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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Le Reptile show fascine Le Mille-club a accueilli un large public venu souvent en famille, pour assister à la représentation donnée par Uschi et Dieter. Depuis 30 ans qu'il parcourt l'Europe, ce couple a l'habitude des salles pleines et c'est avec tact et savoir-faire qu'il aide le public à surmonter la peur, parfois même la phobie qu'inspirent les serpents et certains insectes. Les spectateurs ont découvert, tour à tour, le scorpion géant, la mygale et des serpents (dont rien que le nom donne la chair de poule : vipère, python, boas) que petits et grands ont pu toucher. Mais tout le monde a retenu sa respiration quand le python, de 45 kg pour 6 m de long, est apparu dans les bras de Dieter. Quelques spectateurs garderont un souvenir impérissable de cet instant où, parfois, devant s'y mettre à plusieurs, ils ont soulevé cet énorme reptile pour lui donner une petite caresse. Et puis pour clôturer le spectacle, Bongo le caïman est venu faire sa petite promenade au milieu d'un public conquis par ces animaux. Source
  2. Un serpent géant venimeux découvert dans un bungalow du Camp Liberty Camp Liberty-communiqué no. 22 CNRI - Le dimanche 8 avril dans la soirée, les résidents d’un bungalow situé dans le complexe résidentiel no. 2 du Camp Liberty découvraient un énorme serpent venimeux long de plus de 2.5 mètres. La découverte de ce serpent géant, qui apparemment a pu pénétrer le bungalow par la voie des orifices dans le plancher, a suscité l’inquiétude des résidents. Le 28 février dernier la présence d’autres serpents venimeux avaient été signalés dans le camp. La pollution de l’enceinte du camp, la vétusté des bungalows et le manque des moyens pour désinfecter les lieux à l’approche de la saison de la chaleur, contribuent à augmenter les risques présentés par les insectes et autres bestioles dangereux dans ce camp. Le gouvernement irakien, en violation du mémorandum d’accord signé avec les Nations Unies, empêche toute opération de la reconstruction, voire la réparation et la remise en état des bungalows qui sont devenus vétustes au fil du temps. Ce gouvernement empêche également l’entrée dans le camp des produits nécessaires pour désinfecter et assainir les installations, qui sont une nécessité absolue dans un pays comme l’Irak. La Résistance iranienne attire l’attention de la communauté internationale sur le blocus inhumain imposé au Camp Liberty, l’absence des normes sanitaires et l’empêchement de toute reconstruction ou la remise en état minimales dans ce camp, et appelle les Nations Unies et les Etats-Unis à intervenir d’urgence pour mettre fin à ces restrictions. Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne Le 9 avril 2012 Source
  3. J'ai séparé le sujet de la fiche. Très belle acquisition! C'est un mâle?
  4. Effectivement, quand on sait comment. J'aime mieux me dire que la personne ne le savait pas plutôt que de me dire que c'est volontairement.
  5. J'ai tenté de prendre des meilleures photos pour montrer la taille avec la queue!
  6. On ne sait pas l'âge. L'animalerie se l'est fait donner par un client qui ne pouvait rien dire sur l'animal. Je pense le trainer dans les expos pour expliquer son histoire et les conséquences.
  7. Pour donner des nouvelles de la bête, il a encore son petit caractère. Il mange très bien par contre, et ce, même du mort. Voici la preuve.
  8. Non, ça ne reviendra jamais. Il veut chasser par contre. On s'entend qu'il est assez limité pareil. Je dois lui donner des vers et pour les grillons, idéalement à la pince.
  9. Voici un petit update photo! Le petit grandit et grossit!
  10. Je ne vous l'avais pas encore montré mais il y a quelques semaines, l'animalerie avec qui je fais affaire, m'a donné un gecko léopard. Il venait de le recevoir mais regardez bien l'état de l'animal. Quand on dit que c'est important de donner du calcium, des vitamines, etc... Regardez bien ses pattes et ses os au pauvre petit. Vous allez voir les ravages que de mal s'occuper de notre animal peut causer.
