Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Découverte d’un gecko « bourdon » en Papouasie-Nouvelle-Guinée PORT-MORESBY, vendredi 20 avril 2012 (Flash d’Océanie) – Une équipe de scientifique américains a annoncé la découverte d’une espèce jusqu’ici inconnue de gecko, reptile qu’ils ont immédiatement baptisé gecko-bourdon en raison de ses rayures jaunes et noires. L’annonce de cette découverte, dans le magazine scientifique spécialisé Zootaxa, fait suite à une expédition menée en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en particulier sur la petite île de Manus, jusqu’ici plutôt célèbre pour avoir accueilli un centre de rétention pour immigrants clandestins. Les deux spécimens recueillis lors de cette expédition de 2010, menée par le Smithsonian Institute et le gouvernement américain (y compris son institut géophysique, le US Geological Survey, USGS et sa division recherche environnement), en collaboration avec le musée national papou, mesurent une douzaine de centimètres. Outre leur surnom de « bourdon », ils ont depuis été officiellement et scientifiquement baptisés Nactus Kunan, appellation qui reprend la notion de bourdon (kunan) dans le dialecte local de la tribu Nali. Autre spécificité de cette nouvelle espèce de gecko : elle ne possède pas les terminaisons « en ventouse » au boit des doigts, comme le reste des membres de sa famille. Deux autres spécimens, supposés eux aussi appartenir à une nouvelle espèce jusqu’ici inconnue, sont en cours d’analyse, a précisé l’équipe de scientifique de l’USGS. En tout début d’année 2012, équipe de l’université d’Hawaii annonçait une découvert issue de sa dernière expédition dans la jungle papoue, à plus de deux mille mètres d’altitude, en pleine forêt tropicale humide. Il s’agissait cette fois-ci d’une minuscule grenouille (un demi-centimètre) et réputée comme étant le plus petit vertébré connu, dans la catégorie tétrapodes. Ces mini-batraciens possèdent la particularité d’émettre un son qui peut être facilement confondu à celui d’un bourdonnement d’insecte. Ces mini-grenouilles vivent dans l’humus végétal, qui regorge d’organismes dont elles se nourrissent. Les expéditions scientifiques se sont multipliées ces dernières en Papouasie-Nouvelle-Guinée, la plus grande île du monde mais aussi, en certains endroits, la mieux préservée. Source
  2. Une jeune tortue de mer trouvée morte à Roquebrune La petite femelle de moins de 20 kilos cherchait vraisemblablement à se nourrir. Une autopsie, menée par le laboratoire départemental de Sophia Antipolis, établira les causes de son décès. "Elle était coincée dans les rochers, presque sur le dos. On se doutait bien qu'elle était morte, mais on espérait quand même…" Malheureusement, les deux plongeurs qui ont trouvé hier matin une tortue dans les enrochements de la base nautique de Roquebrune-Cap-Martin, ne se trompaient pas. Contrairement à la tortue luth de 200 kg repêchée vivante à Saint-Raphaël il y a une semaine, la jeune femelle caouanne, était bien décédée. Une déception pour ces deux amoureux de la mer qui s'apprêtaient à se mettre à l'eau pour un entraînement de natation. "La seule consolation est de se dire que si elle est là, son espèce n'a pas disparu en Méditerranée", notait Jean-Loup Duvivier, par ailleurs moniteur expérimenté et fin connaisseur de la faune. "Nous avons pensé qu'elle avait peut-être été drossée sur les rochers ou qu'elle s'était étouffée avec un sac plastique", continuait son ami Olivier Faure. Des animaux difficiles à observer Deux hypothèses qui ont été prises en considération par le groupe animalier du SDIS, venu récupérer la dépouille à la caserne de Menton. Bien que peu fréquente, cette rencontre n'est cependant pas exceptionnelle pour le commandant Véronique Vienet, vétérinaire en chef : "Il s'agit de la tortue la plus commune en Méditerranée. Ces animaux sont rares, non pas parce qu'il n'y en a pas beaucoup, mais parce qu'ils sont difficiles à observer." "Il n'existe que huit espèces de tortues marines dans le monde, cinq sont présentes dans nos eaux, poursuit la vétérinaire.Cette tortuecaouanne, oucaretta caretta, est l'une des deux seules, avec la tortue verte, qui s'y reproduit." Une autopsie à Sophia Antipolis "Contrairement à la luth, la caouanne aime venir près des côtes pour se nourrir de crustacés ou de mollusques cachés dans les rochers. C'est sûrement ce que celle trouvée ce matin était venue faire. Il s'agissait d'une jeune femelle de 58 centimètres. Elle ne pesait pas tout à fait 20 kg, alors que les adultes peuvent monter jusqu'à 120 kg." Quant aux causes de son décès, "dans la mesure où elle ne présente pas de blessure, nous pouvons écarter l'hypothèse du traumatisme. L'autopsie qui va être effectuée au laboratoire départemental de Sophia Antipolis fera la lumière sur le reste." Un examen pas si évident à mener selon Véronique Vienet : "Les traumatismes ou l'ingestion de corps étrangers sont faciles à déterminer. Les causes infectieuses le sont moins car on ne connaît pas bien ces animaux. C'est l'occasion d'en apprendre un peu plus. C'est aussi la possibilité de surveiller l'environnement et d'éventuelles pollutions." Source
