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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Parti aux champignons, il tombe nez à nez avec un python
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Parti aux champignons, il tombe nez à nez avec un python Un touriste parisien parti aux champignons dans la propriété de son hôte, restaurateur en Alsace, s'est retrouvé mercredi en face d’un python de 3.25 mètres de long. L’affaire aurait pu mal se terminer. Mercredi, un Parisien en vacances dans la résidence d'un ami à Seltz, dans le Bas-Rhin, est tombé sur un python de 3.25 mètres de long alors qu'il allait aux champignons. "Des amis de Paris étaient chez nous. L'un d'eux a voulu aller aux champignons et en partant, il a vu un énorme serpent sortir des thuyas qui bordent la propriété", a expliqué Alain Mappus, ami de l'homme qui a découvert l'animal, au micro de France 3 Alsace. Ce dernier n'a aucune idée de la provenance du serpent, qui peut mesurer jusqu’à 6,15 mètres de long. Il n’exclut cependant pas un acte de malveillance à l’encontre de son restaurant "Au bord de l'étang". Selon les pompiers du département, l’importation de cet animal est interdite en France sans autorisation. Récupéré par ces derniers, le reptile a été mis dans une boite hermétique en attendant d’être confié à l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS). Entre-temps, la gendarmerie a ouvert une enquête. Source -
3 e salon du reptile dimanche à Mer Voulez-vous surprendre votre belle ? Offrez-lui un python ! Mais attention, les animaux, même d'étrange compagnie, sont des êtres vivants qu'il convient de respecter. C'est trop navrant de voir des gens acquérir une bestiole sur un coup de tête, et l'abandonner ensuite lorsqu'elle a cessé d'amuser. C'est pourquoi, sur les 1.000 m2 du salon qui se tient ce week-end à Mer, on trouve des stands pédagogiques qui vous expliquent qui sont les reptiles, ce qui leur est nécessaire, etc. On y découvre aussi les détails de la législation en vigueur. Pour le reste, c'est assez fascinant de voir à portée de la main des iguanes, lézards, tortues et autres caméléons. Comme disait l'un des 1.500 visiteurs l'année dernière « Un serpent, ça ne mange pas souvent, et il n'y a pas besoin de l'emmener se promener » ! Sur place, on trouvera une sandwicherie et des animations spécialement destinées aux enfants. Ca va ramper sous la halle de Mer ! Dimanche 23 septembre de 10 h à 18 heures. Entrée : 3 € Source
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Quand pourais je enfin manipuler mes rhaco???
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de gaara3000 dans Général
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Biodiversité : près d’un invertébré sur cinq menacé d’extinction
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Biodiversité : près d’un invertébré sur cinq menacé d’extinction Selon la Société zoologique de Londres, près d’une espèce d’invertébrés sur cinq serait menacée d’extinction, un niveau similaire à celui observé chez les vertébrés. Des efforts de conservation doivent donc être entrepris pour sauver ces éléments clés des écosystèmes, qui nous sont indispensables. Les invertébrés représenteraient 80 % des espèces d’animaux et de plantes recensées sur Terre. Parfois invisibles à l’œil nu (tel le zooplancton… Source -
Noel Gallagher sème la panique avec une araignée dans un festival
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Noel Gallagher sème la panique avec une araignée dans un festival Noel Gallagher a sans le vouloir semé la panique au Jersey Live festival le weekend dernier. Une araignée noire à crocs verts a été retrouvée dans un de ses flightcases de guitare. Le backstage du festival a été mis en quarantaine le temps qu'un spécialiste de la vie sauvage estime s'il y avait danger ou pas. Le porte parole du festival a déclaré : "Le staff s'est immédiatement lancé à la poursuite de l'araignée et une partie du backstage a été mis en quarantaine une vingtaine de minutes. Noel n'était pas encore arrivé au festival et n'a été au courant de la panique que plus tard." L'araignée a été capturée. Elle est actuellement analysée. Source -
Une tortue des Caraïbes débarque en Camargue C'est une drôle de découverte faite début août par les vacanciers sur une plage des Bouches du Rhône. Une tortue luth de 2 mètres de long, pesant 320 kg, a été retrouvée sur la plage de Salin-de-Giraud, en Camargue. C'est un bateau de pêche qui l'aurait prise dans ses filets et l'aurait déposée sur la plage. Là, des estivants l'ont placée dans un trou protégé par des bâches. Le Centre d’Études et de Sauvegarde des Tortues Marines en Méditerranée a ensuite examiné l'animal : la tortue a été baguée à Trinidad-et-Tobago dans les Caraïbes ! Malgré quelques blessures superficielles, la tortue géante, extrêmement rare en Méditerranée, a été remise à l'eau. Source
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Un couple trouve un python géant sous le capot de sa voiture
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un couple trouve un python géant sous le capot de sa voiture S'ils voulaient aller à la rencontre des animaux sauvages de la région, leurs espérances ont été comblées. C'est un python géant que ce couple de Sud-africains a trouvé sous le capot de sa voiture, dans le parc national Kruger. Marlene Swart et Leon Swanepoel ne s'attendaient sûrement pas à cette rencontre. Partis à la rencontre des milles et unes merveilles de la faune africaine, c'est un python de près de 2,5 mètre que le couple a pu observer de très près. En balade dans la réserve animalière du parc national Kruger, l'attention des deux Sud-africains a très vite été attirée par un groupe de visiteurs surexcités. S'attendant à voir un lion, le couple est descendu de voiture pour apercevoir dans les herbes haute un énorme serpent. Dérangé par tout ce remue-ménage, c'est sous le capot de Swart et Swanepoel que l'imposant reptile a trouvé refuge. Ce drôle de passager semble s'être amouraché du cocon chaud, sombre et bien à l’abri des cris et gesticulation des êtres humains. Impossible de le déloger de sa nouvelle tanière. Pour le couple terrorisé, la seule solution était de rouler jusqu'à la ville la plus proche, à 3 kilomètres de là, avec cet étrange auto-stoppeur à leur bord. Plus de peur que de mal donc, pour Marlene Swart qui reconnait que "ce genre d'expérience n'arrive qu'une fois dans une vie". Voyons le bon côté des choses, le serpent, bien que terrifiant, n'avait rien du reptile à deux tête trouvé récemment en Ukraine. Pas sûr dans ce cas précis, que le couple aurait repris le volant pour se débarrasser du python. Source -
