Max|mum-leterrarium

J'ai écris ça mais en réalité, c'est le bout de la queue de la souris!

Une de amies c'était acheté ce lézard. Comme elle a peur des morsures, elle s'est rendu compte que ce n'était pas une espèce pour elle alors elle a pensé à un de ses amis un peu freak que les morsures ne le dérangent pas vraiment. Depuis ce jour, j'ai à la maison un Iguane noir d’Oaxaca. C'est un lézard faisant une moyenne de 40 cm. On le trouve au Mexique et dans la partie ouest de l'Amérique Centrale. Il vit dans les savanes et les forêts clairsemées, appréciant aussi les cultures maraîchères. C'est un lézard qui s'impose malgré sa taille. Au moment des photos, il est allé se cacher dans un coin ne bougeant plus. De meilleures photos viendront éventuellement. J'ai pris les photos au moment de le nourrir alors.

Je viens de voir que je ne vous avais pas encore montré mes Tiger leg. Je les adore pourtant. Ce que j'aime de cette espèce c'est qu'ils sont relaxe pratiquement en tout temps. Les mouvements sont lents, pas de presse la vie est belle. Elles ne passent pas leur temps à sauter comme d'autres espèces. Ça facilite la tâche lors du nettoyage. Pas besoin de dire d'où vient le nom commun de l'espèce je crois!

Je profite du moment pour montrer l'évolution de mes petites boules rouges. Non seulement elles a grandi, mais elles ont prise de la couleur aussi. J'aime le petit air féroce de l'espèce!

Pour te répondre Mago_one, elles viennent d'une éleveur les miennes. Je peux te mettre en contact avec elle si tu veux des conseils? Pour le moment, voici un petit update photo d'aujourd'hui. Et ma préférée dans le lot où on a l'impression que la grenouille se croit cacher et que personne ne la voit!

On m'a questionné à son sujet cette semaine. Il va toujours bien. Il a son sale caractère. Monsieur (ou madame, je ne l'ai pas sexé encore) se fâche si on bouge quelque chose dans son terrarium. Par contre, une petite souris lancé dans son terrarium et le calme revient aussitôt.

J'expliquais l'autre jour à l'une de mes bonnes amies, qu'un serpent pouvait manger beaucoup plus gros que lui. J'ai pris pour exemple, un jeune Lampropeltis que je lui disais qu'il pouvait manger une sauteuse. Juste pour faire exprès, ce jour là, le serpent n'a pas voulu manger. Elle était chez moi hier, donc je n'ai pas nourrit les serpents pour profiter du temps qu'on avait. Je nourris le serpent aujourd'hui, je me suis pourquoi pas lui faire une série de photos qu'elle pourra voir. Elle n'est pas inscrite sur le forum mais elle nous espionne souvent. Voici le petit serpent qui deviendra grand mangeant sa sauteuse. La recherche de la proie Il trouve la tête de la souris. On commence à engloutir la proie plus grosse que soit! On arrive à la partie la plus difficile, faire passer les pattes avant. On y va lentement pour cette étape. On commence à voir la peau s'étirer amplement. On y est presque! Le pire est passé! On travaille fort pour tout avaler Lentement, mais sûrement! La proie n'entre pas assez vite à son goût donc le corps au complet bouge pour l'aider! Il ne reste que les pattes arrières et la queue! Maintenant, l'effet spaghetti. C'est là que j'ai tout gâché. J'ai déplacé sa cachette alors il est parti à la fuite avec la queue sortie de la bouche encore. Les tortions du corps commencent pour faire descendre la proie! C'est presque terminé! L'effet petite langue sortie! Il reste seulement qu'à faire descendre le tout! Il ne reste plus aucune preuve du meurtre de Mickey! J'espère que mademoiselle aimera le résultat parce que je n'ai pas l'habitude de rester aussi longtemps à côté d'un serpent qui mange prenant tous ses mouvements en photos!

En faisant mes terrariums aujourd'hui, je trouvais la position de Luis décontracte et j'aimais bien. J'en ai profité pour une ou deux photos.