  3. Les écoliers à la rencontre des reptiles vivants, une initiative prischoise enrichissante... | PRISCHES | Dans la cour des écoles de Prisches, dirigée par Sophie Mathieu et de Beaurepaire, dirigée par Jeremy Delval, c'était l'ébullition vendredi ! Des reptiles étaient la proie de tous les regards pour une après-midi d'étude ! ... C'était une belle idée que celle d'inviter l'Univers des reptiles à Prisches. Le maire Jean-Claude Fovez et la municipalité ont permis à tous les élèves des classes primaire de découvrir l'écosystème de ces animaux ectothermes (à température variable), recouverts d'écailles. Qu'ils soient petits ou grands, chacun des reptiles trouve sa place dans un immense camion aménagé et surchauffé. Un peu de géographie Si boas et pythons ne se mélangent pas, les couleurs font merveille, même chez les albinos. Les squamates (lézards et serpents) ainsi que les crocodiles du Nil ont leur territoire grillagé. Cette visite était une surprise, donc nous avons simplement pris plaisir à connaitre ces reptiles avec, à l'appui, d'un peu de géographie pour l'étude des cinq continents. Ce qui a attiré le plus les enfants, c'est de voir tous ces animaux immobiles dans l'eau. Ils les imaginaient autrement. « Ils ont même pu toucher le caïman à lunettes. Par contre, ce qui les a horrifiés, c'est le garde manger composé de cochons d'Inde, de rats vivants pour nourrir les serpents et l'ensemble du vivier » raconte le professeur des écoles, Roselyne Dissaux. Observation Les cent cinquante enfants ont pu, par petits groupes, observer alternativement cet environnement extraordinaire et inconnu et l'univers des insectes géants, des arachnides, tels les scorpions, les lépidoptères dont notamment certains papillons aux somptueuses couleurs irisées fascinaient les regards d'enfants. • C. JANSHON (CLP) Source
  4. Les NAC ont suscité un bel intérêt Creney-Près-Troyes- Le chef de corps des pompiers a souhaité former ses hommes à la capture des nouveaux animaux de compagnie (NAC) Il y a actuellement un engouement pour les NAC (nouveaux animaux de compagnie) qui va des perroquets aux mygales, en passant par les serpents. C'est pourquoi Dominique Pauwels, chef de corps des pompiers de la commune, a désiré former ses hommes à la capture de ces animaux qui peuvent s'échapper ou être abandonnés. Mais il a pensé que ce thème pouvait intéresser la population qui a donc également été invitée à participer. Et ce fut le cas puisqu'en plus des pompiers, enfants et adultes sont venus nombreux. Emmanuel Jouet, de la brigade de Troyes, spécialisé dans la capture des NAC, mais aussi d'autres animaux comme les chiens dangereux et les chevreuils, au sein d'une équipe qui compte douze personnes, était venu avec ses serpents, iguanes et tortues. Au moyen d'une vidéo, il a fait un rapide exposé sur les reptiles, amphibiens et insectes et a détaillé l'identification d'un serpent. Dans nos régions, il s'agit de reconnaître vipère et couleuvre. Il a informé qu'en cas de morsure, il faut allonger la personne et appeler les secours. Il a évoqué ses différentes missions et rappelé la Convention de Washington qui encadre le commerce international de la faune et de la flore sauvages. Patrick, de l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage) qui travaille avec l'équipe des pompiers, a présenté le fusil hypodermique qui sert à endormir les animaux. D'autres moyens mécaniques sont utilisés. Il est déjà intervenu entre autres pour des chevreuils, des rapaces et des cygnes qui s'égarent en ville. Responsabilité Il a également mis en garde contre les piqûres de tiques qui peuvent avoir de graves conséquences en inoculant la maladie de Lyme. Il a insisté sur le fait que lorsque l'on décide de posséder un animal, c'est une prise de responsabilité et qu'il faut lui consacrer du temps et s'en occuper. Les pompiers ont ensuite appris les gestes à pratiquer pour la capture des NAC avec du matériel approprié. Pendant ce temps, le public se familiarisait avec les différents serpents qu'Emmanuel et ses jeunes fils avaient sorti de leur cage. Les participants étaient très intéressés et ont manipulé les reptiles avec plus ou moins d'appréhension. Des furets et un lapin Géant des Flandres étaient également présentés. Source
