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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. J'ai eu ce scorpion dernièrement qui m'a été refilé comme étant un Hadogenes troglodytes mais je soupçonne plus un Hadogenes paucidens. Je vous le montre à l'instant même. Vos opinions sont le bienvenue!
  2. Voici ma petite dernière!
  3. L'expo s'est très bien passé. Beaucoup de monde sont passé et c'est commencé raide le samedi matin. Nous avions une équipe extraordinaire et on a eu beaucoup de plaisir. On se dit à l'année prochaine! Voici les photos maintenant.
  4. Brésil : un homme dévoré par un alligator dans l'Amapá La famille de la victime soupçonnait l'assassinat, cependant, les parties du corps de Pierre ont été trouvées à l'intérieur de l'alligator... Le Corps de l'homme identifié comme Pedro de Jesus Ferreira Melo, 52 ans, populairement connu comme «Curau» et qui a été porté disparu depuis les premières heures de jeudi dernier, dans la ville d'Amapá, a été retrouvé par une garnison du service des incendies. Déjà dans un état avancé de décomposition et mutilé le corps a été victime d'une attaque par un caïman noir, assez fréquent dans cette région. La famille de la victime soupçonnait l'assassinat, cependant, les parties du corps de Pierre ont été trouvées à l'intérieur de l'alligator. Source
  5. Les crocodiles se déchaînent en Australie PERTH, mardi 3 avril 2012 (Flash d’Océanie) – Les attaques de crocodiles sur les humains se sont multipliées ces derniers jours en Australie, notamment sur la côte Ouest de l’île-continent. Dimanche, une jeune Australienne de 23 ans, Tara Hawkes, a été la dernirèe cible de ces attaques alors qu’elle avait entrepris de se baigner dans la Baie des Dugongs (région proche de Kimberley), rapporte la radio nationale publique ABC. Dans cette baie, où était ancré le yacht sur lequel elle travaille, le True North, elle a été mordue à la cuisse par un crocodile d’environ deux mètres alors qu’elle sortait de l’eau, à un endroit où se mélangent l’eau de mer et celle, douce, d’une piscine naturelle, non loin de cascades réputées dans la région. La victime a été rapidement évacuée par hélicoptère vers le centre médical le plus proche, celui de Derby, où elle a été soignée pour des lacération profondes à la cuisse et où son état est depuis jugé stable. Selon les services officiels de l’environnement, les eaux de cette région sont connues pour être fréquentées par ces reptiles marins. Depuis, ces piscines naturelles sont fermées au public en attendant qu’une décision soit prise concernant le sort à réserver au saurien. L’une des options les plus sérieusement envisagées est de fermer définitivement ces lieux de baignade au public, en partant du principe que les crocodiles sont d’une aprt protégés et qu’ils s’y baignent depuis toujours. Lundi, par ailleurs, toujours en Australie, dans l’Etat du Queensland (Nord-est du pays), c’est un autre crocodile de deux mètre de long environ qui s’en est pris à… une voiture, rapportent les mêmes sources. Selon un témoin qui a alerté la police, l’incident a eu lieu lundi soir aux alentours de 21 heures (locales, GMT+10), dans la petite localité de Habana (banlieue de Mackay). Le véhicule et ses occupants ont alors été pris d’assaut par le reptile, sorti d’un creek tout proche de le route. Personne n’a été blessé et le crocodile a ensuite tranquillement rejoint son repaire. Début janvier 2012, les services de protection de l’environnement de l’État australien du Territoire du Nord (extrême Nord du pays, près de Darwin) ont été forcés d’intervenir pour récupérer un crocodile d’un mètre soixante dix, qui se trouvait dans le salon d’une maison d’habitation de la petite localité de Bees Creek. Les occupants de la maison avaient été réveillés par les aboiements incessants de leur chien. Ils ont ensuite découvert le saurien, un crocodile de mer, dans leur salon. Le reptile s’était échappé d’un élevage voisin (spécialisé dans la production de viande et de peaux de crocodiles), où