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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Encore un pêcheur dévoré par un crocodile à Birlo Les pêcheurs riverains du Lac de Boali (95 kilomètres nord de Bangui) éprouvent ces derniers temps de séreuses difficultés à vaquer normalement à leurs occupations. Un d’entre eux vient d’être déchiqueté par un crocodile au village Birlo situé à 15 kilomètres de Boali. La victime est un jeune homme de 25 ans. Il était entrain de faire la pêche « commando » avec son frère ainé. Une pêche qui consiste à plonger en profondeur à la recherche des poissons lorsqu’il s’est retrouvé avec l’animal. Un autre cas similaire s’est produit il y a un peu plus d’un mois.. Le sous préfet de Boali joint au téléphone par Radio Ndeke Luka, a confirmé l’information ce 26 avril 2012. Selon lui, « le drame a eu lieu vers 10 heures du matin. Toute la population se mobilise pour retrouver le reste de ce jeune. Les autorités concernées ont été régulièrement informées sur les torts causés par le crocodile. Toutefois, aucune réponse sur sa chasse n’a été donnée ». « C’est la 6ème fois que l’animal tue tranquillement la paisible population à la recherche de son pain quotidien. Il est urgent que le ministère des eaux et forêts agisse pour éliminer ce crocodile », a-t-il indiqué. A titre de rappel, une des familles des victimes avait déposé plainte contre le même animal afin de venger leur cher. L’affaire est encore pendante devant la Justice du pays. Source
  2. A Las Vegas, tout est permis, sauf les iguanes rôtis LOS ANGELES (Reuters) - Un habitant de Las Vegas a été condamné à deux ans de prison pour avoir importé illégalement du Mexique des iguanes prêts à cuir au four, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Les corps de 115 reptiles étêtés, dépiautés, désossés et dissimulés sous des poissons dans des glacières avaient été saisis en juin dernier à un poste-frontière au sud de San Diego, en Californie. La chair de l'iguane vert est appréciée en Amérique centrale, où elle est servie en ragoût ou rôtie, notamment dans les tacos. Le reptile figure sur la liste de la Convention internationale pour la protection des espèces menacées (CITES), même s'il n'est pas menacé d'extinction. Le trafiquant a été condamné par un tribunal californien pour défaut de licence d'importation après avoir "plaidé coupable d'importation de viande d'iguane destinée à la consommation humaine", a indiqué le bureau du procureur de Californie du Sud. Tim Gaynor, Tangi Salaün pour le service français Source
  3. Le monde mystérieux et merveilleux de l'araignée Elle a des pattes velues, des crochets parfois venimeux, produit un fil de soie incroyablement résistant mais on la dit aussi malfaisante et fourbe : l'araignée, ce petit prédateur mystérieux, révèle ses secrets dans un documentaire diffusé le lundi 30 avril sur Arte. Avec 42.000 espèces recensées dans le monde, les araignées sont de loin les animaux terrestres les plus nombreux, présentes en haute montagne et dans les îles lointaines, mais elles occupent également les greniers, maisons et jardins. "Il reste des dizaines de milliers d'espèces à découvrir", explique Christine Rollard, l'une de ces arachnologues, spécialistes rares, qui consacrent leurs recherches à ce petit animal à huit pattes et qui ne mesure souvent que quelques millimètres. L'experte du Muséum national d'Histoire Naturelle balance son épuisette dans une prairie, où l'on peut trouver jusqu'à 200 araignées au m2, gratte délicatement l'écorce sur la cime d'un arbre, ou repère des toiles dans des endroits impossibles. Avec une technique de prise de vues exceptionnelle, le documentaire de Vincent Amouroux fait découvrir des facettes inattendues de cette petite bête, prédateur plus important que les oiseaux pour les insectes dans la nature. Résultat d'une longue évolution, la soie produite par les glandes de l'araignée est une fibre trente fois plus fine qu'un cheveu et qui, à diamètre égal, est plus solide que l'acier et plus résistante que le kevlar. Cette soie sert à tisser les toiles pour capturer les insectes, fabriquer les cocons de protection des oeufs pour la reproduction, et même à se déplacer. La toile, qui recouverte de gouttes de rosée au petit matin dans les champs constitue une véritable oeuvre d'art, est élaborée selon des méthodes très sophistiquées avec la production de types de soie différentes selon les besoins, expliquent les spécialistes. La base de la toile est ainsi constituée de fils plus solides que l'armature provisoire fabriquée autour avant d'y installer une charpente définitive à l'aide d'une soie collante pour ne laisser aucune chance de