Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Orne. Le python « échappé » retrouvé chez son propriétaire Le python porté disparu depuis trois semaines à Vimoutiers (Orne) a été retrouvé dans l’appartement de son propriétaire ! Il y a trois semaines, un certain émoi avait gagné un quartier de Vimoutiers (Orne) quand le propriétaire d’un python avait signalé la disparition de son reptile… Plusieurs voisins avaient d’ailleurs déclaré avoir vu l’animal d’une longueur estimée entre 1 m et 1,5 m, ce qui avait ainsi entraîné un ratissage des abords des immeubles par les pompiers et les gendarmes. Derrière la chaîne hi-fi Ce lundi, le python a été finalement retrouvé. Sain et sauf. Il dormait tranquillement au chaud… derrière la chaîne hi-fi de l’appartement de son propriétaire ! Appartement qu’il semble donc n’avoir jamais quitté… Source
  2. Chine : l'Anhui relâche dans la nature six alligators de Chine élevés en captivité Une réserve naturelle dans la province de l'Anhui (est) a relâché mardi matin dans la nature six alligators de Chine élevés en captivité. Cette action fait partie d'un programme visant à restaurer la population des animaux en voie de disparition. Il s'agit de la huitième fois que la réserve naturelle d'Alligators du Yangtsé de l'Anhui, située dans la ville de Xuancheng, relâche des alligators dans la nature, portant le nombre de ces sauriens remis en liberté à 48. Wang Chaolin, directeur adjoint de la réserve naturelle, a précisé qu'entre 2006 et 2011, la réserve avait relâché 42 alligators dans la nature et que ces animaux s'étaient bien adaptés à leur nouvel environnement. Les alligators relâchés ont commencé à pondre des oeufs en 2008, a-t-il ajouté. Les chercheurs ont installé des transmetteurs radio sur les reptiles afin de suivre leurs traces et de collecter des données destinées aux études scientifiques. L'Anhui abrite la majorité des alligators de Chine, aussi appelés alligators du Yangtsé en raison de leur habitat naturel situé le long des sections inférieures du fleuve Yangtsé. Le pays a ajouté en 1972 l'alligator de Chine à la liste des animaux en danger de classe I. Selon une enquête conjointement menée par la Chine et les Etats-Unis, on ne dénombrait plus que 150 alligators de Chine en 1999, et leur population s'est réduite de 4% à 6% chaque année. Source: xinhua Source
  3. Des étudiants en biologie des Pays-Bas ont visité le site Natura 2000, près de Chambonchard Venus passer quelques jours en Creuse, des étudiants de l’Université de Rotterdam ont découvert le site Natura 2000 (*) de la vallée du Cher. Une sortie authentique pour ces citadins. «C'est la première fois de sa vie qu'elle attrape un crapaud !», s'exclamait Rob Veen, en montrant Esther, une des dix-sept étudiants hollandais que le scientifique accueillait avec leurs deux professeurs dans son centre nature du Tigouleix à Saint-Agnant-près-Crocq. Un lieu semi-naturel « À Rotterdam, c'est la ville et l'industrie, alors les sorties en pleine nature comme celles-ci ne sont pas possibles », explique-t-il. Une sortie d'autant plus importante que tous achèvent leur quatrième année d'étude, et que l'an prochain, ils seront… professeurs de biologie. Alors dès la rentrée prochaine, plein d'élèves de la région de Rotterdam vont probablement entendre parler de ce petit coin de Creuse, près du pont suspendu de Saint-Marien, quelque part sur la commune de Chambonchard, à deux pas de l'Allier. « La biodiversité actuelle du lieu, entre la carrière et la forêt, est optimale », souligne Rob Veen. « Si la forêt envahit le lieu, il y aura moins de biodiversité. Il faut entretenir ce lieu semi-naturel pour qu'il reste comme il est à présent, entre roche, forêt et chemin », ajoute-il. Espace semi-naturel, parce que cette zone spéciale de conservation, propriété du Conseil général de la Creuse, s'est constituée grâce à l'intervention de l'homme. On accède au site par un chemin de 800 mètres de long, construit dans les années 1990, lors du projet autour du barrage de Rochebut, situé à quelques mètres de là. Sur cette zone rocheuse et humide, soixante-dix mares ont été créées en 2007 par l'ONF, afin de sauvegarder des espèces animales et végétales (lire ci-dessous) . Un site exemplaire en Europe « Ce site est à sauvegarder non seulement pour la biodiversité en Creuse, mais aussi en Europe, insiste le scientifique. Nous avons là des espèces pionnières, disparues en Belgique, au Luxembourg. » Rob Veen est intervenu au Congrès scientifique herpétologique d'Europe où dit-il, « Le développement de ce site est d'autant bien perçu qu'il n'a pas d'égal en Europe. » (*) Le réseau Natura 2000 favorise le maintien de la biodiversité en maintenant la conservation les habitats naturels et les habitats d'espèces d'intérêt communautaire. Séverine Gatier Source