Madagascar - Comment sauver la peau des crocodiles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Madagascar - Comment sauver la peau des crocodiles La filière crocodile de Madagascar a du plomb dans l’aile. Un moratoire déposé depuis trois ans à Madagascar par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites), empêche toute exportation de peau et de viande de crocodile de la Grande Ile. D’après Madagascar-Tribune.com, cette décision de la Cites, intervenue en 2009 et confirmée en 2010, fait suite à des problèmes administratifs. Principale responsable: l’absence de stratégie de gestion de la filière crocodile, comme le confirme à RFI le directeur technique de la ferme Crocfarm, qui était l'une des plus grandes du continent: «L’espèce est menacée, à Madagascar, on en trouve de moins en moins. La plupart des artisans exercent dans le secteur informel. Donc, il n’y a pas de suivi, pas de règle.» La Gazette de la Grande Ile révélait pourtant en 2011 que les demandes émanant d’Asie et d’Europe étaient importantes. Sur le marché international, une peau de crocodile peut se vendre jusqu’à 5.000 euros. Un terrible manque à gagner pour les Malgaches puisque jusque là, comme l’indique RFI, la filière faisait vivre environ 400 familles. Le moratoire de la Cites a été reconduit fin juillet 2012, rapporte L’Express de Madagascar. L’organisation a en effet estimé que l’île n’avait pas fourni suffisamment d’informations pour justifier la levée de la suspension. D’après ce quotidien malgache, Madagascar doit encore mettre en place un système de contrôle des ranchs, ainsi qu’un dispositif de saisie et destruction systématique des produits ne respectant pas les limites de taille fixées. Source -
Échographie cardiaque pour un python de 7 m ! Selon le DailyMail, des vétérinaires britanniques ont récemment procédé à une visite médicale avec cardiographie sur un pensionnaire du zoo de Chester. Huit personnes ont du intervenir pour ces manipulations car le patient était un python de 7 mètres de longueur ! Sept mètres de longueur et 90 kg : Bali, un python réticulé, est considéré comme le plus grand serpent vivant en Grande-Bretagne. Cette femelle vit au zoo de Chester, où, comme tous les pensionnaires, elle doit passer de temps en temps une visite médicale. Or, la dernière a eu lieu récemment mais n'a pas été de tout repos pour les soigneurs. En effet, elle a nécessité les bras de pas moins de 6 employés du zoo plus ceux du vétérinaire, le Dr Eric Stohr, de la Cardiff Metropolitan University, pour la sortir de son terrarium. Durant la visite médicale, le serpent a subi un examen général et un prélèvement sanguin. Mais ce n'est pas tout puisqu'il est également passé entre les mains de deux experts, Rob Rasage et Eric Stohr, également de la Cardiff Metropolitan University, qui ont effectué une échographie de son cœur. Durant toutes ces manipulations, l’animal avait les yeux couverts pour atténuer son stress. Le python réticulé est originaire du sud-est asiatique, où il partage son habitat forestier avec les orang-outans, dont il est l'un des rares prédateurs naturels. Au zoo, il se contente en revanche de dindes, de poulets ou de lapins, à raison d’un toutes les 6 à 8 semaines. Dans la nature, il est chassé pour sa peau, prisée en maroquinerie, et menacé par la déforestation. D'ordinaire, les femelles sont capables de porter entre 60 et 100 oeufs à la fois, qui éclosent une fois sortis, au bout de 70 à 90 jours. Source
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Eauze. Ils trouvent une couleuvre dans leur chambre
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Eauze. Ils trouvent une couleuvre dans leur chambre Les pompiers d'Eauze ont été appelés à 23 h 40, dimanche, par des habitants de la cité Belle-Marie qui ont trouvé une couleuvre dans la chambre de leur appartement, bâtiment C1. Munis de protections, les pompiers ont attrapé le serpent et l'ont libéré dans la nature. Source -
Pour les bébés tortues, Chypre pourrait être la dernière planche de salut C'est la fin de l'été: des centaines de bébés tortues de mer naissent sur les côtes chypriotes, pour le plus grand bonheur des touristes et des responsables de la protection de l'environnement. "Courage, petite tortue, dix centimètres et tu y es", s'excite Elliott, un touriste britannique de douze ans. Ce soir-là, il participe à une mise à l'eau avec la Society for Protection of Turtles (Spot), une association de protection des tortues d'Alagadi, une plage du Nord de Chypre. Les bébés de cinq centimètres, une fois posés sur le sable, battent frénétiquement des nageoires pour rejoindre la mer. Ils ont été recueillis dans l'après-midi, au fond de leur nid sous un demi-mètre de sable. "Seul un bébé tortue sur mille réussit à atteindre l'âge adulte, alors on essaie d'augmenter au maximum leurs chances de survie", dit Sara Toule, diplômée de biologie à l'université écossaise d'Aberdeen qui travaille avec le Spot. Tous les petits reptiles n'ont pas la même vitalité: certains se lancent avec enthousiasme vers les vagues de la Méditerranée, d'autres restent inertes avant d'être emportés par les flots. "Ils vont se réveiller", dit l'un des touristes, peut-être trop optimiste. Dans la nuit, les bébés tortues détectent la mer grâce aux reflets de la lune ou, quand ils sont trop ténus, comme ce soir-là, grâce à la torche frontale de l'un des volontaires qui se tient assez loin dans l'eau. La famille d'Elliot Evlyn-Bufton a choisi de venir en vacances à Chypre pour qu'il puisse observer l'éclosion des tortues vertes (chelonia mydas) et des tortues caouannes (caretta caretta), les deux espèces qui nidifient en Méditerranée. Chypre héberge en moyenne plus de 30% des nids de tortues vertes et près de 20% des caouannes en Méditerranée. Ces deux espèces sont en danger selon l'IUCN (International Union for Conservation of Nature), principalement à cause de la pêche intensive. En amont de l'éclosion, il faut aussi placer des grilles sur les nids. "Si on ne les protégeait pas, 60% des oeufs seraient dévorés, principalement par les renards", dit Chelsea Crossingham, étudiante en zoologie à l'université d'Exeter (Grande-Bretagne) et volontaire au Spot. "Après 2006, il y a eu une explosion du nombre de bébés tortues dans les zones protégées. De toute la Méditerranée, seule Chypre a connu une telle augmentation", se réjouissent Andreas Demetropoulos et Myroula