s'échapper aux proies. L'araignée, elle, prend soin de produire une sorte de cire sur l'extrémité de ses pattes pour éviter de se prendre à son propre piège. Pas de toile en revanche pour les araignées cracheuses qui projettent leurs fils grâce à des canons à soie à l'extrémité de leurs crochets et qui fonctionnent à une vitesse de près de 100 km/heure. D'autres, comme l'araignée crabe, changent de couleur sur les fleurs pour mieux tromper leur proie. Une séquence de lutte entre une telle araignée et un papillon trois fois plus grand qu'elle sur une fleur de trèfle semble sortie d'un film de science fiction. A la fin du combat, le venin inoculé par l'araignée déclenche une liquéfaction des tissus du papillon. Il peut ainsi le manger sans avoir à mastiquer. Dépourvues d'ouïe, les araignées ont développé un sens aiguë pour les vibrations émises par les proies, mais aussi celles produites à l'occasion des parades nuptiales. Source
  4. Monaco Ouverture de l’Ile aux Tortues au musée océanographique TORTUES MUSÉE OCÉANOGRAPHIQUE MONACO - Après un long voyage depuis Bamako, les 7 tortues sillonnées du Mali offertes à S.A.S. le Prince Albert II de Monaco sont arrivées en pleine forme au Musée océanographique de Monaco et ont rejoint leur « Île aux Tortues », un espace de 600m2 qui a été aménagé sur le toit terrasse du musée. En cette période de congés scolaires, les enfants et leurs parents pourront découvrir les nouveaux espaces détente réalisés pour cette nouvelle « Île aux Tortues » : un espace de jeux dédié à la mer où, comme Jonas, les enfants pourront s’amuser dans un grand jeu de 15 mètres de long figurant le squelette d’une baleine tandis que leurs parents pourront profiter de l’espace détente. Les tortues sillonnées, ces animaux présents depuis la nuit des temps, doivent leur nom aux sillons profonds qui sont visibles sur leurs écailles. Les nouvelles pensionnaires du musée sont âgées de 2 à 20 ans et pèsent plus de 20 kilos pour les plus grosses. Elles profitent d’un enclos paysagé de 80 m2 composé de terre et de sable planté de végétaux, de rocailles, de souches d’arbres et de points d’eau. Ile aux Tortues Ouverture le 25 avril 2012 Source
  5. Maraussan Avis de recherche pour une tortue qui manque à sa famille Je m'appelle Stéphanie la tortue, j'ai entre 50 et 60 ans et j'habitais au 124, rue de Revel à Maraussan chez mes propriétaires, Maurice et Gaby Cauquil. Mais une personne m'a enlevée. J'étais destinée aux petits enfants de la famille, mes propriétaires étant décédé depuis peu. Un geste qui part peut-être d'une bonne intention, mais fait beaucoup de mal. Alors si vous avez un cœur, ramenez-moi chez moi, car je faisais partie du patrimoine de la famille. Source
  6. Une nouvelle espèce d'amphibien découverte en Inde Une équipe de anglo-indienne de scientifiques a réussi à trouver une toute nouvelle espèce d'amphibien dénué de membres, le Gegeneophis primus. L'énigmatique famille des gymnophiones, aussi appelés apodes ou cécilies, s'est vue ajouter une nouvelle espèce, baptisée Gegeneophis primus. C'est dans la région de Kerala, dans le sud de l'Inde, que ce nouvel amphibien a été repéré par une équipe anglo-indienne menée par Ramachandran Kotharambath. Fruit de la collaboration entre le département zoologie de l'Université de Kerala et le Musée d'Histoire Naturelle de Londres, cette découverte permet d'en savoir un peu plus sur ces drôles d'amphibiens dépourvus de membres, qui ont vu disparaître leur squelette au cours du temps, lui donnant cet aspect de gros ver de terre. Repéré dans une plantation, le Gegeneophis primus vit "silencieusement sous nos pieds", explique Ramachandran Kotharambath à la BBC. Ce dernier a néanmoins indiqué que la modification de son milieu de vie pourrait le mettre en danger, notamment l'agriculture, très présente dans cette région humide de l'Inde. Il reste néanmoins beaucoup à faire pour avoir des connaissances plus approfondies sur cette espèce, voir en découvrir d'autres dans la région. Source
  7. Grenouille rousse. Un plan régional pour sauvegarder l’espèce Un plan d’actions d’une durée de trois ans a été lancé ce mois-ci pour préserver la grenouille rousse dans les Pays-de-Loire. La grenouille rousse est classée dans les espèces jugées « vulnérables » suite au constat de dégradations qui pèsent sur son habitat, les prairies humides. La grenouille rousse est présente dans quelques communes du Haut-Bocage, en Loire-Atlantique et Maine-et-Loire. Ce plan régional d’actions est supervisé par le Centre permanent d’initiatives pour l’environnement (Cpie), basé à la Flocellière en coordination avec une dizaine de structures et associations environnementalistes. Source