  11. Campagne de prévention contre les piqûres de scorpion La Direction de la santé et de la population (DSP) de la wilaya de Ouargla programme très prochainement une campagne de prévention et d’éradication comme étant la forme «la plus efficace» de lutte contre les piqûres de scorpion, devenu un vrai problème de santé publique dans les wilayas du sud algérien. «La prévention, c’est essentiellement la sensibilisation des populations contre le danger que constituent les détritus de maçonnerie, les amas de pierres ou d’ordures ménagères qui offrent aux scorpions des gîtes, proches ou à l’intérieur des habitations», a déclaré le DSP de Ouargla, Imadedine Mouad.Parallèlement aux mesures de nettoyage des cités et quartiers ainsi préconisées, la DSP se propose de prendre part, comme lors des années précédentes, à la vaste campagne de ramassage du dangereux arachnide à travers toutes les localités du sud algérien, a-t-on indiqué. «Les associations de jeunes et les particuliers qui participent à la collecte sont rémunérés à raison de 50 DA pour chaque insecte adulte ramassé, et ce, grâce à une cagnotte d’un million de dinars mise à la disposition de chaque wilaya concernée», a encore souligné le DSP. Le produit de la collecte est envoyé à l’Institut Pasteur d’Alger pour la préparation du sérum anti-venin, l’excédent étant incinéré. «Cette éradication physique diminue réellement l’incidence des piqûres», a estimé M. Mouad, qui déconseille l’utilisation des pesticides du type DDT et autres insecticides, au regard des effets secondaires dangereux de ces produits pour la santé, notamment des enfants en bas âge. La domestication des prédateurs du scorpion s’avère également être une mesure efficace contre la prolifération de l’arachnide à l’intérieur des domiciles, a-t-on encore appris. Les prédateurs naturels du scorpion sont le fennec, le hérisson, le chat, la dinde et le poulet. La généralisation de l’éclairage public et le revêtement de murs en faïence constituent également des mesures dissuasives, car le scorpion dépourvu de paupières évolue dans l’obscurité et a besoin de reliefs rugueux pour grimper le long des murs, a-t-on ajouté. Sur le plan des mesures curatives, le DSP indique qu’à côté des hôpitaux, dispensaires et centres de santé, il existe dans les régions isolées (telles que Sidi Khouiled et N’goussa) des unités légères d’urgence où, dès le mois de mai, des infirmiers de garde administrent le sérum anti-venin aux victimes de piqûres avant de les évacuer vers le point médicalisé le plus proche, où ils sont placés en observation durant 6 heures. Pour un meilleur pronostic, la victime doit être prise en charge le plus tôt possible dans les trois heures qui suivent la piqûre. Les personnes les plus vulnérables aux piqûres de scorpions restent les enfants et les personnes âgées souffrant de différentes maladies (diabètes, hypertension, etc.). Parmi les 30 000 familles de scorpions recensées, les espèces du Sahara appartiennent aux plus dangereuses. Il s’agit essentiellement de l’Androctonus australis et l’Androctonus mauretanicus, dont le venin très puissant s’attaque en quelques secondes au système nerveux central. Durant l’année 2011, la wilaya d’Ouargla a enregistré 10 décès sur 3000 personnes envenimées. Source
  12. Brachypelma boehmei est une espèce d'araignées mygalomorphes de la famille desTheraphosidae. Elle a été décrite seulement qu’en 1993. Elle est aussi connue comme la mygale à pattes de feu mexicaine, ou la mygales à pattes rouillées mexicaine. Comme pour les autres espèces de Brachypelma de la côte ouest Mexicaine, cette espèce fait un animal de compagnie populaire en raison de sa docilité et de ses couleurs vives. Le commerce d’animaux illégaux, ainsi que la destruction continue de l’habitat naturel et son taux élevé de mortalité avant la maturité sexuelle, sont des sources de préoccupations considérables pour l’avenir de cette mygale. Pour régler le problème d’échanges commerciaux aux travers de leur frontière, cette espèce a été inscrite à l’annexe II de la convention sur le commerce international des espèces menacées d’extinction (CITES) la décision n°338/97 du Conseil de l'Europe. Au Mexique, il existe des permis pour le droit de collecter ou supprimer toutes les araignées de la famille des mygales. La mygale mexicaine à pattes de feu est maintenant fréquemment élevée en captivité, ce qui réduit la nécessité de les collecter dans la nature. Si vous maintenez des mygales comme un hobby, il est toujours préférable de se rappeler que des Brachypelma