilisation du gaz butane ou du henné. Ces éléments ne soignent rien du tout. Il ne faut pas non plus paniquer car le sang est hyperactif lors de ces incidents. », nous explique la pharmaco-psychologue. Une fois mordu ou piqué, la victime se doit de se rendre sur le champ au centre de santé le plus proche. Là-bas, les médecins surveilleront les conséquences de sa douleur pendant 4 heures, en cas de piqûre. Si au-delà des 4 heures le patient se sent toujours mal, il est transféré à un hôpital spécialisé. « Nous ne n’utilisons aucun médicament lors de ces 4 heures de surveillance. Si rien de mal n’arrive au patient, l’épisode est clos », précise Benlarabi. En cas de morsure de serpent, les premiers secours sont les mêmes, sauf qu’une fois à l’hôpital, le patient est surveillé pendant 24 heures avec une réévaluation de son état de santé toutes les 4 heures avec un bilan biologique et des prélèvements constants. D’autres parts, les cas de décès sont causés soit par le venin du scorpion ou celui du serpent. L’âge du patient est important de ce fait. Plus il est petit (moins de 5 ans) , plus le risque de mourir est grand. « Cela s’explique par la concentration du venin qui est plus important chez l’enfant que chez l’adulte », poursuit la doctoresse. Les autres cas de décès sont dûs, entre autres, aux retards des patients qui ne se rendent pas aux centres de santé avant l’écoulement des 4 heures… Manque de médecins en été La distribution de désinfectants, d’antidotes, de seringues et de médicaments se fait annuellement au début du mois d’avril par le CAPM. Près d’une centaine de kits sont distribués gratuitement pour chaque région, ou plus en fonction des commandes. « Ces derniers comportent des seringues, des compresses, du paracétamol, de la dobutamine mais aussi des antispasmodiques. », nous apprend Benlarabi. Plusieurs campagnes de sensibilisation sont organisées par le CAPM. Les médecins de ce dernier conseillent aux gens qui habitent dans les régions chaudes de lisser d’un mètre leurs murs extérieurs, chose qui empêcherait les scorpions de les escalader. Les gens sont notamment invités à désherber les environs de leur maison, afin de pouvoir anticiper l’arrivée des serpents qui s’y cachent. Il est conseillé aussi de secouer draps et vêtements pour éviter les surprises. « Le vrai problème que les victimes rencontrent c’est qu’en été, il y a beaucoup de congés. Les gens ne trouvent pas forcément de secours rapides. Nous demandons à l’État de renforcer les équipes médicales durant la période estivale. », nous dit la doctoresse. Et de poursuivre : « Cette année-là, nous nous sommes déplacés à Souss Massa Drâa et Marrakech-Tansif-El Haouz. En plus de la sensibilisation, nous formons les médecins des régions pour avoir les bons réflexes faces aux morsures et piqûres. »conclut Sanaa Benlarabi. Source
  9. Ils découvrent un scorpion sur le rebord de leur fenêtre FAUNE — Un couple du Pâquier (FR) a fait une effrayante découverte dimanche dernier. Peur bleue, dimanche soir dernier en Gruyère, à cause d’une effarante découverte, révélée par le journal La Liberté. Alors que Johann Yerly s’apprêtait à aller se coucher, cet habitant du Pâquier (FR) aperçoit, stupéfait, un scorpion de 4?cm sur le rebord de sa fenêtre. «Quand j’ai vu ce truc noir tomber du volet, j’ai d’abord cru à une gigantesque araignée. Il m’a fallu cinq?secondes pour réaliser que c’était bien un scorpion», raconte-t-il. Avant de s’approcher de la bête, il alerte son amie, Laurie Traversi, qui n’en croit d’abord pas ses oreilles, puis ses yeux. L’animal gisant à moitié mort, le couple tente de le sauver. «Je l’ai touché avec un petit bâton, il n’était pas très vigousse. On lui a mis quelques gouttes de flotte à ses côtés», explique le téméraire Gruérien, qui, fasciné par l’insecte, a commencé d’infructueuses recherches sur le Net. «On voulait savoir s’il était dangereux», poursuit-il. Ce n’est que le lendemain, le scorpion ayant rendu l’âme durant la nuit, que le couple avertit le Musée d’histoire naturelle de Fribourg. Résistant au froid et au chaud Envoyé par la poste au musée, il y a deux jours, le spécimen n’était, hier, pas encore