Hadjichristophorou, responsables du projet gouvernemental de protection des tortues de la République de Chypre. Le tourisme menace les nids L'île de Chypre est divisée entre la République de Chypre, seule entité internationalement reconnue, et une zone couvrant le tiers nord-est, occupée par la Turquie depuis 1974. "Le nombre de nids de tortues sur nos plages est très élevé, ce qui montre que nos efforts depuis les années 1990 ont payé", dit Hasibe Kuset-Oglu, responsable de la protection des tortues au sein du ministère de la Culture et de l'Environnement pour la partie Nord. "Le plus difficile est de convaincre les politiciens d'interdire les constructions touristiques. Même si paradoxalement notre avantage, à Chypre-nord, c'est d'avoir moins d'argent que du côté de la République de Chypre, et donc de moins attirer les promoteurs. On attend aussi une subvention d'un projet de protection de toutes les espèces du littoral de l'Union Européenne". Les plages de nidification doivent être protégées à long terme car les tortues, une fois atteint l'âge de la reproduction, reviennent pondre là où elles sont nées entre 20 et 40 ans plus tôt, "principalement grâce aux forces géomagnétiques qui leur fournissent une sorte de GPS", disent M. Demetropoulos et Mme Hadjichristophorou. Des deux côtés de l'île, les organisations environnementales se battent pour faire protéger les plages de nidification et y empêcher les constructions et le tourisme de masse, qui menacent les nids ou leurrent les bébés tortues loin de la mer avec les lumières artificielles. "La Grèce, la Turquie et Chypre sont des destinations de tourisme de masse, et c'est principalement sur ces plages que les tortues pondent", dit Robin Snape, doctorant au centre d'Ecologie et de Protection animale de l'université d'Exeter et volontaire au Spot. Dans la République de Chypre, ces deux espèces de tortue sont protégées depuis 1971 et le développement touristique et la pêche sont régulés. A Chypre-Nord, la sauvegarde a commencé plus tard et dépend plutôt de projets de recherches universitaires, tels Spot. "On pourrait développer l'éco-tourisme, cela donnerait du travail aux gens de cette partie de l'île, mais pour le moment, ils s'intéressent plus aux stations balnéaires et aux casinos", déplore Robin Snape. Source
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Toutes les grenouilles ont-elles été des têtards ? Pas sûr...
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Toutes les grenouilles ont-elles été des têtards ? Pas sûr... Certaines grenouilles n’ont pas besoin d’eau pour se reproduire. Seule la moitié des anoures engendrerait des têtards. Les autres pourraient avoir pris quelques raccourcis au cours de l’évolution. Au sein de nos contrées, les grenouilles et les crapauds sont considérés comme des organismes semi-aquatiques à développement indirect. Leurs œufs sont pondus dans l’eau, donnent naissance à des têtards qui se transformeront, lors de la métamorphose, en adultes pouvant vivre sur terre. Ce cycle de vie ne constitue cependant pas une règle absolue. En réalité, les anoures, des amphibiens dépourvus de queue, sont parmi les vertébrés terrestres les champions pour le nombre de cycles reproductifs différents. Ivan Gomez-Mestre de la Doñana Biological Station CSIC (Espagne) vient justement d’en dresser le bilan dans la revue Evolution. Parmi les centaines d’espèces étudiées, seules 50 % d’entre elles suivraient ce schéma considéré comme classique. Certaines grenouilles n’ont jamais été des têtards Les cycles de vie suivis par l’autre moitié des 720 espèces passées à la loupe sont variés. Pour protéger leurs pontes des prédateurs aquatiques, certaines grenouilles n’ont pas hésité à sortir leurs œufs hors de l’eau. Ils peuvent être placés sous des feuilles surplombant par exemple une mare ou un étang. Les larves tombent alors dans le précieux liquide lors de l’éclosion. Dans ce cas, le stade aquatique n’a pas été perdu. Certains anoures terrestres sont dits à développement direct, les jeunes naissent en ayant l’apparence des adultes, il n’y a plus de métamorphose. Les œufs peuvent également être collés sur des feuilles, mais pas seulement. Certaines espèces déposeraient leur portée à l’intérieur de véritables nids faits par exemple de mousse. D’autres ont trouvé des solutions leur permettant de transporter et de protéger leurs œufs, par exemple en les conservant sur la peau, en bouche, dans le sac vocal ou même dans l’estomac. Des analyses génétiques ont été menées pour comprendre l’histoire évolutive de ces cycles de vie. Selon les théories actuelles, le développement direct serait progressivement apparu en plusieurs étapes, chacune étant marquée par une transformation du cycle de base, par exemple par la sortie des œufs hors de l’eau. À la lueur des nouveaux résultats phylogénétiques, cette explication ne peut pas être généralisée. Certaines espèces à développement direct auraient évolué à partir d’organismes totalement inféodés au milieu aquatique. Des grenouilles ont donc en quelque sorte sauté des étapes de l’évolution. Un succès vieux de 220 millions d’années Plusieurs caractéristiques du développement des grenouilles seraient également liées à leur mode de vie. Les espèces terrestres pondent par exemple moins d’œufs que leurs homologues aquatiques, mais ils sont généralement plus grands et font l’objet de soins parentaux. De plus, les grenouilles à développement direct vivraient principalement au sein de milieux particulièrement chauds et humides. Ces quelques résultats permettraient d’expliquer le succès actuel du mode de reproduction « œufs dans l’eau – têtards – métamorphose – adultes » apparu pourtant voici 220 millions d’années. Grâce à lui, les femelles peuvent pondre en grandes quantités afin d’assurer au mieux leur descendance malgré les risques encourus par les œufs. Par ailleurs, ce mode permet également aux espèces l’utilisant de coloniser des milieux plus froids et moins humides. Source -