Les animaux à sang froid - Les rois du désert Avec David Attenborough

Une tortue marine dans les bassins de Gérard Carrodano Capturée involontairement par un pêcheur, elle s'y est refait une santé C'est un animal qu'on n'a pas l'habitude de croiser par ici. Pourtant il y a quelques jours, le pêcheur et premier prud'hommes ciotaden Marc Gastaud a retrouvé, du côté de l'île Verte, une tortue marine dans ses filets : une magnifique tortue caouanne femelle de quelque 70 cm de long et presque 20 kilos, qui avait dû s'aventurer au fond pour se nourrir et s'est emmaillée. "Sans doute un peu choquée, la tortue n'était pas très en forme quand il l'a trouvée, et du coup, il a préféré me la confier pour que je la garde en observation, explique Gérard Carrodano, pêcheur lui aussi mais spécialisé dans la capture de spécimens vivants pour ses aquariums et bassins tactiles. Le risque avec ces animaux, c'est qu'ils aient de l'eau dans les poumons : on le voit vite parce que ça perturbe leur équilibre horizontal." Hier, la belle tortue baptisée Chance a regagné le large Le pêcheur l'a donc installée dans un de ses bassins, et a contacté le CestMed (Centre d'Études et de Sauvegarde des Tortues marines en Méditerranée) au Grau-du-Roi, le seul centre de soins de tortues marines en Méditerranée française, avec lequel il est en contact toute l'année, pour avoir son avis. "Ils m'ont dit que si elle se remettait à manger rapidement, je pouvais la relâcher, précise Gérard, et c'est ce qui s'est passé : au bout de deux jours, elle s'est jetée sur un calamar !" La tortue caouanne, ou caretta caretta, bien qu'espèce protégée, est de plus en plus nombreuse dans les eaux de Méditerranée : "Depuis 3 ou 4 ans, on en observe de plus en plus, souligne Gérard Carrodano, et le CestMed en suit cinq, au moyen de balises Argos, d'un bout à l'autre des mers du globe. Le gros problème des tortues marines, ce sont les sacs plastiques, qu'elles ingèrent parce qu'elles les prennent pour des méduses…" Bien sûr, il reste interdit de capturer ces tortues, mais cela peut arriver accidentellement à des pêcheurs : ces apnéistes hors pair pouvant rester sous l'eau jusqu'à une heure pour se nourrir sont, en effet, susceptibles, comme c'est arrivé à Marc Gastaud, d'être prisonnières d'un filet ou de s'accrocher à un hameçon. "Si l'animal présente un signe de détresse, pêcheurs ou plaisanciers peuvent le récupérer et me l'apporter ou faire appel au Seaquarium du Grau-du-Roi, précise Gérard. Le plus important, si la tortue est maintenue hors de l'eau, c'est de l'hydrater régulièrement. Le mieux est de la recouvrir avec une serviette qui doit rester mouillée." Hier, après 12 jours dans le bassin du pêcheur, la belle tortue baptisée Chance a regagné le large, pour de nouvelles aventures sous-marines. Pour contacter le CestMed, 04 66 51 57 37 ou 06 24 47 51 55. www.cestmed.org Source

Nivelles : son boa est peut-être dans la nature Ce mardi, un boa mesurant 1,80 mètre et pesant une dizaine de kilos a été dérobé au domicile de Jerôme Carlier, Place Lambert Schieffeler à Nivelles. Un vol d’initié sans aucun doute. Les motivations du délit, elles, sont potentiellement inquiétantes. B.E. Publié le Samedi 26 Mai 2012 à 06h30 Mardi, 16h30. Jérôme Carlier rentre du boulot. Il est éducateur au Collège. Il chipote, allume son ordinateur... Son attention se porte sur l’un de ses trois terrariums. La serrure est déboîtée, posée sur le bois. Il s’inquiète. C’est le vivarium de son boa constrictor de près de deux mètres. “ J’ai tout de suite cherché après mes chats ”, dit le Nivellois. “ Le serpent peut être dangereux pour eux, mortel même. ” Après vérification, le constat est clair. On lui a volé son spécimen. “ Je suis dégoûté. Je ne vais pas tomber en dépression non plus, mais ce sont des animaux qui vivent jusqu’à 30 ans. On s’y attache forcément. ” Pour Jérôme, les cambrioleurs savaient ce qu’ils venaient chercher chez lui. Divers objets ont disparu mais le délit ne fait pas un pli, son boa était la cible des voleurs. “C’est une vraie mine d’or. La valeur de ces boas peut monter jusqu’à 3.000 euros. Le mien, vu sa taille doit valoir à peu près 700 euros à l’heure actuelle. ” Retrouvez toute l’info sur vol et ses implications dans votre journal La Capitale Brabant wallon de ce samedi. Source

