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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Dans la famille des tortues, demandez le crocodile et l'oiseau Les apparences sont trompeuses. Contrairement à leurs faux airs de lézards, les tortues sont en fait cousines des crocodiles et des oiseaux. Avec ces espèces, elles partageaient un ancêtre commun il y a de cela quelque 200 millions d'années. L'un des derniers mystères de l'évolution des vertébrés a donc été résolu, rapporte une étude réalisée par des chercheurs de l'université de Boston, à paraître mercredi 16 mai dans la revue Biology Letters de l'Académie des sciences britannique Une origine mystérieuse Historiquement comparées aux lézards et serpents en raison de leurs caractéristiques morphologiques, les tortues ont longtemps été considérées comme appartenant à la famille des lépidosaures, large groupe englobant ce type de reptiles. Puis, les progrès récents de l'étude moléculaire des espèces, fondée sur la génétique, avait bouleversé l'arbre généalogique des tortues. L'analyse de leur ADN les avait fait passer de la branche des lépidosaures à celle de leurs cousins archosaures, les grands-pères des dinosaures ayant vécu voici 250 millions d'années et dont sont issus tous les crocodiles et les oiseaux actuels. Enfin une récente étude génétique, fondée sur d'autres marqueurs, les avait ramenées sur la branche des lépidosaures. Cocktail génétique Pour dissiper ces contradictions, une équipe de biologistes américains a utilisé une méthode inédite : 1/ Chercher des éléménts génétiques similaires présents dans toutes les espèces concernées (appelés "éléments ultra-conservés" ou UCE). 2/ Etudier l'ADN qui leur est associé. 3/ Comparer le tout pour tenter de reconstruire l'histoire de leur évolution. Le serpent des blés, la tortue à cou caché d'Afrique, la tortue peinte, l'alligator d'Amérique, le crocodile marin et le tuatara, tous jugés familiers, à un moment donné, de cette bonne vieille tortue, ont donc subi ces tests. Pour préciser leur analyse, les chercheurs ont ajouté à ce cocktail génétique des extraits d'UCE de coq sauvage, de Diamant mandarin, un oiseau très répandu en Australie, d'une espèce de lézards appelées Anole vert et du génome humain. Verdict : l'analyse comparée de ces témoins génétiques de l'histoire des espèces fournit selon eux la "preuve écrasante" que les tortues sont bien issues des archosaures, à l'instar des oiseaux et des crocodiles. Comme la tortue, la science avance parfois lentement mais sûrement. FTVi avec AFP Source
  2. Insolite : Le Gecko vert de Manapany vole le pollen des abeilles... C'est une découverte insolite. Notre Gécko vert de Manapany, espèce endémique de la Réunion, (Phelsuma inexpectata) serait capable de subtiliser habilement le pollen à une abeille lorsque celle-ci vient butiner à proximité de lui. L'observation a été faite par Nicole Crestey et Gaëtan Hoarau dans le cadre des actions infos-nature de l'Association citoyenne de Saint-Pierre (ACSP) : "Nous avons observé sur un latanier latanier rouge (Latania lontaroides) mâle en fleurs des Phelsuma inexpectata visiblement très intéressés par les abeilles (Apis mellifera) qui butinent autour d’eux et pas du tout par les fleurs épanouies ! "On pourrait penser à priori qu'ils vont capturer et consommer ces abeilles bien occupées à butiner, comme mentionné dans des documents tels le Plan national d'actions 2012-2016 élaboré en faveur de la protection de ce gecko vert. Eh bien, pas du tout ! A l'affût, les Phelsuma s’approchent subrepticement d’un côté de l’abeille, sautent sur la pelote jaune de pollen et la saisissent vivement dans leur gueule, avant de l’avaler. Tout ceci se déroule si rapidement qu'il est difficile de l'observer à l'oeil nu. L’abeille dépossédée ne peut que s’envoler à la suite de ce larcin" peut-on lire en guise d'explication sur le site Internet de l'association. "Est-ce un comportement nouveau et exceptionnel ? Comment ces Phelsuma ont-ils appris ce mode d’alimentation plutôt sportif et peut-être risqué ? Peuvent-ils alors être toujours considérés comme des pollinisateurs ? Indirectement peut-être en obligeant les abeilles à visiter davantage de fleurs ?" autant de questions que se posent maintenant ceux qui ont réalisé ces observations. Et nul doute, qu'ils vont continuer à observer attentivement l'exceptionnel ti gecko vert péi. Source
  3. L'idée d'un herbivore est à oublié. Les plus faciles à trouver seront trop gros pour l'espace que tu peux donner. Tu veux quelque chose d'actif, le jour ou peut importe le moment?