parvenu au directeur André Fasel, qui pense que d’après les premières photos il s’agit d’un Euscorpius italicus, une espèce connue de la faune suisse. Et de préciser: «Ce n’est pas le premier du canton. Tous les six?ans, on en reçoit. Les derniers provenaient de Belfaux ou de la ville de Fribourg.» Systématiquement, la découverte a lieu près d’un chantier, là où le jour le scorpion trouve abri dans les matériaux de construction. «Des plaques en granit, des pierres ou des carrelages, du matériel importé d’autres régions», explique-t-il. La présence de cette espèce est fréquente en Suisse, confirme Pierre Krisan, spécialiste des arachnides au Vivarium de Lausanne. «On le trouve en Valais, vers Sion, et au Tessin.» Si on compte 3000 à 5000 piqûres mortelles par an dans le monde, celle de ce dernier «n’est pas dangereuse, sauf en cas d’allergies, comme pour la guêpe», complète-t-il. Inoffensif, mais résistant. «Une semaine dans le congélateur ou passé au micro-ondes, il tiendra bon», plaisante-t-il. Source
  10. A la rentrée, partez à la découverte de la Salamandre tachetée ! Avant qu’elle n’entre en hibernation entre la fin du mois d'octobre et le début du mois de novembre, profitez de vos sorties en forêt à la rentrée pour observer ce petit amphibien aux couleurs uniques ! On reconnaît la Salamandre tachetée à ses grands yeux foncés et à sa peau lisse et noire dont le dos est tacheté de motifs jaune (occasionnellement orange à rouge) de points et/ou de lignes. Des cas exceptionnels de salamandres sans taches, entièrement noires ont été observés. En dehors de la période d’accouplement qui a lieu d'avril à septembre, difficile cependant de différencier les males des femelles ! Tout comme les crapauds, les salamandres sont strictement terrestres et les femelles ne rejoignent les points d’eau que pour y déposer des larves déjà formées ! Pour l’observer en forêt, regardez donc au sol, sous les souches, racines, amas de feuilles mortes ou les entrées de terrier. Privilégiez les fins d’après midi et débuts de soirée car c’est une espèce principalement nocturne. Néanmoins, vous avez des chances de la trouver après la pluie, surtout s'il a fait sec les jours précédents. A l'automne et aux premiers froids, la Salamandre rejoint un abri où passer l'hiver, généralement sous terre dans des puits, des galeries souterraines de mammifères ou des anciens tunnels miniers. Absent en Corse, vous pouvez l’observer partout en France continentale du littoral jusqu'à plus de 2000 mètres dans certains sites montagneux bien exposés. Bonnes observations ! Source
  11. Michelle, de femme serpent à vendeuse de pomme d’amour « J’étais entièrement nue dans une grande cage avec une quinzaine de serpents étouffeurs (cobra, anaconda, python…) sur les bras et les jambes », raconte Michelle, aujourd’hui reconvertie sur un stand de vente. Celle qu’on appelait « la femme serpent » n’était visible que par les plus de 18 ans, « interdiction d’avoir les mains dans les poches messieurs ! », interpellait le bonimenteur. Pendant 15 ans, elle a manipulé avec douceur les reptiles « qui connaissaient son odeur » et qui ont même fait des œufs, « ce qui est très rare en captivité », souligne-t-elle. En 1993, la petite entreprise reptilienne a dû mettre la clé sous la porte à cause des certificats de capacité qui devenaient nécessaires. Depuis 20 ans, Michelle s’est reconvertie dans la vente de pommes d’amour et de crêpes avec son mari. « Je ne suis pas née sur la fête, je ne le serai donc jamais vraiment foraine, explique-t-elle malgré plusieurs dizaines d’années de caravane. Mais avec ce mode d’existence, ma vie a été bien remplie ». Source