  8. Je vais prendre plus de temps pour ça à l'avenir!
  9. Une araignée géante dévore un serpent Si vous avez les poils qui se hérissent en voyant une petite mouche se faire attraper par une araignée, comment allez-vous réagir en voyant cette araignée géante dévorer un serpent? Dans cette vidéo à glacer le sang, on peut voir une araignée en train de se délecter d'un serpent (pas de petite taille) à l'heure du déjeuner. Bien entendu, cette scène charmante a été filmée en Australie, l'un des endroits les plus inhospitaliers en termes de petites bestioles potentiellement mortelles. Ant Hadleigh a filmé sans trembler cette énorme araignée dans la cour de la maison d'un ami, dans le Queensland. "J'ai trouvé ça assez incroyable. De temps en temps, le serpent se relevait et attaquait l'araignée, mais elle a tout de même réussi à le remonter dans sa toile. J'aurais parié sur le serpent, surtout vu sa taille, mais c'est bien l'araignée qui a remporté le combat". Son supplice a tout de même duré plus d'une heure avant de finalement succomber au venin de l'araignée. "On pouvait voir l'araignée en train de mâcher, c'était complètement fou". On imagine en effet la stupéfaction face à un tel cauchemar. Qui peut désormais encore affirmer que les petits bêtes ne mangent pas les grosses? Source
  10. Réception princière à Monaco pour des tortues maliennes ANIMAUX - Le Musée océanographique installe sept tortues maliennes sur son toit... Leur histoire pourrait commencer par «Il était une fois». Sept tortues sillonnées, originaires du Mali, ont inauguré ce mardi leur nouvelle résidence: rien moins qu’un toit-terrasse à Monaco. Mais pour ces «ambassadeurs de la cause des tortues», accueillis comme il se doit ce mardi par la princesse Charlene, le conte de fées a failli mal tourner. Exfiltrées après le coup d’Etat Tout commence le 14 février dernier, lors d’un voyage d’Etat du prince Albert de Monaco au Mali. Fasciné par ces tortues légendaires, symboles de bonheur, qui peuvent atteindre 300 kilos et vivre un siècle, le prince se voit offrir par l'ancien président de la République du Mali Amadou Touré sept spécimens issus d’un centre d’élevage. Deux mâles et cinq femelles, âgés de deux à trente ans, sont confiés aux bons soins de l’Institut océanographique de Monaco. Mais le coup d’Etat du 22 mars compromet leur transfert vers la principauté: «Les tortues ont été mises en sécurité dans un trou, comme elles le feraient naturellement, raconte Robert Calcagno, directeur de l’Institut océanographique. Dès qu’il y a eu une accalmie dans le pays, nous avons fait appel à un intermédiaire spécialisé dans les interventions en pays en guerre pour leur exfiltration. Elles sont arrivées le 18 avril, en bonne santé, et ont eu droit à un festin de carottes.» Panorama sur la Méditerranée Dès mercredi matin, le public pourra voir et même toucher les tortues dans l’espace aménagé spécialement pour elles sur le toit du Musée: «Cette Ile aux tortues de 600m² est à la fois un espace de jeu pour les enfants et de repos pour les parents», explique Robert Calcagno. Sans oublier la sensibilisation à la cause des tortues: «Sur 310 espèces, la moitié est menacée de disparition, chiffre Robert Calcagno. Nous devons agir en demandant aux politiques de créer des aires marines protégées, en réglementant les méthodes de pêche et en luttant contre la pollution, particulièrement les sacs plastiques qui étouffent les tortues.» De leur terrasse panoramique, les tortues du Mali pourront admirer la Méditerranée et peut-être apercevoir une de leurs cousines luths ou caouannes, menacées d’extinction «comme toutes les espèces de tortues marines», alerte Robert Calcagno. Audrey Chauvet Source
  11. Aujourd'hui, branchez votre après-midi sur Fréquence Grenouille Dès 14 h 30, au marais de Fretin, mettez sur ON votre curiosité. Branchez-vous sur Fréquence Grenouille et propulsez-vous sur les ondes des batraciens. PAR CHLOÉ TISSERAND villeneuvedascq@lavoixdunord.fr PHOTO LA VOIX Écoutez Grégory Fiquet, écogarde à l'Espace naturel Lille Métropole (ENLM), vous raconter avec passion la vie des batraciens qui peuplent ce site. « Notre but est de sensibiliser les gens sur l'intérêt des zones humides. » Approchez-vous du bord, vêtu de bottes et d'un imperméable, et observez. Grenouilles vertes, rousses, tritons alpestres, ponctués, les six espèces ou peut-être... rien. « À moins cinq degrés on ne verra pas les amphibiens, ils restent sous terre, explique notre observateur de la nature. Ici, ce n'est pas comme dans un zoo, on ne sait pas sur quoi on va tomber. Dimanche dernier, on n'a rien vu. » Alors autant parier sur le proverbe « Il pleut, il mouille : c'est la fête à la grenouille ! » Épuisettes autorisées Pour l'animation nature, les épuisettes seront autorisées mais la pêche limitée pour éviter de gêner : période de reproduction des amphibiens oblige. Au bord de la mare, Grégoy Fiquet a l'oreille affûtée pour reconnaître les chants des batraciens et l'oeil partout. « Vous avez vu le têtard ? », « Et là, la sangsue ? », « Il y a des mollusques près de la surface. » La mare regorge de surprises. « Ce qui est bien sur le site de Fretin, c'est qu'on trouve plusieurs zones : boisées, avec des lisières, de l'eau. Le public pourra découvrir les différents cycles des amphibiens et ses migrations. Deux kilomètres pour le crapaud, 1,5 km pour la grenouille. » Colline des Marchenelles, près de la ferme du Héron, à Villeneuve-d'Ascq, une berge a été aplanie pour faciliter le passage des amphibiens du fossé à la mare. Grégory Fiquet et les deux autres écogardes qui travaillent sur la zone du Val de Marque ont établi un nouveau protocole baptisé Mare pour dresser l'inventaire des batraciens. « Avant on les observait seulement. Maintenant, c'est dans un périmètre bien précis et sur trois passages comme la migration de la grenouille rousse, celle du crapaud et d'une troisième grenouille. » Le détail, Grégory Fiquet aura le temps de le diffuser cet après-midi sur Fréquence Grenouille. • Fréquence Grenouille : aujourd'hui à 14 h 30, Petit Parc, rue Foch, à Fretin, Source
