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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Je pourrais t'envoyer à St-Hyacinthe acheter un vermifuge
  2. Casela Nature Park : Six tortues Radiata emportées de l’enclos des reptiles La direction du Casela Nature Park a appris avec stupéfaction que six de leurs tortues de type Radiata ont été emportées, la semaine dernière. La police criminelle de Bambous a initié une enquête sur ce vol. Cette affaire est prise très au sérieux par la police et la direction du Casela Nature Park. Six tortues de type Radiata, valant Rs 120 000, ont été emportées de l’enclos des reptiles la semaine dernière. Cette espèce, communément appelée la « tortue rayonnée », est très connue à Maurice comme étant un animal pouvant vivre jusqu’à 100 ans. « Jusqu’ici nous ne savons pas comment le vol a été perpétré, mais nous suivons de très près l’évolution de l’enquête policière », explique une source officielle du parc. Une enquête a, en effet, été initiée par la Criminal Investigation Division (CID) de Bambous qui a inspecté les lieux le vendredi 15 juin 2012. La tortue volée peut atteindre un poids maximal de 15 à 20 kg. Nous apprenons également que cette espèce protégée est inscrite à l’Annexe I (espèces les plus menacées) de la Convention de Washington et dans le Livre Rouge de l’IUCN (The World Conservation Union) qui est un groupe international de protection de la nature et des animaux. La Radiata a pour caractéristique une carapace noire, fortement bombée, parée d’étoiles d’or aux branches allongées. Les dessins jaunes s’effacent peu à peu avec l’âge de la tortue. Source
  3. Non, il n'y en aura pas. Ce n'est pas prévue du moins. Il y en a plus d'une en août en fait.
  4. Héhé j'ai bien hâte de voir ça!
  5. Un crocodile retrouvé dans le nord de l'Ontario KAPUSKASING, Ont. - Des citoyens de la petite communauté de Kapuskasing, dans le nord de l'Ontario, ont eu toute une surprise samedi. Alors qu'ils déambulaient sur un terrain vacant, des piétons ont été accueillis par...un crocodile. Le reptile mesurant environ un mètre était agressif. Les policiers ont immédiatement été alertés. Les autorités ont finalement décidé d'abattre l'animal pour des raisons de sécurité. Elles tentent maintenant de retracer son propriétaire qui pourrait l'avoir abandonné sur le terrain. Source
  6. La chasse aux crocodiles relancée ! La prolifération des crocodiles marins mangeurs d'hommes en Australie a poussé le gouvernement à légaliser la chasse de cette espèce protégée. Le gouvernement australien s'est dans la même journée concilié et mis à dos les écologistes. Vendredi matin, en annonçant la création de la plus grande zone de protection sous-marine jamais créée, il s'est attiré les foudres de toutes les associations de pêcheurs et les compagnies pétrolières. Puis l'après-midi, l'annonce de la légalisation de la chasse aux crocodiles a rendu les écologistes fous de rage. La chasse pour le contrôle des populations est tolérée par les défenseurs de la nature, dans la mesure où elle ne concerne que quelques individus sur une population d'une centaine de milliers. Mais le fait que des safaris touristiques soient organisés pour tuer ces animaux est dénoncé par la société de protection des animaux australienne : "Il ne s'agit de rien d'autre que de tuer des animaux pour le plaisir et rien ne peut justifier cela." En effet, le gouvernement a fait une déclaration encourageant l'organisation de safaris touristiques payants pour la chasse aux crocodiles, déclaration mal venue après le scandale provoqué par la photo de Juan Carlos, le roi d'Espagne, posant devant un éléphant abattu par ses soins. Mais pourquoi réhabiliter la chasse de ce reptile alors que, 40 ans plus tôt, il était classé comme espèce protégée ? Le problème est relativement simple : de 3 000 individus en 1970, la population est passée à plus de 100 000 actuellement. Danger extrême Prenons Darwin sur la côte nord de l'Australie, construit sur des marais à 150 kilomètres du Mary River National Park où pullulent les crocodiles. Chaque semaine, on y capture une demi-douzaine de crocodiles