  12. Mœurs de crocodile : Un danger dans l'eau Le lundi 20 août 2012, les crocodiles du lac de Yamoussoukro, en République de Côte d’Ivoire, ont dévoré leur gardien Toké Dicko qui était leur compagnon depuis trente-six ans (36) ans. Au Burkina Faso, ces reptiles sont l’objet d’une attraction et d’une attention particulières de la part de populations de divers horizons, notamment à Sabou dans la région du Centre-Ouest, à Bazoulé à la sortie ouest de la capitale burkinabè et même au cœur de Ouagadougou dans le parc urbain Bangr- Wéogo. Mieux connaître leurs mœurs s’avère donc utile pour éviter chez nous le type de drame survenu en Côte d’Ivoire. En l'absence des spécialistes du ministère de l’Environnement et enseignants d’université en vacances ou en mission*, c’est avec le directeur du parc urbain Bangr Wéogo, Moustapha Sarr, un non moins averti des questions environnementales et fauniques, que nous sommes allés découvrir les conditions dans lesquelles cet animal sauvage, devenu bête de compagnie de l’homme dans certaines localités, peut devenir un orgre. Depuis les années 60, ils font partie du décor tout comme de la renommée de la capitale politique ivoirienne, Yamoussoukro. Ces jours-ci, ils font encore parler d’eux à travers un épisode des plus macabres : dévorer celui qui leur donnait à manger. Les crocodiles du bassin de Yamoussoukro, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, ont fait «d’une bouchée» le sexagénaire Toké Dicko, leur compagnon depuis trente-six (36) ans, le lundi 20 août 2012. Ce jour-là, "Le maître incontesté des sauriens", comme le surnommaient les Ivoiriens, après avoir mené sur les lieux un groupe de touristes, a fait une glissade et est retombé dans le bassin. Le bruit de cette chute a alerté les célèbres crocodiles qui comme si leur appétit en avait été également aiguisé se sont rués sur lui, toute gueule ouverte, le faisant passer de vie à trépas dans les conditions les plus atroces. Ainsi, l'acte de l'infortuné Dicko, qui relevait d'une routine quotidienne, s’est alors transformé en une scène d'horreur inédite dans les annales de la ville présidentielle. De l'avis de Moustapha Sarr, cet incident s'explique difficilement : «Ces crocodiles étant dans un bassin, il y a lieu d’abord de savoir la manière dont ils sont entretenus : ils connaissaient leur gardien, ils sont habitués à voir des touristes, à être nourris. On peut alors avoir cette hypothèse : les reptiles devaient être affamés, le gardien a glissé malencontreusement dans l’eau et s’est agité dans tous les sens apeurant les bêtes qui se sont acharnés sur lui. Chose étrange, en principe les crocodiles devraient fuir en pareille situation. En s’acharnant sur lui, tout s'est passé comme s'ils avaient non seulement faim mais également envie de chair humaine. Cette fin tragique du gardien des crocodiles de Yamoussoukro nous interloque car le vieux Tocké Dicko les connaissait et il savait parfaitement la manière dont il faut se comporter avec eux». Si notre interlocuteur ne trouve pas d’explications explicites à l’attaque dont le vieil Ivoirien a été victime, il n’écarte cependant pas la possibilité d’une agressivité des sauriens sur la personne humaine : «Il y a trois cas de figures possibles pour qu’un crocodile s’attaque à l’homme, tous conditionnés par le fait que l’animal soit très affamé, car s’il mange bien en une journée, il peut hiberner deux, trois semaines, des mois et même plus. Le premier cas concerne le crocodile sauvage qui ne va s’en prendre à l’homme que dans la mare. Dans ce cas, s’il le prend seul, l’homme, à moins qu’il ne soit inanimé, va se débattre et s’échapper. Pour un crocodile domestiqué, l’instinct sauvage peut resurgir un jour ; mais même là, il blesse son maître mais ne le tue pas. Le troisième cas concerne les crocodiles sacrés, qui ont une valeur spirituelle aux yeux des hommes, ce pacte écarte toute agression de l’une des deux parties et il est rare d’en voir». A en croire le directeur du parc urbain Bangr-Wéogo donc, il faut que plusieurs conditions soient réunies pour voir ce reptile s’en prendre aux humains, et sa morphologie y est pour quelque chose. «C’est un animal qui n’est prédateur que dans l’eau, car c’est le seul lieu où il peut rafraiîchir sa température. Les crocodiles ne vont pas à la chasse et peuvent faire des bonds de deux à trois mètres dans leurs lieux de résidence pour se nourrir de poissons, de grenouilles, d’oiseaux aquatiques et des animaux qui viennent s’abreuver au bord de l’eau. La mâchoire et les dents de cet animal sont conçues de telle sorte qu’il ne peut pas mâcher mais saisir. La morphologie de sa gueule est telle qu’il a une force énorme