  12. Voici les photos des tétards.
  13. Bon voici les photos de l'expo. On m'a reproché dernièrement de ne plus faire de texte avec les photos que je mets alors je vais prendre mon temps cette fois. Quoi que, je sais que la majorité du monde ne le lira pas. La première photo est celle d'un jeune serpent des blés (Pantherophis guttatus) qui prend une pose particulière. La personne qui organisait avait ce serpent dans les mains et elle tenait qu'on prenne une photo parce qu'elle disait que le serpent faisait un 8 dans sa main. Pendant l'exposition, o0bibitte0o avait ma femelle BCI dans les mains. C'est une magnifique femelle pastel en fait. L'amour règne entre les deux. Ce beau petit boa a décidé d'explorer et de s'infiltrer dans l'une des boucles d'oreilles de la jolie demoiselle. J'ai cru bon de prendre une photo pour garder ça en souvenir avant de l'aider à s'en sortir J'ai une belle araignée que j'aime bien mais qu'on voit rarement puisqu'elle est toujours cachée. Durant l'exposition, elle a décidé de prendre l'air et de se montrer un peu. J'ai profité du moment pour prendre mes premières, pas mes dernières j'espère, photos d'elle. On parle d'une belle Pterinochilus murinus J'avais apporté mes Theloderma asperum. Je trouvais intéressant de montrer durant l'exposition les grenouilles dans le feuillage et les tétards dans l'eau. Pour une première fois, j'avais amené mon petit python royal que j'avais recueillis en novembre dernier suite à un abandon. La petite bête a été blessé sur le ventre dans le passé. Il va bien maintenant mais il est très petit pour son âge. Je l'avais amené pour expliquer ce que les mauvais soins pouvaient causer. Ce serpent s'est fait donné un nom durant la fin de semaine. Il s'appelle désormais Pharaoh. J'avais amené ma petite face de clown également. Pourquoi je le surnomme ainsi? Il s'agit d'un mâle Lampropeltis triangulum sinaloae de phase clown face. Je vous présente maintenant Joséphine. Joséphine est une petite femelle varan des savanes. C'est un varan au comportement exemplaire qui nous permet de faire d'elle ce que l'on veut. C'est pratiquement une poupée de chiffon. Par contre, si on glisse notre doigt dans sa bouche, elle peut quand même lui goûter. C'est rare que j'amène cette bête en exposition puisque son terrarium est difficile à transporter à cause de la hauteur. Par contre, c'est quand même une belle bête à montrer. Au début, elle est toujours timide et fait tout pour se cacher. Par la suite, elle sort pour se montrer très aisément à tout le monde. Ce qui est spécial des berbers skinks (Eumeces schneideri) c'est qu'ils ont tendance à oublier qu'on les appelle les nageurs de sable à cause de leurs moeurs fouisseurs. Ils passent beaucoup de temps à tenter de grimper aux branches et de montrer qu'ils sont peut-être arboricoles finalement. Je possède trois serpents de cette espèce. À mon goût, celle-ci est la moins belle des trois. Par contre, quand on regarde la luisance de ses écailles sur cette photo, on ne peut pas dire qu'elle n'est pas éclatante de beauté. Voici ma deuxième femelle même si elle ne ressemble pas tellement à ma femelle montrée juste avant elle. C'est là qu'on voit pourquoi que le nom commun est serpent roi variable. C'est quand même difficile de trouver deux serpents similaires puisque la coloration et la forme des tâches varient beaucoup d'un spécimen à l'autre. J'amène la petite peste qui suit en exposition dans le but de le calmer le plus possible. Il a beau être un poids plume, dans sa tête, il est plus gros que l'anaconda. Il s'agit d'un petit mâle Baja king snake que jadis, avait été baptisé Escuro. Voici anciennement un serpent appartenant à LD50. C'est un mâle Lampropeltis getula californiae avec un sale caractère. La veille de l'exposition, voulait l'attraper pour l'amener là-bas, il m'a mordu le petit doigt. Pourtant, en exposition, il devient calme. Ne disons pas trop fort que c'est dût à la température plus fraîche que dans son terrarium. Ce petit Anolis est un survivant. Il devait servir de nourriture comme ses petits camarades qui ont tous été dévoré. Lui, il survit! Le fait d'y être encore après une semaine et demi lui a valut d'être sorti de là et amener à La Pocatière pour y vivre une meilleure vie. Ce qui me fait le plus tripper sur ses serpents, c'est vraiment la magnifique coloration verdâtre qu'ils ont. C'est l'un des plus beaux serpents selon moi et ce, surtout quand ils se fâchent. Les serpents des vignes sont tout simplement fascinants. Cette espèce de grenouilles semblent tellement ordinaire jusqu'à ce qu'elle se déplace. Lorsqu'on voit la beauté des lignes sur ces pattes qui vient représentant les rayures du tigres, on ne peut que baver devant sa beauté. Les Phyllomedusa hypocondrialis font parties des rainettes les plus belles qui existent. Quand on fait des expositions, il y a toujours pleins d'enfants qui nous achalent. Nous avons trouvé la solution parfaite vers la fin de la deuxième journée. Je vous ai parlé des liens entre Véronique et Saphyra. Voici une photo qui démontre bien comment elles sont attachées l'une à l'autre.