boehmei et de nombreuses autres mygales sont des espèces en voie de disparition. Il est conseillé de garder que des spécimens nés en captivité plutôt que des mygales capturés dans la nature. C'est une espèce terrestre étroitement liée à Brachypelma smithi et à la Brachypelma emilia. Elle a un thorax de couleur claire et un abdomen brun sombre. Les fémurs noirs (ou cuisses) sont noirs jusqu'au deuxième segment de ses pattes qui est rouge ou orange, contrairement aux jointures orangées des Brachypelma smithi. On peut constaté une décoloration progressive vers un orange plus pâle dirigée vers les tarses (ou pieds) qui sont noirs. Le céphalothorax est rouge orange bordé d'un liseré beige. Un masque brun noir part de la fovéa pour former un triangle qui recouvre le groupe oculaire. Après la mue, les couleurs sont plus prononcées. Une femelle adulte peut avoir une envergure de plus de 15 cm, et pèse environ une quinzaine de grammes. Les mâles étant un peu plus petits, atteignant 12-13 cm. Elle a une croissance lente, et, comme beaucoup de mygales, les femelles peuvent vivre pendant des décennies. Les mygales de ce genre vivent durant de longues années. Les mâles atteignent la maturité vers 7 ou 8 ans, les femelles vers 9 ou 10 ans. Les mâles peuvent vivre jusqu’à un an après leur dernière mue, les femelles ont, quant à elle, encore une dizaine d’années devant elle. Cette espèce est endémique du Mexique le long de la côte centrale du Pacifique de l’état du Michoacanà jusqu’à l’ouest de l’état de Guerrero. On la trouve dans des terriers, soit creusé par des rongeurs qui les ont ensuite abandonnés, ou des terriers de lézards, mais généralement sous des troncs d’arbres tombés sur le sol. C'est une espèce docile, peut-être plus encore que Brachypelma smithi. Par contre, cette Brachypelma peut est nerveuse, parfois vraiment agressive. Comme beaucoup de mygales américaines, elle a aussi une fâcheuse tendance à 'bombarder' à la moindre alerte. Ses soies ne sont pas trop urticantes, comparées à certaines autres espèces, mais il faut se méfier en cas de projection sur le visage et les yeux ou sur les peaux tendres du cou, poignets etc... Ceci, en plus de sa coloration et de sa taille impressionnante. Elle nécessite les mêmes soins que les autres mygales terrestres vivant en milieu sec, telles que Brachypelma smithi ou Grammostola rosea. Ces mygales préfèrent un climat semi-humide. C’est une espèce terrestre à tendance fouisseuse. La mygale mexicaine à pattes de feu à tendance à être active après l’obscurité ou encore au crépuscule. Pour ce qui est du terrarium, un de 30X30 sera bien suffisant. Cette mygale tolère bien des écarts d’hygrométrie. L’hygrométrie idéale sera autour de 60%. Elle préfère une température plus élevée que d’autres espèces de mygales, autour de 25 à 27°C le jour, 20°C à 22°C la nuit. Le substrat idéal sera le plantation soil ou encore une tourbe légèrement humidifiée. Vous pourrez placer un bout de liège comme abri. La Brachypelma boehmei se montre beaucoup et tisse très peu si ce n'est pour les grandes occasions (mues, cocons, reproduction). L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. Un bol d’eau sera nécessaire pour permettre à l’araignée de boire et aussi garder un taux d’humidité dans le terrarium. En captivité, les adultes Brachypelma boehmei se nourrissent habituellement de grillons, vers de farines, vers de farines géants, de blattes du genre Dubia, mais peuvent aussi manger des petits lézards et mêmes des bébés rongeurs (pinkies) qui sont des proies un peu grosses pour l’appétit de l’animal. Les juvéniles peuvent manger habituellement des vers de farines pré-tués, des micro-grillons, de petites blattes du genre Dubia de taille adapté, de mouches à fruits et tous autres petits insectes qui ne sont pas trop défensifs. Photo emprunté sur le site http://fr.wikipedia.org Les sub-adultes et les adultes muent à la fin de la saison sèche (Novembre à Juin), après quoi, les mâles commencent leur recherches de femelles reproductrices. Il faut bien nourrir la femelle avant l’accouplement. Elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. Il faut bien surveiller l’accouplement. La ponte survient 3 à 7 mois après l’accouplement. L’incubation des œufs dure de 8 à 13 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. En général, il y a de 300 à 400 mygalons, parfois jusqu'à 700. La croissance des jeunes est assez lente, compter 3 à 4 ans pour obtenir un mâle adulte, une année supplémentaire dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme.