Vaincre sa peur panique des araignées… Mygale, veuve noire, Pisaura mirabilis et autre néphile dorée… L’aspect parfois velu des araignées et leurs longues pattes fines vous effraient au point d’hurler et de ne pas pouvoir vous en approcher ? Si vous êtes arachnophobe, notez bien ces quelques conseils… L’arachnophobie correspond à la peur panique des araignées. Elle est d’ailleurs l’une des phobies les plus connues, puisqu’elle a fait l’objet d’un film éponyme. Cette grande peur se manifeste à la vue d’une araignée. Et parfois même, à sa simple évocation. En présence d’une araignée donc, qu’elle soit petite ou grande, le phobique est sujet à des symptômes désagréables et irrépressibles. Certains transpirent fortement, d’autres ont des céphalées ou perdent connaissance. Une psychothérapie comportementale et cognitive Cette phobie, comme toutes les autres, peut se présenter sous une forme plus ou moins sévère. Certains patients les développent à la vue d’une grosse mygale. D’autres, en présence d’une petite araignée rencontrée dans leur maison ou même à la simple vue d’un arachnide. Comme ces animaux se trouvent un peu partout, certains phobiques ne sortent plus de chez eux. Leur vie sociale et même professionnelle peut en être durement affectée. Pour les soigner, les psychiatres mettent souvent en place une psychothérapie comportementale et cognitive. Ainsi le phobique est-il exposé progressivement à l’objet de son angoisse. Jusqu’à ce qu’il soit capable de se trouver en présence d’une araignée sans présenter de symptômes. Pour toute question, n’hésitez pas à consulter un médecin. Source
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Le Timor oriental crée une brigade anti-crocodiles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le Timor oriental crée une brigade anti-crocodiles DILI, mercredi 12 septembre 2012 (Flash d’Océanie) – Le gouvernement du petit État du Timor oriental a annoncé en milieu de semaine la formation d’une nouvelle unité spéciale, qui sera chargée de contrôler les populations de crocodiles, en pleine croissance ces dernières années, menaçant parfois des vies humaines. Cette brigade anti-crocodiles (BAC) version timoraise devrait être composée de policiers, d’agents des services environnementaux et de soldats, tout spécialement chargés de surveiller de près ces populations de reptiles, espèce protégée depuis l’indépendance de ce jeune pays, en 2002, rapporte mercredi la radio nationale publique australienne ABC. Mais ce statut protégé a aussi entraîné, dans cette ancienne province indonésienne, une prolifération des individus, qui sont de plus en plus souvent signalés aux abords des agglomérations et des rivières dans des zones peuplées. De nombreux incidents ont déjà vu, ces dernières années, des pêcheurs attaqués par les sauriens sur le bord des rivières et pour certains littéralement happés sur leurs barques par des crocodiles de grande taille. La plupart n’ont pas survécu. La formation pour les membres de cette « Crocodile Taskforce » a d’ores et déjà débuté, avec des stages de formation e situation réelle à Darwin (Nord de l’Australie), où des programmes de contrôle des crocodiles, là-bas aussi espèce protégée, sont en place depuis de longues années. À l’issue de cette formation, cette brigade devrait être officiellement lancée courant 2013. Chasse aux trophées ? Entre-temps, en début de semaine, la police de l’État australien du Territoire du Nord a lancé un appel à témoins afin de tenter d’élucider les circonstances qui ont conduit à la découverte de la carcasse d’un énorme crocodile, amputé de sa queue. La bête morte, de deux mètres cinquante environ, a été laissée sur place, sur le bord d’une rivière proche des communautés aborigènes de Maningrida, avec un bâton placé en travers de la gueule pour la maintenir ouverte. Elle aurait été abattue par une arme de chasse, selon la police, qui soupçonne un mobile lié à la « chasse aux trophées ». Les attaques de crocodiles sont aussi fréquentes dans ces régions du Nord tropical de l’Australie, mais aussi dans toute la grande région, y compris dans les îles mélanésiennes proches des Salomon et de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. En Australie, début avril 2012, une série de ces attaques avait une nouvelle fois suscité l’inquiétude. Une jeune Australienne de 23 ans, Tara Hawkes, a été prise pour cible par l’un de ces reptiles alors qu’elle avait entrepris de se baigner dans la Baie des Dugongs (région proche de Kimberley, côte Ouest). Dans cette baie, où était ancré le yacht sur lequel la jeune femme travaillait, le True North, elle avait été mordue à la cuisse par un crocodile d’environ deux mètres alors qu’elle sortait de l’eau, à un endroit où se mélangent l’eau de mer et celle, douce, d’une piscine naturelle, non loin de cascades réputées dans la région. La victime avait été rapidement évacuée par hélicoptère vers le centre médical le plus proche, celui de Derby, où elle avait été soignée pour des lacérations profondes à la cuisse. Elle a survécu. Selon les services officiels de l’environnement, les eaux de cette région sont connues pour être fréquentées par ces reptiles marins. Lundi 2 avril 2012, par ailleurs, toujours en Australie, dans l’État du Queensland (Nord-est du pays), c’est un autre crocodile de deux mètre de long environ qui s’en est pris à… une voiture. Selon un témoin qui a alerté la police, l’incident a eu dans la petite localité de Habana (banlieue de Mackay). Le véhicule et ses occupants ont alors été pris d’assaut par le reptile, sorti d’un creek tout proche de la route. Personne n’a été blessé et le crocodile a ensuite tranquillement rejoint son repaire. Début janvier 2012, les services de protection de l’environnement de l’État australien du Territoire du Nord (extrême Nord du pays, près de Darwin) ont été forcés d’intervenir pour récupérer un crocodile d’un mètre soixante dix, qui se trouvait dans le salon d’une maison d’habitation de la petite localité de Bees Creek. Les occupants de la maison avaient été réveillés par les aboiements incessants de leur chien. Ils ont ensuite découvert le saurien, un crocodile de mer, dans leur salon. Le reptile s’était échappé d’un élevage voisin (spécialisé dans la production de viande et de peaux de crocodiles), où se trouve une soixantaine de milliers de ses congénères. Les crocodiles de mer, dans cette région de l’Australie, mais aussi dans plusieurs pays de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon) s’aventurent parfois à l’intérieur des terres, remontant le cours des rivières, en particulier en périodes de crue. Nombre record de prises de crocodiles dans le Nord de l’Australie Dans toute la région, les crocodiles sont présents, jusqu’en Australie et ses régions les plus tropicales, comme le territoire du Nord (tout proche de la Papouasie-Nouvelle-Guinée). Les autorités de l’État australien du territoire du Nord ont ainsi enregistré en 2010 un nombre record de prises de crocodiles d’eau douce dans les rivières de la région : 305, dont le plus long mesurait quatre mètres soixante. Le chiffre de 2010 