  14. Les trafics d'espèces menacées prolifèrent En 2011, les douanes ont saisi quelque 12.359 spécimens protégés. En quelques jours, à la veille de ce printemps, la zone de fret de l'aéroport de Roissy a soudain pris les allures d'une insolite arche de Noé. En fouillant des caisses expédiées depuis le Cameroun et estampillées «Live frogs», les douaniers ont découvert le 29 février un double fond dans lequel s'entassaient 64 caméléons. Huit des reptiles étaient morts de ces déplorables conditions de transport. Trois jours plus tard, les mêmes agents interceptaient un chargement de «trophées de chasse» en provenance du Canada. À l'intérieur, un grizzli ainsi qu'un ours polaire empaillés, notamment accompagnés d'un couguar transformé en tapis de salon. Non loin, dans un transport de poissons tropicaux, ils repêchaient enfin 367 «axolotls», amphibiens étranges et translucides trafiqués en laboratoire en raison de leur capacité à s'autorégénérer et à se reproduire à l'état larvaire. Ces prises, effectuées dans le cadre de la Convention de Washington protégeant la faune et la flore, ne sont que la partie émergée d'un trafic d'espèces plus que jamais florissant. Selon un dernier bilan de la Direction générale des douanes, le nombre de procédures n'a cessé de progresser pour atteindre 667 constatations l'année dernière, contre 649 en 2010. Une fois sur deux, les contrôles ont été effectués sur des voyageurs aériens atterrissant en particulier en région parisienne, mais aussi du côté de Marseille et de Nice. Garantir la survie Dans le lot figure un bestiaire touffu où se mêlent une dizaine de perroquets très rares et quelques rapaces, une famille d'iguanes et de varans, une paire de serpents, quelques singes et une armée de tortues venant en particulier de l'île de Madagascar et des pays du bassin méditerranéen. «Les services vétérinaires inspectent les animaux vivants recueillis par la douane et leur apportent les soins permettant de garantir leur survie, expliquent les douanes. Celle-ci est souvent compromise par les conditions de transport et le stress liés à leur capture. Dans la mesure du possible, une réexportation dans le pays d'origine est privilégiée, dans l'optique d'une réintroduction dans le milieu naturel.» La solution d'accueil se trouve alors en réserves animalières. C'est ainsi que le brigade d'Hendaye a confié un perroquet gris du Gabon au zoo de Pessac. Les passeurs, quant à eux, redoublent d'imagination, pour acheminer leurs cargaisons clandestines: en Guyane, un voyageur néerlandais a ainsi été surpris en train de transporter seize colibris vivants. Récidiviste, il avait dissimulé les oiseaux dans son short muni d'alvéoles, spécialement conçu pour l'occasion. «Les spécimens naturalisés auraient de leur côté tendance à être moins trafiqués», observe un spécialiste. «Il semble que l'attrait exercé par les cobras et scorpions conservés dans de l'alcool que ramènent les touristes en provenance de pays asiatiques décline», confirme-t-on à la Direction générale des douanes, dont les services n'ont saisi que 36 de ces spécimens en 2011. En revanche, les services spécialisés de Bercy tirent la sonnette d'alarme face à l'envolée de la contrebande d'articles issus d'espèces animales ou végétales. En une seule année, ce marché parallèle, stimulé par une forte demande des particuliers, a bondi de 46% pour désormais franchir la barre symbolique des 10.000 saisies. Dans ce registre foisonnant et baroque, où l'on peut retrouver des hippocampes, des scorpions séchés ou encore des queues d'éléphant en bracelet, les agents ont aussi intercepté, surtout au terminus des long-courriers de Roissy, plus de 1277 pièces d'ivoire braconnées au Congo, au Nigeria ou en Guinée, mais aussi 1254 orchidées ou encore une centaine de kilos de bois d'agar, encens très recherché dont le prix au poids est plus élevé que celui de l'or. Enfin, face à la persistance de l'importation illégale de viande de brousse sur le sol français, les autorités multiplient les opérations coups de poing. Celle menée entre les 17 et 26 mai dernier en région parisienne a débouché sur la confiscation de 518 kg de viandes, dont 126 portaient sur des espèces protégées. Les morceaux de varan, de python, de crocodile, d'éléphant, de porc-épic ou encore de pangolin ont été détruits avant qu'ils puissent rejoindre les arrière-salles d'exotiques cuisines. Outre une économie parallèle non négligeable, ce type de trafic présente de plus un «risque sanitaire important» et «menaçant la biodiversité». Pour mieux lutter contre ces filières venues d'Afrique ou d'Amérique du Sud, les douaniers ont récemment signé un accord avec l'Office national de la chasse et de la faune sauvage pour tenter d'identifier tous les spécimens capturés, morts ou vifs. Des «magots» très prisés L'affaire, a priori rarissime, a marqué les douaniers. Les agents de la brigade d'Hendaye ont saisi en août dernier deux bébés singes magots en contrôlant à Biriatou (Pyrénées-Occidentales) deux voyageurs venant du Maroc et disant se rendre en Hollande. Traumatisés et sevrés prématurément, les