  5. Première bourse aux reptiles : le public, venu en nombre, est tombé sous le charme de ces petites bêtes à sang froid | AUXI-LE-CHÂTEAU | Plutôt chien, chat, perruche ou encore... crocodile ? L'animal de compagnie peut parfois être surprenant. Aussi, pour proposer une animation qui sorte de l'ordinaire, l'Asso'lidaire auxiloise ... a organisé une bourse aux reptiles. Dimanche, la salle polyvalente a accueilli 18 exposants, professionnels et amateurs, venus parfois de loin (Nantes, Oise, Belgique, etc.) Pour le succès de cette manifestation, les organisateurs n'ont pas ménagé leur peine et ont fait connaître l'événement notamment par des sites Internet de passionnés et de professionnels, des réseaux sociaux... La bonne communication et la curiosité des visiteurs ont fait de cette manifestation une réussite. Près de 1 500 personnes ont visité cette exposition et de nombreux néophytes sont repartis avec tortues, lézards, caméléons et autres serpents. Les plus expérimentés étaient venus chercher la pièce rare, comme un scinque à langue bleue ou un python régius albinos. France et Joël Mallet, éleveurs amateurs, sont venus de Belgique. « Notre passion a commencé il y a cinq ans et demi. À l'époque, nous n'avions qu'un lézard et un serpent. Petit à petit, notre intérêt pour ces animaux à sang froid a été grandissant et nous avons fait l'acquisition de nouveaux pensionnaires. Nous possédons aujourd'hui soixante pogonas et gueckos et nous comptons 500 à 800 naissances par an. La vente de la progéniture nous permet de nourrir, soigner, renouveler ou diversifier les espèces. Avant d'en arriver là, nous étions passionnés d'aquariophilie et nous nous sommes beaucoup documentés et renseignés auprès de professionnels. Il ne faut pas acheter ce genre d'animaux aveuglément. Il faut savoir que les entretenir coûte cher au niveau de l'alimentation, des équipements et de l'électricité et que certaines espèces grandissent beaucoup. Parfois, des personnes sont tentés par l'achat de reptiles mais finissent par ne plus s'en occuper ou même les relâchent dans la nature ». Ce ne sera sûrement pas le cas de Cyrielle Gosse, d'Auxi, qui vient d'acquérir deux superbes tortues. « Mon ami est tombé sous le charme... Il en a déjà eu auparavant et désirait vraiment reprendre des tortues. Nous avons déjà l'aquarium à la maison. Il s'agit d'un couple de pelusios animove que nous avons acquis pour 50 euros. Ils se nourrissent de dés de jambon, de crevettes, de thon et d'os de seiche. Nous envisageons plus tard de faire de la reproduction ». Les responsables de l'association étaient ravis du succès de cette première bourse aux reptiles, qu'ils comptent reconduire l'an prochain. Il y a eu beaucoup d'affluence et les vendeurs sont eux aussi satisfaits de leurs ventes. Les bénéfices de cette manifestation serviront notamment à épauler des personnes en difficulté, qui ne peuvent prétendre aux aides. • Source
  6. Max|mum-leterrarium

    Besoins de conseils

    Je ne connais pas les prix en Europe. Par contre, pour ce qui est d'une belle espèce qui peut vivre dans un minimum de cette espace à l'âge adulte, je nommerais en premier lieu la Tortue de Reeves (Chinemys reevesii)
  7. Les animaux familiers et exotiques ont fait bon ménage | WINNEZEELE | Le premier salon animalier proposé par Reptilium, la toute jeune association ... créée en novembre par Tony Bécue, s'est déroulé ce week-end, à la salle polyvalente. Le président et les adhérents s'étaient fixé un objectif : « Nous voulons faire découvrir certaines espèces mais aussi rappeler qu'un animal n'est pas un jouet. Il ne faut pas oublier qu'un iguane peut atteindre une taille de deux mètres et que certaine tortues doublent de volume tous les ans et vivent une soixantaine d'années. » Coqs, lapins,pogonas... Si le visiteur pouvait retrouver des animaux plutôt familiers, comme le coq et ses poules, des pigeons, des lapins, des perruches, des canaris, des chèvres, un âne et des tortues, son attention était aussi attirée par des créatures un peu moins communes. Après avoir caressé un furet, sans s'être fait mordre, il pouvait observer un magnifique iguane, des dragons d'eau, des pogonas venus d'Australie et des geckos de Madagascar. Parmi les curiosités exposées par le Cercle aquariophile de Bailleul, se trouvaient des aquatines et des escargots africains de taille impressionnante puisqu'un spécimen tient tout juste sur la paume d'une main. • F. D. (CLP) Source
  8. 400 tortues de contrebande saisies Les douanes du Bangladesh ont saisi mardi à l'aéroport de la capitale, Dacca, plus de 400 tortues de contrebande en provenance d'Inde et qui étaient destinées au marché thaïlandais, a-t-on appris auprès des autorités. Deux Indiens ont été arrêtés dans la foulée de la saisie des reptiles, a indiqué une fonctionnaire des douanes, Showkat Ara. Les tortues étaient transportées dans trois valises. Elles avaient été exportées clandestinement au Bangladesh depuis l'Inde et devaient être acheminées à Bangkok», a-t-elle précisé à l'AFP. Les animaux, d'une valeur estimée à trois millions de taka (environ 36 600 dollars), seront placés dans un centre de protection, a-t-elle ajouté. Selon un conservateur, Tapan Kumar, il s'agit de la plus importante saisie réalisée ces dernières années. Parmi les reptiles figuraient trois espèces en voie de disparition, comme la tortue étoilée, servant habituellement dans la médecine orientale. Les autorités ont indiqué avoir constaté une recrudescence des faits de braconnage d'animaux exotiques au cours des derniers mois. Source
  9. Max|mum-leterrarium

    Besoins de conseils

    Tout d'abord, quelle espace peux tu prendre pour l'aquarium?