  13. Betty White adopte un crocodile Elton John a reçu un cadeau un peu inhabituel pour ses 65 ans. L'actrice Betty White a adopté un crocodile pour lui. Le chanteur a fêté son anniversaire le 25 mars dernier, et, pour souligner son soutien constant à la cause animale, l'actrice lui a offert un cadeau bien spécial. Dans un communiqué, elle a confié: «Elton a été un avocat merveilleux pour la cause animale et pour la vie sauvage, donc nous avons décidé de l'honorer en adoptant un crocodile pour lui.» Le reptile vivra au zoo de Los Angeles. Source
  14. Une vipère dans un taxi Une jeune fille, la vingtaine, transportait le reptile dans son sac à main. La frayeur qui a envahi le taxi à bord duquel la jeune fille a prit place ce matin du 4 Avril était digne des scènes de films d'horreur. Embarquée au quartier Biyem-Assi pour le lieu dit « carrefour Emia » au quartier Ngoa-Ekelle à Yaoundé, la jeune dame, tirée à quatre épingles, a prit place à la banquette arrière. Chemin faisant, elle va sortir son animal qu'elle va commencer à nourrir au yaourt. C'est la débandade. Le chauffeur va stopper net son véhicule en pleine chaussée et va prendre ses jambes à son coup, en même temps que les autres passagers. Interpellée par les agents de police en charge de la circulation à « Total Melen ». Conduite au poste de police, l'animal va s'avéré inoffensif aux dernières nouvelles. Source
  15. Découverte d’une nouvelle espèce de crabe terrestre... bleue Publiée dans Raffles Bulletin of Zoology, la description d’une nouvelle espèce de crabe, de couleur bleue, sur l’île Christmas, en Australie, confirme cette dernière comme terre privilégiée pour ces crustacés. L’île Christmas, dans l’Océan Indien, au large de l’Australie, est déjà connue pour ses spectaculaires migrations annuelles d'environ 44 millions de crabes terrestres rouges (Gecarcoidea natalis), la plus remarquable des 14 espèces de crabes terrestres vivant sur cette île. Un nouveau venu vient désormais s’ajouter à ce patrimoine naturel : Discoplax celeste, un autre crabe terrestre, tout bleu, celui-ci. Il vient d’être décrit en tant que nouvelle espèce par une équipe internationale de biologistes dirigée par le docteur Peter Ng, de l'Université nationale de Singapour, et le Dr Peter Davie, du Musée du Queensland. Déjà connus, ces crustacés bleus étaient jusqu’à présent considérés comme une simple variété d’une espèce déjà décrite et largement répandue, Discoplax hirtipes. "Le crabe bleu est moins abondant que le crabe rouge terrestre et a des habitudes plus aquatiques. Il est donc limité à des parties de l'île où il y a de l'eau douce de surface. Il a également souffert plus directement des activités humaines, et en particulier a été largement exploité par les populations locales pour l'alimentation durant les années 1950. En conséquence, il a été entièrement protégé depuis 1980", ont expliqué les auteurs de l’étude cités par Sci-news. Source
  16. Une espèce très rare de grenouille redécouverte en Afrique Plus de soixante ans après avoir avoir été observée pour la dernière fois, une espèce très rare de grenouille a été redécouverte en Afrique, au Burundi. Le petit animal, qui ne mesure pas plus de 3 centimètres, se caractérise par les très longs doigts dont est doté le mâle. Des chercheurs américains ont redécouvert une espèce "perdue" africaine : la grenouille Cardioglossa cyaneospila. Observé dans le sud-ouest du Burundi, le tout petit amphibien noir et gris-bleu, dont la taille ne dépasse pas trois centimètres de long, n'avait pas été vu depuis 63 ans. C'est lors d'une enquête sur la biodiversité du petit pays d'Afrique de l'est et son évolution, menée en décembre dernier dans la réserve forestière de Bururi, que la grenouille a été découverte. "J'étais avec mon bâton en train de repousser un peu de végétation, et là, assis sur un rondin, j'ai vu cet animal qui n'avait pas été vu depuis 1949. C'était un grand moment" raconte le Pr David Blackburn, herpétologiste de l'Académie des Sciences de Californie et de l'Université du Texas cité par le National Geographic. Les scientifiques ont pu capturer un spécimen mâle de la grenouille Cardioglossa cyaneospila, qui, comme tous les autres mâles de l'espèce est doté d'un très long doigt sur chaque main et chaque pied. Mais les chercheurs savent très peu de choses au sujet de cet amphibien. Ils ignorent à combien de spécimens s'élève sa population. "J'ai entendu plusieurs appels au cours des nuits suivantes, ce qui indique la présence d'une population saine de l'espèce, mais je n'ai pu trouver que ce seul spécimen" explique David Blackburn. Les scientifiques savent en revanche que l'espèce très rare est menacée par la population grandissante du Burundi, qui se déplace dans les montagnes, se nourrit de la faune, et réduit les grandes forêts pour le bois de chauffage. Source