primates, étaient dissimulés dans une caisse à chat. Sauvés in extremis, le mâle et la femelle ont été confiés au zoo de Saint-Martin-la-Plaine où les soigneurs les ont baptisés Zeus et Vénus. «Une fois remis sur pieds», le couple devait être introduit au sein d'un groupe de la même espèce, ont précisé les douanes qui conseillent «de ne prélever dans les pays de villégiatures aucune espèce animale ou végétale dont certaines peuvent être en voie de disparition ou très difficiles à conserver en captivité». À titre d'exemple, le refuge qui a recueilli les deux bébés «magots», s'est vu confier, en deux ans, 101 singes dela même espèce, «pour la plupart abandonnés par les propriétaires dépassés par le comportement des animaux devenus adultes». Aussi appelé «macaque berbère», le singe magot, pesant une quinzaine de kilos à l'âge adulte, a fait l'objet d'un engouement irrationnel chez les particuliers. Espèces menacées,les singes magots, dont il ne reste plus que 20.000 individus à l'état sauvage, se sont multipliés en banlieue où l'effet de mode existe depuis le début des années 2000. Un phénomène tel que les forces de l'ordre en ont depuis capturé plusieurs centaines. Source
  15. Des serpents s'invitent à Swissminiatur, à Melide (TI) Une famille de Suisse alémanique a découvert quatre serpents parmi les bâtiments et monuments représentés à Swissminiatur à Melide (TI). Dominique Vuignier, directeur de ce parc d'attraction a confirmé une information diffusée lundi par le site tessinois " ticinoonline ". Les enfants ont été effrayés et la famille a aussitôt averti les responsables du parc. Des photos ont été prises et montrent un serpent noir se faufiler le long d'une maisonnette. Il s'agit d'une couleuvre, non venimeuse, commune au Tessin. Des collaborateurs ont contrôlé le site mais n'ont trouvé aucun reptile, a déclaré M. Vuignier. Cela ne le surprend pas. Les serpents sont très farouches et se laissent rarement observer. Jusqu'à maintenant, on ne peut pas du tout parler d'une invasion. Il s'agit d'un phénomène saisonnier, a expliqué Armando Besomi, de la société protectrice des animaux de Bellinzone. Au printemps, les serpents peuvent se remarquer plus fréquemment car ils cherchent le soleil et la chaleur après leur hibernation. Ces derniers jours, quatre autres serpents ont été récupérés dans des caves par la société protectrice des animaux. "Ce sont surtout les Suisses alémaniques qui sont effrayés, car les Tessinois sont habitués à ces animaux", a remarqué M. Besomi. Ce dernier rappelle qu'il est interdit de tuer des serpents. Qui en découvre doit chercher de l'aide. La majorité des serpents indigènes sont inoffensifs. Source: ATS Source
  16. Effectivement, mais j'ai tendance à prendre mes photos juste en expo maintenant malheureusement. Tu devrais venir t'amuser à en prendre!
  17. Mordue par une araignée, elle évite de peu l’amputation — Catherine Coombs, 48 ans, a été la victime de l’araignée la plus venimeuse du Royaume-Uni. Habitant le sud-ouest de l’Angleterre, où la steatoda nobilis est relativement courante, la femme a été mordue durant son sommeil, au mois de février. L’araignée à l’origine de toutes ses souffrances – une cousine de la veuve noire – n’étant pas agressive, il semblerait qu’elle l’a mordu après que sa victime a roulé sur elle dans son lit. La victime s’est ensuite réveillée en proie à d’immenses douleurs, avec sa main en train de gonfler dans des proportions impressionnantes, rapporte le «Daily Mail». Emmenée à l’hôpital, elle a été hospitalisée trois fois pour retirer le poison et la peau en putréfaction afin d’éviter une contamination de tout le bras. Avant chaque intervention, la victime a dû signer un document dans lequel elle s’engageait à accepter une hypothétique amputation. Il a même été craint que l’infection se répande dans tout le système sanguin. Six semaines d'hôpital Catherine Coombs a en tout passé six semaines à l’hôpital et récupère encore tout doucement de ses malheurs. L’infection doit encore quitter son corps avant que ses tendons, paralysés, puissent être reconstruits. La femme, qui avoue avoir craint les araignées toute sa vie, n’a pas pu croire que c’était la morsure d’une « british false widow» qui était à l’origine de ses déboires, jusqu’à tomber sur un papier expliquant sa situation sur Internet. «J’ai juste pensé: on est en Angleterre, pour l’amour de Dieu!» Elle espère désormais utiliser son histoire pour mettre en garde ses concitoyens contre les dangers de la steatoda nobilis. (Le Matin) Source