se trouve une soixantaine de milliers de ses congénères. Les crocodiles de mer, dans cette région de l’Australie, mais aussi dans plusieurs pays de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon) s’aventurent parfois à l’intérieur des terres, remontant le cours des rivières, en particulier en périodes de crue. Nombre record de prises de crocodiles dans le Nord de l’Australie Dans toute la région, les crocodiles sont présents, jusqu’en Australie et ses régions les plus tropicales, comme le territoire du Nord (tout proche de la Papouasie-Nouvelle-Guinée). Les autorités de l’État australien du territoire du Nord ont ainsi enregistré en 2010 un nombre record de prises de crocodiles d’eau douce dans les rivières de la région : 305, dont le plus long mesurait quatre mètres soixante. Le chiffre de 2010 bat un précédent record établi six ans auparavant, avec 274 sauriens capturés dans les rivières de cet État, rapporte la radio nationale publique. Les des récentes et énormes inondations de décembre 2010, dans l’État voisin du Queensland, les autorités avaient là aussi lancé une alerte aux crocodiles, qui profitent de la montée du niveau des rivières pour pénétrer plus en avant vers l’intérieur des terres. Mi-septembre 2010, dans la région de Darwin, les passagères d’une pirogue participant à un concours local de pêche, dans la petite localité de Corroboree (une centaine de kilomètres à l’Est de Darwin, extrême Nord de l’Australie) ont eu la peur de leur vie lorsqu’elles ont été attaquées par un crocodile qui s’est littéralement jeté sur la barque dans le but apparent de la faire chavirer. L’une des rescapées, Toni Flouse, encore choquée, a ensuite déclaré que les femmes avaient eu la mauvaise idée de tenter de récupérer ce qui semblait être un vieux leurre, qui flottait au milieu du plan d’eau douce, au milieu d’une surface recouverte de nénuphars. « Moi j’ai dit tout de suite avant que ce n’était pas une bonne idée, il y a Monsieur le crocodile qui pourrait bien sortir d’un seul coup. Mais je pensais faire une plaisanterie », a-t-elle déclaré. Quelques secondes après, les pêcheuses effarées ont ensuite vu surgir de l’eau un crocodile de trois mètres qui s’est rué sur l’une des extrémités du canot. Les passagères ont alors été suffisamment rapides pour se regrouper de l’autre côté de la barque, juste avant l’impact. Toutes accroupies, aucune d’entre elles n’a perdu l’équilibre et personne n’a donc été précipité dans l’eau. Entre-temps le saurien semblait avoir renoncé à l’idée d’un second assaut. Personne n’a été blessé. En Australie, les crocodiles sont les plus répandus dans les régions tropicales du pays, à commencer par le Nord. Le Nord infesté de crocodiles Mais ils sont également présents dans l’État australien du Queensland (Nord-est du pays), où leur population, ces dernières années, semble toutefois ne pas avoir augmenté de manière significative, selon une étude menée récemment publiée par le département de l’environnement de cet État. Cette étude, dont les résultats ont été publiés fin juin 2010, a été menée entre septembre 2009 et février 2010 sur une zone côtière s’étendant sur une bande de plus de sept cent kilomètres de cette région, et incluant quarante huit rivières et leurs estuaires. Pendant la durée de cette enquête, 293 reptiles marins ont été observés, dont la grande majorité (258) appartient à la famille des crocodiles d’estuaires (d’eau de mer), le reste (35) étant des crocodiles d’eau de rivières. La taille des spécimens trouvés variait de trente centimètres à près de quatre mètres de long. Cette étude a été menée dans le cadre d’un processus de surveillance des effets de l’interdiction de la chasse au crocodile, imposée dans cet État il y a plus de trente cinq ans pour empêcher une extinction annoncée de ces reptiles. Crocodiles surfeurs Un éventuel lien entre un montée du niveau des océans et donc des marées plus fortes, permettant une remontée plus à l’intérieur des estuaires, a récemment été souligné par une enquête menée sur une vingtaine de ces crocodiles de mer, qui ont été appareillés de balises émettrices. Il est alors ressorti de cette étude, en substance, que les crocodiles d’eau de mer, pourtant réputés pour être de modestes nageurs, avaient la faculté de tirer le maximum de profit des courants et donc de « surfer », en économisant leur énergie et en pouvant de cette manière parcourir sans peine des milliers de kilomètres. pad Source