  10. Vendredi 20 avril et samedi le 21 avril 2012 aura lieu une exposition éducative sur les reptiles. Le vendredi nous seront présent de 9h30 jusqu'à 20h30 et le samedi de 9h à 16h. L'évènement aura lieu à l'aréna de St-Henri Aréna St-Henri 219, rue Commerciale RR 1, Saint-Henri-de-Lévis, QC G0R 3E0
  11. Encore une espèce animale qui disparaît des iles Hawaii Les chercheurs américains et français le confirment une espèce de lézard est dorénavant classée disparue dans l'archipel hawaiien. Il s'agit d'un lézard de la famille des scinques : l'Emoia impar. Ses couleurs sont remarquables, sa longue queue est de couleur bleu ciel. Ce scinque a été signalé pour la dernière fois dans les années 1960. Depuis des recherches régulières entre 1988 et 2008 n'ont pas permis de le recenser à nouveau. La difficulté pour ce genre d'animaux est que leur présence est discrète et leur disparition pas forcément notable. Des animaux plus gros ou plus bruyants, comme les oiseaux, sont plus facilement repérables. Ce lézard peut encore être observé dans d'autres groupes d'île du Pacifique. Aux États-Unis, les îles hawaïennes sont les endroits les plus touchés par les extinctions d'espèces animales. Ce qui rend cette disparition intrigante est le fait que l'Emoi impar était autrefois un animal courant à Hawaï. Pourquoi il disparaît définitivement d'un archipel et reste actif sur d'autres groupes d'îles ? L'extinction d'une espèce est souvent liée au développement de l'activité humaine. Cela peut être une explication, toutefois les chercheurs ont remarqué une fourmi prédatrice du scinque disparu. Une information importante pour les endroits où ce lézard est encore présent. Source
  12. Le crocodile, cet implacable prédateur en questions La session consacrée au soigneur de crocodiles a fait le plein. ... Les 150 places ont trouvé preneur, symbole du succès de ce festival. Et les enfants ont laissé leur timidité dans l'aquarium quand on leur demande de poser des questions. Et vous, connaissez-vous bien ce prédateur féroce ? > Combien d'années vit-il ? Il y a 23 espèces de crocodiles différentes dans le monde, variant de 1 à 7 m à l'âge adulte. En moyenne, ils vivent entre 70 et 80 ans. Comme les hommes ! > Pourquoi ses dents sont-elles si pointues ? Parce qu'il vit dans des eaux où il y a peu de proies. Il doit donc se donner un maximum de chances de les tuer sur-le-champ, d'un seul coup de mâchoire. > Combien de temps peut-il rester sous l'eau ? Pratiquement une heure. Il ne sort que pour chasser, pondre ou se chauffer au soleil mais est bien plus à son aise dans l'eau. > A-t-il des prédateurs ? Hormis l'homme, non. Avec sa mâchoire démesurée et son armure sur le corps, personne ne s'attaque à lui. L'hippopotame excepté, mais l'un et l'autre préfèrent en général s'attaquer à plus faible plutôt que de se chercher des noises. • SYLVAIN LIRON Source
  13. Une tortue Luth de 200 kilos découverte à Saint-Raphaël Etrange découverte que celle faite par ce Raphaëlois, venu pêcher dans la nuit de lundi à mardi au port du Poussaï. Alors que le site est d'ordinaire si paisible, il entend du vacarme entre les bateaux. Il y a du mouvement. Inquiet, il alerte pompiers et policiers. Il s'agissait en fait, chose extrêmement rare en Méditerranée, d'une tortue Luth d'1m 40 de long pour 200 kilos qui s'était pris dans les pendilles. Il aura fallu plus d'une heure aux secours pour lui faire reprendre le large. Une aventure qu'ils ne sont pas prêts d'oublier... Source
  14. UNE VIE DE REPTILE Importés illégalement en Suisse, détenus dans la clandestinité puis abandonnés dans une déchetterie tessinoise, Pepe et Tequila sont arrivés jeudi dernier au Tropiquarium de Servion (VD). Récit du parcours de deux lézards hors du commun. Imaginez la scène: un dimanche après-midi ensoleillé, une pile de vieux papier à débarrasser, une déchetterie de commune. Là, au loin, un carton attire votre regard. Il semble bouger tout seul. On entend, dedans, comme un grattement. Vous approchez, hésitez un instant, entrouvrez le couvercle. Et, à l’intérieur, vous découvrez deux longues queues écaillées turquoise, deux paires d’yeux globuleux qui vous observent. Cette mésaventure burlesque, un habitant de Riva San Vitale (TI) l’a vécue, terrifié, le dimanche 1er avril. Depuis, le destin de ces deux reptiles captive les amis des bêtes. D’abord pris pour des serpents, les deux bestioles, un mâle et une femelle d’environ 2 ans, sont identifiés par Bruno Zala, un bénévole de la société protectrice des animaux de Bellinzone appelé à la rescousse. «Sur place, je me suis rendu compte que c’était deux iguanes verts, raconte le retraité, pour qui c’était une première. Comme on en trouve