bat un précédent record établi six ans auparavant, avec 274 sauriens capturés dans les rivières de cet État, rapporte la radio nationale publique. Lors des énormes inondations de décembre 2010, dans l’État voisin du Queensland, les autorités avaient là aussi lancé une alerte aux crocodiles, qui profitent de la montée du niveau des rivières pour pénétrer plus en avant vers l’intérieur des terres. Mi-septembre 2010, dans la région de Darwin, les passagères d’une pirogue participant à un concours local de pêche, dans la petite localité de Corroboree (une centaine de kilomètres à l’Est de Darwin, extrême Nord de l’Australie) ont eu la peur de leur vie lorsqu’elles ont été attaquées par un crocodile qui s’est littéralement jeté sur la barque dans le but apparent de la faire chavirer. L’une des rescapées, Toni Flouse, encore choquée, avait ensuite expliqué que les femmes avaient eu la mauvaise idée de tenter de récupérer ce qui semblait être un vieux leurre, qui flottait au milieu du plan d’eau douce, au milieu d’une surface recouverte de nénuphars. « Moi j’ai dit tout de suite avant que ce n’était pas une bonne idée, il y a Monsieur le crocodile qui pourrait bien sortir d’un seul coup. Mais je pensais faire une plaisanterie », avait-elle alors déclaré. Quelques secondes après, les pêcheuses effarées ont vu surgir de l’eau un crocodile de trois mètres qui s’est rué sur l’une des extrémités du canot. Les passagères ont alors été suffisamment rapides pour se regrouper de l’autre côté de la barque, juste avant l’impact. Toutes accroupies, aucune d’entre elles n’a perdu l’équilibre et personne n’a donc été précipité dans l’eau. Entre-temps le saurien semblait avoir renoncé à l’idée d’un second assaut. Personne n’a été blessé. Le Nord infesté de crocodiles Les crocodiles sont aussi présents dans l’État australien du Queensland (Nord-est du pays), où leur population, ces dernières années, semble toutefois ne pas avoir augmenté de manière significative, selon une étude menée récemment publiée par le département de l’environnement de cet État. Cette étude a été menée entre septembre 2009 et février 2010 sur une zone côtière s’étendant sur une bande de plus de sept cent kilomètres de cette région, et incluant quarante huit rivières et leurs estuaires. Pendant la durée de cette enquête, 293 reptiles marins ont été observés, dont la grande majorité (258) appartient à la famille des crocodiles d’estuaires (d’eau de mer), le reste (35) étant des crocodiles d’eau de rivières. La taille des spécimens trouvés variait de trente centimètres à près de quatre mètres de long. Cette étude a été menée dans le cadre d’un processus de surveillance des effets de l’interdiction de la chasse au crocodile, imposée dans cet État il y a plus de trente cinq ans pour empêcher une extinction annoncée de ces reptiles. Crocodiles surfeurs Un éventuel lien entre un montée du niveau des océans et donc des marées plus fortes, permettant une remontée plus à l’intérieur des estuaires, a récemment été souligné par une enquête menée sur une vingtaine de ces crocodiles de mer, qui ont été appareillés de balises émettrices. Il est alors ressorti de cette étude, en substance, que les crocodiles d’eau de mer, pourtant réputés pour être de modestes nageurs, avaient la faculté de tirer le maximum de profit des courants et donc de « surfer », en économisant leur énergie et en pouvant de cette manière parcourir sans peine des milliers de kilomètres. pad Source -
La découverte d’une araignée en danger suspend la construction d’une autoroute au Texas (mis à jour) L'échangeur des autoroutes 105 et 110 à Los Angeles aux Etats-Unis contribue à la décongestion du traffic dans la région. A San Antonio au Texas, la découverte d’une espèce d’araignée, Circurin venii, que l’on pensait disparue, suspend la construction d’un tunnel autoroutier au nord-est de la ville. Ce souterrain, dont la facture s’élève à 15,1 millions de dollars, devait servir à décongestionner l’autoroute utilisée tous les jours par des milliers de Texans se rendant à San Antonio. L’espèce est classée sur la liste fédérale des espèces en danger et doit à ce titre être protégée de toute activité menaçant son habitat naturel. La construction du tunnel a été interrompue pour une période encore inconnue afin de définir la meilleure façon de reprendre le projet sans impacter l’habitat naturel de cette espèce rare d’araignée. La découverte a eu lieu après un épisode de fortes pluies, dévoilant un nid d’araignée profond de 1m80, rapporte le Huffington Post. Pour Jean Krecja, biologiste, Président de Zara Environmental et consultant sur le projet, « la découverte de ce nid s’apparente à celle d’une nouvelle Ile Galapagos quant à son importance biologique pour la région ». www.goodplanet.info Source
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Une araignée au venin... très spécial Connaissez-vous l'araignée banane ? Et bien sachez que, pour les hommes, sa piqure ne serait pas qu'une souffrance mais pourrait peut-être découler sur du plaisir. Alors, quel est le secret du venin de cette araignée ? Si l'araignée banane écoutait de la musique, elle serait probablement fan de Francky Vincent. Les morsures de cet arachnide appelé Phoneutria nigriventer, de son nom scientifique, sont certes dangereuses, mais elles provoquent aussi des érections. Des chercheurs se sont intéressés à ce phénomène et pour cause, l'érection est si durable qu'elle en devient douloureuse ! Ainsi les scientifiques brésiliens et américains ont étudié la toxine PnTx2-6 qui provoquerait les turgescences impromptues. Pour ce faire ils ont élaboré une première étude sur des rats. Ayant perdu leur force d'antan avec l'âge, ceux-ci avaient besoin d'un coup de pouce, à savoir cette fameuse toxine qui se dégage à la base du venin de l'araignée. Une fois injecté, il n'a fallu que 15 à 20 minutes pour que se raidissent à nouveau leurs virils attributs. Au fur et à mesure de l'étude, les chercheurs se sont rendus compte que la toxine provoque l'émission de monovyde d'azote qui facilite la relaxation des vaisseaux sanguins des organes génitaux. Ceci facilite alors les afflux sanguins et donc l'érection. Le viagra, lui, a aussi un effet vasodilatateur, mais le fonctionnement est différent. Sachant que ce dernier n'est efficace qu'à 30 %, cette découverte est un miracle. Elle fera donc honneur à une application pharmaceutique prochainement. Qu'en pensez-vous ? Source
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Quand pourais je enfin manipuler mes rhaco???