  18. Trafic - Le Bangladesh saisit 400 tortues de contrebande à l'aéroport de Dacca DACCA, 17 avr 2012 (AFP) - Les douanes du Bangladesh ont saisi mardi à l'aéroport de la capitale, Dacca, plus de 400 tortues de contrebande en provenance d'Inde et qui étaient destinées au marché thaïlandais, a-t-on appris auprès des autorités. Deux Indiens ont été arrêtés dans la foulée de la saisie des reptiles, a indiqué une fonctionnaire des douanes, Showkat Ara."Les tortues étaient transportées dans trois valises. Elles avaient été exportées clandestinement au Bangladesh depuis l'Inde et devaient être acheminées à Bangkok", a-t-elle précisé à l'AFP.Les animaux, d'une valeur estimée à trois millions de taka (environ 28.200 euros), seront placés dans un centre de protection, a-t-elle ajouté. Selon un conservateur, Tapan Kumar, il s'agit de la plus importante saisie réalisée ces dernières années. Parmi les reptiles figuraient trois espèces en voie de disparition, comme la tortue étoilée, servant habituellement dans la médecine orientale.Les autorités ont indiqué avoir constaté une recrudescence des faits de braconnage d'animaux exotiques au cours des derniers mois. Article publié le : 17-04-12 Source
  19. Maurice offre deux tortues géantes d'Aldabra à la Chine PORT-LOUIS, 18 avril (Xinhua) - L'île Maurice a offert cette semaine deux tortues géantes de la famille des Aldabrachelys gigantea à la Chine dans le cadre des célébrations des 40 de l' établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Le ministre de l'Agro-industrie Satish Faugoo a remis ces deux reptiles à Zhan Cangzhou qui dirige une délégation chinoise à Maurice lundi au jardin botanique Sir-Seewoosagur-Ramgoolam, Pamplemousses. "Cet animal joue un rôle important au niveau de la conservation. Il contribue à harmoniser les rapports des plantes à leur environnement naturel et à la régénération de l'écosystème des forêts", a indiqué Satish Faugoo, ministre mauricien de l'Agro- industrie. "La biodiversité est un pôle majeur de notre stratégie de développement en particulier par rapport aux projets élaborés dans le cadre de la mise en place du concept, Maurice Ile Durable. Notre pays a été parmi les premiers à signer la Convention internationale sur la biodiversité en 1992. Cette organisation considère la tortue géante de terre comme une espèce vulnérable qui mérite d'être protégée contre tous les risques susceptibles de constituer un danger pour sa survie", a ajouté le ministre. Les tortues sont âgées de 70 ans chacune et peuvent vivre jusqu' à 200 ans. Elles ont été élevées par laVanille Réserves des Mascareignes, un parc zoologique créé à Rivière des Anguilles dans le sud de l'île en 1985. On y trouve toute une variété de tortues de terres allant celle de la famille des tortues géantes d'Aldabra, Radiata (Astrochelys radiata), au léopard africain (Geochelone pardalis), en passant par la boîte Amboina ou boîte d'Asie orientale, et le Porc-flairée (Insculpta de Carettochelys). Un groupe de 500 tortues d'Aldabra de la famille des Dipsochelys elephantina et une quarantaine de tortues étoilées originaires de Madagascar ont également introduites depuis 2008. Les relations diplomatiques entre Maurice et la Chine ont été établies le 15 avril 1972. Durant ces quatre décennies écoulées, la Chine a été un fidèle partenaire de l'île touristique de l'océan Indien. La Chine a énormément aidé Maurice par des dons et des prêts à taux préférentiels pour un montant de 4 milliards de yuans. L'aide chinoise a également été grande sous la forme d'assistance technique et d'opportunités de formation. La construction récente d'un quartier général pour la Mauritius Broadcasting Corporation (MBC) à Moka, ou encore l'aménagement d' un nouvel aéroport à Plaisance en font partie. Source
  20. Quand les crapauds prennent tous les risques pour rejoindre leurs dulcinées ! Pour les amphibiens (crapauds, grenouilles, tritons, salamandres), le printemps est la saison de tous les dangers. Depuis la fin du mois de février, ils quittent leur vie terrestre pour rejoindre leurs congénères dans les plans d'eau, enfin … à condition qu'il n'y ait pas de route entre leur lieu d'hivernage et leur lieu de vie. Des seaux pour la sécurité des crapauds A la fin de l'hiver, lorsque les premiers rayons du soleil font éclore les crocus, les amphibiens entament une longue marche, vers leur plan d'eau natal, pour s'y reproduire. Mais chaque année, ce sont des centaines, voire des milliers de batraciens qui sont tués sur les routes et cela malgré l'apparition de panneaux de signalisation (grenouille dans un triangle bordé de rouge) qui indiquent désormais les lieux les plus empruntés. Sur une route communale d'Ormoy-la-Rivière, dans l'Essonne (91), des bénévoles ont installés depuis la mi-mars des « crapaudrômes », à savoir une bâche d'une trentaine de centimètres de hauteur sur 700 m le long de la route, avec tous les dix mètres, des seaux enterrés dans le sol. Le système est certes rudimentaire, mais efficace : les batraciens sont arrêtés par la bâche et la longent jusqu'à tomber dans les seaux. Le matin, les seaux sont déplacés de l'autre côté de la chaussée, avec les batraciens dedans. Faute de crapauduc souterrain, cette méthode reste le meilleur moyen de faire traverser les amphibiens en toute sécurité. Et rien que sur cette petite route, les bénévoles ont fait passer, l'année passée près de 3 500 crapauds. Des crapauds dangereux ? Les amphibiens ne sont pas dangereux mais le dévouement pour les crapauds n'est pas sans risque : les bénévoles doivent venir ramasser les seaux tôt le matin, par temps pluvieux, risquant eux aussi de se faire renverser. Par ailleurs, pour