  4. Bienvenue Jessica! Je te conseille de partir un sujet dans la section agamidé question que tout le monde voit ta question avec les détails pour qu'on puisse t'aider.
  5. Max|mum-leterrarium

    logo et baniere

    Tu parles de ce site? http://www.mybannermaker.com/ Ça n'a pas l'air super. Je suis aller voir par curiosité mais je ne trippe pas
  6. ROMORANTIN Une tortue s'évade... C'est un appel assez surprenant qu'ont reçu les pompiers de Romorantin, hier, en début d'après-midi. Un promeneur s'était retrouvé nez à nez avec une tortue, rue du Colonel-Vaslin-de-la- Vessière, pas apeuré certes, mais un peu embêté. L'animal terrestre d'une quinzaine de centimètres et d'environ un kilo a été aisément capturé par les pompiers : il tenait dans leur main. Le propriétaire a été rapidement retrouvé grâce au promeneur qui a eu le bon réflexe. Les pompiers doivent être appelés lorsque l'on se trouve face à un animal dangereux ou bien protégé, comme c'est le cas pour les tortues. Source
  7. Balma. à la découverte des tortues avec l'ACB De prime abord, l'intitulé de la manifestation qui a attiré plus de 250 visiteurs samedi salle Marie-Laurencin peut déconcerter. « Il s'agit d'une exposition organisée par l'association chéloniophile balmanaise, mais dites plutôt l'ACB », précise Gaël Frazier, président de l'ACB. Un chéloniophile est un passionné de tortues. De fait, pour le profane, cette exposition offrait la possibilité de briser maints clichés dont sont victimes ces petites bêtes nonchalantes. Les membres de l'ACB ont passé la journée à partager leur passion. « Les deux enclos au centre de la pièce présentent des tortues grecques et des tortues boîtes. Dans les aquariums, trois espèces de tortues aquatiques font la joie des enfants », dévoile Gaël Frazier. La passion des tortues Même si de nombreuses animaleries sont dirigées par des professionnels qualifiés, l'ACB accompagne ses adhérents dans cette acquisition délicate. Et Gaël Frazier de donner l'exemple de la tortue « Sillonnée » : « Ces tortues sont parfois vendues comme des adultes quand elles mesurent une vingtaine de centimètres, alors qu'elles ne sont en fait âgées que de quelques mois. Devenues vraiment adultes, elles peuvent peser jusqu'à 100 kg ». Mieux vaut donc être averti. « L'ACB ne vend pas de tortues mais aide les gens à identifier leur animal et à en connaître son origine géographique. On leur donne aussi des conseils pour l'alimentation », souligne Agnès Barthe, membre de l'ACB. Le cycle de vie de la tortue est compliqué et répond à de multiples exigences. Le moindre faux pas peut coûter la vie à ce pacifique reptile herbivore. En outre, certaines espèces de tortues étant protégées, l'ACB aiguille les amateurs chéloniophiles dans les rouages réglementaires extrêmement précis qui encadrent le petit animal. Soutenus par la municipalité et le Crédit Mutuel de Balma, les adhérents de l'ACB ont créé une série de 35 panneaux qui résume de façon ludique tout ce qu'il faut savoir sur la tortue : l'acquisition, l'alimentation, les soins vétérinaires, le cycle de vie… Ce matériel est destiné aux interventions extérieures de l'association. Pour tout renseignement, contacter :asso.chelo.balma@gmail.com. Source
  8. Pour mieux t'aider /t1273-aide-de-choix-pour-un-lezard /t6173-aide-pour-choix-de-grenouilles
  9. Oui la transformation se fait bien mais il faudrait savoir ce que tu veux exactement
  10. Le serpent exotique se promenait sur un trottoir de Reims REIMS (Marne). Ils n'oublieront pas de sitôt leur intervention d'hier matin rue des Coutures, derrière le lycée Clemenceau. Peu après 10 heures, alors qu'ils ramassaient papiers gras et autres déchets, des agents de propreté de la Ville de Reims ont distingué une forme peu conventionnelle sur le trottoir, au niveau du 4 bis. Ils n'en ont pas cru leurs yeux, mais il s'agissait bel et bien d'un serpent long d'une trentaine de centimètres. Aussitôt, le téléphone a sonné chez les pompiers pour leur demander de venir le capturer au plus vite. Couleuvre américaine Très effilé, de couleur marron clair avec de petites tâches noires, le serpent ondulait contre un mur à l'arrivée des sauveteurs. Ils ont d'abord tenté de le prendre avec leurs mains