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de gaara3000 dans Général
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10 conseils pour prendre bien soin de sa tortue Comment s'occuper d'une tortue "domestique" ? Voici dix conseils pour une tortue en pleine santé. 1 - Quels sont les symptômes qui peuvent m'alerter sur l'état de santé d'une tortue ? L'observation d'une tortue permet d'anticiper et de faire face à des problèmes liés à sa santé. Une tortue malade présente un comportement anormal qui s'exprime par les symptômes suivants : manque de dynamisme, perte de l'appétit et de poids démarche désynchronisée et frottement du plastron sur le sol respiration bruyante, sifflante, gueule entrouverte, hypersalivation liquide épais s'écoulant des narines diarrhée, constipation enfoncement des globes oculaires larmoiements et paupières gonflées présence de tâches rouges sous les écailles des membres ou du plastron ramollissement de la carapace avec retard de croissance déformations de la dossière 2 - Lui offrir sa dose de rayonnements ultra-violets (UV) Veillez à lui donner quotidiennement sa dose d'UV qui lui est vitale. Une exposition à la lumière naturelle du soleil ou, à défaut, sous des lampes spéciales délivrant des "UV-B" lui permettra de synthétiser la vitamine D, indispensable à l'absorption intestinale du calcium (élément primordial pour le développement du squelette et de la carapace). 3 - Marche à l'ombre Fabriquez-lui un enclos au soleil - indispensable à la tortue - avec un point d'eau (une petite assiette, toujours remplie d'eau propre). Assurez-vous qu'elle puisse se mettre à l'ombre à tout moment si elle en ressent le besoin. 4 - Une nourriture saine pour un corps sain Il y a des tortues carnivores (qui vont manger poissons, crustacés, insectes, etc.), des tortues herbivores (qui vont manger plantes, fruits, légumes) et des tortues omnivores (qui ont un régime alimentaire à la fois carnivore et herbivore) Autrement dit, renseignez-vous sur les besoins alimentaires spécifiques de votre tortue ! Il faut lui mettre de la nourriture tous les jours, mais pas en grande quantité (la quantité est à adapter en fonction de sa taille, bien sûr) et varier celle-ci pour éviter des carences alimentaires. Privilégiez les aliments riches en calcium, nécessaires à la rigidité de sa carapace. 5 - S'enivrer raisonnablement Il faut veiller à ce que la tortue ait toujours de l'eau pour s'hydrater. Le bac d'eau doit être adapté à la tortue ; la hauteur d'eau ne doit pas présenter un risque de noyade pour les tortues terrestres; pour les tortues aquatiques, bien sûr, plus il y a d'eau, plus elles ont de la place pour nager ! 6 - Hibernatus Renseignez-vous tout d'abord sur les besoins biologiques de la tortue. Certaines espèces ont besoin d'hiberner d'autres, au contraire, n'hibernent jamais ! Si la tortue doit hiberner, veillez à respecter les conditions indispensables pour la mise en hibernation : animal adulte (hibernation des juvéniles possible si 4°C< T (°C)< 6°C strictement) animal en bonne santé avec des réserves graisseuses suffisantes réduction de l'alimentation dès 6-8 semaines avant hibernation diète de 3 semaines avant hibernation + bains d'eau tiède (25-30°C) de 15 min période favorable à l'hibernation : de fin octobre à mars (éviter hibernation > 20 semaines pour adultes, 4 semaines pour juvéniles) Pour la faire hiberner, placez la tortue dans une caisse pleine de terre meuble et de feuilles : elle pourra ainsi s'enfouir. Ajoutez paille + foin en grande quantité + grillage de protection contre les rongeurs. Placez la caisse dans une pièce calme à 5-10°C (contrôle avec thermomètre). Au cours de l'hibernation, pesez votre tortue régulièrement (perte de poids normale : -1% Poids Vif initial /mois). Si la tortue a uriné, ne la remettez pas à hiberner (risque de déshydratation). Faites cesser l'hibernation lorsque les risques de gelée sont définitivement passés. Pour cela, procédez à un réchauffement et à une exposition à la lumière progressifs de la tortue. Quand elle est réveillée, baignez-là dans une eau tiède afin qu'elle puisse s'abreuver et qu'elle puisse éliminer les toxines (acide urique). Pesez-là et assurez-vous qu'elle n'ait pas perdu plus de 2 à 5 % de son poids vif. Nettoyez délicatement ses yeux. Vérifiez la reprise de l'alimentation dans les 7 jours post-hibernation ; si tel n'est pas le cas, prenez conseil auprès d'un vétérinaire. Evitez les courants d'air car les tortues sont sujettes aux rhinites, qui peuvent dégénérer en pneumonie. 7 - C'est pas la grande forme Vous devez maintenir la tortue malade dans un terrarium chauffé entre 28°C et 30°C le temps nécessaire à sa guérison en évitant les courants d'air. La chaleur active le métabolisme de la tortue en stimulant ses défenses immunitaires ainsi que les mécanismes de cicatrisation. S'il s'agit d'une plaie ouverte, appliquez localement une solution antiseptique. Si la plaie est bénigne, il n'est pas nécessaire d'isoler la tortue, elle peut demeurer en enclos extérieur. Si vous avez d'autres tortues, veillez à ce que celles-ci ne viennent pas lui mordiller la plaie. L'animal doit être surveillé quotidiennement jusqu'à la cicatrisation pour éviter la ponte d'insectes (mouche) dans la plaie. 8 - Besoin d'amis Choisissez une tortue de la même espèce que la vôtre. Il faut éviter de mettre dans le même enclos des espèces différentes de tortues, et ce, pour éviter les problèmes d'hybridation. 9 - Entre nous, c'est fini ! Surtout, ne relâchez jamais la tortue dans la nature, et ce, afin de préserver l'équilibre de la faune et la flore sauvages locales. Recherchez-lui un centre d'accueil, en général bien répertoriés sur Internet. 10 - Si vous trouvez une tortue de mer échouée sur une plage ou en difficulté en mer (par exemple piégée dans un filet de pêcheur): téléphonez vite au Musée océanographique qui interviendra pour la prendre en charge, et au besoin, la soigner dans ses locaux avant de lui redonner la liberté. En attendant l'arrivée des soigneurs, hydratez-là en l'arrosant avec de l'eau de mer. Le cas échéant, enlevez-lui délicatement le filet qui pourrait la gêner et évitez de la déplacer. A savoir : le prélèvement dans la nature de tortues sauvages, mais aussi leur vente et leur détention est strictement interdit par la loi française. Romy Heisenberg Source