pour resserrer ses dents sur ce qu’il attrape, mais une très faible puissance pour l’ouvrir. Les muscles qui activent sa mâchoire pour la fermer sont dix fois plus puissants que ceux qui servent à l’ouvrir. Un homme dans l’eau n’est pas une proie pour les crocodiles, mais peut le devenir. En général, ces animaux s’attaquent à des individus de petite taille, dont ils connaissent la nature et la morphologie. L’animal est doté de plusieurs organes sensoriels qui lui permettent d’évaluer sa proie et de s’assurer des chances de succès dans la capture. Si le crocodile n’est pas deux à trois fois plus énorme qu’une personne, il lui est difficile de l’attaquer», a souligné Moustapha Sarr. N’empêche ! Dans une situation de peur, homme ou animal, il est difficile de prévoir sa réaction. En face d’un crocodile dans l’eau, il faut se dépêcher de sortir en évitant de s’agiter pour ne pas paniquer l’animal. Hors de l’eau, il faut prendre contact avec les services compétents pour qu’ils puissent le récupérer. Moumouni Simporé * Il s'agit notamment du conseiller technique du ministre de l'Environnement et du Cadre de vie, Urbain Belemsebgo, et de l'enseignant de l'université de Ouagadougou Source
  13. Kaolack : un serpent de trois mètres dans un lit. DAKARACTU.COM Le couple kaolackois n'en revient toujours pas ! Dans la nuit écoulée vers 2 heures du matin, alors que madame rejoignait sa chambre à coucher, quelle fût sa surprise de découvrir un énorme serpent lové sur le lit conjugal... Imaginez-vous un peu, la frayeur de la dame ! Appelé à la rescousse, le mari qui prenait l'air dans la cour, n'en a pas crû ses yeux. Il a prit cependant son courage à deux mains et à l'aide d'une machette, il a réussit à tuer la bête vraisemblablement encore endormie. Pour sûr que les habitants du quartier de Médina fass de Kaolack vont inspecter leurs chambres avant de se mettre au lit. Le cas n'est pas isolé et certains ont demandé la mise en place d'un plan d'assainissement dans les zones inondables. Source
  14. Un observatoire de la biodiversité parisienne Le mulot sylvestre, le crapaud accoucheur et le criquet mélodieux font partie des animaux dissimulés dans la jungle de béton de Paris. Grâce à l'ouverture d'un Observatoire de la biodiversité parisien, dans le square Capitan (5e), les 1 700 espèces animales et 2 000 plantes et champignons qui peuplent la capitale seront étudiés et protégés. Outre le grand public, qui sera accueilli à la Maison Paris Nature, au Parc floral, cet observatoire aidera à la sensibilisation et facilitera les échanges entre étudiants, scientifiques et tous ceux qui construisent la ville de demain, architectes, paysagistes, associations et politiques afin de mieux préserver ces espèces. « On est en train de reconnaître les services écologiques de la nature, par exemple la captation de la pollution ou la rétention d'eau », s'est félicité l'adjointe au maire de Paris chargée des espaces verts, Fabienne Giboudeaux (EELV), mercredi, lors de l'inauguration du lieu constitué de bureaux et d'un centre de documentation.O. Gabriel Source
  15. En bref : Trogloraptor, une nouvelle araignée aux griffes impressionnantes Une nouvelle araignée vient d’être découverte au sein de cavités dans l'ouest des États-Unis. Mesurant 4 cm de large, la voleuse des grottes Trogloraptor marchingtoni se caractérise par d’impressionnantes griffes à l’extrémité des pattes. D’autres caractères uniques ont nécessité la création d’une nouvelle famille, celle des trogloraptoridés, pour pouvoir la classer. La grande classe des araignées, 3.600 espèces rien qu’en Amérique du Nord, compte désormais un membre supplémentaire dans ses rangs. Trogloraptor marchingtoni, décrite par des spécialistes de la California Academy of Sciences (CAS) dans la revue Zookeys, a été découverte par des amateurs dans des grottes du sud-ouest de l’Oregon aux États-Unis. D’autres spécimens ont par la suite été trouvés au sein de forêts californiennes, les old-growth redwood forests, par des scientifiques de la San Diego State University. Une nouvelle famille a dû être créée tant la nouvelle araignée est unique, un événement peu fréquent. Source