  4. SUR LES TRACES DE LA TORTUE CISTUDE La cistude, notre seule tortue indigène, a pratiquement disparu, victime de la destruction de son habitat. Elle survit grâce à des projets de réintroduction. En écho à son exposition sur la tortue cistude, visible jusqu’au 4 novembre 2012 au centre-nature de La Sauge, l’ASPO/BirdLife Suisse organise le 10 juin prochain une excursion pour observer notre belle tortue indigène en liberté. Elle conduira les participants dans la remarquable réserve du Moulin-de-Vert, dans la campagne genevoise, à la découverte de la tortue cistude et d’autres reptiles. La sortie sera guidée par l’un des spécialistes du KARCH (Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse) chargés de sa réintroduction en Suisse. Plusieurs projets de réintroduction Depuis l’époque romaine au moins, les cistudes ont été consommées en grandes quantités dans toute l’Europe. Faciles à piéger au moyen de nasses, elles ont ainsi fortement diminué jusqu’au début du XXe siècle. La cistude souffre aussi d'une concurrence sur sa niche écologique due à la tortue de Floride, victime du commerce et souvent abandonnée dans la nature où elle domine les populations indigènes. Ensuite, c’est surtout la destruction des zones humides qui a donné le coup de grâce aux populations helvétiques. De minuscules effectifs ont peut-être subsisté au Tessin, en Argovie (Hallwilersee) et dans la région genevoise, mais nous n’en avons pas la preuve formelle. C’est surtout la destruction des zones humides qui a donné le coup de grâce aux populations helvétiques Dans ce dernier canton, une population conséquente d’environ 350 individus est présente dans la réserve du Moulin-de-Vert. Une autre population est recensée à Laconnex. Ces animaux proviennent toutefois de lâchers clandestins. Il s’agit donc de populations hybrides comprenant des souches étrangères d’origine méditerranéenne. Pratiquement disparue de Suisse, la cistude d’Europe, notre seule tortue indigène, a pourtant aujourd’hui de bonnes chances de survie grâce à des projets de réintroduction (notamment en Suisse romande) coordonnés par le KARCH. L’ASPO/BirdLife Suisse soutient cette démarche par son travail d’information du public. «Le retour de la tortue cistude» Sur deux années, de février à novembre, l’exposition du centre-nature ASPO La Sauge, à Cudrefin, «Le retour de la tortue cistude» présente la vie de la cistude au moyen de panneaux illustrés et d’éléments interactifs. Le visiteur peut admirer des cistudes dans un grand aquarium et, à la belle saison, dans un étang clôturé. D’autres espèces de tortues sont à découvrir: la tortue de Floride, souvent victime du commerce animal, et l’impressionnante tortue alligator dont la mâchoire est plus puissante que celle du requin blanc. Un grand écran tactile permet de se familiariser de façon ludique avec la vie de la cistude. Un film présente le projet de réintroduction genevois. SP-ÉF Infos utiles Centre-nature ASPO de La Sauge, tél. 026 677 03 77. Tarif de l’excursion: adultes 50 francs, membres ASPO 40 francs, enfants 10 francs. Inscription indispensable! Exposition: jusqu’au 4 novembre 2012, du dimanche au mardi de 9 h à 18 h. Source
  5. Libérer 500 kilos de serpents, c’est bon pour le karma Relâcher des animaux captifs dans la nature ? Rien de tel pour améliorer son karma. Mais cet acte de miséricorde n’a pas toujours les résultats escomptés. Un millier de serpents libérés par un groupe de bouddhistes pékinois ont récemment causé la panique dans un village de la province du Hebei, rapporte le Global Times. Les reptiles n’ont pas pu goûter longtemps à leur liberté retrouvée : des centaines d’entre eux ont été tués, rapporte le quotidien chinois. Les libérateurs, qui avaient acheté 500 kilos de serpents sur un marché pékinois, ont dû s’acquitter d’une amende de 40 000 yuans (5 000 euros). “Les gens pensent que libérer des animaux captifs est une bonne action, mais le faire sans avertir l’administration est illégal. Cela peut mettre des vies en danger et perturber sérieusement l’équilibre écologique”, tempête Wang Minzhong, des services forestiers du comté de Xinlong. “Il n’y a rien de mal à relâcher des serpents, mais l’endroit était mal choisi, si bien que ces créatures ont été tuées au lieu d’être sauvées, ce qui est un très mauvais exemple.” En mai, 100 reptiles ont été écrasés par des voitures après avoir été relâchés en montagne dans le district de Fangshan. L’an passé, note The Daily Telegraph, des renards libérés s’en sont pris à un élevage de 20 000 poules. La pratique bouddhiste plurimillénaire du fang sheng est devenue une véritable industrie en Chine. Le rituel de libération des animaux est un commerce juteux pour les vendeurs de tortues, de serpents ou de poissons de Pékin. Chaque week-end, des groupes partent vers la campagne pour relâcher des animaux achetés dans la capitale. La libération du serpent, animal mal-aimé, est particulièrement payante spirituellement pour les libérateurs. Mais l’élévation des uns fait le malheur des autres. Cinq habitants du village de Suizhong – une destination de choix pour les bouddhistes compatissants – ont été mordus par des reptiles rendus à la nature. L’un d’eux n’aurait pas survécu, indique The Daily Telegraph. Source