la majorité des espèces d'amphibiens et de reptiles (extrait de l'arrêté du 19 novembre 2007), la détention et le transport, sont interdits... Les automobilistes ont également des risques de dérapages ou de « crapauplanning », comme l'appelle Marc Giraud, vice-président de l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas). Si le Conseil général de l'Essonne participe à l'installation de bâches le long des routes départementales, l'engagement des pouvoirs publics reste encore très timide. Seules les associations se mobilisent et tentent de trouver des moyens de sensibiliser le public. Pour information, voir agir à votre niveau, l'Aspas vend ainsi des panneaux « Attention, traversée de crapauds » à installer sur le bord des routes. Déclins des populations d'amphibiens Depuis une vingtaine d'années, les scientifiques notent un déclin drastique des populations d'amphibiens, voir des disparitions de populations et des extinctions locales, à travers le monde. Plusieurs causes sont avancées, comme la destruction ou la modification des habitats naturels, la pollution, l'introduction d'espèces concurrentes, le changement climatique, les maladies, ... De fait de très nombreuses espèces sont classées comme étant en danger par l'UICN. En France, une espèce sur cinq risque de disparaître selon la dernière liste rouge des espèces menacées. Sans une prise de conscience de nos concitoyens et des pouvoirs publics, ces chiffres pourraient doubler dans les années à venir. Pourtant les amphibiens, par leur présence, sont garants de la santé de nos écosystèmes naturels et de la biodiversité, ils nous informent également sur les atteintes portées à notre environnement, sur la qualité de l'eau mais aussi sur l'impact du réchauffement climatique. A vos seaux citoyens !! Source
  21. Trafiquant de boas intercepté à la frontière Reineck (AP) — Un Hongrois de 36 ans a tenté d'introduire illégalement en Suisse six boas dimanche dernier au passage frontière de Reineck (SG). Lors d'un contrôle de routine, les gardes-frontière ont découvert une boîte en plastique contenant les six reptiles protégés par les Accords de Washington. Il s'agit de trois boas constricteurs des îles Fidji, de deux boas à trois bandes et d'un boa constricteur du Pacifique, a précisé jeudi le Corps des gardes-frontière de Coire (GR). L'homme n'avait pas d'autorisation d'importation de ces reptiles. Une procédure pénale a été ouverte pour violation de la loi sur la protection des espèces. Les animaux ont été saisis et confiés à des mains expertes. Ce n'est pas la première tentative du genre cette années. Le 23 février dernier, un Allemand de 63 ans avait été arrêté avec un varan de Timor sous son pull au moment d'entrer en Suisse au poste-frontière d'Au(SG). AP pc Source
  22. Touvérac: découverte nocturne des amphibiens Pas de fil à l'extrémité de la queue? Les pattes arrière ne sont pas palmées: alors c'est bien un triton palmé femelle qui est venu pondre quelques centaines d'oeufs dans cette petite mare. Elle va quitter ensuite ce milieu pour poursuivre sa vie nocturne essentiellement terrestre», assurait Sébastien Fournier, l'un des animateurs de Charente Nature en montrant le batracien capturé pour quelques minutes. Vendredi soir, une soixantaine de personnes de toutes générations, souvent en famille, avaient répondu à l'invitation à vivre à Touvérac l'une des animations «Fréquence Grenouille», une opération nationale annuelle organisée par le réseau des conservatoires d'espaces naturels (CEN). «Pour mieux connaître les zones humides, sensibiliser à leur préservation. Et ce site extraordinaire des carrières de Touvérac, doté de mares, de roselières, d'étangs, regorge de vie. Une multitude d'espèces végétales et animales en dépendent, et parmi elles, les amphibiens», commentait Carole Violon, chargée de mission territoriale au CEN Poitou-Charentes. Bottes, lampes, les scientifiques ont dans la nuit découvert quelques éléments de la faune étrange des petites mares voisines du parking de La Charbonnnière, surprises dans leur quiétude. Grenouilles, tritons, écrevisses, urodèles et anoures ont dévoilé leurs mystères et se sont laissé surprendre pour le plaisir de tous. Source
  23. Lannion. Elle ouvre sa porte et tombe nez à nez avec un serpent des blés Drôle de déconvenue ce vendredi après-midi, place de Viveiro (près de l’Enssat) à Lannion. Vers 14 h 30, une femme a trouvé sur le pas de sa porte un serpent d’un mètre, beige à taches orange. Après lui avoir donné un coup de balai, elle a prévenu les pompiers de Lannion. Ceux-ci sont venus chercher l’animal, agressif, qui, faute de pattes, ne s’était pas enfui bien loin ! Renseignements pris par les pompiers, il s’agirait d’un serpent des blés, aussi appelé serpent des Amériques. Sa morsure n’est pas dangereuse pour l’homme. « On ne sait pas d’où il s’est échappé. En tout cas, ça n’est pas un serpent qui vit à Lannion naturellement » précisent les pompiers. Une personne du vivarium de Plouagat est venue récupérer l’animal au centre de secours. Source
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