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Un boa s'est baladé pendant 10 jours à Hellemmes On l'a vu la tête dépassant d'un égoût, ou sur le pignon d'un garage. Errant pendant une dizaine dans le quartier d'Hellemmes (Lille). Un boa constrictor-imperator de 2 mètres de long. Le genre d'animal qu'on ne s'attend pas à voir dans la rue. Surtout dans le Nord Pas-de-Calais. D'après plusieurs témoins, ce boa s'est baladé dans le sentier du curé et l'impasse Flavigny pendant plusieurs jours. Semant un petit vent de panique dans les familles. Les pompiers y ont été appelés une première fois en vain. Ce dimanche, il est de nouveau localisé près d'un garage. Une dame prend son courage à deux mains et réussit, malgré les attaques et tentatives de morsures du serpent, à le mettre dans un sac. Heureusement, le boa constrictor n'est pas venimeux. Il est alors confié à la LPA qui l'a lui même remis, en attendant à un habitant d'Halluin. Ce mercredi soir, il sera à Maubeuge. Source
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Encore un serpent retrouvé en ville Un serpent dans la ville. La Voix du Nord racontait, mercredi, la capture d'un boa de 1,50 m dans les rues d'Hellemmes. Cet animal avait été aperçu dans le quartier dix jours plus tôt. Halte à la psychose : ce genre de serpent ne présente aucun danger pour l'homme. Il n'est ni agressif, ni venimeux. En revanche, il peut mordre pour se défendre. Ce qui est arrivé à la personne qui l'a attrapé, dimanche. En transit à la LPA de Lille, ce boa doit rejoindre ce jeudi le refuge adapté de Bailleul. Car personne, bien entendu, ne l'a réclamé. « C'est la troisième fois qu'on retrouve un boa en liberté cette année, les deux premières, c'étaient à Roubaix. Les gens se débarrassent de ces animaux quand ils grandissent. Ils n'ont plus les moyens de les nourrir », s'indigne Stéphane Dekens, vice-président de l'association zoologique de la Pévèle, chargé de trouver un refuge à ces nouveaux animaux de compagnies (NAC). Il a, selon ses dires, de plus en plus de travail.G. D. Source
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Certains serpents sauvages peuvent aussi se reproduire sans mâle
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Certains serpents sauvages peuvent aussi se reproduire sans mâle Certaines espèces de serpents sont capables de parthénogenèse. Les femelles sont en effet capables de se reproduire avec ou sans mâle, révèlent des chercheurs américains. Plusieurs espèces animales sont connues pour être capables de parthénogenèse, notamment les insectes tels que les abeilles (les mâles proviennent d’œufs non fécondés) ou les pucerons. Toutefois, cette reproduction asexuée impliquant que l’association d’un mâle et d’une femelle n'est pas indispensable à la procréation, est beaucoup plus rare chez les vertébrés. Mais elle a pu être recensée chez plusieurs dizaines de reptiles, d'amphibiens et de poissons et ce, pour une bonne raison. En effet, ces espèces sont "unisexe" d’où une "parthénogenèse obligatoire". C'est ainsi notamment le cas d'une quinzaine d'espèces de lézards "à queue de fouet" (genre Cnemidophorus) du continent américain, dont tous les individus sans exception sont femelles. Néanmoins, des chercheurs ont découvert plus étonnant encore, en dénichant des espèces de vertébrés comptant des mâles et des femelles capables de s'accoupler mais qui pouvaient aussi occasionnellement se reproduire de manière asexuée. Or, on pensait que ces cas de "parthénogenèse facultative" observés et décrits depuis le début du XIXe siècle chez des poulets domestiques étaient limités aux seuls oiseaux domestiqués. Puis on a découvert que plusieurs serpents, lézards (dont le célèbre dragon de Komodo) et requins y avaient également recours. On a alors cru que cette parthénogénèse facultative était due à la captivité, tous les cas documentés portant sur des animaux ayant été attrapés. L’hypothèse était logique puisque les animaux, isolés et privés de partenaire potentiel, auraient été contraints à cette reproduction asexuée. Aujourd'hui, des biologistes américains affirment cependant avoir découvert à l'état sauvage le même type de reproduction chez deux espèces de serpents de la famille des vipères, le mocassin à tête cuivrée (Agkistrodon contortrix) et le mocassin d'eau (Agkistrodon piscivorus). La comparaison de l'ADN de la maman serpent et de ses descendants, tous mâles, a démontré l'absence de mâle reproducteur. Bien plus qu'une "bizarrerie rare et marginale" ? "Nous sommes persuadés que notre découverte constitue le premier cas de parthénogenèse facultative chez des vertébrés sauvages", soulignent Warren Booth, de l'Université d'Etat de Caroline du Nord, et son équipe cités par l'AFP. Pour les auteurs, la question qui se pose donc désormais est "pourquoi un tel phénomène survient alors que les partenaires mâles abondent chez ces deux espèces de serpents ?". Quoi qu’il en soit, les auteurs soulignent que cette forme de reproduction asexuée est en vérité beaucoup plus répandue qu’on ne le croit chez les reptiles à écailles (serpents, lézards, iguanes, caméléons, etc.) et "ne peut désormais plus être considérée comme une bizarrerie rare et marginale dans l'évolution des vertébrés". Source -
Incroyable tortue : une carapace, deux têtes et beaucoup d'appétit !