  16. Morsures de vipère : les bons réflexes à adopter Que faire en cas de morsure par une vipère ? Le point sur les soins à apporter et les gestes à bannir ! Selon la Fédération française de randonnée (FFRandonnée), "en France le nombre de morsures de vipères est estimé à 1.000 par an". Les deux espèces de vipères les plus fréquemment rencontrées sont : la vipère péliade au nord de la Loire et la vipère aspic au sud de la Loire. "La vipère vit essentiellement dans la rocaille, les herbes sèches et au bord de l'eau. Elle est active de mars à octobre, plus ou moins en fonction de la température extérieure", précise la FFRandonnée. Elle capture ses proies en les mordant et en injectant du venin. Il contient des toxines qui immobilisent puis tuent la proie, et des enzymes qui la digèrent. Les gestes à éviter absolument Abstenez-vous d'inciser la plaie car cela favorise la nécrose (mort) des tissus ou la surinfection de la morsure. En revanche, l'utilisation d'une seringue vide sans aiguille, ou mieux encore, d'un appareil de type Aspivenin permettra d'aspirer le venin mieux que n'importe quoi d'autre. Ne mettez pas de garrot, c'est inutile. Le venin continuera de se diffuser dans le corps en longeant les gaines nerveuses. Et c'est surtout dangereux car, là encore, vous risqueriez de provoquer de graves nécroses. N'injectez pas non plus de sérum. Il peut y avoir un risque d'allergie à ce dernier, et c'est donc un acte à réserver au médecin. Evitez enfin de donner au blessé une boisson comme du thé, du café ou de l'alcool. En cherchant à "soutenir" la victime, vous risquez d'accélérer son rythme cardiaque... et par conséquent la diffusion du venin. Source : Fédération française de randonnée, site consulté le 09 août 2012 (Destination santé ) Source
  17. Une tortue attachée à des ballons comme dans 'Là-Haut' Heureusement, le tout s'est bien terminé. On ignore qui a fait ça et le coupable, s'il est découvert, pourrait être poursuivi pour cruauté envers des animaux. En Californie, la mystérieuse personne a donc accroché plein de ballons à une tortue qui s'est envolée mais a été retenue par un arbre. Des pompiers ont été appelés pour la secourir mais, entre-temps, un petit coup de vent avait doucement ramené la tortue au sol. Source
  18. Israël: des tortues en voie de disparition relâchées dans la mer La Direction de la Nature et des Parcs d'Israël a relâché dans la nature quatre tortues de mer en voie de disparition à la plage Zikim en Israël jeudi. La pêche et la pollution sont dangereuses pour ces créatures marrons qui se sont lentement redirigées vers la mer salée de la Méditerranée après six mois de traitement sur la rive. Durée: 00:58
  19. Swamplandia, paradis perdu des alligators A la mort de la mère, une famille des Everglades tente de faire survivre le parc familial, célèbre pour ses alligators. Premier roman de Karen Russell, drôle, poétique et mélancolique. Il faut toujours se méfier de l'alligator. Cette bête au regard fourbe n'est, au fond, rien d'autre qu'"un estomac dans une valise en cuir [qui] ne te rendra jamais ton affection". Hillola Bigtree le sait mieux que personne, elle qui a passé sa vie à dompter ces fauves à écailles dans le parc d'attractions familial, Swamplandia. Mais c'est un autre prédateur qui sera fatal à la jeune femme. Un cancer des ovaires a en effet eu raison de cette grande professionnelle, par ailleurs "cuisinière exécrable et mère de trois enfants". Elle avait trente-six ans, et laisse une famille, déjà pas forcément très équilibrée, dans la panade. La santé de cette modeste entreprise de loisirs des Everglades, autrefois très populaire, n'est pas au mieux. Un parc rival, Le Monde de l'Obscur, vient ainsi d'ouvrir et semble attirer un large public, qui se détourne de Swamplandia, qui croule sous les dettes. Un combat à la David et Golitah ? Le grand-père Sawtooth survit dans sa maison de retraite, et le père - surnommé le Chef - semble complètement dépassé par les événements et se renferme sur lui-même. Les relations entre ce dernier et le "fils prodige", Kiwi, vont empirer - d'autant que le garçon au prénom fruité va accepter de travailler pour l'ennemi... Sa soeur, Osceola - dite Ossie - lit de trop près un étrange grimoire de sorcellerie, Le Télégraphe Spirite, dans lequel elle apprendra comment communiquer (et même plus...) avec les morts jusqu'à, peut-être, sombrer dans la folie. Heureusement, la petite Ava, treize ans, semble avoir la tête sur les épaules pour tenter de faire vivoter, encore un peu, la splendeur ténue de Swamplandia. Mais jusqu'à quand ? D'autres personnages tout aussi déjantés - le "fantomatique" Louis Thanksgiving, L'Oiseleur, Mama Weeds... - viendront pimenter le fascinant (premier) roman de l'Américaine Karen Russell, dont l'atmosphère rappelle le cinéma de Wes Anderson. Amusant et mélancolique (effrayant, à l'occasion), Swamplandia touche le lecteur grâce à la singularité de son univers et la poésie de sa langue particulièrement inventive. Derrière les tribulations du drôle de clan Bigtree, la jeune romancière décrit surtout le déclin et l'inévitable disparition d'un monde, la quête d'un paradis perdu dont, finalement, nous sommes contraints de n'être que les touristes. Ou, qui sait ?, les alligators... Source
  20. Khouribga : Les cas de piqûres de scorpion en baisse de 24% en juillet Les cas de piqûres de scorpion ont enregistré une baisse significative de 24 pc, en juillet dernier, au niveau de la province de Khouribga, par rapport au même mois de l’année précédente, selon une source hospitalière. Les statistiques fournies par l’hôpital provincial Hassan II de Khouribga démontrent que les cas de piqûre traités par le service des urgences ont sensiblement chuté durant cette période, passant de 131 en 2011 à 106 en 2012. Sur l’ensemble des cas signalés, 4 seulement ont nécessité une brève hospitalisation, aucun cas de décès n’ayant été déploré, a précisé la même source. Les enfants ont été les plus exposés aux piqûres des scorpions durant ce mois marqué par la canicule, puisque 79 victimes de ce dangereux arachnide, soit 74 pc des cas, sont âgées de moins de 15 ans. 25/8/2012 Source
  21. FAUNE - Un crocodile de 4 mètres terrifie une plage Un crocodile d'eau de mer de quatre mètres de long a été repéré dimanche nageant à 50 mètres du bord de la plage fréquentée de Ellis Beach près de Cairns dans le Nord Queensland. Les nageurs ont été priés de sortir immédiatement de l'eau et la plage a été fermée jusqu'à nouvel ordre. Ellis Beach est située à quelques kilomètres de Kewarra Beach, où un crocodile tua le chien d'un pêcheur devant des touristes horrifiés le mois dernier. Les populations de crocodiles d'eau de mer appelés aussi "Salties" sont en augmentation et le gouvernement du Queensland a mis un plan en vigueur pour contrôler les plages et lieux à forte population. Ces crocodiles peuvent mesurer jusqu'à 8 mètres de long et peuvent être extrêmement dangereux. Source
  22. Une tortue menacée au Cambodge revient du Vietnam Un spécimen extrêmement rare de tortue Batagur affinis, ou tortue de mangrove, a été rapatrié au Cambodge depuis un parc de Saigon. Elle y vivait depuis 30 ans. La femelle de 45 kilogrammes séjournait depuis les années 1980 dans le parc d’attractions de Suôi Tiên à Hô Chi Minh-ville, au Vietnam, sans que personne ne sache vraiment comment elle y était arrivée alors qu’elle était toute jeune et ne pesait encore que 2 kg. Cette espèce au bord de l’extinction en Indonésie, en Malaisie et au Cambodge a déjà disparu du Vietnam et de Singapour, et sa présence est incertaine en Birmanie et en Thaïlande. « Il y a moins de dix femelles Batagur connues au Cambodge », a expliqué dans le Phnom Penh Post du 8 octobre Gregory Duplant, responsable du projet Batagur à la Wildlife Conservation Society (WCS). « C’est pour cela que c’était vraiment important que nous ramenions celle-ci ». La vénérable expatriée de longue date a retrouvé son pays d’origine le 5 octobre après un véritable parcours du combattant administratif à laquelle l’ONG vietnamienne Education of nature Vietnam (ENV) a largement participé. Ce sont les volontaires d’ENV qui avaient repéré la tortue la première fois en 2010. Après une cérémonie officielle dans le parc de Suôi Tiên, la tortue de mangrove a été transférée au Centre Angkor pour la protection de la biodiversité à Siem Reap, dans le nord du Cambodge, où elle se reproduira avec un mâle en âge de procréer. Dans le royaume, on trouve principalement sa population à l’état naturel dans la rivière de Sre Ambel, dans la province de Koh Kong (sud-ouest). Selon Heng Sovannara, en charge du projet Batagurdu au département des Pêches, ces tortues « étaient attrapées chaque jour dans les années 1980 dans la région de Koh Kong ». « Mais après, cette espèce est devenue très rare », ajoute-t-il. En 2005, les autorités vietnamiennes avaient déjà restitué au Cambodge une autre tortue Batagur, relâchée dans la rivière de Sre Ambel et équipée d’une balise de repérage satellite qui permet aux écologistes d’étudier ses déplacements. Décimée par une chasse excessive au cours des vingt dernières années à cause de la délicatesse de sa viande et de ses œufs dont sont friands les marchés alimentaires chinois, cette espèce est menacée de disparaître dans quelques années et sa survie repose sur sa réimplantation en milieu naturel et sur le succès des programmes de fécondation dans les zoos. Traditionnellement au Cambodge, la tortue Batagur, qui peut vivre de 75 à 85 ans, était considérée comme la propriété exclusive du Roi. Source
  23. Carcassonne. Serpent à sonnette ou à sornettes ? Les gendarmes sont intervenus hier, route de Montclar, pour intercepter un crotale trouvé par un ramasseur de champignons. Un redoutable reptile venimeux... en plastique Nom d'un serpent à plumes ! Après le vison d'Amérique, le chancre coloré et la tortue de Floride, le crotale serait-il le dernier cadeau empoisonné de l'Oncle Sam ? C'était lundi. Parti dans la Malepère à la cueillette des champignons, ce Carcassonnais est tombé nez à nez avec un crotale. Oui, un crotale. Non, l'homme ne souffre pas d'une hallucination résultant de la décoction d'un champi qui fait rigoler. Voici les faits : notre promeneur regagnait sa voiture garée sur le bas-côté, lorsqu'à un mètre du capot, il découvre la bestiole dépliée dans un tapis de feuilles. Et se fige aussi sec. Ksss ! «Le serpent semblait tout juste mort. On aurait dit qu'il avait commencé à muer ou bien qu'il avait été éventré. Par prudence, je ne l'ai ni touché, ni ramassé», raconte notre cueilleur. Il a bien fait : un centième de seconde suffit à ce fourbe pour mordre! L'homme dégaine son téléphone portable. Clic clac. De retour à Carcassonne, il montre l'image de son trophée à un vendeur animalier. Avec sa queue qui finit en épi de maïs déplumé, ses anneaux blancs sur écailles grises et sa longueur (entre 1,50 m et 2 mètres), ce charmeur-là a tout l'air d'un serpent à sonnettes, connu pour la fulgurance de ses attaques. Et notre homme de se demander quelle peau de vache a bien pu abandonner un tel dragon en ces lieux. Ou une dragonne ? Qui a peut-être pondu? Il prévient la gendarmerie et notre rédaction. Hier matin, deux militaires déboulent pour récupérer l'objet du délit. Muni d'un bâton, l'un d'eux approche le redoutable animal venimeux, toujours immobile depuis la veille. L'animal est bien mort mais sa peau est… de plastique. La chose blanche qui sort des entrailles de la bébête est du coton et non pas une mue ou un casse-croûte, genre petit lapin blanc ! La copie est si parfaite qu'il y a eu méprise. M'enfin, comme nous l'apprend une dépêche de l'AFP, un touriste parisien parti serpenter dans le Bas-Rhin, en quête de bolets,a rencontré un python de 2,5 m de long qui ondulait, pépère.Bien vivant. Et ce n'est pas une sornette. Source
  24. Un crocodile dévore un homme de 30 ans à Menongue Menongue(Angola) - Un homme de 30 ans dénommé Isaías dos Santos Jamba, a été trouvé lundi mort dans la rivièreKwebe à Menongue, province de Kuando Kubango, victime d’une attaque d’un crocodile. La première attaque de ce genre avait eu lieu en janvier dernier dans le quartier Boa Vida dans la banlieue de la ville de Menongue. Se confiant à la presse, la source proche de la famille a expliqué que la victime s’était rendue à la rivière pour prendre bain lorsqu’elle a été attaquée par le crocodile et retrouvé mort au bord de la rivière. Source
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