  6. Il se fait manger la main par un alligator, la main retrouvée intacte Le guide d'une embarcation faisant visiter aux touristes les marais de Floride s'est fait dévorer une main mardi par un alligator qu'il nourrissait devant ses passagers. C'est l'agence de la faune de l'Etat (FWC) qui a révélé l'information mercredi. «Un reptile de Floride a mangé la main du capitaine d'un bateau de la compagnie touristique «Doug's Everglades Tour» alors qu'il transportait six passagers mardi en fin de journée», a déclaré à l'AFP Jorge Pino, porte-parole de la FWC. La main retrouvée intacte... dans l'estomac de la bête L'accident est survenu dans le parc national des Everglades, à l'ouest de Miami, et a été rapidement signalé, permettant aux agents de la FWC d'identifier l'animal responsable de l'attaque, de le tuer et d'extraire la main du guide de son estomac. «La main était intacte dans l'estomac de l'animal (...), les médecins se sont réjouis du fait que nous ayons pu la récupérer, cela permettra peut-être qu'il ne la perde pas», a ajouté Jorge Pino. Nourrir un alligator, un acte interdit en Floride Selon le porte-parole de la FWC, des témoins de l'accident, dont des touristes, ont rapporté que quand l'animal l'a mordu, le guide était en train de nourrir l'alligator, ce qui constitue un délit en Floride, où le reptile est protégé. «Les capitaines de ces embarcations savent qu'ils ne doivent pas nourrir les alligators, mais ils le font souvent pour avoir des pourboires plus importants», a poursuivi M. Pino. Source
  7. Naâma : un enfant piqué par une vipère à Moghrar Un enfant âgé de six ans a été piqué par une vipère non loin de chez lui. Alertés, les parents ont vite acheminé leur enfant vers les UMC de l’hôpital d’Aïn Sefra, à 50 km de leur domicile. Fort heureusement, par des soins intensifs de plusieurs jours, le petit garçon a survécu à la piqure venimeuse de la vipère, vivement ressentie sur son pied. Source
  8. Un serpent rue Floirac Les policiers ont découvert hier dans la journée, un serpent d'un mètre, rue Floirac à Agen, alors que celui ci tentait de prendre la poudre d'escampette par une bouche d'égout. Le reptile a été capturé. Il est pour le moment placé en pension chez les pompiers, en attendant que son propriétaire vienne le récupérer. Source
  9. L'Australie envisage des safaris payants pour tuer des crocodiles L'Australie envisage d'autoriser la chasse aux crocodiles marins, ces énormes reptiles qui peuplent notamment le nord du pays, lors de safaris payants, un projet déjà évoqué mais jamais abouti en raison de l'opposition des associations de protection des animaux. Le gouvernement australien avait abandonné ce projet il y a quelques années, mais a décidé jeudi de lancer une consultation publique à ce sujet, en raison de l'accroissement de la population de ces animaux. "Il y a des opinions différentes au sein des propriétaires traditionnels des terres concernées (les aborigènes: ndlr) et je veux être certain d'entendre toutes les opinions", a déclaré le ministre de l'Environnement Tony Burke. Ces chasses seraient organisées sous forme de safaris payants dans le Territoire du Nord (nord de l'Australie), une activité qui pourrait favoriser le tourisme et donner du travail aux aborigènes, selon les autorités locales de cette région. Le projet évoque pour les deux premières années un quota de 50 reptiles pour les chasseurs. Sans surprise, cette annonce a fait bondir la Société de protection des animaux (RSPCA). "Il n'existe aucun bénéfice, en terme de protection de la nature ou de contrôle des populations, à attendre de la chasse au trophée" aux crocodiles, a déclaré Bidda Jones, responsable scientifique à la RSPCA. "Il ne s'agit de rien d'autre que de tuer des animaux pour le plaisir et rien ne peut justifier cela", a-t-elle ajouté. Le secrétaire à l'Environnement du Territoire du Nord, Karl Hampton, a rappelé que des safaris étaient organisés pour contrôler la population de buffles et de cochons sauvages. "Comme pour ces safaris, ceux proposés par le Programme de gestion des crocodiles seront soumis à la loi sur le bien-être des animaux, et des conditions très strictes seront appliquées", a déclaré Karl Hampton. Les crocodiles marins, appelés "salties" en Australie, vivent dans les marais et les rivières des régions côtières du nord du pays, et tolèrent aussi bien l'eau salée que l'eau douce. Leur poids peut atteindre une tonne, ce qui en fait le plus gros reptile vivant. Espèce protégée depuis les années 70, elle n'est plus considérée comme menacée. La population atteint 150.000 en Australie. Source