  6. Dévorée par un crocodile devant ses enfants Une femme sud-africaine de 48 ans a été agrippée et tuée par un crocodile devant ses enfants, mardi, alors qu'elle était occupée à pêcher dans la province du KwaZulu-Natal (est). L'animal a jailli de l'eau et a attrapé le bras de la victime. Les deux enfants de la malheureuse, respectivement âgés de 13 et 14 ans, ont appelé à l'aide. Après une heure de lutte, les sauveteurs sont parvenus à forcer l'animal à lâcher le corps, mais la victime était déjà décédée. L'incident a eu lieu à proximité du iSimangaliso Wetland Park, un site classé au patrimoine mondial de l'humanité qui affiche l'une des plus importantes concentrations d'hippopotames et de crocodiles d'Afrique du Sud. Les avertissements à la population ont été intensifiés à la suite du drame. Source
  7. Je remonte le poste pour les nouveaux. Si on veut que ça bouge
  8. Nouvelle réserve pour la grenouille la plus toxique du monde Un contact direct avec une kokoï de Colombie peut tuer en quelques minutes. En fait, une seule kokoï de Colombie sauvage, dont le nom latin Phyllobates terribilis est plus évocateur que son nom commun, est capable de tuer 10 êtres humains avec sa dose de poison de 1 milligramme seulement. Pourtant la nature mortelle de cette toute petite grenouille ne l'a pas empêchée d'en arriver à un stade proche de l'extinction. Actuellement, dans une tentative de sauvegarde de cette espèce, le World Land Trust (WLT) et l'ONG colombienne ProAves travaillent en collaboration afin de créer une réserve de 50 hectares dans la forêt de Chocó. Trouvée en Colombie uniquement, cette grenouille est de nos jours en péril pour cause de déforestation et de fragmentation avec un habitat dénudé en faveur de l'agriculture, de l'exploitation forestière, de la culture de coca et de l'exploitation illégale de mines d'or. Bien que la nouvelle réserve soit de petite taille, le WLT affirme qu'une population saine de cette espèce en voie de disparition survit dans cette nouvelle aire protégée. « La réserve sera protégée dans un premier temps par un seul garde forestier de la communauté locale; puis l'équipe de gardes forestiers augmentera selon les moyens financiers. Pour le moment, la réserve ne possède aucune infrastructure, mais ProAves a l'intention de construire une cabane pour les gardes forestiers; ce qui entraînera une protection et une gestion meilleures de la réserve », a expliqué le World Land Trust à mongabay.com. L'organisation espère également agrandir cette réserve, mais ceci dépendra de la résolution des problèmes compliqués des terres dans la région. « Il existe des possibilités d'avenir dans la création d'une aire protégée plus large avec la communauté Negro Renacer, mais ceci est aussi dans sa phase initiale », a ajouté le World Land Trust. Considérée comme étant le vertébré le plus venimeux de la planète, la toute petite kokoï de Colombie se trouve être une ressource unique pour la population locale. Tout comme avec d'autres grenouilles à flèches empoisonnées, les autochtones essuient la pointe de leurs flèches sur ces amphibiens, sans leurs faire mal, pour enduire les pointes de poison. La pointe de la flèche garde sa toxicité mortelle pendant deux ans. Source