dans le port et on les relâche à l'endroit d'où ils viennent, 150 kilomètres plus à l'est. Si ces crocodiles gênent, c'est parce qu'ils sont extrêmement dangereux pour l'homme. D'après une habitante de Darwin, "quiconque nage dans le port de Darwin est un dingue". Tout est dit. Surtout que la bête n'a pas un aspect spécialement attirant : elle mesure 5,60 m de long en moyenne (1,5 fois la longueur d'une 206 Peugeot !) et peut atteindre 8,6 m pour certains spécimens (2 Espace Renault), sans parler de ceux dont tout le monde parle, mais que personne n'a jamais vus, qui atteindraient 10,5 m (envergure d'un Rafale). La plupart pèsent autour d'une tonne, et la force de pression de leur mâchoire est d'à peu près 2 260 kilogrammes, de quoi décourager les plus téméraires. Enfin, les femelles ont des portées de 25 à 90 oeufs. Respect de l'animal Pour les autochtones, cette décision tombe comme une manne, ils vivent au jour le jour avec les crocodiles et les connaissent mieux que personne, la chasse pourrait donc leur rapporter des revenus et leur donner un travail. Sans oublier que le crocodile est presque un dieu pour eux, dont la chasse se fait toujours dans un très grand respect de l'animal. Enfin, c'est une manne aussi pour tous les amateurs de chasse, qui, au lieu d'aller chasser clandestinement en Afrique ou en Amérique du Sud, pourront en toute impunité s'adonner à leur passion. Retenons quand même que cette chasse est destinée à la régulation de la population et qu'elle restera entièrement contrôlée. Source
  7. Faune Terrestre de Petite Terre Les iguanes Espèce protégée, l’iguane est omniprésent à Petite-Terre, le dernier recensement faisant état de plus de 10 000 individus, soit environ le tiers de la population mondiale d’iguane des petites Antilles ou iguane antillais (Iguana delicatissima). Totalement inoffensif et végétarien, l’iguane antillais consomme des fleurs, des fruits et surtout des feuilles : feuilles de bois noir, de bois de couleuvre, de poirier pays, et même de mancenillier (arbre réputé très toxique). D’une espérance de vie d’une quinzaine d’années, il peut atteindre 1m60 pour un poids d’environ 3 kilos. C’est un proche cousin de l’iguane vert que l’on peut également rencontrer en Guadeloupe, mais pas à Petite Terre. Les seuls iguanes de couleur verte que l’on peut croiser sur l’ile sont en fait des femelles ou de jeunes iguanes antillais. Bernard l'ermite Mascote de l’ile (« Bernardo Bèl-Modan »), le Bernard l’ermite de petite terre, aussi appelé « Souda » en créole atteint des dimensions stupéfiantes. Dépourvu de carapace, ils se réfugient généralement dans des coquilles de burgos et passe l’essentiel de sa vie sur terre, dans les endroits les plus humides de l’ile. La population de Bernard l’ermite est importante et il n’est pas rare de découvrir sur l’ile des cohortes de ces crustacés rassemblant plusieurs dizaines d’individus. Autres espèces de reptiles Deux espèces de lézard endémiques peuvent aussi être aperçues sur l’ile, à savoir l’Anolis (anolis marmoratus chrysops) et le Scinque (Mabuya mabouya mabouya). L’Anolis que l’on retrouve fréquemment en Guadeloupe est aussi très présent à Petite Terre. Principalement arboricoles et consomment principalement des insectes. Le Scinque est quant à lui extrêmement rare. Il se reconnaît par sa couleur bronze des lignes claires et foncées le long du corps. Très rapide malgré ses petites pattes, il se cache dans les cavités rocheuses et s’enfouit pour dormir. Source
  8. Succès pour le reptile show Un public nombreux a découvert les vipères, pythons, mygales et autres crocodiles du reptile show. Les plus courageux ont même pu toucher certains animaux, sous le contrôle de leur dresseur, bien entendu. Et comme le courage n'attend pas le nombre des années, une petite demoiselle, du haut de ses 3 ans, n'a pas hésité à aller voir le python de plus près. Source