gantées, mais il ne s'est pas laissé faire et s'est mis en boule. L'un des employés municipaux a alors prêté sa pelle avec laquelle les pompiers ont pu ramasser le reptile et le glisser dans un sac. Ils l'ont ensuite confié à Lucien Laurent, un herpétologue amateur de Bétheny, président du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims. Identifier le serpent ne lui a pris que quelques secondes. « C'est une élaphe obsoleta, une couleuvre non venimeuse qui vit en Amérique, du Canada au nord du Mexique. On en rencontre de plusieurs couleurs. Celle-là est plutôt jeune. Elle mesure 35 cm alors que la taille maximale d'un adulte peut atteindre 1,60 m. » Sauvée de la famine La couleuvre récupérée rue des Coutures est en bonne santé. D'après le spécialiste, elle a probablement fugué du domicile de son propriétaire. « Les serpents ont un pouvoir échappatoire extraordinaire. Il suffit d'un petit trou, d'un espace entre les vitres du terrarium, pour qu'ils mettent le nez, forcent un peu et parviennent à passer. » Lui remettre la main dessus était la meilleure chose qui pouvait lui arriver car « en pleine ville, il est difficile pour un serpent de survivre », explique M. Laurent. « Admettons qu'il ne fasse pas froid, ce qui est le cas avec l'arrivée du printemps, elle aurait fini par mourir de faim. Une élaphe se nourrit de petits rongeurs, d'oisillons, voire de sauterelles si elle ne trouve rien d'autre. Ce genre de proies ne court pas les rues de Reims. » Espèces inoffensives non protégées, les élaphes sont autorisées à la commercialisation. Le spécimen capturé hier matin a pris pension dans l'un des terrariums de Lucien Laurent, où son propriétaire peut venir le récupérer. Source
  11. Limoux Les pompiers et le serpent On savait les pompiers fréquemment sollicités pour chasser des abeilles ou des frelons, mais dans la nuit de mardi à mercredi, sur le coup de minuit, c'est pour capturer un serpent qu'ils ont été appelés. Le reptile se promenait apparemment dans un appartement de Limoux. Une fois maîtrisé, les pompiers ont pu l'identifier : il s'agissait d'une petite vipère. Source
  12. Des serpents comme « animaux de compagnie » Depuis quelques années, les amateurs de serpents sont de plus en plus nombreux. Une passion qui nécessite un minimum d'investissement. Ils élèvent des serpents comme d'autres des chiens ou des chats. Depuis quelques années, les amateurs de pythons royaux, couleuvres et autres reptiles sont de plus en plus nombreux. Un engouement favorisé par Internet qui a démocratisé ce commerce. Un plaisir avant tout Antoine Mahieu n'a pas attendu que le serpent devienne un phénomène de mode pour en faire une passion. Sa première rencontre avec ce reptile remonte à vingt-cinq ans. Âgé de 17 ans, le jeune homme acquiert un python d'un mètre de long, « par accident » : « La mère d'un copain voulait s'en débarrasser. J'ai décidé de l'adopter, plus par esprit de rébellion qu'autre chose. À l'époque, le python royal était peu connu, et il n'a pas été simple d'avoir des informations sur ses conditions d'élevage. » Le temps a passé. Antoine Mahieu est devenu éleveur de pythons regius (royal, en langage international). Une activité qu'il exerce « pour le plaisir » avant tout, et non pour des raisons économiques. « Entre le coût du chauffage, les investissements dans le matériel et dans le couple reproducteur, l'élevage de serpents ne peut être une activité rentable », insiste-t-il. Un élevage familial Favorisée par Internet, l'offre et la demande en serpents n'ont cessé de se développer depuis ces dix dernières années. « Pour le meilleur », mais aussi « pour le pire ». « Le point positif, c'est que l'on trouve désormais toutes les informations sur toutes les espèces. Le point négatif, c'est que certains ont profité de l'occasion pour se spécialiser dans l'achat et la revente de serpents », précise Antoine Mahieu, qui fustige les conditions d'élevage inadaptées de certains éleveurs. En dessous d'une certaine quantité, le fait de détenir certaines espèces de serpents comme le python regius n'exige, légalement, aucune formation particulière. Pour autant, insiste Antoine Mahieu, un minimum de matériel est nécessaire pour recréer les conditions