beaucoup au Mexique, je les ai baptisés Pepe et Tequila.» Embarqués dans leur carton d’origine, les deux sauriens passeront leur première semaine à la Casa Orizzonti, un refuge pour animaux maltraités du Tessin. «Celui qui les a abandonnés s’en est bien occupé» Philippe Morel, propriétaire du Tropiquarium, travaille avec son fils, Thomas, 20 ans, qui achève son CFC de gardien d’animaux en parc zoologique Au Tropiquarium de Servion, Philippe Morel reçoit alors un coup de téléphone lui demandant s’il est prêt à accueillir ces deux sans-abri, comme il le fait de plus en plus souvent pour des animaux saisis lors de contrôle douanier. «Comme aujourd’hui n’importe qui peut plus ou moins acheter n’importe quoi, ça arrive de plus en plus», déplore ce passionné, qui a récemment refusé 200 mygales, 30 serpents venimeux, une poignée de varans et deux crocodiles interceptés par les douanes. Cette fois, il a de la place et les deux bêtes sont en bonne santé: Pepe et Tequila seront donc Vaudois. Et comme le parc tropical met un point d’honneur à accueillir des animaux sauvages et non de compagnie, ces deux sauriens retrouveront l’anonymat. ESPÈCE PROTÉGÉE Mais comment ces deux reptiles se sont-ils retrouvés à vivre pareille galère? Les iguanes verts, espèce de lézards arboricoles et herbivores, font partie de la liste des animaux dont le commerce est régulé par la CITES, une convention commerciale internationale signée par plus de 130 Etats afin d’interdire, de limiter ou de contrôler le commerce international de certaines espèces de faune et de flore. Les iguanes, communs en Amérique centrale et latine, ne sont pas encore en voie d’extinction mais sont une espèce protégée. «Là-bas on les mange, et ici on les adopte comme nouveaux animaux de compagnie», résume Philippe Morel. Légalement, pour obtenir la garde d’un animal d’une espèce protégée, il faut que son futur propriétaire dispose d’une autorisation du vétérinaire cantonal. Or, au Tessin, seuls quatre permis ont été délivrés pour des iguanes. Leur propriétaire, «qui s’en était très bien occupé», concède Philippe Morel, les a probablement achetés petits et au noir. Mais il n’a plus pu assumer leur entretien. «Ces iguanes peuvent vivre près de quinze ans et mesurer jusqu’à 2 m 50. Un terrarium adapté coûte cher et prend une place folle», explique le propriétaire du Tropiquarium. Alors, trop souvent, leur maître s’en sépare, en les lâchant dans la nature. Mais le climat suisse ne laissait aucune chance à ces deux lézards du sud, qui doivent vivre dans une atmosphère humide, chaude et constante. Au Tropiquarium, ils retrouveront Marguerite, la tortue trouvée dans un coffre de voiture à la douane de Bardonnex il y a un an. Son compagnon d’infortune, Félix le caméléon, est, lui, mort à Servion il y a quelques mois. Leurs passeurs en avaient été quittes pour une amende de 500 francs. «Ce n’est pas assez dissuasif», remarque, un peu désabusé, le nouveau propriétaire de Pepe et de Tequila. Tropiquarium de Servion, route des Cullayes 7, Servion (VD). www.parc-tropical.com Source
  15. Les crapauds attaquent l'Australie Les animaux peuvent parfois devenir un problème d’environnement très sérieux dans certains écosystèmes. C’était le cas des lapins qui ont été amenés en Australie depuis l’Europe. Aujourd’hui le pays est confronté à un nouveau fléau naturel : la multiplication du nombre des crapauds agua. Actuellement, des milliers de bénévoles se battent avec l’invasion des crapauds dans le pays. L’apparition du crapaud agua en Australie remonte aux années 1930, lorsque les animaux de cette espèce ont été apportés depuis l’Europe pour la première fois dans le Queensland afin de lutter contre les insectes ravageurs. En termes d’efficacité de cette « arme biologique » dans l’agriculture, les crapauds n’ont pas montré de résultats brillants, mais ils ont beaucoup aimé le nouveau milieu, car ils n’y ont presque pas d’ennemis. En revanche, les crapauds représentent une menace pour de nombreuses espèces indigènes. Ils sont dangereux même pour des petits prédateurs, comme les martres marsupiaux. En tentant de saisir les crapauds, ces derniers s’empoisonnent avec les secrétions toxiques de la peau des crapauds. Depuis quelques temps, les crapauds sont passés à l'offensive. Ces dernières années, en grande partie en raison du changement climatique, ils ont commencé à se déplacer du Queensland vers le Sud, notamment en Nouvelle-Galles du Sud. Les scientifiques n'ont pas encore trouvé de moyen sûr et sécurisé pour aider les animaux à faire face à l’afflux de ces invités inattendus. C’est pourquoi, la campagne d’extermination des crapauds agua invite des bénévoles à participer. Et ces derniers ne manquent pas : sur Internet, on peut voir de nombreuses vidéo montrant l’attitude des Australiens envers ces amphibiens. Source