  9. Sarah Michelle Gellar tape la pose avec un énorme serpent ! ertains ont la phobie des serpents... Ce n'est apparemment pas le cas de Sarah Michelle Gellar ! Même pas peur ! Lors de la soirée annuelle du zoo de Los Angeles, l'ex actrice de Buffy contre les vampires a prouvé qu'elle était l'amie des bêtes... de toutes les bêtes, même des plus impressionnantes ! Sarah Michelle Gellar, qui a un polichinelle dans le tiroir , n'a pas hésité à prendre la pose avec un imposant python, s'enroulant le reptile autour du cou sans sourciller ni se départir de son immense sourire. Alors que les autres invités paraissaient un peu frileux à l'idée de caresser la bête, la star ne voulait plus quitter sa nouvelle écharpe ! Rayonnante, la pétillante blonde dévoilait subtilement son joli ventre rond dans une robe ample et volantée. A 35 ans, l'épouse de Freddie Prinze Junior semble n'avoir peur de rien... Pas étonnant quand on a été chasseuse de vampires pendant si longtemps. C.N Source
  10. Choisissez le nom d'une tortue ! La dernière tortue arrivée au Centre d’Etudes et de Soins pour les Tortues Marines le 6 février 2012, n’a pas encore de nom. Cette jeune tortue caouanne (Caretta caretta) s’est échouée au niveau de l’Anse de Bréhac (Plouha, 22) le 4 février 2012. Au moment de l’échouage, elle pesait 844g et après 4 mois de soins au C.E.ST.M., elle a atteint 1,858 kg !! Safran, Petit-Bec, Opale ou Ricochet… est probablement née il y a moins d’un an. Elle est très tonique et raffole des crabes vivants ! Quelques précisions sur les noms proposés pour la tortue : Opale : en référence à la plus haute zone où le C.E.S.T.M. recense et recueille les jeunes tortues marines échouées. Petit Bec : en référence à l’une des plages de l’Ile de Ré (où la tortue sera prochainement relâchée) réputée pour ses surfeurs et il s’agit également de la plus petite des tortues marines actuellement en soins et donc qui a le plus petit bec mais pas le plus petit appétit ! Safran : en référence à la capacité de la tortue à changer rapidement de direction lorsqu’elle détecte une proie. Ricochet : car nous espérons qu’une fois posée sur la plage elle s’éloignera très rapidement de la côte !!! Choisissez son nom parmi les 4 propositions et votez pour votre préféré sur notre page facebook ! Vous avez jusqu’à lundi 18 juin à 12h pour participer à ce sondage ! Source
  11. Francois Leguat Turtoise and Cave Reserve reçoit le prix Skal Asia Environment Award 2012 L’Île Rodrigues avec sa réserve de tortues et de foret endémiques est sur la carte de l’écotourisme mondial grâce l’ONG Skal Mauritius. Le prix de Skal Asia Award 2012 remis par le minsitre du Tourisme, Mr Michael Sik Yuen. Fondé en 1934, cette ONG suédoise a repeuplé en tortue grace à sa branche mauricienne le 10e district après avoir refait l’environnement immédiat avec la plantation des especes endemique de l’Ile. Ces tortues qui avaient disparu au fils du temps après l’arrivée des hommes il y plus de deux cents ans sont maintenant bien gardé par les membre de Francois Leguat Turtoise and Cave Reserve qui est devenu un parc naturel et qui offre des activités comme “Marche avec les tortues” grâce à l’aide de La Vanille Réserve des Mascareignes. Lors de son discours le ministre du Tourisme, Mr Michael Sik Yuen a felicité Skal Mauritius pour cette initiative qui met l’Île Maurice encore une fois au sommet de l’écotourisme mondial et surtout asiatique qui est un nouveau segment pour le secteur touristique qui est en pleine expansion. Mr Owen Griffiths a dans son allocution brossé l’historique de la mise en route du projet de La Vanille Réserve des Mascareignes qui a eu pour effet de refaire l’habitat naturel des tortues avec les plantes qui s’y trouvait il y plus de deux siècle de cela. Pour Aurèle André se fut un fantasme qui devient un rêve puis un projet é qui a pris quelques années pour que le retour de la tortue à Rodrigues devienne une réalité. Source