  10. Un reptile de Floride a mangé la main du capitaine d'un +airboat+ de la comp.. Le guide d'une embarcation faisant visiter aux touristes les marais de Floride s'est fait dévorer une main mardi par un alligator qu'il nourrissait devant ses passagers, a-t-on appris mercredi auprès de l'agence de la faune de l'Etat (FWC).> L'accident est survenu dans le parc national des Everglades, à l'ouest de Miami, et a été rapidement signalé, permettant aux agents de la FWC d'identifier l'animal responsable de l'attaque, de le tuer et d'extraire la main du guide de son estomac. "La main était intacte dans l'estomac de l'animal (...), les médecins se sont réjouis du fait que nous ayons pu la récupérer, cela permettra peut-être qu'il ne la perde pas", a ajouté M. Pino. Selon le porte-parole de la FWC, des témoins de l'accident, dont des touristes, ont rapporté que quand l'animal l'a mordu, le guide était en train de nourrir l'alligator, ce qui constitue un délit en Floride, où le reptile est protégé. "Les capitaines de ces embarcations savent qu'ils ne doivent pas nourrir les alligators, mais ils le font souvent pour avoir des pourboires plus importants", a poursuivi M. Pino. Source
  11. Schaerbeek: les cadavres d'animaux exotiques gisaient sur le trottoir Après une mygale vivante découverte en janvier dernier, les agents communaux de Schaerbeek Propreté ont trouvé cette fois-ci sur le trottoir de la chaussée d'Helmet les cadavres d’un serpent, d’un poisson et d’un perroquet. La mission du service Schaerbeek Propreté et Espaces Verts est de sillonner les rues de la commune, afin de s’assurer que les trottoirs de l’entité restent correctement entretenus. Lors d’une sortie, cette semaine, les agents ont découvert pratiquement en face d’un magasin d’animaux exotiques les cadavres d’un serpent, d’un poisson et d’un perroquet. Un communiqué du cabinet de l’échevin schaerbeekois de la Propreté nous apprend que ce type de découverte n’est pas une première en soi. En janvier, les hommes étaient tombés sur une mygale, vivante, abandonnée dans un terrarium sur le trottoir de la rue Pavillon. L’animal avait pu être sauvé. Par contre, les cadavres découverts il y a quelques jours seront pris en charge par Rendac. RTBF Source
  12. VECU – Ciel, un serpent dans mon salon ! Lorsque l’on se retrouve nez à nez avec un intrus rampant tranquillement chez soi, on se pose immédiatement deux questions : est-il dangereux et que dois-je faire ? Ne pas paniquer, rester calme lorsque l’on est en présence d’un serpent sont les principes de base à respecter. Savoir s’il est venimeux, est une autre affaire. On dénombre 55 espèces de serpents à Singapour dont la plupart sont non venimeuses mais cela ne veut pas dire que ces chers reptiles sont inoffensifs. Les Reticulated Python (avec une taille atteignant les 10 mètres de long pour un poids de 90 à 150 kg, il est le serpent le plus long du monde. Il est non venimeux car il tue par constriction ses proies), House Snake et Spitting Cobra (peut cracher son venin à 2,5 m de distance, dans les yeux de sa victime, et provoquer une cécité temporaire) sont les trois espèces les plus courantes dans les zones boisées et visibles le plus souvent dans les parcs et jardins ou à proximité des habitations. Le serpent à connaitre, le plus courant : House Wolf Snake ( Lycodon capucinus ) Les serpents sont tous très différents par la couleur. Certains ont des marques spéciales, ou une tête et une forme du corps particuliers. La taille est très variable, mais un jeune serpent venimeux peut être aussi dangereux qu’un spécimen adulte. Lycodon aulicus possède une coloration de fond, marron foncé à marron clair. Il est toujours muni de plusieurs barres transversales allant du blanc pur au jaune pâle. Les adultes mesurent généralement entre 50 et 60 cm, plutôt svelte avec une longue queue effilée. Ce serpent non venimeux, se nourrit de geckos et pour les plus grands individus, de souriceaux. Il chasse le plus souvent la nuit. Il n'est pas rare de le retrouver près des habitations à la recherche de sa nourriture, souvent arboricole mais il grimpe également avec aisance le long des murs rugueux ou couverts de végétation. Le lycodon est parfaitement inoffensif, même s'il essaie de mordre quand on veut le saisir. Que faire lorsqu’un serpent est chez vous ? Ne paniquez pas. Observez-le et repérez là où il va, mais ne le