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Incroyable tortue : une carapace, deux têtes et beaucoup d'appétit ! Elle est née il y a trois jours au fond d'un jardin de Lunel. Avec quatre petites pattes agiles, une carapace brillante et... deux têtes ! Et donc quatre yeux qui s'ouvrent et de ferment et deux bouches qui mangent avec appétit... "J'en ai déjà vu une avec deux têtes et six pattes, mais elle était morte" Cette tortue grecque n'a pas encore de nom, elle tient dans la paume de la main, mais c'est avec beaucoup d'attention que Jacques et Colette Vidal l'observent. "J'en ai déjà vu une avec deux têtes et six pattes, mais elle était morte", explique Jacques, qui élève des tortues avec passion depuis plus de 50 ans. Elle va désormais grandir au côté de frères et sœurs cousins et cousines nourris avec les fruits et légumes du jardin, coupés en petits morceaux par Jacques. Lequel raconte sa découverte et deux trois choses qu'il sait de ces tortues qu'il aime tant en vidéo. Source -
Les plus minuscules empreintes de pas fossiles connues
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les plus minuscules empreintes de pas fossiles connues Rapportant sa découverte dans la revue spécialisée Ichnos, une paléontologue amateur canadienne a trouvé, sur les côtes de Nouvelle-Écosse, un minuscule fossile d’amphibien, mais aussi et surtout les plus petites empreintes de pas fossilisées de tétrapode jamais observées, laissées par l’animal il y a 315 millions années. Sur une longueur de 48 millimètres seulement, une série d’une trentaine d’empreintes de pas, celles des pattes postérieures mesurant 2,4 millimètres et celles des pattes antérieures pas plus de 1,6 millimètre : telle est la piste laissée il y a 315 millions années, au Carbonifère, par un jeune Batrachichnus salamandroides. Un amphibien primitif ressemblant à une salamandre, qui ne devait pas excéder 8 millimètres de longueur totale. C’est sur les falaises fossilifères de Joggins, en Nouvelle-Écosse, que Gloria Melanson, une paléontologue amateur, a découvert ces traces fossiles. Une trouvaille d'autant plus extraordinaire qu'il s'agit des plus petites connues dans le monde pour un vertébré et que la paléontologue a également déniché leur auteur. "Ce fut l'une des plus excitantes trouvailles que j'ai jamais faites et je suis très heureuse (…). Je n'ai jamais pensé que ce serait [le spécimen] le plus petit du monde", a-t-elle déclaré citée par Sci-News. C'est l'examen de ces traces qui ont permis ensuite d'en mesurer la taille et d'en confirmer l'auteur. Mais ce n'est pas tout puisque des analyses plus approfondies montrent que l'animal a commencé à marcher, puis a changé de direction tout en commençant à courir. A-t-il aperçu un prédateur, ou s’est-il lancé à la poursuite d’un petit insecte ? Les paléontologues supposent qu’il s’agissait d’un juvénile fraîchement métamorphosé ‘étrennant’ sa forme adulte. "Chaque fossile est une grande découverte (…)", conclut ainsi Melanson. Source -
La sécrétion de fibre de soie d’araignée par des vers à soie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La sécrétion de fibre de soie d’araignée par des vers à soie L’homme a depuis longtemps observé que les fils de soie d’araignée possédaient une souplesse et une résistance mécanique exceptionnelles. On admet qu’une tresse de fils d’araignée ayant le diamètre d’un pouce permettrait de supporter une dizaine de bus. Cette particularité répond au besoin qu’a l’araignée de capturer des insectes dans ses toiles. Les essais de domestication des araignées se sont tous traduits par des échecs et nous ne disposons donc pas de matériaux à base de soie d’araignée. Les vers à soie sécrètent eux aussi une soie pour la construction de leurs cocons. Cette soie est moins résistante que celle de l’araignée mais elle l’est suffisamment pour être utilisée depuis 5000 ans comme fibre textile. Le ver à soie est, lui, domestiqué jusqu’à avoir perdu sa capacité à vivre sans l’assistance de l’homme. La sécrétion dans le lait de chèvres transgéniques des protéines qui composent la soie d’araignée a pu être obtenue. La suite s’est avérée trop difficile pour que le projet soit considéré comme un succès. Il faut en effet que les protéines en question s’assemblent de manière précise pour former des fibres. Les vers à soie et les araignées ont un organe qui réalise très efficacement cet assemblage que l’on n’arrive pas à faire à partir des protéines provenant du lait des chèvres. L’idée de faire sécréter des protéines de soie d’araignée par des vers à soie transgéniques date d’une quinzaine d’années. Une équipe de l’INRA à Lyon a alors obtenu les premiers vers à soie transgéniques en collaboration avec une équipe japonaise. Ce projet, qui a été abandonné en France, a été repris par d’autres laboratoires qui viennent de publier des résultats encourageants [1]. Des vers à soie transgéniques ayant reçu un des gènes de la soie d’araignée sécrètent une soie hybride dont la résistance mécanique est augmentée. Ceci laisse supposer que de la soie d’araignée pure pourrait être ainsi obtenue. Il faudrait au moins pour cela inactiver les gènes correspondants du ver à soie. Les outils pour atteindre ce but sont disponibles. [1] Teulé F et al, (2012) Silkworms transformed with chimeric silkworm/spider silk genes spin composite silk fibers with improved mechanical properties. Proc Natl Acad Sci USA Source -
Plan d'action pour la Vipère péliade (Vipera berus) en Wallonie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle