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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Au niveau des substrats, tout ce que tu as nommé est bon pour eux. Idéalement, la grenouille a besoin d'un bassin d'eau. Au niveau des plantes, je ne suis pas assez expert pour t'en conseiller. Chose à savoir, la majorité des espèces vivent en groupe donc il vaut mieux acheter un minimum de 3.
  2. Max|mum-leterrarium

    Petit lezard vert !

    Dans ce style ou c'est vraiment celui là?
  3. Max|mum-leterrarium

    be soin daide svp

    Il a de la douleur. Une visite vétérinaire ne serait pas négligeable. As tu une photo de la plaie?
  4. Dimanche 25 mars 2012 Seul exposition de vente au Québec De 9h à 16h Admission pour les adultes : 8$ Enfants de 7 à 14 ans : 5$ Pas de reptiles, amphibiens ou tout autres animaux vivants dans la salle sauf si c'est un animal d'un exposant enregistré qui a payé en entier son enregistrement à titre de fournisseur pour ce jour. Les transactions ne sont pas autorisé à l'extérieur de l'évènement sur la propriété de l'exposition Tous les reptiles exposés doivent être contenue le temps de l'expositions Toute personne s'exprimant d'une manière agressive ou perturbateur sera sorti des locaux et banni de tous les événements à venir Toute personne brisant les lois du secteur seront traitées par les autorités Holiday Inn Pointe Claire, Quebec 6700 TRANS CANADA HWY POINTE CLAIRE, QC H9R1C2
  5. Deux espèces de lézard disparaissent à Hawaii Une étude menée par deux chercheurs met en évidence la disparition, aux îles Hawaii, de deux espèces de petits lézards scincidés très communs et largement répartis dans le Pacifique Sud tropical. Ivan Ineich du Laboratoire "Origine, Structure et Evolution de la Biodiversité" (Muséum national d’Histoire naturelle/CNRS, Paris) et Robert Fisher (US Geological Survey, San Diego) ont réalisé une étude dont les résultats sont publiés cette semaine dans la prestigieuse revue Oryx. Ils y font état d'une découverte préoccupante : l’extinction de deux espèces de lézards communs. Normalement répartis dans l’ensemble du Pacifique, depuis la Nouvelle-Guinée jusqu’à l’atoll de Clipperton et aux îles Hawaii, y compris en Polynésie française et à Wallis et Futuna, les deux espèces ont longtemps été confondues. Distingués en 1987 dans les travaux de thèse d’Ivan Ineich, le Emoia cyanura était, en fait, composée de deux espèces qui cohabitent le plus souvent : le "vrai" Emoia cyanura et Emoia impar. Après d’importantes recherches effectuées auprès de plusieurs muséums européens et américains, les deux auteurs scientifiques ont ainsi pu mettre en évidence la chronologie de l’extinction des deux espèces, rapporte le CNRS dans un communiqué. E. impar, pourtant commune et abondante ailleurs dans le Pacifique tropical, a disparu après 1900 aux îles Hawaii, et l’introduction très récente de la seconde espèce aux îles Hawaii, E. cyanura, juste avant 1970, a été suivie par son extinction rapide après 1990. Ce travail analyse les facteurs qui expliqueraient l’extinction de lézards communs aux Îles Hawaii : la cause la plus probable retenue par les auteurs est la fourmi à grosse tête, Pheidole megacephala. En effet, sa date d’introduction concorde avec celle de l’extinction de E. impar, mais aussi de nombreuses autres espèces de vertébrés, notamment des oiseaux endémiques des îles Hawaii. Une extrême sensibilité de certaines espèces Ce travail ouvre une nouvelle porte à la Biologie de la Conservation en attirant l’attention sur l’intérêt des collections historiques (qui permettent d’apprécier l’évolution temporelle des peuplements). "Les collections sont des livres dont seules quelques pages sont lisibles actuellement", souligne Ivan Ineich, également responsable des collections de reptiles au Muséum national d’Histoire naturelle depuis 1988. Ces recherches montrent la nécessité de la systématique (décrire, classer, nommer) et l’importance d’étudier les espèces communes, trop souvent jugées sans intérêt. Mais ce travail pointe également l’extrême sensibilité des "grosses bêtes" vis-à-vis des "petites bêtes" introduites (surtout les virus, bactéries, champignons et arthropodes), dont l’impact autrefois négligé et pourtant si destructeur pour les vertébrés doit être reconsidéré. Les extinctions de ces deux espèces communes sont une alarme et des travaux complémentaires devront les expliquer mais aussi éviter qu’elles ne se renouvellent pour d’autres espèces, s’il n’est pas déjà trop tard... Source
  6. Dominique Lafage : au chevet des tortues Créée en 2006, l’association Bwärä Tortues marines poursuit son objectif : préserver les tortues Caretta caretta, dites grosse tête, qui viennent, tous les ans, pondre à la Roche-Percée. Explications de son président. La saison d’éclosion des œufs s’achève dans quelques semaines. Quel bilan en tirez-vous ? Dominique lafage : Cette saison a été particulière puisque la plage de la Roche a été rechargée en sable de rivière, un projet qui s’est déroulé en deux temps (en 2010 et 2011). Le problème c’est que ce sable contient des cailloux mais surtout de la glaise qui, en étant soumise en alternance à la pluie et au soleil, finit par devenir aussi dure que du ciment. C’est devenu problématique pour les tortues qui n’arrivaient pas à pondre ou, si elles y arrivaient, ne réussissaient pas à creuser un nid assez profond pour assurer la sécurité des œufs. Quelles en ont été les conséquences ? Nous avons dû intervenir pour déplacer les nids, une bonne cinquantaine au total. C’est une manipulation dangereuse mais si nous ne l’avions pas faite, la plupart des petits n’auraient pas survécu. Dans les nids peu profonds, par exemple, les œufs auraient cuit en raison de la chaleur. Comment ont réagi les tortues face à ce nouveau « terrain » de ponte ? Plutôt bien, à notre grande surprise. A force de buter sur le sable de la Roche, pas mal de tortues sont allées pondre à la baie des Tortues. Au final nous avons dénombré 220 nids sur les deux sites, sachant que la moyenne varie habituellement entre 180 et 300. Quelles sont les principales menaces qui pèsent sur ces tortues ? Déjà, il y a les menaces naturelles dans l’eau, et puis celles qui surviennent au moment de la naissance avec d’autres prédateurs terriens comme les crabes, les oiseaux, etc. En Calédonie, le danger vient aussi de l’homme puisque certains continuent à consommer leur chair, et que d’autres braconnent les œufs. Sans oublier la pollution qui les impacte directement. Je pense aux sacs plastiques, qu’elles confondent avec des méduses, et aux mégots de cigarettes, qu’elles prennent pour des crevettes. Cette année, hélas, nous avons également connu une attaque de tortue adulte par des chiens. C’était une première. La plage de la Roche-Percée est le premier site de ponte de Calédonie et le deuxième du Pacifique après les plages de Bundaberg,en Australie. Comment l’expliquez-vous ? C’est le seul spot en Calédonie à disposer d’une plage située juste en face de la passe, là où les tortues s’accouplent sur le tombant, avec un lagon peu profond qui permet aux femelles de se reposer et une plage à proximité pour pondre. Les sites de la Roche et de la baie des Tortues constituent deux spots idéaux. Toutes les conditions requises y sont remplies. Propos recueillis par Nathalie Vermorel Source
  7. À la découverte des amphibiens samedi à Hesdigneul | RENDEZ-VOUS | Branchez-vous sur Fréquence Grenouille et partez à la découverte des amphibiens samedi prochain. ... L'animation organisée dans le cadre de l'opération nationale « Fréquence Grenouille » est ouverte à tous. Il s'agit de faire découvrir ces créatures paraissant tout droit sorties des contes de fées. Crapauds, grenouilles vertes et rousses, tritons alpestre et crêté, mais aussi libellules, la mare est une source de biodiversité. Pour apprendre à connaître et protéger ces espèces, le syndicat mixte du Parc naturel régional des caps et marais d'Opale organise ce grand rendez-vous dès 10h à la salle des fêtes d'Hesdigneul. Après une courte projection de présentation sur les grenouilles, crapauds et autres amphibiens, les participants partiront sur les traces de ces petits animaux près d'une mare non loin du lieu de rendez-vous. • Durée de la sortie : 2 h. Gratuit et ouvert à tous, petits et grands. Renseignements au 03 21 87 90 90 . Prévoir des vêtements et chaussures adaptés. Retrouvez d'autres animations et plus d'information sur l'opération nationale « Fréquence grenouille » sur www.enf-conservatoires.org Source
  8. Essonne : une brigade pour sauver les crapauds amoureux A Ormoy-la-Rivière dans le sud de l'Essonne, une brigade de bénévoles s'active pour tenter de protéger les crapauds. En pleine saison des amours, les batraciens n'hésitent pas à s'aventurer pour se reproduire, au risque de se faire écraser sur les routes. Alors que les prémices du printemps sont apparus depuis peu, la saison des amours, elle, a débuté depuis plusieurs semaines pour les crapauds et autres amphibiens. Mais loin d'être une partie de plaisir, cette saison est souvent synonyme d'hécatombe pour les batraciens qui quittent leur abri hivernal pour rejoindre un point d'eau où s'accoupler et pondre leurs oeufs. Les trajets menant vers leur vie aquatique traversent très souvent des routes où circulent des centaines de voitures par jour, leur laissant très peu de chances de survie. "Quand elles ne les écrasent pas, les voitures les retournent par leur vitesse et la peau du crapaud, très collante, reste scotchée au bitume. C’est la mort assurée. Au-delà d’une voiture par minute, les crapauds n’ont aucune chance", explique Daniel Prugne, de l’Association intercommunale des naturalistes du Val d’Orge (AINVO) cité par 20minutes.fr. Heureusement, de nombreux habitants ont constaté le massacre et ont aujourd'hui décidé d'agir. A l'instar des Hauts-de-Seine dont nous parlions il y a peu, l'Essonne a également décidé de se mobiliser pour sauver les crapauds amoureux. Une brigade SOS Crapauds s'est ainsi formée à Ormoy-la-Rivière, près d'Etampes dans le Sud du département et a lancé les opérations depuis plusieurs semaines. Le but : protéger la reproduction d'une colonie estimée à plus de 3.000 crapauds, comme l'explique le blog de la brigade. Pour cela, l'équipe de bénévoles a entrepris la construction de "crapaudromes" dont le principe est assez simple. Une bâche d'une trentaine de centimètres de hauteur et de 700 mètres de long a été installée le long de la route. Leur trajet bloqué, les crapauds sont alors obligés de longer la bâche et finissent par tomber dans des seaux enterrés tous les 10 mètres. Les bénévoles interviennent ensuite, essentiellement le matin, pour vider les seaux et faire traverser les batraciens. L'an dernier, le dispositif a permis de sauver pas moins de 3.500 crapauds mais 500 y ont quand même perdu la vie. Hier, SOS Crapauds a ainsi indiqué que pour l'heure 895 crapauds étaient descendus, en comptant ceux tombés dans les seaux, ceux qui ont été vus rejoignant la rivière et ceux qui sont morts. Mais certains "petits malins" parviennent encore à descendre "à la barbe" des bénévoles et "sans encombre". "On a limité la casse depuis deux ans, avant on voyait plein de crapauds écrasés", témoigne Odile une habitante qui avait alerté sur le nombre de crapauds trouvés morts sur cette route communale. Des conseils pour participer à l'effort de sauvegarde "Les crapauds sont totalement obsédés, au printemps ils s’accrochent à tout ce qui bouge. Dans les mares, les femelles ont parfois six ou sept mâles en même temps sur le dos. Mais quand ils se font écraser avant de s’être reproduits, on estime qu’on perd un tiers des effectifs chaque année", ajoute Marc Giraud, vice-président de l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) cité par 20minutes.fr. Pourtant, les crapauds sont particulièrement utiles car "quand ils sont têtards, ils mangent les larves de moustiques, et adultes ils mangent les limaces et les escargots, c’est une aide pour les jardiniers", précise le spécialiste. Si le Conseil général de l’Essonne participe à l’installation de bâches, les associations regrettent que l'engagement des pouvoirs publics restent si timides. D'autant plus que le ramassage des seaux n'est pas sans risques pour les bénévoles, eux aussi exposés à la circulation, ni pour les conducteurs qui peuvent freiner brusquement, déraper voire faire du "crapauplanning", comme l'appelle Marc Giraud. Outre les associations, l'Aspas appelle ainsi tous ceux qui le peuvent à participer à l'effort et prodigue pour cela quelques conseils sur son site. Source
  9. « Euthanasier les iguanes verts est la seule solution... » Chloé Rodrigues, vétérinaire et éthologiste (spécialiste du comportement animal), s'occupe, au sein de son équipe, des iguanes de Martinique. Elle tire un constat dramatique. L'iguane vert, issu du continent américain, devient une véritable menace pour l'iguane Délicatissima, l'espèce endémique. L'iguane vert que l'on prend plaisir à voir au Fort Saint-Louis menacerait l'espèce endémique, le Délicatissima. La menace est-elle bien réelle ? Chloé Rodrigues, vétérinaire et éthologiste. Oui, la menace semble bien réelle pour le Délicatissima. L'iguane vert est originaire d'Amérique centrale et du Sud. Michel Breuil, spécialiste national des iguanes, qui les a largement étudiés, estime qu'ils ont été rapportés lors de voyages en Amérique du Sud. Ces iguanes ont d'abord été implantés aux Saintes où ils se sont mêlés à la population endémique, formant une espèce hybride. Ensuite, pour la Martinique, c'est le père Pinchon qui en a ramené et qui les a mis en zoo. A la fermeture du zoo, les iguanes ont été relâchés dans la nature. Cette espèce est nuisible pour l'iguane Délicatissima parce que plus prolifique et plus robuste. Les femelles sont plus grandes donc pondent plus d'oeufs que les femelles Délicatissima. Les mâles sont, eux, plus forts et lors de combats de territoire, ils gagnent à tous les coups. S'agit-il d'éradiquer purement et simplement l'espèce posant problème ? Non pas du tout! Il s'agit plutôt de réguler les populations. Ce qu'on voudrait, c'est circonscrire l'espèce au Fort Saint-Louis où elle a été relâchée au départ et éviter à tout prix que les individus aillent se promener dans le Nord, par exemple. S'ils arrivaient jusqu'au Robert, il pourrait menacer le Délicatisssima sur son territoire des îlets du Robert. On voudrait éviter aussi qu'ils aillent vers le port et qu'ils soient transportés à la Dominique. Il faut savoir qu'à la Dominique, il existe la plus grande population de Délicatissima de la région. Ce serait une catastrophe! Approximativement, cette population d'iguane est composée de combien d'individus ? On pense aujourd'hui qu'il y en a cinq ou six fois plus que ce que nous avions estimé au départ. Pour un iguane vu, il y en a au moins quatre qui restent cachés. Les chiffres ne peuvent donc pas être exacts. Et surtout, il y en a partout à Fort-de-France, qui se baladent dans les rues, qui se promènent dans les maisons. Potentiellement, ce sont ces iguanes qui vont pouvoir s'embarquer clandestinement sur les bateaux. Il faudrait 300 individus sur le Fort Saint-Louis, pas plus. Les iguanes sont très territoriaux. Une fois qu'ils ont tout ce qu'ils veulent sur leur territoire, ils ne vont pas ailleurs. Ceux du Fort Saint-Louis ne sont pas menaçants pour les autres, à partir du moment où ils ne se répandent pas partout. L'euthanasie est donc la seule solution ? Oui. Cela ne nous fait pas du tout plaisir mais nous ne pouvons pas nous permettre de les réintroduire dans leur milieu d'origine. Nous les euthanasions par le froid, anesthésiés au préalable. Ils ne souffrent pas... Source
  10. Le crocodile cubain du pape, "ambassadeur de la défense de l'environnement" ROME (AFP) - Un crocodile cubain de 60 cm a été désigné mercredi au zoo de Rome "ambassadeur de la défense de l'environnnement", en présence de diplomates cubains à Rome et d'un représentant du pape, avant son retour dans sa patrie d'origine où Benoît XVI sera en visite dans 12 jours. Dans une cérémonie bon enfant et haute en couleurs, avec des enfants agitant de petits drapeaux cubains, italiens et du Saint-Siège, une fanfare et à l'arrière fond un énorme crocodile rouge en plastique, le président de la Fondation "Bioparco di Roma", Paolo Giuntarelli, a déclaré que le jeune "crocodylus rhombifer", âgé de deux ans, était "un ambassadeur pour la défense de l'environnement" et aussi "de paix et de solidarité". Le "geste de restitution" de ce crocodile qu'un Italien avait capturé lors d'un voyage à Cuba et emmené chez lui avant qu'il ne soit confisqué fin 2011 par des fonctionnaires de l'Office italien des forêts dans le nord de l'Italie, veut "indiquer que l'homme doit être le sage administrateur de la nature, en cessant de la saccager", a dit M. Giuntarelli. Il a rappelé les vicissitudes vécues par le reptile parti de l'île enveloppé dans une chaussette à l'intérieur d'une valise. Le substitut à la secrétairerie d'Etat, Mgr Giovanni Becciu, ancien nonce à Cuba, a rappelé que le crocodile avait été présenté au pape Benoît XVI en janvier, lors d'une audience générale. L'importance que le pape a accordé à ce crocodile "symbolise l'amour de la nature" que défend l'Eglise qui souhaite "une augmentation de l'engagement" de la communauté internationale pour sa protection. "Je souhaite un bon voyage au crocodile, je suis certain que le peuple de cette île magique et enchantée saura aussi lui réserver un accueil chaleureux", a-t-il dit dans une allusion au voyage de Benoît XVI à Santiago de Cuba et à La Havane, du 26 au 28 mars. Les ambassadeurs de Cuba en Italie et auprès du Saint-Siège, Milagros Carina Soto Aguero et Eduardo Delgado, étaient présents. Le crocodile, qui n'a pas encore de nom --des enfants d'écoles italiennes et cubaines devraient lui en trouver un lors d'un concours, selon le Bioparco-- doit repartir le 23 mars pour Cuba, jour où Benoît XVI partira pour le Mexique, première étape de son voyage en Amérique latine. 2012 AFP Source
  11. Cuxac-Cabardès. Le Reptiles-Show: fascinant Une soixantaine de personnes ont assisté, vendredi 9 mars, au Reptiles-Show dans le foyer à Cuxac-Cabardès. Dieter Zorn, herpétologue qualifié, qui exerce depuis plus de vingt-cinq ans, montre par le biais de remarquables manipulations les caractéristiques et particularités des animaux pendant que Uschi, la présentatrice, explique qu'il n'y a guère d'animaux aussi craints, méprisés et méconnus que les serpents. Elle fournit tous les renseignements sur leurs mœurs, leur biologie, leur comportement et leurs réactions en cas de danger, de la petite couleuvre jusqu'au python de 6 m de long, sans oublier « Bongo » le crocodile ou les scorpions et la mygale. Manipulations et explications créent un parcours pédagogique, et chacun a pu ensuite, s'il le désirait, toucher et même porter les serpents pour constater qu'ils ne sont ni gluants, ni froids. Cette démarche a permis à certains de vaincre leurs peurs. Source
  12. Costa Rica : J'ai testé pour vous... la ponte des tortues vertes à Tortuguero Un des plus anciens centres de protection au monde Le Costa Rica s'enorgueillit de posséder l'un des plus anciens centres de protection des tortues au monde. Le pays possède une politique progressiste de protection de l'environnement et, partant, d'écotourisme. Il a mis en place dès les années 50 ans à Tortuguero, le village des tortues, un programme de protection de ces reptiles. TourMagazine.fr a suivi, lors d'une visite nocturne, l'arrivée, la ponte et le retour des tortues vers la mer protectrice. Tortuguero, est "le" village des tortues. Cette petite agglomération situées dans les réseau de canaux construits par l'homme pour accéder plus facilement et acheminer les marchandises aux différents hameaux du secteur, est située sur une étroite langue de terre entre le Rio tortuguero et l’océan Atlantique. C'est ici que, par centaines, les tortues vertes, des géantes pesant plus dune centaine de kilos, émergent des eaux chaque année pour venir pondre les œufs qui donneront naissance à leur (nombreuse) progéniture. Mais il ne faut pas s'y méprendre : malgré ce foisonnement, seuls 3 pour 1000 des bébés tortues survivront à leurs nombreux prédateurs. Au premier rang de ceux-ci : l'homme, comme le répètent a l'envi les guides du parc national, très compénétrés de leur rôle de défenseurs de la nature et de l'éducation à la vie animale des foules. Chito est de ceux là. Notre guide qui affiche une connaissance encyclopédique sur ces sympathiques animaux à carapace (et d'autres aussi), se prépare pour le guidage dune dizaine de volontaires qui veulent assister en direct à la naissance de la prochaine génération de tortues vertes qui écumeront les océans pour les 50 (?) années à venir. Tout au moins celles qui auront survécu... Ce type de visite est sévèrement encadré par les gardes. Quelques consignes strictes : pas de photo ni de camera, avec ou sans flash. Pas de vêtements trop clairs non plus. Les tortues risquent de prendre ces signes pour des dangers potentiels et de repartir immédiatement sans avoir déposé leur précieuse cargaison. On ne badine pas avec les nerfs des futures mamans tortues Le non respect de ces règles se traduit aussitôt par la suspension temporaire ou la suppression de la licence professionnelle de guidage. Ici on ne badine pas avec les nerfs des futures mamans tortues... Et ce d'autant plus que le nombre impressionnant de guidages pendant la saison (jusqu'à 400 personnes par nuit) réclame un encadrement des plus rigoureux. Ils se divisent en deux tours, avec tirage au sort des guides : 20h et 22h. Les visiteurs devront s'armer de patience. En effet, les gardes du parc régulent avec beaucoup d'attention la présence des guides et de leurs clients sur la plage. Ce sont eux qui donnent le feu vert et désignent au guide l'endroit de la plage où se rendre. Il n'est pas rare de devoir patienter, une fois le kilomètre de piste (facile) franchi, jusqu'à 45 minutes, le temps que la parturiente soit prête pour la ponte. Seul le guide dispose dune lampe verte spéciale, invisible pour l'animal et qui permet de détailler le processus en cours. Avec des précautions de sioux et en file indienne, nous nous mettons en marche et, quelques minutes plus tard, nous apercevons une masse sombre sur la plage. A ce moment là, la tortue a déjà creusé un trou d'une profondeur d'un mètre environ dans le sable. Très appliquée, elle éjecte en continu des œufs d'un blanc immaculé de la taille dune balle de tennis qui s'empilent au fond de la cavité. Pour bien montrer le processus, le guide soulève la patte arrière de l'animal et éclaire le saisissant spectacle avec sa lampe. La conservation de l'espèce se joue à peu de chose Une fois la ponte achevée, la tortue recouvre minutieusement le trou en utilisant ses pattes arrière. Objectif : laisser le lieu aussi identique et anonyme que possible. Elle sait d'instinct que la conservation de l'espèce se joue à peu de chose. C'est aussi l'instinct et ses facultés extraordinaires d'orientation qui l'ont amenée sur la plage ou elle est née et là où elle perpétuera le rituel de la conservation de l'espèce. Une fois l'opération terminée, épuisée par l'effort, elle s'arrache à grand peine a l'attraction terrestre et entame sa longue, maladroite et pénible marche vers les flots. L'animal semble littéralement "nager" sur le sable. Son calvaire prend fin avec l'arrivée des premières vagues qui soulagent son effort et la portent harmonieusement et en souplesse vers l'océan. Les spectateurs apprécient à sa juste valeur cette progression, émouvante et spectaculaire, compte tenu de la morphologie de la bête. Pour un peu on applaudirait la performance, si cela ne risquait pas de la traumatiser... Une fois son devoir maternel accompli, les futurs bébés tortues vont devoir patienter une cinquantaine de jours pour sortir de leur coquille. Ils creuseront alors leur chemin jusqu'à la surface pour regagner, à leur tour vers la mer salvatrice. Beaucoup n'y parviendront pas, victimes des oiseaux, des crabes, des poissons et autres prédateurs. Mais c'est là une autre histoire... FICHE PRATIQUE - Entre 45 et 70 jours incubation - Pondent entre 80 et 120 œufs - Une femelle peut pondre jusqu'à 10 fois dans la même saison - Ponte et éclosion observable de février a novembre périodes de ponte et éclosion - La haute saison va de fin juillet a aout La visite coute entre 20 et 30 dollars et dure environ 2 heures Le Parc de Tortuguero (Wikipédia) (en anglais) Tortuguero, hotels, tours, tour packages in Tortuguero Mardi 20 Mars 2012 - 12:15 Jean da LUZ au Costa Rica Source
  13. Seine-et-Marne : encore un python dans les égouts ! Drôle de coïncidence à Brie-Comte-Robert où un python de plus de 3 m a été retrouvé, hier midi, dans les égouts de la ville. En soi, l’événement est déjà rare mais ce qui est encore plus inhabituel, c’est qu’il survient un mois et demi après la découverte similaire d’un reptile… exactement au même endroit. « Il est encore plus gros que la dernière fois », assure Adrien Raynard, un employé de la société Prédetec. C’est au pied de cette entreprise, au cœur de la zone d’activités de la ville, à l’angle de la rue du Closeau et de la rue Tubœuf, que l’animal a été découvert. « Un collègue est sorti fumer une cigarette, reprend Adrien Raynard. Il a voulu la jeter dans la bouche d’égout du caniveau et c’est là qu’il a vu le serpent. » Le 26 janvier dernier, un serpent d’une taille similaire avait également été retrouvé par un passant dans la même bouche d’égout. Des pompiers de la caserne de Brie-Comte-Robert ont été dépêchés sur place pour sortir l’animal sans vie. La dépouille du reptile a ensuite été confiée au service pour l’assistance et le contrôle du peuplement animal (Sacpa). Reste maintenant à percer le mystère de ces serpents abandonnés dans un même lieu à quelques semaines d’intervalle. Source
  14. Des grenouilles insensibles à un germe mortel le transmettent à des espèces sœurs Publiant ses travaux dans PLoS ONE, un chercheur américain a récemment établi qu’une grenouille de l’ouest américain, insensible à un agent pathogène mortel pour d’autres amphibiens, est néanmoins largement infectée, risquant de transmettre la maladie à d’autres espèces. Contrairement à deux autres espèces de grenouilles de la Sierra Nevada, décimées entre 2003 et 2010 par un champignon mortel, le chytride, la rainette du Pacifique (Pseudacris regilla) est naturellement immunisée contre cet agent pathogène. Une résistance qui lui a permis de garder une population stable. Cependant, la situation n'est pas sauvée pour autant. En effet, Vance Vredenburg, de l’Université de San Francisco, vient de découvrir que les deux tiers des effectifs de cette espèce, dans la région, étaient bel et bien infectés par le champignon. Or, si cela ne leur cause aucun dommage, elles sont tout à fait à même de le transmettre. Ainsi, les naturalistes craignent que ces rainettes aggravent la propagation de la maladie à des espèces d’amphibiens moins résistantes, notamment celles faisant l’objet d’élevage à des fins de sauvegarde et de réintroduction en milieu naturel. Selon Matthew Fisher, de l'Imperial College de Londres, une solution consisterait à poursuivre ces élevages à partir des spécimens qui, au sein des espèces décimées, ont survécu. La résistance résistance naturelle individuelle au germe, mortel pour leurs congénères, pourrait alors se transmettre de génération en génération et protéger la plupart des amphibiens. Source
  15. Une morsure foudroyante Un soldat écossais est passé à un cheveu de la mort alors qu'il se trouvait en mission en Iraq. Ce n'est toutefois pas un engin explosif qui a failli lui coûter la vie, mais plutôt la morsure d'une araignée appelée «araignée du soleil». Source
  16. Nichgecko, ça rappelle des souvenirs! REGALISSSSSSSSS
  17. Une araignée à l'origine d'un accident à Rock Forest (Sherbrooke) Une peur bleue des araignées serait à l'origine d'une collision entre une voiture et un cycliste, lundi matin dans le secteur Rock Forest. L'accident a eu lieu vers 8h25 à la hauteur du 6952 du boulevard Bourque. L'événement s'est produit quand une conductrice a été dérangée par une jeune passagère se plaignant d'avoir vu une araignée dans la voiture. C'est en voulant la calmer que la conductrice a dévié de sa voie pour aller percuter le cycliste. Ce dernier a été blessé au visage, mais il est hors de danger. Il a été conduit à l'hôpital où on ne craignait nullement pour sa vie. Source
  18. Plongée dans le monde discret des amphibiens D’où viennent-ils, comment vivent-ils ? On l’apprenait vendredi en suivant Fréquence Grenouille jusqu’au lavoir de la Chaussée à Huisseau. Tous à l'écoute de Fréquence Grenouille, vendredi soir autour du lavoir de la Chaussée, à Huisseau-sur-Cosson. Une sortie du Comité départemental de la protection de la nature et de l'environnement (CDPNE) pour en apprendre un peu plus sur la vie des amphibiens. Une cinquantaine de personnes se sont retrouvées au rendez-vous donné par Gabriel Michelin, chargé d'étude faune au CDPNE, accompagné d'Héloïse Varlet animatrice et d'Elodie. Cinq minutes pour traverser une route Mais on ne lâche pas cinquante observateurs dans la nature, aussi passionnés et attentifs qu'ils soient, sans leur donner quelques pistes utiles à l'observation. Sait-on tous qu'il existe deux groupes d'amphibiens, celui des tritons et salamandres et celui des grenouilles et crapauds. La différence ? C'est la queue. Les premiers en ont une, les autres en sont dépourvus. Pas moins de dix-sept amphibiens vivent en Loir-et-Cher, dans des conditions pas toujours très heureuses. « Ils sont même en danger, » précise Gabriel. « La raréfaction de leurs habitats, essentiellement les zones humides, la pollution des eaux, les maladies en sont la cause. A tout cela s'ajoutent les espèces invasives, prédatrices, notamment la grenouille taureau. Mais le plus mauvais reste la route. » Et c'est le crapaud commun qui en est la principale victime. « Sur une route où circule une moyenne de mille véhicules par jour, le crapaud n'a aucune chance de survie. Il lui faut pratiquement cinq minutes pour traverser ! » D'où la construction de crapauducs sur certains axes routiers très fréquentés par les amphibiens et les automobilistes. Dans l'eau limpide du lavoir de la Chaussée et du fossé de déversoir, tout ce petit monde est au paradis. Pas de voiture, pas de pollution, que des gens attentifs ce vendredi soir. La lampe de poche en main, on avait bien l'espoir de surprendre ces hôtes si discrets. La randonnée d'observation s'est poursuivie au pont de la Canardière à Chambord. Un site lui aussi très peuplé de ces sympathiques petites bêtes, que l'on croisera désormais avec beaucoup plus d'attention. Henri Lemaire Source
  19. Bienvenue Jean-Marc! Au plaisir de discuter avec toi!
  20. Héhé félicitation! Il te reste des oeufs en incubation?
  21. Probablement un peu de Plantation soil.
  22. Andavamamba : Un serpent pour terroriser les victimes ! Des bandits qui utilisent un serpent comme arme. C’est le premier du genre et l’acte s’est produit à Andavamamba. Mardi dernier, en pleine matinée où l’embouteillage fait rage, une bande de malfrats s’attaque aux passagers d’une voiture berline. Ils n’étaient pas munis de pistolet ni de sabre mais plutôt d’un…serpent. Leur mode opératoire est assez simple : ils jettent le reptile à l’intérieur de la voiture. Pris de panique, les passagers se précipitent pour sortir du véhicule. Il reste ainsi aux bandits d’y entrer pour voler les objets qui les intéressent. Pour ce cas à Andavamamba, ils n’ont rien laissé. A savoir l’autoradio, le sac à main puisque c’était une femme qui était au volant ainsi que deux téléphones portables (le sien et celui de son fils). Selon nos informations, la conductrice venait de récupérer son fils à la sortie de l’école. A Anosibe, bas quartier pas loin d’Andavamamba, une autre femme a été victime d’un vol à la tire. Les bandits ont utilisé du « fonoka » une sorte de gris-gris qui rend inconsciente sinon paralyse la cible pendant un certain temps. Ils ont pu délester la dame de son bijou en or, de son téléphone portable ainsi que de son sac à main. Ces deux cas illustrent bien le mode opératoire qui varie d’un groupe de bandits à un autre, quoique leur objectif reste le même. Qu’importe, du serpent au « fonoka », l’insécurité urbaine est de plus en plus inquiétante. Deux représentants diplomatiques ont, tour à tour, tiré la sonnette d’alarme pour pointer du doigt l’insécurité à Tana. Ceci explique, bien entendu cela. Didi R. Source
  23. Un crocodile cubain devient ambassadeur de la défense de l'environnement Mercredi à Rome, devant plusieurs diplomates cubains et un représentant du pape, un crocodile cubain a été nommé "ambassadeur de la défense de l'environnement". Le reptile de soixante centimètres de long va désormais rejoindre son pays d'origine. Un crocodile âgé de deux ans, capturé à Cuba par un Italien puis saisi fin 2011 par l'Office italien des forêts, a été désigné mercredi, le 14 mars, "ambassadeur pour la défense de l'environnement". La cérémonie a eu lieu au zoo de Rome où il avait été recueilli, en présence de diplomates cubains et d'un représentant du pape, rapporte l'AFP. Devant des enfants arborant des drapeaux cubains, et un crocodile géant en plastique, le président de la Fondation Bioparco di Roma, Paolo Giuntarelli, a également nommé le reptile de soixante centimètres "ambassadeur de paix et de solidarité". Le crocodile va désormais rejoindre son pays natal. Une restitution qui "indique que l'homme doit être le sage administrateur de la nature, en cessant de la saccager", a souligné M. Giuntarelli. Le pape Benoît XVI, qui sera en visite à Santiago de Cuba et à La Havane à la fin du mois, avait lui-même fait connaissance avec l'animal en janvier dernier, pendant une audience générale. "Je souhaite un bon voyage au crocodile, je suis certain que le peuple de cette île magique et enchantée saura aussi lui réserver un accueil chaleureux" a déclaré Mgr Giovanni Becciu, substitut à la secrétairerie d'État et ancien nonce à Cuba. De retour sur l'île, prévu pour le 23 mars, le crocodile sera baptisé par des enfants italiens et cubains qui seront invités à proposer des noms lors d'un concours. Source
  24. Chez les crocodiles, le plus grand mord avec plus de puissance Les crocodiles sont parmi les animaux vivants aux mâchoires les plus puissantes. Cette force de morsure peut atteindre 16.000 newtons pour le crocodile marin. Une caractéristique qui serait fortement liée à la taille du corps, mais très peu à la forme du rostre ou celle des dents. C’est le crocodile marin le plus fort ! Au moins pour la force de morsure. Grâce à de nouvelles analyses, dont les résultats sont publiés dans Plos One, des chercheurs américains et australiens ont montré que ces animaux faisaient partie des plus puissants de notre époque. La palme du crocodilien le plus puissant revient à Crocodylus porosus, qui vit en Asie du Sud-Est et en Australie, plus particulièrement le long des côtes car il tolère très bien l’eau salée. Sa force de morsure peut atteindre 16.414 N (valeur maximale observée) au niveau des molaires, soit une pression de 1.200 N/mm² environ. À titre de comparaison, de récentes modélisations ont montré que la force du Tyrannosaurus rex était comprise entre 20.000 et 57.000 N. Les 23 espèces de crocodiliens vivants analysées Les 23 espèces vivantes de crocodiles, alligators, caïmans et gavials ont été passées au crible par les scientifiques. Les données sur la force de la mâchoire et la pression dentaire au niveau des molaires et des canines ont été répertoriées. Calculée en newtons (N), la force de morsure peut être évaluée en laboratoire en présentant au cobaye une proie fictive composée de capteurs. La pression quant à elle, donne une indication de la force par unité de surface, et dépend donc de la zone de la dent en contact avec la proie lors de la morsure. Mais les scientifiques cherchaient surtout à déterminer chez ces animaux les caractéristiques physiques corrélées à la puissance des mâchoires et à la pression des dents. Jusqu’à présent, il était admis que la forme du rostre – largeur en plusieurs points, longueur – était fortement liée à ces paramètres. Mais les récentes analyses montrent que ce n’est pas aussi simple que cela. La force de morsure liée à la taille du corps La caractéristique la mieux corrélée est la taille du corps de l’animal. Ainsi, des espèces dont le rostre est très différent, comme le crocodile de Johnston (Crocodylus johnsoni) qui en possède un très fin et le caïman à museau large (Caiman latirostis), sont capables d’exercer une pression similaire au niveau des dents. Selon les auteurs de l'étude, la force de la mâchoire est une caractéristique qui permet également de reconstruire l'histoire évolutive de ces reptiles. Ils auraient d’abord acquis une force exceptionnelle dans leur mâchoire, puis la taille du corps se serait sensiblement adaptée pour accéder à des proies variées. Enfin, la position et la forme des dents auraient également subi des modifications, menant là encore à une diversification du régime alimentaire. Source
  25. Tortues marines étudiées sous toutes les coutures La deuxième campagne de capture-recapture des tortues marines vient de se terminer. Résultat : 45 tortues capturées dont 6 recaptures. Notre reportage complet dans l'édition de ce vendredi. La deuxième campagne de capture-recapture des tortues marines vient de se terminer. 45 tortues ont été capturées dont 6 recaptures. Chaque tortue est pesée, mesurée, baguée, "pitée" (on lui place une puce électronique), peinte (avec un numéro qui reste six mois), puis relâchée. Des apnéistes bénévoles ont participé à l'opération qui s'est déroulée cette année au Prêcheur, au Carbet, à Case-Pilote et aux Anses d'Arlet sur cinq jours. Ces campagnes permettront au réseau Tortues marines de constituer une base de données et de comprendre les habitudes alimentaires des reptiles. Source
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