de vie sauvage et de chaleur de cet animal à sang froid. « Les serpents ne sont pas des animaux de compagnie. L'homme doit s'adapter à leur condition de vie, et non le contraire », insiste l'éleveur. Si les serpents sont élevés dans une petite pièce aménagée spécialement pour eux, ils n'en font pas moins partie de la famille. Souvent accompagné de ses enfants, l'éleveur nourrit les reptiles avec des rongeurs congelés, vérifie la température, la diminue de 10 °C l'hiver afin que les femelles puissent hiverner et ainsi se reproduire. « Si j'ai choisi cette espèce, ce n'est pas seulement par nostalgie pour mon premier python. C'est aussi parce que je ne me voyais pas détenir un serpent venimeux, avec des enfants. Il y a toujours un risque de morsure », précise-t-il. D'ici quelques semaines, une trentaine de petits de 29 cm devraient voir le jour. Proposés à la vente, ils ne partiront que lorsque l'éleveur sera sûr qu'ils sont capables de se nourrir seuls, lorsqu'ils auront pris cinq repas. Cédés entre 30 et 300 € selon leur couleur, certains spécimens extrêmement rares ont pu atteindre les 150 000 € de prix de vente, aux États-Unis. « Beaucoup se sont lancés dans l'élevage, en pensant qu'il y avait de l'argent à se faire », observe Antoine Mahieu, qui remarque : « Mon élevage est familial. Il m'arrive de refuser de céder un de mes serpents, si je sens qu'aucun investissement n'a été effectué pour élever l'animal. » Source
  13. Un alligator paralyse la circulation en Floride 9 mai 2012 — (19h25) Les animaux peuvent perturber le quotidien des automobilistes partout dans le monde. Au Québec, ce sont les orignaux et les chevreuils, tandis qu'en Floride, ce sont les alligators qui tentent de traverser les rues. À Miami ce matin, l’un d’entre eux a paralysé la circulation lorsqu’il a tenté de traverser une rue près d’une traversée destinée aux écoliers. L’alligator a été frappé par une voiture, alors qu’une équipe de la conservation de la faune s’est empressée d’intervenir pour enlever la bête de la chaussée. Heureusement, l’attraction du jour est sortie indemne de sa mésaventure, au cours de laquelle de nombreux curieux ont profité de l’occasion pour prendre quelques photos. Avec CNN Source
  14. Il grave ses initiales sur une tortue et la retrouve 47 ans après Aux Etats-Unis, un homme a trouvé par hasard une tortue avec laquelle son fils jouait quand il avait 13 ans. En 1965, Jeff Cokeley est un jeune américain âgé de 13 ans lorsqu'il trouve dans son jardin une tortue. Le jeune homme, qui habite près de Pittsburgh (Pennsylvanie), aux Etats-Unis, conserve l'animal plusieurs jours. Il décide de la relâcher en pleine nature après avoir inscrit sur sa carapace ses initiales, "JC", ainsi que l'année en cours. L'histoire aurait pu s'arrêter là. Mais 47 ans plus tard, son père, Holland, va faire une drôle de découverte. Alors qu'il promène "Zack", le chien de son voisin, Holland Cokeley remarque que l'animal est particulièrement excité par quelque chose. Ce quelque chose, c'est une tortue. Intrigué, l'homme de 85 ans s'en empare. "Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !" "En la soulevant, j'ai pensé 'Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !'", explique l'homme, interrogé par la chaîne locale CBS Pittsburgh. "L'animal est toujours resté dans le même coin depuis 1965 et a toujours les mêmes marques gravées sur son dos". Jeff Cokeley est maintenant âgé de 60 ans et habite l'Etat mitoyen de New York. Lorsque son père lui envoya des photos de sa tortue, il commença par rire, avant d'être profondément ému. Après l'avoir conservé plusieurs jours, Holland Cokeley a aussi relâché la tortue, comme son fils, il y a près de 50 ans de cela. Source