Une couleuvre blanche attrapée par les pompiers dans le centre de Douarnenez Dans la nuit de vendredi à samedi, les pompiers de Douarnenez ont trouvé une couleuvre blanche (un serpent exotique), dans une haie de la rue Yan d’Argent. L’animal a été emmené au cabinet vétérinaire Sicard où le propriétaire peut le récupérer. Source

Une thérapie pour dépasser la phobie des araignées Une thérapie pour faire disparaître la phobie des araignées a fait ses preuves selon une étude américaine. Après traitement, les chercheurs ont observé une réduction de la peur au niveau du cerveau des patients testés. Vous faites partie des gens qui perdent tous leurs moyens dès que vous croisez une araignée? N'ayez crainte, une petite thérapie pourrait vous débarrasser de cette phobie. En observant l'évolution de l'activité du cerveau par IRM, des chercheurs de l'école de médecine à l'université de Northwestern, près de Chicago, ont réussi à prouver l'efficacité de cette méthode thérapeutique qui consiste à exposer progressivement les patients à des araignées. «Beaucoup de gens ont peur des araignées, mais il faut avant tout être sûr qu'il s'agit d'une phobie. Il doit donc y avoir un diagnostic clinique qui démontre que cette peur envahit la vie du patient», explique l'auteur Katherina Hauner, une doctorante en neurologie dans un communiqué de presse. Par exemple, «si un phobique est certain qu'il y a une araignée dans la maison, il ne pourra pas s'empêcher de quitter les lieux et sera incapable d'y revenir pendant plusieurs jours», ajoute la chercheuse. Dédiaboliser l'araignée Dans le cadre de leur étude, les scientifiques américains ont sélectionné douze patients atteints d'arachnophobie: trois hommes et neuf femmes d'une moyenne d'âge de 22 ans. Au départ, les participants éprouvaient des difficultés à regarder des photos d'araignées. Ce malaise était d'ailleurs visible sur l'IRM qui montrait l'augmentation de l'activité d'une partie du cerveau qui gouverne la peur. La thérapie a débuté par un cours explicatif sur les mygales. «Je leur ai montré que les araignées avaient encore plus peur qu'eux.» Peu à peu, les patients ont commencé par toucher l'extérieur du terrarium, puis l'animal à l'aide d'un pinceau et d'un gant avant de pouvoir le caresser à main nue au bout de quelques heures, voire quelques semaines pour certains. Au moment de toucher l'araignée, «les participants n'arrivaient pas à croire qu'ils étaient en train de le faire, commente le principal auteur de l'étude. Six mois plus tard, ils étaient toujours capables de les toucher». Des progrès visibles dans le cerveau À la fin de l'expérience, l'imagerie médicale a montré que l'activité des régions du cerveau associées à la peur avait diminué par rapport au début des tests. Cette étude est la première à documenter les changements qui ont lieu dans le cerveau à long terme à la suite d'un traitement. Selon les auteurs, les résultats obtenus ouvrent de nouvelles voies vers des traitements pour lutter contre les phobies. Au même titre que la peur du sang, des aiguilles, des serpents et des espaces clos, la peur des araignées fait partie des phobies très courantes, apparentées aux troubles anxieux et aux névroses, qui touchent environ 9,4% d'Américains. Source