dérangez pas. Prenez une photo, cela peut aider à l’identifier afin de connaître l’espèce et ses caractéristiques. Soit vous le laissez tranquille et il sortira de lui-même soit vous essayez de le capturer avec un bâton dans un sac afin de le relâcher dans la nature (option choisie personnellement avec l’aide de mes voisins chinois). Portez des chaussures et des gants. Si vous souhaitez le tuer, souvenez-vous qu’un serpent blessé devient très agressif. Par ailleurs, mort il peut encore mordre par réflexe alors attention lorsque vous le manipulez. Quelles précautions à prendre ? Débarrassez-vous de la végétation trop dense et des piles de bois ou de pierres. Ils aiment dormir dans les endroits secs et sombres. Gardez votre pelouse courte afin de pouvoir l’inspecter facilement. Restez sur les chemins et n’oubliez pas votre lampe-torche la nuit. Bouchez les trous dans les parquets, les murs ou les portes. Des paillettes anti-serpent peuvent être déposées dans votre jardin par votre compagnie de Pest Control mais attention ce produit est très nocif pour les enfants et animaux domestiques. Que faire en cas de morsure ? Ne paniquez pas, restez calme et bougez le moins possible ! Alertez les secours 995, demandez de l’aide et allez à l’hôpital le plus rapidement possible, n’attendez pas ! Gardez la partie mordue plus basse que le cœur. Ne coupez ni ne sucez la blessure ! Bandez avec un pansement large et si possible désinfectez la morsure avec eau de Javel diluée à l’eau et surtout ne faites pas de garrot ! Contre la douleur, de la glace dans un linge propre peut apaiser. Télécharger la brochure du centre information Drug&Poison ici Carole Chomat (www.lepetitjournal.com-Singapour) jeudi 7 juin 2012 Source
  13. Deux tortues géantes divorcent après 115 ans de vie commune ! Triste nouvelle : Bibi et Poldi, deux tortues géantes, divorcent après 115 années d’un amour intangible. Retour sur ce tragique événement. Après que des Orang-outans aient joué avec un iPad dans un zoo à New-York, c'est une autre histoire insolite émanant d'un zoo qui nous parvient. Mais cette fois-ci, la morale est tout autre : même l’amour n’est pas éternel. Helga Happ, une responsable du personnel d’un zoo Autrichien, a été obligée de séparer les deux reptiles, Bibi (la femelle) ne cessant de mordre son partenaire Poldi. H. Happ explique son geste : « On a le sentiment qu'ils ne peuvent plus se supporter. A la vue l'un de l'autre, ils deviennent invivables ». Arrivé il y a 36 ans dans le zoo Autrichien, le couple reptilien vit désormais séparé et chaque tortue est placée dans des enclos séparés. En effet, l’animal de plus de 100 kg est doté d’une mâchoire si puissante qu’il pourrait tuer son partenaire. Après 115 ans de vie commune, c’est le plus long « mariage » que le règne animal puisse enregistrer. Pour rappel, les tortues géantes ont une durée de vie allant de 150 à 200 ans, et proviennent principalement de l’île Galápagos. Source
  14. Une tortue marine tuée par des déchets plastiques Lémira, une tortue marine, est récemment décédée suite au blocage de son transit intestinal parce qu’elle a avalé une grande quantité de cordes et de fil de nylon. Voilà comment la pollution liée aux activités humaines dégrade l’environnement. Suite à l’appel d’un groupe d’un bateau navigant au Cap Lahoussay, Kélonia a récupéré un jeune mâle de tortue imbriquée samedi matin. La tortue est connue. Elle a été baptisée quelques semaines plus tôt Lémira par des apnéistes qui la croisent régulièrement au niveau du Cap Lahoussay. Elle avait même été filmée nageant avec une autre tortue en début de semaine dernière. La vidéo avait été transmise à Kélonia qui avait déjà noté un amaigrissement de la tortue. Samedi matin, la tortue flotte en surface et ne plonge pas à l’approche du bateau. Kélonia préconise donc de récupérer la tortue pour le Centre de soins. La tortue affaiblie et aussitôt radiographiée, une prise de sang est réalisée. Et la tortue est mise sous perfusion pour tenter de la "retaper". Malgré ses soins prodigués dès le samedi matin, la tortue meurt dans l’après-midi. L’autopsie confirme le diagnostic de la radio, la tortue est morte d’un blocage du transit intestinal qui devait durer depuis un petit bout de temps vu son état de maigreur (18,4 kg pour 65,5 cm de longueur de carapace). Le transit est bloqué par une grande quantité de cordes et fils de nylon : de quoi remplir une petite bassine. Ce triste évènement doit être l’occasion encore et toujours de sensibiliser au problème des déchets plastiques qui impactent l’environnement et entraine la mort de nombreux organismes marins. Source