  12. Une grenouille que l'on croyait disparue a été redécouverte en Australie Une petite grenouille que beaucoup de spécialistes considéraient comme disparue, a été récemment redécouverte dans une région tropicale reculée du Queensland, dans le nord de l'Australie. La litoria lorica, longue de 4 cm, n'avait plus été observée depuis 1991, et de nombreux experts estimaient qu'elle avait été exterminée par une mycose dévastatrice qui se développe notamment dans le nord de l'État australien du Queensland. Mais en juillet, un étudiant en doctorat de l'université James Cook de Townsville, qui effectuait des recherches sur une autre espèce d'amphibien, est tombé sur ce qui lui est apparu comme la litoria lorica, a récemment expliqué le Pr Ross Alford, qui dirige l'équipe de recherche sur les espèces menacées d'amphibiens. La découverte a été confirmée par des tests génétiques réalisés par Conrad Hoskin à l'Université nationale d'Australie, à Canberra. «Bon nombre d'entre nous commencions à penser que l'espèce s'était éteinte, donc cette découverte est incroyable», a noté Conrad Hoskin. «Cela signifie que d'autres espèces que l'on ne trouve plus pourraient potentiellement être simplement cachées dans l'eau par là-bas». La litoria lorica, d'aspect brillant, de couleur marron parsemée de points plus foncés, vit dans les eaux vives. Entre 30 et 40 spécimens ont été retrouvés. La chytridiomycose, une maladie fongique, a été rendue responsable de la disparition de plusieurs espèces de grenouilles dans le monde, dont sept dans le Queensland entre la fin des années 1980 et le début des années 1990. La plupart des spécimens retrouvés sont porteurs de la maladie, mais celle-ci ne semble pas les rendre malade, selon le Pr Alford. L'équipe de l'université James Cook va maintenant étudier ces grenouilles pour comprendre comment elles arrivent à vivre avec cette mycose, dans l'espoir de mieux préserver d'autres espèces menacées d'amphibiens. Source
  13. J'attendrais de voir ce que ça donne après le traitement.
  14. Les serpents utilisent leurs écailles pour grimper aux arbres Deux chercheurs, Tim Nowak et Hamidreza Marvi ont étudié des serpents des blés afin de comprendre comment ceux-ci parviennent à grimper sur les arbres. Leur étude suggère que les reptiles utilisent leurs écailles pour réaliser cette remarquable performance. Démunis de pattes, les serpents ont dû faire preuve d’imagination pour parvenir à grimper dans les arbres. Une nouvelle étude, dirigée par deux chercheurs Tim Nowak et Hamidreza Marvi, suggère que les écailles qui couvrent leur corps sont la clé d’une telle performance. En les bougeant à l’aide des muscles, celles-ci offrent en fait l’impulsion et une prise idéale pour avancer le long de l’écorce sans tomber. Pour en arriver à de tels résultats, les chercheurs ont observé des serpents des blés (Pantherophis guttatus) grimper le long de plans inclinés jusqu’à 60 degrés de l’horizontale. Les conclusions, publiées cette semaine dans la revue Royal Society Interface, révèlent une étonnante capacité des reptiles à doubler leur surface de frottement entre le corps et l’arbre, grâce au contrôle actif de leurs écailles. Pour ce faire, les serpents poussent sur les parois du tronc couvert d'écorce grâce aux muscles de leurs corps, tout en pointant leurs écailles vers l’extérieur. Cette orientation leur fournit un "revêtement cutané" idéal pour assurer leurs prises sur la surface rugueuse. A partir de là, une partie de leur corps se propulse à l’aide d’une série d’extensions et de contraction tandis qu’une autre reste ancrée pour assurer la sécurité du déplacement. Les chercheurs espèrent désormais que ces nouvelles informations puissent être utilisées afin de concevoir un robot rampant destiné à la recherche et le sauvetage. En recréant les propriétés naturelles des écailles des serpents sur un prototype automatisé, celui-ci pourrait être utilisé sur des terrains complexes comme les décombres d’un bâtiment par exemple. Source
  15. Un serpent de plus d'un mètre capturé dans le centre-ville d'Agen Belle prise de la police nationale, hier en fin de matinée à Agen. à hauteur du n° 11 de la rue de Floirac, des fonctionnaires du commissariat ont mis la main (gantée) sur un assez beau spécimen de serpent : long de plus d'un mètre, ce « serpent des blés » [Elaphe-Guttata, une espèce non venimeuse originaire des États-Unis] , aux écailles blanches tachetées de jaune, dont on ignore bien comment il a pu atterrir là, tentait de prendre la fuite par une bouche d'égout, manifestement conscient de se trouver en situation irrégulière sur la chaussée. La charmante bestiole a été remise aux pompiers, qui lui offrent le gîte et le couvert au centre de secours, le temps qu'un éventuel propriétaire se manifeste. Faute de quoi, elle atterrira… dans un zoo ? Source