  17. Orchidées et grenouilles à l'honneur Le conservatoire régional des espaces naturels de Poitou-Charentes organise une double sortie nature dans le Sud-Charente. La première a lieu de nuit ce vendredi 13 avril à la découverte des amphibiens des étangs du site des carrières de Touvérac. Ce lieu très particulier abrite des espèces rares comme la rainette méridionale ou la grenouille agile. Une projection est prévue en salle avant une sortie sur le site en soirée. Rendez-vous donc ce vendredi à 20h30 à la salle des fêtes de Touvérac. Le lendemain, une visite est proposée sur le coteau de Maumont dans la commune de Juignac. Les participants découvriront des espèces d'orchidées présentes sur les pelouses et en lisière du site: l'ophrys jaune, protégé au niveau régional, l'orchis pyramidal, le céphalanthère à longues feuilles, etc. Le rendez-vous est fixé à 14h devant l'abbaye de Maumont. Source
  18. Grammostola rosea, la mygale rose du Chili, est une espèce d'araignées mygalomorphes de la famille des Theraphosidae. Elle est aussi appelée mygale Rosy ou « araña pollito » au Chili. Cette mygale est souvent conseillée au débutant en raison de sa facilité d’élevage, sa relative placidité. Mais attention, il faut savoir que cette espèce est changeante, et qu’elle peut parfois être agressive. La femelle pouvant mesurer une envergure de 13 à 14 cm, et son caractère étant très variable, il convient donc de se méfier ! C'est l'une des premières mygales qui a été élevée en captivité, elle est présente dans la plupart des films où il y a des araignées et elle est fortement conseillée aux débutants. C'est l'espèce de mygale la plus commune en captivité, ce qui n'en fait pas moins une espèce extrêmement intéressante. Elle peut vivre 20 ans, bombarde rarement mais montre parfois ses crochets en signe de protestation ! Mais elle est facile à maintenir, a très bon appétit, résiste même a des conditions plus ou moins extrêmes, et se reproduit facilement : on peut donc la conseiller, avec le bémol rappelé ci-dessus, au débutant. C'est une araignée d'aspect trapu, velue, atteignant les 12 à 14 cm avec les pattes ou 8 cm sans. Le mâle est plus petit. Cette taille maximale correspond aux femelles qui peuvent vivre plus d'une quinzaine d'années (voire une trentaine). Les mâles quant à eux ne vivent guère au-delà de leur maturité sexuelle, soit entre 3 et 5 ans. Sa robe est faite de longue soie duveteuse allant du brun au roux et de beau reflet rose. Il est à noter que la couleur d'une mygale Rose du Chili peut changer avec l'âge (lors de ses mues). La forme rousse peu ce montrer légèrement plus agressive, ce qui vous inspirera le respect. Elle a une longévité pouvant atteindre 20 ans pour une femelle. Cette mygale a une croissance lente : une femelle sera adulte à l'âge de 5 à 6 ans. La toxicité du venin lors de la morsure se situe à 1-2 sur une échelle de 5. La mue d'une mygale est une importante étape de sa croissance. Attention cette mygale a une croissance lente, ce qui fait que la plus part d´entre elle sont capturée dans leur environnement naturel. Assurer vous que votre animale soit né en captivité. Plus est elle jeune, plus sa croissance est rapide et donc plus elle entrera en période de mue fréquemment. C'est un phénomène naturel qui peut cependant être inquiétant pour un nouvel éleveur qui ne s'y attend pas. C'est d'abord une période où la mygale cesse de se nourrir. Elle limite ses déplacements. La mygale rose du Chili se place généralement sur le dos pour muer. Elle peut rester immobile pendant plusieurs heures précédant la mue. La mue peut également être assez longue mais elle est très intéressante à observer