  15. Plus grand Crocodile jamais vécu en Afrique, Crocodylus Thorbjarnarsoni fossiles suggèrent Les scientifiques ont annoncé la découverte d’une espèce de crocodile nouvelle qui peut avoir été le plus grand d’errent toujours dans la terre. Les reptiles colossales contrôle Afrique de l’est les eaux entre 4 et 2 millions d’années et peut avoir admiré sur les ancêtres de l’homme, dit de chercheurs. Les plus grands spécimens fossiles retrouvés appartiennent aux crocodiles massives quelque 25 pieds (7.5 mètres) de longueur ; et les anciens géants peuvent ont augmenté plus de 27 pieds (8 mètres), selon Christopher Brochu, professeur agrégé de sciences de la terre à l’Université de l’Iowa. Brochu a trébuché sur la nouvelle espèce, trois ans auparavant, tout en examinant les fossiles énormes conservés par le Musée National du Kenya à Nairobi. Il a fallu quatre hommes pour lever le crâne de l’un des spécimens, qui ont été creusées à l’origine du bassin Turkana, une région environnante lac Turkana au nord du Kenya. La région est un célèbre hotspot pour les découvertes de fossiles humains. De nombreux hominidés au début ont été découverts dans le bassin Turkana et Brochu dit qu’il est possible que certains d’entre eux a connu une fin nasty, grâce aux crocodiles préhistoriques, appelé Crocodylus thorbjarnarsoni. « Il a vécu aux côtés de nos ancêtres, et il mangeait probablement eux. » Brochu dit dans une déclaration, ajoutant que les reptiles colossales peuvent ont avalé leur ensemble. « Nous n’avons pas réellement des restes humains fossiles avec les piqûres de croc, mais les crocs étaient plus gros que les crocodiles d’aujourd’hui et nous étions plus petits, donc il n’y probablement pas beaucoup de mordant impliqués », dit-il. Recherche de Brochu est publié dans le numéro du 3 mai du Journal of Vertebrate Paleontology. La nouvelle espèce n’est pas apparenté aux crocodiles du Nil, dit Brochu. « Nous avons vraiment ne sais où le crocodile du Nil venaient, » dit-il, « mais il apparaît seulement après certains de ces géants préhistoriques s’éteints. » Suivez OurAmazingPlanet pour la plus récente en sciences de la terre et des nouvelles de l’exploration sur Twitter @ OAPlanet et sur Facebook. Cinq points chauds pour les fossiles : les parcs nationaux de visite Quelle est la différence entre les Alligators et les Crocodiles ? 25 Bêtes antiques incroyables Copyright 2012 OurAmazingPlanet, une compagnie de TechMediaNetwork. Tous droits réservés. Ce matériel ne peut pas être publié, diffusé, réécrit ou redistribué. Source
  16. Le Jardin botanique de Meise introduit des lézards pour lutter contre les cancrelats Douze geckos, des lézards originaires de l'Asie du Sud-Est, ont été lâchés vendredi dans les serres du Jardin botanique national de Belgique, situé à Meise, afin de combattre de manière naturelle les cancrelats. "Nous utilisons déjà depuis longtemps des moyens de lutte biologiques afin d'utiliser le moins possible d'insecticides ou d'autres produits chimiques", explique Koen Es de l'établissement scientifique fédéral. Le choix s'est porté sur les geckos parce que ces lézards sont, comme les cancrelats, actifs pendant la nuit. Le climat à l'intérieur des serres ressemble en outre au climat tropical dans lequel les geckos vivent à l'état sauvage. Les geckos introduits proviennent de deux espèces différentes, le gecko marbré et le gecko tokay. "Il y a autant de mâles que de femelles car l'objectif est qu'un équilibre permanent se crée de lui-même", indique Koen Es. Les visiteurs du jardin botanique ne verront cependant pas souvent les lézards qui demeurent cachés durant la journée. (MUA) Source
  17. Dormir avec des reptiles Avoir pour voisin de lit des serpents, des crocodiles, des lézards et des tortues, voilà ce que propose le zoo du Landau Reptilium. Le concept s'adresse aux amateurs d'émotions fortes et à ceux qui ont le sommeil profond. Le Landau Reptililum, l'un des plus grands zoos de reptiles en Europe, a décidé de se transformer en «hôtel» un certain temps pour permettre à ses visiteurs téméraires de vivre une expérience hors du commun. Les gens sont invités à passer une nuit entourés par plus de 150 espèces différentes de reptiles. «Protégés» par une tente, des lits de camp sont installés dans la section du zoo qui est consacrée aux reptiles du désert, au milieu des vivariums. C'est donc au son des geckos sauvages et des criquets que les courageux peuvent réussir à s'endormir, et peut-être à la sonnette du serpent qu'ils peuvent se réveiller… s'ils se réveillent! En plus de débourser environ 220 euros, un prix qui inclut la visite privée du zoo et le petit déjeuner, les familles désireuses de vivre cette aventure dite «sécuritaire» doivent tout de même prévoir un montant supplémentaire pour une assurance qui leur donnera droit de dormir aux côtés de leurs nouveaux amis de chambre. Source