  16. Effrayé par une araignée, il se défenestre et s’enfuit nu dans la rue Le 14 juin 2012 à 19:15 L’arachnophobie, ou la peur des araignées, est une réalité que beaucoup connaissent mais, pour cet ouvrier de l’Illinois, aux Etats-Unis, la réalité est vite devenue un cauchemar C’est au réveil, mardi matin, qu’un Américain de Albion, dans l’Illinois, a été pris d’une panique incontrôlable en voyant, sur son lit, une araignée velue et effrayante. Sortant précipitamment de son lit sans prendre le temps d’enfiler un caleçon, c’est nu qu’il est sorti de chez lui et s’est mis à courir dans la rue, sous les regards hallucinés de ses voisins. Dans sa fuite, le malheureux et passé à travers une porte vitrée, se lacérant les jambes, les bras et les doigts sur le verre brisé de la vitre. La police locale a reçu de nombreux appels signalant un homme nu et sanguinolent courant dans les rue du quartier résidentiel. PLg Source
  17. Un vrai laboratoire de sauvegarde des espèces Obterre. Le parc animalier de La Haute-Touche, actuellement en pleine période de naissances, est une véritable arche de Noé. L'association France urodèles groupe, qui regroupe les meilleurs éleveurs européens de salamandres et de tritons, vient de tenir son assemblée générale à la réserve de La Haute-Touche. Les spécialistes de la tortue de la région Centre viennent également de se réunir au parc animalier, réputé pour son action en faveur de la conservation des espèces. « Tous ces gens se sentent très concernés par notre démarche, car un amphibien sur trois est menacé », explique Roland Simon, le directeur d'un site voué à la fois au tourisme et à la science. " Nous avons remis en liberté au lac du Bourget vingt-cinq tortues nées en 2008 et en 2009 " Cette double vocation n'est pas une hérésie, bien au contraire, puisque les 54.000 visites de l'an passé contribuent au financement du laboratoire de recherches géré par le Muséum national d'histoire naturelle, tandis que le public est sensibilisé à la fragilité du monde animal. « Nous sommes actuellement en pleine période de naissances », souligne Roland Simon, en montrant les enclos où des petits cerfs, antilopes, wallabies de Bennet, bouquetins, cygnes à cou noir découvrent leur nouvel univers. « Nous venons également d'obtenir nos premiers œufs d'autruche et une centaine d'œufs de cistudes. Cette politique de conservation vient de se traduire par la mise en liberté, au lac du Bourget, de vingt-cinq jeunes tortues nées en 2008 et 2009. » Sinon, les 1.300 sujets de 120 espèces répartis dans l'enceinte zoologique (124 ha) du plus grand parc animalier d'Europe (424 ha) continuent à être choyés par trente permanents et cinq saisonniers, avec l'objectif de les présenter dans les meilleures conditions au public sans perturber leurs habitudes quotidiennes. La possibilité de parcourir la réserve à vélo ou en calèche et de bivouaquer pour la seconde année consécutive dans des tentes inuits apporte un plus à ce haut lieu du tourisme départemental, qui essaie maintenant de gagner en lisibilité avec l'objectif avoué d'atteindre cette année les 60.000 visiteurs. pratique > L'accès au parc animalier de La Haute-Touche se trouve sur la D 975, entre Azay-le-Ferron et Châtillon-sur-Indre. > Le site est actuellement ouvert de 10 h à 18 h en semaine et jusqu'à 19 h le dimanche. Du 1er juillet au 31 août, il accueillera le public tous les jours de 9 h à 19 h. > Le site comprend une aire de pique-nique, un restaurant, une boutique souvenir, un espace bivouac. Location de VTT, jumelles et balades en calèche les dimanches et jours fériés. > Entrée : 9 € et 7 € (réduit). Contact : tél. 02.54.02.20.40. Jean-Michel Bonnin Source