  16. Parc zoologique : la programmation pour les vacances de Pâques Voic le programme des animations prévues au parc zoologique, à l'occasion ... des vacances de Pâques. 5Exposition, peintures et photographies animalières.- Du 14 au 28 avril, une exposition artistique de Jean-Jérôme et Nadine D'Hoorne sera présente au bâtiment portuaire du parc zoologique : peintures et photographies animalières seront exposées. Exposition « Les Tortues » : du 28 avril à fin juin. Cette exposition sur les tortues sera visible au bâtiment portuaire. Les visiteurs pourront découvrir une présentation des caractéristiques de ces reptiles particuliers et un focus sur les futures espèces de tortues qui devraient arriver courant avril : deux espèces terrestres, la tortue de Hermann et la tortue grecque, et plutôt au début de l'été, deux espèces de tortues aquatiques (Cistude d'Europe et tortue de Floride). 5Ateliers pédagogiques.- Au cours de la première semaine des vacances scolaires, aucun atelier n'est programmé mais des coloriages et des jeux seront disponibles gratuitement à l'accueil du parc zoologique. 5Deuxième semaine des vacances.- Tous les après-midis, à partir de 14 h, le 30 avril et les 2, 3 et 4 mai. Un atelier pour les 3-7 ans : fabrication de puzzles. Un atelier pour les 8-12 ans : fabrication de plaques de porte. Les deux ateliers de ces vacances de Pâques auront pour thématique commune les tortues, d'abord parce qu'elles pondent des oeufs, ensuite parce que plusieurs espèces vont bientôt arriver au zoo ! Les ateliers seront constitués de groupes d'une quinzaine d'enfants (accompagnés des parents, car il s'agit d'un atelier familial) et durera environ 20 minutes. Il n'y a pas d'inscription préalable. 5De nouveaux aménagements.- De nouveaux aménagements sont achevés ou quasiment achevés au parc zoologique : -la volière des hérons, qui a été agrandie, est maintenant pénétrante : les visiteurs pourront ainsi observer les oiseaux au plus près. -la volière des aras a été entièrement refaite, pour le plus grand plaisir des visiteurs et des pensionnaires du parc zoologique. -la volière des rapaces est en plein travaux (fin prévue d'ici à trois semaines) : des panneaux de bois avec des hublots de verre permettront une meilleure observation de ces oiseaux (qui se sentiront plus à l'abri et manifesteront donc des comportements plus naturels), et pour le visiteur, une observation plus agréable. C'est également l'occasion d'agrandir l'espace dévolu aux rapaces pour accueillir les harfangs des neiges, un couple de cette espèce étant attendue pour juin. Enfin, la saison sera plutôt propice aux naissances. Aussi, le parc zoologique invite les visiteurs à venir parcourir les allées du parc pour découvrir ses nouveau-nés, ainsi que les animations journalières proposées par toute l'équipe du parc zoologique Fort-Mardyck - Dunkerque Grand Littoral. • Parc zoologique Fort Mardyck - Dunkerque Grand Littoral, rue des Droits-de-l'Homme, 59430 Fort-Mardyck ; Tél : 03 28 28 26 24 ; www.parc-zoologique.fr. Horaires d'ouverture : tous les jours, de 10 h à 17 h. Tarif : 4 E réduit, 2 E. Source
  17. Zoom sur les amphibiens ce soir à Touvérac Le conservatoire régional d'espaces naturels propose de partir ce soir à la rencontre des amphibiens Sur le site des Carrières qui jouit d'une grande richesse biologique. Ces zones humides des Carrières de Touvérac resteront toujours des milieux essentiels pour la flore et la faune aquatiques et semi-aquatiques», constate le directeur de «Charente Nature», Pierre Fantin, tout en observant quelques têtards nageant dans une petite marre sur la rive de l'étang de la Charbonnière. Membre du conseil scientifique et technique du Conservatoire régional des espaces naturels (Cren) du Poitou-Charentes, il s'est rendu sur le site en compagnie de Sébastien Fournier, chargé de mission territorial pour le même conservatoire. Or, le site en question accueille aujourd'hui vendredi une sortie nature gratuite sur le thème «rencontre avec les amphibiens» dans le cadre de l'opération «Fréquence grenouille». «Il s'agit d'une opération nationale créée voilà dix-huit ans par le réseau des Cren, à laquelle se sont associées les réserves naturelles de France, indique Sébastien Fournier, Son but, chaque année au printemps: sensibiliser la population à la nécessité de préserver ces zones humides qui se font de plus en plus rares. Avec elles disparaissent de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les emblématiques amphibiens.» Grenouilles, tritons, crapauds et salamandres Le site