  18. Des souris empoisonnées parachutées pour éradiquer une espèce invasive de serpent Située dans le Pacifique, l’île américaine de Guam est envahie par les serpents bruns arboricoles, qui l’auraient en fait investie durant la Deuxième guerre mondiale. Les scientifiques de l’US Geological Survey (USGS) ont parachuté des dizaines de souris mortelles pour les reptiles en vue de les éliminer. Depuis le milieu du XXe siècle, l’île de Guam (États-unis), qui s’étend sur environ cinq cents kilomètres carrés, est envahie par le serpent brun arboricole. Les reptiles ont proliféré et ils sont désormais près de deux millions d’individus à prospérer, décimant l’écosystème. Les scientifiques de l’USGS ont donc mis au point des techniques innovantes et ont parachuté des souris arrosées de poison qui constituent un repas mortel pour cette espèce invasive. « À l’heure actuelle, nous utilisons de l’acétaminophène (paracétamol). Il est couramment utilisé comme analgésique et antipyrétique chez l’homme, mais il est 100 % mortel pour tous les serpents bruns arboricoles », a précisé l’un des responsables du département américain de l’Agriculture, Dan Vice, à nos confrères de la BBC. D’après les chercheurs de l’USGS, le premier serpent brun arboricole de Guam serait arrivé tout droit de Papouasie-Nouvelle-Guinée alors que le matériel militaire utilisé par les États-Unis durant la Deuxième guerre mondiale était transféré sur l’île américaine pour être traité. « Nous avons étudié leur génétique et ils sont tous très étroitement liés. Il semble également qu’ils venaient de l’île de Manus, en Papouasie-Nouvelle-Guinée », détaille James Stanford, l’un des biologistes. S’en est suivie une croissance démographique incontrôlée chez ces reptiles qui n’ont pas eu à se soucier de la présence de prédateur naturel sur ce territoire et, par extension, un bouleversement profond de l’écosystème de l’île. La biodiversité de l’île de Guam gravement menacée « Le serpent brun arboricole a eu un impact dévastateur. Dix des douze espèces indigènes d’oiseaux forestiers ont disparu en trente ans. Les oiseaux évoluaient sans prédateur ici, ils étaient plutôt naïfs et quand les serpents sont arrivés à Guam, ils ont mangé les œufs, les individus juvéniles et les adultes. Des générations entières ont disparu », déplore Cheryl Calaustro, membre du département américain de l’Agriculture elle aussi interrogée la BBC. Plusieurs oiseaux endémiques de Guam tels que le koko ne réapparaissent plus que dans les centres de reproduction et doivent rester en captivité. L’invasion du serpent brun arboricole inquiète également la population locale. Plusieurs habitants de l’île se sont en effet réveillés en trouvant un de ces reptiles à la couleur brune et au ventre jaune vif dans leur lit, tandis que les systèmes d’alimentation électriques sont régulièrement court-circuités lorsque les animaux rampent sur les lignes. Aux lâchers de souris empoisonnées s’ajoutent les fouilles approfondies de chaque avion quittant Guam, à l’aide de chiens dressés et capables de retrouver les serpents bruns arboricoles « clandestins ». L’objectif est bien sûr que l’espèce invasive ne colonise pas les autres territoires américains et, à long terme, de l’éliminer. Quoi qu’il advienne, on ne pourra pas reprocher à l’USGS d’être restée sans rien faire. Source
  19. Qui a volé les tortues de l'Albera ? Connu et très fréquenté par le public, les scolaires, amateurs et autres passionnés de reptiles carapacés, le Centre de Reproduction des Tortues de l'Albera, implanté sur la commune de Garriguella près de Rosas, en Catalogne Sud, a été victime d'un vol sans précédent. Dans la nuit du 15 avril, peu avant 1 heure du matin, des individus ont pénétré dans le parc, cassant tout sur leur passage, pour dérober quatre tortues : un couple de Centrochelys sulcata adultes, des spécimens qui mesurent 60 cm et pèsent 45 kg et un autre couple cette fois de Stigmochelys pardalis. Dont voici les signalements. Le mâle Centreochelys sulcata, identifié par la puce 0000E0043, présente deux trous percés