  18. On recherche un serpent dans les rues de Wazemmes Au moins cinq personnes ont aperçu un serpent mesurant entre 50 cm et 1 m, hier midi dans une rue de Wazemmes. Le reptile se serait réfugié dans un garage, où les pompiers l'ont cherché pendant plus d'une heure : en vain. C'est un serpent tricolore. Noir, blanc et rouge orangé. Sa taille varie d'un riverain à l'autre. Certains estiment qu'il mesure environ 50 cm. Pour d'autres, il flirte largement avec le mètre. Un serpent dans les rues de Lille, donc : voici ce que découvrent cinq riverains de la rue Kuhlmann à Wazemmes, hier à l'heure du déjeuner. Étonnant, terrifiant même pour les plus phobiques des voisins. Au départ, un homme aperçoit le reptile près d'une poubelle. Il croit que c'est un jouet. S'approche. S'aperçoit que c'est un serpent, un vrai de vrai. Lui donne des coups de pied. Et là, le serpent se sauve. Il passe à travers la mince fente du garage voisin. Alertés, les pompiers expliquent d'abord que ce type d'intervention n'est pas de leur ressort. Toutefois, les services vétérinaires ne répondant pas, ils acceptent de se déplacer. La police nationale bloque la rue, tente de prévenir le zoo de Lille, d'appeler en renfort le magasin d'animaux « La ferme tropicale » situé non loin de là... Probablement une couleuvre Durant plus d'une heure, trois pompiers pénètrent dans l'obscurité de ce garage contenant deux véhicules, et recherchent la bête. Dans la rue, chacun y va de son commentaire. Où est donc le serpent ? Un salarié de « La ferme tropicale » rejoint finalement les pompiers. D'après la description qu'on lui fournit, le reptile serait une couleuvre d'Arizona non venimeuse. Ouf. Elle s'est probablement réfugiée dans un coin chaud. Mais où ? On ne le saura pas. Quand pompiers et police quittent les lieux, vers 13 h 30, le reptile ne s'est toujours pas montré. À ceux qui passent dans le coin, ouvrez bien les yeux, on ne sait jamais...w M.GO. Source
  19. CHELLES - 80 pythons royaux élevés dans le sous-sol d'un pavillon de banlieue CHELLES - Pas de vin ni d'outils de jardin dans le sous-sol du pavillon de Sylvain Fauchoix, en Seine-et-Marne: ce salarié de la SNCF y bichonne 80 pythons royaux et des oeufs en train d'éclore, expliquant sa passion avec un serpent d'1,5 mètre dans les bras. "C'est une passion que j'ai depuis tout petit: j'ai commencé avec les insectes, puis les lézards et les mygales, et vers 12 ans, je suis tombé amoureux des serpents", raconte Sylvain Fauchoix, 28 ans, entouré de pythons royaux dans le sous-sol de son pavillon, à la périphérie de Chelles. "Vers 14 ans, j'ai ramené un serpent d'une exposition. Je me suis fait tuer par mon père! Puis il s'y est fait", se souvient-il amusé. Mais en décembre, l'éleveur de serpents a failli se retrouver en prison. Dénoncé par un concurrent, dit-il, il était soupçonné de détention illégale et de trafic. Il a un nouveau rendez-vous avec la justice mardi. En attendant, il présente fièrement, tout contre lui, son Piebald, blanc avec des taches marron, le Snow avec ses yeux rouges d'albinos et la langue sortie et tant d'autres pythons, qu'il caresse délicatement. Ses "animaux", comme il les appelle, ne sont pas venimeux. Ils sont dans des casiers individuels, dans une pièce bien isolée, humide et chaude, à 27 degrés, au plus près de leurs conditions en milieu naturel, en Afrique. L'éleveur de serpents est passionné de génétique: lors des accouplements, il travaille sur les gènes récessifs et dominants, afin d'obtenir des serpents avec de nouvelles couleurs. "Oui, certains valent le prix d'une grosse voiture", dit-il pudiquement. "C'est ma passion, je suis mordu de ça", explique le jeune homme, chef de conducteurs de trains à la SNCF. "Je suis fasciné par ce qui crée une répulsion chez les gens, comme les requins aussi", confie M. Fauchoix, barbichette et cheveux longs attachés. "J'aime ce côté primitif, bien implanté dans la nature", explique-t-il. Fruit défendu "Si les gens continuent de diaboliser le serpent, c'est à cause de la religion", d'Adam et Eve, du fruit défendu. "Sans le côté relationnel, comme avec un chien ou un chat, on a l'impression de ne pas cerner l'animal", pense-t-il. Mais n'en-a-t-il vraiment jamais peur? "Je ne suis pas fou, je ne ferais pas ça avec un crotale", serpent très dangereux, admet-il. "Je