des Carrières de Touvérac, ancienne zone d'extraction d'argile située au sud-ouest de la Charente, présente ainsi sur ses 40 hectares de superficie un intérêt paysager et écologique unique. Le propriétaire carrier «AGS» en a confié depuis 1996 la gestion au Cren du Poitou-Charentes. La soirée va permettre de mettre un coup de projecteur sur l'étonnante population des amphibiens, souvent méconnue, qui fréquente ces lieux: rainette méridionale, grenouille agile, belle diversité de tritons, crapauds et autre salamandres. «Une première partie qui se déroulera à la salle des fêtes de Touvérac permettra à Carole Violon, chargée de mission territoriale du Cren, de présenter cette faune menacée, sa biologie, les légendes qui s'y attachent, son rôle important d'indicateur de biodiversité» explique Pierre Fantin. Puis, encadrée par deux animateurs de «Charente Nature» en renfort, suivra une sortie nocturne d'une bonne heure qui permettra de découvrir le site des Carrières à un moment inhabituel. Il faut prévoir lampe, bottes et vêtements de pluie chauds. Ce soir à 20h30. Rendez-vous à la salle des fêtes de Touvérac. Contact au 05 16 09 60 34 Source
  18. Un alligator pénétre dans un hôtel et y sème une véritable panique Les résidents de l’hôtel Super 8 n’oublieront pas de sitôt leur mésaventure d’hier. L’incident s’est déroulé à Port Allen, en Louisiane, aux Etats-unis. Un alligator a semé une véritable panique en s’invitant dans cet hôtel américain, dans l’après-midi. Le réceptionniste de l’établissement, Matt Marszal a immédiatement prévenu les responsables et les agents de sécurité lorsqu’il a aperçu l’animal pénétrer dans l’hôtel. Un client de l’établissement, témoin des faits, s’est montré courageux en tentant d’immobiliser l’alligator. La bête s’est débattue et a attaqué le courageux homme qu’il a blessé. Le client a été sauvé de justesse par les agents de sécurité qui l’ont, par la suite, transporté à l’hôpital. Heureusement que ses jours ne sont pas en danger. La brigade d’intervention spéciale est néanmoins parvenue à capturer l’alligator en moins de quelques minutes. Une délivrance pour les clients et les employés de l’hôtel qui ont poussé un ouf de soulagement après avoir été débarrassés de la bête. Source
  19. En avril, attardez-vous sur le crapaud commun ! n avril, attardez-vous sur le crapaud commun ! Dans les mares, sous les feuilles mortes ou au bord des chemins, repérez cet amphibien lors de vos balades en forêt ! C’est sa période de reproduction jusqu’à la fin du mois d'avril. Le Crapaud commun se distingue du Crapaud calamite et du Crapaud vert par ses yeux cuivrés et veinés d'or, ainsi que par l’aspect uniforme de sa peau de couleur marron foncé/vert. Il est principalement nocturne, mais vous le trouverez facilement en fin de journée près des points d'eau tout au long du printemps. En été, on l’observe particulièrement après la pluie dans les sous-bois. On le trouve dans toute la France, excepté la Corse. N'hésitez pas à prendre des photos des spécimens que vous observerez et à nous faire partager vos plus beaux clichés. Source
  20. A la découverte des mares et de leur population Du plus petit insecte au plus gros amphibien, les mares représentent un écosystème remarquable que proposait de découvrir la sortie nature organisée dimanche matin par le Syndicat mixte du Pays de Thiérache et Julie Bauduin, chargée de mission. Guidés par Guénaël Hallart, du Centre permanent d'initiatives pour l'environnement de Merlieux, une trentaine de curieux ou amoureux de la nature sont allés à la recherche de crapauds, grenouilles, salamandres et autres amphibiens à observer. Cette balade dans le bocage les a conduits à la découverte de l'abreuvoir communal d'Autreppes, ainsi que d'une mare de prairie au bord de laquelle Jacques Van Alphen, professeur néerlandais spécialiste de la biodiversité thiérachienne, a pu approfondir le sujet avec la passion qui le caractérise. Cette sortie était la deuxième d'une série de onze prévues en 2012 et organisées avec le concours du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER). Elles seront réparties sur tout le territoire, pour être accessibles à un maximum de personnes. La prochaine aura pour thème « les insectes pollinisateurs et l'apiculture ». Ce sera le dimanche 29 avril, et le rendez-vous est fixé à 9 h 30, à la mairie de Saint-Martin-Rivière. Renseignements au 03-23- 98-02-71 . Source