dans l'écaille supra caudale. Sa femelle, au numéro de puce 0000020D922, est identifiable, elle, grâce à deux bandes d'usure sur la carapace laissées par les pattes du mâle lors de l'accouplement. Leurs "enfants", les juveniles sont destinées au projet SOS Sulcata au Sénegal, pour la sauvegarde de cette espèce dans la Réserve Naturelle du Ferlo. Les Stigmochelys pardalis, ensuite. Ces mâle et femelle de 40 cm chacun ne comportent pas de puces mais sont reconnaissables. Elle a un oeil visiblement proéminent, lui se trouve forcément à proximité. Dès la découverte du cambriolage, les responsables du Centre catalan ont évidemment déposé plainte et la police a ouvert une enquête. Mais les investigations, pour l'heure, demeurent vaines. Or, au CTR, on ne se remet pas de ce coup dur. Espèces protégées depuis 1982, et réintroduites sur le site depuis 2005, ces tortues sont devenues des raretés qui survivent près des rivages méditerranéens dans des lieux clos, surveillés, afin qu'une fois reproduits, les progénitures repartent sur leur terre d'origine. Une centaine d’individus sont ainsi relâchés chaque année pour réjoindre une réserve, et ce dans le cadre d'un programme international dirigé par la société scientifique française SOPTOM, programme destiné à lutter contre l’extinction de cette tortue géante dans son milieu naturel. Toutes personnes susceptibles de fournir des informations sur les tortues disparues sont donc priées de se mettre en rapport avec le centre de Reproduction de l'Albéra, tél : 972 55 22 45 (0034 depuis la France). Source
  20. Au Bagnas, la tortue cistude est de nouveau chez elle Disparue, la tortue cistude, une espèce endémique, colonise à nouveau les zones humides du territoire agathois. Dans les marécages des Verdisses, autour de Bessan et Florensac, plusieurs spécimens ont déjà été observés à l’état naturel. Mais pour que cette tortue d’eau douce retrouve pleinement sa place dans la biodiversité locale, il fallait un coup de pouce. C’est là tout l’intérêt d’un programme régional démarré en 2006, financé par l’Europe, l’État, la Région et le conseil général de l’Hérault, qui prévoit la réintroduction progressive de l’espèce dans la réserve naturelle du Bagnas, mais également dans celle de l’Estagnol, à Villeneuve-lès-Maguelone. Vendredi après-midi, une dizaine de scientifiques et d’étudiants, flanqués des maires d’Agde et Marseillan, Gilles d’Ettore et Yves Michel, ont validé le dernier volet de l’opération en procédant à la mise à l’eau de 45 tortues supplémentaires dans un petit canal d’eau douce, situé aux confins de la réserve. Un lieu paisible, qu’elles vont progressivement adopter. Source
  21. Une tortue sur sa branche d'arbre perchée REVIN (Ardennes). Comme statufiée, inébranlable, accrochée à sa vieille branche, elle ne cille même pas lorsque l'on s'approche de la rambarde. Une tortue d'eau a trouvé asile sur la Meuse, rue de la Piscine. Surprenant. «UNE Tortue était, à la tête légère, qui, lasse de son trou, voulut voir le pays, volontiers on fait cas d'une terre étrangère… », écrivait Jean de La Fontaine. C'est ainsi que pourrait commencer le récit de cette tortue qui vit sur les berges abruptes de la Meuse, dans un amas de déchets végétaux, et que l'on peut apercevoir depuis plusieurs semaines en se promenant sur le chemin qui longe l'usine Electrolux. Ce qui est amusant, c'est que cette tortue dite de Floride (lire par ailleurs) et sa maison portative ont visiblement emménagé de manière définitive, sur cette vieille branche. Toujours la même apparemment. Le cou tendu vers le ciel, la tête tournée vers la rue. Dans un élan poétique, se plairait-elle à observer le va-et-vient des passants ? Attendant, pourquoi pas, l'arrivée du lièvre ? Et puis d'abord, comment est-elle arrivée là ? Hein ? L'y a-t-on déposé avec, pour souhait, qu'elle aille son chemin ou l'a-t-on abandonné ?. Il y en avait plusieurs avant « Je passe ici tous les jours et dès qu'il y a un peu de soleil, on peut la voir sur une branche ! » nous rapporte Marine, la jeune fille de la Pointe qui nous a alertés, après avoir pu observer l'animal plusieurs semaines de suite. Et d'ajouter : « Il y a un an, elles étaient trois au même endroit. Je ne suis pas