  15. Les crotales, une morsure de plus en plus venimeuse ? Avec le retour de l’été, les risques de morsures de serpent augmentent, prévient un expert américain en toxicologie, qui précise que le venin des serpents à sonnettes a tendance à gagner en toxicité au fil du temps. Chaque année, 8.000 Américains environ sont mordus par des serpents venimeux, dont quelque 800 en Californie, qui abrite de nombreux crotales (ou serpents à sonnettes). "C'est le moment de l'année où nous voyons une augmentation des morsures de serpent. L’anti-venin est coûteux – environ 2 500 dollars le flacon", explique Richard Clark, directeur du Département de toxicologie médicale à l'Université de Californie de San Diego. Celui-ci relève également : "Mais les patients peuvent avoir besoin d'une série d’injections, et les assurances ne couvrent pas toujours le coût du traitement". Des facteurs qui peuvent être à l'origine de nombreuses difficultés lors du traitement des personnes mordues par des serpents. De plus, grâce aux études, les scientifiques savent que les concentrations en toxines dans le venin de crotale varient avec la saison. Elles sont en général plus faibles en hiver, car le serpent est moins actif. Mais aujourd'hui, ils constatent aussi que ces fameuses concentrations augmentent globalement d’année en année. "Nous ne savons pas vraiment pourquoi le venin est de plus en plus puissant. Certains spéculent que le monde moderne empiétant sur la nature, il serait question de ‘la survie du plus apte’ : peut-être que seuls les serpents les plus ‘forts’ – les plus venimeux – survivent", conclut Richard Clark sans pour autant confirmer cette hypothèse; Source
  16. Le python « échappé » retrouvé chez son propriétaire Le python porté disparu depuis trois semaines à Vimoutiers (Orne) a été retrouvé dans l’appartement de son propriétaire ! Il y a trois semaines, un certain émoi avait gagné un quartier de Vimoutiers (Orne) quand le propriétaire d’un python avait signalé la disparition de son reptile… Plusieurs voisins avaient d’ailleurs déclaré avoir vu l’animal d’une longueur estimée entre 1 m et 1,5 m, ce qui avait ainsi entraîné un ratissage des abords des immeubles par les pompiers et les gendarmes. Derrière la chaîne hi-fi Ce lundi, le python a été finalement retrouvé. Sain et sauf. Il dormait tranquillement au chaud… derrière la chaîne hi-fi de l’appartement de son propriétaire ! Appartement qu’il semble donc n’avoir jamais quitté… Source
  17. Python fuyard : un canular selon la police Un python de 17 kilos serait en liberté dans les rues de Lausanne, près de la piscine de Montchoisi. La police penche pour un canular. «Mon python de 17kg s'est enfui ce matin dans le quartier. Merci de m'avertir au plus vite si vous le voyez!» Depuis vendredi soir, une affiche sème la panique près de la piscine de Montchoisi, à Lausanne. Selon Eva, une habitante du quartier, «tout le monde en parle». «On ne sait pas si c'est une blague ou pas mais ça nous fait peur. On imagine des scénarios et on se demande où il peut se cacher» ajoute-t-elle. La police de Lausanne a ouvert une enquête mais reste sceptique. Tous les éléments font pencher pour un canular. Éléments louches D'abord, l’affiche stipule que le python fait 17 kilos. Selon la police, «les pythons qu'on trouve en Suisse ne font pas plus de 2 à 4kg». Autre élément perturbant, il n'y a ni nom ni adresse sur l'affiche, et personne dans le quartier ne semble connaître le propriétaire du fameux python. Et pour couronner le tout, le numéro de téléphone indiqué ne répond pas. En attendant de boucler l'enquête, les policiers se sont rendus au vivarium pour de plus amples informations. Une certitude, un python royal pèse en moyenne 2kg. Mais surprise, la photo sur l'affiche ne montre pas un python mais... un boa constricteur. Si la police ne peut pas «totalement exclure» que ce soit vrai, elle assure que python ou boa, il n'y a aucun danger pour l'homme. (aub) Source
  18. Ils trouvent un serpent dans leur salle de bains REIMS (Marne). Hier matin, un couple de Reims a découvert un serpent dans sa salle de bains. De provenance indéterminée, le reptile est une couleuvre américaine, non venimeuse, d'environ 40 cm de long. «CHÉRIE ! Il y a un serpent dans la salle de bains ! » On aurait pu croire à une mauvaise blague mais c'est une histoire bien réelle qui est arrivée hier matin à un jeune couple de Reims domicilié au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de la rue Lesage, dans le quartier Laon/Zola. « Il était 6 h 15 - 6 h 30 », témoigne la locataire. « Mon conjoint se préparait pour aller travailler. Il se brossait les dents quand en tournant la tête, il a vu un petit serpent en boule sur le carrelage, près de la douche. J'étais encore au lit. Il m'a appelée : Viens vite ! Viens vite ! Il y a un serpent dans la salle de bains ! Je ne l'ai pas cru car c'est un blagueur. Il a