Les lièvres des douanes saisissent 52 tortues d'Hermann à Ajaccio Certains les préfèrent sous-marines, géantes, voire même ninja. Certains trafiquants de reptiles affectionnent, eux, la tortue d'Hermann, qui est une espèce protégée en Corse. Dans le courant du mois d'avril 2012, une opération menée conjointement par les services des douanes, de l'office national de la chasse et de la faune sauvage ainsi que les services vétérinaires, a permis la saisie record de cinquante-deux spécimens détenus illégalement chez un particulier de la région ajaccienne. L'affaire avait éclaté à la suite de la découverte de plusieurs colis suspects contenant des tortues destinées à la vente au centre de tri postal régional. Les animaux saisis étaient essentiellement des adultes prélevés en milieu naturel et n'étaient pas maltraités. Ils ont été relâchés dans la nature. « Le contrevenant a quant à lui fait l'objet d'une amende pour ces infractions douanières », a précisé le parquet. La détention et le commerce de cette espèce sont des délits pénaux passibles d'une année d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. En déclin en Corse Les amoureux de nos chères cuppulatte ont rappelé que la tortue d'Hermann est protégée par une réglementation internationale. Dans un communiqué, le service des douanes d'Ajaccio précise que « l'espèce est inscrite à la convention de Washington relative au commerce international des espèces menacées d'extinction ».Sans compter qu'elle ne vit qu'en Europe du Sud : en France, l'espèce n'est plus présente que dans le massif varois des Maures et dans l'île, où elle décline. Différentes actions sont conduites pour sa protection, mais la capture fragilise sa reproduction. On impute sa raréfaction aux incendies, à l'urbanisation, à la déprise agricole ou au fractionnement des territoires… « La tortue d'Hermann fait l'objet d'une protection renforcée et d'un plan national d'actions initié par le ministère en charge de l'Environnement, coordonné au plan régional par la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement », a souligné un enquêteur. « Outre l'atteinte à ce patrimoine naturel corse, il faut savoir que l'espèce expédiée sur le Continent se retrouve dans des conditions de vie inappropriées », souligne une source proche du dossier. Notant que « la lutte pour la protection et la préservation des différentes espèces protégées ou menacées demeure l'une des priorités des divers services de l'état en charge de la police de l'environnement et les douanes ». Qui mieux que les lièvres des douanes pouvaient débusquer les trafiquants de tortues ? Source

Les policiers interceptent un serpent TROIS RIVIÈRES – Les policiers de Trois-Rivières ont dû faire une intervention plutôt inusitée vers 8 h 30, vendredi. Un serpent des blés d'un mètre et demi de long rampait librement sur la rue Tonancourt, dans le quartier Sainte-Cécile. Les policiers l'ont encerclé, jusqu'à l'arrivée des employés de la Société protectrice des animaux (SPA) de la Mauricie, qui ont capturé le serpent. Les autorités ignorent pour l'instant comment la bête a pu se retrouver ainsi dans la rue. Un spécialiste des reptiles a examiné l'animal en début d'après-midi vendredi. Selon lui, la bête est âgée de quatre ou cinq ans. Elle pèse un kilo et est en excellente santé. Le serpent des blés provient du sud-est des États-Unis et n'est pas venimeux. Il est permis d'en détenir un chez soi au Québec. Selon le porte-parole de la SPA, Serge Marquis, l'animal sera hébergé à Trois-Rivières durant quelques jours tout au plus, le temps que son propriétaire puisse se manifester. Si le serpent n'est pas réclamé, il sera transféré vers un centre spécialisé en conservation de reptiles. Source

Un python s'échappe d'un appartement à Vimoutiers Un python s'est échappé d'un appartement situé rue François-Mitterand à Vimoutiers mardi 15 mai. L'animal ne mesure pas plus d'un mètre de long. Sa propriétaire possédait ce serpent en toute légalité. L'appartement a éte fouillé, en vain, comme la cave de l'immeuble où l'animal avait été signalé le week-end dernier. Ce python, dit classique, ne peut survivre que dans des endroits chauds. On ne sait pas si le reptile est encore en vie. Si vous le voyez, contactez la gendarmerie. Source

Une nouvelle espèce d'araignée baptisée en hommage à Lou Reed Une équipe internationale de biologistes a découvert récemment une nouvelle espèce d'araignée dans le désert du Néguev en Israël. Les scientifiques l'ont baptisée "loureedia annulipes", en hommage au chanteur Lou Reed, qui a débuté sa carrière en tant que membre du groupe Velvet Underground, peut-on lire sur le site Sci-News. Les mêmes scientifiques avaient déjà baptisé une araignée zimbabwéenne "paradonea presleyi", en hommage à Elvis Presley. Source