  9. Une sortie à la tombée de la nuit pour entendre le crapaud calamite | LIGNY-LEZ-AIRE | Vendredi soir, les amateurs de nature et d'environnement ont été comblés par l'opération Fréquence grenouille. Il s'agissait de la 18e édition de cette opération nationale. Elle dure un mois et s'est déroulée notamment sur le terril de Ligny-lès-Aire. Le conservatoire d'espaces naturels du Nord et du Pas-de-Calais et la Communauté de communes Artois-Flandres se sont associés pour présenter la vie des amphibiens à la tombée de la nuit. C'est à ce moment que certains batraciens poussent la chansonnette. Les amateurs, munis d'une lampe torche se sont donc amusés à voir mais aussi à entendre ces espèces qui vivent en milieu humide. Pour rendre le parcours plus ludique, Katia Mollet et Yann Cuenot ont commencé la balade par un jeu de piste. Le but étant de retrouver des photos d'habitants des mares pour ensuite avoir les précisions nécessaires sur leur mode de vie. La visite s'est poursuivie par l'observation de la mare, presque sèche. « Rien d'étonnant, souligne Yann Cuenot, Il s'agit d'une mare temporaire et ses habitants ont donc un développement très rapide. » Le but de cette visite est d'avoir la chance d'observer et surtout entendre le crapaud calamite dont les manifestations vocales sont très puissantes et peuvent s'entendre à plusieurs centaines de mètres et aussi l'alyte accoucheur qui a la particularité de porter ses oeufs en cordons accrochés à ses pattes arrière. • Source
  10. À la découverte des amphibiens Soulaines-Dhuys- Les amphibiens, grenouilles, tritons et salamandres, sont des animaux fascinants tant leur cycle de vie est complexe. Les adultes se reproduisent dans l'eau mais ils passent la majorité de leur vie à terre. Les larves sont quant à elles exclusivement aquatiques dans notre région. Dans une zone humide, la diversité des espèces dépend non seulement de la qualité de l'eau mais aussi de la diversité des milieux aquatiques (végétation, profondeur, surface…). L'abondance des différentes espèces est elle aussi liée à la qualité du milieu. Sur le Domaine de Saint-Victor (au cœur de la Champagne humide) et dans ses environs proches, la diversité des milieux aquatiques est telle que les espèces d'amphibiens que l'on trouve sont nombreuses : la Grenouille rousse et la Grenouille agile, les Tritons palmés et alpestres, le Crapaud commun et le Sonneur à ventre jaune ou encore les Grenouilles vertes. Observations Ces espèces ne se reproduisent pas toutes au même moment mais la plupart sont d'ores et déjà présentes dans les plans d'eau. Il sera possible d'observer des pontes, des larves (têtards) ou encore des adultes. Le CPIE vous invite à venir découvrir les batraciens tout au long de la soirée du vendredi 6 avril. Le rendez-vous est fixé à 19 h devant l'accueil du CPIE Pays de Soulaines. Il sera possible de découvrir les points d'eau et les amphibiens du domaine. (Prévoir vêtements et chaussures adaptés). Entrée libre et gratuite. Les locaux du CPIE se situent sur le Domaine de Saint- Victor sur la D960 entre les communes de Soulaines-Dhuys et La Chaise. Pratique Pour tout renseignement : Emmanuelle Fradin, CPIE Pays de Soulaines, Domaine de Saint- Victor, 10200 Soulaines-Dhuys Tél. 03 25 92 28 33 Mail : cpie.soulaines.emmanuelle@orange.fr Source
  11. Australie: Une jeune femme survit à une attaque de crocodile Une vraie miraculée. Tara Hawkes, une jeune femme de 23 ans, a survécu à une attaque de crocodile, dans la Baie de Dugong, dans la région du Kimberley, en Australie, rapporte ABC News. Dimanche après-midi, la jeune femme, employée sur un bateau de croisière, le «True North», a décidé de plonger dans l'eau de la Baie de Dugong. Un crocodile long de deux mètres l'a alors mordue à la jambe. Peter Carstairs, du Department of Environment and Conservation, a indiqué à ABC News que la jeune femme se trouvait dans une zone connue pour abriter de nombreux crocodiles. Il a indiqué que le corps de Tara Hawkes avait été lacéré lors de l'attaque, et qu'elle présentait «des plaies perforantes». La victime a été transportée à l'hôpital de Derby, la ville la plus proche, et est dans un état stable. Selon Peter Carstairs, le crocodile est toujours dans la zone de l'attaque, et il demande instamment aux gens de ne pas s'y baigner. Source
  12. Il faut sauver le python Callaway Un python est sur le point de subir une opération chirurgicale dans une clinique spécialisée en Australie. Le reptile a avalé deux balles de golf et risque la mort. Le calvaire de Callaway, le python, a commencé après qu'il se soit introduit dans un poulailler de la région pour voler des oeufs. Mais ceux-ci avaient été remplacés par des balles de golf afin de ne pas perturber les poules après que leurs oeufs ont été embarqués par leurs propriétaires. Callaway, lui, n'y a vu que du feu et le python a avalé deux balles de golf. Mais il lui est désormais impossible de les digérer et celles-ci bloquent son appareil digestif. Sans une intervention, le python risque la mort. Il a donc été emmené dans une clinique de Currumbin en Australie où il doit subir une opération. Les balles de golf seront ensuite revendues sur eBay. Source
  13. La migration des crapauds communs Moins spectaculaire que la migration des gnous qui traversent le serengeti, la migration des batraciens, et en particulier des crapauds communs, n'en reste pas moins un spectacle tout à fait étonnant. Amis photographes, sortez de chez vous et rejoignez les abords des mares, il est encore temps. Publié le 26/03/2012 par Arnaud Grizard LA MIGRATION Dès le début du mois de février si les conditions sont réunies, les crapauds communs (Bufo bufo) quittent leurs abris forestiers pour entamer une longue migration vers leurs zones de ponte. Ils se dirigent vers les fossés, les mares ou les étangs pour s'accoupler et y déposer leurs œufs. Ce sera le seul moment qu’ils passeront dans l'eau et ils regagneront rapidement la terre ferme (du moins pour ceux qui ont survécu). Lors de l’accouplement, le mâle, généralement plus petit que la femelle, se hisse sur le dos de cette dernière et la maintient fermement entre ses pattes antérieures grâce aux petits coussinets qu’il a sur les mains ; on parle d’amplexus axillaire (les pattes du mâles agrippent la femelle sous les aisselles). Au moment de la ponte, le mâle émet du sperme qui coule sur les œufs, ce qui les féconde. L'action mécanique des pattes du mâle sur la femelle participe aussi à l'expulsion des œufs. La femelle pond 2 longs cordons contenant 3 ou 4 rangées d'oeufs souvent enroulés autour de plantes aquatiques. Une ponte peut contenir jusqu’à 7000 oeufs. UNE MESURE DE PROTECTION : LE CRAPAUDUC Les crapauds, et plus généralement l’ensemble des batraciens, sont gravement menacés du fait de la destruction et de la disparition de leurs habitats et de l’utilisation de nombreux pesticides. Beaucoup de Crapauds sont également écrasés sur les routes en voulant rejoindre leur zone de reproduction ; d'où la mise en place, sur certaines portions de forêts très fréquentées par les batraciens, de crapauducs. Il s’agit d’installer de part et d’autre de la route une bâche verticale d’une trentaine de centimètres de haut pour empêcher les crapauds de traverser. A intervalles réguliers, des sceaux sont enterrés au ras du sol pour que les crapauds qui longent la bâche tombent dedans. Chaque jour, les sceaux sont relevés, les batraciens comptés et transportés en toute sécurité de l’autre côté de la route d’où ils pourront reprendre leur migration. Cette opération s’effectue à la descente vers les points d’eau mais également à la remontée, lorsque les crapauds et autres grenouilles et tritons regagnent les sous-bois. Outre le crapaud commun, vous rencontrerez durant cette même période de nombreux autres batraciens, parmi lesquelles grenouilles rousses ou agiles, tritons palmé ou alpestre, salamandres … A noter, TOUTES les espèces de batraciens présentes sur le territoire, sont intégralement protégés. QUELQUES CONSEILS PHOTOGRAPHIQUES : Il a plu la nuit précédente, la forêt est humide, la température est idéale (ni trop chaude ni trop froide), tentez votre chance car c’est à ce moment là que les probabilités de rencontre sont les plus fortes pour découvrir les batraciens, en forêt, regardez sous les vieilles souches et dans les creux au pieds des arbres, c’est là que vous dénicherez vos sujets de photo, au bord de la mare, faites attention où vous posez vos pieds et fouillez les touffes d’herbe et les tas de feuilles morte, pour découvrir les crapauds qui s’y sont réfugié, si vous devez absolument manipuler les sujets, faites le de manière douce et posée ; évitez de les manipuler à mains nues (préférez les gants ou ayez au moins les mains humides) ; relachez les là où vous les avez trouvés, n’hésitez pas à vous mettre au raz du sol pour être au même niveau que le sujet et éviter les photos en plongée souvent inesthétiques, osez les cadrages dynamiques qui offrent des prises de vue originales du sujet (contre-plongée, mise en avant d’un détail, cadrage large, cadrage vertical, cadrage en diagonale, décalage du sujet dans un coin de la photo …), bref, sortez des sentiers battus, vous pouvez utiliser des vitesses d’obturation lentes du fait de la « relative » placidité de la bête. Dans ce cas là, pensez à utiliser un trépied pour plus de stabilité, évitez les prises de vues sous une lumière trop forte, cela donne de vilains reflets sur la peau luisante des crapauds et autres batraciens et certaines zones ressortent « cramées », de même, si vous utilisez un flash, dosez-le de manière très pointue pour ne pas rencontrer le problème évoqué ci-dessus, ou mieux encore, munissez vous de diffuseur et/ou de reflecteurs, utilisez de longues focales (avec bagues allonges si besoin pour réduire la zone limite de mise au point) et placez-vous au ras de l’eau, au bord de l’étang ou de la mare : vous aurez la possibilité de photographier les batraciens dans leur élément avec la tête hors de l’eau, si vous avez la chance de posséder un petit compact étanche comme il en existe maintenant de nombreux, essayer les prises de vue dans l’eau : c’est difficile, souvent raté mais cela réserve quelques bonnes surprises (si vous possédez un caisson étanche pour votre reflex alors c’est encore mieux, vous êtes le roi du monde ;-) ), encore mieux, si vous avez l’âme aventureuse d’un plongeur sous-marin, et le matériel qui va avec (combinaison de plongée, masque et tuba, caisson étanche pour votre reflex), vous ferez sans aucun doute des photos uniques, Tous les objectifs peuvent être utilisés pour photographier les batraciens, objectif macro, grand-angle, téléobjectif, trans-standart, focale fixe ou zoom ... Alors faites preuve d'imagination et de créativité !! Source
  14. Sébastien, les tortues au service de l’évolution Après la soirée de mardi, l’Experimentarium propose, dimanche, un après-midi sur le rapport entre science et vérité. Sébastien Ficheux abordera la conservation d’une espèce en danger. Derrière son bureau, une photo de cistude d’Europe. Cette petite tortue, que l’on trouve dans le sud de la Bourgogne, est le sujet de thèse de Sébastien Ficheux, chercheur en écologie évolutive. Une discipline qu’il a choisie parce que c’était sa passion. « Je suis passionné par la nature depuis tout petit. J’ai passé des heures à observer les fourmis, j’ai même essayé de faire se reproduire des escargots ! ». Une tentative qui fut un échec, sa mère lui expliquant que les animaux ne sont pas faits pour vivre dans des boites mais dans la nature. Sébastien est persévérant. En sortie de lycée, il s’oriente tout naturellement vers la biologie, jusqu’au doctorat. « On ne peut pas dire que c’est facile d’arriver jusque-là, mais avec du courage et de la passion, c’est vraiment jouable ». Menace sur les tortues Aujourd’hui, ce jeune chercheur de 25 ans se concentre, pour les besoins de sa thèse, sur une espèce menacée de tortues : la cistude. « J’étudie la dispersion : comment la cistude se reproduit pour éviter la consanguinité. On s’oriente vers de jeunes mâles qui quittent leur groupe pour aller à la rencontre de femelles d’autres populations. J’étudie aussi les barrières à cette dispersion, notamment les constructions humaines ». Se pencher sur d’autres espèces Pour mener à bien ses travaux, Sébastien mène des observations de terrain, en Bourgogne, en Camargue et en Grèce. Il y a également toute une série de protocoles en laboratoire, pour étudier la génétique et mesurer l’importance ou non de la consanguinité. « Ensuite, j’aimerais m’orienter vers de la recherche autonome, mais dans des structures professionnelles, c’est compliqué : nous sommes surdiplômés ». Il voudrait aussi se pencher sur d’autres espèces, et en particulier étudier le comportement des singes Bonobo : « Ils ont une structure sociale très développée, et une capacité à régler les conflits par le sexe. C’est passionnant ». Dimanche 1 eravril, centre des sciences et du goût. À partir de 12 ans. Entrée libre. Renseignements : http://experimentarium.u-bourgogne.fr/. Source
  15. 2495 amphibiens sauvés ! L'opération de sauvetage d'amphibiens en forêt de Trois-Fontaines (Marne) a permis de sauver plus de 700 grenouilles (rousse, verte et agile), 150 crapauds communs, 160 tritons (palmé, ponctué et alpestre) ainsi que 4 salamandres d'une mort probable. Bravo à la quinzaine de bénévoles du Groupe local LPO de St-Dizier ayant permis ce superbe travail. Non loin de là, ce sont 1445 grenouilles rousses qui ont été libérées des nasses tendues par des braconniers ! Alertée par la LPO, la garderie ONCFS et l'ONEMA, très efficaces, ont rapidement interpellé les auteurs. Espérons que le jugement sera exemplaire. Lire l'article de presse de L'union Champargne Ardennes. http://www.lunion.presse.fr/article/marne/deux-braconniers-capturent-1-445-grenouilles Consulter le site de la LPO Champagne-Ardennes. http://champagne-ardenne.lpo.fr/ Source
  16. Qu'attends tu pour nous le présenter en photo?
  17. Redécouverte d'une espèce rare de grenouille en Afrique Des chercheurs américains ont récemment découvert, dans le sud-ouest du Burundi, une population d'une espèce minuscule de grenouille, que personne n'avait plus observé depuis plus de 60 ans. Au-delà de cette redécouverte, les scientifiques insistent sur la richesse de la biodiversité de cette région mal connue. pas plus de 1,5 centimètres de longueur, une coloration noire et gris-bleu et, chez le mâle, un doigt de pied extra-long - dont la fonction est inconnue : Cardioglossa cyaneospila est une grenouille tellement rare que nul ne l'avait plus vue depuis 1949 ! C'est pourtant l'un des trésors que des herpétologistes de l'Académie des Sciences de Californie et de l'Université du Texas ont ramené d'une expédition de recherche dans la réserve forestière de Bururi, au Burundi, menée en décembre 2011. Le Pr David Blackburn raconte comment, ayant pour toute information le pressentiment que la grenouille devait, comme ses cousines, lancer un cri caractéristique, il a fait cette découverte : "j'ai cru entendre l'appel et je me suis dirigé vers celui-ci, puis j'ai attendu. Avec une chance extraordinaire, j'ai écarté négligemment quelques brins d'herbe, et la grenouille était juste assise là, sur un rondin. J'ai entendu plusieurs appels au cours des nuits suivantes, ce qui indique la présence d'une population saine de l'espèce, mais je n'ai pu trouver que ce seul spécimen". Situées au carrefour du bassin du Congo, du Grand Rift et du lac Tanganyika, les forêts de haute altitude du Burundi ont une faune et une flore proches de celles du Cameroun, avec lesquelles elles étaient peut-être contiguës autrefois. L'étude de l'ADN du spécimen de grenouille capturé devrait permettre de déterminer vers quelle époque C. cyaneospila a divergé de ses cousines du Cameroun, et donc quand les deux zones forestières ont été séparées. Source
  18. DE NOUVEAUX ALLIGATORS S'INSTALLENT À ALLIGATOR BAY Pour la saison 2012, trois alligators albinos, un mâle et deux femelles débarquent à Alligator Bay, situé à Beauvoir dans la Manche. Parc familial créé en 1994, Alligator Bay (ex-Reptilarium du Mont Saint Michel) accueille 125 000 visiteurs par an. Situé à Beauvoir, dans le département de la Manche, il accueille sur 2500m2 près de 200 alligators et crocodiles. Dans un autre bâtiment de 1000m2 sont installés 200 sauriens et ophidiens, dont des groupes de varans, de boas, de pythons et d'anacondas. En extérieur vivent 300 chéloniens dont les tortues géantes des Seychelles et d'Afrique. A l'occasion de la nouvelle saison 2012, Alligator Bay accueille trois nouveaux pensionnaires : deux femelles et un mâle "alligators blancs". Ils viennent de Louisiane, et ont la particularité d'être albinos. Ils occupent un espace de 70m2 composé d'une partie sèche de 35m2, et d'une partie aquatique de même dimension. L'enclos se trouve dans une serre tropicale plantée, avec des zones ombragées et des abris reconstituant fidèlement leur milieu d'origine. Source
  19. Epinay-sur-Orge : la traque du faux crocodile Les pompiers de l’Essonne se sont mobilisés deux heures mercredi… pour rien. C’est le résultat d’un canular, mettant en scène un crocodile pris en photo par les riverains d’Épinay-sur-Orge mardi soir. «Un moulage plutôt bien fait», déclare un des pompiers. Plusieurs détails, la couleur du reptile entre autres, prouvent qu’il s’agit d’une imitation. La ou les personnes qui seraient à l’origine de ce canular pourraient, après être identifiées, faire l’objet de poursuites judiciaires. Source
  20. La Tartugo, la naissance d'un nouvel animal totémique pour la commune L'origine des animaux totémiques se perd dans la nuit des temps. En 2005, l'Unesco les a inscrits au patrimoine culturel immatériel de l'Humanité. La veille de la Seconde guerre mondiale, Lézignan a pris le chameau comme emblème, mais il n'a survécu ni aux épreuves de celle-ci, ni aux priorités de l'Après-guerre. L'association pour le renouveau de la fête a été créée pour choisir un nouvel animal totémique. Le camel est rejeté ainsi que le cochon rose qui accompagne Saint-Antoine-l'Hermite, patron secondaire de l'église, certains craignant de se voir affubler du sobriquet de cochons roses. Ils optent donc pour une espèce de la faune locale : la tortue hargneuse qui a sauvé indirectement le village en 1361. Rappel des faits, le prieur envoie le jeune Amaury chercher des pièces anciennes mises au jour lors des dernières pluies. Du sommet de l'oppidum d'Aumes, il aperçoit l'abbaye de Valmagne en feu : les routiers sont de retour. Le garçon redescend jusqu'à l'Hérault, mais sa barque a disparu. Il se jette à l'eau. Une crampe le tétanise. Il s'accroche à la carapace d'une tortue hargneuse de deux pieds de diamètre et réussit à atteindre la rive. Il court prévenir les villageois. Les portes du village sont fermées et des hommes armés postés en haut de l'enceinte. Les routiers de la compagnie de Seguin de Badefol apparaissent le lendemain et renoncent à l'attaque. Depuis ce jour, les Lézignannais ne chassent plus les tortues hargneuses. La Tortugo, de trois mètres sur deux, est réalisée en fibre de carbone. La robe est aux couleurs de Lézignan : azur pour la carapace, or pour le corps et argent barré d'azur pour la jupe. La devise européenne Unie dans la diversité, qui s'applique à la commune, est inscrite sur les flancs. Elle sera portée par six hommes et conduite par un couple de tambourinaïres. Deux anciens de la fanfare du village ont composé la musique : marche au tambour et à la bombe, brende dansé sur un pas sautillé et farandole dansée en pas chassé. La Tartugo sera intronisée lundi 13 août, sur l'esplanade par trois parrains prestigieux : poulain de Pézenas, chameau de Béziers et âne de Gignac. Source
  21. ESSONNE. Qui a vu le crocodile dans les rues d'Epinay-sur-Seine ? Ce crocodile, qui mesure entre 50 cm et 1 mètre, et qui semble se promener tranquillement dans les rues d’Epinay-sur-Orge (Essonne), est activement recherché par les pompiers. L’animal a été aperçu, mardi, par un père et son fils, dans un bosquet de la ville, relate Le Parisien. Les pompiers conseillent aux habitants de la ville, en cas de rencontre, de ne pas s’approcher du crocodile, mais de rester en "contact visuel" afin de les aider à le capturer. (Source : Le Parisien) Source
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