insisté. Il m'a dit que le serpent était rouge et noir. J'y croyais encore moins. A Reims, en plein centre-ville, on ne s'attend pas à découvrir un serpent dans sa salle de bain. » Coup de balai L'homme, pourtant, ne plaisantait pas. « Il est allé chercher un balai pour écraser le serpent mais il a tapé à côté. Le balai s'est d'ailleurs cassé en deux. » Rien de tel pour effrayer le reptile qui s'est déroulé et a filé sous un meuble en osier. « C'est à ce moment-là que je suis rentrée dans la salle de bains. Le serpent avait déjà disparu quand j'ai regardé. Je n'étais pas tranquille du tout, surtout que notre garçon de deux ans dormait dans sa chambre à côté. Mon conjoint, lui, ne s'inquiétait pas trop. Il est de Guyane. Là-bas, il a déjà vu des mygales, des serpents énormes, alors celui-là… » Ouvrier carreleur, il a dû partir avant l'arrivée des pompiers pour ne pas être en retard à son travail. « En attendant qu'ils arrivent, j'ai mis une planche au bas de la porte, en travers, pour bloquer le serpent s'il voulait sortir de la salle de bains. » Inoffensif C'est avec soulagement que la jeune femme a accueilli les sauveteurs. Ils ont déplacé le meuble, fouillé partout, aucune trace du reptile, à part quelques sillons sur carrelage. « Près de l'endroit où il a disparu, nous avons remarqué un tuyau d'arrivée d'eau creusé à travers le mur », explique un pompier. « Il y avait un trou suffisant pour le passage d'un petit serpent. Nous sommes allés voir de l'autre côté, dans le hall d'entrée. Des cartons se trouvaient contre le mur. Nous les avons déplacés, le serpent était derrière. » Capturé avec le crochet d'un ceintre, le reptile long d'environ 40 cm s'est révélé inoffensif. « C'est une élaphe guttata, une couleuvre non venimeuse d'Amérique du Nord », confirme Lucien Laurent, président du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims. « Il s'agit d'une espèce en vente libre qui peut vivre 15 à 20 ans et atteindre une taille maximale de 1,50 m. Elle se nourrit de petits rongeurs qu'elle tue par étouffement. Pour l'homme, le seul risque est de se faire mordre quand elle se défend. » Faute de pouvoir la restituer à un propriétaire, la couleuvre a élu domicile à Bétheny, chez M. Laurent. Ça tombe bien. Dans son nouveau terrarium, elle va pouvoir tenir compagnie à une autre élaphe capturée le mois dernier sur un trottoir de la rue des Coutures, derrière le lycée Clemenceau (l'union du 10 mai). Personne ne l'a réclamée. Source
  19. Pythons par-ci, boas par-là Plusieurs serpents exotiques capturés ces dernières années dans la Marne Ce n'est pas la première fois qu'un serpent en balade est capturé par les pompiers de la Marne. Rappel des dernières affaires. 9 mai 2012, Reims : Un serpent de 35 cm de long est découvert par des agents de propreté de la Ville de Reims sur un trottoir de la rue des Coutures. C'est une couleuvre américaine non venimeuse (élaphe obsoleta), probablement échappée d'un terrarium. Le reptile récupéré par l'herpétologue de Bétheny n'a jamais été réclamé. 6 janvier 2012, Reims : Trois boas de deux mètres de long et un python molure de plus de trois mètres sont retrouvés dans deux colis déposés près du château d'eau de Croix-Rouge, avec des bouteilles remplies d'eau chaude déposées à l'intérieur pour maintenir une température élevée. S'agit-il d'une livraison abandonnée par son destinataire ou interceptée par des voleurs qui s'en sont débarrassés précipitamment après avoir découvert ce qu'il y avait dedans ? Le mystère reste entier. 20 juin 2011, Reims : Echappée de son terrarium, une couleuvre d'Amérique centrale se faufile dans le moteur d'une voiture garée rue du Vieux-Coq et tente d'en sortir à un feu rouge place de la République, sous les yeux ébahis du conducteur. Long d'un mètre, le serpent a pu être restitué à son propriétaire (il s'agissait d'un lampropeltis). 13 novembre 2010, Châlons-en-Champagne : Une couleuvre américaine de couleur orangée est découverte par un passant sur un trottoir de l'avenue du Général-de-Gaulle. 10 avril 2009, Reims : Alors qu'il vient chercher sa voiture dans le box d'un parking souterrain de la rue de la Bonne-Femme, un locataire voit un serpent d'une cinquantaine de centimètres passer sous la porte. Il s'agit d'une élaphe guttata, couleuvre non venimeuse d'Amérique du Nord. 3 septembre 2008, Reims : Devant la fenêtre de leur immeuble de la rue de Metz, un couple découvre un python royal suspendu à un fil électrique, six mètres au-dessus du sol. Agé de 8 à 9 mois, le reptile mesure 60 cm. Sa provenance est restée inconnue. 28 juin 2008, Reims : Grosse panique dans un immeuble de la rue Bacquenois, au centre-ville, où un serpent de 70 centimètres est découvert dans le hall d'entrée. Là aussi, il s'agit d'une élaphe guttata. Son propriétaire n'a jamais été identifié. Est-ce lui, deux mois plus tôt, dans cette même rue Bacquenois, qui a abandonné les cadavres de quatre pythons royaux dans deux terrariums déposés à même le trottoir, sous une bâche ? 12 octobre 2007, Châlons-en-Champagne : Les pompiers interviennent rue Frédéric-Chopin pour récupérer un python de 80 cm de long coincé dans une gaine technique de l'immeuble. Il s'était échappé d'un appartement voisin. 24 juillet 2006, Reims : Un serpent de 40 centimètres de long est retrouvé dans l'escalier d'un immeuble de la rue de l'Arbalète, au centre-ville, après avoir faussé compagnie à son propriétaire. Source