Sauvegarde de la Grenouille des champs, Tourbière de Marchiennes Du: 25/08/2012 Au: 26/08/2012 Date limite d'inscription: Ven, 24/08/2012 Capacité d'accueil: 15 L'action sera annulée en dessous de 7 participants. Vous devez être présent pendant tout la durée de l'action. Ouverture de roselière par recépage de ligneux pour préserver l'habitat de la Grenouille des champs. En partenariat avec le Conseil Général du Nord, gestionnaire du site. Contexte La Grande tourbière de Marchiennes est un Espace Naturel Sensible qui s’inscrit dans le système alluvial de la moyenne vallée de la Scarpe et fait partie de l’ensemble du maillage de zones humides de la vallée. Ce site départemental présente un intérêt patrimonial particulièrement élevé, il héberge plus d'une vingtaine de communautés végétales à caractère au moins semi-naturel. Il est composé d'un grand plan d'eau, d'une zone de marais d'environ 3 hectares, et d’une aulnaie alluviale. Objectif Principalement du fait de l’activité humaine, la biodiversité a largement régressé et les espèces faunistiques et floristiques devenues rares trouvent refuge sur les derniers espaces naturels protégés qui visent à préserver leur milieu de vie. Pour éviter de les voir disparaître, une gestion appropriée est indispensable. Les chantiers nature répondent à cet objectif de préservation en accompagnant les organismes gestionnaires dans les opérations mises en oeuvre. Ils permettent à des bénévoles de devenir acteurs de la préservation de l’environnement en les impliquant sur la réalisation d’une action concrète. Journée type -> 6 heures de travail -> 1 temps est consacré à la visite du site et à la découverte de ses richesses faunistiques et floristiques en compagnie d'un professionnel de l'environnement. Rôle du volontaire Participation au chantier et à l'ensemble des tâches inhérentes à l'organisation collective de l'équipe de volontaires (courses, préparation des repas, etc.). Qualité de l'encadrement - Spécialistes techniques Profil du volontaire Type de volontariat : volontaire bénévole Publics visés : Mineurs accompagnés Majeurs Langues parlées : Français Condition physique : Accessible à tous Connaissances particulières : Aucune compétence n'est nécessaire... juste de la motivation ! Conditions financières Coût journalier - Participation au frais : 0 €/jour - Frais d'hébergement : Pris en charge - Montant nourriture : 0 €/jour - Autre frais 1 : 0 €/jour - Autre frais 2 : 0 €/jour TOTAL : 0 €/jour Frais d'adhésion et indemnités - Frais d'adhésion : 12 €/an - Indemnités versés au volontaire pour l'action : 0 € Adresse de l'action Adresse : MARCHIENNES Conditions d'accueil Encadrement : L'encadrement technique pendant le chantier est assuré par les gardes départementaux chargés de la gestion du site. Nourriture - Locale - De saison - Biologique Déplacement locaux - Majoritairement en voiture ou minibus Informations complémentaires Equipement recommandé : Vêtement de travail, bonnes chaussures ou bottes, gants. Source

La quantité va dépendre de l'animal. L'important c'est qu'il soit en santé sans faire d'embonpoint.

Habituellement, ils sont assez timides pour l'heure du repas aussi. Là, aussitôt que les anoles sont entrés dans le terrarium, il est tombé en chasse.

Bon ok, la qualité de la photo n'est pas super, mais c'est une photo prise avec mon cellulaire. C'est tellement rare que je tombe sur eux quand ils mangent. En fait, c'était la première fois. J'avais seulement mon cellulaire sous la main alors j'ai pris la photo et je vous montre ça. Comme m'a dit o0bibitte0o, habituellement, c'est le genre de photo où on voit des boas ou des pythons. Voici un serpent des vignes qui mange sa proie.