  21. Découvrez le monde des grenouilles, ce soir à Haubourdin | PROMENADE | Ce soir, à la tombée du jour, les écogardes de l'Espace naturel Lille Métropole mèneront ... les passionnés de nature au bord de l'étang de la Canteraine. Au son des croassements ambiants et à la lueur des lampes de poche, ils partiront à la découverte des grenouilles, crapauds, tritons et autres petites bêtes aquatiques. Cette promenade instructive est organisée dans le cadre de Fréquence Grenouille, la 18e campagne nationale pour la préservation des zones humides. Depuis le mois de mars et jusqu'à fin avril, c'est la fête à la grenouille sur les territoires de l'Espace naturel Lille Métropole. Pour cette « spéciale nocturne », plongés dans l'obscurité et équipés de lampes de poche, les participants exploreront un autre monde : celui où les crapauds communs, les grenouilles rousses et les tritons alpestres sont rois. Quels sont leurs différents modes et cycles de vie, quel est leur milieu naturel ? Des questions auxquelles les écogardes de l'ENLM apporteront des réponses. Un réveil aux frontières du réel. • Rendez-vous ce soir, à 20 h 30, aux étangs de la Canteraine. Durée : 2 h. Prévoir une lampe de poche, si possible, et des vêtements adaptés. Sortie gratuite et ouverte à tous. Tél : 03 20 63 11 24. Source
  22. Un parc animalier accueille trois alligators albinos Lors d'une conférence de presse, le parc animalier Alligator Bay situé dans la Manche a présenté trois nouveaux pensionnaires : des alligators albinos achetés l'an dernier en Espagne. Une queue, quatre pattes, une puissante mâchoire mais une peau d'une immaculée blancheur : c'est un trio de pensionnaires rares qu'a accueilli il y a quelques jours le parc animalier Alligator Bay à Beauvoir dans la Manche. Ces trois nouveaux reptiles ne sont autres que des alligators albinos, deux femelles et un mâle achetés l'année précédente en Espagne. Âgés respectivement de sept et six ans, ils sont nés en Louisiane aux Etats-Unis et mesurent aujourd'hui entre 1,20 et 1,50 mètre. Si leur taille et leur museau denté peut impressionner, c'est néanmoins leurs peau ivoire et leur yeux décolorés qui attirent l'attention parmi les quelque 200 reptiles que comptent le parc. Des caractéristiques qui attirent le regard mais qui menacent surtout grandement les animaux. En effet, comme l'a expliqué le directeur du parc, Jean-Pierre Macé, ces spécimens sont rares : il n'en existe qu'une trentaine dans le monde et ceux-ci ne peuvent survivre à l'état sauvage. Alors que ces reptiles ont un besoin vital de s'exposer au soleil pour réguler leur température corporelle, la dépigmentation les expose à un risque de graves brûlures. Cette couleur qui tranche avec l'environnement qui les entoure les empêche également de se cacher efficacement et les rend donc plus vulnérables. Ajouté à cela, ils souffrent aussi d'une mauvaise vue, d'où leur difficulté à survivre dans la nature. En 2005 en Louisiane, le cyclone Katrina a détruit le nid d'un couple reproducteur. "Les chances d'obtenir des albinos ne résident plus que dans l'élevage et la reproduction des animaux détenus en captivité", a estimé Jean-Pierre Macé qui affirme être "le seul à posséder un couple reproducteur en France". Cité par France Soir, ce dernier garde ainsi bon espoir de voir naitre d'ici trois ans de petits alligators. Aujourd'hui, les trois nouveaux pensionnaires ont été introduits dans un enclos spécial depuis lequel ils peuvent se mettre à l'abri du soleil tout en conservant une certaine température corporelle grâce à un sol chauffant. Si les soigneurs du parc en prennent donc grand soin, ceux-ci précisent tout de même que les reptiles n'"ont rien de plus gentil que les autres" installés dans les 2.500 mètres carrés du parc qui compte également des lézards, des serpents et des tortues géantes. Source
  23. Un braconnier surpris avec 8.000 oeufs de tortue marine La police du Suriname a attrapé un chauffeur de bus qui transportait pas moins de 8.000 oeufs de tortue marine alors que l'espèce en considérée comme en danger d'extinction. Les oeufs de tortue verte ont été confisqués, l'homme a été mis derrière les barreaux et une enquête tente désormais de déterminer qui se cache derrière la compagnie "Kraps", qui aurait passé commande plusieurs fois auprès du chauffeur. Les oeufs volés étaient destinés à la consommation. Au Suriname, le trafic des tortues vertes est en pleine expansion alors que l'espèce est considérée comme en danger de disparition. Fin février, la police avait déjà mis la main sur 5.000 oeufs. La tortue verte est la plus sensible aux dérangements durant sa ponte, qui a lieu tous les 3 ans de février et juin. La femelle revient pondre sur la plage entre 3 et 5 fois au cours de la saison. En moyenne, chaque nid comprend 120 oeufs, mais rares sont les petits qui parviennent à l'âge adulte. Source
  24. Jolies photos! J'ai entendu les premières grenouilles par ici seulement qu'hier!
×
×
  • Créer...