  20. Un alligator et un Pitt Bull abandonnés dans un appartement Un alligator blessé et un Pitt Bull affamé ont été retrouvés dans un petit appartement du Massachussets après avoir été abandonnés par leur propriétaire depuis plusieurs jours. Ce sont des voisins qui ont prévenu le service de protection des animaux de la ville de New Bedford aux Etats-Unis. En pénétrant dans l'appartement, ceux-ci ont découvert un alligator qui avait reçu des coups de couteau ainsi qu'un Pitt Bull affamé après avoir été privé de nourriture et d'eau depuis plusieurs jours. "L'endroit était en ruine", confie un agent qui s'est rendu dans l'appartement laissé à l'abandon par son locataire, Richard Fumo (30 ans) qui avait déménagé en Floride quelques jours plus tôt abandonnant ses animaux à leur triste sort. "Il y avait les excréments dans toute la pièce ainsi que l'urine, et des vêtements traînaient un peu partout". Une enquête a été ouverte pour maltraitance. L'alligator a été emmené dans un centre spécialisé où il est soigné. Le Pitt Bull, quant à lui, a été placé dans un chenil. Source
  21. Au secours des amphibiens La lutte contre l’agent pathogène responsable de la disparition de nombreuses espèces d’amphibiens fait des progrès mais il n’existe pas encore de traitement réellement efficace. Considérés comme des organismes sentinelles, en raison de leur grande sensibilité aux polluants et aux modifications de leur habitat, les amphibiens (grenouilles, salamandres, tritons…) connaissent une importante diminution de leurs effectifs. L’un des principaux agents responsables de cette extinction est un champignon, Batrachochytrium dendrobaditis, décrit comme « le pire pathogène ayant jamais infecté un vertébré » selon l’Union internationale pour la Conservation de la Nature. Ce champignon est impliqué dans au moins 94 des 120 disparitions d’espèces de grenouilles au cours des 30 dernières années et résiste aux tentatives menées jusqu’alors pour le combattre. Les chercheurs ont réussi à enrayer la croissance du champignon grâce à des bactéries qui colonisent la peau des espèces de grenouilles résistantes. Mais pour le moment, cette méthode ne devrait pas déboucher sur un traitement, car les tentatives d’implanter durablement ces bactéries sur la peau de grenouilles sensibles ont échoué, comme les chercheurs viennent de le rapporter dans un article récemment publié dans la revue Diseases of Aquatic Organisms. Afin de mieux coordonner les efforts des chercheurs du monde entier, une équipe américano-suisse a mis en ligne une banque de données accessibles à tous. Avec pour ambition de collationner l’ensemble des études concernant ce champignon mortel. Y compris celles qui se sont soldées par un échec et « qui ne sont trop souvent pas publiées » selon Douglas Woodhams de l’Université de Zurich. Le scientifique espère que son initiative permettra d’éviter les études doublons et accélérera la recherche d’un traitement. Selon les experts, une espèce d’amphibien sur trois risque de disparaître à court terme sans mesures de préservation efficaces. Outre les menaces infectieuses, le changement climatique et les atteintes à leur habitat représentent également des facteurs contribuant à leur extinction. Source
  22. Dieppe : dans l'épicerie avec un python dans la poche Trois individus âgés de 46 et 23 ans, dont un père et son fils, sont entrés avec fracas, ivres, dans l'épicerie de l'avenue Gambetta, mardi soir vers 21 h. L'un d'entre eux poursuivait son ex-petite amie qui venait de rentrer dans le commerce. Ils y ont causé un peu de chahut, projetant même un objet sur la vitre de la boutique. Ils avaient auparavant endommagé un véhicule stationné dans une rue à proximité. Les trois Dieppois ont rapidement été rattrapés par les policiers qui les ont placés en garde à vue. Ils ont écopé d'une convocation en vue d'une orientation sociale. Détail étonnant : l'un des deux jeunes portait, dans sa poche, un python acheté dans une animalerie, en conformité avec la réglementation. Source
  23. J'aime bien le spécimen de la quatrième photo! Bienvenue parmi nous!
×
×
  • Créer...