Le tricot rayé, serpent du lagon Les Calédoniens le connaissent bien, une célèbre marque de vêtements locale en a même fait sa mascotte. De la quinzaine d’espèces de serpents présentes sur le territoire, il est le plus connu et le plus reconnaissable à ses couleurs qui lui valent son nom commun. La Calédonie abrite deux espèces de tricots rayés, le tricot rayé bleu (Laticauda laticaudata) et celui rayé jaune et noir (Laticauda saintgironsi). On peut facilement les observer. Les deux sont fréquemment victimes de la malveillance et d’un manque de connaissance de l’animal. Si le tricot rayé vit dans les rochers et parfois entre les racines des arbres qui bordent les fronts de mer, il se nourrit dans les massifs coralliens ou chasse sur les fonds sablonneux pour le tricot rayé bleu. Les deux ont le même régime alimentaire, petites murènes, congres, petits poissons, et se servent de leur venin pour immobiliser leurs proies. Amphibie, le tricot rayé dort et se reproduit sur terre. Il est donc fréquent de le croiser sur les plages des îlots du lagon. La femelle pond environ trois œufs entre décembre et mars, l’éclosion intervient sur une période s’étalant de mai à août. On ignore la durée de vie du tricot rayé : elle irait d’une demi-douzaine d’années à quinze ans. Lorsqu’il est dans l’eau, le tricot rayé ne remonte à la surface que pour respirer. Son apnée peut durer jusqu’à deux heures ! Un venin puissant. Beaucoup de mythes tournent autour du venin du tricot rayé. On le dit plus puissant que celui du cobra et capable de tuer plusieurs hommes. Si les proies du tricot rayé sont foudroyées, les morsures mortelles pour l’homme sont rares et leur létalité est grandement liée à la quantité de poison injectée, en sachant que le serpent n’injecte pas systématiquement son venin quand il mord pour se défendre. L’homme ne faisant pas partie de son régime alimentaire, ce serpent ne mord que si on le dérange ou s’il se sent en danger. Reste que le tricot rayé est un serpent extrêmement calme et plutôt difficile à agacer. Mais comme beaucoup de serpents de mer, il peut se montrer curieux. Se détourner ou l’écarter calmement est alors amplement suffisant. premiers secours En cas de morsure, pas de garrot car couper la circulation sanguine, et surtout la remettre brutalement, est mauvais pour le corps. On n’aspire pas le venin comme à la télévision : une telle pratique peut mettre en danger celui qui le fait. Un léger bandage au début du membre touché peut être envisagé ainsi que de la glace sur la morsure. Facile à dire mais mieux vaut également garder son calme : plus le cœur s’emballe, plus le venin se diffuse rapidement. L’anti-venin n’est injecté que par un médecin et à l’hôpital car le serpent n’injecte pas nécessairement du venin, la quantité peut varier, et le produit peut être allergène. Source

Vaincre son arachnophobie en un rien de temps Des chercheurs de la Northwestern University ont démontré qu'une seule séance de thérapie individuelle suffisait à vaincre sa peur panique des araignées. Deux heures de thérapie mèneraient les participants, plus peureux y compris, à oser prendre une araignée dans leurs mains. "Avant la thérapie, certains participants n'osaient même pas marcher sur l'herbe, de peur des araignées. Certains restaient dd nombreux jours hors de leur chambre ou de leur maison s'ils y avaient vu une araignée. Après deux ou trois heures de séance individuelle, ils étaient capables d'être en compagnie d'une araignée, de la toucher ou même de la tenir", explique Katherina Hauner dans un communiqué. Durant les trois heures de thérapie, les participants, qui avaient même peur en regardant une photo d'araignée, ont tout appris sur les mygales (comportement, fragilité...). Ce qui leur a permis de se rassurer également. Source

A Nivelles, des cambrioleurs emportent un boa constrictor Lors d'un cambriolage perpétré dans un appartement du centre de Nivelles, les auteurs ont emporté divers objets ainsi qu'un boa constrictor, a-t-on appris mercredi auprès de la police locale. Le cambriolage a eu lieu mardi vers 16H30 dans un appartement situé sur la place Lambert Schiffelers. Les auteurs ont notamment dérobé un ordinateur portable. Ils ont également forcé le terrarium dans lequel se trouvait un boa constrictor mesurant environ deux mètres et ont emporté l'animal. Source

Panama : une grenouille qui sécrète des pigments jaunâtres Les zoologues de l'Institut Senckenberg dans la ville allemande de Francfort-sur-Main ont découvert un nouveau type de grenouille qui vit dans les forêts du Panama. L’amphibie de couleur jaune clair laisse des traces dorées sur les mains lorsqu’on la touche. La créature vit dans une région difficilement accessible de la crête du centre du Panama, connue pour sa végétation luxuriante. Les scientifiques ont repéré les premiers signes de présence de cet animal en 2010. « Malgré le fait que nous ayons rapidement distingué les voix des mâles de cette espèce des voix des autres amphibiens que nous connaissons, nous étions incapables d’en attraper au moins un pour l’étudier à cause d’une végétation trop dense de la forêt. Et lorsque nous avons réussi à le faire, nous avons constaté que les amphibiens laissaient des tâches jaunâtres sur les doigts lorsqu’on les touchait. C’est pourquoi nous avons appelé cette nouvelle espèce de grenouilles Diasporus citrinobapheus - « la grenouille qui laisse des tâches jaunes », a déclaré le chef du groupe Andreas Herz. On ignore si la matière colorante est toxique, ou si son application sur des surfaces à proximité est lié à l'instabilité du pigment. Source