entièrement au moins une fois. C'est très important de ne pas toucher une mygale en train de muer. Il est également important de retirer toute nourriture de son terrarium car elle devient très fragile et les grillons pourraient la blesser gravement. Un bon niveau d'humidité est aussi important lors de la mue. Lorsque la mue sera terminée, vous pourrez retirer l'exuvie (ancienne peau de la mygale) du terrarium et la conserver si vous le désirez (la passer a la laque). Attendez au moins quatre jours après la mue pour nourrir à nouveau votre mygale, le temps que sa nouvelle peau durcisse. Elle ne représente pas un danger pour l'homme. Il peut arriver qu'une mygale rose du Chili morde si elle craint pour sa sécurité mais sa morsure (et non piqûre) n'est pas dangereuse sauf quelques cas dans le monde où certaines personnes font un choc anaphylactique et meurent (risque allergique). Cependant, la douleur qu'elle inflige est fréquemment comparée à celle d'une piqûre de guêpe. Il peut également arriver qu'une mygale rose du Chili bombarde de poils urticants, qu'elle enlèvera de son abdomen grâce à ses pattes, si elle est incommodée. Dans une telle situation, il est important de laisser se reposer la mygale et de ne pas se gratter, ce qui aurait pour seul effet d'enfoncer les poils dans la peau. Les démangeaisons passent alors relativement rapidement. C´est une mygale qui ce montre facilement, elle ne tisse que rarement sauf en cas de mue ou de reproduction. Ce qu’il faut éviter est d’acheter un spécimen déshydraté. On peut le remarquer facilement en regardant l’abdomen. Si celui-ci est comme un raisin sec, et bien l’animal est sur le point de mourir. Le manque de poils sur l’abdomen n’est pas un problème, le tout sera régénéré à la prochaine mue. Même chose pour une patte manquante. Parfois, ça peut vous permettre de négocier un prix à la baisse! Mais la patte va repousser à la prochaine mue. Si le spécimen est adulte, ce sera une petite patte et ce sera visible, mais au fil des mues, la patte reprendra un peu de volume. Ce qu’il faut éviter sont les blessures avec un écoulement d’hémolymphe, il est fort probable que l’animal ne s‘en remette pas. Ne pas prendre un animal qui aurait des décharges blanchâtres autour des crochets à venin, c’est signe d’une infection aux nématodes. Évidement, éviter les spécimens parasités par des mites, mais c’est très rare chez cette espèce. Cette espèce se rencontre au Chili, en Argentine et en Bolivie. Elle vit au sol, même si elle grimpe à l'occasion, dans des milieux relativement humides (hygrométrie de 50 à 70 %) où la température varie entre 20 et 30 °C. Si elle est si répandue, c'est grâce à sa docilité. C'est une mygale agréable à manipuler pour ceux qui s'y prennent avec soin. La mygale rose du Chili est une excellente "première mygale". Il est préférable de ne pas manipuler sa mygale de façon trop fréquente. Beaucoup de gens sont portés à flatter l'abdomen d'une mygale, c'est-à-dire à la traiter comme un chien. La mygale rosy est très docile mais elle n'apprécie pas particulièrement les caresses, qui vont d'ailleurs plus souvent qu'autre chose la stresser et la rendre plus agressive et causer une morsure. Elle est l'objet d'un commerce important en raison de l'intérêt que lui portent les terrariophiles et elle est donc relativement facile à trouver en animalerie. C'est une mygale terrestre qui, toutefois, n'hésite pas à grimper sur les vitres de son terrarium. Il est donc primordial d'avoir un terrarium aéré mais fermé. Un terrarium de 30 x 30 x 30 sera suffisant pour cette espèce. Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 60-70%, cette espèce résistant à des écart d’hygrométrie importants. Il lui faudra néanmoins un réservoir d’eau. Pour les températures, 20-22°C la nuit et 25-26°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit. L´éclairage naturel d´une pièce lui sera suffisant. Dans son terrarium, elle apprécie beaucoup les cachettes. On lui offrira aussi une cachette avec un liège recourbé ou un demi pot en terre cuite. Il lui faut évidemment un point d'eau pour s'abreuver. Pour l’entretien, rien de très compliquer, il suffiras de retiré les reste de repas avec une pince, nettoyé les déjections régulièrement, (sur le substrat avec