sûre qu'elles aient toutes survécu, il y a du courant et ce n'est pas un milieu adapté à une tortue domestique ! ». En effet, les tortues ne courent pas les rues, ni la Meuse ! Quoi qu'il en soit, elle fait désormais partie du paysage. A tel point que, lorsqu'elle décide de se la couler douce, un week-end, bien cachée, sans doute dans les hautes herbes, elle manque aux regards de ces Revinois et Revinoises, fins observateurs. Inquiets même de son sort. Ce fut le cas il y a quelques jours. Certains se demandaient même si elle ne s'était pas laissée emporter par le courant. Mais non, la voilà qui a réapparu, sur la même branche, mercredi après-midi. « Si cette tortue n'est pas ninja, elle n'en est pas moins fort courageuse ! » conclut, en plaisantant, un certain Antoine de Andrade, jeune stagiaire de l'union-L'Ardennais. Source
  22. Tarbes. Le python n'était qu'une couleuvre Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 1 heure, les pompiers sont appelés pour une intervention peu commune : un serpent, qui ressemblant à un python, divaguait sur un trottoir, en plein centre ville, rue Lamartine à Tarbes. Sur place, ils trouvent en effet un serpent, d'environ 1 mètre de long. Dans la pénombre, pas facile de distinguer l'espèce. Après l'avoir capturé, ils l'ont transporté, comme le veut la procédure, chez l'expert herpétologue du département, Pierre Barataud, à Lannemezan. Qui s'amuse de la mésaventure. « Ils croyaient que c'était un python, mais il ne s'agissait que d'une couleuvre, certes d'un genre particulier, une couleuvre des blés des États-Unis, que l'on peut acheter en toute légalité dans une animalerie. C'est un animal totalement inoffensif. » Toutefois, notre spécialiste tire la sonnette d'alarme : « Pour le coup, il n'y avait pas de danger, mais de plus en plus de particuliers prennent des serpents comme animaux de compagnie. Parfois ils sont dangereux et leurs propriétaires, qui se les sont souvent procurés de manière illégale, ne sont pas forcément habilités à s'en occuper correctement. Notamment en cas de fugue. Car si l'on peut comprendre que des gens aient eu peur d'une couleuvre, qu'est-ce qui se serait passé s'ils étaient tombés sur un vrai python ou un anaconda ? » Source
  23. Dolhain: le serpent a été capturé LIMBOURG - Un riverain de la Cité Carlier de Dolhain l'avait repéré il y a une semaine, mais l'animal s'était évanoui dans la nature. Ce jeudi matin, le serpent est réapparu au même endroit. Cette fois, les pompiers de Limbourg ont réussi à le capturer. Le serpent mesure plus d'un mètre. Il s'agit en fait d'une couleuvre à collier. Pas dangereuse mais impressionnante, on le concède. Après l'avoir attrapée, les pompiers de Limbourg l'ont déposée dans une boîte... à la maison communale, provoquant une certaine panique au sein du personnel. Finalement, la boîte a été déposée sur le balcon, histoire de rassurer tout le monde. La police de la zone "Pays de Herve" est venue photographier l'animal, avant d'aller le relâcher dans la Vesdre toute proche. Source
  24. CHARTRES - Le serpent exotique a retrouvé son vivarium A Chartres, le serpent exotique a regagné son vivarium… Hier les pompiers ont été appelés hier après-midi pour rechercher l’animal qui s’était échappé et qui avait été repéré dans une grille d’aération, rue du Faubourg Guillaume. Une unité spécialisée a été appelée en renfort pour capturer le serpent qui fait désormais partie de ces nouveaux animaux de compagnie. Le serpent exotique a ensuite été reconduit chez son propriétaire… Source
  25. Une couleuvre à venin dans les rues de Cannes Un piéton paniqué a alerté police et pompiers ce dimanche après-midi après la découverte d'un serpent lové autour d'un pylône, au début de l'avenue Picaud à Cannes. Le spécimen, un jeune mâle d'environ un mètre, est une couleuvre de Montpellier, la seule espèce qui possède des crochets à venin au fond de sa gueule. Les policiers municipaux cannois sont parvenus à intercepter l'animal avec leurs tonfas, qui a ensuite été pris en charge par le vétérinaire départemental des sapeurs-pompiers. La couleuvre, espèce protégée, sera relâchée dans son milieu naturel forestier. Source
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