me suis déjà fait mordre plein de fois, ça fait des petites griffures. Puis je désinfecte, comme si je m'étais fait griffer par mon chat". Son épouse s'est "aussi mariée à (sa) passion". Son fils, qui va avoir 5 ans, "n'est pas passionné, mais il les prend, ça ne le choque pas". Et les voisins? "Je les ai invités à venir, ils étaient ébahis. C'est un couple charmant qui adore les animaux". En décembre, à son retour de voyage de Noces, il a été interpellé à l'aéroport et placé en garde à vue, soupçonné de détention illégale et de trafic. "C'était un cauchemar. J'ai appris qu'on avait fait une perquisition chez moi. On a failli tout perdre", raconte-t-il. Il reconnaît qu'il n'avait pas toutes les autorisations. La justice lui a demandé de se mettre en règle, ce qu'il dit avoir fait. "J'ai passé les certificats nécessaires, puis on a monté une société avec deux amis associés et maintenant, on peut vendre librement nos serpents", se réjouit-il. Il l'expliquera mardi devant le tribunal. Il n'envisage pas qu'on lui retire ses serpents. "Qu'on me coupe les deux jambes, ça me fera moins mal. (...) C'est toute ma vie, derrière ma femme et mon enfant". 2012 AFP Source
  20. Surprise : une araignée dans ses raviolis en boîte. Victoria Harrah, 48 ans, mangeait depuis des années les raviolis en boîte de la marque Chef Boyardee, mais elle changera sans doute ses habitudes alimentaires à partir de maintenant. La dernière fois qu'elle en a ouvert une boîte, les raviolis avaient un ingrédient secret. Elle s'est donc assise à table et a pris une bonne bouchée de ces délicieux raviolis qu'elle chérissait tant. Mais ce rituel, au lieu de se terminer par une bouchée de raviolis avalée, s'est terminées par une bouchée de raviolis crachée un peu partout. En effet, un nouvel ingrédient s'était glissé dans sa bouche : une belle, noire, grosse araignée poilue. Une nouvelle recette testée par la société à l'insu de ses clients ? Il faut dire que la pauvre Victoria a la phobie des araignées depuis qu'une de ces bestioles l'a mordue il y a vingt ans, suite à quoi elle a du aller à l'hôpital. Vraiment pas de chance. ConAgra Foods, la société propriétaire de la marque Chef Boyardee, n'a même pas essayé de dire qu'elle avait tout inventé. Il y a quelque chose derrière, vous ne trouvez pas ? Source
  21. Lannemezan. Les pompiers apprennent à connaître les serpents Pierre Barataud, l'herpétologue lannemezanais, était mardi au centre de secours et d'incendie afin de former les sapeurs-pompiers à l'identification et à la capture des reptiles. Mardi, Pierre Barataud, l'herpétologue lannemezanais, capacitaire en biologie herpétologie, était au centre de secours et d'incendie de Lannemezan. Accompagné de quelques-uns de ses pensionnaires, dont un python, un boa et deux vipères. Avec pour objectif, dit-il : « D'apprendre aux sapeurs pompiers à reconnaître les reptiles et la manière de se comporter en leur présence. Notamment faire la différence entre une vipère et une couleuvre, deux espèces souvent rencontrées dans notre région. Car, paradoxalement, alors qu'ils sont appelés, lors de certaines de leurs missions, à intervenir pour capturer des serpents, ils ne sont pas formés à ces interventions. Sachant, dit Pierre Barataud, qu'il ne s'agit pas de sauver la vie de personnes, ou alors très rarement, mais de sauver la vie des animaux. Un autre volet de mon intervention est aussi de démystifier tout ce qui est dit sur les reptiles. Des croyances et des peurs qui se révèlent être ancestrales ». Pour Dimitri Hugon, le chef d'équipe de garde du centre de secours : « Cette initiative est très utile pour nos personnels, qui peuvent se trouver confrontés à la présence de serpents, notamment de vipères et couleuvres, dans les parc et jardins des maisons d'habitation. Nous avons appris a identifier les serpents, et comment les capturer en sécurité. Source
  22. C'est des grandes tisseuses mais elle ne passe pas leur temps à tisser
  23. As tu fais quelque chose pour les blessures?
  24. Je ne sais pas, c'est peut-être juste la façon dont il est placé
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