une cuillère, sur les vitre une lame de rasoir rempliras a merveille ce rôle.) Changé l´eau de son abreuvoir tout les deux jours en le faisant débordé légèrement sur le substrat pour gérer votre hygrométrie. C'est une mygale insectivore qui a assez bon appétit. Elle se nourrit de plusieurs grillons par semaine, sauf lors de sa période de mue. On peut également lui donner des vers de farine. Il est extrêmement important de ne pas laisser les grillons non dévorés s'accumuler dans le terrarium. Peu importe la taille de la mygale, ils peuvent la blesser sérieusement s'ils sont nombreux. Il est également important de bien nourrir les insectes qui serviront de proies car leurs vitamines seront absorbées par l'araignée. Les mygalons seront nourris de micro grillons. Une Grammostola rosea bien nourrie peut arrêter de manger pendant six mois, un an et plus sans problème! Donc il ne faut pas s’inquiéter, il suffit de s’assurer qu’elle ne perde pas de poids au niveau de l’abdomen. Une Grammostola rosea moins nourrie n’aura pas un abdomen aussi distendu, donc moins de risques de blessures fatales si il y a une chute. Donc c’est une autre avantage non négligeable compte tenu que beaucoup de gens veulent les manipuler. Alors voici ce qui est typique. Le terrariophile est fasciné par le fait de nourrir son animal, ce qui est normal. Donc, il nourrit sa mygale le plus souvent possible. Ce n’est pas une mauvaise chose en soit, avec peu d’impact sur la santé de l’animal lui même. Mais ce qui arrive est que l’animal mange sans arrêt et accumule des réserves incroyables de nutriments. Le résultat, l’animal arrête de manger et tombe en pré-mue.... pendant TRÈS longtemps (en particulier pour un spécimen adulte, parfois plus d’une année sans manger) et là les gens s’inquiètent. L’accouplement chez cette espèce peut être fatal pour le mâle si la femelle est stressée ou affamée. Il conviendra de la nourrir correctement avant de présenter le mâle. La ponte interviendra 4-5 mois après l'accouplement, retirez le sac d'oeuf à 6 semaines. Donc patience...Et il y aura environ 100-150 mygalons après environ 10-11 semaines d’incubation.
  19. Bien non, pas à toi voyons
  20. C'est quand même actif donc intéressant à observer
  21. Il n'y a pas de photos où on voit le corps et la queue. C'est encore pire comme image
  22. Petite acquisition dernièrement. Ce sont des lézards qu'on ne voit pas assez selon moi Avant qu'on me pose la question, la tache blanche sur le dos et l'autre qui est venu déféquer dessus.
  23. Le python birman, une menace pour les oiseaux de Floride Publiée récemment dans la revue Reptiles & Amphibians : Conservation and Natural History, une étude américaine montre que le python birman, espèce asiatique indûment introduite en Floride et déjà repérée comme menace écologique, s’attaque non seulement aux oiseaux locaux mais aussi à leurs œufs. Les scientifiques surveillent anxieusement l’expansion du python birman (Python molurus bivittatus) en Floride, où ce serpent asiatique a été introduit on ne sait comment en 1979, et qui y a proliféré jusqu’à atteindre un effectif de dizaines de milliers d’individus aujourd’hui. Ils savaient déjà que dans le parc national des Everglades, les oiseaux, du minuscule martinet au grand héron, constituent 25% du régime alimentaire du reptile. Mais une étude réalisée par la Smithsonian Instutution vient de montrer que le serpent s’attaque aussi aux œufs : une menace supplémentaire pour les populations d’oiseaux nicheurs. Un python mâle de 2,50 mètres capturé à proximité d'un élevage de pintades a ainsi régurgité 10 œufs de ces oiseaux, tandis que le contenu stomacal d’une femelle de 3 mètres contenait les restes de 2 œufs, qui, analysés via des tests d'ADN, se sont avérés être ceux d’un courlan brun (Aramus guarauna), un échassier des marais considéré comme une "espèce préoccupante" par la Florida Fish & Wildlife Conservation Commission. "Cette découverte est importante parce qu'elle suggère que le python birman n’est pas simplement un prédateur ‘passif’, mais est suffisamment opportuniste pour trouver les nids d'oiseaux", a déclaré Dove Carla, ornithologue à la Smithsonian Institution cité par Science Daily. Source
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